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Administration / Citoyens COMMENTAIRE 2371

2371 Maintien des relations de travail : la nécessité d’un transfert


d’une entité économique autonome

Solution. – En retenant un critère de l’entité économique autonome identique à celui utilisé par la
Cour de cassation, le Conseil d’État contribue à harmoniser les jurisprudences rendues en matière
de poursuite des relations de travail en cas de transfert d’activité d’une structure privée à une
collectivité publique. Comme le juge judiciaire, il insiste sur la nécessaire recherche de la poursuite
de l’activité à l’identique entre les employeurs pour conclure à l’applicabilité de l’article L. 1224-3
du Code du travail.
Impact. – Les structures publiques doivent veiller à l’activité réellement transférée. Si les missions
de l’organisme privé sont réparties entre plusieurs personnes publiques et privées, il sera
impossible de conclure à la poursuite de l’activité à l’identique. Il est donc nécessaire de vérifier que
les activités principales de la structure publique ont bien été reprises par le même employeur
public, concrétisant ainsi le fait de conserver à l’activité son identité.

CE, 5 juill. 2023, n° 448572 : Lebon T. ; JCP A 2023, act. 474 chorégraphiques. Elle en a déduit l’existence d’un transfert de l’entité écono-
mique autonome constituée par l’association HLMD vers le département de la
Considérant ce qui suit : Haute-Loire, s’opposant à ce que l’inspection du travail autorise l’ancien em-
1. Il ressort des pièces du dossier soumis aux juges du fond qu’en raison de ployeur de M. B... à le licencier pour motif économique. En statuant ainsi, sans
difficultés économiques l’amenant à cesser son activité, l’association HLMD, rechercher si cette opération caractérisait le transfert d’une entité écono-
dont l’objet était la promotion du développement musical et chorégraphique en mique autonome ayant conservé son identité et dont l’activité aurait été pour-
Haute-Loire, a sollicité l’autorisation de licencier M. B..., délégué du personnel
suivie par le département, alors même que, ainsi que le faisait valoir le
titulaire, occupant le poste de chargé de mission “musiques actuelles”. Par
département sans être contestée sur ce point, deux des principales missions
une décision du 31 janvier 2017, l’inspectrice du travail de l’unité de contrôle
de l’association HLMD que sont l’organisation du festival de musique Altilive
de la Haute-Loire a autorisé l’association à licencier M. B... pour motif écono-
d’une part, et la gestion d’un parc de matériel scénique en vue de sa mise à
mique. Par un jugement du 28 mai 2019, le tribunal administratif de Clermont-
disposition à des organisateurs de spectacles d’autre part, avaient été re-
Ferrand a rejeté la demande de M. B... tendant à l’annulation de la décision de
prises en tout ou partie, non par le département, mais par une autre associa-
l’inspectrice du travail. Le département de la Haute-Loire se pourvoit en cassa-
tion et une société coopérative, la cour administrative d’appel a entaché son
tion contre l’arrêt du 12 novembre 2020 par lequel la cour administrative
arrêt d’insuffisance de motivation et d’erreur de droit.
d’appel de Lyon a, sur appel de M. B..., annulé ce jugement ainsi que la
[...]
décision de l’inspectrice du travail.
2. Aux termes de l’article L. 1224-1 du code du travail : “Lorsque survient une
modification dans la situation juridique de l’employeur, notamment par suc- NOTE
cession, vente, fusion, transformation du fonds, mise en société de l’entre-
prise, tous les contrats de travail en cours au jour de la modification subsistent Si le principe du maintien des contrats de travail est désormais
entre le nouvel employeur et le personnel de l’entreprise”. Ces dispositions acquis lorsqu’une personne publique reprend elle-même les mis-
trouvent à s’appliquer en cas de transfert par un employeur à un autre em- sions,de service public administratif ou de service public industriel et
ployeur d’une entité économique autonome. Constitue une entité économique commercial, antérieurement exercées par une personne privée, en-
autonome un ensemble organisé de personnes et d’éléments corporels et core faut-il qu’il y ait bien transfert par un employeur à un autre
incorporels permettant l’exercice d’une activité qui poursuit un objectif propre, employeur d’une entité économique autonome. Ce n’est donc que si
conservant son identité, et dont l’activité est poursuivie par le nouvel em-
cette condition est remplie que la subsistance du lien de travail est
ployeur.
acquise et que la personne publique doit proposer aux salariés un
3. Aux termes de l’article L. 1224-3 du même code : “Lorsque l’activité d’une
contrat de droit public. Et là réside principalement le cœur du litige
entité économique employant des salariés de droit privé est, par transfert de
qui a amené le Conseil d’État à rendre l’arrêt du 5 juillet 2023.
cette entité, reprise par une personne publique dans le cadre d’un service
public administratif, il appartient à cette personne publique de proposer à ces Dans cette affaire en effet, l’association Haute-Loire Musiques
salariés un contrat de droit public, à durée déterminée ou indéterminée selon Danses (HLMD), dont l’objet était la promotion du développement
la nature du contrat dont ils sont titulaires (...)”. musical et chorégraphique en Haute-Loire, a dû faire face à des diffi-
4. Il résulte des termes mêmes de son arrêt que la cour administrative d’appel cultés économiques importantes qui l’ont conduite à cesser son
a relevé que le département de la Haute-Loire a recruté trois anciens employés activité ; elle a alors sollicité l’autorisation de licencier un délégué du
de l’association HLMD en les affectant à la direction jeunesse culture dévelop- personnel titulaire qui occupait le poste de chargé de mission
pement durable et en précisant dans leurs contrats à durée indéterminée « musiques actuelles ». L’inspectrice du travail compétente a accordé
conclus le 17 mai 2016 “l’activité de l’association devient un SPA [service cette autorisation pour licencier le salarié pour motif économique.
public administratif]”. La cour a également constaté que le département a M. B. a alors saisi le tribunal administratif pour obtenir l’annulation
acquis les matériels musicaux et scéniques de l’association et repris ses de cette décision ; le tribunal administratif a rejeté sa demande (TA
locaux en les affectant au soutien d’activités et d’évènements musicaux et Clermont-Ferrand, 28 mai 2019, n° 1700718). Sur appel de M. B., la

