Vous êtes sur la page 1sur 9

A- Le regard du poète sur la ville

SÉQUENCE 5
Séance 1
c
Séquence 5 c

1- a) L’impression générale de la ville à la première lecture de ce poème est négative : le lieu


est bruyant et sale.
b) « cabarets », « trottoir » (v. 1), « omnibus » (v. 3), « pavé » (v. 8), « bitume », « égout »
(v. 9) appartiennent au champ lexical de la ville.
c) Il s’agit des « platanes » (v. 2). « déchus », « s’effeuillant dans l’air noir » (v. 2)
d) L’image de la nature est dégradée, abimée.
e) Les personnages qui traduisent la présence humaine sont les « ouvriers » (v. 6) et les
« agents de police » (v. 7).
2- a)

sens L’ouïe La vue Le toucher


- bruit - l’air noir - suintants
- ouragan de ferraille - ses yeux verts et - glisse
rouges
- grince
b) « fange » (v. 3), « boues » (v. 3), « dégouttent » (v. 8), « suintants » (v. 8), « ruisseaux »
(v. 9) renvoient à la pluie.
3- a) « Omnibus » est un mot latin signifiant « à tous, pour tous ».
b) Grâce à l’étymologie, on comprend que ce moyen de transport est réservé à tous. Il
s’agit du premier moyen de transport en commun moderne.
c) On repère une métaphore (« ouragan de ferraille et de boues ») et une personnification
(« mal assis », « ses yeux »).
d) L’image de l’omnibus se dégageant de cette description est celle d’une machine
inquiétante et animée.

B- Les nuisances de la ville


1- Associe à chaque nuisance de la ville une expression tirée du poème :
- Le vacarme : « Le bruit des cabarets » (v. 1)
- La saleté : « la fange du trottoir » (v. 1)
- Le danger : « pavé qui glisse » (v. 8)
2- Voici toutes les sources de bruit que tu pouvais souligner : « les cris aigus » des coqs (v. 4),
« cent coups de marteau » (v. 8), « les charrettes courir » (v. 9), « les maçons travailler »,
« les boutiques s’ouvrir » (v. 10), « mille cloches » (v. 11), « bruit de la grêle et des vents »
(v. 13).

C- La structure du poème
1- a) Le poème compte 10 vers qui sont tous des alexandrins.
b) Les rimes sont plates (ou suivies).
c) Le poème ne comporte qu’une seule phrase.
d) La phrase est organisée selon la figure de l’accumulation.

© Cned, Français 4e — 55
c
c Séquence 5

e) Cette figure de style permet d’exprimer la diversité et la multiplicité des éléments de la


ville.
2- a) Le groupe nominal qui traduit la présence du poète est « ma route » (v. 10)
b) L’ordre de la description suit le trajet du poète dans la ville.
c) L’expression qui vient contredire l’image générale de la ville est « avec le paradis au
bout » (v. 10).
d) Non, cette expression est ironique.
e) Elle est précédée d’un tiret.
3-
« Le bruit, la fange,
Les platanes,
L’omnibus,
Les ouvriers,
Toits, murs, pavé,
Bitume, ruisseaux,
Voilà ma route – avec le paradis au bout. »

D- Expression écrite
Proposition de correction Consignes
L’enfilade des hauts immeubles réguliers, les Écrire une seule phrase.
rues rectilignes, la ronde des parapluies, les
Mentionner les différents éléments du
couples de passants élégants qui se croisent,
tableau.
le pavé luisant sous la pluie fine, les roues
des fiacres parcourant la chaussée, voilà ma Employer des expansions variées pour enrichir
route – avec le paradis au bout. les groupes nominaux.

