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Le
Magnésium
est
l’un
des
micronutriments
les
plus
utiles
à
l’organisme
car
il
régule
de
très
nombreuses
fonctions
dans
l’organisme,
dont
la
synthèse
d’énergie,
il
active
également
plus
de
300
systèmes
enzymatiques
essentiels
à
notre
vie,
il
participe
à
la
transformation
du
glucose
en
énergie
(ATP)
au
cœur
de
nos
cellules(
mitochondries)
;
en
l’absence
de
Mg,
l’ATP
est
très
vite
détruit
;
il
est
anti
inflammatoire
et
antiallergique
et
particulièrement
importante
au
niveau
nerveux
et
cérébral
puisqu’il
favorise
le
passage
de
l’influx
nerveux
entre
les
cellules,
il
influe
donc
sur
le
rythme
cardiaque
et
sur
la
relaxation
musculaire
(
donc
de
façon
plus
large
la
contraction
des
muscles…des
vaisseaux
sanguins,
digestifs…respiratoires…et
donc
l’asthme-‐
voir
les
études
de
L.DURLAC,
Magnes
Res,
2005),
agit
comme
un
anti
stress,
anti
dépresseur,
anti
sclérosant
et
anti
athéromateux
(J.Loeper,
Progr.
Méd
1975),
calmant,
et
il
agit
tant
au
niveau
des
l’ARN
et
l’ADN
que
des
télomères
à
l’extrémité
des
chromosomes
(l’état
de
stress
influe
sur
le
raccourcissement
des
télomères
par
abaissement
de
l’activité
de
la
télomèrase
qui
n’agit
qu’en
présence
de
Mg
(travaux
de
E.BLACKBURN,
université
de
Californie).
Son
apport
est
en
général
insuffisant
:
on
a
calculé
que
la
femme
s’alimentant
‘normalement’
(
1700
calories)
recevait
au
maximum
204
mg
de
Mg
et
l’homme
(
2200
calories)
264
mg
….donc
loin
des
recommandations
qui
ont
été
fixées
pour
l’Europe
à
375
mg
par
jour.
De
plus
s’ajoute
à
ce
manque
d’apport
(
de
100
à
220
mg
par
jour)
un
phénomène
de
surutilisation
par
le
stress…les
médicaments
absorbés,
les
perturbations
hormonales,
la
génétique,
et
surtout
son
métabolisme
est
très
capricieux
quand
l’organisme
manque
….de
ses
‘
co-‐facteurs’
de
métabolisation…
!
Du
fait
le
magnésium
-‐
dont
on
a
beau
se
supplémenter
-‐
reste
dans
le
sang
sans
rentrer
là
où
il
doit
exercer
ses
actions
:
au
cœur
de
la
cellule.
Pour
rattraper
une
carence
–
surtout
si
elle
est
importante
–
alors
qu’elle
touche
au
fonctionnement
fondamental
de
l’organisme,
l’alimentation
ne
suffit
plus,
un
apport
spécifique
est
obligatoire.
Malheureusement,
il
existe
une
barrière
temporelle
qu’il
va
falloir
lever
si
on
veut
dépasser
les
20
jours
(habituellement
recommandés
puisque
que
l’on
a
constaté
qu’il
n’était
plus
absorbé
au
delà…)
et
rendre
le
traitement
efficace.
Parce
qu’à
l’état
actuel,
la
prise
de
magnésium
classique
se
solde
par
un
échec
:
au
bout
de
quelques
jours,
il
ne
fait
plus
aucun
effet.
Pour
trouver
la
réponse
à
cette
‘
limite
d’absorption
du
Mg’
On
a
tout
d’abord
suivi
la
piste
‘
forme
de
sel
de
Magnésium
»
car
il
en
existe
bien
plusieurs
formes
puisque
le
magnésium
est
un
atome
(il
fait
partie
des
métaux)
chargé
positivement
qui
s’associe
avec
des
composés
qui,
eux,
sont
chargés
inversement,
c’est-‐à-‐dire
négativement.
Un
peu
comme
des
aimants
qui
s’attirent
par
leurs
pôles.
En
s’associant
ainsi,
la
nouvelle
substance
devient,
en
chimie,
un
«
sel
».
Cette
autre
substance
peut
être
du
sulfate,
du
chlorure
ou
bien
d’autres
composés
:
acide
citrique
(citrate
de
magnésium),
acide
gluconique
(gluconate
de
magnésium),
acide
lactique
(lactate
de
magnésium),
acide
stéarique
(stéarate
de
magnésium),
etc.
Il
existe
donc
de
nombreuses
formes
de
sel
de
magnésium,
les
manipulations
de
laboratoires
plus
à
la
«
mode
»
étant
le
glycérophosphate
de
magnésium
1
(association
de
magnésium
et
de
dérivés
«
phosphate
et
glycérine
»)
et
le
bisglycinate
de
magnésium
(où
le
magnésium
est
associé
a
l’acide
aminé
glycine).
et
par
exemple
pour
1040
mg
de
glycérophosphate
de
magnésium
(
donc
plus
d’1
gramme)
=
120
mg
de
magnésium
élément
seulement
Ce
qu’il
faut
bien
garder
à
l’esprit,
c’est
que
si
l’organisme
(la
cellule)
prend
l’atome
de
magnésium
(Mg,
l’élément
Magnésium),
il
laisse
en
revanche
son
support...
