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La Lyonnaise (école inventée par des poètes), Lyon était une ville très vivante à l’époque.

La raison
est que cette ville était proche de l’Italie.*
→ renaissance italienne (2e moitié du 16e siècle)

Maurice Scève, Louise Labé

Délie – Maurice Scève


Délie n’est pas le vrai nom de la femme qu’il aime, à l’époque on ne disait pas le vrai nom de la
personne qui était cité dans le poème, c’était une sorte de règle. Pétrarque célébrait une certaine
Laure
Délie est peut être l’anagramme de l’Idée (l’idée est un concept néo-platonicien)
- 10 vers > dizain > 10 syllabes
- la Saône rejoint le Rhône
- certains voient le Rhône comme un homme dure alors que la Saône comme qlqn de doux qui se
jette dans les bras de celui ci
- les 2 fleuves seront séparés avant le couple (c’est-à-dire que c’est impossible) mais il dit
également qu’avant qu’il y ai des disputes dans leur couple les 2 monts seront unis (également
impossible)
- anaphore de « plutôt » (reprise d’un mot au début de plusieurs vers)
- il évoque que les choses soient leur contraire
- opposition entre les fleuves qui remontent qui auraient pour conséquence que son amour pour
Délie diminue
- il ne dis pas « amour », il utilise feu et foie
→ le feu de la passion charnelle et la foie de la confiance, fidélité
→ ferme → solide

autre poème :
- doux mal → l’amour
- douloir → la souffrance devient douce
→ cela continue parce qu’il n’a pas osé y mettre un terme
- au M-A les relations hommes/femmes étaient très codifiés dans la poésie
- regarder, sourire, parler, prendre la main, donner son corps (= don de merci)
- il n’a pas osé demander le don de merci
- relation galante très codée mais qui échoue → embrasement complet de l’âme
- 6 premiers vers : hésitation entre le oui et le non, le silence, tout se disait sans être dit
- l’hésitation se prolonge et est mtn celle de l’âme, elle va vaciller comme la flamme
→ dépassement de l’amour physique, l’âme elle même se met à brûler

Louise Labé

- débat → procès
- le poème est constitué de 2 phrases (la 1ere s’arrête au vers 9)
- « mais » lie les 2, le texte est construit sur une opposition
- ce qui compte pour la poétesse ce n’est pas tant l’amour, c’est l’expression de l’amour
- 1er signe : les pleurs, 2e signe : résiste aux sanglots et réussi à parler un peu, 3e signe : jouer de la
musique et chanter, 4e signe : ne penser qu’à lui > du corps vers l’âme > de plus en plus maîtrisé
- toutes les rimes sont une série de verbes à l’infinitif
- elle veut faire de sa mort le dernier signe de l’amante

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