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Institut Universitaire d’Abidjan Année Universitaire 2022-2023

REPUBLIQUE DE CÔTE D’IVOIRE

UNION – DISCIPLINE – TRAVAIL

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Institut Universitaire d’Abidjan
MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR (IUA)

LICENCE 2

TRAVAUX
DIRIGÉS
DROIT SOCIAL 1

Enseignant : Dr. KABLAN

Chargés de TD : M. KOUAKOU

Fiacre, M. ESMEL Mèlèdje, Mme DIBY


Christelle, Mme BIKOMA Florence, Mme
YEHIRI Fleur, Mme KONAN Nadège, Mme
BAKAYOKO Félicité, M.Bilé.

II Plateaux, rue L40, 01 BP 12159 Abidjan 01,

Tel. 22422265 / 07231862 /45842102 / 66040081

Fax. 22422724, www.iuaci.org

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LICENCE EN DROIT 2ème année


TRAVAUX DIRIGES DE DROIT SOCIAL

Chargé du cours : Dr KABLAN

Fiche 1

Thème : Domaine d’application du droit social, juridictions sociales et Inspection


du travail

I. Répondre aux questions suivantes :

1. Définition et domaine d’application du droit du social

2. Quelle distinction peut-on établir entre convention collective et accord


collectif d’établissement ?

À quel type de source appartiennent-ils ?


3. Le domaine d’application du droit du travail
4. Déterminer les différentes missions de l’inspecteur du travail
5. Compétence du tribunal du travail
6. Procédure de règlement de litige en matière sociale relevant du Tribunal du
Travail
7. Présentation de l'ISST : attributions (fonctions) et moyens d’action
8. Étayez cette affirmation : « Le Tribunal du Travail est spécial dans sa
composition »
9. Pourquoi dit-on que le droit social a un caractère mixte ?

II. A rendre par écrit

Commentaire conjoint de l’article 1er et de l’article 2 alinéa 3 du Nouveau Code du


Travail.

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LICENCE EN DROIT 2ème année
TRAVAUX DIRIGES DE DROIT SOCIAL

Chargé du cours : Dr KABLAN

Fiche 2

Thème : Les pouvoirs du chef d’entreprise

I. Répondre aux questions suivantes


1. Les fondements du pouvoir de direction du chef d’entreprise
2. L’élaboration du règlement intérieur au sein de l’entreprise
3. Le contrôle du pouvoir disciplinaire

II. Cas pratique :

La société OLIBA emploie 4 salariés à temps partiels, 8 journaliers, 2 intérimaires


et 10 salariés à temps pleins.
Le 17 octobre dernier les salariés ont manifesté contre le refus de leur employeur de
rédiger un règlement intérieur pour l’entreprise.
Suite à cette manifestation, le chef de l’entreprise a suspendu, pour 3 jours, le
contrat de travail de certains salariés et leur a demandé de payer une certaine somme
d’argent pour la réparation du matériel détruit. Ces salariés viennent vous consulter.
Soulevez les problèmes posés par ce cas pratique et résolvez- les.

II. A discuter en séance

Dégager les idées essentielles de la décision ci-jointe et faire un plan détaillé.

COUR SUPREME CHAMBRE


ADMINISTRATIVE
ARRET No 03 du 25 janvier 2006

La cour,
Vu La décision attaquée ;
Vu Les autres pièces du dossier :

