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M .Ihssan Boukhar: Realisé Par
M .Ihssan Boukhar: Realisé Par
Encadré par :
Realisé par
M .IHSSAN BOUKHAR
AHLAME ELALLALI
MANAR ELFFARSAOUI
Crmef CASA 2017/2018
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Crmef CASA 2017/2018
Remerciement
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Résumé
L'école est par nature un lieu où règne la mixité et ayant pour visée la réussite de tous les
élèves. Seront abordées dans ce mémoire ça n’oblige de poser la question suivant est ce
que la gestion irrationnel et désorganisé de la mixité entraine aux inégalités de réussite qui
apparaissent en EPS, notamment dans l'enseignement collégial et qualifiant.
Partant du constat que la part de différences d'ordre biologique et entre filles et garçons
n'est pas le seul facteur significatif dans l'émergence des inégalités de réussite mais il ya
d’autres facteurs et différences apparaissent dans la gestion de la mixité, cela rend notre
recherche focalise sur, est ce que l’apprentissage de telle ou telle activité en classe mixte
est bénéfique ou contraire constitue un moyen qui entrave la tache éducative,
deuxièmement la place de l’enseignant dans la gestion son apprentissage vis-à-vis la
mixité.
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Introduction
Aujourd’hui, La mixité, si on la prend sous sa définition la plus général, fait partie
intégrante de l’organisation de notre société et contribue à la socialisation des individus.
Notre pays, par son histoire, est aujourd’hui un Etat pluriculturel. Ainsi, on a souvent
tendance à donner le monopole du mot mixité à la mixité sociale.
La pratique de l’EPS a toujours occupé une place importante tout au long de notre
scolarité, de l’école primaire jusqu’à aujourd’hui, d’une part la formation au centre
régional des métiers de l’éducation et de formation à casa. Nous pensons qu’il nous a
permis notamment de nous construire et plus particulièrement dans les périodes de la mise
en situation professionnel, qui nous a donné une autre vision sur la pratique d’ESP en
réalité. Les séances d’enseignement de l’EPS étaient mixtes. Parfois, nous avons pu
ressentir des difficultés en tant que des professeurs stagiaires, ces difficultés étaient plus ou
moins importantes en fonction des activités proposées à enseigner ainsi en les corrélant
avec la problématique de gestion de la classe en l’occurrence la gestion de la mixité.
En tant que professeure des écoles, on pense qu’il est important de prendre en compte sa
propre expérience et en tirer des éléments pour notre exercice. Ainsi, on a souhaité
s’interroger sur l’enseignement de l’EPS à l’école, et plus particulièrement dans le cadre
de la mixité.
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Chapitre I : Le cadre
théorique
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Avec la sportivisation de l’EPS à partir des années 1930, la discipline reprend certaines
caractéristiques du sport : on y voit apparaitre l’héritage de la séparation des corps et la
domination masculine. Ainsi, alors que la mixité fait partie intégrante de l’Ecole, la
division des sexes est maintenue en EPS. Même si les instructions officielles ne disent
rien qui impose ce phénomène, les stéréotypes persistent dans les programmations et
incitent les enseignants à la différenciation : les filles sont plus fragiles, soucieuses de la
mixité dans les cours d’EPS se fait donc beaucoup plus tardivement.
Dans les années 1980, des réflexions émergent autour des inégalités, notamment
sociales. Plusieurs lois comme la loi Jospin en 1989 qui propose de facilité l’accès de tous
au savoir et de lutter contre l’échec scolaire ont d’ailleurs été mise en place. Cependant, le
problème des inégalités sexuelles n’est pas clairement soulevé. Plusieurs études mettent en
évidence ces inégalités, un débat s’installe alors progressivement. Les idées qui émergent
permettent alors la mise en place de la mixité en EPS pour garantir l’égalité entre les sexes.
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A.Davisse dans son article « Sur l’EPS des filles » (1986) précise que malgré la tonalité
générale qui est favorable à la mixité en EPS, la réalité observée dans les établissements
est très divisé. Outre, quelques enseignements séparés persistants, la mixité nouvellement
mise en place maintient en quelque sorte la séparation des genres.
Les filles et garçons ont cours à la même heure et avec le même enseignant mais on
observe deux groupes bien distincts. Les élèves pratiquent alors soit des activités
différentes soit les mêmes mais dans des modalités d’enseignement « adaptées »
selon le sexe des élèves, soit la même activité mais enseignée séparément ;
Les groupes sont répartis par niveau et ouverts à tous mais spontanément, les filles
et les garçons se dirigent dans des groupes différents du fait des prestations et
option s proposées.
