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Environnement sociologie : Cours du 26/09

Introduction à la sociologie (outil : Moodle, Cairn)

Programme :
La compétence visée est : analyser les processus de l’organisation dans son environnement.

Traduction = comprendre l’environnement :

- comprendre la structure sociale (comment est composée la société)

- comprendre les actions et les représentations des personnes

Philosophie du cours : Allez au-delà d’un simple apriori, dépasser le sens commun. Être capable de
prendre de la hauteur.

Qu’est-ce que la sociologie ?


La sociologie est une discipline scientifique, elle suit une méthode : ni prescriptive, ni prédictive :

Hypothèses
Expérimentations/observations Une méthode pour rompre avec le
Conclusions sens commun, les opinions : la
Théorisations/modélisations démarche scientifique

On ne dit pas comment il faudrait que ça soit = prédictive.

La sociologie : c’est l’étude de l’impact du social (ce sont les gens qui vivent ensemble) ou des
groupes sociaux sur les comportements et les représentations des individus (comment on imagine la
fac, un métier). On appartient tous à un groupe (groupe de foot).

La société : des gens qui vivent ensemble

Un groupe social : un individu appartient à plusieurs groupes de gens qui partagent une activité, un
lieu d’habitation, un métier…une équipe de foot/le groupe des étudiants…

Une illustration :

Comment le sens commun explique le fait de tomber amoureux ?

Petit exercice de réflexion pratique :


Les unions dans votre famille :

Vos parents : leur différence d’âge, leur niveau de diplôme et professions de leurs parents
Vos oncles et tantes : leur différente d’âge, leur niveau de diplôme et professions de leur
parent
Mes parents : rencontrer à 25 ans, différence d’âge est de 1 an, père : bac pro, mère : BTS.
Mes grands-parents : Mami : femme de ménage

L’objet de la sociologie :
 Observer les phénomènes au niveau d’un groupe social et pas seulement au niveau de
l’individu (ce n'est pas la psychologie)
 Noter les régularités et les corrélations
 Comprendre les raisons de ces régularités et corrélations

Les méthodes en sociologie :


 Quantitatives : construction d’enquêtes par questionnaires, analyse des statistiques
produites (l’INSEE)
 Qualitatives : observations, entretiens, analyse lexicale et thématique, analyse d’archives…

Pas d’expériences, analyse des individus dans leur environnement.

Qu’avez-vous compris de la sociologie ?

Avec vos mots, tentez de définir la sociologie et ce que vous en avez compris :

La sociologie c’est le fait d’analyser et de comprendre le comportement humain à partir d’élément


quantitatif ou qualitatif qui sont fiables.
Cours 1 : les classes sociales existent-t-elles encore ?
Concepts : stratification sociale et hiérarchisation.

Exercice en mode individuel : dessinez la société française

Etat

Ma mère
Polices
Les riches

Moi (la classe moyenne)

La classe laborieuse
Cours du 10/10 :
Question 1 : connaissez-vous d’autres systèmes (ailleurs, périodes historiques) de division sociale
d’une société ?

Le système des castes désigne l’organisation sociale de l’Inde (il est cependant juridiquement aboli)
fondée sur une division économique, social et politique confrontée par des principes de pureté
religieuse.

Le système d’ordre qui caractérisait la France de l’Ancien Régime. Trois ordres aux fonctions
spécifiques coexistent : le clergé, la noblesse, le tiers état. Ce système tient sa légitimité de la
religion.

Pas de passage d’une catégorie à l’autre (ou très peu, bourgeoisie anoblis).

Question 2 : Le terme de classe sociale est souvent associé à Karl Marx, savez-vous sur quel(s)
critère(s) il divisait la société :

Pour Marx, il y a deux grandes classes sociales : la bourgeoisie et les prolétaires. Son critère est la
possession des moyens de production.

