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[NOM DE LA SOCIETE]

[Titre du document]
[Sous-titre du document]
youness

[Année]

[Adresse de la société]
DEDICACE

Nous dédions ce modeste travail :


A nos parents qui, avec beaucoup d’affection, nos ont
assistés moralement et financièrement depuis notre
enfance et que rien au monde ne pourra compenser
tous les sacrifices qu’ils ont consentis pour nos
éducation et notre bien-être, afin que nous puissions
nous consacrer pleinement à nos études ;

A nos familles,

A nos amis,

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REMECIEMENT

Nous tenons à exprimer nos vifs remerciements à Mr. Le Doyen de


la Faculté des Sciences Juridiques Economique et Sociales et aussi
l’ensemble de mos enseignants.

Nos remerciements vont également aux membres de la Trésorerie


Régionale de Fès, en particulier Mr. le Trésorier régionale de Fès, et
nous voudrions remercier sincèrement notre encadrant à la
trésorerie Mr. AZZEDINE ALLAOUI et aussi Mr. HAMMADI, MR. SAID
TOUDJINE, MR. YOUNES, et MR. AIT MOULAY ALI pour leurs
patience, leurs dévouement permanant, leurs directives précieuses
et leur aide durant la période de notre séjour au sein de trésorerie ,
sans lesquels ce travail n’aurait pas abouti.

Nous tenons à remercier infiniment MR.M’HAMDI, pour la qualité


de l’encadrement qu’elle nous a assuré, pour son appui efficace et
pour ses conseils pour mener à bien le présent rapport.

Enfin, nous remercions tout le personnel qui a contribué de près ou


de loin à l’achèvement de ce rapport, pour leur courtoisie, leur
serviabilité et leur sympathie, qu’il trouve l’expression de notre
profonde reconnaissance.

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Sommaire
01 DEDICACE

02 REMECIEMENT

05 INRODUCTION GENERALE

I- Attributions et organisation des Trésorerie préfectorales et


provinciales

II-contrôle et l’exécution des dépenses de l’Etat.


06
III-pourquoi ce stage ?
07
Première partie : la Direction du Contrôle et de l’Exécution
09
des Dépenses de l’Etat «DCED»
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Chapitre 1 : Les Marchés de l’Etat

I- Marchés-cadre

A– Travaux

B – Fournitures
11
C – Services
12
II-Marchés reconductibles

A – Travaux

B – Fournitures

C – Services

III-Bons de commande

A – Travaux
13
B – Fournitures
15
C – Service
26
Chapitre 2 : Contrôle des dépenses de l’Etat

Chapitre 3 : Les paliers de CMD

I- Premier palier du CMD : LE CONTRÔLE ALLÉGÉ


27
II-Deuxième palier du CMD : LE CONTRÔLE ALLÉGÉ
SUPPLEMENTAIRE

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28 III- Seuils prévus dans le cadre du CMD
29 Chapitre 4 : SYSTEME GID (Gestion Intégrée de la Dépense)
32 Deuxième partie : L’analyse des activités réalisées lors du
stage

32 Chapitre 1 : Contrôle de l’Engagement de Dépense

I-Contrôle de la régularité budgétaire

1-Actes non soumis au visa du CED

2-Les six points du contrôle de la régularité :

3-La décision du contrôleur :


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4-Le visa de la demande d’autorisation d’engagement « DAE »

5-Délais de visa des engagements


34
6-Procédure de passer outre au refus du visa du CED

35 II- Représentation de la TGR au sein des commissions


d’ouverture des plis

III- Projet du contrôle modulé de la dépense


35
Chapitre 2 : contrôle de validité
38
Chapitre 3 : règlement
39
Conclusion
40
Bibliographie
41
Annexes
42

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INRODUCTION GENERALE

I- Attributions et organisation des Trésorerie préfectorales et


provinciales

 Attributions des Trésorerie préfectorales et provinciales


Les trésoreries préfectorales et provinciales (Les trésoreries régionales créées par note
de service n° 34/TGR du 24 décembre 2003 porteront la dénomination de trésoreries
préfectorales ou de trésoreries provinciales, selon le cas) exercent, au niveau des
préfectures ou provinces de leur implantation respective, les attributions suivantes :