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cour administrative d’appel de Lyon a annulé le jugement et la déci- 2. Une condition nécessaire : le transfert
sion de l’inspectrice du travail (CAA Lyon, 12 nov. 2020,
n° 19LY02690). Le département de Haute-Loire demande au Conseil d’une entité économique autonome
d’État d’annuler l’arrêt de la cour. Pour que le principe puisse s’appliquer et que subsistent les rela-
Le Conseil d’État ne revient guère sur le principe de la poursuite tions de travail entre les anciens salariés et le nouvel employeur, il est
des relations de travail, qui repose sur l’article L. 1224-1 du Code du nécessaire qu’il y ait bien transfert d’une entité économique auto-
travail (1) ; mais il apporte un éclairage intéressant sur la signification nome de l’employeur privé à l’employeur public dans le litige. Le
du transfert d’une entité économique autonome (2) qui le conduit à Conseil d’État devait donc déterminer ce qu’il fallait entendre par
casser l’arrêt de la cour administrative d’appel, en estimant que les entité économique autonome (A) et apprécier si, en l’espèce, l’entité
conditions de la poursuite de l’activité ne semblaient pas réunies. transférée présentait bien de telles caractéristiques (B).

1. Un principe acquis : le maintien des A. - Le transfert d’une entité économique autonome


relations de travail en cas de reprise précisée
d’une activité Selon la CJCE dans l’affaire Mayeur précitée,« est considéré comme
transfert, au sens de la présente directive, celui d’une entité économique
Le juge administratif ne fait que rappeler incidemment les prin-
maintenant son identité, entendue comme un ensemble organisé de
cipes en la matière. La jurisprudence est bien connue et les solutions
moyens, en vue de la poursuite d’une activité économique, que celle-ci
en droit interne (B) ont été sollicitées par la jurisprudence de la Cour
soit essentielle ou accessoire » (pt 7). Pour que les relations de travail se
de justice de l’Union (A).
poursuivent, il était nécessaire, selon la CJCE, que l’entité conserve
son identité après l’opération de transfert (pt 47). Dans le litige dont
A. - Un champ d’application établi par l’arrêt Mayeur
avait à connaître la Cour en 2000, il apparaissait que la ville de Metz
Selon l’article L. 1224-1 du Code du travail, si une modification avait intégralement repris l’activité de l’association et avait poursuivi
survient dans la situation juridique de l’employeur, les contrats de son exploitation. La CJCE précisait qu’il ne suffisait pas que l’activité
travail en cours au jour de cette modification subsistent entre le nou- du nouvel employeur soit similaire à l’activité de l’employeur privé
vel employeur et les salariés de l’entreprise. Si les juges ont pu hésiter initial.« Il appartient au juge national, pour déterminer si les conditions
pour admettre qu’une activité de service public administratif, trans- d’un transfert sont remplies, et notamment si l’entité en cause au princi-
férée d’un employeur privé à un employeur public, pouvait justifier le pal a conservé son identité après sa reprise par la ville de Metz, de prendre
maintien des relations de travail, ils ont été plus prompts à appliquer en considération l’ensemble des circonstances de fait caractérisant l’opé-
le principe dans le cas où une activité de service public industriel et ration en cause, au nombre desquelles figurent notamment le type d’en-
commercial exploitée par un organisme privé était reprise en régie treprise ou d’établissement dont il s’agit, le transfert ou non des éléments
par une personne publique. Dans ce cas de figure en effet, les em- corporels, tels que les bâtiments et les biens mobiliers, la valeur des élé-
ployés conservaient un lien de droit privé et il n’existait aucun chan- ments incorporels au moment du transfert, la reprise ou non de l’essen-