C’est
pour
cette
raison
que
il
vaut
mieux
choisir
le
sels
de
Mg
le
plus
naturel
possible
;
avec
le
Mg
marin
PURIFIE
POUR
N’APPORTER
QUE
LA
FORME
OXYDE
DE
Mg(attention
tout
de
même
à
son
origine
et
son
process
de
purification),
on
revient
à
la
source,
la
mer,
l’origine
de
la
vie,
grâce
entre
autre
à
son
Mg
(
de
‘forme
‘
oxyde
de
Mg
)
et
son
silicium
(
sous
forme
de
silice
colloïdale
naturelle),
sans
même
parler
plus
du
plan
vibratoire…ou
lumineux…(
voir
les
travaux
de
STEINER
et
de
QUINTON
pour
lequel
"il
y
aurait
identité
physique
et
physiologique
entre
l'eau
de
mer
et
le
milieu
interne
de
l'organisme")
Ø Le magnésium dans le corps se répartit de la manière suivante :
On
a
vite
fait
de
saturer
le
sang
en
magnésium
puisqu’on
ne
peut
pas
en
mettre
beaucoup
!
Et
c’est
ce
qui
passe
au
fil
des
jours.
Le
magnésium
pénètre
rapidement
dans
le
sang
(BEAUCOUP
DE
TESTS
SONT
MENES
POUR
‘PROUVER’
LA
MEILLEURE
ABSORPTION
DE
TEL
OU
TEL
SEL
DE
Mg
VIA
DES
PRISE
DE
SANG
MESURANT
DONC
LE
TAUX
DE
Mg
CIRCULANT
DANS
LE
SANG
CE
QUI
NE
VEUT
RIEN
DIRE
CAR
CE
QUI
IMPORTE
C’EST
LE
TAUX
DE
Mg
DANS
LA
CELLULE.
AVOIR
TROP
DE
Mg
DANS
LE
SANG
EST
PLUTOT
PROBLEMATIQUE
!)
2
Sa
biodisponibilité
(capacité
à
entrer
dans
les
cellules)
est
faible.
Ainsi,
en
quelques
jours,
le
sang
se
voit
surchargé
en
magnésium.
Il
ne
fait
alors
plus
effet.
Le
dosage
du
magnésium
sanguin
est
donc
totalement
burlesque.
Il
ne
révèle
pas
grand-‐chose
puisque
la
majeure
partie
du
magnésium
est
ailleurs
!
Il
serait
nettement
plus
judicieux
de
doser
son
taux
dans
les
cellules
(dosage
érythrocytaire
du
magnésium).
Quant
au
magnésium
osseux,
il
ne
peut
pas
se
doser.
Mais
il
suffit
de
s’intéresser
un
peu
à
cet
oligo-‐élément
pour
se
rendre
compte
de
sa
portée
et
de
sa
valeur.
S’il
y
en
a
autant
dans
les
os
et
les
cellules,
ce
n’est
pas
un
hasard.
Ø Le véritable rôle du magnésium, très bien explicité dans l’article de Wladislas BARATH
Le
magnésium
participe
à
plus
de
300
réactions
métaboliques
(3),
mais
on
peut
synthétiser
tout
cela
en
deux
rôles
majeurs
:
1 – Un dépolluant
Il
est
possible
de
considérer
le
magnésium
comme
un
antidote
des
déchets
dans
le
corps.
Chaque
fois
que
l’organisme
produit
ou
est
soumis
à
des
toxines,
il
puise
dans
ses
ressources
magnésiques
pour
les
évacuer.
Ce
qui
explique
pourquoi
80%
de
la
population
en
serait
en
carence,
puisque
nous
vivons
dans
un
environnement
moderne
extrêmement
pollué
(colles,
peintures,
additifs,
etc.).
Le
stress
produit
beaucoup
de
toxines
dans
la
mesure
où
le
corps
est
placé
sous
tension
pour
y
réagir.
On
pompe
donc
dans
les
ressources
et
les
cellules
sécrètent
pas
mal
de
polluants.
Notons
que
n’importe
quelle
production
hormonale
devient
elle
aussi
un
polluant
dès
lors
que
l’organe
cible
ait
été
activé.
Le
foie
est
alors
obligé
de
dégrader
ce
qui
reste
ceci
étant
considéré
également
comme
un
stress,
parce
qu’il
mobilise
des
ressources
pour
dégager
ces
résidus.
Le
magnésium
est
‘en
lien’
avec
le
calcium.
Pour
se
contracter,
le
muscle
a
besoin
de
calcium.
Il
permet
le
spasme.
Pour
se
relâcher,
le
calcium
échange
sa
place
avec
le
magnésium.
Nous
avons
ici
affaire
à
un
bouton
ON/OFF,
ou
Action/Repos,
rendu
possible
par
le
Calcium
et
le
Magnésium.
Sans
magnésium,
le
bouton
reste
activé
en
position
ON.
Le
corps
reste
en
mode
action.
Lorsque
ce
mode
là
a
été
enclenché,
seul
le
magnésium
peut
le
désamorcer.
Le
magnésium
agit
en
quelque
sorte
comme
un
inhibiteur
(
…voire
un
inhibiteur
calcique).
