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Confirmatio Formulation
n/Refutation d’une
de hypothèse
l’hypothèse
Analyse des
données
Il faut aussi vérifier les sources. La fiabilité de sources dérive d’une méthode d’évaluation
entre les pairs, d’une révision élaborée entre spécialistes. Par exemple, il existe des
bases de données qui permettent de vérifier le degré de fiabilité des documents, comme
google scholar. On prend aussi en considération le fait qu’un expert soit cité plusieurs
fois dans une base de données ou dans la presse. Plusieurs données n’ont pas des bases
scientifiques, parce qu’elles ne sont pas vérifiées par des chercheurs. La science passe
sous une phase de confirmation ou réfutation de l’hypothèse. Ces deux mondes n’ont
pas tout à fait la même méthodologie.
• La réfutabilité (dans les sciences il est normal que les données soient réfutables ;
cela marque un passage de la science passé à la science moderne)
• La présence de données
• Un cas isolé ne prouve rien dans la science
• Objectivité : elle est propre de la méthode scientifique
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• Corrélation n’est pas causalité : (ex : Enfants et temps passé sur les portables→
> majeure tendance à abandonner l’école ; il y a une corrélation mais pas une
causalité)
• Transparence, vérifiabilité des sources
• Réplicabilité : les expériences sont réplicables, c’est la communauté des experts
qui doit valider les résultats de la recherche
• Consensus scientifique
Refutabilité
Présence de données
Transparence, vérifiabilité
Réplicabilité
Consensus scientifique
Consensus scientifique → étude de cas : c’est le plus bas degré, qlq’un m’a dit que… Les
médias utilisent toujours la voix du public, ils cherchent à provoquer une identification de la
coté du public
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➢ Titraille : titre de captation (causalité entre confinement et baisse de capacités
cognitives et physiques des enfants) qui augmente le niveau d’importance de la
nouvelle, à travers l’utilisation des adverbes qui remontent à une idée de
dramatisation et danger « nettement ». Il n’y a pas une référence précise, il n’y a
pas des éditeurs (« Selon X »). Puis en procédant dans la lecture, il y a une référence
à la baisse des capacités cognitives des enfants qui corresponde au 40%. Pendant la
période du confinement, la presse a joué sur ses aspects scientifiques, qui n’étaient
pas vérifiés.
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-Article Le Monde : « L’exposition au glyphosate pourrait avoir des effets sur plusieurs
générations »
Cet herbicide pourrait entrainer des modifications génétiques, selon une étude sur des rats
publié dans « Scientifique Reports ».
Article Relatant les résultats d'une expérience qui montre que l'injection d'une dose
relativement importante de glyphosate directement dans le ventre de rats peut entraîner des
maladies pour les générations futures. L'article commence par la phrase : « Une grande
partie de ce que nous mangeons pourrait affecter directement nos petits-enfants »…
Panique dans les ménages ! Or, il est bien connu qu'en toxicologie, tout est question de dose
et de voie d'exposition.
URL : L’exposition au glyphosate pourrait avoir des effets sur plusieurs générations
(lemonde.fr)
En France on commence à parler d’analyse du discours à partir des années 60, puis on
passe à s’intéresser aux disciplines comme la sociologie, l’anthropologie et l’ethnologie qui
entrent dans le cadre énonciatif du discours. Puis, on commence à étudier la pragmatique
anglo-saxonne.
Dimension de la communication:
• Interactionnelle
• Polyphonique : concept de « polyphonie » très important dans la presse
• Plurisémiotique : (verbale, paraverbale, non verbale) ce n’est pas que du verbal,
la communication a plusieurs rôles sémiotiques. Dans ces cas, les images jouent
un rôle fondamental. Par exemple, la presse utilise souvent des images
choquantes pour frapper le public → impact émotif
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transmission linéaire. La communication est réglée par certaines règles sociales, que sont
violées par des effets de spectacularisation.
La communication de masse
• L’expression est utilisée pour la première fois aux États-Unis en 1923 (sociologie), et
arrive en France dans les années 50.
• L’idée de communication de masse, au début, est surtout une idée négative, liée à
l’idée d’un public-masse indifférencié et massif, manipulé par le discours médiatique.
• Les premières études sur les médias en revanche mettent l’accent sur leur nature
de supporte, apparemment transparent et neutre.
• À partir des années 60, on commence à raisonner sur l’impact de l’économie : les
médias sont des techniques, mais sont aussi des producteurs des messages,
contribuant au progrès de l’humanité et ayant une fonction active dans la formation
des savoirs → (Marshall McLuhan : Les médias deviennent des intermédiaires
techniques de communication sociale à la base de la formation de normes sociales –
ils assument la fonction de médiateurs, mais également d’acteurs, car ils organisent,
traitent et sélectionnent l’information.)
