Rappel : intégration notion flou qui ne correspond à aucune expérience
Processus complexe Ne concerne pas l’immigration à elle seul mais aussi à la marginalité Lie à la régulation, symbolique du droit Concerne des dimensions spécifiques : sociale, linguistique économique et professionnelle.; la resocialisation Obstacle :
1. Groupe éthenique ou ethnicité (étranger)
Selon weber : le groupe ethnique est la croyance subjective a une communauté d’origine. Ce n’est pas la possession de trait commun qu’il faut chercher la source de l’ethnicité Ce n’est pas la culture Surtout utiliser comme un rapport eux/nous : tout le monde appartient à au moins un groupe ethnique. Terme remis en question dans les années 80 par les téories post-coloniales
2. Qu’est que la culture :
La culture est un ensemble des trait distinctifs, spirituel et matériel,intellectuel ou affect, qui caractérisent une société ou groupe social. Elle englobe les art et lettres, les modes de vie , les droit fondamentaux de l’être humain. Ce n’est pas homogène. L’individu est porteur de trait de culturels mais pas la totalité a lui seul. Elle est apprise : socialisation primaire et secondaire(écosystème) Elle est évidente pour sois, 3. L’ethnocentrisme : Centré sur son peuple. Ses références, ses valeurs Incapacité de se représenter ce qui ne nous ressemble pas : existe chez tous les pleuples. Reflète la fermeture des peuples confronté a la différence culturelle Est une position qui consiste à privilégier les valeurs et les normes de son groupe ‘app et à en faire l’unique model afin de porter des jugements négatives sur d’autres groupe ethnique. La posture ethnocentrisme s’articule ainsi avec les processus de racisation en infériorisant les modèles de références perçus comme étrangers. L’eurocentrisme : centrer sur l’idée que l’Europe est le standard/ l’ultime civilisationnelle. Le travail social (intrervention) et l’ethnocentrisme
Processus cognitif qui introduit une hiérarchie (intervenant spécialiste/
demande d’aide inférieure)
Projection de son propre cadre de référence pour comprendre l’autre
L’exotisme (racisme) colonisation) forme de stéréotype, forme de curiosité
sous forme de hiérarchie) faire attention à la posture du a cette situation Nier ou minimiser la différence. Reconnaissance forcer(je connais un haïtien, donc je te connais) forme de racisme. L’aspect de la curiosité, Réfléchir a qu’est que tu produis en posant des questions, micro agression : tu viens de d’où?
Penser la relation d’interculturalité en travail social dans une visée antiraciste.
Il y a une partie visible de la personne : coutume, code veestimentaiore, langue, comportement,histoire et Une partie invisible (inconscient) : logique de la pensée, valeurs, représentation du monde, expression émotionnelle Il faut donc questionner pour comprendre.
L’approche interculturel en travail social
L’autre est une personne a part entiere, autonome Il est un homologue acpable de comprendre la différence et avec qui je peux disctuter L’autre est un semblable et différent Ethniocentrisme =/ décentration ( remettre en question son propre système d’évaluation Les cadres de références(ses là les différences entre nous) sont à clarifier Décentration et posture oppressive et anti-racisme(intervenant) Approche ant-oppressive Utilise les Théories féministe, marxiste,décoloniale, queer etc.. Au lieu d’de présumer que les personnes engendrent leurs propres difficultés en raison en raison de leur déficence personnelle. Avoir conscience que mes idées de l’autre, viennent des structures sociales m’entourant et m’influençant Être conscient de mon savoir être, qui je représente. Approche synthèse On ne peut pas présupposer des valeurs ou système de croyance d’une personne sur la simple base de son apparence, de son accent ou de son pays d’origine. La culture ne demeure qu’une hypothèse parmi tant d’autre pour intervenir, il y a d’autres éléments. Cette complexité nécessite une approche compréhensive, antiraciste et anti- oppressive plutôt que sur une liste de recettes. La culture n’est pas synonyme d ’immigration