Ce n’est que très récemment que la mixité « traitée » est réellement mise en place :
celle-ci devient un objectif modifiant ainsi les processus pédagogiques des enseignants
La tradition Marocaine rejette toute forme de mixité sans exception. Cela est dû à
l’image de l’homme est celle de la femme dans la société qui ont des rôles différents. Le
Maroc était un pays où dominent l’agriculture et les travaux d’extraction. Donc la mixité
est quasi inexistence. La femme dans ces milieux est fort assujettie à l’homme, mais au fur
et à mesure que l’on remonte dans l’histoire, et au juste dès l’indépendance, notre pays a
connus plusieurs changement à cause de son attachement à la civilisation des pays
occidentaux. Notre société a connu des répercussions jusque dans les régions rurales les
plus reculées. Dans certains endroits, le mode de vie des femmes par exemple, subit des
changements concrets et positifs. Dans d’autre, l’évolution est imperceptible, et se limite à
une prise de conscience accrue des conditions de vie des femmes, à un refus des anciens
principes de domination et de soumission.
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Le mâle est regardé comme incarnant le type humain parfait, la femelle est considérée
comme un être inférieur.
Ainsi, les garçons et les filles sont éduqués différemment en vue de leur
fonction d’avenir.
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L’anatomiste Edwards classe permis les facteurs qui distinguent le garçon de la fille,
de point de vu anatomique-physiologiques des critères tel que le poids ; la taille ; la
structure musculaire et la structure osseuse il n’estime que le squelette masculin est plus
robuste plus solide, avec des os plus massif et plus denses.
Selon sur rapport établi par resh et Bulke (en 1974). L’inclinaison intérieure du bras
de la fille explique ses difficultés à manier un tournevis ou autre instrument faisant appel à
un mouvement de rotation. Le fait que sa cuisse s’incline vers son genou lui rend plus
difficile le maintien de son équilibre. Comme son bassin est en moyenne plus large, ses
cavités cotyloïdes sont plus éloignées l’une de l’autre par conséquent à chaque foulée. Elle
a besoin d’un plus grand déplacement de son centre de gravité pour amener le poids de son
corps par-dessus l’articulation de sa hanche, son bassin marque donc un balancement
prononcé lorsqu’elle court.
Parmi les facteurs qui distinguent la fille du garçon : sa détente est moins puissante,
sa course est moins rapide et sa dette en oxygène plus longue à payer.
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On doit noter également que sur le plan physiologique, l’influence hormonale ne doit
pas être négligée. La femme ne secrète que peu de testostérone, la combativité et
l’agressivité. En revanche la femme est plus laxiste que l’homme plus adroit possède de
bonne coordination gestuelle.
Les différences entre les deux sexes sur le plan psychologiques ont été éclairées par
les recherches entamées sur la psychologie différentielle entre les deux sexes. Les résultats
de ces recherches nous ont permis de tirer les indicateurs suivant :
On assiste à la présence de certains qualités chez les garçons et que les filles non
disposent pas généralement les qualités sont comme suit :
Force musculaire
La vitesse
Coordination des mouvements
Mais les filles bénéficient également d’une habileté manuelle plus grande que les Garçons.
En ce qui concerne l’intelligence, des tests ont montrés qu’on ne peut parler d’une
supériorité ni chez l’un ni chez l’autre sexe.
On constate cependant une légère supériorité globale chez les filles, surtout au début
de l’adolescence. Ainsi on note que les filles se montrent supérieures dans les tâches
exigeant les qualités suivantes :
L’intérêt social
Le gout esthétique
Les garçons par contre ; se montrent supérieure dans certains tâches ; parmi elle : le
raisonnement mathématique et logique.
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Des recherches ont montrés que les filles réussissent mieux : lorsqu’elles font partis
d’un groupe mixte, dans la résolution des problèmes, que lorsqu’elles constituent un
groupe unisexuel.
L’étude des intérêts montrent chez les garçons un goût plus prononcé pour les jeux
actifs et spontanés, chez les filles une préférence pour les jeux sédentaires.
La mixité est une procédure d’autant plus difficile à mettre en place qu’elle se situe à
une période sensible du développement de nos élèves.
Selon le champ de connaissance pris pour référence, cette situation varie :
Du point de vue médical, l’adolescence = la période de la vie qui fait suite à la
puberté et se termine à l’âge adulte.
Du point de vue psychanalytique : l’adolescence est une crise du sujet dans son
rapport à sa position sexuée et à l’entrée dans les valeurs adultes. Ce n’est pas
seulement une question d’âge mais c’est un réveil qui est fonction de l’histoire du
sujet et de ses rencontres.
