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‫وزارة الصــــــــــــحة والسكــــــــــــان وإصــــــــــــالح المستشفيـــــات‬

République Algérienne Démocratique et population

Ministère de la Santé, de la population et de la Réforme Hospitalière

Ecole de formation paramédicale de Biskra

Direction des études et des stages

Mémoire professionnel de fin d’études

Manipulateur Diplômée d’Etat

Thème

Intérêt de la formation complémentaire de manipulateur

en radiologie Diplômé d’Etat affecte en salle de simulation

Au service radiothérapie de Ouargla

Dirigé par : Elaboré par :

Dr : DJEDDOU Melle : KHATRI MEHDIA

Médecin spécialiste en oncologie radiothérapie

Juin 2011
Remerciement

On remercie tous ceux qui ont participé de loin ou de prés et à la réalisation de

ce modeste travail de fin d’étude


Introduction

La radiothérapie est une méthode de traitement des tumeurs malignes. Elle


conduit à une amélioration des taux de survie à moyen terme, qu’elle soit
utilisée seule, ou en complément d’une chirurgie d’exérèse incomplète, ou enfin
en association avec une chimiothérapie.

La première étape du traitement les tumeurs malignes est une étape essentielle
de préparation. On parle de phase de repérage ou de simulation.

Mon travail est étude de recherche à pour apparaitre l’intérêt de la formation


des Manipulateurs en Radiologie Diplômé d’Etat et leur rôle dans la salle de
simulation, on a prend le cancer cérébrale comme cas de centrage ou simulation.

La tumeur cérébral est un amas des cellules cancéreuses au niveau du cerveau,


on a deux types le primaire et le secondaire (métastase) qui est le plus fréquent;
les causes restent toujours inconnues.

Le centrage soit de cancer cérébrale ou d’autre cancer reste toujours difficile à


pratiqué, il ne se limite pas seulement aux gestes à faire pour mettre en marche
l’appareillage, mais il concerne de l’utilisation d’un certain matériel spécifique à
la pratique de cette tache avec un apport psychologique. L’oncologue
Radiothérapeute, assisté d’un manipulateur, repère la cible sur laquelle les
rayons vont être dirigés et les organes à protéger.

Mon travail comporte deux partie théorique comporte quatre chapitre et la partie
pratique basé sur l’outil d’enquête qui sont l’étude de cas et le questionnaire
dans le but de récolter les données auprès des enquêtes concernés par mon étude.
Problématique

Au service de radiothérapie la simulation ou centrage, son objectif c'est le


repérage le volume cible et permettre aussi la reproductibilité des séances de
traitement au même position de malade, constitue la première étape de
traitement des tumeurs malignes et demande en plus du savoir faire, une
certaine synchronisation des faits et gestes des deux principaux thérapeutes «
Médecin et Manipulateur » et voir même la participation du patient.

Au cours de mon stage en milieu hospitalier au service de radiothérapie et


précisément en salle de simulation à l’hôpital de Ouargla : Il m’a été donné
d’observer et enregistrer de premier abord ; que si la collaboration entre le
médecin et le manipulateur thérapeutes est bien étroite, il n’échappe pas à
l’observateur l’existence d’un certain dysfonctionnement organisationnel.

Dans la salle de simulation, le rôle du manipulateur est primordial dans la


préparation de la salle, du matériel et surtout du patient. Or d’après mes
constations, le dysfonctionnement cité plus haut se traduit par les insuffisances
évidente s relatives à :

- La prise en charge du patient et de sa préparation physique et psychique


- Le manque d’assurance en soi : d’où les manipulations répétées à savoir que
Le programme de formation des Manipulateurs en radiodiagnostic exerçant
actuellement au sein du service ne prévoyaient pas de module intitulé
radiothérapie.
- Le manque d’organisation (expliqué par le temps parfois prolongée de la
séance de simulation).
La question:
Un Stage de quelques semaines en radiothérapie, est-il suffisant pour pallier aux
insuffisances du manipulateur en radiodiagnostic?
Cet état de faits à motivé mon choix de thème pour la réalisation de mon
mémoire de fin d’études. Avec l’espoir que mon travail de recherche théorique
et pratique sur terrain, aboutira à me permettre de répondre en toute objectivité
aux questions et hypothèses préalablement émises.

Hypothèses

Il est plus judicieux de créer une section de formation de Manipulateurs en


radiothérapie que de compter sur la formation continue en cours d’emploi pour
les Manipulateur en Radiodiagnostic.

Objectif de recherche

La présence des manipulateurs dans la salle de simulation est indispensable,

à l'hôpital de Ouargla les manipulateurs en radiodiagnostic ont subi une


formation spécifique afin de pouvoir exercer un rôle à la radiothérapie

Le but de ce travail est de connaitre si cette formation des manipulateurs en


radiodiagnostic est vraiment suffisante pour qu'ils puissent bien faire leur travail.
Délimitation des concepts

Intérêt : curiosité, attention, sollicitude: suivre un événement avec intérêt,


Originalité, importance, nouvelle d'un organe intérêt.

Avoir intérêt à faire quelque chose le faire pour son propre bien.

Formation : action de formé, développement des organes de corps, éducation


instruction.

- Formation professionnelle: ensemble des mesures adoptés pour la formation


des travailleurs, prise en charges par l'état et les employeurs.

Manipulateur, trice : personne qui manipule.

Radiologie : spécialité médicale qui utilise les rayons X ou les ultrasons pour
obtenir des images d’une partie de corps ou des organes (radiographie,
échographie, TDM, IRM).

Manipulateur en radiologie : est à la fois soignant et médico-technique et sous


le contrôle d'un médecin en imagerie médicale ou radiologie thérapeute.

La salle de simulation : ou le fait la première étape de traitement, c’est la


simulation qui réalise avec le médecin et le manipulateur, ou situe le simulateur
qui permet le repère avec précision la région à traité grâce à des caches
radiologique et à simuler les conditions du traitement.

Radiothérapie : est un traitement locorégional des cancers. Elle consiste à


utiliser des rayonnements pour détruire les cellules cancéreuses en bloquant leur
capacité à se multiplier L’irradiation a pour but de détruire les cellules
cancéreuses.
I-Encéphale

Le cerveau gouverne les mouvements volontaires; l'interprétation et l'intégration


des sensations, la conscience et la cognition.
On divise généralement l'encéphale adulte en quatre régions:
Les hémisphères cérébraux .le diencéphale (le thalamus, l'hypothalamus,
l'épithalamus) le tronc cérébrale(le mésencéphale, le pont et le bulbe
rachidien) et le cervelet.
I-1-Hémisphères cérébraux
Les hémisphères cérébraux composent la partie supérieur de l’encéphale.ils
présentent environ 83 % de la masse du l’encéphale et ce sont les parties les plus
visibles de l’encéphale intact, les hémisphères couvrent le diencéphale et le
sommet de tronc cérébrale.
Dans le plan frontal le sillon central sépare le lobe frontal du lobe pariétal, lobe
occipital, lobe tomporal(les quatre lobes sont nommés déparés les os qui les
surmontent) et le cinquième lobe est appelé lobe insulaire, qui est recouvert par
des parties des lobes temporal, parietal et frontal.
Une coupe frontale de l'encéphale expose les trois régions fondamentales de
chacun des hémisphères cérébraux : le cortex cérébral en surface et dans la
région sous-corticale de substance blanche et de noyaux basaux.
I-2-Diencéphale
Recouvert des hémisphères cérébraux et forme avec eux le cerveau, il est
composé de trois structures: soit thalamus, hypothalamus, épithalamus situées de
chaque coté du 3éme ventricule.
I-2-a-Thalamus
Est de forme ovoïde, il présente de 80 % de diencéphale.
I-2-b-hypothalamus
Couronne du 3éme ventricule, pénétrant par sa partie inférieur dans le
mésencéphale.
I-2-c-Epithalamus
Est la partie postérieur du diencéphale ; il forme le toit du troisième ventricule,
il comprend aussi le liquide cérébro-spinale.
I-3-Tronc cérébrale
De haut en bas le tronc cérébrale est composé du mésencéphale, du pont et du
bulbe rachidien, chacune de ces régions mésure environ 2.5cm de longueur, le
tronc cérébrale est semblable à la moelle épinière sur le plan histologique, c-à-
dire qu’il constitué de substance grise entourée de faisceaux de substance
blanche.
I-3-a-Mésencéphale
Est situé au dessous du diencéphale et au dessus de pont.
I-3-b-Pont
Est la région proéminente du tronc cérébrale comprise entre le mésencéphale et
le bulbe rachidien, il est composé principalement de neurofibres de projection
I-3-c-Bulbe rachidien
Ou moelle allongée de forme conique, est la partie inférieure du tronc cérébrale.
I-4-Cervelet