• Les analyses critiques du XIXe siècle se focalisent sur les effets sociopolitiques de la
presse
• La première étude consacrée aux effets du discours médiatique : Alexis de
Tocqueville, De la démocratie en Amérique – lien entre développement de la
démocratie et de la presse – met en évidence la fonction sociale de la presse
• Au XIX siècle, on commence à faire des études de « Psychologie des foules », et
l’influence des médias a des effets sur les individus → naissance de la théorie de la
foule (Gustave Le Bon) : en interaction constante avec les moyens de
communication de masse
• Aux années 30-40 : le behaviorisme met l’accent sur le pouvoir de manipulation
exercé par les médias sur le modèle du schéma stimulus-réponse
• Fin années 40 : le courant empiriste s’oppose au behaviorisme sur la base d’études
quantitatives et statistiques (ex. : Les études du Bureau of applied social research)
• Courant de Francfort : pour la première fois, on abandonne la conception des médias
comme de simples supports, et on active la notion d’industrie culturelle – critique
du capitalisme médiatique, qui simplifie et homogénéise la vision de la réalité en
fonction de manipuler les consciences
• Tournant des travaux de Marshall Mc Luhan (années 60) : les médias sont des
techniques transmettant et façonnant les messages, contribuant au progrès de
l’humanité
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❖ Société tribale (fondée sur l’oralité)
❖ Galaxie Gutenberg (née avec l’essor de l’alphabet sur base phonétique - fondée sur la
visualisation)
❖ Planète Marconi (médias électroniques et multimodaux)
Les études les plus récents travaillent surtout sur l’aspect de la réception : « Combien les
séries de télévisées ont contribué à la formation d’une certaine culture de masse ? »
-Sensationnalisme de la presse
-Le rapport qui existe entre la presse officielle et le lecteur n’est un rapport égalitaire : les
contraintes qu’il y a sont économiques. Il a toujours un rapport asymétrique. Les dynamiques
sociales sont assez différentes. En revanche, le rapport entre la presse et le lecteur est
univoque.
L’information doit être partagée et validée par la communauté des pairs. Il y a, donc, un
rapport ambigu entre la science, d’un côté, et les médias, de l’autre. La presse, à ce propos,
se trouve dans une situation plutôt paradoxale. D’un côté, il y a cette coté scientifique et de
l’autre, il y a un côté de persuasion. La presse doit accomplir à ces deux nécessités : la
science et la communication. Par exemple, pendant la pandémie, tous les articles ne
traitaient pas des nouvelles scientifiques, mais chaque journal exposait plutôt son point de
vue (interpréter la littérature et les données).
Modèle linéaire :
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Le premier modèle de communication est un modèle linéaire et univoque, crée par des
mathématiciens, Shannon et Weaver, où on a un émetteur qui transmet un signal à un
destinataire. C’est un modèle univoque et mécanique (1949). Dans cette transposition, il y a
un destinateur qui envoie un message à un destinataire. C’est un modèle des années 60,
qui commence à être utilisé avec les premiers études anthropologiques, sociologiques, etc.
Modèle de Lasswell
Naissance d’un autre modèle qui se déclenche à partir des années 60 (école de Palo Alto,
« Collège invisible »). Dans cette approche orchestrale de la communication il y a des
anthropologues et linguistes comme (Hymes), sociologues (Goffman), psychiatres (Jackson)
et psychothérapeutes (Watzlawick)
-La communication n’est pas simplement linéaire, mais la métaphore choisie est celle de
l’orchestre (est un système à multiples canaux auquel tout acteur social participe à tout
instant. Chacun joue en s’accordant à l’autre)
-La communication n’est pas unidirectionnelle, n’est pas un acte ; mais, un processus dans
lequel chaque acteur influence les autres et chacun est influencé par les autres → principe
de la causalité circulaire ou mutuelle
Formes de la communication :
• Communication directe :
o S’effectue sans intermédiaires
o Synchrone
o Les participants ont une identité bien définie
• Communication médiatisée :
o Utilise un support technique (téléphone, télé…)
o Synchrone ou différée
• Communication mixte :
-Message digital (qui utilise des mots compréhensibles à partir d’un code précis) mais qui
pour être décodé a besoin d’un ensemble de signaux analogiques (geste, intonation,
posture…)
La plupart de la communication ne passe pas par la langue orale ou écrite, mais elle se sert
d’autres moyens : message digital et fonction sociale de la langue, moyens paralinguistiques
et moyens extralinguistiques (gestes, distance, maquillage, etc.)