Après la période calme « période de latence », nous arrivons à la grande « crise
d’adolescence » (troubles affectifs, orages pulsionnels, agressifs, instinctuels des stades
prégénitaux ressurgissent). C’est « l’âge ingrat », avec des remises en causes permanentes
vis à vis de l’autorité (il s’oppose à l’autre comme dans la petite enfance, pour se
construire une identité).
Du point de vue psychologique, l’adolescence « est la période caractérisant le
passage de l’état d’enfant à l’état d’adulte et dont le point de départ se situe dès
l’apparition de la puberté. Dans nos sociétés industrialisées, l’adolescence va de
12/13 ans à 18 ans ». Donc de la classe de 5ème à la classe de terminale environ.
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(Dictionnaire des concepts clés .F.Raynal ; A. Rieunier). Si l’on veut être plus
précis, on peut évoquer trois grandes phases qui ponctuent l’adolescence : le pré
adolescence (de 10 à 15 ans),
Correspondant à la sortie de la phase de latence, l’adolescence proprement dite (de 16 à
19 ans) et enfin, la post adolescence qui, selon les auteurs, varie de 18 à 25 ans.
i) Premier aspect :
- Assumer son corps sexué « être propriétaire de son corps, c’est assumer des risques»
(P.Thermes).
Volonté de vouloir changer, mais peur de changer (ex. ne pas correspondre à la norme et
donc de se sentir exclu). Peur également de se retrouver avec un corps qu’on ne connaît
pas, qu’on ne maîtrise pas. Volonté alors de connaître ses limites, voire de tester les
limites de ce qui est autorisé « Chaque milieu instaure des limites que les adolescents vont
forcément transgresser en vue de se situer »
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- L’adolescent n’est pas stable dans ses choix, il hésite. Les nouveaux statuts du corps
le poussent vers des investissements de nature très fluctuants « l’adolescence est donc
la période des investissements soumis à la fluctuation des essais et des erreurs »
(P.Therme). Mais « ses choix sont surtout guidés par des représentations imaginaires
plus que par des logiques rationnelles d’adulte » Du coup, le modèle cognitiviste de la
programmation des savoirs, leur planification à long terme selon une logique anticipée
par l’enseignant se trouve inopérant, chez les adolescents, surtout ceux en difficulté : «
les modalités d’adaptation au milieu sont ici organisées par une intelligence
émotionnelle, par une connaissance sensible et affective des objets » (P.Therme). Il y a
donc à construire de la stabilité dans les apprentissages, des plaisirs construits
dépassant l’émotion immédiate.
iv) Quatrième aspect :
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- La période pubertaire s’étale de 10 à 14 ans chez les filles et de 12 à 16 ans chez les
garçons), les jeunes ont des caractéristiques très différentes les uns des autres, dans
une même classe : différences morphologiques (40 cm et plus), différences
biologiques parfois de 4 ans et plus, pour le même âge.
Il faut noter que les filles ont une maturation plus précoce, ce qui se traduit par des
performances souvent supérieures en 6ème, 5ème (et parfois 4ème). Puis elles sont
rejointes par les garçons qui, d’abord rivalisent, puis finissent par les dépasser (d’où
sentiments d’infériorité, de frustration, d’exclusion…).
Ces transformations du rapport des élèves à leur corps aboutissent à des transformations
de rapport des élèves à certaines APSA (attrait/ répulsion) et plus généralement à l’activité
physique et à l’EPS.
5. Le sport et la mixité
Le sport civil de haute compétition exige des adversaires ou des équipes approximaient
de même niveau que l’affrontement soit ouvert. La séparation des sexes en est le
corollaire.
Les activités où sont associés homme et femme et femme sont rare : double mixte au
tennis, patinage artéritique en couple, encore plus exceptionnel une rencontre de haut
niveau dans lesquelles femmes et hommes concourent ensemble (équitation).
Dans les activités de plein air (randonné, ski de fond, cyclotourisme, etc.…) moins
structurées par une finalité compétitive, la séparation entre les sexes, est nettement moins
marqué bien qu’elle puisse s’accentué a un certain stade.
Il serait utile d’analyser les relations entre l’institutionnalisation de la compétition et la
ségrégation des sexes dans le sport avec la constitution de groupe de niveau et les
processus de « démixages » dans l’éducation physique et sportive scolaire.
Le sport civil pèse sur l’offre et la demande à l’intérieur de cette dernière.
Mais dans le cadre scolaire, des équipes mixte de garçon et de fille, a peut prés homogène,
sont concevable volleyball, basketball, voir même en football .En appareillant poids, taille
et niveau des affrontements mixtes en sport de combat, peuvent présenter un intérêt.