Dont la forme évoque celle d’un chou-fleur, est la plus grosse partie de
l’encéphale après le cerveau ,il représente environ 11 % de la masse de
l’encéphale, le cervelet est situé à l’arrière du pont et du bulbe rachidien ,il fait
saillies sous les lobes occipitaux des hémisphères cérébraux, le cervelet est
composé de deux hémisphères latéraux et symétrique, les hémisphères du
cervelet, qui sont réunis par une structure médiane en forme de vers, le
vermis.sa surface est parcourue de nombreuse fissures, mais comme celle-ci sont
toutes transversales, des fissures profondes subdivisent chaque hémisphère en
trois lobes.

I-5-Hypophyse
De la taille d'un petit pois, l'hypophyse joue un rôle fondamentale dans la
protection des hormones, elle est des substances nerveuses situées à la base du
cerveau, au milieu de crane
I-6-Substance grise et blanche

La substance grise : représente une accumulation de cellules nerveuses.

La substance blanche: est formé des fibres de conduction c-à-dire de


prolongement des cellules nerveuses qui apparaissent en blanc par leurs
enveloppes blanches (myéline).

II-Protection de l’encéphale

Le tissu nerveux est fragile, une pression même légère peut endommager ; mais
l’encéphale est abrité par une boite osseuse(le crane), des membranes (les
méninges) et un coussin aqueux(le liquide cérébro-spinal), et la barrière hémato-
encéphalique.

II-1-les méninges

Sont trois membranes de tissu conjonctif, elles se nomment de l'extérieur vers


l'intérieur : la dure-mère, l'arachnoïde la pie-mère, elles entourent l'encéphale et
la moelle épinière ainsi que leurs vaisseaux sanguins, en se repliant vers
l'intérieur, le feuillet interne de la dure-mère attache l'encéphale au crane.

II-2-le liquide cérébro-spinal


Est élaboré par les plexus choroïdes à partir du plasma sanguin et il circule à
travers les ventricules et dans la cavité subarachnoidienne, le liquide cérébro-
spinal sert de soutien et de coussin à l'encéphale
II-3-la barrière hémato-encéphalique
Est engendrée par l'imperméabilité relative de l'épithélium des capillaires de
l'encéphale, elle laisse entre l'eau, l'oxygène, nutriments essentiels et les
molécules liposolubles dans le tissu nerveux, mais elle en interdit l'accès aux
substances hydrosolubles potentiellement nuisibles.
III-les ventricules cérébraux
L'encéphale contient quatre ventricules remplis de liquide cérébraux spinal, les
ventricules latéraux se trouvent dans les hémisphères cérébraux, le troisième
ventricule est situé dans diencéphale, et le quatrième est situé dans le tronc
cérébral et il communique avec le canal central de la moelle épinière.
I-Définition de la tumeur cérébrale
Les tumeurs cérébrales présentent une grande variété histologique. Mais malgré
ce polymorphisme, leur approche diagnostique est grandement facilitée par
l'existence d'une répartition préférentielle en fonction de leur localisation et de
.l'âge du patient

II-classification de tumeur cérébrale

: Il existe 2 grands types de tumeurs cérébrales

Les tumeurs bénignes (non cancéreuses): Elles se forment assez lentement et -


restent le plus souvent isolées des tissus cérébraux voisins. Elles ne se propagent
pas à d'autres parties du cerveau et sont généralement plus faciles à extraire par
chirurgie que les tumeurs malignes

Les tumeurs malignes: Elles se forment rapidement. Il est difficile de les -


.départager des tissus voisins

Il est souvent impossible de les extraire entièrement sans endommager le tissu


.cérébral avoisinant

Les tumeurs cérébrales se distinguent aussi selon leur site d’origine


-Les tumeurs primaires prennent naissance directement dans le cerveau
Elles peuvent être bénignes ou malignes. Elles sont nommées selon le tissu dans
lequel elles apparaissent.
-Les tumeurs secondaires ou métastatiques viennent d’ailleurs dans le corps
et ont migré vers le cerveau. Les tumeurs secondaires sont beaucoup plus
fréquentes que les tumeurs primaires. Elles sont toujours malignes. Plusieurs
types de cancer peuvent en être responsables : cancer du sein, cancer du
poumon, cancer du rein, cancer du côlon, etc.
:On classe habituellement les tumeurs cérébrales en

tumeurs intra-axiales développées à partir du tissu cérébral -


tumeurs extra-axiales développées dans les espaces sous-arachnoïdiens -
(essentiellement à partir des enveloppes méningées) ou dans les parois osseuses
.de la cavité crânienne

III-Les symptômes

Varient selon l’emplacement de la tumeur et sa taille. En grossissant, la tumeur


exerce une pression sur certaines zones du cerveau, nuisant à son
fonctionnement normal. Plusieurs symptômes peuvent ressembler à ceux d’un
.accident vasculaire cérébral

:Les symptômes les plus courants sont les suivants

- Maux de tête inhabituels, fréquents et intenses.