-ex : l’ethos discursif d’une femme est influencé par un aspect culturel et social
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o Moyens paralinguistiques: (vocaux et non-verbaux, ex. intonation, timbre de la voix,
volume, accent…)
Très importante: dans une communication, 35% est composante verbale, 65% est
composante non verbale
o Prosodie
o Kinésique (langage du corps, enjeu culturel, ex. signe , regard direct…)
o Proxémique (distance corporelle)
1. -Communication individuelle
2. -Communication de groupe
o Balle (2007) distingue les médias sur la base de leur modalité de diffusion et
d’échange:
Groupe 2: les médias de diffusion (qui nécessitent d’un réseau, télé, radio)
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L’information comme contenu
Donc, le monde passé sous des processus de production, réception et interprétation (de
la part du lectorat). Il y aussi une réinterprétation de la part du destinataire. → L’instance de
transformation va à hiérarchiser les informations
Dans la presse, le même événement peut être nommé et construit de façon différente. Par
exemple, pendant la pandémie, elle a été nommée sous plusieurs phases (pandémie, grippe,
peste, etc.)
• Instance de réception: reçoit le message, sélectionne les informations, opère des choix, intériorise
l’information selon de contraintes socio-culturelles
L’information médiatique…
Dès leur débuts (la presse en premier lieu), les médias se sont érigés en partie prenante de
la démocratie contre l’opacité des systèmes autoritaires (la monarchie en premier lieu): ils
ont donc un idéal d’objectivité, dans un but pédagogique:
Cette éthique civique toutefois entre en conflit avec l’industrie médiatique, qui doit
permettre aux médias de survivre en tant qu’acteurs économiques; de cela dérive ce que
Charaeudeau appelle la double tension de l’information médiatique:
« La démocratie nait de plusieurs contradictions : il faut que le plus grand nombre de citoyens ait accès
à l’information, mais tous les citoyens ne se trouvent pas dans les mêmes conditions d’accès à celles-ci ; il
faut que l’information en question soit digne de foi, mais ses sources sont diverses et peuvent être
suspectées de prise de position partisane, sans compter que la façon de les rapporter peut satisfaire à un
principe de dramatisation déformante ; Il faut que les citoyens puissent s’exprimer donner leur opinion,
mais encore faut-il que cette parole soit rendue publique par l’intermédiaire des médias, or ceux-ci ne
s’intéressent à l’anonymat que dans la mesure où ils peuvent intégrer la parole anonyme dans une mise
en scène dramatisante. L’information médiatique est prise dans le piège de ces contradictions : peut être
résumé par la formule suivante : être le plus crédible possible tout en attirant le plus grand nombre
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possible de récepteurs. La finalité du contrat de communication médiatique se trouve en tension entre
deux visées qui correspondent chacune à une logique particulière : une visée de faire savoir, ou visée
d’information proprement parler, qui tend à produire un objet de savoir, selon une logique civique :
informer le citoyen ; une visée de faire ressentir : ou visée de captation, qui tend à produire un objet de
consommation marchande selon une logique commerciale : capter le plus grand nombre pour survivre à
la concurrence. On pourrait penser qu’il s’agit de la même finalité que celle qui définit le contrat de
communication publicitaire dans laquelle on retrouve cette tension entre information pour présenter le
produit et ses qualités et séduire pour amener le plus grand nombre à consommer. Ces deux types de
contrat cependant se différencient en ce que dans le publicitaire, c’est la deuxième visée qui domine,
masquant la première constituant finalement ce qui le légitime : séduire pour vendre ou (ce qui revient
au même) pour faire croire qu’on vende 1. Dans le contrat d’information, c’est la première visée qui
domine, celle du faire savoir, qui relève la vérité, qui suppose que le monde ait une existence en soi et
qu’il soit rapporté avec sérieux sur une scène de signification crédible. La deuxième visée, celle du faire
ressentir ì, devrait être secondaire dans un tel contrat, car contraire à la visée précédente. On pourrait
défendre l’idée inverse et avancer que dans le contrat d’information médiatique comme dans celui de la
publicité, c’est la deuxième visée qui prime et masque la première. Mais tout contrat de communication
se définit à travers les représentations idéalisées qui le justifient socialement et partant le légitiment.
Même si l’on sait que le discours d’information se soutient d’une forte tension du coté de la captation, il
ne serait pas acceptable, a vu des représentations sociales, que celles-ci se fassent au détriment du faire
savoir, alors que cela est parfaitement accepté pour le discours publicitaire. Le jeu de masquage d’une
visée par l’autre est inverse dans les deux contrats ; chacun de ceux-ci tire sa légitimité de la visée
opposée : le contrat médiatique de la visée d’information, le contrat publicitaire de la visée de
captation »
Démocratie- contradictions
-publicité vs presse : les deux moyens de communication sont justifiés par ces deux visées :
d’information et visée de captation
-Visée de transmission
Il y a tout un arsenal des instruments rhétoriques pour captiver l’idée principale dans la
presse.