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De même un travail est repérer pour déspécialiser le matériel classique, dit féminins ou
masculin. Par exemple en gymnastique, pourquoi exclure les garçons d’une pratique a
appareil tel les barres asymétriques ou la poutre ?
L’EPS dans l’établissement scolaire n’a pas à s’inféoder strictement aux modèles
fédératifs et olympiques.
Soit, ils opèrent une séparation entre filles et garçons (non mixité).
Soit, ils laissent la liberté aux élèves de se regrouper ou non dans telle ou telle
activité (généralement on aboutit à une non mixité de fait).
Soit, ils pratiquent une mixité formelle, garçon+ fille mélangés mais l’objectif
éducatif n’est pas envisagé en tant que tel.
Soit, au contraire, en groupes mixtes délibérés, en utilisant la mixité comme un
enjeu éducatif.
Elle identifie trois « formes de pratiques de la mixité en collège » :
A / La mixité « ensemble-séparée »
B / La mixité « ensemble-indifférenciée »
C / La mixité «ensemble-différenciée »
1. La mixité « ensemble-séparée »
Correspond à des cours ou des moments de cours où garçons et filles vivent des
expériences corporelles « côte à côte » sans échange. Cette «forme de pratique mixte» est
favorisée par :
soit par des activités où les groupes constitués sont « à petits effectifs » (deux ou
trois élèves)
Soit par un enseignant qui valorise les formes de groupement « par affinité » (les
élèves se remettent alors le plus souvent « par sexe »)
Plutôt dans les petites classes (Sixième/Cinquième),
Avec des enseignants n’ayant pas de visée de co-éducation entre les filles et les
garçons,
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Dans des climats de classes difficiles du point de vue des rapports sociaux de sexe.
C’est le pôle « gestion » qui domine dans cette mixité « ensemble-séparée », reposant sur
la difficulté que représentent les différences ainsi que sur la croyance des préférences de
groupement par affinité des élèves.
2. La mixité « ensemble-indifférenciée »
Correspond à des cours, ou moments de cours où garçons et filles sont mélangés et
travaillent sur les mêmes contenus d’enseignement.
Cette forme est favorisée :
soit par le faible écart de motricité entre garçons et filles favorisant des thèmes d’étude
communs.
soit par un moment de cours où la performance motrice est minorée (travail sur les
sensations par exemple),
soit par un climat de classe « gommant » l’expression des différences (classe ayant
plus envie de jouer que de gagner, ou élèves en situation de « conformisme scolaire » ne
remettant pas en question les choix des enseignants),
soit par un enseignant idéalisant la « parité » comme étant la condition pour parvenir à
l’égalité entre les sexes.
Ce qui domine dans cette forme « ensemble-indifférenciée », c’est le « gommage » ou «
l’ignorance » des différences de sexe.
Soit les différences sont réellement atténuées du fait de faibles écarts de performances et
de motivations (plutôt certaines classes de sixième), soit il s’agit d’une « illusion » par
difficulté de l’enseignant à lire l’activité adaptative des élèves.
Cette forme de pratique est révélatrice de deux orientations :
soit l’enseignant perçoit l’écart faible des différences comme une opportunité de
travailler en groupe mixte,
soit l’enseignant ne se pose pas la question des écarts importants entre garçons et
filles et ne propose pas de différenciation.
3. La mixité «ensemble-différenciée »
S’appuie sur des cours ou des moments de cours où garçons et filles travaillent
ensemble avec des contenus d’enseignement différenciés (selon leur niveau de pratique).
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forcement arrivé à leurs parents et le problème se complexifie. Par contre dans les
environnent ouvert ou civilisé, ou les élèves peuvent +ou- travailler en mixité.
2. Les activités sportives enseigné montre une différence dans leurs structure, il ya ceux
ou il y a beaucoup de contacte comme les activités de combat et les sports collectifs de
démarquage (la mixité devient de plus en plus difficile en augmentant du niveau et d’âge).
Autres ne présente aucun contacte comme les activités de raquettes, le volley balle et la
majorité des activités individuelles (dans ce cas la mixité ne se pose pas comme un
problème). Alors que d’autres ont des particularités de mouvements in habituelles comme
la gymnastique (le problème de mixité est majeur).