- Troubles de la vision : vision embrouillée, vision double ou perte de la
vision périphérique.
- Problèmes d’équilibre et de coordination.
- Troubles de la mémoire et confusion.
- Modification des comportements ou de la personnalité.
- Troubles d’audition (surtout en cas de neurinome acoustique, une tumeur du
nerf auditif).
- Perte de conscience.
IV-Principales tumeurs primitives de l'encéphale
Il est impropre de parler de "cancer" de cerveau car un cancer par définition
métastase, ce qui n'est pas le cas des tumeurs de cerveau. On doit donc utiliser
esseulement "tumeur" de cerveau.
En 1993 la classification de l'OMS (organisation mondiale de la santé) sur les
grades de malignité est la suivante :
- grade 0 : tissu sain, normal
- grade I : bénin
- grade II : bas grade ou pré malin
- grade III : anaplasique ou malin
-grade IV : anaplasique ou très malin
IV-1-Les gliomes
Tumeur du système nerveux développé aux dépens des cellules gliales. Le terme
regroupe différents types de tumeurs cérébrales, bénignes (astrocytome,
oligodendrogliome) ou malignes (glioblastome).
IV-1-a-Les glioblastome
Tumeurs du type gliome dont elle représente 40 à 50% des cas. Elle se localise
dans l'un des deux hémisphères et augmente rapidement de volume. Elle
s'accompagne d'un œdème important (à réduire avec de la cortisone) et se traduit
par des signes neurologiques dus à la lésion des cellules nerveuses (paralysie,
troubles sensitifs) et une hypertension intracrânienne (utilité de dérivations). Le
traitement repose sur l'ablation (si possible), observé a l’âge moyen de l’homme
avec un sexe ratio 3h/2f, la radiothérapie et la chimiothérapie.
IV-1-b-L'astrocytome
C'est une tumeur bénigne ou maligne (anaplasique) du système nerveux
central se développant aux dépens des astrocytes, cellules constitutives du tissu
de soutien qui contrôlent directement l'activité nerveuse. Elles se développent
dans les hémisphères ou dans le cervelet chez les enfants surtout. Ce sont des
tumeurs infiltrantes qui se développent chez l'adulte entre 30 et 50 ans. Ils se
révèlent surtout par des manifestations épileptiques mais leur évolution est très
lente. L'ablation chirurgicale est en général la première étape du traitement. Elle
doit être aussi complète que possible mais elle est rarement totale en raison du
caractère infiltrant de ces tumeurs. Même partielle, elle permet de réduire le
volume de la tumeur et de faciliter le traitement médical complémentaire de
radiothérapie et parfois de chimiothérapie par intraveineuse.
IV-1-c-Les oligodentrocytomes ou oligodendrogliomes
C'est une tumeur rare, généralement bénigne, du système nerveux central qui
affecte les oligodentrocytes, cellules dendritiques dont l'enroulement des dents
assure la gaine de myéline. Il est constitué par la prolifération d'oligendrocytes.
La tumeur habituellement bien limitée est le siège de calcifications. Elle se
traduit par les signes communs aux tumeurs : épilepsie, paralysies, déficits
sensitifs, hypertension crânienne (maux de tête, vomissements). La tumeur est
traitée par ablation chirurgicale, par radiothérapie ou en associant l'une et l'autre.
Le pronostic est favorable mais une récidive est possible.
IV-1-d-Les médulloblastome
Tumeur maligne de la région postérieure de l'encéphale. Le médulloblastome est
assez fréquent parmi les tumeurs de l'enfant. Il se développe dans le vermis
(partie centrale du cervelet) avant de s'étendre aux deux hémisphères cérébraux.
La tumeur se traduit par des chutes fréquentes, des maux de tête provoqués par
une hypertension crânienne.
IV-1-e-Les épendynomes
Tumeur généralement bénigne du système nerveux central développé à partir de
l'épendyme, membrane qui tapisse les ventricules et le canal de la moelle
épinière. Les épendynomes s'observent à tous âges et se situent dans les
hémisphères cérébraux (le siège fréquent est le quatrième ventricule). Ils
entraînent un blocage du liquide céphalo-rachidien et causent une hydrocéphalie.
Le traitement consiste en l'ablation chirurgicale de l'épendyme.
IV-2-Les tumeurs des méninges
Tumeurs se développant à partir des enveloppes du système nerveux, dure-mère,
qui le sépare de la paroi osseuse, pie-mère qui adhère au tissu nerveux,
l'arachnoïde, entre pie-mère et dure-mère.
On distingue
IV-2-a-Méningiomes
13-15 % de la tumeur intracrânienne primitive se développant s à partir de
l'arachnoïde, feuillet moyen du système nerveux central. Survient entre 20 et 60
ans dont 2/3 des cas c’est des femmes.
IV-2-b-Lipomes
Tumeur bénigne développée aux dépens des cellules graisseuses. Ils sont
souvent localisés dans la moelle épinière. Ils forment des masses molles et
affectent l'adulte entre 30 et 60 ans.
IV-2-c-Sarcomes
Tumeurs se développant à partir des tissus conjonctifs d'origine (liposarcome,
ostéosarcome, angiosarcomes, chondrosarcome).
IV-3-Les autres tumeurs primitives
astrocytome fibrillaire protoplasmique -

tumeurs épendymaires -

gliomes mixtes -

tumeurs des cellules méningées méningothéliomateux -

- .tumeur lymphome malin


: I-LE SIMULATEUR

I-1-Définition
C’est l’élément de base pour la préparation des traitements en visualisant les
.structures anatomiques dans le champ d’irradiation

I-2-les composants du simulateur

:L’appareil de simulateur comprend les éléments suivant

I-2-a-Bras

Le bras « gantry » est composé du support et du bras C. ce dernier pouvant


effectuer des rotations selon un axe horizontale de 360°, et il comprend deux
bras radicaux le long desquels le bras porte-collimateur et le bras porte-
.amplificateur d’image peuvent glisser

Collimateur-

Est montré à l’extrémité du bras porte collimateur, il est doté d’une paire de
rails de montage permettant de fixer des accessoires tel qu’un porte-cache, le
collimateur contient un diaphragme réglable limité la zone irradiée au cours de
la simulation, un ensemble des bords de champ de traitement et deux fils
.transversaux formant un croisillon (indique le centre de faisceau)

Tube de RX-

Est monté au dessus du collimateur, il est connecté au générateur à haute


.tension à l’aide d’un ensemble des câbles acheminé à travers le bras

Bloc d’amplificateur d’image-

Comprend le système d’amplificateur d’image et la porte cassette, il monte sur


le bras porte-amplificateur d’image de façon à pouvoir se déplacé
perpendiculaire à l’axe iso centrique radial dans les directions longitudinale et
.latérale

porte cassette-
.Accepte les cassettes standards pour les films 35*43

I-2-b-Table portant le patient

Est une unité de support patient mobile, elle pivote autour d’un axe vertical
isocentrique, le plateau de la table(ou lit) peut se déplacer horizontalement dans
.deux direction perpendiculaire et verticales

La table est dotée de deux panneaux de commandes situés sur les cotés de la
table, à partir de ces boitiers ; tous les mouvements de base du simulateur
peuvent êtres contrôlé, y compris des mouvements qui ont été préréglés depuis
.la console de télécommande de la cabine de l’opérateur

:La table : Les Mouvements

monte et baisse-

Longitudinal -

Transversal -

Rotation plateau -

Rotation socle -

I-2-c-console de télécommande

C’est une unité de bureau situé dans la cabine de l’opérateur qui permet le
contrôle total du simulateur ; elle est connecter à l’armoire centrale par des
: cabines et les matériels accessoires sont

affichage des données-

.L’écran se trouve toujours sur la console

clavier alphanumérique-
Peut êtres connecter à la console pour compléter la paré numérique de la
.console

imprimante-

Peut êtres connecter à la console pour imprimer les données relatives au


.patients et les valeurs des paramètres de configuration

I-2-d-Les lasers

Un sagittale et deux latéraux facilitant les positionnements du malade ; peuvent


êtres mis sous tension et hors tension depuis la console de télécommande et
.depuis les boitiers de commandes locaux situés sur la table

I-2-e-Le conformateur

Dans le cas des techniques simples ne nécessitant pas de dosimétrie 3D, le


.conformateur permet d’obtenir les contours externes du patient

I-3-Le rôle du simulateur

-Détermination de la position du patient et des moyens de contention.


-Repérage: de la région d’intérêt, contenant le volume cible radiologique, les
organes à risques,
-mise place de repères externes.
-Coordonnées des portes d’entrée des faisceaux.
-Visualisation en temps réel des structures contenue dans le champ
D’irradiation et enregistrement de cette image.