Dans la société industrielle, la bourgeoisie possède des moyens de production, c’est-à-dire le capital
prend la forme de terres, d’usines, de machines mais aussi de titres financiers… alors que le
prolétariat, la classe la plus nombreuse, est contrainte de vendre sa force de travail en échange d’un
salaire dont une part ne lui est pas rétribuée (c’est ce que Marx appelle la valeur ajoutée qui fonde
l’exploitation du travailleur).

Question 3 : quels sont les critères utilisés pour découper la société :

Profession, revenu, niveau de diplômes, mais aussi âge, sexe, religion, région, origine ethnique, état
de santé…

En sociologie le plus souvent on analyse les comportements ou les représentations en fonction de la


profession, de l’âge ou du sexe.

Plus récemment, sur l’origine ethnique.

Question 4 : quelle distinction faites-vous entre différences sociales et inégalités sociales ? Pouvez-
vous illustrer votre réponse ?

Il est tout à fait possible de classifier la population sans mettre en lien les inégalités sociales. L’INSEE
avec les PCS (professions et catégories socioprofessionnelle) va catégoriser la population française
(tant d’ouvriers, tant de retraités…). C’est un tableau social de la France.

Mais la sociologie critique montre souvent comment ces différences sociales produisent des
inégalités, par exemple quand on parle de consommation culturelle : consommation culturelle
légitime, valorisée/illégitime et dévalorisée.
Question 5 : selon vous que veut dire « idéologie méritocratique » :

En France l’école est basée sur l’idéologie méritocratique.

Vont réussir les élèves qui sont « méritants ».

Mais comment se mesure le mérite ?

Travailler en classe, apprendre, être sérieux…


Détenir des « aptitudes », des « capacités » …

Question 6 : selon vous que signifie « reproduction sociale ?

La probabilité de rester dans la même catégorie sociale que celle de ses parents.

Les vecteurs d’évolutions sociale : les diplômes, la profession, le mariage…

Comme l’école valorise la culture transmise au sein des classes sociales dominantes, elle favorise les
enfants habitués à cette culture.

Quand Bourdieu et Passeron disent que l’idéologie méritocratique contribue à la reproduction


sociale, ils expliquent que laisser croire que l’on réunit grâce au mérite masque le fait qu’en vérité,
l’école reproduit les inégalités sociales.

Comment ? En transmettant la culture légitime, qui est celle des classes sociales dominantes.

Question 7 : expliquez le tableau de fréquentation des équipements culturels (doc4) :

Au cours des 12 derniers mois sur 100 agriculteurs, 3 sont alliés dans un parc.

Plus de la moitié des cadres et professions intellectuelles sup sont allées au musée (59%) quand
moins d’un quart (22%) des employés s’y sont rendus.

Ce qu’il est intéressant de noter ce sont les écarts entre les différentes catégories et l’ensemble.

Pourquoi n’arrive-t-on pas à 100% ?

Ce que le tableau permet de noter c’est la corrélation entre CSP et fréquentation des équipements
cultures.

Question 8 : selon le document 4, quelles sont les variables qui influencent les goûts culturels ?

Les catégories sociales ne suffisent pas à expliquer à elles seules les goûts culturels.

Ex : âge.

Les enfants (Octobre) : l’âge et le genre ont une influence importante sur les goûts culturels
Les lycéens (Pasquier) : la culture dominante n’est pas la culture de la classe dominante mais
celle des classes populaires.
Cours du 17/10 :
Les recherches suivantes :

Si les logiques de distinction culturelles sont loin d’avoir disparues, elles sont moins nettes
aujourd’hui que la description faite par Bourdieu.

Plus d’éclectisme dans les pratiques culturelles


Les acteurs sont conscients de la hiérarchie des pratiques culturelles

Définition : Rédigez une définition de ce que vous avez compris de la stratification sociale :

Hiérarchie des classes sociale qui engendre des inégalités entre les individus. (moi)

La stratification sociale désigne le découpage des sociétés humaines en catégories hiérarchisées,


présentant en leur sein une certaine homogénéité, et qui résulte de l’ensemble des différentes
sociales associés aux inégalités de richesse, de pouvoir, de prestige ou de connaissance. (Les 100
mots de la sociologie).