3. - Certains élèves soit disant qui possèdent des niveaux de pratique élevé n’acceptent pas
des élèves de niveau bas dans leurs équipes le cas s’accentue lorsque il s’agit des filles
dans la formation de cet équipe. - Au lycée plus le niveau de classe augmente et plus ils
sont pour la mixité en EPS. Plus que les filles, les garçons sont pour la mixité en EPS Les
garçons « bons » apprécient plus particulièrement la mixité afin de regarder les filles en
tenue sportive et développer des relations personnelles avec ces dernières ; les garçons «
pas bons » en EPS fondent leur préférence pour la mixité sur le fait de pouvoir jouer avec
des personnes de niveau plus faible Les filles expriment davantage de réticences à l’égard
de la mixité : elles sont plus nombreuses à souhaiter seulement « de temps en temps » que
les cours soient mixtes en. Elles privilégient la mixité sous certaines conditions: lorsque les
sports d’équipe sont moins axés sur la compétition et plus sur la participation, l’interaction
et le « fun » ; si les garçons n’adoptent pas d’attitudes de supériorité vis-à-vis d’elles ;
lorsque le jeu se déroule dans une atmosphère où le langage et les attitudes sexistes sont
absents.
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Chapitre 2 : cadre
pratique
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Etude de cas
La gestion de la mixité en EPS sur le niveau première année collège et troisième année
collège.
1. Les constats
A travers notre stage professionnel nous avons eu l’occasion de faire émerger des
remarques concernant les difficultés attachées avec la gestion de la mixité dans les
séances d’éducation physique et sportive :
L’étude menée a été concrétisée par le biais d’un guide d’entretien définit comme étant
un ensemble de questions traitant une problématique bien précise et destiné à une ou
Plusieurs personnes concernées directement par le questionnement.
Pour notre cas, le guide d’entretien est composé de six grandes questions de nature
différente mais touchant la problématique de gestion de la mixité et plus particulièrement
les moyens avec lesquels nous pouvons la gérer. C’est la raison pour laquelle nous nous
préoccupons d’étudier cette problématique, qui nous semble assez intéressante chez les
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professeurs et les chercheurs dans le champ d’EPS et qui peut déclencher un apprentissage
efficace et rend l’obstacle de la mixité un facteur motivant de l’apprentissage en EPS
Pour nous trouver des solutions liées à la problématique posé, nous avons conçu en
ensemble des questions destinées aux professeurs du collège IBN KHALDOUN.
1- Quels sont les avantages et les inconvénients des cours d’éducations physique et
sportive mixte ?
2- Quelles sont les activités physiques et sportives que vous préférez enseigner en
mixte, sports collectifs ou sports individuels ? Et pourquoi ?
3- Quelles sont les différences que vous les constatez entre fille et garçon durant les
séances d’apprentissage en EPS ?
4- Est ce que la mixité en EPS a le même impact sur tous les niveaux scolaires
collégiaux ?
5- Quels sont les moyens de gestion adoptés pour absorber les différences entre les
filles et les garçons durant les séances d’apprentissage ?
6- Est-ce que les séances d’EPS mixte peuvent être un vecteur de motivation élevé
chez les élèves ?
7- En considérant la communication est un vecteur incontournable dans le l’acte de
processus de l’enseignement et de l’apprentissage, pouvez vous nous dire le role de
la communication dans la gestion de la mixité en EPS ?
Savoir l’état d’esprit des filles et des garçons durant les séances d’EPS
Détecter les problèmes émergés à travers la mixité
Connaitre les différents moyens proposés par l’enseignant afin de dépasser le
problème de la mixité chez les élèves
Proposer des autres solutions qui peuvent êtres exploitées dans la gestion de la
mixité
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2- Quels sont les avantages et les inconvénients des cours d’EPS mixte ?
Bien sûr que la mixité en EPS a des avantages comme elle a des inconvénients qu’elles
affrontent l’enseignent et qu’il doit mettre en place des moyens adaptables à ce phénomène
LES AVANTAGES
L’intégration des files dans le groupe classe
Inculquer au garçon le respect de la fille dans une société paternaliste
Changer la vision destinée aux filles = le corps
Motivation du groupe classe (situation de défie
La continuité du cursus d’enseignement et l’égalité entre les deux sexes
LES INCONVENIENTS
Problème de vécu sportif faible des filles
Timidité liée aux problèmes de l’adolescence
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Les tendances des garçons à éviter les passes avec les filles qui nuis la situation
d’apprentissage dans les sports collectifs
La réticence des filles dans des situations inhabituelles et particulièrement en
gymnastique au sol.
3- Quelles sont les activités physiques et sportives que vous préférez enseigner en mixte,
sports collectifs ou sports individuels ? Et pourquoi ?
Nous sommes dans le champ éducatif qui nous oblige enseigner presque toutes les
APS existées avec toutes ses spécificité et tous ses problèmes, à mon avis et d’après mon
expérience je préfère les sports individuelles car l’élève produit seul sa performance vue
que la capacité de les gérer et de constater le niveau du progrès des élèves très remarquable
dès le teste diagnostique jusqu'à le teste bilan du cycle.
