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Remerciements 3
Sigles et abréviations 4
Introduction 5
III-1 – Constats 29
III-2 – Suggestions 29
Conclusion 30
REMERCIEMENTS
Enfin à notre tuteur du stage, Monsieur Jean Paulin ITOUA, pour le suivi et
conseils dont nous avions bénéficiés durant tout ce moment de stage.
ABRÉVIATIONS
PRÉSENTATION DE LA DIRECTION
GÉNÉRALE DU TRÉSOR
CHAPITRE I : PRÉSENTATION DE LA DIRECTION GÉNÉRALE DU TRÉSOR
I-1- Localisation de la Direction Générale du Trésor
Elle est située au sud de Brazzaville dans l’arrondissement 3 Poto-Poto, sur l’avenue
Amical Cabral, à côté de la tour NAMBEMBA ;
La Direction Générale du Trésor est limitée par :
- La tour NAMBEMBA au Nord ;
- Les appartements de l’ex ATC au Sud ;
- Le fleuve Congo à l’Est ;
- L’Hôtel du Trésor à l’Ouest.
Née sous les cendres du Trésor Public Français, le trésor Public Congolais à
l’origine, était chargé de centraliser les fonds publics dans une caisse unique
pendant l’époque coloniale.
ci-après :
Le Moyen Congo qui pourtant abritait le siège de ces institutions ne disposait pas
d’une trésorerie propre. On n’y trouvait qu’une paierie principale dont les activités
étaient menées à Pointe – Noire et une paierie secondaire à Dolisie et une
perception à Brazzaville.
C’est le 1er Octobre 1964, sous la deuxième République, que cette structure va
revenir définitivement au Congo avec comme Premier Trésorier Payeur
Général, Monsieur André MILONGO, de nationalité Congolaise.
Ainsi, les activités de la paierie principale de Pointe – Noire vont être transférées à
Brazzaville, capital politique et administrative du pays.
Le Trésor Public du Congo va, à ce titre, hériter le patrimoine immobilier du Trésor
Public Français.
En tenant compte de l’ampleur de ces missions qui lui sont assignées par les
pouvoirs publics et en considération de sa position stratégique dans l’organisation et
la gestion des finances publiques du Congo, le Président de la République a, par
décret n°2003-141 du 31 Juillet 2003, érigé la Trésorerie Paierie Générale en
Direction Générale du Trésor (DGT).
Trésor Public est une Administration Publique qui est sous la responsabilité du
Ministère des Finances et du Budget. C’est un organe technique chargé d’assister le
Ministre des finances et du budget dans l’exécution du Budget de l’État.
La DGT est dirigée et animée par un Directeur Général ainsi que trois (3) fondés de
pouvoirs. En dehors du service de la communication, le secrétariat central, le service
de l’informatique et le secrétariat particulier, la Direction Générale du Trésor
comporte neuf (9) Directions centrales :
Nous allons expliciter dans ce rapport les deux (2) directions auxquelles nous
sommes passés.
DEUXIÈME PARTIE :
DÉROULEMENT DU STAGE
CHAPITRE II : DÉROULEMENT DU STAGE
C’est une direction dirigée et animée par un Directeur, elle comprend trois (3)
services à savoir :
- Service des virements
- Service de la dépense
- Service de Fonds et valeurs.
- la Section Visa ;
- la Section Comptabilité Auxiliaire ;
- la Section Bon de Caisse;
- la Section Oppositions et Consignations;
- la section Visa des projets d'arrêtés et des états des sommes dues;
- la section des Comptes spéciaux du trésor et du Budgets Annexes.
a-1- SECTION VISA
La section Visa a pour rôle de réceptionner tout type de dossiers provenant
de la Direction Générale du Budget; de les contrôler et enfin de les prendre en
charge. Elle reçoit les dossiers provenant du budget par voie électronique dans un
premier temps et les dossiers physiques dans un second temps. Ces dossiers sont
ensuite transcrits dans un registre.
Ces dépenses parviennent à la section selon la classification traditionnelle
suivante : dépenses de fonctionnement et dépenses d'investissement.
Dépense de fonctionnement
dépenses courantes (biens et services) ;
charges communes;
transferts ;
autres transferts ;
dépenses du personnel.