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MODULE 2- LE LANGAGE JOURNALISTIQUE
LA LANGUE DE LA PRESSE
•En réalité, la presse doit avant tout utiliser un langage accrocheur : présence de jeux de
mots, allusions, néologismes…
•Risque majeur : générer un jargon incompréhensible (voir les critiques de René Etiemble:
“La presse tout entière sabire avec délectation : elle a honte de parler français
Tendances néologiques :
-Les mots accrocheurs : « avec des mots ordinaires on n’épate pas les bourgeois, ni le
peuple ». Recherche des mots à forte charge expressive
-Phraséologie : emploi des locutions imagées et métaphores (surtout dans les titres)
-Allusions et détournements → Vieilles dentelles sans arsenic • Cracher sur les tombes •
Mérimée prospère • Une légion très étrangère • Le coussin germain
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-Fonction de représentation de l’instance de production et de l’instance de réception
-texte de l’OMF qui explique comment il faut nommer le virus, il a créé de sortes des lignes
guide : il faut éviter des noms des groupes sociaux ambigus
-quand on a commencé à appeler le virus sars-cov2 ont a évoqué un autre virus et ceux-ci
a donné lieu à une idée de danger
19 mars 2020 : « En première ligne pour nous nourrir » → (photo : agriculteur qui est en
train de prendre de la salade)
20 mars 2020 : « Nous sommes avec vous » → connivence entre l’auteur et le lecteur
(dialogue)/ on parle de « ligne de front » et d’anciens combattants, à travers la voix d’un
lecteur qui parle
14 avril 2020 : « 11 mai, le début de la fin » → (photo de Macron, indique incertitude)/ aussi
les points de suspension (…)
28 mai 2020 : « Enfin libres ! » (Titres nominaux avec point d’exclamation) → le « nous »,
pronom personnel qui marque une connivence entre auteur et lecteur
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15 juin 2020 : « Un nouveau chemin » → change de métaphore et on reprend la métaphore
du chemin (le mouvement de Macron s’appelle « chemin » et donc évoque son parti
politique) / photo : ça dépend de la politique éditoriale du journal
« Macron reconfine la nuit »→ C’est Macron qui annonce l’imposition des normes (photo :
mère qui embrasse sa fille- impression de peur)
« La course contre la montre » → vaccin : découverte difficile, narration qui transforme les
scientifiques en héros (faire vite, idée de course contre la montre, le temps)
GENRE INFORMATION :
GENRE OPINION :
GENRE SERVICE :
Selon Charaudeau :
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Double tension de l’espace médiatique :
-Information
-Captation
• Du fait à l’événement
-Processus de cadrage (Esquenazi)
-Présence de l’instance énonciative (Benveniste, Amossy, analyse du discours…)
-Jeux de langue (Esquenazi)
-Rapport entre l’instance énonciatrice et réceptrice
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• Problèmes de fiabilité des sources (le fait lui-même, ou des organismes de transmission
des faits, comme les agences de presse, ou encore des organismes officiels ou para-
officiels…
• La cible intellective repose sur l’intérêt du public pour une certaine information
• La cible affective se base sur des réactions essentiellement émotive (le tragique,
l’énorme…
L’événement construit
1) Pour qu’un événement puisse être repéré, il faut que se produise une modification dans
l’état du monde phénoménal génératrice d’un état de déséquilibre, que cette
modification soit perçue par des sujets par un effet de saillance, et que cette perception
s’inscrive dans un réseau cohérent de significations sociales par un effet de « prégnance
»
2) Ex. que des morts (modification d’ordre biologique ou provoqué par l’homme) soient
désignés comme victimes du destin (catastrophe naturelle) ou de la méchanceté
humaine (crime) dépend du regard que le sujet humain porte sur ce fait
Genres journalistiques :
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Elle répond en un minimum des mots aux questions
essentielles : qui ? quoi ? quand ? où ? et
éventuellement comment ? et pourquoi ? C’est une
information parfois sans titre, de 5 ou 6 lignes. Elles ne
sont en général pas isolées mais regroupées. Ex. : les
brèves du jour (actualité)
L’interview → Consiste à
interroger quelqu’un de
représentatif d’un sujet ou au
moins dont le propos sont
significatifs. C’est une démarche
d’investigation qui a pour but
d’obtenir des infos originales,
inédites. Comme l’enquête, il
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prend sa source dans les questions que se pose le journaliste ou/
et le public sur un problème donné. C’est un article explicatif,
qui donne à entendre ; il est très adapté à la vulgarisation car il
fait appel au langage parlé et à la spontanéité
✓ La critique : article écrit par un spécialiste et traitant d’un spectacle, d’une exposition,
d’un livre dans lequel l’auteur exerce son droit de critique.