4- Quelles différences que vous les constatez entre fille et garçon dans les séances
d’apprentissage en EPS ?
Oui la différence existent entre les filles et garçons ce dernier se résident dans :
Vécu sportif riche chez les plupart des garçons par rapport les filles et plus
particulièrement dans les sports collectifs.
Les connaissances procédurales et conceptuelles se développent explicitement chez
la majorité des garçons par rapport les filles
Les représentions des APS se déferrent entre les filles et les garçons
Les garçons veulent toujours se mesurer avec ses semblables, donc quand il ya une
intégration du sexe féminin l’engagement se minimise, le rendement baisse et la
motivation s’amoindrit.
5- D’après l’expérience que vous avez acquis dans le champ éducatif pouvez vous nous
dire est ce que la mixité en EPS a le même impact sur tout les niveaux scolaires
collégiaux ?
Selon mes connaissances et mon expérience dans le champ éducatif la mixité n’a pas un
impact sur la première année collégiale ainsi la deuxième année collégiale car les filles et
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garçons n’ont pas encore affronté certaines changements internes et externes, je peux dire
que la mixité a un impact explicitement au niveau troisième année collégiale, car c’est le
moment où les filles et les garçons heurtent avec les changement morphologiques ainsi
physiologiques et chacun entre eux veut imposer son existence avec n’importe quel
comportement et cela peut conduire à émerger certain influence sur le niveau
d’apprentissage.
Mais généralement le problème de la mixité se développe avec le développement des
élèves sur le plan morphologique et celle physiologique.
6- Quels sont les moyens de gestion adoptés pour absorber les différences entre les filles et
les garçons durant les séances d’apprentissage ?
La question d’enterrer les différences entres les filles et les garçons c’est un peu difficile
selon mon expérience, pour moi et durant ma carrière professionnelle dans le champ
éducatif j’ai essayé et j’essaie encore de minimiser ces différences entre les deux et de les
faire rapprocher entre eux à partir des situations pédagogiques convenables premièrement
pour effacer la timidité et la réticence et deuxièmement avoir la culture d’oser et s’interagir
entre eux,
Sur le plan pratique je ne peux pas limiter les moyens de gestion de la mixité, parce que
chaque professeurs a leur propres méthodes pour la gérer et vous saviez bien qu’il ya des
paramètres intervenantes dans la leçon d’EPS mais ce qu’est connu pédagogiquement que
la séance d’EPS doit être pensée et réfléchi, la bonne gestion du groupe classe selon les
niveaux, en s’appuyant sur les bases didactique adéquates.
L’aménagement de l’espace, la clarification des consignes et les conditions de
réalisation de la tache motrice tout en mettant l’accent sur l’intégration des filles.
7. D’après votre expérience pouvez-vous nous indiquer est ce que la mixité dans les
séances d’EPS est un facteur de motivation ? Expliquez nous ?
Je peux dire que la mixité peut être un facteur de motivation selon les situations
pédagogique adoptées par l’enseignant par exemple, après que les groupes sont équilibrés
entre eux il doit crier un climat de compétition entre les groupes tout en intégrant les filles
et en n’oubliant pas les consignes pour organiser les situations pédagogique.
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techniques et les performances obtenues par des élèves ça d’une part, et d’autre part
la gestion de la mixité semble assez maitriser par les enseignants à cause le travail
par niveau et chacun contrôle son propre degré et crie sa propre production .
La différence observée entre les filles et les garçons des les séances d’EPS est assez
grande vue que le vécu sportif chez garçons est riche par rapport aux filles ce qui
pose une certaine inégalité scolaire entre eux, nous trouvons ainsi les
représentations des APS chez eux sont différentes cela impactent explicitement sur
le rendement et le degré d’apprentissage assez inégal entre la fille et le garçon,
quand on évoque la gestion de la mixité c'est-à-dire gérer la motivation chez les
filles et celles chez les filles mais ce que nous avons vu le moment de faire intégrer
les filles dans une situation pédagogique avec les garçons nous concrétisons que la
motivation se diminue implicitement ce qui influence sur le degré d’apprentissage
chez les garçons, car toujours les garçons adolescents veulent être au sommet ile
n’acceptent pas les faibles dans la même équipe .