gement majeur dans la relation juridique les unissant à leur tiel des effectifs par le nouveau chef d’entreprise, le transfert ou non de la
employeur ; ils restaient soumis à des contrats de droit du travail. clientèle ainsi que le degré de similarité des activités exercées avant et
La situation apparaissait bien différente dans le cas de la reprise en après le transfert et la durée d’une éventuelle suspension de ces
régie d’une activité de service public administratif ; il semblait en effet activités ». En l’espèce, la ville de Metz avait entièrement repris et
que la poursuite des relations de travail soit impossible, les salariés de poursuivi l’activité de l’association.
droit privé devant, par le transfert, être soumis à un régime de droit Le Conseil d’État, qui n’avait pas été saisi directement d’une telle
public. Il a donc fallu attendre l’arrêt de la CJCE Didier Mayeur et question jusqu’alors, apporte la réponse dans l’arrêt du 5 juillet 2023.
Association promotion de l’information messine (CJCE, 26 sept. Selon la haute instance en effet, « constitue une entité économique
2000, aff. C-175/99) pour rendre applicable le principe à cette situa- autonome un ensemble organisé de personnes et d’éléments corporels et
tion. Seule la réorganisation de structures de l’administration pu- incorporels permettant l’exercice d’une activité qui poursuit un objectif
blique ou le transfert d’attributions administratives entre des propre, conservant son identité, et dont l’activité est poursuivie par le
administrations publiques en est exclue. nouvel employeur ». Cette même définition avait, en réalité et comme
le soulignait le rapporteur public dans l’affaire commentée (concl.
B. - Une obligation de poursuivre les relations de J.-F. de Montgolfier, disponibles sur Arianeweb), été dégagée dans un
travail arrêt du 28 octobre 2022,dans lequel le litige portait sur le transfert de
Les juges internes ont ainsi appliqué le principe, en précisant, à la contrats de travail de dix salariés protégés entre deux entreprises d’un
suite de l’article L. 1224-3 du Code du travail, que, dans cette hypo- même groupe (CE, 28 oct. 2022, n° 454355 : Lebon T.). Et c’est un
thèse, l’employeur public devait proposer aux salariés de l’organisme critère comparable qu’avait retenu le juge dans un arrêt rendu en
privé initial un contrat de droit public, reprenant les principales ca- matière de marchés publics (CE, 1er juin 2011, n° 341323, Sté Bureau
ractéristiques de leur contrat de travail ; ainsi, le contrat de droit pu- Véritas : Lebon T. : « le GIE GSAC devait être regardé comme un en-
blic devait être à durée indéterminée si le contrat de droit du travail semble organisé de personnes et d’éléments corporels et incorporels per-
l’était. Le législateur a donc dû créer ce type de contrat au sein de la mettant l’exercice d’une activité économique poursuivant un objectif
sphère publique... S’en est suivie une jurisprudence fournie quant à la propre, et constituait en conséquence une entité économique transférée à
prise en compte de l’ancienneté acquise dans le contrat de droit du la société CETE Apave Sud Europe »).
travail pour l’imputer au nouveau contrat, des rémunérations di- Ce faisant, le juge administratif reprend le critère utilisé par la
verses, primes et autres pour que la rémunération proposée soit équi- Cour de cassation en pareille situation ; ainsi, selon cette juridiction
valente à celle que percevait le salarié... suprême, « attendu que l’article L. 1224-1 du Code du travail, inter-
Le principe n’était donc pas affecté dans l’affaire commentée. La prété à la lumière de la Directive n° 2001/23/CE du 12 mars 2001, s’ap-
difficulté portait sur le point de savoir si,précisément,il y avait bien eu plique en cas de transfert d’une entité économique autonome qui
transfert d’une activité, d’une entité économique autonome. conserve son identité et dont l’activité est poursuivie ou reprise ; que