Cette
double
casquette
du
magnésium
explique
son
importance
dans
l’organisme,
mais
aussi
pourquoi
il
est
fortement
probable
qu’un
grand
nombre
de
personnes
en
soit
en
carence.
Plus
l’organisme
est
soumis
à
des
toxines,
plus
les
ressources
magnésiennes
s’amenuisent
et
moins
le
corps
peut
se
reposer,
parce
que
bloqué
en
mode
action.
S’il
ne
se
repose
pas,
il
ne
peut
se
dépolluer
et
fabrique
encore
plus
de
toxines.
Il
est
pris
dans
un
cercle
vicieux,
où
l’individu
voudrait
dormir
et
récupérer,
mais
il
ne
peut
pas
parce
qu’il
manque
la
clé
:
le
magnésium.
Bloqué
en
mode
action,
les
muscles
sont
en
tension
permanente,
le
système
nerveux,
lui,
est
excité
sans
relâche.
Cette
hyperexcitabilité
nerveuse
et
musculaire
auquel
est
soumis
le
corps,
empêche
3
toute
récupération,
ce
qui
explique
tous
les
signes
de
la
déficience
en
magnésium.
Plus
le
déficit
est
important,
plus
il
est
expressif.
Mais
s’il
est
faible
et
chronique,
il
est
insidieux.
Le
corps
ne
récupère
pas.
Il
s’intoxine
:
impression
d’être
dans
un
brouillard
au
réveil
avec
sensation
de
tête
pas
claire
(le
premier
organe
à
pâtir
d’un
sang
pollué
est
le
cerveau)
et
peau
sensible
et
douloureuse,
surtout
au
mollet
L’état d’épuisement débouche sur une fatigue psychique et des pertes de mémoire
Maux de tête (céphalées) et, dans un état d’épuisement avancé, des migraines
Angoisse, spasmophilie (qui révèle des troubles entre calcium et magnésium !), vertiges y compris de l’oreille interne
Hypersensibilité
(bruits,
odeurs
et
touché
sont
disproportionnés).
La
personne
est
véritablement
à
fleur
de
peau
(physiquement)
Crampes musculaires
Tensions permanentes
Extrémités froides
Le
corps
se
fragilise
et
devient
hypersensible.
Tout
est
vécu
comme
agressif.
(Lorsque
la
cellule
se
trouve
en
situation
de
danger,
elle
«
rompt
le
contact
avec
le
milieu
ressenti
comme
menaçant,
se
replie
sur
elle-‐même
et
concentre
sa
force
à
l’intérieur,
afin
de
la
réserver
aux
fonctions
essentielles
à
la
vie,
ce
qui
lui
permet
de
subsister
»
:
loi
de
dilatation-‐rétraction
énoncée
par
le
docteur
Claude
Sigaud,
médecin
lyonnais
du
début
du
XXème
siècle(4).
Cette
loi
est
importante
en
ostéopathie
parce
qu’elle
débouche
sur
des
tests
palpatoires
extrêmement
fiables
et
précis.
De
plus,
elle
explique
aussi
bon
nombre
de
maladies
:
4
-‐
Sur
le
plan
physique
:
l’hypersensibilité
chimique
multiple,
les
migraines,
etc.
-‐
Sur
le
plan
psychologique
:
troubles
du
comportement
et
de
l’humeur,
allant
jusqu’à
la
dépression.
Et
c’est
ce
qu’a
découvert
une
pédiatre
nîmoises…
le
Dr
Marianne
Mousain-‐Bosc
(2)
ayant
remarqué
que
les
mères
dont
les
enfants
étaient
«
hyperactifs
»,
étaient
dans
la
majorité
«
spasmophiles
»,
mettant
en
évidence
une
défectuosité
métabolique
entre
calcium
et
magnésium.
Une
carence
chronique
a
des
répercussions
délétères
sur
le
système
nerveux
central,
engendrant
des
troubles
psychiatriques
qui
n’en
sont
pas
!
Vu
les
répercussions
neurologiques
du
magnésium
sur
le
système
nerveux,
il
est
logique
de
s’intéresser
à
son
lien
avec
d’autres
pathologies
comme
l’autisme.
L’idée
que
l’autisme
n’était
pas
un
trouble
psychiatrique,
mais
bien
la
conséquence
de
troubles
métaboliques
et
neurobiologiques
est
aujourd’hui
admise.
Le
magnésium
est
en
première
ligne
dans
les
troubles
métaboliques,
qui
plus
est,
lorsqu’elle
touche
le
système
nerveux.
Une
moindre
réceptivité
cellulaire
(affection
génétique),
une
insuffisance
en
apport,
des
besoins
accrus
et
une
fuite
cellulaire.
En Europe les recommandations ont été fixées à 375 (MAXI 400) mg de Mg élément par jour pour un adulte
Seul
un
tiers
du
magnésium
que
nous
ingérons
dans
l’alimentation
sera
absorbé
par
les
intestins.
Le
reste
part
avec
les
selles.
L’absorption
se
fait
–
comme
pour
la
majorité
des
micronutriments
–
dans
l’intestin
grêle,
soit
une
heure
après
son
ingestion
et
peut
se
prolonger
jusqu’à
huit
heures
après.