Séance 2

A- Une promenade en banlieue


1- a) Le mot qui exprime l’action de se promener est « flânant » (v. 3).
b) La « ruelle » (v. 5), et la « grand’rue » (v. 17).
c) Cette expression traduit le bruit des pas du promeneur sur le pavé.
2- a) Le mot « banlieue » désigne aujourd’hui l’ensemble des agglomérations qui entourent
une grande ville. La banlieue dont parle Coppée est celle de Paris.
b) « Ces lieux déserts » (v. 7) désignent les « tristes banlieues ».
c)

trottoir •
• La ville
tilleuls •
boutiquiers •
gazon •
• La nature
réverbère •

56 — © Cned, Français 4e
B- Un paysage état d’âme
1- a) Le poète s’éloigne de Paris parce que les soirs y sont étouffants, l’été.

b) Le poète est triste et mélancolique : « moi, noir promeneur » (v. 2), « qui fuis la joie »
(v. 3).
c
Séquence 5 c

c) Il recherche la solitude et le calme :

« Où je suis presque sûr de ne croiser personne » (v. 8)

d) Les sentiments du poète sont en harmonie avec la banlieue parce que ce lieu est triste et
désert.

e) « Je me plais dans ces lieux déserts » (v. 7) montre que le poète prend plaisir à se
promener.

2- a) « le plâtre frais » (v. 10) : adjectif qualificatif.

« prenant le frais » (v. 18) : nom commun.

b) Il s’oppose à l’adjectif « étouffants » (v. 1)

c) Voici les deux graffitis que le poète observe :

- « Les noms entrelacés de Victoire et d’Eugène » (v. 11)

- « le croquis odieux » (v. 13)

Ces graffitis s’opposent parce que le premier est un témoignage d’amour touchant alors
que le second est un dessin obscène.

d) Le synonyme de « naïf » qui pourrait convenir ici est « simple », ou « sincère ».

e) Le poète aperçoit un couple de commerçants goûtant la fraîcheur du soir, devant leur


commerce, et leur fille qui flirte.

C- Les accords complexes sujet / verbe


1- a) « Et moi, noir promeneur qu’évitent les enfants,

Qui fuis la joie et fais, en flânant, bien des lieues, » (v. 2-3)

b) Le mot du premier vers repris par le pronom relatif « qui » est « moi ».

c) Ces accords sont complexes parce que le premier sujet (« les enfants ») est placé
derrière le verbe (« évitent »), et le second sujet est un pronom relatif (« qui ») dont il
faut identifier l’antécédent (« moi ») pour réaliser l’accord (à la 1re personne du singulier
avec « fuis »).

2- a) Mon frère et moi apprécions la vie en ville.

b) Beaucoup de citadins se plaignent des nuisances sonores.

c) Sur la place du marché se réunissent de nombreux commerçants.

d) C’est toi qui détestes le bruit et la foule.

© Cned, Français 4e — 57
c
c Séquence 5

D- Expression écrite
Proposition de correction
Certains jours, quand j’éprouve le besoin
de me distraire, je me rends sur la place du
marché. Cet endroit magique regorge de
Consignes
Employer les marques de la première
personne du singulier
Utiliser des termes mélioratifs
surprises en tous genres , il me plaît plus que
les autres. Le marché fourmille de monde et Montrer que ce lieu correspond à mon
j’ai besoin de la foule pour me sentir bien. état d’esprit
Les étals sont recouverts de gadgets plus
incroyables les uns que les autres, et comme
je suis naturellement très curieux, je prends
le temps de regarder et de fouiller. Et puis,
toutes ces odeurs de fruits et de bonbons me
mettent l’eau à la bouche, quel régal pour
un gourmand comme moi !

Séance 3

A- Un amour contrarié
1- a) Ce poème est adressé à une femme.
b) Voici les mots et expressions qui désignent le poète : « vrai sauvage » (v. 1), « je » (v. 2),
« m’ » (v. 4).
c) « vous » (v. 3), « parisienne fière » (v. 4) désignent le destinataire.
d) Le poète est amoureux de cette femme : « vos regards charmeurs » (v. 3).
2- a) Pour se représenter, le poète emploie la métaphore du « sauvage ».
b) Les verbes qui traduisent son état d’esprit au sein de la ville sont « végète » et « meurs »
(v. 2).
c) La femme se sent bien dans la ville, elle s’y plaît.
d) Le mot qui exprime l’opposition entre ces deux attitudes est la conjonction de
coordination « mais ».
e) Le premier groupe est au tout début de la strophe alors que le second est situé à la fin.
Cet écart traduit bien les attitudes opposées des personnages face à la ville.