 Animation, coordination et contrôle de l’activité des perceptions, des recettes


communales et des perception-recettes communales relevant de leur préfecture
ou province.
 Contrôle et exécution des opérations de recettes, de dépenses et de trésorerie
qui leur sont confiés conformément aux lois et règlement en vigueur.
 Participation à la promotion et à la collecte de l’épargne.
 Tenue de la comptabilité conformément aux lois et règlement en vigueur et
élaboration des situations de gestion relatives aux opérations de l’Etat, des
collectivités locales et de leurs groupements.
 Pré-centralisation pour le compte du trésorerie général du Royaume des
opérations financières et comptables de l’Etat, des collectivités locales et de leurs
groupements, exécutées par les comptables qui leur sont subordonnés ou
rattachés.
 Visa des budgets des collectivités locales et de leurs groupements relevant de leur
compétence, en application des lois et règlements en vigueur.
 Mise en état d’examen des comptes des collectivités locales et de leurs
groupements relevant de leur compétence territoriale.
 Et toutes autres attributions qui leur seront confiées par des textes particuliers
ou des conventions.
Les trésoreries préfectorales et provinciales sont investies d’un pouvoir hiérarchique sur
les receveurs communaux, les percepteurs et les percepteurs-receveurs communaux
relevant de leur circonscription financière.

 Organisation des trésoreries préfectorales et provinciales :

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Les trésoreries préfectorales ou provinciales sont dotées d’organigrammes modulés en
fonction de chaque catégorie de trésoreries et de l’importance de leurs activités

Cette organisation se présente comme suit :

 Les trésoreries préfectorales de Rabat, de Casablanca, de Marrakech, de Fès, de


Meknès, d’Oujda, de Tanger et d’Agadir comprennent ;
 Le service du contrôle des dépenses de l’Etat.
 Le service de l’exécution des dépenses de l’Etat.
 Le service du recouvrement et des collectivités locales.
 Le service de la comptabilité, des opérations bancaires et des caisses
et guichets.
 Les autres trésoreries préfectorales ou provinciales comprennent :
 Le service du contrôle et de l’exécution des dépenses de l’Etat.
 Le service du recouvrement et des collectivités locales.
 Le service de la comptabilité, des opérations bancaires et des caisses et
guichets.

Les trésoreries préfectorales ou provinciales sont assimilées à des divisions de


l’administration centrale et les services les composants sont assimilés à des services de
l’administration centrale.

II- contrôle et l’exécution des dépenses de l’Etat.


Les dépenses publiques sont les dépenses effectuées par l’État, les administrations de
Sécurité sociale, les collectivités territoriales et les administrations qui leur sont
rattachées. Elles peuvent être classées en trois catégories :

 les dépenses de fonctionnement, qui servent à la bonne marche des services publics
sans y apporter d’amélioration (dépenses courantes de personnel et d’entretien) ;

 les dépenses de transfert en nature, principalement la fourniture de services publics


comme l’hospitalisation ou l’enseignement à titre gratuit, ou en numéraire (ex :
subventions aux entreprises, pensions de retraite, allocations familiales,……………

 les dépenses d’investissement, qui visent à renouveler ou à accroître le capital public


(ex : achats de matériels et de mobiliers, constructions de bâtiments et
d’infrastructures).

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Et comme que chaque dépense doit être contrôlée ; Les contrôleurs des engagements
de dépenses et les comptables publics relevant de la Trésorerie Générale du Royaume
exercent les contrôles de régularité et de validité de toute dépense qui leur est soumise
avant d’apposer leur visa et avant de procéder au paiement de ladite dépense. Ce
regroupement de contrôle, qui intervient après le rapprochement entre la TGR et le
CGED, a pour objectif d’alléger et de fluidifier les procédures de contrôle de la dépense
publique, de réduire les délais de traitement des dossiers et de paiement et de mettre en
place un interlocuteur unique pour les différents partenaires et acteurs de la dépense
publique.

III- pourquoi ce stage ?


Afin de nous informer correctement sur le processus de contrôle et l’exécution de la
dépense publique au Maroc, nous avons choisi d’effectuer notre stage d’application au
sein du Trésorerie Régionale de Fès, du 01 au 31 Mars 2012. Ce stage destiné aux
étudiants de gestion, vise l’approfondissement et l’élargissement des connaissances du
terrain et le développement des compétences professionnelles.