Biens et services
Les biens et services sont constitués dans un premier temps des frais de mission,
des frais de transport, du carburant, des honoraires, l'alimentation, le loyer, les
évacuations, etc.
Charges communes
Les dépenses des charges communes concernent les salaires fonctionnels et les
dommages et intérêts.
Transferts
Les dépenses de transferts concernent les Bourses et les frais de scolarité.
Autres transferts
Les autres transferts sont dans un premier temps, les contributions, les rentes
viagères, les évacuations sanitaires, les subventions, les rapatriements des
dépouilles mortelles, les indemnités de survies. Leur comptabilisation se présente
comme suit :
Et dans un second temps nous avons les salaires des projets.
Dépenses du personnel
La procédure d'exécution comptable des dépenses du personnel de l'Etat s'effectue
en suivant certains étapes autres que la réception ordinaire des mandats. II s'agit
de :
1) Première étape : pointage et réception des traitements des fonctionnaires et
salaire des agents de l'état (Trésor- DGB) ;
2) Deuxième étape : le traitement extra comptable du salaire, en application des
règles de la comptabilité publique et des titres exécutoires des ordonnateurs et des
décisions juridictionnelles ;
3) Troisième étape : visualisation desdits documents à l'ordinateur à travers le
progiciel SIDERE ;
4) Quatrième étape : répartition et visualisation des différents MDR ;
5) Cinquième étape : Comptabilisation de différentes opérations de la solde ; voir
annexe un peu plus bas.
Avec les reformes intervenues lors de la mise en place de la nouvelle chaine de la
dépense l'instruction n°116/MEFPPPI/DGCP/DCC du 24/05/201, a modifié les
mouvements des comptes aux moments de la prise en charge comptable.
En effet, la section Visa du Service de la Dépense après avoir reçu de la Direction de
la Solde tous les documents (indemnités de fin de carrières, congés payés, rappel de
promotion, rappels d'activités, heures supplémentaires, capital de décès.
Dépenses d'investissements
Si les contrôles au stade du mandatement se sont avérés concluant, la Section visa
des titres de paiement procède à la comptabilisation des différentes opérations, et
donc à la prise en charge comptable ainsi qu'il suit:
A) Débit: 90011
9002 Budget General
902 à 907 → les CST et budget annexes
Pour les dépenses payées sans ordonnancement préalable.
OPPA: 48111; OP: 3621; ORPA: 48112
B) Crédit:
Compte 400 → bon de caisse (BC)
401 → Virement au titre règles sur les comptes de dépôt
Dans le cadre de ce budget, la Section Visa ne passe qu'une seule écriture
comptable.
Dépense payées sans ordonnancement préalable
Cette procédure s'explique ici sur l'émission des ordres de paiement caisse d'avance
à l'initiative de l'ordonnateur, l'écriture comptable est la suivante :
Toutefois, il convient de notifier que lors de la régularisation des OPPA, les mandats
de régularisation en provenance de la Direction Générale du Budget sont
comptabilises de la même manière que les OP à la seule différence que le compte
des OPPA à régulariser est le 48111.
Apres avoir établi toutes ces fiches, elles sont soumises à l'approbation du
Chef de Service de la Dépense pour visa et signature. Apres cela, intervient la
validation.
Outre la Section Visas, le Service de la Dépense dispose aussi d'une Section
Comptabilité Auxiliaire.
Dysfonctionnement constats :
Le dysfonctionnement ici constate réside dans l'annulation du compte 4083 qui est
un compte d'imputation provisoire destine à être soldé à la fin de l'exercice. Or
depuis des années, ce compte reste débiteur à cause notamment du manque ou du
retard d'établissement des titres de régularisation.
Avec la mise en œuvre des ORPA, les dépenses sans ordonnancement, de nature
exceptionnelles, semblent devenir l'option principale créant ainsi ce
dysfonctionnement constate.
Réception des reversements des restes à payer des salaires des
numéraires de la Force publique
Apres la paie des salaires des numéraires de la Force publique dans les sites,
chaque chef de site précède au reversement des restes à payer.
Le service de la Dépense dispose, outre les sections Visa et comptabilité auxiliaire,
d'une section Bon de caisse.
2. Transcription dans les registres de réception (OP mandats et OPPA) des titres
reçus par nature;
3. Classement des titres par ordre chronologique, par ministère et institution.
Règlement des titres
II existe deux types de règlement :
Programmation totale du titre de paiement.