B- La femme et la ville
1- a) Cette expression montre que la femme non seulement est parisienne mais que cette
qualité lui donne un sentiment de supériorité.
b) « Vos cheveux noirs » (v. 15) est la seule référence au physique de la femme.
c) Le portrait de cette femme s’appuie sur ses goûts, elle n’est définie que par ce qu’elle
aime dans l’univers de la capitale.
d)
- le monde : « la foule » / « la cohue»
- les divertissements mondains : « le bal de l’Opéra »
- le progrès technique : « le gaz »
- le commerce : « les boutiques »

58 — © Cned, Français 4e
2- a) Le mot « réclame » signifie « publicité ».
b) Le « clair peignoir ruché » (v. 15) témoigne de la sensibilité de la femme à la mode.
c) Cette femme aurait pu figurer dans le roman d’Émile Zola, Au Bonheur des Dames, parce
qu’elle est sensible à la mode et à la réclame.
c
Séquence 5 c

C- Le rêve de la nature
1- a) Le champ lexical de la mort : « meurs » (v. 2), « mort » (v. 4), « tue » (v. 12), « mourrai »
(v. 14).
b) Les endroits où le poète rêve de vivre sont : les « sous les bois verts », « sur les monts
aromatiques » (v. 6), « en Orient », « près du pôle », (v. 7)
c) Il se désigne par la métaphore du « papillon brûlé » (v. 14).
d) Cette métaphore traduit sa proximité avec l’univers de la nature.
e) Oui, ce poème peut être qualifié de lyrique car il exprime une plainte, comme son titre
l’indique.
2- a) Le verbe « feriez » est conjugué au conditionnel présent.
b) Ce temps exprime une opinion.
3- Voici les termes qui expriment :
- la lumière : « clair » (v. 16)
- les couleurs : « noirs » (v. 15), « verdure » (v. 16).
4- Cette scène permet de réunir la femme aimée et l’univers de la nature.

Séance 4

A- La ville métamorphosée par la vision du poète


1- a) Voici quelques éléments qui construisent la dimension verticale de la ville : « étages »
(v. 3), « hauts étages » (v. 4), « colonnes » (v. 9), « tours » (v. 11), « toits » (v. 12 et 39),
« poteaux », « grands mâts » (v. 19) et « mâts » (v. 36).
b) Les mots et expressions renvoyant à l’activité industrielle de la ville sont : « le charbon
et la fumée » (v. 24), « des quais sonnent » (v. 31), « des tombereaux grincent » (v. 32),
« des balances de fer » (v. 33).
c) « trains » (v. 42), « gares » (v. 43), « rails » (v. 45), « réseaux » (v. 47) appartiennent au
champ lexical du chemin de fer.
d) « sifflets » (v. 27), « hurlent » (v. 28), « sonnent » (v. 31), « grincent » (v. 32),
« vacarme » (v. 48) appartiennent au champ lexical du bruit.
e) Les termes relevés sont péjoratifs. Ils donnent des bruits de la ville une image agressive.
2- a) L’atmosphère qui se dégage de ces vers est fantastique : « Du fond des brumes »,
« Comme d’un rêve ».
b) « Sphinx » et « Gorgones » (v. 10) sont des références qui apportent à la description
de la ville une dimension étrange et menaçante.
c) Ils expriment la peur.
d) La métaphore « sous-sols de feu » fait référence à l’enfer (ou aux Enfers).
e) « Des gibets sombres » (v. 36) renvoie à l’idée de mort.
f) Ces mots évoquent l’idée de violence.