La mixité n’a pas assez d’influence sur l première année et deuxième année
collégial car les plupart des élèves n’ont pas encore confronté les mutations au
niveau morphologique et psychique et ses représentations à l’APS parfois
semblables ce qui facilite la gestion de la mixité à cause des rapprochements des
niveaux d’apprentissages, on déduit que la mixité des élèves de troisième année
collégial influence remarquablement sur l’apprentissages à cause des élèves
commencent à toucher l’âge de l’adolescence qui dit l’adolescence dit l’âge
d’imposer l’existence aux yeux des autres, ce qui nous entraine à voir des
comportements inhabituels chez les élèves, et la gestion de la mixité est un peu
complexe qui demande une certaine réflexion par l’enseignant pour ne pas nuire
l’apprentissage.
les moyens susceptibles pour gérer la mixité en EPS sur le plan théorique s’avère
que facile d’élaborer des situations pédagogiques aménagées, mais sur le plan
pratique et en réalité ça demande une réflexion didactique et comment faire
transmettre un contenu bien ficelé aux élèves, ce qui concerne les stratégies
adéquates envisageables pour rendre la mixité en EPS un enjeu éducatif et qui
favorise l’acte de l’enseignement et de l’apprentissage, chaque professeur traite la
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6. Autres suggestions
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Le système éducatif marocain dans son propre programme incite d’intégrer les filles
avec les garçons dans toutes les matières et plus précisément en l’éducation physique et
sportive cet ordre nécessite des moyens et des solutions envisageables qui permettent
d’abolir les différences entre les filles et les garçons :
- Mettre l’utilité de la mixité en EPS dans le projet d’établissement et celle d’EPS
- Conclure des conférences ses thèmes s’articulent sur l’importance de la mixité dans
le système éducatif en l’occurrence de l’EPS
- Sensibiliser les deux sexes avec les bienfaits de la mixité et faire ancrer l culture de
vivre ensemble et la coéducation tout en n’oubliant pas le respect de l’autrui
- Mettre en œuvre une journée consacré à la mixité dans l’établissement et chacun
peut exposer son propre œuvre sur l’égalité entre les deux sexes et chacun complète
l’autre presque dans tous les domaines.
- Ancrer la culture de la mixité positive à travers les clubs existant dans
l’établissement
- avoir les caractéristiques des élèves pour mettre en place un contenu convenable
qui réalise les objectif tracés dés le début
- avoir une culture de combiner entre les styles et les pédagogies d’enseignement ça
aide énormément de gérer l’apprentissage et la mixité
- sensibiliser les garçons que la séance d’EPS est un espace de l’apprentissage, on
apprend c’est la première des choses après on cherche de les motiver par des jeux
compétitifs.
- Donner aux élèves de faire des exposer sur les APSA avant d’entamer la pratique
comme ça on peut crier un conflit informationnel entre eux.
- Travailler sur des groupes homogènes et hétérogènes à l’intérieur dans le but
d’équilibrer entre eux et de chercher d’avoir certain progrès progressif.
- Proposer un apprentissage qui se diffère d’un élève à l’autre et qui représente une
difficulté optimale afin que puisse chacun de mobiliser leur ressources interne pour
dépasser la difficulté proposée par l’enseignant.
- L’enseignant doit agir attentivement face la diversité des élèves en tenant compte
les pré-requis des élèves, il doit réaliser certaine équité entre leurs apprenant pour
garantir la confiance envers lui
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- Crier une boite de réclamation (outil de communication), pour les élèves qui n’ont
pas l’habitude de parler face à face ainsi pour éviter la timidité.
- Exploiter les outils technologiques pour diffuser les informations aux élèves, à titre
d’exemple appliquer certaine pédagogique s’appelle la pédagogie inversé qui
consiste à envoyer aux élèves la matière sous forme des vidéos, ils voient le sujet
chacun à son rythme, à son analyse et dans la séance on crie l’interactivité entre eux
et chacun va participer et donner son opinion, comme ça l’enseignant peut absorber
le décalage informationnel des APSA entre les filles et les garçons et ça peut gérer
la mixité entre le sexe du point de vue informationnel.
« Différents par leur patrimoine génétique, leur âge et leur vécu corporel, les
pratiquants ne possèdent pas les mêmes ressources. Il faut donc s'informer sur les
ressources des sujets »
(Energie et conduite motrice, Paris, INSEP, 1989).
Philippe Meirieu :
« C’est l’élève qui apprend, et nul ne peut apprendre à sa place. Et puisqu’il n’y a pas
deux élèves identiques il n’y a d’apprentissage réussi que par un enseignement différencié
»
(L’école mode d’emploi, Paris, ESF,
1985).
« Il faut dépasser la centration abstraite sur un sujet épistémique pour observer les élèves
dans leurs hétérogénéités, en prenant en compte leurs processus d’apprentissages : c’est la
reconnaissance d’un élève concret dans sa singularité »
(La pédagogie entre le dire et le faire, Paris, ESF,
1995).