Il
faut
savoir
que
l’absorption
est
plus
importante
lorsque
l’apport
en
magnésium
est
faible.
Malheureusement,
nos
habitudes
alimentaires
ne
nous
apportent
pas
la
quantité
de
magnésium
suffisante.
La
nourriture
industrialisée
ne
nous
nourrit
pas,
pire,
elle
nous
appauvrit
en
minéraux
(parce
qu’il
en
faut
pour
la
digérer!).
Quand
aux
nombreuses
allergies
–
allant
jusqu’à
l’intolérance
au
gluten
–
elles
sont,
entre
autres,
le
fruit
d’une
mauvaise
activité
enzymatique,
résultat
des
kilos
d’additifs
que
nous
retrouvons
dans
nos
assiettes.
En
France,
chaque
individu
ingurgite
4
kg
d’additifs
par
an.
Ceux-‐ci
empêchent
les
enzymes
digestives
de
faire
leur
travail
et
donc
on
fermente,
on
putréfie,
mais
on
n’assimile
plus;
ces
additifs
bloquent
nos
enzymes
digestives
les
blés
et
le
reste
ne
sont
plus
assimilés…la
maladie
céliaque
engendrée
entraîne
des
lésions
intestinales
là
où
les
nutriments…dont
le
Mg…
sont
absorbés…
Les sorties
Le
magnésium
est
éliminé
par
les
reins,
mais
aussi
par
la
peau,
ce
qui
fait
que
la
sudation
–
les
fortes
chaleurs,
l’effort,
le
sport,
les
bouffées
de
chaleur
et
les
dérèglements
pancréatiques
(qui
font
transpirer
la
nuit)
–
épuisent
nos
ressources
minérales.
Mais
d’autres
facteurs
provoquent
également
sa
fuite
:
L’alcool et le café (qui augmentent son élimination par les reins);
Les stress physiques ou émotionnels (le cortisol sécrété en cas de stress augmente la fuite magnésique),
L’excès d’estrogènes (d’où la prédisposition des femmes aux carences…mais aussi des obéses…)
5
La
malbouffe
(générant
une
quantité
colossale
de
toxines
et
donc
la
mobilisation
faramineuse
des
minéraux
dont
le
magnésium
essentiellement);
l’agriculture
intensive
privilégie
le
potassium
qui
est
un
antagoniste
du
magnésium
dans
les
sols.
Ø Pourquoi les cures de magnésium ne suffisent-‐elles pas non plus à combler nos manques ?
Parce
que
si
le
magnésium
entre
facilement
dans
le
sang,
sa
biodisponibilité
(capacité
à
pénétrer
dans
les
cellules)
est
faible.
Or
le
sang
ne
peut
contenir
qu’1
%
du
magnésium
total.
Il
arrive
donc
vite
à
saturation.
Ainsi,
en
quelques
20
jours,
le
sang
se
voit
surchargé
en
magnésium
et
ce
dernier
ne
fait
alors
plus
effet.
Pire,
vous
vous
retrouvez
avec
tous
les
signes
contraires
à
ceux
recherchés.
Pour
éviter
cette
«
intoxication
»,
il
faudrait
que
le
magnésium
entre
plus
facilement
dans
les
cellules,
là
où
il
est
indispensable.
v On
sait
déjà
que
la
vit
B6
lui
permet
une
meilleure
entrée
dans
la
cellule
(La
vitamine
B6
est
administrée
sous
la
forme
de
pyridoxine.
Elle
agit
tout
comme
le
magnésium
sur
le
système
nerveux
(elle
participe
à
la
biosynthèse
de
la
sérotonine.
Si
cette
dernière
venait
à
faire
défaut,
elle
affecterait
l’état
émotionnel,
allant
jusqu’aux
dépressions
sévères),
mais
permet
en
plus
l’absorption
du
magnésium).
Il
ne
faut
pas
non
plus
négliger
les
autres
vitamines
B
car
en
fait
elles
agissent
en
synergie;
l’absence
dans
notre
alimentation
de
la
Vitamine
B1
a
des
effets
catastrophiques
sur
notre
organisme
:
insuffisance
cardiaque,
troubles
neurologiques,
etc…,
l’organisme
humain
n’étant
pas
capable
de
produire
la
vitamine
B1.
Les
vitamines
B
se
trouvent
(
si
le
sol
en
contenait
encore…)
dans
l’écorce
des
céréales
et
activent
les
enzymes
digestives
qui
permettent
la
digestion
des
graines
dont
elles
sont
issues.
Mais
pour
pouvoir
les
extraire
du
son
de
la
céréale
(l’écorce),
encore
faut-‐il
mâcher
(et
à
la
base…avoir
gardé
le
son,
l’enveloppe
de
la
graine…
!
Par
contre
on
aura
intérêt
à
consommer
des
céréales
ou
assimilées…complètes
ET
germées
pour
neutraliser
l’acide
phytique
bloquant
sinon
l’assimilation
des
nutriments).
La
salive,
première
étape
de
la
digestion,
désagrège
l’enveloppe
et
active
les
vitamines.
(On
peut
supposer
qu’en
mâchant
les
comprimés
contenant
la
B1
et
le
Magnésium,
le
produit
ait
encore
plus
d’effet.)