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L’éditorial : donne le point de vue du journal. Il engage la
rédaction. Il donne à penser. Souvent écrit par le directeur du
journal. C’est un écrit un peu officiel, parfois pompeux et tirant
plutôt vers l’avenir. Il comprend de l’analyse et du
commentaire sur l’événement d’actualité ou sur un thème
dans l’air du temps
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La publicité rédactionnelle : donne l’information pour vendre quelque chose
-séparer le bon grain de l’ivraie → référence à la Bible : renvoi au mémoire collectif (grain
génétiquement modifié)
-Le titre du texte évoque une série d’idées : « qu’un champ impur… « → référence à la
Marseillaise « sang impur » article sur les OGM
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3) Nomination : création des paradigmes « désignationnels » qui ont la fonction d’orienter
dans le texte, surtout en ce qui concerne l’objet du discours
Colza « clandestin »→ Le colza est clandestin, donc doit être éradiqué (connotation
négative)
Le texte sur les OGM est un éditorial, où on fait allusion à la Marseillaise, le champ
sémantique fait référence à la guerre. Dans la deuxième partie, il y a des questions, qui ont
comme idée celle de capter l’attention du publique. On parle de « colza clandestin » et de
« colza transgénique ». Puis, on parle de « guerre » et des « offensives », deux termes qui
font référence à la guerre. Reprise du terme « sillon », qui renvoi à la Marseillaise, présence
du terme « guerre biotechnologique ». Deux termes qui renvoient au champ sémantique de
la guerre sont : « base arrière », « conquête ».
« Une tempête dans une verre d’eau » : fare tanto casino per niente → Fait référence à une
vision réduite de l’adversaire (ministère de l’agriculture et de l’environnement)
Le texte utilise plusieurs locutions figées (« accorder ses violons ») → cela renvoi à une
stratégie de connivence, qui renvoi aussi au deuxième paragraphe du texte.
-idée que la politique n’est pas claire : « Avant que le colza fleurisse et que les pollens et les
abeilles fassent leurs métiers »
MODULE 4- POLYPHONIE
ENJEUX DISCURSIFS DE LA POLYPHONIE
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Aucun membre de la communauté verbale ne trouve jamais des mots de la langue qui soient
neutres, exempts des aspirations et des évaluations d'autrui, inhabités par la voix d'autrui.
Non, il reçoit le mot par la voix d'autrui, et ce mot en reste rempli. Il intervient dans son
propre contexte à partir d'un autre contexte, pénétré des intentions d'autrui. Sa propre
intention trouve un mot déjà habité. → Définition de polyphonie (M. Bakhtine, 1970 : 77)
J’appellerai « énonciation » l’événement, le fait que constitue l’apparition d’un énoncé [...]. Je donne en
effet à ce concept une fonction purement sémantique. Pour qu’il puisse la jouer, je demande seulement
qu’on m’accorde que des énoncés se produisent [...] : ce dont j’ai besoin, c’est que l’on compte parmi les
faits historiques le surgissement d’énoncés en différents points du temps et de l’espace. L’énonciation,
c’est ce surgissement. (Ducrot 1980, pp. 33-34)
• Le sens de l’énoncé n’est que le résultat des différentes voix qui l’ont engendré
Les mots ont une histoire et à travers les mots on peut utiliser la voix des personnages qui
sont prises en compte. Il y a une voix qui s’exprime à travers ses mots : « azur » (Mallarmé).
Il y a des mots qui sont associées le plus souvent à un énonciateur.
« Les premiers de cordées » : métaphore classiste utilisée dans la presse par Macron
« Utilizzatore finale » → termes qui évoquent dans la presse une idée (fait référence au
processus juridique de Berlusconi)
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La notion de polyphonie vient du langage musical, consiste dans la superposition de deux
ou plusieurs mélodies indépendantes, avant un rapport harmonique ou non. La notion de
polyphonie est appliquée à la linguistique. Elle est aussi une mise en scène, de différents
acteurs. L’énoncé est un dialogue cristallisé, ce processus se veut très bien dans la presse,
où il y a une instance dialogale.
Dans ses études, on reconnait cet énoncé comme une mise en scène et ses énonciateurs
sont considérés comme des acteurs du théâtre. On parle aussi de positionnement
énonciatif : c’est la position qui occupe dans l’énoncé chaque énonciateur (un énonciateur
X qui dénonce les OGM, et d’autres qui partage les OGM)
-Notion de reformulation : marque le dialogue entre les voix convoquées, dans lesquelles
les gens sont obligés à reformuler l’énoncé (qui menace la face de l’interlocuteur)
Prenons le cas du discours rapporté, avec un énoncé tel que→ Ex. : Stéphane dit que tout
est réglé : fait entendre deux « voix », ou encore deux énonciateurs : celui qui correspond
au locuteur, ainsi que celui – origine de « Tout est réglé » – qui se trouve désigné par le nom
de Stéphane.