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Oui Le rapporteur ;
Considérant que K, agent de guichet délégué du personnel du bureau de la
Caisse d’Epargne et des Chèques Postaux dite C.E.C.P. d’Odiénné, convaincu des
malversations a été muté à Korhogo. Pour nécessité d’enquête par décision du 29
juin 2001 du Directeur Régional de ladite C.E.C.P. ; que l’inspecteur du travail puis
le Ministre de tutelle, saisis successivement par le Directeur Régional de la C.E.C.P.
pour solliciter l’autorisation de le licencier, ont rejeté cette demande au motif
essentiellement que le licenciement d’un délégué de personnel déjà muté équivaut à
une double sanction alors que l’article 15.7 du code du travail interdit à l’employeur
d’infliger une double sanction pour la même faute ; qu’estimant la décision entaché
d’illégalité, le Directeur National de la C.E.C.P. a, par requête du 27 juin 2002 saisi
la Chambre Administrative de la Cour Suprême pour en demander l’annulation en
soutenant que la mutation ne figure pas au rang des sanctions disciplinaires prévues
par la législation en vigueur ;
En la forme
Considérant que la requête de la C.E.C.P. doit être déclarée recevable, pour
être intervenue dans les formes et délais légaux ;
Au fond
Considérant qu’il ne résulte pas du dossier, qu’au moment de sa mutation
d’Odiénné à Korhogo, M. K ait élevé la moindre protestation en faisant sa qualité
de délégué syndical ; que la preuve n’est pas donc faire qu’il a été muté contre son
gré ; qu’au surplus, la mutation ne faisant pas partie des sanctions disciplinaires
prévues par loi, la décision du 29 juin 2001 du Directeur Régional ne peut être
considérer comme une sanction ; qu’en conséquence, la décision N"
70/MTFPRA/DGT du 30 avril 2002 par laquelle le Ministre du Travail et de la
Fonction Publique et de la Réforme Administrative a refusé avec les motifs sous-
exposés, d’autoriser la C.E.C.P. à licencier cet agent dont la faute n’est pas
contestée, est entachée d’illégalité ; qu’il y a lieu de l’annuler.
DECIDE
Article 1er : La requête de la Caisse d’Épargne et des Chèques Postaux est
recevable et fondée ;
Article 2 : La décision N" 70/MTFPRA/DGT du 10 avril 2002 du Ministre du
Travail de la Fonction Publique et de la Réforme Administrative est annulée ;
Article 3 : Une expédition du présent arrêt sera transmise au Ministre du
Travail de la Fonction Publique et de la Réforme Administrative ;
Article 4 : Les frais sont mis à la charge du trésor.

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TRAVAUX DIRIGES DE DROIT SOCIAL

Fiche 3

Thème : Les représentants du personnel

I. Répondre aux questions suivantes

1. Combien de types de représentant du personnel y a-t-il ? Donnez brièvement


le rôle de chacun d’entre eux.
2. Les moyens d’action des représentants du personnel.
3. Les critères de distinction entre le rôle des délégués du personnel et celui des
délégués syndicaux en matière de réclamation du salarié.
4. Le licenciement du délégué du personnel.

II. A rendre par écrit


Exercice I
La société COTIBAT est une petite entreprise spécialisée dans la vente de matériaux
de construction.
Elle fait partie d’une branche d’activité signataire de la convention collective
interprofessionnelle de 1977 et compte 2 établissements, situées à Abobo et à
Anyama. L’établissement d’Abobo compte 9 employés et celui d’Anyama emploie
10 salariés. Ces salariés désirent avoir des représentants de personnel comme le
prescrivent les textes en vigueur. Devant l’hostilité des responsables de l’entreprise,
face à ce désire des salariés, ces derniers viennent vous consulter quant à l’absence
de représentant de personnel dans l’entreprise COTIBAT.

Exercice II
La crise économique qui sévit actuellement en Côte d’Ivoire, touche directement la
société BLOOM. Le personnel en est conscient, ce qui crée un malaise à l’intérieur
de l’entreprise se répercutant sur le chiffre d’affaire de celui-ci. Dans un souci de
dialogue, l’employeur convoque deux des délégués du personnel pour leur
demander les causes de cette baisse de rendement. Devant l’absence de coopération
de ces derniers, il les licencie sur le champ.
Les deux salariés avaient chacun un salaire de 1 500 000 frs et tous les deux
totalisent chacun une ancienneté de 13 ans et 6 mois. Ils viennent vous consulter
quant à la régularité formelle de ce licenciement et sur les droits éventuels auxquels
ils peuvent prétendre.
NB : l’entreprise est soumise à la convention collective interprofessionnelle de 1977.
Exercice III ( A discuter en séance - proposez un problème de droit et un plan)
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Dégager les idées essentielles de la décision ci-jointe et faire un plan.

