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DE L’UNIVERSITE DE KARA
Présenté par :
Akou Pauline AMEVOR,
Gaële koboyo KAO,
Abiboulaye MAMAH,
Monique MOULAMO
Abel N’TILE,
Grace Sidoine PONEI,
Magnim SAMA.
Chargé du cours,
PROFESSEUR Emile Kou’Santa Sabiba AMOUZOU
SOMMAIRE
Introduction
Aliments et nutriment
Conclusion
INTRODUCTION
Si l’on veut analyser les raisons du déclin de la mortalité avant l’âge adulte que
l’on constate depuis deux cent ans dans les pays, actuellement
développées ,l’établissement de comparaison avec des parties du monde
moins privilégiés a ce égard devrait évidemment nous doter d’un fil
conducteur.si nous parvenions à comprendre quels facteurs, dans leurs
environnement sont responsables du maintien de haut niveau de mortalité
prématuré, il nous serait possible d’identifier les éléments du développement
socio-économiques.
Il est évident qu’une des différences majeures entre les pays développés et
ceux qui sont en voie de développement réside dans l’alimentation et l’état
nutritionnelle. Pour la majorité de ces derniers pays, disposer de nourriture en
quantité suffisante est une difficulté ; le problème pour eux est souvent une
sous-alimentation chronique tout au long de la vie. En outre, les praticiens de la
santé exerçant dans de tel communauté constatent une synergie des
interactions entre la malnutrition et les infections. Toutefois, il existe une foule
d’autre facteurs qui jouent dans le même sens ; un ravitaillement trop souvent
incertain, tous lié à la pauvreté, tel qu’un habitat inadéquat et surpeuplé, une
qualité d’eau ou d’équipement sanitaire médiocre et ainsi de suite. Tous ces
facteurs se combinent pour multiplier les dangers de l’environnement en
termes d’exposition aux infections bactériologique, virale ou parasitaire. Dans
la masse de ces nombreuses interactions prédijuciable à une croissance
normale, quel est exactement la relation entre et alimentation, immunité et
maladies infectieuses
DEFINITIONS DES CONCEPTS
NUTRITION : C’est l’ensemble des processus par lesquelles un organisme vivant
utilise les aliments pour assurer le fonctionnement des fonctions vitales et la
production d’énergie
IMMUNOLOGIE
• Les réactions innées ou non spécifiques : la première ligne de défense contre les infections, qui ne
prend pas en compte le type d’organismes combattus. Plusieurs types de mécanismes sont
concernés, notamment les barrières physiques comme la peau, et les cellules immunitaires innées
telles que les macrophages et les polynucléaires neutrophiles qui « mangent » les matériaux
étrangers sans aucune distinction.
• Les réactions acquises ou spécifiques : ces réactions concernent des globules blancs spécialisés
appelés lymphocytes qui ciblent, en particulier, des agents pathogènes. Parmi ceux-ci, l’on compte
les lymphocytes B qui produisent des anticorps spécifiques lorsqu’ils rencontrent un agent
pathogène, et les lymphocytes T capables de détruire directement les particules étrangères. Certains
lymphocytes T et B gardent la mémoire de certains agents pathogènes, ce qui leur permet de réagir
plus rapidement à l’avenir. Le mécanisme des vaccins est basé sur cette propriété.
INFLUENCE DE L’ETAT NUTRITIONNEL SUR L’IMMUNITE
Tout d’abord, le système immunitaire est très demandeur en énergie. La nutrition procure tous les
substrats nécessaires pour générer cette énergie, ainsi que des micronutriments tels que les
vitamines et les minéraux permettant de convertir les substrats en énergie. Ensuite, le système
immunitaire a besoin d’une véritable « armée » constituée d’une large gamme de composants : des
anticorps appelés immunoglobulines, des globules blancs appelés leucocytes, des globules blancs
récepteurs, et des médiateurs dérivés de lipides comme les prostaglandines et les leucotriènes (voir
ci-dessous). La nutrition apporte tous ces éléments de base. Pour finir, certains nutriments (vitamine
A, zinc, et acides gras oméga-3, par exemple) jouent un rôle important dans la régulation de la
réaction du système immunitaire. Ainsi, les nutriments ont la capacité d’influencer le système
immunitaire par différents canaux, soit de manière directe ou indirecte (par exemple par le biais du
microbiote, influencé par la nutrition et qui à son tour a un impact sur le système immunitaire).