D’une manière comparable, la phrase Il paraît que l’avion a décollé constitue une mise en
scène où se manifestent tant l’énonciateur responsable du point de vue « L’avion a décollé
» que celui qui met cette affirmation à distance, le locuteur s’identifiant à ce dernier. • En
d’autres termes, la pluralité des voix impliquée par l’emploi du terme de polyphonie se
traduit, dans cette perspective, par la pluralité des énonciateurs.
Il parait que l’avion a décollé (il y a toujours deux vois : l’annonce de l’avion qui décolle et
une personne qui dit « Il parait que l’avion a décollé »)
L’instance de production construit les rôles dans le processus d’énonciation : d’un côté, il y
a les énonciateurs, de l’autre côté, il y a les destinataires qui sont convoqués directement
dans le texte.
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Il s’agit plus précisément d’images de différents personnages présents dans le texte,
construits et mis en scène par le locuteur. • Les autres êtres discursifs importants sont la
troisième personne, l’allocutaire et la voix collective. La troisième personne est un être
individuel nommé, susceptible d’être indiqué ou réellement indiqué dans le texte par un
pronom de la troisième personne. L’allocutaire est représenté par tu ou vous et par d’autres
marqueurs qui signalent que la parole est adressée directement à l’interlocuteur (le lecteur).
La voix collective peut être représentée par on, nous, ceux, eux (entre autres) ; elle peut
également être indiquée par une expression concessive, une construction impersonnelle,
un proverbe ou une présupposition
Si Ariel Sharon est assuré d’être élu premier ministre, ce n’est pas que les Israéliens ont
décidé de tourner le dos à la paix. C’est simplement qu’en fait de paix, Ehoud Barak a trop
promis. Et qu’on ne lui pardonne pas l’explosion de haine dans les Territoires. Peu importe
aux électeurs qu’Ariel Sharon en soit en partie responsable, avec sa visite provocatrice sur
l’esplanade des Mosquées, le 28 septembre. L’élection d’Ariel Sharon ne résoudra rien. Au
contraire. L’ancien général porte un stigmate moral indélébile pour sa complicité dans les
massacres des camps palestiniens de Sabra et Chatila, à Beyrouth, en 1982. (Fig 9)
•pdv 1 : (associé à la voix collective) “L’élection d’Ariel Sharon résoudra quelque chose”
•pdv 2 : (associé au locuteur) “L’élection d’Ariel Sharon ne résoudra rien” → Ici, la voix
collective est marquée par on et électeurs. Contrairement au locuteur, le on et les électeurs
sont d’avis que “L'élection d'Ariel Sharon résoudra quelque chose”. Le pdv 1 est ainsi, selon
les indications du (con)texte, associé par un lien de responsabilité à la voix collective. Le
pdv 2 est associé par un lien de responsabilité au locuteur qui prend en charge le pdv 2 et
réfute par là le pdv 1
Ex. : la voix collective est marquée par l’usage des pronoms comme (« on », « électeurs »)
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On reconnaît alors deux types de phénomènes qui interviennent dans l’interprétation de tout
énoncé.
- Convocation de points de vue, d’une part : tout locuteur se positionne ainsi par rapport
aux points de vue « mis en scène » par son discours, à travers la construction de certaines
représentations discursives ; on parle alors de phénomènes qui relèvent de la polyphonie
immédiate.
- Convocation de savoirs accumulés d’autre part, qui constituent une base hétéroclite de
connaissances et de références (politiques, scientifiques, culturelles, etc.) commune à des
individus partageant la même culture ; ces données appartiennent à la sphère de la
polyphonie à distance, et plus précisément à celle de l’interdiscours (savoirs partagés,
proverbes, expressions figées et détournements).
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- Je suis là car je voudrais te parler de vive voix
-La plupart des énoncés négatifs relèvent de la négation polémique, c’est-à-dire qu’ils
font apparaître leur énonciation comme le choc de deux points de vue antagonistes, l’un,
positif, imputé à une première instance énonciative, l’autre, qui est un refus du premier,
imputée à une autre instance. Ce dernier est déduit de l’énoncé négatif ; il est indirect.
Ces propriétés nous font donc envisager cette forme de négation comme un procédé
polyphonique, du fait de la pluralité des points de vue représentés.
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9) Présupposés et sous-entendus : fonctions attribuées au lexique/
L’interdiscours
• Les savoirs partagés (savoirs résidents dans la culture : histoire, géographie, etc.)→
accès à un interdiscours précédent (Ex. : Avant, les quartiers huppés de Tokyo
semblaient des succursales de la Cinquième Avenue. Maintenant, on dirait les
décors d’Amélie Poulain.)
• Les proverbes : font partie de l’interdiscours (Ex. : Quand le courage manque, la
chance galope.)