On
trouve
donc
souvent
la
vitamine
B6
(…de
synthèse)
ajoutée
au
Mg
et
pour
autant
le
problème
de
la
moindre
absorption
après
20
jours
de
cure
n’est
pas
dépassé
puisque
les
résultats
ne
sont
pas
au
rendez
vous
longtemps
sur
les
symptômes,
il
manque
bien
quelque
chose
en
plus
de
la
naturalité
de
la
vitamine…
du
totum
et
co-‐facteurs
de
cette
même
vitamine
B
quand
on
sait
que
toutes
les
vitamines
B
agissent
de
concert
les
unes
avec
les
autres
pour
s’auto
activer
;
le
sarrasin
en
est
riche
naturellement
et
le
process
de
germination
breveté
du
sarrasin
de
multistimmul
boost
leur
concentration…)
!
ð l’oxyde
de
Mg
marin
dans
Nutranat
Multi
Stimmul
est
associé
au
carbonate
naturel
et
aux
acides
aminés
naturels
-‐dont
l’arginine
et
la
lysine-‐
du
sarrasin
bio
germé
lui
même
déjà
riche
en
magnésium
et
vitamines
B
dont
B12
ET
B6
,
en
silicium…
:
L’ASSOCIATION
EST
IDEALE
POUR
MENER
A
BIEN
L’ABSORPTION
ET
LA
RETENTION
DU
Mg
DANS
LA
CELLULE
6
Certains
sels
‘liposolubles’
donc
tels
le
glycérophosphate
de
Mg
(-‐le
sel
le
mieux
toléré
au
niveau
des
diarrhées
mais
pas
de
la
biodisponibilité
intrinsèque
pris
seul-‐
cependant
le
phosphate
de
ce
sel
de
magnésium
vient
s'ajouter
au
phosphore
alimentaire
et
aux
additifs
à
phosphate.
En
excès,
le
phosphate
est
soupçonné
de
favoriser
certaines
maladies
métaboliques,
notamment
lorsque
la
fonction
rénale
n'est
pas
optimale.
A
manier
avec
précaution
en
cas
de
troubles
rénaux
et
si
on
consomme
beaucoup
d'aliments
préparés
(riches
en
additifs
aux
phosphates
donc)
ou
d’autres
de
par
la
présence
d’acide
aminés
(d’origine
??)
chélatés
au
magnésium
(
bisglycinate
de
Mg:
glycine
de
quelle
origine…ayant
subi
quel
traitement
?)
sont
réputés
pour
être
plus
favorablement
absorbé
chez
certaines
personnes
(
mais
pas
chez
tous
les
patients
puisque
des
études
montrent
bien
des
cas
de
non
recharge
en
Mg
malgré
la
prise
de
glycérophosphate
de
Mg…).
Les
sels
de
Mg
de
type
glycérophosphate,
bisglycinate…
sont
issus
de
synthèse
en
laboratoire
et
comme
on
le
sait
le
‘
véhicule
du
sel
de
Mg
va
être
relargué
dans
la
lymphe
une
fois
le
Mg
élément
absorbé
;
ces
véhicules
vont
donc
encombrer
le
milieu
puis
la
lymphe
qui
devra
les
gérer.
L’apport
simultané
de
maitaké
bio
et
de
sarrasin
bio
NATURELLEMENT
riche
en
ARGININE
ET
LYSINE
NON
OGM
OU
IRRADIEES
en
plus
des
vitamine
B
NATURELLEMENT
IMBRIQUEES
DANS
LEUR
MATRICE
est
sécuritaire
et
efficace.
Même
débat
de
naturalité
avec
les
formes
de
vitamines
B6
(…ET
AUTRES
B)…
ð En
lui
proposant
une
forme
de
sel
de
magnésium
provenant
du
sel
de
mer
(
mais
sous
la
forme
sélectionnée
oxyde
de
magnésium
et
non
pas
chlorure
–
chlorure=
nigari),
on
ne
prend
pas
le
risque
de
perturber
plus
encore
le
milieu
interne
,
et
on
sait
à
quel
point
les
fluides
du
corps
humain
présentent
de
grandes
similitudes
avec
l'eau
de
mer.
La
forme
‘Magnésium
marin
oxyde
de
magnésium’
(
bien
différente
de
chlorure
de
magnésium
il
faut
le
réaliser)
est
parfois
critiquée
puisque
dans
l’organisme
elle
aura
tendance
à
basifier,
alcaliniser
…Mais
de
nos
jours
l’organisme
ayant
tendance
a
être
tellement
acidifié
:
le
plasma
et
le
liquide
interstitiel
dans
lequel
les
cellules
baignent
sont
majoritairement
en
acidose
!
(Les
sels
de
magnésium
oxyde
ou
carbonate
étant
de
nature
alcaline,
ils
neutralisent
l’acidité
des
tissus
et
participent
ainsi
à
l’équilibre
acido-‐basique,
ce
qui
permet
en
particulier
la
fixation
sur
les
os
des
oligo-‐éléments
tels
que
le
calcium
et
le
potassium.
Le
magnésium
joue
ainsi
un
rôle
important
dans
la
croissance
:
formation
des
os
et
des
dents).
Docteur
Kathy
Bonan,
médecin
nutritionniste,
endocrinologue,
diabétologue
et
spécialiste
des
maladies
métaboliques
sur
Paris
a
découvert
un
élément
capable
de
dépasser
cette
limite:
la
Silice.