Un certain nombre de questions sur le contrôle et l’exécution de la dépense


publique ont guidé dès le départ, l’organisation de mos activités durant le stage. Ces
questions visent la clarification de ce processus. Il s’agit de savoir :

- Quelles sont les ressources de l’Etat ?


- Pourquoi une dépense publique ?
- Quel est le processus de contrôle des dépenses publiques ?
- Quel sont les principaux marchés de l’Etat ?
- Quoi un appel d’offre ouvert ?
- ………………..
Pour répondre à ces questions, nous avons effectué des entretiens individuels auprès des
responsables des trois divisions composant le service du contrôle et de l’exécution de la
dépense publique, à savoir :

 La division contrôle d’engagement de dépense (Mr, HAMMADI)


 La division contrôle de validité (Mr. SAID)
 La division règlement (Mr. AIT Moulay Eli)

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S’agissant des objectifs professionnels tracés pour le stage, ils peuvent être résumés
dans les points suivants :

 L’amélioration de ma capacité d’analyse des Bons de commandes et d’appel


d’offre des marchés.
 La connaissance des formes des dépenses effectue par l’Etat.
 La connaissance de la méthode de règlement de ces dépenses.
Pour ce qui est compétence à développer durant la période dudit stage, il s’agit
notamment d’apprendre à travailler en collaboration afin d’ancrer le construire avec
dans mes pratiques professionnelles ainsi que le développement de la communication
orale et écrite au sein du milieu du travail.

Pour donner corps à cette expérience professionnelle :

Première partie va porter sur une présentation du service du contrôle et de


l’exécution de la dépense publique.
Ensuite la deuxième partie décrit le déroulement de nos activités durant la
période du stage, avec des remarques et des commentaires pour chaque activité

Finalement, la conclusion de ce rapport présente une synthèse du rapport, les


compétences développées durant ce stage ainsi que les enseignements tirés de cette
expérience.

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Première partie : la Direction du Contrôle et de
l’Exécution des Dépenses de l’Etat « DCED »

Le processus de contrôle de la dépense publique comprend plusieurs phases :

1. La programmation de la dépense publique. Se situant en amont du processus, cette


phase recouvre successivement l'évaluation des besoins des administrations, la
négociation des montants à allouer, la préparation de la Loi de Finances, le vote par le
Parlement de la Loi de Finances et la mise en place des crédits. Elle associe deux
principaux acteurs : la Direction du Budget, qui représente le MFP, et les ordonnateurs.

2. Les contrôles d'exécution. Ces contrôles ont lieu au moment de la dépense et sont de
deux types :

• Le Contrôle d'Engagement. Il s'agit de la vérification de la régularité de la dépense et sa


bonne imputation sur des crédits suffisants. Ce contrôle est exercé par les
administrations dépensières et surtout par le MFP, par le biais du Contrôle Général des
Engagements de Dépenses de l'Etat (CGED);

• Le Contrôle de Paiement (ou contrôle de validité). C'est principalement la vérification


de l'exactitude des calculs de liquidation des dépenses, et le caractère libératoire du
règlement. Cette tâche est assurée par la Trésorerie Générale du Royaume (TGR).

En principe, ce dispositif est complété par un contrôle interne mis en place par
l'ordonnateur pour vérifier non seulement la régularité et la validité de la dépense, mais
aussi le service fait, la réception, etc.

3. Après la réalisation de la dépense, et d'une manière non systématique, plusieurs


contrôles à posteriori peuvent être exercés, notamment pour vérifier la régularité de la
dépense et de manière plus ponctuelle, sa matérialité, voire sa performance. Ils sont pris
en charge par différents acteurs (le Parlement, la Cour des Comptes, l'Inspection
Générale des Finances…) qui interviennent indépendamment les uns des autres.

Le processus de contrôle s'applique à toutes les dépenses (fonctionnement et


investissement), aussi bien au sein des Ministères que des Collectivités Locales. Le cas
des entreprises et des établissements publics fait l'objet d'un traitement différencié.

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