COUR SUPREME CHAMBRE JUDICIAIRE


FORMATION SOCIALE
ARRET n°649 du 23 NOVEMBRE 2006

La cour,
Vu l’exploit à fins de pourvoi en cassation en date du 19 aout 2004 ;
Sur le premier moyen de cassation tiré de violation des articles 16.7 du
code du travail et 24 de la convention collective
Attendu, selon les énonciation de l’arrêt social attaqué(Daloa,23 avril 2003)
qu’ayant été licencié par lettre du 21 septembre 2002 pour motif économique après
avoir exécuté du chômage technique de deux mois ,du 23 juillet au 20 septembre
2002, K, estimant qu’il avait été abusivement licencié, son employeur n’ayant pas
obtenu l’autorisation préalable de l’inspections du travail eu égard à sa qualité de
délégué du personnel et, n’ayant pas été réintégré dans le délai de huit jours après sa
lettre de demande de réintégration, saisissait le tribunal du travail d’Abidjan pour
obtenir de son ex-employeur, la société AFRICAINE INDUSTRIES ,ses droits
acquis et de rupture ,des dommage –intérêts pour licenciement abusif et
l’indemnité spéciale de délégué ;que le tribunal ayant fait droit à ses demandes, par
arrêt réformait précité la cour d’appel d’Abidjan, décidant qu’il n’y a eu ni
licenciement abusif ni licenciement irrégulier, déboutait le travailleur de ces deux
chefs des demandes ;
Attendu qu’il est fait grief à la cour d’appel d’avoir, pour débouter K de sa
demande de dommages-intérêts pour licenciement abusif, estimé que le
licenciement intervenu était fondé sur des motifs économiques, alors que selon le
moyen, l’employeur n’a pas non plus suivi la procédure adéquate s’agissant d’un
licenciement pour motif économiques ;que ce faisant, la cour d’appel a violé les
articles visés au moyen. D’où cassation de son arrêt ;
Mais attendu que ni devant le tribunal ni devant la cour d’appel le demandeur
au pourvoi n’a contesté le motif économique de son licenciement abusif du fait de
la procédure illégale de son licenciement pour violation de l’article 87 de la
convention collective ; qu’il convient dès lors de déclarer irrecevable ce moyen
comme nouveau ;
Mais sur les deuxième et troisième moyens de cassation tirés de la
violation des articles 61.7 du code du travail et 87 de la convention collective et
défaut de base légale résultant de l’insuffisance de motifs
Attendu qu’aux termes des articles précités tout licenciement d’un délégué du
personnel doit être soumis à l’autorisation préalable de l’inspection du travail .si un

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employeur licencie le délégué du personnel sans autorisation, celui-ci doit demander
sa réintégration dans l’entreprise par lettre recommandée avec accusé de
reception.si l’employeur ne le réintègre pas huit jours après la lettre de
réintégration, il est tenu de lui verser une indemnité spéciale ;
Attendu que pour débouter le travailleur de sa demande en paiement de l’indemnité
spéciale de délégué, la cour d’appel a estimé que celui-ci a reçu le 26 septembre
2002 soit quelques jours après son licenciement, la lettre par laquelle son employeur
lui demandait de réintégré son poste dans la société et que .par ailleurs, en percevant
le salaire du mois d’octobre 2002.il avait tacitement renoncé à réclamer cette
indemnité spéciale.
Attendu, cependant, qu’en statuant comme ci-dessus, alors que d’une part n’y a
aucune preuve au dossier de ce que l’employeur a remis à l’employé la lettre lui
demandant de ne plus tenir compte du licenciement et de réintégré son poste dans la
société, en ce que ne figure pas sur cette lettre l’accusé de réception ou le visa des
délégués du personnel comme cela s’est fait pour la deuxième lettre de réintégration
faite par l’employeur, et alors que l’autre part, le salaire du mois d’octobre 2002 n’a
pas été remis au travailleur mais a été viré sur son compte bancaire sans lui donner
la possibilité de refuser ,la cour d’appel à violer les articles visés au moyen et a
manqué de donner une base légale à sa décision. Qu’il suit que les deuxième et
troisième moyens de cassation réuni sont fondés ; qu’il y a lieu de casser ou annuler
partiellement l’arrêt attaqué et d’évoquer,
SUR L’EVOCATION
Sur la demande de l’indemnité spéciale de délégué
Attendu que le travailleur délégué du personnel ayant été licencié sans autorisation
préalable de l’inspection du travail, n’ayant pas été réintégré par l’employeur dans
les huit jours après la réception de sa demande de réintégration faite par la lettre
recommandée avec accusé de réception de la société employeur, il convient de faire
droit à sa demande d’indemnité spéciale et de condamner la société AFRICAINE
INDUSTRIES à payer la somme de 1.686.640 F eu égard à son ancienneté
conformément à l’article 87 de la convention collective,
PAR CES MOTIFS
Casse et annule partiellement l’arrêt attaqué ;
Evoquant, condamne la société AFRICAINE INDUSTRIES à payer à K la somme
de 1 686 640Fà titre d’indemnité spéciale de délégué du personnel.