Programmation partielle du titre de paiement.
Si un titre bénéficie d'une programmation totale, il subit trois phases de
traitement :
1- Programmation électronique ;
2- Signature de la hiérarchie ;
3- Transcription dans le registre de remise (mandats ou OPPA).
- Comptabilité auxiliaire
- Visa des opérations hors caisses
- Visa des opérations caisses
- Visa des opérations investissements et dettes
- Régularisation
- Grand livre
- Balance
- Saisie informatique
- Comptes spéciaux.
a- La section visa des opérations hors caisse :
La section visa des opérations hors caisses peut être considérée comme le miroir de tous les services
du Trésor du fait qu’elle centralise toutes les opérations en recette et en dépense du budget de l’Etat
effectuées à l’intérieur comme à et extérieur du pays. Pour cela, elle veille sur l’orthodoxie comptable
des opérations effectuées dans tous les réseaux comptables du trésor et assure la liquidation
comptable par visa et par contrôle de la régularité des pièces comptables.
Les opérations hors caisse sans celles qui ne touchent à la caisse en particulier et le service des fonds
et valeurs en général, c'est-à-dire les opérations qui n’entrainent pas de décaissement et des
encaissements. Elle concerne les opérations d’ordre, de virement ou de prise en charge.
Outre la réception où les numéros sont attribués aux fiches, la section traite les comptabilités reçues
par la vérification des imputations, des équilibres et des pièces justificatives. Ensuite, ces dernières
sont transmises au chef de service pour visa et validation dans la machine, elles deviennent la
comptabilité du directeur général.
Après la validation par le chef de service, les comptabilités reviennent à la section visa des opérations
hors caisse pour le dispatching par teneur de compte.
Cette section reçoit les différentes opérations en provenance du service des fonds et valeurs selon la
nature des opérations tant en recette qu’en dépense.
Procéder à l’attribution du numéro sur les fiches en tenant compte du répertoire des
opérations caisses ;
Effectuer le contrôle sur la régularité et la conformité des pièces ayant mouvementées le
compte caisse ;
Viser les fiches d’écritures accompagnées des pièces justificatives ;
Rejeter les fiches d’écritures jugées irrégulières au service émetteur ;
Procéder au redressement des fiches de mauvaise imputation comptable ;
Assurer la remise des petites fiches d’écritures ainsi que les pièces justificatives aux services
teneurs de compte ;
Transmettre la grande fiche d’écriture au vu d’un registre à la section saisie informatique pour
la confection de la balance.
Il revêt deux opérations importantes à savoir : les opérations de recettes et de dépenses.
Ces deux opérations font intervenir la caisse. Le débit enregistre les entrées et le crédit les sorties des
fonds. Le compte utilisé est le 570, il est tjrs débiteur mais non créditeur.
Avant de monter le grand livre des comptes, la section monte d’abord les décades ou les relevés
décadaires qui préparent les livres centralisateurs.
La section se sert des fiches qui viennent de la section saisie informatique. Il y’a deux types de fiches :
les fiches caisse (570) qui proviennent du service fonds et valeurs et les fiches hors caisse pour les
opérations d’ordre.
Les fiches hors caisse sont classées par lots de 100 (de 1-100 ; de 101- 200 ;…).
Les fiches caisse sont classées par ordre chronologique des journées ouvrables.
Dans le mois, la section constitue trois décades par nature pour alléger le travail, soit trois décades
caisses et trois décades hors caisse.
Du 1er au 10 du mois ;
Du 11 au 20 du mois ;
Du 21 au 30 du mois.
La décade n’est pas un document comptable, mais extracomptable qui permet de préparer le livre
centralisateur.
Le livre centralisateur reçoit les totaux des comptes arrêtés dans les décades.
Le grand livre des comptes est lui un registre comptable arrêté mensuellement et contient tous les
comptes ouverts à la direction générale du trésor par le plan comptable.
N.B : Les comptes d’imputation provisoires (4819….) doivent être soldés dans le grand livre. Par
contre, il y’a des comptes par leurs soldes créditeurs ou débiteurs fonctionnent de façon continue par
leurs balances d’entrée d’exerce en exercice.
A l’arrêt du grand livre, la section procède aux rapprochements d’écritures comptables avec les
sections comptabilités auxiliaires des différents services. Lors des rapprochements des erreurs sont
souvent décelées et cela conduit à des redressements.
