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Un parasite est un être vivant qui vit aux dépens d’un hôte (ici, l’homme) et qui peut lui causer des
dommages.
On distingue :
Les ectoparasites Les endoparasites
Infestations Infections
Laisser sécher :
Sans chauffage pour éviter la fixation des hématies (qui empêcherait leur destruction)
Horizontalement dans un endroit à l’abri des insectes
La goutte épaisse ne peut être colorée que lorsque celle-ci est complètement sèche (environ une
nuit mais ne pas dépasser 24-48 heures de séchage)
Couvrir
complètement la
préparation de
Giemsa dilué à 3.5
% dans de l’eau
tamponnée à pH
7.2 pendant 20 à
30 minutes
Rôle de Giemsa dans la goutte épaisse :
Double action : hémolyse et coloration
Pas de fixation préalables les globules rouges éclatent et la couche épaisse de sang devient
transparente. Seuls restent sur la lame les leucocytes (au moins les noyaux) et les parasites
éventuels. Les plaquettes sanguines sont parfois bien visibles et forment de petits amas.
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Risque d’auto-fixation si lame non colorée gardée + de 48 h :
Réaliser une hémolyse avant coloration avec du tampon Ph 7.2 pendant 15 minytes
Egoutter ensuite et colorer
Lame combinée : combine les deux techniques précédentes
1) Tout d’abord on dépose une petite et une grosse goutte de sang frais sur la lame porte objet.
2) On prépare d’abord le frottis avec la petite goutte et puis on étale la goutte épaisse en défibrinant.
b) Les selles
Mise en évidence des helminthes et des protozoaires + donne le diagnostic de certitude d’un grand
nombre de parasitose qui quittent leur hôte dans les selles
1. Prélèvement : éviter le contact entre l’urine et les selles (altération des formes végétatives des
protozoaires). Avant la mise en route d’un traitement spécifique
3 jours avant le prélèvement :
Pas de purgation, ni laxatifs huileux
Régime pauvre en légumes, féculents et fruits
Eviter la consommation de foies et de pâtés
Arrêt de médications telles que le bismuth, charbon de bois, mucilage, levures, suppositoires
qui surchargent les préparations et gênent l’examen microscopique
Les selles ne peuvent pas être recueillis (ou conservées) sur du matériel absorbant pour éviter
la dessiccation. Recueil dans les petits pots en plastique à large ouverture
Conservation :
De préférence au réfrigérateur à +4°C si examen réalisé en différé.
Recommandé d’ajouter un produit bloquant les fermentations sans trop altérer les éléments
parasitaires (formol, merthiolate et merthiolate iode formol MIF ou alcool polyvinylique surtout
pour les kystes de protozoaires et les œufs d’helminthes
Dès l’arrivée de l’échantillon au laboratoire
But à déterminer :
La consistance (selles moulées, molles, diarrhéiques, aqueuses, dysentériques)
La présence éventuelle de sang et de glaires
La présence de segments de vers ou de vers adultes
2. Examen microscopique
Se fait soit à l’examen direct et à l’examen du culot d’enrichissement. Permet de voir
(échantillon observé dans la demi-heure) : les formes végétatives d’amibes et de flagellés (mobilité)
Les larves vivantes d’anguillule et les kystes de protozoaires et œufs d’helminthes
Avec et/ ou sans coloration
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Coloration MIF (merthiolate iode formol) : conserve les kystes de protozoaires colorés par
l’iode tandis que les autres constituants des selles sont colorés par l’éosine du merthiolate.
Pour les formes végétatives, les différents éléments du noyau sont brun-noir, les cytoplasmes
apparaissent en rose plus ou moins foncé, les vacuoles digestives sont claires et les inclusions sont
brunes plus ou moins foncées.
Pour les kystes : le cytoplasme est clair sur fond rose et semble verdâtre en opposition, le
noyau est en général déjà coloré par l’iode et les vacuoles sont brun foncé.
Certains œufs sont difficilement identifiables à frais nécessite une technique de coloration =
Coloration de Ziehl-Neelsen modifiée
2.1 Techniques de concentration des selles
Technique utilisée pour concentrer les parasites, trop rares pour être décelés à l’examen direct et
permet aussi de séparer les éléments parasitaires des selles des multiples autres constituants. On
peut distinguer deux groupes de techniques de concentrations.
Technique de sédimentation Technique de flottaison
Les selles sont diluées dans un liquide de densité Les selles sont diluées dans un liquide dont la
inférieur aux éléments parasitaires ⇒parasites se densité est supérieure à celle des éléments
concentrent dans le culot. parasitaires qui se contreront en surface (les œufs
de trématodes, de poids élevé, ne seront pas
retrouvés par cette méthode)
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B) Laisser reposer une minute environ
C) Et récupérer le surnageant dans un tube à centrifuger graduer à fond conique.