La
silice
est
un
minéral
composé
de
silicium.
Le
silicium
et
la
silice
sont
deux
aspects
différents
du
même
élément
chimique
(la
silice
est
en
fait
un
dioxyde
de
silicium
:
SiO2).
On
parle
de
silicium
pour
designer
l’élément
minéral
lui
même,
tel
qu’il
est
fixé
dans
les
tissus.
Pour
le
Dr
Bonan
également
lorsque
l’on
veut
apporter
du
silicium
à
l’organisme
il
nous
faut
utiliser
une
forme
capable
d’être
assimilée,
qui
existe
dans
la
‘nature’,
une
forme
telle
que
celle
sous
laquelle
le
silicium
circule
entre
le
monde
minéral
(sable,
cailloux…)
et
les
organismes
vivants
(plantes,
animaux
ou
être
humain),
via
les
eaux
de
ruissellement
par
exemple
qui
le
transportent
;
il
ne
faut
pas
confondre
silice
colloïdale
(naturelle)
et
la
silice
organique
(de
synthèse).
Ce
n’est
pas
la
même
chose.
La
silice
organique
est
un
terme
fallacieux
parce
qu’il
laisse
supposer
qu’elle
est
naturelle.
Elle
a
profité
à
certains
fabricants
7
• La
collaboration
entre
Magnésium
et
silicium
est
également
posée
d’emblée
comme
le
dit
le
Docteur
Katy
Bonan,
par
le
fait
que
l’une
des
trois
couches
composant
la
terre,
le
‘manteau’
est
appelé
SiMa
car
il
est
essentiellement
constitué
de
Magnésium
et
Silicium.
=>
Dans
l’environnement,
le
silicium
est
un
constituant
essentiel
et
dans
l’océan
c’est
lui
qui
contrôle
le
développement
des
diatomées,
micro
algues
unicellulaires
enveloppées
par
un
squelette
externe
siliceux,
qui
jouent
un
rôle
primordial
dans
la
vie
des
éco
systèmes
marins
et
se
trouve
à
l’origine
des
réseaux
alimentaires
des
nombreuses
espèces.
Les
diatomées
participent
aussi
au
cycle
géochimique
du
silicium
marin
dont
elles
extraient
la
silice
pour
former
leurs
membranes
externes.
Dans
le
monde
végétal,
ce
même
silicium
participe
à
la
structure
des
racines,
tiges,
feuilles
et
même
enveloppe
des
graines
des
céréales.
Cette
silice
naturelle,
colloïdale,
est
donc
un
état
naturel
du
silicium,
c’est
sous
cette
forme
que
le
silicium
circule
tant
dans
les
océans
que
dans
les
organismes
vivants
et
A
L’INVERSE
DE
LA
SILICE
DITE
‘ORGANIQUE’
qui
n’a
rien
de
commun
avec
la
naturelle
mais
si
on
la
confond
bien
souvent
avec
de
la
‘
naturelle’
par
le
fait
que
des
atomes
de
carbone
lui
soit
ajoutés
:
cette
silice
‘
organique’
est
une
silice
artificielle
obtenue
par
synthèse
;
comment
penser
qu’elle
soit
plus
assimilable
que
la
naturelle
forme
sous
laquelle
le
corps
métabolise
le
plus
facilement
le
silicium...
Dans
le
monde
animal
le
silicium
est
présent
dans
les
carapaces…mais
aussi
au
niveau
des
organes,
de
la
peau
et
du
squelette
où
il
joue
un
rôle
de
structure
;
de
même
dans
nos
organismes
le
silicium
s’intègre
aux
molécules
jouant
un
rôle
dans
l’architecture
de
nos
tissus
:
c’est
un
agent
de
structure
et
le
corps
humain
contient
entre
5
et
10
grammes
de
silicium
fixé
en
grande
partie
dans
les
os
et
les
tissus
conjonctifs
mais
cette
quantité
diminuant
au
fur
et
à
mesure
des
ans
cela
pourrait
en
partie
expliquer
l’accélération
parallèle
des
processus
de
vieillissement
;
en
effet
lorsque
les
tissus
perdent
leur
silicium,
leur
qualité
s’altère
ainsi
que
leur
fonctionnement
et
ce
processus
est
amplifié
dans
certaines
pathologies
(
ostéoporose,
athérosclérose…).