• Les expressions figées : Arrêter d’enfoncer le clou ! Je me sens déjà assez
coupable! (smettila di mettere il dito nella piaga)
• Les détournements: Ex. : Paris vaut bien un armistice
-voix de l’auteur
-voix de l’interdiscours
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-voix de la personne qui a distribué le sondage
Conditionnel d’altérité énonciative (ligne 2 : Les hommes viendraient de Mars et les femmes
de Venus, ligne 69)
Négation : (ligne 75)→ Pour mettre en relief deux personnages qui disent deux choses
opposées
Le fait d’adapter des notions aux gens, dérive du fait que le langage technique est un langage
identitaire (donc, pas tout le monde a l’accès au domaine de spécialité). Il faut partager avec
la communauté les aspects rituels de la situation, comme dans touts les langages de
spécialité. La langue de spécialité est vraiment perçue comme une langue, c’est pour ça
que pas tout le monde a accès à la communication.
Ex. : vin avec du corps (ça signifie que le vin est acholique, donc qui a une certaine structure,
charpente) → terme extrêmement stricte (connaissait par les locuteurs non-spécialistes,
c’est-à dire les amateurs)
La connaissance doit être compréhensible (on passe par une explication qui est parfois
déformée par rapport au public)
Autre définition plus récente : « Transmission de la science dans des contextes non
formels » (Authier-Revuz, 1982)
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Dans cette action de translation du discours publique à un autre, cette information ne change
pas de forme, mais elle est simplifiée et le mot prend un sens péjoratif. (Définition de Myers,
2003) → La presse n’a pas la tache de donner de l’information de façon précise, mais de
rendre l’information « sexy », c’est-à dire appétible, plus curieuse pour le public.
Dans la presse, il y a l’idée de transmettre une idée précise, qui devient la même pour tous
les lecteurs (l’idée change selon la ligne éditoriale évidemment). Il y a des niveaux de presse
différents : on part d’un niveau base jusqu’à arriver à un niveau plus haut.
Il y a des locuteurs qui connaissent le sujet et des locuteurs qui ne connaissent pas: cela
remonte à l’idée d’asymétrie des locuteurs. Dans la presse, l’asymétrie devient plutôt
accessible pour tous les locuteurs qui lisent le journal.
Il faut avoir un consensus entre les pairs pour parler de légitimité. Aussi le discours
d’autorité (scientifique ou épistémique) est très important.
Comment on peut établir qu’une source est fiable par rapport une autre ? On cherche à
comprendre l’auteur de la source, on regarde aussi la source que je suis en train de lire.
« Sélection naturelle » (Darwin) : il cherche une formulation de la théorie qui soit captivante.
Il n’utilise pas un terme savant, mais il utilise un lexique qui appartient à la langue courante,
qui crée une certaine image. A travers la création de ce terme, sélection naturelle, il voulait
transmettre simplement un message.
« Junk » DNA : qui a crée des effets au niveau de la communauté. Cette première
formulation a des effets négatifs, on abandonne cette idée de « poubelle », pour la remplacer
avec un autre terme. Chaque fois qu’on change de discours on a des reformulations
différentes. Cela permet aussi de créer des messages dans la mémoire collective des
personnes. La chaine de la reformulation a un certain aspect d’orientation, a le but d’orienter
le public (le colza, dans le texte des OGM).
Hétérogénéité énonciative
« Trou de verre »→ métaphore qui vient de l’astrophysique et qui est entrée dans le langage
courant
Les reformulations peuvent être plus ou moins innocentes : cela dépend du message qui
l’auteur veut transmettre
Un peu d’histoire
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On commence à parler de vulgarisation en XVII -ème siècle (Fontanelle, Les Entretiens sur
la pluralité des mondes, 1686). On commence à parler de cela, parce que, dans cette
période, commence la grande révolution scientifique, mais aussi la naissance de la littérature
scientifique. Puis, on passe au XIX -ème siècle à la naissance des revue scientifiques.
Spécialiste- le grand public- le troisième homme (qui peut être aussi un scientifique, qui est
surtout un journaliste, mais il ne fait pas forcément une traduction) ; il y a souvent une
présentation de cette figure (Ex. : Ethos du journaliste vulgarisateur)
Nous avons un discours premier (la personne qui parle) et un discours second (celui qui
traduit les notions d’une façon plus simple ; scientifiques). Le terme doit se positionner d’une
certaine façon par rapport au discours. Il y a le scientifique, le vulgarisateur et le public.
Nomination
L’acte de nomination est très important, il y a des débats dans le discours scientifique afin
d’établir le terme le plus approprié. Nommer un concept signifie marquer sa propriété sur
une découverte sur un concept nouveau. Par rapport aux autres scientifiques : signifie, pour
le scientifique, établir une certaine légitimité d’un mot para rapport aux autres.
Par exemple, dans la presse en 2020, on parle du coronavirus comme : un virus mystérieux
(janvier 2020), un virus inquiétant (2020), mais, encore comme un virus chinois, de Wuhan.