I-4-Position du patient

Elle est fonction de la localisation de la tumeur, elle doit être confortable et


reproductible, le, le plus souvent en décubitus dorsal dans certain en décubitus
ventral.
-Les moyens de contention I-5

Le but de la contention est l'immobilisation du patient en vue de réduire les


mouvements du volume cible et par conséquence les marges de sécurité à
.prendre autour du volume cible

I-6-Caractéristique du Générateur

Mode scopie

- Contrôle kV 40 – 125 kVP (variation de 1 kVP)


- Contrôle mA : 1-20 mA (variation de 1 mA)
- Contrôle automatique de la brillance (ABC)
- Contrôle de la vitesse de rotation de l'anode
- Construit dans un tube de protection avec Intégrateur de chaleur.
I-7-Caractéristique d’un appareil de simulation

I-7-a-Iso Centre

C’est un point virtuel qui se trouve à l’intersection de l’axe de rotation du


.collimateur et de l’axe de rotation du bras

I-7-b-Les distances caractéristiques d’un appareil de simulation

DSP: Distance source peau, elle est réserver en faisceau unique, le point de
référence et le point cutané par laquelle pénètre l'axe de faisceau, on appel point
.d'entre, cette technique réservé à la tumeur superficielle

DSA: Distance source axe de rotation du bras (au niveau de l’Iso Centre)

Mesure des distances

.DSA est fixe c’est une caractéristique de l’appareil de radiothérapie

Le télémètre permet de mesurer les DSP du patient


DST (source tissu): elle est réservée pour l'irradiation utilisant plusieurs
faisceaux, le point de référence est le point T qui correspond le plus souvent au
centre du volume

II-Les type du l'amplificateur

Amplificateur de luminance Détecteur numérique

Détecteur analogique Détecteur Numérique

-Amplificateur de luminance -Silicium Amorphe


-diamètre 40cm -Cristal scintillateur Iodure de césium
Images enregistrées
Support analogique; Support numérique

-Film radiologique - Disque dur d'ordinateur

-.Implique de disposer de moyen de Développement de film

III-Acquisition des données anatomiques

L'image à détecteur plan fonctionne avec une fluoroscope à impulsion, certains


fonction du générateur y sont adaptées, le manuel du générateur de rayon X
d'écrit son fonctionnement l'acquisition d'image consiste en les éléments
:suivantes

fluoroscopie -

radiographie par film -

radiographie numérique -

III-1-Contours externes

.Le conformateur associé au simulateur acquisition des contours externe

III-2-Contours internes

Le volume cible et organes à risques sont introduits par le radiothérapeute en


.s’aidant des images radiologiques

:III-3-Le but de l’acquisition des données anatomiques

Simuler sur ordinateur les différentes étapes nécessaires à la réalisation d’un


traitement en radiothérapie.

IV-Les types du simulateur

IV-1-Le simulateur -scanneur


Évolution du simulateur: Une adaptation du support de l’ampli du simulateur
.classique est réalisée pour adjoindre une barrette détectrice (les détecteurs)

IV-1-a-Principe du simulateur scanneur

:Pour réaliser une tomographie

Au cour d’une rotation du bras, en mode scopie des projections sont acquises.
.Un logiciel permet de reconstruire la coupe tomographique

:IV-1-b-Les accessoires de simulateur-scanner

Pour procéder à une acquisition tomographique, il est nécessaire d'ajouter ou de


.retirer certaines pièces du simulateur

- Grille anti diffusion et cassette de film

Le détecteur de l'imageur à détecteur plan est équipé d'un support pour la grille
.et la cassette

Pour procéder une tomographique par rayon il faut retirer la grille anti -
diffusion et la cassette de film

pour procéder à une radiographie par film positionner la cassette de film et -


la grille anti diffusion

pour procéder à une radiographie numérique positionner la grille anti -


diffusion

Il est recommandé de positionner le bras à 0 lors de la manipulation de la grille


.anti diffusion et la cassette de film

Le coin-
Pour procéder à une acquisition tomographique, il est nécessaire de positionner
le coin au niveau de plateau zéro dans la tête de bras, afin de garantir l'équilibre
.d'intensité des rayons X au niveau de détecteur

Réticule (en option)-

Il est nécessaire de retirer le réticule, le réticule est monté dans l'ouverture du


collimateur. Il est maintenu en place sur un coté par deux petits orifices situés
dans le réticule qui sont placés par-dessus deux petites broches situées à
l'intérieur de l'ouverture du collimateur, et sur l'autre coté, par un mécanisme de
.verrouillage chargé par ressort monté sur le réticule

IV-1-c-Avantage

Position de traitement respectée

Temps d‘acquisition : 1 min / coupe

IV-1-d-Inconvénients

Les images tomographiques sont de qualité médiocres mais suffisantes pour


avoir les contours externes et la position des organes à risques adjacents au
.volume cible

IV-2-Le Scanner simulateur

:Pour la radiothérapie le scanner est l’examen de référence

-Restitue les contours sans déformation.


-Prend en compte les hétérogénéités tissulaires.
IV-1-a-Réalisation de l’examen

Pour une localisation donnée, la réalisation des examens d’imagerie doivent


:tenir compte de contraintes liées à

-la radiothérapie
-Systèmes de planification de traitement
:Contraintes liées à la radiothérapie pour l’acquisition des données anatomique

-Patient en position de traitement avec système de contention


 Image avec contour externe (choix du champ de reconstruction)
 Coupes axiales jointives au plan de la table.

V-Les étapes de simulation ou de traçage

V-1-Positionnement, immobilisation et contention

Les moyens utilisés pour assurer l’immobilisation du patient et la


reproductibilité des séances sont les plans inclinés, les cales personnalisées, les
.repose-têtes avec appui buccal, temporal ou frontal, l'appui-bras etc

V-2-La simulation

V-2-a-Le simulateur

Permet de définir et de visualiser sur des images radiologiques les faisceaux de


rayons adaptés aux volumes cibles. Similaire du point de vue radiogène aux
appareils de radiodiagnostic, il s'en différencie par ses caractéristiques
mécaniques qui sont identique celles des appareils de radiothérapie ; Certains
simulateurs peuvent produire des coupes tomographiques axiales numérique
(Simulateur-scanographe)

V-2-b-Scanner simulateur

Sa durée varie entre 30 minutes et une heure. Cette séance consiste à


positionner le patient dans les conditions semblables à celles du traitement, Ce
scanner moderne dispos d'un anneau plus large que les équipements à visée
diagnostique qui est spécialement conçu pour permettre un positionnement
adéquat des patients en radiothérapie. Cet appareil nous permet d'obtenir des
images en 3 dimensions, de déterminer ainsi avec précision les zones à traiter et
à protéger et de définir la balistique du traitement Cette séance est effectuée par
un manipulateur en radiologie sous la responsabilité et le contrôle du médecin.
V-2-c-La simulation virtuelle

Est de plus en plus fréquemment utilisée pour définir la balistique du traitement.


Elle nécessite l’acquisition des données anatomiques du patient grâce à un grand
nombre de coupes tomodensitométriques (scanographe radiodiagnostic).

Le contourage de la tumeur et des organes à risque représente l’une des tâches


importantes de l’oncologue radiothérapeute sur la console de simulation virtuelle.

V-3-Le repérage

Seront définis par l'application sur le corps; de peinture et/ou grâce à de petits
points de tatouage. En raison de la possibilité de taches, il est conseillé de porter
des sous-vêtements usagés le jour du repérage. IL est important de garder ces
repères jusqu'à la première séance de traitement. Parfois ce traçage ne se fait pas
sur la peau mais sur les moyens de contention appelés masques qui sont utilisés
dans certaines localisations (tête et cou) pour éviter de bouger et permettre de
garder toujours la même position

V-4-La dosimétrie:

Après la fin de la simulation on à l'étape de dosimétrie et des calcules physiques


effectuer par le physicien médical pour choisi la meilleur balastique des
traitements.
Rôle et responsabilités des manipulateurs en radiothérapie

Au cours de cette simulation le manipulateur est amené à réaliser des taches bien
:particulières énumérées ci-dessous

1) Préparation de la salle de simulation

Il doit toujours figure dans la salle de simulation le matériel nécessaire à la


réalisation de soins infirmier (pansements, gants, compresses, antiseptiques), un
équipement des premières urgences (oxygène et sonde, aspirateur et sondes,
nécessaire à perfusion, médicaments d'urgence) et les consommables nécessaire
à l'entretien de l'hygiène du plateau de la table (antiseptique).