Il
relie
l’élastine
et
le
collagène
(
eux
mêmes
riches
en
silicium)
dans
les
tissus
conjonctifs
;
il
contribue
à
la
santé
de
l’os
en
favorisant
l’activité
des
cellules
qui
le
construisent
(
les
ostéoblastes)
et
la
fixation
osseuse
du
calcium
participe
à
la
nutrition
et
au
développement
des
phanères(
peau
et
cheveux),
à
la
souplesse
des
artères,
facilite
l’action
du
Zinc
• Les
propriétés
semi-‐conductrices
du
silicium
jouent
également
un
rôle
primordial
dans
le
corps
humain,
notamment
au
niveau
des
échanges
membranaires
qui
permettent
aux
nutriments
de
pénétrer
au
cœur
des
cellules
au
lieu
de
rester
dans
le
sang,
le
saturant
rapidement
et
empêchant
donc
leur
action;
on
savait
déjà
que
la
vitamine
B6
permettait
un
meilleure
absorption
intestinale
du
magnésium,
une
meilleure
entrée
du
magnésium
dans
la
cellule
mais
celle
ci
ne
suffit
pas
si
le
milieu
est
carencé
en
silice
qui,
naturelle,
est
semi
conductrice
donc
capable
d’agir
sur
les
échanges
ioniques
au
niveau
des
membranes
cellulaires
:
la
silice
agit
comme
un
régulateur
métabolique
du
Magnésium
(mais
aussi
du
potassium
via
l’activation
d’une
enzyme
gérant
l’entrée
du
K
dans
la
cellule),
optimise
la
répartition
corporelle
du
Magnésium
en
favorisant
les
échanges
membranaires,
aide
à
transférer
le
Magnésium
depuis
le
sang
jusque
dans
les
cellules
des
tissus
mous
(muscles,
vaisseaux,
peau…)
et
dans
le
même
temps
elle
favorise
(
parallèlement
à
la
vitamine
K2
qui
permet
le
transport
du
calcium)
la
fixation
osseuse
du
calcium
afin
qu’il
ne
reparte
pas
encombrer
exagérément
le
milieu
intracellulaire
(et
renforce
donc
la
solidité
du
squelette)
,
(voir
étude
I)
:
la
silice
colloïdale
naturelle
augmente
l’activité
de
l’enzyme
Na/K-‐ATPase,
dont
la
diminution
favorise
une
baisse
du
magnésium
et
une
hausse
du
calcium
intracellulaires.
8
Ø Les
études
sont
nombreuses
concernant
le
rôle
particulier
de
la
silice
pour
augmenter
l’entrée
du
magnésium
dans
les
cellules:
-‐Brasser
par
exemple
a
montré
que
la
prise
de
silice
naturelle
(
non
‘
organique’)
augmente
de
38%
le
taux
de
Magnésium
intracellulaire
(voir
I
I
)
.
Une
étude(I
I
I
)
avait
déjà
montré
que
les
animaux
carencés
en
silicium
voyaient
leur
taux
de
calcium
et
de
magnésium
osseux
diminuer
rapidement.
Ces
études
confirment
ce
que
Clayden
avait
déjà
affirmé:
il
existe
une
forte
attraction
entre
le
silicium
et
le
magnésium
(voir
IV)
Le
rôle
régulateur
de
la
silice
a
été
également
mis
en
lumière
en
ce
qui
concerne
l’aluminium.
Cet
Oglio
élément
non
essentiel
devient
rapidement
toxique
lorsqu’il
s’accumule
dans
les
tissus
;
la
silice
colloïdale
s’oppose
au
risque
d’excès
en
agissant
comme
un
«
antagoniste
»
qui
neutralise
l’aluminium.
Des
études
ont
montré
que
l’aluminium
est
d’autant
plus
toxique
que
l’apport
alimentaire
de
silice
colloïdale
est
faible
(V),
que
nous
perdons
80%
DE
NOTRE
SILICIUM
ENTRE
LA
PUBERTE
ET
LA
FIN
DE
VIE
et
le
risque
d’ALZHEIMER
est
diminué
lorsque
l’eau
de
boisson
est
riche
en
silice
colloïdale
(VI)
L’
AJR
en
silicium
en
Europe
est
d’environ
30
mg
par
jour
pour
les
fonction
du
corps
;
et
au
vu
de
la
pollution
en
aluminium
de
notre
corps,
ce
silicium
est
largement
attiré
par
l’aluminium
et
peu
ou
pas
reste
disponible
pour
l’organisme
et
ses
fonctions
justement
…dont
le
maintient
osseux
du
calcium,
l’ouverture
de
la
cellule
au
Magnésium…
ð L’apport
journalier
doit
donc
être
plus
conséquent,
or
l’alimentation
d’aujourd’hui
en
apporte
peu
:
sols
carencés
et
de
moins
en
moins
d‘apports
en
légumes,
céréales
complètes
(voir
VII)
Ø LA
CONSOMMATION
ALIMENTAIRE
MOYENNE
de
silice
est
de
20
à
50
mg
chez
les
populations
Européennes
et
Nord
Americaine
[14].
Ø La
consommation
quotidienne
de
silice
est
plus
élevée
en
Chine
et
en
Inde
(140–
200 mg/Jour
[52,
53].
Il
se
trouve
que
ces
deux
pays
ont
également
la
plus
faible
prévalence
de
fracture
de
la
hanche
comparé
aux
autres
régions
du
monde
[54].
• Pour
compléter
ses
apports
la
silice
colloïdale
naturelle
constitue
la
solution
la
plus
efficace
puisque
c’est
la
forme
sous
laquelle
le
silicium
est
le
plus
facilement
assimilé
par
l’organisme.
Aucun
risque
de
toxicité
n’est
signalé
avec
cette
forme
biodisponible
de
silice.(Voir
VIII)
ð Dans
la
machinerie
animale,
la
silice
est
un
grain
de
sable
essentiel
parce
qu’il
permet
la
pénétration
des
oligo-‐éléments
à
travers
la
membrane
cellulaire
et
les
rend
ainsi
disponible
aux
cellules.
Or
les
cellules
sont
de
véritables
usines
dont
les
milliards
de
réactions
chimiques
se
font
grâce
aux
oligo-‐éléments.