Résumé : stratification sociale


Les systèmes de stratification sociale :

La hiérarchie pure, caste, société d’ordre : naissance, peu de passage d’un ordre à l’autre,
légitimé par la religion, l’ordre social
Lutte entre les classes sociales, Marx : possession des moyens de production, + sentiment
d’appartenance, légitimité par la richesse

Les outils d’analyse :

Classification : PCS de l’INSEE

Espace social et style de vie :

Hiérarchisation social, ex : la consommation culturelle


La sociologie critique montre les inégalités, qui découlent de cette stratification sociale :
consommation culturelle, accès aux diplômes, santé…

Rédigez une réponse : Les classes sociales existent-t-elles encore ?

Les classes sociales sont bel et bien encore présente dans notre société. La notion de richesse et de
pauvreté persiste, on peut le voir par exemple dans les pays tels que l’Inde où des milliers de familles
n’ont pas la possibilité de se nourrir ou même de se nettoyer parfois, alors que d’autres familles ont
des millions d’euros dans leur compte en banque.

Point sur le paragraphe argument :

Enonciation de l’idée
Explication de l’idée
Illustration de l’idée
Explication de l’illustration
Plan du cours :

1. Annonce du sujet du cours


2. Exercice de réflexion et extrait vidéo
3. Lecture des textes
4. Réponses aux questions
5. Définition
6. Résumé

Cours 3 : Les conduites immorales sont-t-elles toujours illégales ? Lois, normes et valeurs

Ma position :

Enseignant chercheur universitaire : on s’interroge, on ne porte pas de jugement, je ne dis pas ce qui
est bien/mal. (vs position de prof qui fait respecter les règles et les normes…).

A l’aide des documents 1, 2, 3 et 4 répondez aux questions :

1. Quelle distinction faites-vous entre le contrôle social, la loi et la norme.

Le contrôle social est un terme générique qui englobe la loi et la norme.

On peut ainsi distinguer les normes sociales et des normes juridiques :

- Les normes sociales suscitent la réaction du groupe social


- Les lois, autrement dit les normes juridiques : impliquent l’intervention d’institutions
spécialisés

Les normes juridiques sont des normes sociales qui font l’objet d’un traitement différencié. Il y aune
condamnation et pas seulement une réprobation de la part du groupe social.

2. Donnez des exemples de loi et de normes sociales

Une norme juridique : le port du masque au cinéma. Le respect du feu rouge. L’interdiction de tuer
ou violer. Une norme juridique qui évolue, les violences portées sur les animaux.

Une norme sociale : on ne se mouche pas dans la nappe au restaurant. Les normes vestimentaires
font partie des normes sociales.

L’infidélité peut être une norme sociale, juridique et morale. Frapper ses parents n’est pas toujours
illégal. Les crimes que l’on appelle passionnels n’ont pas toujours été durement condamnés.

3. Selon vous, que signifie « construction sociale » ?

Une chose qui est construite socialement signifie qu’elle n’existe pas naturellement. Ce sont les
hommes et les femmes, les groupes sociaux qui fabriquent la chose. Par exemple, la politesse
n’existe pas naturellement, ce sont les hommes, les femmes qui font exister la politesse en la
pratiquant.
On parle aussi de construction sociale du genre, de la maladie, de la culture homosexuelle…l’idée de
construction sociale est parfois un peu vague et catégorie fourre-tout.

4. Pourriez-vous réexpliquer ce que sont les « entrepreneurs de morale » ?

Les entrepreneurs de morale est un concept forgé par Howard Becker. Ce sont les groupes sociaux
qui se chargent d’universaliser leurs propres règles de conduite à l’ensemble de la société.

Becker prend l’exemple du « bureau des narcotiques du ministère des finances » qui a œuvré pour
faire interdire la marijuana.