PRESIDENT: N’GUESSAN-ZEKRE HADDAD

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TRAVAUX DIRIGES DE DROIT SOCIAL

Chargé du cours : Dr KABLAN

Fiche 4

Thème : Les éléments constitutifs du contrat de travail

I. Répondre aux questions suivantes

1- Définir le contrat de travail selon le Code du Travail et citer les éléments


constitutifs.
2- Contrat de travail et autres contrat voisins.
3- Peut- on cumuler contrat de travail et mandat social ?

II- CAS PRATIQUE

Mademoiselle ALINE est titulaire d’un brevet de technicien à la suite d’une


formation de 3 ans au lycée technique d’Abidjan.
Après quelques stages dans diverses entreprises de la place, Mlle ALINE, qui a pu
se constituer une trousse d’outil, a assuré la maintenance des appareils de la société
UVO. Aidé d’un apprenti, il travaille à partir de ses propres horaires et en fonction
d’un emploi du temps qu’il a lui-même confectionné.
Le contrat de Mlle ALINE, conclut le 10 septembre 2008 pour prendre fin le 10
décembre 2008, prévoyait une rémunération mensuelle de 250000 F CFA TTC,
payable 15 jours après présentation de ses travaux.
Quelle est la nature de ce contrat ?

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TRAVAUX DIRIGES DE DROIT SOCIAL

Chargé du cours : Dr KABLAN

Fiche 5

Thème : Les contrats de formation initiale

I. Répondre aux questions suivantes

1- a) Définition du contrat de stage de qualification professionnelle au sens du


code du travail
b) Quelles sont les conditions de formation des contrats de stage et les
obligations des parties
2- Quelles sont les conditions de formation du contrat d’apprentissage.
3- La contribution du stage à l’accès l’emploi.
4- Établir les différences entre stage de qualification, apprentissage et
engagement à l’essai.
5- La fin du stage.
6- Quelle analyse faites-vous du stage de qualification au sens du Code du
Travail et du stage au sens de la Convention Collective.

Sujet au choix : (A rendre par écrit)

DISSERTATION JURIDIQUE :

L’engagement à l’essai garantit-il l’embauche ?

COMMENTEZ LA DECISION SUIVANTE :

COUR D’APPEL D’ABIDJAN


20 JANVIER 1994

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LA COUR,

Considérant qu’il est constant comme résultat des écritures des parties litigeantes
que l’employeur, sans procéder renouvellement de la période d’essai, a fait travailler
l’employé au-delà du terme fixé pour son essai ;
Considérant que c’est à bon droit que le premier juge visant l’article 15 de la
convention collective de même que l’article 14 de la même convention a décidé que
l’engagement du travailleur était dès lors réputé définitif ;
Considérant par ailleurs que l’employeur, pour justifier a posteriori le licenciement
du travailleur a invoqué sa mauvaise manière de travailler sans pourtant produire la
preuve des fautes qui sont sérieusement contestées par le travailler ;
Qu’il convient de confirmer la décision du premier juge qui, à juste raison, a décidé
que le licenciement du travailler qui ne repose pas sur des motifs réels est abusif et a
fait droit à ses demandes de droits de rupture et de dommages-intérêts en réduisant
tout de même le quantum de cette dernier réclamation à la somme de 100000 francs
eu égard au salaire et à son ancienneté dans l’entreprise.

Président : Mme Zekréh

BIBLIOGRAPHIE

 TEXTES DE LOIS

Loi n°2015 -532 du 20 Juillet 2015 portant Code du Travail.