1-a-matériel d'immobilisation et de contention

Dépend de la localisation à traiter (cranistat, une paire d'appuie-bras, une paire


de repose jambe).

1-b-matériel de repérage

Comprend dans tout les cas : du fil de plomb (pour repérer les cicatrices ,cercler
les ganglions…),un réglet gradué, un compas d'épaisseur, un coxométres, des
marqueurs et de la fuschine ( pour dessiner sur la peau), de l'encre de chine et
des tatoueurs 1-2-3 points (jetable) ,un matériel spécifique est parfois nécessaire
pour certaines localisation tumorales: produit de contraste ( tumeur de
l'œsophage, l'estomac, rectum ou de la vessie) canule de Pouliquen ,sonde de
Foley ou jeu de spéculums pour celles du pelvis.
2-Préparation des dossiers médicaux et techniques

Elle consiste a vérifier que figurent dans le dossier de radiothérapie : les


documents concernant une éventuelle radiothérapie antérieure (fiche de
traitement, clichés radiologique…) et les comptes rendus (intervention
chirurgicales et des analyses histologiques, les documents d'imageries…) et le
plan de traitements

Le radiothérapeute responsable lors la première consultation.

3-Préparation psychologique du patient

Elle consiste principalement à vérifier qu'il bien comprit les explications


antérieures: la finalité et les modalités de la radiothérapie, l'utilité de la
simulation et des marques cutanées, la durée prévue de la simulation et
l'assiduité journalière à ses séances de radiothérapie pour maximaliser les
chances de guérison.

4-l'installation et l'immobilisation du patient

Elle consiste à l'aide à se déshabiller, puis à l'instabilité sur la table, dans


position stable, reproductible confortable, tous en respectant le plan de
traitement et en s'aidant des trois plans des faisceaux lasers et des accessoires de
contention.

5-repérage et simulation

Proprement dits fait en collaboration avec un médecin comprennent:

- adaptation des caractéristiques du simulateur à celle de l'appareil de traitement.

- le repérage des structures non radio-opaque par les procédés (revêtement


cutané, lésions tumorales ou ganglionnaire, etc.).

- injection le produit de contraste (si nécessaire).


- le tracé des marges de sécurité: d'après les protocoles d'irradiation adaptés à
chaque localisation et à chaque type de moyen de contention, ces marges
permettent de définir des volumes à irradier.

- réalisation d'un cliché radiologique par des faisceaux après le repérage par
l'amplificateur de brillance.

- le marquage cutané (tatouage).

- positionnement les caches standardisés (en plomb), ou individuels et


personnalisés (en cerrobend) à partir des clichés de simulation (organes à risque)
par le médecin.

- le relevé des contours externes sur papier millimétrie à l'aide d'un


conformateur.

- le réalisation de coupes scanographique: la radiothérapie s'est modernisée très


rapidement lorsque l'imagerie numérique, grâce aux scanneurs-simulateurs, les
systèmes d'imagerie numérique se sont installés dans les services de
radiothérapie, le manipulateur en radiologie fait l'acquisition de l'imagerie du
patient placé en position de traitement, comme sur un scanner de diagnostic

6-établissements les fiches de traitement

La fiche de traitement est un document essentiel du dossier technique, sur


laquelle figurent:

- information médico-sociale: identité du patient, lieu et mode de séjour


(hospitalisation, domicile, etc.), résumé de l'observation et le plan de
traitement.

- les éléments principaux de dosimétrie (ex: filtre de coins, porte cache,


nombre des caches et leur position).

- la dose par fraction, la dose totale et nombre de séance par semaine.


:La fin de centrage: le centrage se termine par-7

l'aide apportée au patient pour descendre de la table et se rhabiller et si besoin -


.l'appel du brancardier

la mise en ordre du dossier technique, qui est transmis du physicien pour -


réaliser la dosimétrie et le calcul du temps de traitement par fraction (cobalt60)
.ou du nombre de tops par fraction (accélérateurs)


I-Méthodologie de travail

Dans le cadre de réalisation ce travail de recherche dont mon objectif principal


est d'arriver à évaluer d'une manière objective et réelle l’impact de la formation
des manipulateurs au travail dans la salle de simulation.

On a fait la description du service de radiothérapie en générale et la salle de


simulation spécialement et on a utilisé les outils suivants:

- Statistiques
- Etude de cas
- Questionnaire

1-étude statistique: l'étude s'étale sur une période du 13-10-2010 jusqu'à 15-04-
2011, pour les centrages qui se font dans la salle de simulation au centre anti
cancéreux de Ouargla.

2- le questionnaire: est destiné aux manipulateurs du centre anti cancéreux de


Ouargla et comporte 11 questions, sept(07) fermées et quatre(04) ouvertes.

3- étude de cas: il s'agit d’un cas réel au service anti cancéreux de Ouargla au
niveau de la salle de simulation.

Lieu de l'enquête et la population: mon questionnaire a été distribué à un


échantillon de manipulateurs en radiodiagnostic du centre anti cancéreux de
Ouargla.
II-Description du service radiothérapie d'Ouargla

Le service de radiothérapie se trouve dans un bâtiment isolé des autres services,


pour des raisons de mesures de radioprotection avec une épaisseur des murs plus
importante.

Au rez-de-chaussée se trouve tous les étapes de traitement, notamment :

- Trois salles de consultation


- Le bureau de surveillant
- Le bureau de la psychologue
- Une salle d'attente pour la consultation.
- Une salle d'attente pour le traitement et la simulation
En parallèle de celle-ci se trouve

- Le bureau du médecin chef de service


- Son secrétariat
- La salle de physique
- La salle de réunion
- Une salle des ateliers pour la fabrication des caches
Au fond du couloir se trouve deux appareils de traitements qui sont un appareil
de cobalt 60 et la deuxième c'est l'accélérateur linéaire en cours d'installation.

A l'intérieur même de la salle de simulation, on a aussi deux appareils pour la


simulation.

- Un scanner-simulateur qui n'est pas encore utilisé pour la radiothérapie, en


attendant l'installation de l'accélérateur qu'il soit terminé.
- Actuellement on utilise le simulateur-scanner qui se trouve au milieu de la
salle composé essentiellement d'une table mobile, un bras rotatif comprend un
collimateur et une tête.

-A l'intérieur de la tête, on place les accessoires tels que le réticule, le plateau


zéro et le coin, ce dernier est utilisé à la fin de l'étape de simulation pour faire les
coupes tomographique.

-Au coté opposé de la tête se trouve l’amplificateur dans lequel on place la


grille.

- Le manipulateur peut faire des mouvements de la table et du bras à partir


d'une salle de commande séparé de la salle de simulation par une porte blindée
et un vitre plombé ou il peut faire aussi les coups de scopie et un pupitre de
commande, un micro ordinateur spécial, dans cette salle de commande se trouve
aussi la développeuse de clichés.

- A l'intérieur de la salle de simulation, on cite aussi la présence d’une


armoire centrale électrique, ainsi que les faisceaux de laser au nombre de trois
deux latéraux et un sagittal.

- Les moyens de contention tels que les masques thermoformés sont chauffés
préalablement par une chauffe bain.

- Des moyens de positionnement tels que les plaques, les cales, les plans
inclinés et les matelas.