A une époque les médecins ont voulu interdire le tango, trop dangereux ? Pour les hanches.

Les lobbies qui veulent faire interdire le mariage pour tous sont des entrepreneurs de morale.

5. Comment H. Becker explique-t-il la déviance ?

Pour qu’un individu soit « déviant » il faut qu’un groupe d’entrepreneurs de morale l’ait ETIQUETE
comme déviant. Ce n’est pas tant l’acte qui est commis en soi que le fait que le groupe qualifie sa
conduite de déviante.

Ensuite, l’individu peut aussi se reconnaître lui-même comme déviant et apprendre ces normes
alternatives.

6. Pourquoi selon Vigarello la disparition des bains ne doit pas être interprétée comme un
recul ?

Ce n’est pas un recul de l’exigence hygiénique mais un déplacement.

La notion de propreté évolue selon les époques. A 16 ème siècle être propre c’est s’essuyer, se
parfumer, changer de vêtement, mais surtout pas se laver avec de l’eau.

Au 19ème siècle, l’école va jouer un rôle socialisateur pour inculquer les nouvelles règles d’hygiène.

7. « Selon les résultats de l'enquête, quelque peu préoccupants, seuls 57% des Français
prennent une douche tous les jours (France Soir. 27 mai 2015) ». Que peut-on dire quand un
journal titre ainsi l’un de ses articles ?

Il existe une norme implicite de la douche quotidienne, mais qui semble en réalité non respectée. Et
pourtant, cette norme existe toujours et ne disparaît pas alors même que seule la moitié des français
la respecte.

Le journal se voudrait le relais des entrepreneurs de morale.

Et pourtant, on peut rationnellement y opposer des arguments sanitaires et écologiques.


Rédigez une définition de :

Loi : elle se définit par rapport à un contrat ou un traité écrit. Des instances officielles (parlement,
police, justice) énoncent la loi et la font appliquer. Ces instances ont le pouvoir de punir si elle n’est
pas respectée.

Normes : les normes sont des règles qui réagissent l’action des individus. Elles peuvent être explicites
(lois) ou implicites. Les règles implicites, que l’on appelle normes sociales sont intériorisées lors du
processus de socialisation. Ces règles sont non écrites, mais évidentes pour tous.

Valeurs : les normes s’appuient sur des valeurs. Les valeurs sont abstraites. Les valeurs sont des
idéaux collectifs censés orienter les conduites individuelles : la liberté, l’amour de son prochain,
l’égalité…

Il existe plusieurs systèmes de valeurs légués par la religion (amour du prochain), l’Etat (liberté,
égalité, fraternité), le capitalisme (la compétition, le travail…).

Résumé :

- Les lois, les normes et les valeurs sont des constructions sociales. Elles n’existent pas en soi,
dans la nature
- Les lois sont des normes sociales qui sont écrites et qui s’est sanctionnées par la justice si
elles ne sont pas respectées. Il y a l’intervention d’une instance extérieure
- Les normes sociales sont apprises au cours du processus de socialisation. Elles sont évidentes
pour tout le monde. Elles ne sont pas écrites.
- Si les normes sociales ne sont respectées les sanctions peuvent se manifester sous la forme
de regards désapprobateurs, de critiques, d’humiliations voire des exclusions du groupe, ou
aucune sanction.

L’imposition d’une norme a pour effet de produire nécessairement de la déviance.

Les individus qui ne respectent pas les normes sont qualifiés de « déviants » par les producteurs de la
norme et par le groupe qui respecte/adhère à la norme.

La déviance est un étiquetage.


Cours 4 : Au fond qui suis-je ? Est-ce que l’on montre toujours qui l’on est ?

1. Une personne peut-elle occuper plusieurs statuts ? Donnez des exemples.

Oui car on fréquente plusieurs univers sociaux différents.

On peut être championne de natation, étudiante et conseillère municipale.

2. Avez-vous des exemples de « sanction sociale ».

Les sanctions sociales peuvent être positives et négatives.