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constitue une entité économique autonome un ensemble organisé de ciation, a été reprise par une autre association et non par le
personnes et d’éléments corporels ou incorporels poursuivant un objectif département ; la gestion du parc de matériel scénique en vue de sa
économique propre ; que le transfert d’une telle entité se réalise si des mise à disposition des organisateurs de spectacles, autre mission im-
moyens corporels ou incorporels significatifs et nécessaires à l’exploita- portante de l’association, n’a pas non plus été reprise par le départe-
tion de l’entité sont repris, directement ou indirectement, par un nouvel ment mais par une société coopérative... L’activité de formation
exploitant ». Dans l’espèce, la cour d’appel avait à juste titre constaté continue n’a elle non plus pas été reprise par la collectivité départe-
que l’activité de l’association avait été poursuivie par la commune mentale. Selon J.-F. de Montgolfier, « le département n’a véritable-
avec la plus grande partie du personnel auparavant employé par l’as- ment repris que la partie la plus étroitement liée à sa politique
sociation et avec la même clientèle familiale,qui bénéficiait d’un droit culturelle ».
de priorité et qui constituait un élément incorporel significatif ; le Il paraît dès lors délicat de considérer qu’il y a eu transfert de
transfert à la commune d’une entité économique autonome, conser- l’activité et que le département a bien poursuivi l’exercice de cette
vant son identité et poursuivant la même activité était avéré. activité. L’activité de l’association a été dispersée, « démembrée », et
La cohérence du critère entre les deux ordres de juridiction est ces différentes parties ont été attribuées à des organismes différents,
remarquable et conduit à une harmonisation des jurisprudences publics ou privés. L’activité initiale étant répartie entre plusieurs
dans un domaine où les deux juges peuvent intervenir,même si le juge structures, il ne semble pas possible de conclure au transfert d’une
judiciaire est plus souvent sollicité, en particulier au moment où le activité qui aurait conservé son identité. Tel n’était pas le cas dans
salarié décide de refuser le contrat de droit public qui lui est proposé. l’arrêt Degry de 2022 : une entité économique autonome peut résul-
Le critère était-il rempli en l’espèce ? ter de deux parties d’entreprises distinctes d’un même groupe. Et, dès
lors qu’elle avait caractérisé l’existence d’une entité économique au-
B. - Un transfert partiel de l’activité insuffisant tonome constituée d’un ensemble organisé de personnes et d’élé-
Comme le soulignait le rapporteur public, l’association HLMD a ments corporels et incorporels poursuivant un objectif propre,
cessé son activité du fait de difficultés économiques. Une telle situa- susceptible de faire l’objet d’un transfert au sens des dispositions de
tion aurait pu conduire à la conclusion que le licenciement pour l’article L. 1224-1 du Code du travail, le juge n’avait pas à rechercher
motif économique était justifié. L’arrêt de son activité s’est fait de si l’intégralité des salariés affectés à cette entité avait été transférée.
manière progressive et il revenait donc au juge de déterminer si, au L’élément essentiel est donc l’entité économique autonome.
moment où la demande d’autorisation de licenciement avait été faite La solution apportée semble cohérente sur plusieurs points. Elle
auprès de l’inspection u travail, la condition tenant au transfert de confirme l’unité de jurisprudence entre ordre judiciaire et ordre ad-
l’entreprise comme entité économique autonome était remplie. ministratif, le critère du transfert étant le même. De plus, elle admet,
Il ressort des conclusions de J.-F. de Montgolfier que la cour admi- comme le fait la Cour de cassation, qu’un transfert partiel d’activité
nistrative d’appel, pour conclure au transfert d’une entité écono- ne permet pas de considérer que le critère de maintien de l’activité est
mique autonome et, par voie de conséquence, à la poursuite des rempli. L’on peut admettre qu’une collectivité territoriale reprenne
relations de travail, s’était fondée sur le fait que trois salariés avaient l’activité d’une association en la répartissant éventuellement entre
été repris par le département et que cette collectivité avait repris des différents services.Mais le Conseil d’État exige,par cette décision,que
matériels musicaux et les locaux de l’association. Pour autant, le les missions principales de l’association soient reprises par la même
Conseil d’État juge cette analyse insuffisante : il estime que la cour
entité publique ; l’on peut peut-être discuter s’agissant de missions
administrative d’appel n’a pas recherché si l’opération caractérisait le
qui apparaîtraient plus accessoires. Mais il est clair qu’il faut une
transfert d’une entité économique autonome ayant conservé son
poursuite de l’activité globale de l’association. Et si l’on peut regretter
identité et dont l’activité aurait été poursuivie par le département. Et,
que, dans ces conditions, les relations de travail ne se poursuivent pas,
sur ce point, le doute est permis au regard des éléments fournis par le
la logique juridique prévaut au regard des critères du transfert de
dossier. Le rapporteur public souligne ainsi que si le département a,
l’entité économique autonome.
un temps, envisagé de reprendre globalement l’activité de l’associa-
tion, il y a finalement renoncé. De plus, l’organisation du festival de Hélène Pauliat,
musique d’Altilive, qui était l’une des missions principales de l’asso- professeur de droit public (OMIJ – Limoges)

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