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Antoine Prost :
« Les savoirs ne se transmettent pas, ils se reconstruisent, et chacun le fait pour son
compte, à sa façon, en suivant son propre rythme »
(Eloge des pédagogues, Paris, Seuil, 1985).
« Il faut apprendre à penser autrement pour dépasser cette fascination de l’un et cette
obsession de l’homogène. A penser en hétérogénéité et en complexité, et arrêter de tout
penser comme du mécanique, de traiter la vie mécaniquement et les gens comme des
machines ou des moteurs »
(L’un et le multiple en EPS ou la puissance du mythe unitaire, Les sciences de
l’éducation, 1-2, 1990).
Conclusion
D’après notre cursus scolaire et notre stage professionnel, nous vivions la ségrégation des
sexes en divisant la classe mixte en deux plusieurs groupes, des groupes pour les garçons
et d’autre pour les filles, nous n’avons pas vit concrètement la mixité en EPS vis-à-vis
presque l’ensemble des éducateur trouvent des difficultés à la gestion de la mixité
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lorsqu’ils préparent une séance au profit une classe mixte, ça revient aux écarts des
niveaux entre les filles et les garçons.
Nous pouvons dire que la mixité peut être une source de motivation en EPS, de même, elle
apparait que les filles et les garçons ne sont pas assez préparés à se mettre ensemble dans
équipes mixtes pendant des cours d’EPS. Par conséquent, c’est une action éducative dans
le domaine doit être entreprise par tous les enseignants d’EPS
La gestion de la mixité c’est un phénomène intervient dans tous les champs de notre
société et plus précisément dans le domaine éducatif.
La coéducation en EPS est désirable, elle permet de balayer les préjugés et développer la
capacité de l’enfant et de l’adolescence en toute liberté et lui permet aussi une adaptation
harmonieuse à la vie sociale future.
Si la gestion de la mixité en EPS est bien orientée et bien entourée de toutes les
précautions pourra nous donner un résultat positif pour notre société et le plafond de notre
ambitieux sera augmenté afin de mener des actions et des stratégies éducatives à la hauteur
de notre élèves qui sont l’espoir de la renaissance culturelle et le symbole du bon avenir de
notre société en déclenchant par une citation significative :
Webliographie
1. http://www.ac-nice.fr/ia06/eps06/bibliotheque/File/Outils/CM%20Mixit
%C3%A9.pdf
2. http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=195122
3. http://www2.cndp.fr/revueVEI/davisse116.htm
4. http://www.cairn.info/zen.php?ID_ARTICLE=STA_075_0025
5. http://rfp.revues.org/1420
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6. https://www2.espe.u-bourgogne.fr//doc/memoire/mem2003/03_0160802K.pdf
7. http://www.fichier-pdf.fr/2013/06/15/eps-au-maroc-problemes-et-
solutionspartie1/eps-au-maroc-problemes-et-solutionspartie1.pdf
Bibliographie
1. L’image de la mixité en EPS chez les éducateurs physiques -Salhi ABDELaLI 1986
2. La mixité dans l’enseignement de l’EPS -Bouarfa Hassan (Prof d’EPS)
3. Les bases psychologique de l’éducation physique - E.Loisel
4. L’adolescence -Maurice Debesse
Les annexes
Quels sont les moyens susceptibles qui nous pouvons les adopter pour soulever les
problèmes entourés avec la mixité en EPS ?
C’est une problématique assez importante dont elle s’occupe les préoccupations des
professeurs d’EPS ainsi les chercheurs dans le champ éducatif, c’est pour cela nous
sommes censé d’élaborer un guide d’entretien relative à la gestion de la mixité, à fin de
détecter les nouveaux moyens et nouvelles stratégies de gérer ce phénomène.
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2- Quels sont les avantages et les inconvénients des cours d’EPS mixte ?
LES AVANTAGES
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LES INCONVENIENTS
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3- Quelles sont les activités physiques et sportives que vous préférez enseigner en mixte,
sports collectifs ou sports individuels ? Et pourquoi ?
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4- Quelles différences que vous les constatez entre fille et garçon dans les séances
d’apprentissage en EPS ?
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5- D’après l’expérience que vous avez acquis dans le champ éducatif pouvez vous nous
dire est ce que la mixité en EPS a le même impact sur tout les niveaux scolaires
collégiaux ?
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6- Quels sont les moyens de gestion adoptés pour absorber les différences entre les filles et
les garçons durant les séances d’apprentissage ?
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7- d’après votre expérience pouvez vous nous indiquer est ce que la mixité dans les
séances d’EPS est un facteur de motivation ? Expliquez nous ?
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