Sans
eux,
pas
de
production,
pas
de
division
et
pas
de
vie
non
plus.
ð AINSI
selon
les
travaux
du
dr
Bonan,
son
livre
Les
secrets
de
la
force
du
magnésium
et
les
études
cliniques
citées,
EN
ASSOCIANT
SILICE
NATURELLE
ET
MAGNESIUM
ON
ENGENDRE
:
1-‐L
‘
ENTREE
OPTIMALE
DU
Mg
AU
CŒUR
DES
CELLULES
(EN
FAISANT
DE
LA
‘PLACE’
puisque
la
silice
(parallèlement
à
la
K2
qui
va
l’y
transporter)
PERMET
AU
CALCIUM
de
se
fixer
au
SQUELETTE
pour
ne
par
revenir
‘dans
‘
la
cellule
prendre
la
place
du
Mg.
9
ð Mais
il
faut
également
répartir
la
prise
sur
la
journée
pour
ne
pas
saturer
le
sang
en
une
seul
fois.
Pour
le
comprimé
Nutranat
Multi
Stimmul
de
Magnésium
associé
aux
vitamines
B
et
Silice,
mâchez-‐le.
C’est
important
pour
l’assimilation
des
vitamines
B
;
il
est
plus
intéressant
de
faire
des
cures
de
3
mois
de
prise
de
Magnésium,
entrecoupées
d’un
mois
de
repos.
2-‐AINSI QUE LA REPARATION CELLULAIRE (QUE LA SILICE ENGENDRE DANS LES TISSUS)
3-‐ ET ENFIN LA PROTECTION CEREBRALE en agissant CONTRE LA FIXATION DE L’ALUMINIUM
Conclusion :
Il
n’est
jamais
dit
est
qu’il
est
difficile
pour
le
corps
d’absorber
le
magnésium
au
delà
de
20
jours…
sauf
si
on
connait
le
secret
de
la
silice.
Il
semble
‘difficile’
de
faire
passer
‘
l’information
car
cela
implique
d’aller
‘
contre’
les
grands
noms
de
la
‘nutrithérapie’
qui
travaillent
pour
les
grandes
marques
de
la
nutrithérapie
donc
auxquelles
les
consommateurs
accordent
du
crédit
du
fait
du
matraquage
marketing
qu’elles
ont
les
moyens
de
faire
!!
L’association
Magnésium
+
Vitamines
B
+
Silice
permet
de
prolonger
la
prise
de
magnésium
sur
plusieurs
mois
et
les
résultats
positifs
de
l’association
portent
selon
le
docteur
Bonan
sur
le
surpoids
(on
relance
les
chaudières
comburant
les
calories
pour
fabriquer
l’ATP),
les
douleurs,
le
stress,
les
troubles
de
l’humeur
et
de
‘l’(hyper/hypo)activité’
physique
comme
mentale,
le
sommeil,
la
fatigue
et
je
rajouterai
la
fatigabilité,
les
contractions
et
spasmes
‘visibles’
ou
non…(muscles,
canaux,
vaisseaux...de
tout
l’organisme)
Un
organisme
ne
peut
récupérer
–
et
donc
guérir
–
que
si
le
système
nerveux
ralentit.
En
plus
d’être
un
puissant
dépolluant,
le
magnésium
a
la
propriété
de
rendre
l’atmosphère
neuronale
sereine,
propice
aux
changements
et
la
guérison,
indispensable
pour
se
sevrer
de
n’importe
quelle
substance
(y
compris
le
tabac),
pour
se
désintoxiquer,
pour
perdre
du
poids,
améliorer
sa
mémoire,
soulager
les
douleurs
ou
tout
simplement
dormir
et
récupérer.
REFERENCES
:
2
Le
chlorure
de
magnésium
:
un
remède
miracle
méconnu
de
Marie-‐France
Muller
aux
éditions
Les
Pratiques
Jouvence.
3
La
solution
magnésium,
Trouble
du
comportement
et
de
l’humeur,
du
Dr
Marianne
Mousain-‐Bosc
aux
éditions
Thierry
Souccar
4
Visages
et
caractères,
Dr
Corman,
p
20-‐23,
Editions
PUF,
1987
I
«
The
action
of
excessive
inorganic
Silicon
on
the
mineral
metabolism
of
calcium
and
Magnesium.J.Najda,
in
biological
Trace
Element
Research,
vol
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:
«
Oral
toxicity
from
elemental
or
organic
silicon
has
not
been
identified
in
animals
or
humans
even
when
rats
and
mice
have
been
fed
up
to
1000
times
the
normal
dietary
intake.
Patients
on
dialysis
may
accumulate
silicon
because
renal
failure
prevents
the
excretion
of
silicon.
Serum
silicon
levels
up
to
ten
times
normal
have
been
reported
in
patients
with
renal
failure,
but
no
adverse
effects
have
been
associated
with
these
levels
[27,
28].
There
have
been
rare
cases
of
silica
renal
stones
in
patients
who
were
also
consuming
large
quantities
of
magnesium
in
the
form
of
magnesium
trisilicate
antacids
[22,
29].
Thus,
adverse
effects
from
oral
silicon
have
not
been
observed
in
healthy
individuals.
»
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