© Cned, Français 4e — 59
c
c Séquence 5

3- a) Les éléments du décor urbain sont présentés de manière désordonnée.


b) La figure de style employée est l’accumulation.
c) Cette figure de style crée une impression de désordre et d’excès.
d) L’idée exprimée par ces termes est celle de mouvement.
e) L’adjectif « tentaculaire » signifie « qui se développe dans toutes les directions ».
f)
 mouvement vers le haut : « Jusques au ciel […] elle s’exhume » (v. 4-5)
 mouvement vers le bas : « Des rails ramifiés y descendent sous terre » (v. 45)
 mouvement horizontal : « Pour reparaître au loin en réseaux clairs » (v. 47)

B- Un poème en vers libres


1- a) Non, les mètres employés sont irréguliers.
b) Visuellement, ces vers peuvent évoquer l’aspect de tentacules de longueur variable.
2- a)
« Là-bas,
Ce sont des ponts musclés de fer
Lancés, par bonds, à travers l’air ;
Ce sont des blocs et des colonnes
10 Que décorent Sphinx et Gorgones ;
Ce sont des tours sur des faubourgs ;
Ce sont des millions de toits
Dressant au ciel leurs angles droits :
C’est la ville tentaculaire ,
15 Debout,
Au bout des plaines et des domaines. »
b) Les vers 6, 11, 15 et 16 ne présentent pas de rime. Tu peux estimer aussi que le vers 14 ne
rime pas en raison de son isolement.
3- a) Le mètre employé est l’octosyllabe.
b) « Ce sont des tours / sur des faubourgs »
c) Les mots situés à la fin de chaque hémistiche riment entre eux. (« tours »,
« faubourgs »).
4- « Et les glissent soudain en des sous-sols de feu » (v. 34)
a) Le son consonantique répété est le son [s]. Remarque : on note toujours entre crochets
le son.
b) Cette allitération peut traduire l’impression de glissement.
c) « Immobiles, de mille en mille, un fronton d’or » (v. 44)
« Pour reparaître au loin, en réseaux clairs d’éclairs » (v. 47)

60 — © Cned, Français 4e
C- Croiser le regard du poète et celui du peintre
« des grands mâts » (v. 19)

« Des clartés […] qui bougent sur des poteaux » (v. 17 à 19)
c
Séquence 5 c

Lionel Walden (1861-1933) Les Docks de Cardiff, 1894


© Musée d’Orsay, Paris, France / Giraudon / The Bridgeman Art Library

« des rails ramifiés » (v. 45) « le charbon et la fumée » (v. 24)

Séance 5

A- Un poème-tableau
1- a) Ce poème de Rimbaud décrit les ponts d’une ville.
b) Ces trois termes font référence à la peinture.
c) « gris » (l. 1), « rouge » (l. 7), « grise », « bleue », « blanc » (l. 9) sont des adjectifs
qualificatifs de couleur.
d) « droits », « bombés » (l. 1), « descendant », « obliquant », « angles » (l. 2) expriment
les lignes de force du dessin.
e) L’impression d’ensemble qui se dégage de ce poème est celle d’un tableau qui serait
décrit.
2- a) « descendant » (l. 2), « obliquant » (l.2) « s’abaissent », « s’amoindrissent » (l. 4),
se croisent », « filent » (l. 6), « montent » (l. 6), « tombant » (l. 8) expriment un
mouvement.
b) Ces verbes sont à la forme pronominale.