5) Centrifuger à 1500-2000 rpm pendant 5 minutes
6) Jeter le surnageant
7) Ajouter de l’eau physiologique au culot, agiter fortement (bouchon) et faire décoller le culot
8) Centrifuger à nouveau
Répéter deux fois l’opération
Après avoir éliminé le dernier surnageant
9) Ajouter environ 9 ml d’eau physiologique formolée à 10 % + agiter fortement le tube
10) Ajouter 3 ml d’éther (ou essence ou acétate d’éthyl), ajouter facultativement 2 gouttes de xylol
11) Boucher hermétiquement le tube et agiter vigoureusement durant 1 minute
12) Centrifuger à 1500 rpm durant 2 minutes : Nous obtenons 4 phases
Ether et graisses
Débris
Eau physiologique (formolée)
Culot de sédimentation contenant les parasites éventuels.
13) Détacher la couche collante (gâteau) avec un bâtonnet en bois + décanter le contenu liquide en
retournant complètement le tube pot à bleach
14) Nettoyer la paroi du tube à l’aide d’un coton et une pince fine
16) Remettre le culot en suspension dans 1 ml d’eau physiologique formolée
17) Prélever le culot de centrifugation avec une pipette et recouvrir d’une lamelle 20 mm x 20 mm
Observation systématiquement au microscope à l’objectif 10 x puis 40 x
2.3 Technique d’analyse
Examen systématique d’une préparation : la recherche des œufs et des larves d’helminthes (et des
formes végétatives des ciliés) se fait à l’objectif 10 x d’un examen à frais. La totalité de la préparation
est systématiquement examinée.
Un examen systématique se fait en regardant une préparation champ après champ, puis bande, sans
laisser d’espace entre les champs ou les bandes.
2.4 Calibration
Le dénombrement microscopique des parasites sera transformé en parasitémie = le nombre
de parasite par µl ou ml de sang
Mais celui-ci demande une calibration des échantillons :
Frottis mince : nombre moyen d’hématies par champs (objectif 100x) afin d’établir le %
d’hématies parasitées.
Compter sur ¼ de champ puis multiplier par 4 et faire une moyenne sur un minimum de 3
champs non contigus.
Goutte épaisse : nombre moyen de leucocytes par champ (objectif 100x) afin d’établir le
nombre de champs à comptabiliser pour atteindre 200 leucocytes
Sur autant de champs que nécessaire pour atteindre 200 leucocytes (quantifier le nombre de
champs)
2.4.1 Numération des protozoaires intra-érythrocytaires en frottis mince
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Compter le nomre de globules rouges par ¼ champs et multiplier par 4 (faire me calcul sur 3-
10 pour avoir une moyenne) = calibration
Compter le nombre moyen d’hématies parasitées par champs + faire le quotient du
Nombre moyen d’hématies parasitées par champs / nombre moyen d’hématies par champs
Nombre de parasites par µl de sang (si la numération leucocytaire du patient n’est pas
disponible, l’OMS recommande d’utiliser la moyenne de 5 000 000 érythrocytes par µl de sang
Remarque : pour les helminthes, compter le nombre de parasite sur toute la préparation via
un examen systématique
2.4.2 Numération des protozoaires en goutte épaisse
Compter le nombre de parasite sur autant de champs qu’il faut afin d’atteindre 200 leucocytes
(nombre de champs = calibration)
Faire le quotient :(Nombre de parasite / nombre de leucocytes comptés) x Numération leucocytaire
Nombre de parasite par µl de sang.
Si la numération leucocytaire du patient n’est pas disponible, l’OMS recommande d’utiliser la
moyenne de 8000 leucocytes par µl de sang
Remarque : pour les helminthes, compter le nombre de parasites sur toute la préparation via un
examen systématique.
2.5 Les mesures au microscope – coefficient micrométrique
Principe : il est possible d’avoir une première estimation de la taille d’un parasite par comparaison
avec un élément de taille connue (les plus souvent globules rouges)
Il est possible d’avoir une estimation de la taille par comparaison avec le diamètre du champ
microscopique observé
En divisant le champ de vision des oculaires par le grossissement des objectifs, on obtient le vrai
diamètre du champ microscopique observé.