- la listériose : c’est une maladie du à une bactérie appelée listéria monocytogenes , transmise à
l’homme par voie alimentaire. La listéria peut avoir des conséquences particulièrement graves chez
la femme enceinte et le nouveau-né , ainsi que chez les personnes dont le système immunitaire est
affaibli
- le choléra : c’est une maladie infectieuse diarrhéique aigue provoquée par l’ingestion d’aliments ou
d’eau contaminés par les matières fécales
-l’hépatite A : c’est une maladie infectieuse aigue du foie provoquée par un virus (VHA). Elle se
transmet principalement par féco-orale
-l’hépatite virale E : c’est une maladie infectieuse due à un virus(VHE) dont les réservoirs sont
l’homme et certaines espèces animales. Elle est fréquente dans les pays à faible niveau d’hygiène
- la fièvre typhoïde : c’est une infection potentiellement mortelle due à la bactérie salmonella typhi.
Elle est se propage habituellement par l’eau ou aliments contaminés
- le botulisme :c’est une maladie infectieuses due à l’ingestion d’un aliment contenant la toxine
botulique ou des spores
La sécurité sanitaire des aliments est un enjeu important dans le monde puisque les aliments
impropres à la consommation sont à l’origine de grave intoxication parfois mortels. on fait le toure
en cuisine pour vérifier que tous les précautions sont prise
Évitez de dépasser la DLC (date limite de consommation) des aliments pré-emballés, riches en eau, et
donc sources potentielles de bactéries dangereuses. Mais cette mention ne fait pas tout... - Aspect:
ne consommez jamais de produits à l’emballage percé ou bombé, des œufs à la coquille fendue, des
aliments suintant ou dégageant une odeur âcre.- Lavage: lavez les fruits et légumes qui peuvent être
chargés de germes, même en barquette... mais ne l’avez jamais une coquille d’œuf: elle deviendrait
alors poreuse aux germes.- Cuisson: pour éliminer d’éventuels parasites, la température au cœur de
l’aliment doit être élevée.– Réchauffage: au micro-ondes, il est souvent trop court pour un
assainissement homogène. Programmez plus large ou réchauffez dans une casserole couverte.
Avant de cuisiner et après avoir manipulé des aliments crus, lavez bien vos mains, principal vecteur
de bactéries. Mais aussi...
– Planche à découper : les aliments crus peuvent abriter des salmonelles risquant de contaminer
produits cuits ou légumes découpés sur le même support. Prévoyez 2 jeux de planches à nettoyer
après utilisation à l’eau très chaude et au détergent, en grattant bien les rayures, véritables nids à
bactéries. Ne les réutilisez qu’une fois sèches.
• Conservation : optimisez-la!
La température du réfrigérateur doit se situer entre 0 et +4°C pour que la multiplication des agents
pathogènes soit stoppée ou ralentie.
Poignées de porte, robots... tous les intermédiaires entre mains et aliments sont à surveiller. Mais
pire que ces surfaces sèches, ce sont les surfaces humides...
Torchons : pour éviter la contamination, chacun son rôle. Un pour les mains, un pour
la vaisselle, un autre pour la table et plan de travail. Et faites bouillir le tout
régulièrement. – Éponges : sans les changer tous les jours, vous pouvez éliminer les
bactéries des éponges non métalliques et lavettes en les passant 2 min au micro-
ondes à puissance maximum, après les avoir imprégnées d’eau. Faites bouillir
tampons abrasifs et brosses dans une casserole puis trempez-les dans de l’eau de
Javel diluée.
Poubelle : son couvercle évite les odeurs mais à l'intérieur, les bactéries prolifèrent... Préférez les
petits sacs pour la vider souvent et nettoyez-en régulièrement les
Les légumineuses, les grains entiers, les fruits a coque et les bonnes matières grâce comme les huiles
d’olive, le sésame ou d’arachide et autres huiles riches en acides gras insaturés contribuent à
renforcer votre système immunitaire et à réduire les inflammations