© Cned, Français 4e — 61
c
c Séquence 5

B- Un poème en prose
1- a) Les deux éléments traditionnels de la poésie qui n’apparaissent pas dans ce texte sont le
vers et les rimes.
b) La première phrase du poème est une phrase non verbale (phrase nominale).
c) La deuxième phrase décrit le « dessin » bizarre formé par les différents ponts. La
construction complexe de cette phrase peut traduire la bizarrerie des figures formées
par ces ponts.
d) Trois groupes nominaux sont soulignés dans chacune des phrases.
e) Cela produit un effet de régularité grâce au rythme ternaire.
2- a) Ce procédé qui consiste à répéter des sons vocaliques se nomme « assonance ».
b) « (Sont-ces) des airs populaires /, des bouts de concerts seigneuriaux, / des restants d’hymnes
publics ? » (l. 7-8)
c) Ces jeux sur les sonorités apportent une musicalité particulière à ce poème.
3- a) Dans les cinq premières lignes du poème, ce sont les perceptions visuelles qui dominent.
b) À partir de la ligne 6, le sens de l’ouïe est sollicité.
c) « accords mineurs », « cordes » (v. 6), « instruments de musique » (v.7) , « airs »,
« concerts », « hymnes » (l. 8) se rapportent à l’ouïe.
d) Le mot « cordes » peut désigner soit les cordes des bateaux, soit celles des instruments
de musique.
e) Ce jeu sur la polysémie produit une incertitude, une confusion des perceptions.
f) Le questionnement du poète aux lignes 7 et 8 porte sur la nature des sons qu’il entend.
g) On retrouve l’incertitude des perceptions.

C- Étudier des familles régulières de mots


1- a) La lettre « d » ne se prononce pas.
b)
- Instrument de musique populaire portatif : accordéon
- Relier entre elles les parties d’un ensemble : accorder
- Brouille, différend entre deux personnes : désaccord
c) Les mots « accordéon » et « accorder » peuvent aider à orthographier correctement le
mot « accord » parce que la lettre « d » est articulée et s’entend.
d) Le mot « cordes » (l. 6) vient du latin « chorda » (lui-même issu du grec « khordé »)
signifiant boyau. Le mot « cordes » ne fait donc pas partie de la famille du mot
« accord » qui est formé sur le latin « cor, cordis » (le cœur).
2- « figure » : figurer, figurine, figuration, défigurer, configurer, figuratif...
« bras » : brasser, brassard, brasse, embrasser, embrassement, brassière…

62 — © Cned, Français 4e
D- Expression écrite
Proposition de correction

D’un seul bond, un pont très fin enjambe le


fleuve. Sa ligne fragile et bleue est soutenue
Consignes
Décrire l’aspect et la forme du pont
Mentionner les couleurs et les lignes de
force du tableau
c
Séquence 5 c

par deux piliers qui s’élèvent sur chaque


rive. De chaque côté des piliers, le dessin des Employer des verbes de mouvement pour
animer la scène
cordes forme des triangles aériens et légers.
Les bateaux à vapeur exhalent leurs nuages Retranscrire les perceptions visuelles et
de fumée blanche. Les bâtiments rapetissent auditives
devant la forêt des grands mâts ocres qui
se dressent vers le ciel. On entend les
sifflets des navires et la rumeur sans fin qui
montent des docks et des quais.

Séance 6
Je m’évalue
Je connais Je suis capable de
Les nouvelles formes d’écriture poétique à la  Nommer un poète pour chacune de ces
fin du XIXe siècle : formes poétiques :
 Le poème en vers libres  Verhaeren
 Le poème en prose  Rimbaud
 L’allitération :  De surligner et d’encadrer les assonances
et les allitérations dans les vers suivants:
Répétition d’un son consonantique
« Places, bazars, gares, marchés, »
 L’assonance :
« C’était un bazar, au bout des faubourgs rouges»
Répétition d’un son vocalique
(Émile Verhaeren)
Le fonctionnement d’une rime interne : D’encadrer une rime interne dans un vers :
 Un même son est répété à la fin des deux « des grands marteaux monumentaux »
hémistiches d’un même vers.
(Émile Verhaeren)
Les familles régulières de mots.  Composer la famille du mot « dent » :
Pour composer une famille régulière, les mots Dentition – dentiste – dentelé – édenté –
doivent posséder : dentaire – dentier - dentifrice
 Le même radical
 Une idée commune
Les accords complexes sujet / verbe.  Accorder les verbes au présent avec leur
sujet :
- Ton ami et toi avez de la chance.
- Mes parents et moi partons demain.
- La plupart des gens aiment les vacances.
- C’est moi qui suis content !

© Cned, Français 4e — 63

Vous aimerez peut-être aussi