Pour pointer les comptes avec le service du virement, la section exige les relevés des comptes
bancaires pour suivre les mouvements entre le trésor et les banques ainsi que la banque centrale.
Les relevés des comptes (crédits) doivent correspondre aux débits du trésor.
Ce sont des comptes crées en 2012, mais qui ne fonctionnent pas encore à cause du problème
d’insertion dans le plan comptable ;
La section reçoit les pièces comptables des opérations des comptes spéciaux du trésor et des
budgets annexes de la section visa hors caisse. La vérification consiste à vérifier la conformité des
écritures comptables (grandes fiches) avec les pièces justificatives (les DR et les certificats de
recouvrement) en ce qui concerne les recettes; les grandes fiches et les petites avec les mandats en
ce qui concerne les dépenses.
Elle s’occupe de la comptabilité des directions départementales du trésor. Elle reçoit les fiches
comptables en provenance des services de la recette et celui de la centralisation.
Les fiches débits qui enregistrent toutes les dépenses engagées par ces départements sont
accompagnées des avis de mandat, des états récapitulatifs des dépenses et quelque fois des avis de
crédit.
Quant aux fiches crédits qui enregistrent toutes les recettes encaissées par ces structures, on retrouve
comme supports les avis de mandat, les déclarations de recette et quelque fois les avis de débit.
A la fin d’une période donnée, la section fait le rapprochement des écritures comptables avec la
section grand livre pour la fiabilité et l’authenticité. Les comptes 5803 et 4819xxxx doivent
obligatoirement présenter des soldes nuls. Par contre, le compte 479 doit obligatoirement présenter
un solde débiteur. Le compte 5803 qui est un compte de transfert pousse la section à faire un
traitement d’opérations comptables qui consiste à régulariser les écritures portées au crédit.
La spécificité de la section comptabilité auxiliaire au service de la comptabilité est qu’elle passe ces
écritures de régularisation.
La section saisie informatique procède à la saisie des grandes fiches qui aboutissent au déversement,
c’est-à-dire les éditions des extraits de la balance générale des comptes.
La saisie des fiches : saisie normale (le haut et le bas de la fiche) et la saisie correctionnelle (les
annulations partielles et totales) ;
L’édition des fiches saisies pour le suivi des fiches saisies ;
Le déversement (les étapes de la balance, en d’autres termes l’exécution du budget).
La section balance générale des comptes du grand livre a pour missions de:
D’une manière générale, la section veille à l’équilibre de la balance qui permet de vérifier dans une
certaine mesure si les opérations ont été correctement enregistrées par le respect du principe de la
partie double. Car, une balance équilibrée ne constitue qu’une indication. Les erreurs peuvent se
compenser et la balance ne permet pas de détecter les erreurs d’imputation par exemple.
L’analyse de la balance donne un aperçu rapide des comptes clés et permet d’alerter les autorités sur
les dérapages ou des situations anormales.
Quant à l’analyse de la balance, elle porte sur le comportement des comptes : leurs montants et leurs
soldes. Pour chaque compte, il y’a un minimum (un seuil). Si ce dernier est dépassé, cela interpelle le
comptable. Par exemple, le compte 47192 relatif aux consignations du DGT qui doit être nul ou
débiteur. S’il est créditeur, cela signifie que certains montants n’ont pas été régularisés, donc non
payés.
- Intégrer les comptabilités des comptables subordonnés dans les écritures du comptable
principal de l’Etat, le DGT ;
- Examiner la régularité des opérations avant leur imputation dans les comptes définitifs ;
- Former, conseiller et assister les comptables subordonnés.
Les documents comptables examinés par les services de la centralisation sont les balances et leurs
pièces justificatives.
A la réception des balances, un regard est porté sur la colonne 5 (débit) ou crédit de la colonne 10
ainsi que sur les pièces justificatives de chaque compte mouvementé. Il est à noter qu’il y’a des
comptes des recettes qui ne peuvent pas être justifiés au débit car ils le sont par des déclarations de
recettes. Par contre, tous les coptes au crédit sont justifiés par les déclarations de recettes sauf pour
les impôts mécanisés qui le sont par les quittances et les certificats de recouvrement.