(11/02/2020) : l’OMS communique la nomination officielle du virus → c’est covid-19
Lutte biologique → étude publiée dans une revue scientifique en 2019 « Ledouble »sur la
fréquence de 3 termes (biocontrôle, lutte biologique, protection biologique)
Dans la presse, quand un terme est utilisé plusieurs fois, il est difficile de le substituer ; par
exemple, on utilise dans la presse généraliste les deux termes : lutte biologique et
biocontrôle.
Dan la presse régionale, on tend à reformuler les nouvelles de façon accessible, par rapport
ò la presse nationale.
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Des termes de la langue spécialisée, on peut prendre un terme et le reformuler dans la
presse, en l’utilisation avec une fonction captivante (guerre biologique, arme biologique,
lutte verte)
Hyperstructure : une grande page ou une double page, même discours traité par plusieurs
genres journalistiques.
Outiller : attrezzare
Polémiques qu’il y a eu en France: « Parentalité positive », « enfants qui ont des problèmes
pourraient avoir un haut QI »
-dramatisation
-médiatisation
-Hyperstructure : 3 pages (article principal- très long- article secondaire- document présent
dans le texte- dossier- et le fait de citer le document authentique va à donner de l’authenticité
au texte/ image (« Camel » est substitué par « cancer » : il s’agit d’un jeu de mots, on change
le slogan/ il y a une section « repères » ou on donne le bilan des informations sur les articles/
chronique d’un recrutement raté → c’est un détournement d’une ouvre : il s’agit d’une
ouvrage littéraire écrite par Gabriel Garcia Marquez)
-polyphonie indirecte : (recours à la mémoire collective, aux citations, etc.)/ dans le texte
il y a donc une polyphonie indirecte
• Idée de guerre du tabac : met en scène l’idée de deux armés opposés →(propagande
conduite par les industries de cigarettes vs les scientifiques)
• Verbes : révéler, enrôler (renvoi à la guerre)
Iconographie : tout élément sémiotique qui renvoi à des dessins, tableaux, photos
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Brève : genre d’information, concourt à la fonction persuasive dans l’espace de
l’Hyperstructure
-Cadrage guerrier
• Article 1
• Titre : Coronavirus : les fumeurs moins touchés par le covid-19 ?
• Signature : Salomé Vincendon (l’auteur va à s’exprimer pas en première personne,
mais en troisième personne : majorité du discours indirect)
• L’auteur cite plusieurs études qui donne l’idée que la nicotine fasse bien n’ont pas de
références
• Présence du conditionnel de distanciation/ mitigation énonciative
• Présence de chiffres
Article 2
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• Termes spécialisés : neurobiologiste, patchs nicotiniques, etc.
• Objet du discours : maladie (covid), nicotine
• Positionnement de l’auteur : Effacement
• Présence de chiffres et pourcentages
• Présence de modalisateurs précis : hypothèse (très sérieuse)
Article 3
Covid-19 : la nicotine pourrait avoir un rôle protecteur, une étude est lancée
• Camille Gaubert
• Problématique : le rôle de la nicotine dans la diffusion du Covid-19
• Présence d’une photo : fonction informative et illustrative
• Tweet : fonction persuader
• Objet du discours : Nicotine : décrite de façon positive → première partie du texte
• Objet du discours : Tabac
• Positionnement de l’auteur : effacement → l’auteur cherche a s’exprimer de façon
plus ou oins évidente
• Allusions : cadrage de la guerre
• Inscription du lecteur :
• Inscription de l’auteur : modalisateurs, conditionnels, notamment, complètement, etc.
Article 4
Editorial -genre d’opinion- discours reformulé par l’auteur du texte (La Nicotine, héroïne du
jour ?) vs genre d’information-discours rapporté (direct)
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-article publié le 22 avril et puis modifié
-photo (informative)
-utilisation du conditionnel
L’article, tout au débout du texte, présent les données comme sources qu’il faut vérifier,
mais en avançant dans l’article, l’incertitude devient mineure, jusqu’à arriver à une certitude
constatée avec l’expression dans le dernier paragraphe « Aucun doute pour les médecins ».
La voix qui parle dans l’article est la voix de la science (absence de la voix politique dans ce
texte)
-genre : enquête
-question ouverte : « Danger pour les fumeurs, mais aussi pour les vapoteurs ? »→ étude
conduit par le professeur Santoni, mais le nom de l’étude n’est pas explicité
- Le positionnement est différent, parce que l’article est publié après les études conduites
pendant a pandémie→ « La nicotine pourrait protéger du coronavirus ? » → Évidemment
no, après on discute sur cet aspect dans les autres articles
N.B → Reportage : journaliste qui se déplace et fait une enquête (va sur le lieu)
Enquête : explique les faits, leur causes, leurs conséquences à partir de plusieurs sources
d’informations dont les témoignages
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