- Les produits consommables comme l'ancre de chine, les aiguilles pour le


tatouage, l'alcool, l'eau distillée, les fils à plomb et les produits de contraste
comme gastrographie.

L'hospitalisation des malades se fera au troisième étage du bâtiment.

Le service de radiothérapie comprend le personnel suivant:


- Un surveillant médical.

- Quatre manipulateurs en radiodiagnostic.

- Cinq médecins spécialistes en oncologie-radiothérapie.

- Un seul physicien médical.

- Deux psychologues.

- Quatre secrétaires.
III-Etude statistique

Cette étude des statistiques est réalisée au niveau de la salle de Simulation du


Centre Anti Cancéreux de l’Hôpital de Ouargla. Elle cible exclusivement les
atteintes cérébrales.

Sur une période qui semble courte du fait de la création récente du service. Par
conséquent ; l’analyse s’étale du 13 octobre 2010 (date de début de l’activité) au
15 avril 2011.

Cette analyse porte sur :

 Le nombre de malades cancéreux


 Le nombre d’atteintes cérébrales
 Les tranches d’âges
 Le sexe.

1 - Nombre de malades admis en salle de simulation

du du Totaux
13/10/2010 01/01/2011
au au
31/12/2010 15/04/2011
Toutes les atteintes
64 72 136
cancéreuses
Cancer Cérébral 4 5 9

Pourcentage 6.25% 6.94% 6.61%


Commentaire : Le nombre de patients atteint de cancer cérébral est minime par
rapport au reste des atteintes cancéreuses. Les chiffres entre le dernier trimestre
2010 et le premier trimestre 2011 sont à peu près égaux.

2 – Selon l’âge

Année <15 ans >15 et < 60 ans >60 ans


2010 0 0% 2 50% 2 50%
2011 1 20% 3 60% 1 20%
Total 1 11% 5 56% 3 33%

Commentaire : je constate que le nombre d’enfants est insignifiant (1/9) la


majorité des atteintes est chez l’adulte < à 60 ans.

3 – Suivant le sexe

Année Femmes Hommes


2010 0 0% 4 100%
2011 2 40% 3 60%
Total 2 22% 7 78%

Commentaire : Le cancer cérébral semble ici toucher plus d’hommes que de


femmes.
Conclusion de statistique

Une étude statistique sur un total de Neuf (09) ne permet pas à mon avis, une
appréciation pertinente et ne reflète certainement pas la réalité. D’après mes
tableaux, je ne pourrais qu’avancer les constatations que : le cancer cérébrale
touche beaucoup plus l’adulte que l’enfant et l’homme plus que la femme.car
certains tumeurs cérébrales ne sont pas pris en charge dans notre service par
manque de matériel nécessaire pour le confectionnement de caches focalisés ou
personnalisés (découpeuse des caches) par exemple: le médulloblastome que
soit chez l'enfant ou chez l'adulte
IV Etude de cas

Présentation du patient

Elle s'agit de B.F, âgée 66 ans d'EL HADJIRA wilaya de Ouargla. Arriver le

20-02-2011 à 10h du matin à l'hôpital Med Boudiaf, service radiothérapie


précisément la salle de simulation, elle est presque inconsciente elle s’agit d’ un
cas d'urgence.

Numéro de dossier 98/2011.

Cas clinique

La sus nommée souffre d'une tumeur cérébrale type de glioblastome, touchant


le coté gauche du cerveau.la patiente a fait une opération chirurgicale au niveau
CHU (centre hospitalier universitaire) de Annaba en date du 30/01/2011, pour
une ablation de la partie tomporo-pariétal et arriver le 14/02/2011 pour la
consultation puis elle est revenue le 20/02/2011 pour le centrage.

Positionnement de la patiente

- Le manipulateur déshabille la patiente avec l'aide de ses accompagnants.

- Installer la patiente sur la table de simulation en décubitus dorsal bien droit ou


elle doit rester toute seule.

- Placer une cale sous la tete de patiente pour bien dégager le cou et élever le
montant.

- Régler la position de la patiente à l'aide des faisceaux laser, ou il doit être passé
par le milieu du corps, l'ombilic, fourchette sternal, le nez et le milieu de front.
La technique

-Le manipulateur enregistre les renseignements de la patiente (nom, prénom,


l'âge …).

- Dans un bain chaud le manipulateur trompe le masque de contention pour


êtres mou autour de la tete de la patiente.

- Le médecin demande au manipulateur de placer le fil à plomb sur la cicatrice


chirurgicale car il a oublié de le placer.

- Le manipulateur assisté avec le médecin pour mettre le masque sur la tete de la


patiente, pour éviter la mobilisation au moment de centrage, à l'aide les
faisceaux de laser.

- Chaque geste qui est fait par le manipulateur, il confirme par le coup scopie.

La technique de centrage de cancer cérébrale est faite en trois étapes: le coté


droite, le coté gauche et les coupes tomographiques.

1-Le coté droite

- Le manipulateur fait tourner le bras à 270°, utiliser la pédale pour faire un coup
de scopie et confirmer vraiment la patiente est à la position demandé.

- Le médecin guide le manipulateur pour délimiter le champ de centrage sur


l'écran de consol, avec un champ en totalité (crane en total, la région de la
tumeur plus vaste) et une collimation de 25°selon la morphologie du crane de la
patiente, avec une marge de sécurité de 2cm.

-Le manipulateur trace le champ de centrage sur le masque (utilisé le sparadrap


et le marqueur), mesure la DSP (distance source peau) égale à 92cm et met une
bie au centre du champ (qui va utiliser pour les coupes tomographies).
- Le médecin traitant entoure l'œil droit dans l'écran de consol pour le protéger
au cours de traitement.

2-Le coté gauche

- Le manipulateur fait tourner le bras à 90° et fait les même gestes qui a fait dans
le coté droite mais avec une collimation de 335°avec les même limite de champ.

- Il trace le champ gauche sur le masque et mesure la DSP qui est égale à
92.5cm (œdème de la tumeur) et met la bie au centre de champ.

- Le médecin met un cache aussi au niveau de l'œil gauche pour le protéger.

- Le manipulateur imprime les clichés du coté droite et gauche et le médecin


rempli la fiche de traitement les dimensions précédents (mesure de champ, DSP,
…).

3-Les coupes tomographiques

- Le manipulateur retourne le bras à 0° pour enlever la grille, le plateau zéro, le


réticule et placer le coin pour faire les coupes tomographies.

- Il fait encore une rotation de bras en 360° pour confirmer que la table et la
patiente sont au milieu.

- Il enlève le fil à plomb.

- Puis il va rester appuyer sur la pédale pour faire les coupes tomographiques, le
bras fait le tournage au 360° et élever son pied jusqu'à le bras arrête.

- Le console fait l'acquisition des images des coupes tomographique.

- Enfin, il enlève le masque et il fait descendre la table et s'habiller la patiente et


à l'aide de ses accompagnants pour sa sortie de la salle et ils attendent quelques
minutes jusqu'à la physicienne prépare les calculs physiques ensuite ils l'on fait
rentrer à la salle de traitement pour la première séance.
- Il imprime les clichés des coupes tomographiques et écrit sur le masque le
Nom, le Prénom et le numéro de dossier de la patiente pour le différencier des
autres masques et enlève les bies.

Conclusion de l'étude de cas

L'étude de ce cas a donné une idée qui implique vraiment les insuffisantes dans
la prise en charge pour les malades cancéreux qui apparait dans le manque de la
préparation psychique de la patiente et ses accompagnants qui est le point
essentiel dans le traitement en générale et surtout la simulation.