Le contrôle se fait pièce par pièce en reprenant les calculs. Le compte 4811, dépenses à transférer au
DGT est justifié par les divers OP ; C’est un compte globalisant, le service s’arrange à mettre chaque
dépense dans sa nature (son compte correspondant).
La finalité est l’intégration des écritures des comptables subordonnés ou extérieurs.
Il s’agit d’une fusion par absorption des balances des comptables subordonnés ou extérieurs dans les
écritures du DGT. Cela consiste à débiter ou à créditer le compte concerné par le débit ou le crédit du
compte du compte 5801 (transfert à l’initiative du comptable subordonné attaché au DGT).
Ce registre est tenu par département et par poste comptable (84 postes à ce
jour). Il constitue un tableau de bord qui permet le suivi des dépôts des
comptabilités (balances) des comptes subordonnés.
Vérification ou contrôle
Un certain nombre de vérifications est nécessaire avant de procéder à l'intégration
de la comptabilité du C.S. (Comptable Subordonné) à savoir :
Le contrôle de l’établissement de la balance,
Le contrôle de la régularité des pièces justificatives par compte.
NB : Les comptes, des dépenses et les comptes financiers doivent avoir un solde
débiteur dis que les comptes de recettes et les comptes de consignation auront un
solde créditeur ou nul.
Contrôle de la régularité des pièces justificatives (par comptes)
Il est procédé au contrôle de la régularité des pièces justificatives des recettes et des
pièces justificatives des dépenses,
Sur les pièces justificatives des dépenses (bons de caisse, ordre de paiement,
coupons de pension française) sont opérées les vérifications suivantes :
Authenticité du titre de règlement en vue de s'opposer au faux cachet « vu
bon à payer »
Acquit libératoire (en vue de s'opposer au faux)
Références de l'identité du bénéficiaire
Année d’émission du bon de caisse (déchéance quadriennale)
Quittance administrative et certificat de vie pour la pension française
Sur les pièces justificatives des recettes (déclaration des recettes DR). Il s'agira de
vérifier si les montants sont bien arrêtés en chiffres et en lettres.
Parmi 1es comptes de recettes, seul le compte 54.805 « impôts mécanisés » est
justifié par les quittance d’impôts des appuyés des bordereaux de versement. Le
montant total des pièces justificatives par compte doit concorder avec le montant
porté sur la balance.
Les opérations d’intégration
A la fin des opérations de contrôle, il est procédé à l'intégration.
On appelle intégration la prise en compte de toutes ou partie des opérations des
comptables subordonnés dans les écritures du TPG.
D CI C D 5801 C
X X
Au credit
D 5801 C D CI C
X X
P.J : DR
Rejet d’opération :
En dépense
D 58000xx C D 5801 C
X X
AD3 rejeté
En recette
D 5801 C D 58000xx C
X X
AC rejeté
III-1 - Constats :
Nous constatons que au niveau de la DGT il y’a des services voir même les sections
qui n’ont pas disposés le temps pour la réception des élèves finalistes, ainsi que le
manque de disponibilité des encadreurs de la DGT pour le démarrage du stage
pratique qui devrait avoir lieu depuis le 21/12/2020 a finalement eu lieu le
18/02/2021. Toutes choses égales par ailleurs, cela a été comme un obstacle qui a
fait que nous ne finissons pas notre stage comme prévu, c’est-à-dire le 17/03/2021.
III-2 - Suggestions :
Nous nous sommes rendu compte que la plus grande partie de notre stage a été
plus théorique que pratique, car le nombre de stagiaires était plus important. C’est
pourquoi nous suggérons pour le futur :
- De placer par groupe de cinq (05) au plus les élèves finalistes pour les stages
pratiques dans les administrations respectives pour éviter l’encombrement ;
- D’informer les encadreurs des administrations avant l’envoi des stagiaires ;
- De donner au moins une marge de deux (02) semaines pour permettre aux
élèves de bien rédiger leurs rapports de fin de stage
CONCLUSION
Tout compte fait, nous disons d’abord que ce stage théorique et pratique a
permis à l’ensemble du groupe de faire connaissance avec certains termes
techniques qui semblaient être mythiques. En suite toucher du doigt les
différentes pièces permettant aux comptables de travailler en synergie,
donc en équipe. En fin par le biais de l’intégration introduire cette
comptabilité dans celle du TPG pour l’élaboration d’une balance générale.