Le diamètre (mm) du champ observé :
I n d i c e d e c h a m p(c h a m p d e v i s i o n)
G r o s s i s s e m e n t o b j e c t i f x f a c t e u r d u t u b e ( ¿ 1)
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En observant par cet oculaire on observe simultanément dans l’oculaire l’image de l’objet et la
graduation de l’échelle. On peut donc indiquer immédiatement la grandeur relative d’un objet
microscopique en unités de l’échelle
Toutefois cette mesure ne dit rien sur la dimension réelle de l’objet + ces graduations auront
une valeur différente selon le grossissement de l’objectif du microscope
Le microscope oculaire doit donc être calibré pour chaque objectif de chaque microscope
La calibration consiste à donner une valeur en µm pour chaque graduation et pour chaque
objectif par comparaison avec une mesure de référence. Cette valeur porte le nom de coefficient
micrométrique (ou valeur micrométrique)
La calibration consiste à donner une valeur en µm pour chaque graduation et pour chaque
objectif par comparaison avec une mesure de référence. Cette valeur porte le nom de coefficient
micrométrique (ou valeur micrométrique)
L’échelle (graduation) de l’oculaire reste identique quand on change le grossissement (quand
on passe de l’objectif 10x à l’objectif 40x par ex)
Impossible de mesurer la cellule/ objet
Il faut une référence pour attribuer une valeur à cette échelle.
Pour donner une valeur aux graduations de l’oculaire, nous utilisons en laboratoire une lame
graduée appelée lame micrométrique. La graduation de la lame micrométrique est de 1 mm ou 2 mm
au total.
Contrairement à la graduation de l’oculaire, la graduation de la lame micrométrique va
s’agrandir en augmentant le grossissement de l’objectif
Pour donner une valeur aux graduations de l’oculaire, il faut leur faire correspondre les
graduations de la lame micrométrique (graduations numérotées)
De cette façon, on peut attribuer une valeur à chaque graduation de l’oculaire
L’échelle totale de la lame micrométrique étant de 100 graduations pour 1 mm (1000 µm)
Comment faire ?
1. Remplacer un oculaire usuel (droit ou gauche selon le meilleur œil, mais toujours le même par la
suite) par l’oculaire portant le micromètre
2. Placer sur la platine un micromètre-objet et faire la mise au point sur l’échelle
3. Amener les deux échelles (oculaires et objet) au centre du champ, en parallélisme rigoureux et en
faisant coïncider les zéros
4. Trouver une concordance entre graduation du micromètre-oculaire et du micromètre-objet, en
commençant avec l’objectif le plus faible. La plus grande précision est obtenue en choisissant le plus
grand nombre possible de graduations sur l’échelle oculaire.
5. Compter alors le nombre de graduations de l’échelle oculaire nécessaire pour qu’il y ait
coïncidence avec celles du micromètre-objet, lequel nous donnera la valeur en mm
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6. Un calcul simple permet alors de retrouver le coefficient micrométrique, soit la longueur exprimée
en microns d’une graduation du micromètre oculaire pour un objectif donné.
3. Constituants des selles (faux parasites)
Le diagnostic microscopique des éléments parasitaires de selles est souvent difficile :
Ressemblance entre eux des kystes de protozoaires ou œufs d’helminthes
Présence dans les selles de très nombreux éléments divers leur ressemblant = les pseudo-parasites
La bonne connaissance de ces pseudo-parasites est importante car elle permet d’éviter des
erreurs de diagnostic à l’origine de traitements inutiles et retardant la découverte de la véritable
étiologie.
3.1 Pseudo-parasites
Difficulté du diagnostic différentiel avec les vrais éléments parasitaires :
La taille peut être voisine de celle d’un parasite (importance du micromètre oculaire)
La forme peut être régulière, arrondie, ovalaire, semblable à celle des œufs ou des kystes
La coque peut être mince semblable à celle cdx kystes ou épaisse comme celle de certains
œufs
Mais la structure interne est presque toujours différente de celle des éléments parasitaires.
Les matières fécales humaines sont constituées principalement :
Résidus normalement digestibles à l’alimentation
Les fibres musculaires bien ou mal attaquées
Les lipides, gouttelettes de graisses neutres et cristaux d’acide gras, etc.
De nombreuses bactéries
D’éléments non digérés (surtout d’origine cellulosique)
D’autres éléments non digérés plus difficiles à différencier des vrais parasites
(pseudoparasites)
Des éléments pathologiques tels que le sang, pus
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habituellement différente de celle faite pour les éléments parasitaires, qui eux ont, au contraire,
sédimenté.
Graisses neutres Bulles d’air
Cristaux acides gras : Ce sont des aiguilles fines, de longueur variable, à bords parfois dentés, ils sont
souvent réunis en amas de cristaux.
4. Les techniques d’identification
L’identification d’un micro-organisme consiste à
Lui rechercher de Un certain nombre de De comparer les résultats
manière hiérarchisée caractères (marqueurs aux caractères des souches
phénotypiques et/ou décrites des homologies ou Nommer la souche
génomiques) des similitudes
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Pathotypes, pathovars Chimiotypes
4.3 Taxons d’ordre supérieur
Les espèces qui ont en commun un certain nombre de caractères sont rangées dans un même
genre. Les genres apparentés dans un même famille et ainsi de suite en remontant vers les groupes
taxonomiques de rangs supérieurs.