Le manque organisation de travail se traduit par le fait d'entré la patiente dans la


salle qui n'est pas encore prête qui cause beaucoup perte du temps.

L'utilisation répéter des coups scopies qui influe sur la patiente et sur le
manipulateur lui-même avec le manque de moyens de protection.

Le manipulateur n'est pas précis dans ses gestes qu'il fait comme il a oublié de
raccorder le fil à plomb à la cicatrice chirurgicale.
V-Analyse des questionnaires

Question 1

Avez-vous déjà suivi une formation spécifique en radiothérapie?

Effectifs Nombre de Pourcentage

Réponses
M.R.X
Oui 04 100%
Non 00 00%
Total 04 100%

Oui
100%

Représentation graphique du tableau 01

Constat et commentaire:

Tous les manipulateurs ont suivi une formation spécifique en radiothérapie, ce


qui explique l'importance de la technicité radiothérapie d'un point de vu savoir et
de savoir faire.
Question 1-1

Si oui, lieu de formation (quel hôpital(s))

-lieu de formation:

Hôpital(s) M1 M2 M3 M4
Centre Pierre Et Marie Curie Alger   
Centre Recherche Nucléaire Alger    
ORAN   
C .H.U Constantine 
TOTAL 4 /4 3/4 1/4 3/4

Constat et commentaire

Si le nombre de terrain de formation apparait sur ce tableau plus que suffisant,


on constate que certains n'ont pas profité pleinement

- M1 a fait la formation au niveau tout les services 4/4 : CPMC Alger, CRN
Alger, ORAN, C.H.U. Constantine.

- M2 et M4 ont fait la formation au niveau des trois services 3/4: CPMC


Alger, CRN Alger, ORAN.

- M3 a fait la formation au niveau seul service 1/4 : CRN Alger.


Question 1-2

Durée de stage (nombre des jours, des semaines, des mois)

Hôpital(s) M1 M2 M3 M4
Centre Pierre Et Marie Curie Alger 45J 21J 21J
Centre Recherche Nucléaire Alger 60J 60J 60J 60J
ORAN 15J 15J 15J
C .H.U Constantine 20J
TOTAL 140J 96J 60J 96J

Constat et commentaire

La durée de la formation des manipulateurs est déférente

- M1 a fait une formation de période de 140 jours.

- M2 et M4 ont fait une formation de période de 96 jours.

- M3 a fait une formation de période de 60 jours.


Question 1-3

A votre avis, cette formation à été théorique, pratique ou équilibrer entre les
deux?

Effectifs Nombre de Pourcentage

Réponses
M.R.X
Théorique 02 50%
Pratique 01 25%
Equilibre 01 25%

Total 04 100%

Equilibre
25%

Théorique
50%

Pratique
25%

Représentation graphique du tableau 1_ 3

Constat et interprétation: La méthode de formation est différente telle que

- 50% des manipulateurs subissent à une formation beaucoup plus théorique.

- 25% des manipulateurs subissent à une formation beaucoup plus pratique.

_ 25% des manipulateurs subissent à une formation équilibre entre théorique


et le pratique.
Question1-4

Pensez-vous que la durée de formation suivie était suffisante pour vous


permettre d'assumer sans difficultés votre rôle au service radiothérapie.

Effectifs Nombre de Pourcentage

Réponses
M.R.X
suffisante 00 100%
insuffisante 04 0%
Total 04 100%

insuffisante
100%

Représentation graphique du tableau 1_4

Constat et commentaire:

100% des manipulateurs disent que la période de formation est insuffisante, ce


qui explique le manque organisation des séances de formation pratique et
théorique.
Question1_5

Avez-vous eu le privilège de prendre en charge des patients en salle de


simulation et/ou de traitement durant votre cursus de formation ?

Effectifs Nombre de Pourcentage

Réponses
M.R.X
Traitement 04 100%
Simulation 01 25%

25% SIMULATION

75% PAS DE SIMULATION

Représentation graphique du tableau 1_5

Constat et interprétation:

-100 % des manipulateurs faits la prise en charge dans la salle de traitement.

-25% des manipulateurs effectués la prise en charge dans les deux salles celle
de traitement et de simulation.

Question 1-6
Trouvez-vous l'organisation de travail aux services ou vous avez effectué votre
recyclage comparable à celle du service de radiothérapie de l'hôpital de
Ouargla?

Effectifs Nombre de Pourcentage

Réponses
M.R.X
Oui 04 100%
Non 00 00%
Total 04 100%

Oui
100%

Représentation graphique du tableau 1_6

Constat et interprétation

L'organisation de travail aux services ou effectuer les manipulateur le recyclage


est le même que l'hôpital de Ouargla, ce qui explique le respect des normes
scientifiques.

Question 2
Avez-vous déjà exercé en salle de simulation du service de radiothérapie de
Ouargla depuis sa création?

Effectifs Nombre de Pourcentage

Réponses
M.R.X
Oui 01 25%
Non 03 75%
Total 04 100%

Oui
25%

Non
75%

Représentation graphique du tableau 2

Constat et interprétation

- 75% des manipulateurs n'ont pas exercé la simulation au niveau de l'hôpital


de Ouargla.

- 25% des manipulateurs capables d'effectuer la simulation.

Question2-1
Si oui, vous présentez des difficultés d'adaptation

Réponses M1
Oui 
Non

Constat et interprétation:

Le manipulateur qui a exercé dans la salle de simulation, présente des difficultés


d'adaptation au milieu de la salle de simulation qui gênent l'effectif d'adaptation.

Question2-2
Si oui, merci de préciser le genre des difficultés

La réponse

Le manipulateur qui exerce dans la salle de simulation trouve des difficultés


qui sont:

- manque de manipulateurs en radiothérapie pour l'aider.

- le matériel qui doit êtres trouvé dans la simulation est incomplet par
exemple les caches focalisés.

Constat et interprétation

Le manipulateur a des difficultés donc il faut adaptés les moyens pour facilité
son travail.

Question2-3

Avez-vous des propositions à faire pour pallier à ces difficultés


La réponse

Les propositions sont:

- Augmenter le nombre des manipulateurs bien formé et recycler soit dans la


simulation et le traitement.

- Dotations du service en moyens matériels (l'équipement)

- Programmer des formations continues périodiques.

Conclusion du questionnaire
Les manipulateurs en radiodiagnostic ont suivi une formation spécifique en
radiothérapie dans différents hôpitaux et en différents durée et période.

Cette formation était plus théorique que pratique.

Cette formation devait se faire dans quatre sites différents avec des objectifs
spécifiques malheureusement ce travail l’exploration à fait ressortir la non
participation des certains manipulateurs à ces différents étapes.

En salle de simulation existe un seul et unique élément.

Le manipulateur exerçant au sein de la salle de simulation trouve de difficultés


sont :

_ Absence le matériel nécessaire.

_ Absence d’aide d’un élément de même fonction.

Ce qui fait émerger un problème lié directement à la formation.

Suggestions
 Les manipulateurs doivent prendre en considération la préparation
psychique des patients souffrants des cancers à la radiothérapie.
 Il faut former des nouvelles promotions spécialisées en radiothérapie.
 Un seul manipulateur dans la salle de simulation est insuffisant, il doit y
avoir au moins deux manipulateurs pour aboutir un travail plus rapide et
plus organiser.
 Pour ces manipulateurs qui exercent dans la radiothérapie une autre
formation continue à une longue durée avec une bonne adéquation entre la
théorie et la pratique pour assurer une meilleure prise en charge des
malades cancéreux.
 Assurer les moyens manquants en la salle de simulation celle de travail
ainsi que la protection contre les rayons pour les manipulateurs.
 La préparation de la salle doit être faite avant l’entrée du patient pour
éviter la perte de temps.

