Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
[Titre du document]
[Sous-titre du document]
youness
[Année]
[Adresse de la société]
DEDICACE
A nos familles,
A nos amis,
1
REMECIEMENT
2
Sommaire
01 DEDICACE
02 REMECIEMENT
05 INRODUCTION GENERALE
I- Marchés-cadre
A– Travaux
B – Fournitures
11
C – Services
12
II-Marchés reconductibles
A – Travaux
B – Fournitures
C – Services
III-Bons de commande
A – Travaux
13
B – Fournitures
15
C – Service
26
Chapitre 2 : Contrôle des dépenses de l’Etat
3
28 III- Seuils prévus dans le cadre du CMD
29 Chapitre 4 : SYSTEME GID (Gestion Intégrée de la Dépense)
32 Deuxième partie : L’analyse des activités réalisées lors du
stage
4
INRODUCTION GENERALE
5
Les trésoreries préfectorales ou provinciales sont dotées d’organigrammes modulés en
fonction de chaque catégorie de trésoreries et de l’importance de leurs activités
les dépenses de fonctionnement, qui servent à la bonne marche des services publics
sans y apporter d’amélioration (dépenses courantes de personnel et d’entretien) ;
6
Et comme que chaque dépense doit être contrôlée ; Les contrôleurs des engagements
de dépenses et les comptables publics relevant de la Trésorerie Générale du Royaume
exercent les contrôles de régularité et de validité de toute dépense qui leur est soumise
avant d’apposer leur visa et avant de procéder au paiement de ladite dépense. Ce
regroupement de contrôle, qui intervient après le rapprochement entre la TGR et le
CGED, a pour objectif d’alléger et de fluidifier les procédures de contrôle de la dépense
publique, de réduire les délais de traitement des dossiers et de paiement et de mettre en
place un interlocuteur unique pour les différents partenaires et acteurs de la dépense
publique.
7
S’agissant des objectifs professionnels tracés pour le stage, ils peuvent être résumés
dans les points suivants :
8
Première partie : la Direction du Contrôle et de
l’Exécution des Dépenses de l’Etat « DCED »
2. Les contrôles d'exécution. Ces contrôles ont lieu au moment de la dépense et sont de
deux types :
En principe, ce dispositif est complété par un contrôle interne mis en place par
l'ordonnateur pour vérifier non seulement la régularité et la validité de la dépense, mais
aussi le service fait, la réception, etc.