Marqueurs taxonomiques : Pour identifier des souches inconnues : rechercher un certain
nombre de marqueurs (phénotypiques, génomiques) qui caractérisent les souches et permettent
d’affirmer leur identité ou leur dissemblance.
Les marqueurs phénotypiques sont les plus accessibles et les plus utilisés pour identifier les
souches (définies par des identités génomiques, techniques de biologie moléculaire)
Il pourra exister une différence
Analyse macroscopique :
1. La forme :
2. Le relief :
3. Le contour :
4. La surface :
R (rough-rugeux) M (mucous – muqueuse)
S (smooth-lisse)
5. La taille : mm
6. L’opacité :
Opaques Opalescentes
Translucides
7. La couleur : gamme blanc, gris, beige
Analyse microscopique :
1. Forme :
Coque (rond) Bacille (bâtonnets)
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2. Groupement :
Coccobacille bacille
Diplobacille palisade
Streptobacille
Streptococcus sarcina tétrade amas
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Plusieurs SAS, cascade de dépression
Travail sous hotte, appareil de destruction d’échantillons
Combinaison renforcée, scaphandre, dispositifs à oxygène
Définition :
1. Désinfection : C’est un traitement qui détruit le potentiel infectieux du matériel traité. Il s’agit
le plus souvent de procédés chimiques ⇒ javel
2. Antisepsie : Correspond au phénomène de désinfection mais appliquée cette fois à un être,
tissu vivant. Il s’agit aussi de procédés chimiques ⇒ gel hydroalcoolique
3. Stérilisation : c’est un traitement par lequel on élimine du matériel traité tout micro-
organisme viable. Il s’agit de traitements létaux physiques ou chimiques ; Ce traitement tue les micro-
organismes mais ne les élimine pas du matériel ⇒ flambage/autoclavage
Désinfection du plant de travail à la javel
Le bec bunsen, il crée une aire stérile d’un diamètre d’environ 15-20 cm vers laquelle seront
dirigées les ouvertures des récipients pendant le temps de la manipulation
4. Outils d’inoculation : ensemencement ou inoculation : toute introduction volontaire et
contrôlée de micro-organisme dans un milieu de culture
5. Méthodes de stérilisation :
Chaleur Irradiations
Filtration Vapeurs bactéricides
6. Stérilisation par la chaleur :
Chaleur sèche :
Le processus de stérilisation à la chaleur sèche est accompli par conduction
En effet, la chaleur est absorbée par la surface extérieure du dispositif que l’on veut stériliser
Ensuite la chaleur diffuse dans la couche suivante
Finalement, la totalité de l’élément atteint la bonne température nécessaire pour obtenir la
stérilisation
La chaleur sèche détruit les micro-organismes en provoquant une coagulation des protéines
Le dispositif doit être sec avant la stérilisation car l’eau pourrait interférer avec le processus
Les outils :
Four pasteur ou poupinel
Tubes, erlens à faibles diamètre (tubes munis de bouchons à visser, engager le bouchon,
donner un tour mais ne serrer à fond qu’après la stérilisation)
Récipient à large ouverture
Technique de flambage avec le bec bunsen
Chaleur humide :
La stérilisation à la chaleur humide est affectée au moyen de vapeur saturé et sous pression
Le matériel à stériliser sont placés sur des grilles ou dans des conteneurs perméables à la
vapeur puis exposé à l’action de la vapeur d’eau saturée et sous pression avec des paramètres
temps/ températures déterminés
Les températures à atteindre sont, en principe, de 121°C pendant 20 minutes pour détruire les
bactéries et de 134°C pendant 18 minutes à une pression de 2,2 bars pour les prions
7. Autoclavage : c’est une enceinte qui permet d’amener la vapeur d’eau à une température
supérieur à 100° par augmentation de la pression, le chauffage se faisant à volume constant
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8. Transfert aseptique :
Il s’agit de pouvoir :
Ouvrir et refermer un récipient stérile
Transférer un produit stérile ou non d’un récipient à un autre
Tout en maintenant la stérilité/ asepsie du produit et des récipients
9. Prélèvement :
Soit pour l’opération consistant à prendre un fragment de culture
Soit pour du matériel ou liquide recueilli en vue d’examens de laboratoire
10. Ensemencement ou inoculation : toute introduction volontaire et contrôlée de micro-
organismes dans un milieu de culture
11. Repiquage : transfert d’une culture pure dans un milieu neuf, pour maintenir sa viabilité ou
pour en étudier les caractéristiques
12. Isolement : technique destinée à obtenir une culture pure à partir d’un échantillon contenant,
ou supposé tel, une population mixte de micro-organismes
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