Un footballeur qui marque un but va être applaudit par les supporters qui sont présents. C’est une
sanction sociale positive.

Mais si ce même footballeur, invité chez des amis se sert en premier et vide le plat, il transgresse les
règles informelles des bonnes manières à table. Il aura des regards désapprobateurs voire une
remarque désobligeante. Ce sont des sanctions sociales

3. Selon vous, que signifie « les rôles sont en grande partie codifiés » (p.1) ? Y a t-il un rôle
assigné pour chaque statut ? Pourquoi ? Illustrez votre réponse.

Selon les sociétés, les époques, certains comportements sont attendus selon le statut que l’on
occupe et donc du rôle que l’on y joue.

Il n’y a pas toujours un seul rôle assigné » pour chaque statut.

Par ex : tous les pères n’ont pas le même comportement et ne jouent donc pas nécessairement le
même rôle.

Le rôle est différent et interpréter par chacun de manière différente alors que le statut est attribué à
chaque personne.

4. Pouvez-vous expliquer la distinction entre « identité pour soi », « identité pour autrui » et
« identité collective » ?

Identité personnelle : identité que l’on se donne nous même

Identité collective : l’identité d’un groupe et le fait d’appartenir à ce groupe forme une identité

Identité d’autrui : identité que l’on donne aux autres

Claude Dubar fait la distinction entre identité pour soi et identité pour autrui. L’identité pour « soi »
c’est l’image que j’ai de moi et l’identité pour « autrui » c’est l’image que je veux renvoyer de moi
aux autres. Elle s’adapte selon ce que les autres nous renvoient de nous.

L’identité collective est plus liée au sentiment d’appartenance.

On s’identifie au groupe de référence.

Attention, l’identité collective est une construction sociale (ex : être breton).
5. Donnez un exemple d’évènement survenant dans la vie et qui va modifier l’identité « pour
soi » et « pour autrui ».

Ex : devenir étudiant et ne plus vivre chez ses parents. Devenir parent…

6. Selon vous, qu’est ce qui fait qu’Agnès soit une femme ? Que peut-on en conclure sur le
genre ?

Sa volonté. Les autres ne savent pas qu’elle est née avec des attributs masculins et elle est perçue
comme femme.

Agnès est née avec des attributs biologiques masculins, a été élevée comme un garçon. Elle n’a vécu
comme femme qu’a partir de 17 ans, mais dit « s’être toujours senti femme ». Elle veut devenir une
femme, prend les attributs féminins et « apprend » à devenir femme. Elle est donc transsexuelle et
non une personne intersexuée.

Mais elle est dans une conception « normale » du genre, c’est-à-dire qu’elle adhère à la conception
dichotomique des statuts sexuels : homme ou femme.

La grande conclusion de cette étude est que le genre n’est pas une donnée naturelle mais une
donnée culturelle.

7. Dans le document 4, pouvez-vous réexpliquer quelle question se pose la chercheure ?

En quoi l’alternance facilite ou au contraire complique la transition vers l’âge adulte ?

Est-ce que l’alternance est un « un facilitateur » de la transition entre le passage de l’adolescence


vers l’âge adulte ou si au contraire elle la rendrait plus complexe et par conséquent, augmenterait le
niveau et le nombre

8. Dans le document 4, quelles sont les trois types « d’identité » mis en évidence par la
chercheure ?

Selon les réponses à la question : « vous

9. Quelle est la grande question que se posent les philosophes à propos de l’identité ?
Comment le philosophe John Locke résoutil cette question ?

10. Rogers Brubaker donne une explication politique à la montée des revendications identitaires
aux Etats-Unis. Quelle est cette explication politique ? 11. Pourquoi la question des identités
était moins prégnante au 19ème siècle qu’aujourd’hui ? 12. Quelle est la conclusion du
document 5 ? Devrait-on continuer à utiliser le concept d’identité ? Pourquoi ?

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