Décret n°2018-32 du 17 janvier 2018 relatif au chantier école
Décret n°2018-33 du 17 janvier 2018 relatif au stage de qualification ou
d’expérience professionnelle.
Décret n°2018-383 du 04 avril 2018 relatif aux modalités du contrat stage-école
Décret n°96-207 du 07 mars 1996 relatif aux délégués du personnel et délégués
syndicaux.
Décret n°96-197 du 07 mars 1996 relatif au règlement intérieur.
Décret n°96-286 relatif à l’apprentissage.
Décret n°96-194 du 07 mars 1996 relatif au travail temporaire.
Décret n° 96-202 du 07 mars 1996 relatif au travail à temps partiel.
Décret n° 96-195 du 07 mars 1996 relatif à l’engagement à l’essai.
Convention collective interprofessionnel de 1977.

 JURISPRUDENCES

 Cour Suprême CI, ch.Adm. Arrêt Konan Koffi c/Ministère de la Fonction


Publique, 31 juillet 1992.
 Cour Suprême CI, ch. Adm. Arrêt Bakayoko c/Ministère de la Fonction
Publique, 18 décembre 1991.
 Cour Suprême C.I, 6 déc. 1983, TPOM 1985 n°635, p. 469.
 Cour d’Appel d’Abidjan, arrêt n°49, 15 mars 1968, R.I.D 1969, pp 66.
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 Cour d’Appel d’Abidjan, arrêt n°162, 12 déc. 1969, R.I.D 1970, n° 3, pp 65.
 Cour d’Appel d’Abidjan, 28 mars 1981, TPOM 1982 n°550, 84.
 Cour d’Appel d’Abidjan, 21 oct. 1983, TPOM 1984 n°615, 548.
 Cour d’Appel d’Abidjan, 15 mai 1970, TPOM 1971 n°349, p.7725
 Cour d’Appel d’Abidjan, 28 mars 1981, TPOM 1982 n°550, 548.
 Cour d’Appel d’Abidjan, Affaire Air-Afrique, 18 Janvier 1985, Rev. E.D.C,
Cirej Novembre 1987, n°2, 134
 Cass. Soc .02 Mars 1972, JCP 1972 II 7190.
 TPI Abidjan, 8 mai 1973, TPOM 1974 n°367, p. 8125.
 TPI Abidjan, 27 janv. 1978, TPOM 1978 n°476, p. 475.
 TPI Abidjan, 20 mars 1973, Penat 1974, p. 282.

 DOCTRINE

 Ouvrages généraux

Emien Miessan Ursène, Droit Social , Les éditions ABC ,2011.


Jean Pélissier, Alain Supiot, Antoine Jeammaud, Droit du travail, Dalloz-Sirey, coll.
«  Précis » ,2008 ,Paris.
François Gaudu, Droit du travail, Dalloz-Sirey, coll. « Cours droit privé », 2007.
L. PERRIN, « Admission de la succession de contrat à durée déterminée en cas de
remplacement », Dalloz actualité 29 février 2012. DOCKES E., PESKINE E.,
WOLMARK C., Droit du travail, 5ème éd. Dalloz. 2010, coll. « Hyper cours ».
HERY FF. et P-Y VERKINDT, Droit du travail, LGDJ, 2016.
PELISSIER J., SUPIOT A., JEAMMAUD A., Droit du travail, 22è éd., Dalloz,
2012.
RAY J.E, Droit du travail, droit vivant, Liaisons, 2012.
SIRET N., BAUVERT P., Droit social, Dunod, 2011.
SUPIOT A., Critique du droit du travail, PUF, 2007.
VERDIER J-M, A. COEURET et M-A SOURIAC, Droit du travail, Rapports
collectifs, 15ème éd. Dalloz, 2009.
VERDIER J-M., COEURET A., SOURIAC M.A., Droit du travail, tome II,
Rapports individuels, 15 èd., Dalloz, coll. Mémentos, Paris, 2009.
VERKINDT P-Y., Le droit du travail, Dalloz, Connaissance du droit, 2005.

 Articles de doctrine

B. REYNES, « Contrats à durée déterminée : une signature s’il vous plaît ? »,
R.D.T. 2012, p. 284.
G. AUZERO, « Contrat à durée déterminée d’usage : le retour à la ratio legis »,
R.D.T. 2008, p. 170.
L. PERRIN, « Admission de la succession de contrat à durée déterminée en cas de
remplacement », Dalloz actualité 29 février 2012.
S. LAULOM, « La protection des salariés en contrat à durée déterminée », S.S.L.
2013, n° 1582, pp. 15-25.

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