Conclusion générale
Le manipulateur en radiologie au service radiothérapie a plusieurs fonctions : la
préparation de la salle, le matériel et le patient ou son présence est indispensable
dans les différentes étapes de centrage au niveau la salle de simulation.

Sauf que le programme d’enseignement ne lui permet pas de prendre en charge


réellement les patients orienté au service de radiothérapie.

La formation complémentaire suivie en radiothérapie par les manipulateurs en


radiologie est insuffisante.

D’un la nécessité de penser a un autre stratège de formation centré sur la prise


en charge du malade oriente en soins a base des rayonnements ionisants.

Cette formation devra par conséquent comporte des objectifs centrer sur
l’activité de ces professionnels, donc un volume horaire d’enseignements
théorique et pratique conforme aux taches à réaliser a savoir que d’autre lieux.

Cette formation est insérable dans un processus de spécialisation.

Vérification des hypothèses


Aux résultats de l’enquête munie auprès de manipulateur en radiodiagnostic du
centre radiothérapie de Ouargla, deux axes se distinguer à :

_ Insuffisance des cycles de formation suivie.

_ Souhait d’assurer une période plus longue de formation suivi que le


renforcement du personnel technique.

A partir de ces donnés, l’hypothèse est confirmé : il est plus judicieux de créer
une section de formation de manipulateurs en radiothérapie que de compter sur
la formation continue en cours d’emploi pour les manipulateurs en
radiodiagnostic.
Le présent questionnaire s'adresse aux MRX exerçant ou appelés à exercer au
service de radiothérapie du centre anti cancéreux de Ouargla
Il à pour but d'être utilisé comme support dans mon travail de recherche,
puisse-t-il être un élément qui me permettra de pouvoir arriver à confirmer ou
infirmer mes hypothèses avancées.

Préalablement préparé, il sera cependant utilisé sous forme d'interview


plutôt qu'un polycopié distribué.

QUESTIONNAIRE

1- Avez-vous déjà suivi une formation spécifique en radiothérapie?

Oui Non

Si Oui

1.1- Lieu de formation (quel hôpital ?)


……………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………

1.2- Durée du stage (Nombre de jours, de semaines ou de mois)

……………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………

1-3- à votre avis cette formation à été :

Plus théorique Plus pratique équilibrée

1.4- pensez vous que la durée de formation suivie était suffisante pour vous
permettre d'assumer sans difficultés votre rôle au service de radiothérapie?

Oui suffisante Non insuffisante

1.5 Avez-vous eu le privilège de prendre en charge des patients en salle de


simulation et/ou de traitement durant votre cursus de formation?

Oui Non

1.6- Trouvez-vous l'organisation du travail aux services ou vous avez effectué


votre recyclage, comparable à celle du service de radiothérapie de l'hôpital
d'Ouargla?

Oui Non
Si Non, quels sont les points de divergence?

……………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………..

2- Avez-vous déjà exercé en salle de simulation du service de radiothérapie


de Ouargla depuis sa création?

Oui Non

Si Oui :

2.1 avez-vous présenté des difficultés d'adaptation?

Oui Non

Si Oui :

2.2 Merci de préciser le genre de difficultés

……………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………
2.3 Avez-vous une ou des propositions à faire pour pallier à ces difficultés?

……………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………

Exemple sur le questionnaire

2- Avez-vous déjà suivi une formation spécifique en radiothérapie?

Oui Non

Si Oui

1.2- Lieu de formation (quel hôpital ?)


_ Au niveau Centre Recherche Nucléaire Alger.
……………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………

1.2- Durée du stage (Nombre de jours, de semaines ou de mois)

_ 01/03/2010 jusqu’à 31/04/2010

……………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………

1-3- à votre avis cette formation à été :

Plus théorique Plus pratique équilibrée

1.4- pensez vous que la durée de formation suivie était suffisante pour vous
permettre d'assumer sans difficultés votre rôle au service de radiothérapie?

Oui suffisante Non insuffisante

1.5 Avez-vous eu le privilège de prendre en charge des patients en salle de


simulation et/ou de traitement durant votre cursus de formation?

Traitement simulation
1.6- Trouvez-vous l'organisation du travail aux services ou vous avez effectué
votre recyclage, comparable à celle du service de radiothérapie de l'hôpital
d'Ouargla?

Oui Non

Si Non, quels sont les points de divergence?

……………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………..

2- Avez-vous déjà exercé en salle de simulation du service de radiothérapie


de Ouargla depuis sa création?

Oui Non

Si Oui : SANS REPONSE

2.1 avez-vous présenté des difficultés d'adaptation?


Oui Non

Si Oui : SANS REPONSE

2.2 Merci de préciser le genre de difficultés

_ SANS REPONSE
……………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………

2.3 Avez-vous des propositions à faire pour pallier à ces difficultés?

_ SANS REPONSE
……………………………………………………………………………………
Bibliographes

-Techniques d’irradiation des cancers la radiothérapie conformationnelle 2005.

-Manuel d’utilisation du simulateur scanner « Simulix Evolution ».

-Société française de radiothérapie oncologique guide des procédures de


radiothérapie externe 2007.

-Technologie des appareils de radiothérapie-cours-national-des- radiothérapie-


naute 2007, Pascal Loisot, Page 58.

-Anatomie et physiologie humaines, Elaine N.Maried, 4éme édition, 1204 Page.

- Dictionnaire de poche LAROUSSE 2010.

-www.cancer.org.

-www.ligne-cancer.net/article/291-cancer cérébrale.
ERRATA

JE M’EXCUSE AUPRES DE MES CHERES LECTURES ET JURY DES

FAUTES DE FRAPPES, QUE PEUT CONTENIR MON MODESTE

TRAVAIL CAR ELLES SONT INDEPENDANTES DE MON VOLANTE.

MERCI
Tableau de matière

1-Introduction………………….…………………………………………………I

2-Problématique………….…………………………………………………….02

3-Hypothèses…………….…………………………………………………….03

4-L'objectif de recherche………………………………………………………03

5-Délimitation des concepts…………………………………………………...04

PARTIE THEORIQUE

CHAPITRE-I- ANATOMIE DU CERVEAU

I-Encéphale………………………………………………………………… ….05

II-Protection de l'Encéphale…………………...……………………………….08

III-Les ventricules cérébraux………………………………………………..….08

CHAPITRE-II- TUMEUR CEREBRALE

I-Définition de tumeur cérébrale……………………………………………….09

II-Classification les tumeurs cérébrale………………………………………....09

III-Les symptômes……………………………………………………………...10

IV-Principales tumeurs primitives d'Encéphale…………………………...…...10

CHAPITRE-III- LA SALLE DE SIMULATION

I- Le simulateur………..…………………………….…………………..……..14

II-Les type de l'amplificateur .………………………………………………….18

III-Acquisition des données anatomiques………………………...……………19

IV-Les type du simulateur……………………………………..……………....19


CHAPITRE-IV- LE ROLE DES MANIPULATEUR DANS LA SALLE DE
SIMULATION

I-Le rôle et responsabilité des manipulateur en radiothérapie……………….…24

PARTIE PRATIQUE

I-Méthodologie de travail………………………………………………………28

II-Description de service radiothérapie et la salle de simulation…...………….29

III-Statistique…………………………………………………………………..32

IV-Etude de cas…………………………………………………………..……35

V-Analyse le questionnaire ………………………………………………..….39

Suggestions…………………………………………..……………………51

Conclusion…………………………………………………..…………….52

Vérification des hypothèses………………………………………………..53

ANNEXE

BIBLIOGRAPHE

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