Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Règle générale
- Formule d’introduction
- Les formules de réponse
- Remarque
Chapitre 3 : La Morphosyntaxe
1- Le genre et Nombre
2- L’adjectif qualificatif et la caractérisation
3- Les déterminants
4- Les Temps verbaux
Chapitre 4: la sémantique
1- Les mots et leurs significations
2- Champs sémantiques
3- Champs lexicaux
Le participe passé ne s’accorde pas lorsque le verbe pronominal réfléchie ou réciproque est à
la forme active, un verbe transitif indirect ou un verbe admettant un complément d’attribution
introduit par A exemple : Ils se sont nui (nuire à quelqu’un)
Ils se sont écrit (écrire à quelqu’un)
Les générations se sont succédé (succéder à quelqu’un)
8) le participa passé des verbes se plaire se complaire, se déplaire, se rire
Ces participes passé reste invariable
Exemple : Ils se sont déplu l’un a l’autre
Elles se sont ri de leurs erreurs
1.2) La présentation :
Nous avons tous ressenti la gêne d’une première rencontre. Rien n’est plus embarrassant que
d’abordé un groupe de personnes dont certaines ne nous sont pas connues si aucune d’entre elle ne
nous accueille d’une parole aimable, nous avons rapidement l’impression d’être isolés de ne pas
participé à la conversation sur un pied d’égalité. Nous devenons timide, maladroits, empruntés.
Il existe un moyen d’établir la relation entre individu, ce sont des présentations. Elles détendent
l’atmosphère, fournissent un point de départ à l’entretien, et vous procurent de l’assurance.
L’habitude vous donnera de l’aisance à ce moment déterminant de la prise de contact, votre
comportement ultérieur en sera facilité. Vous avez à le faire à l’absence d’intermédiaire.
Il se nomme surtout devant une femme. Louis Dupont, avec une légère inclinaison de la tête. Il
indique ses titres à lui ou sa fonction professionnelle que si c’est un élément utile d’information
pour l’entretien qui sa suivre.
Se présente en faisant précéder à sa convenance son nom de Mme ou mademoiselle. Une jeune
fille donne son prénom et son nom.
Attention on ne se présente pas à n’importe qui, au passant à qui l’on demande du feu sur trottoir
par exemple.
Nous somme reconnaissant envers ceux qui nous présentent à des inconnus. Aussi ne manquant
jamais de présenter les unes aux autres nos relations qui se connaissent pas encore. C’est un doc
un devoir de courtoisie.
On présente toujours les hommes, quel que soit leur rang aux femmes : la personne la plus moins
importante ; les jeunes aux plus âgés. Dans les cas embarrassant agisse avec tac par exemple :
demander auparavant à une haute personnalité si elle ne trouve pas d’inconvénient à ce que vous
lui présentiez tel ou telle personne de votre entourage.
1.6) Les formules d’introduction :
On emploi souvent le mot enchanté. Il est impropre. Seul celui qui est supérieur peut l’utilisé.
A un égal on dit simplement Bonjour Mr ou je suis heureux de vous connaitre.
Un homme présente ces hommages à une femme mariée : Mme, mes hommages.
A un supérieur on se déclare honorer ou très honoré de lui être présenter.
A une personnalité, un homme me présente ses respects.
Remarque !!!
Pour une présentation, on se tient toujours debout et sans cigarette les hommes sont
découverts évidemment ;
On regarde dans les yeux de la personne que l’on salut ;
On ne remet pas sa carte de visite à une femme en guise de présentation ;
C’est la femme ou le supérieur ou le plus âgé qui tend la main s’il le désir
On donne les titres les plus courants Mr le Directeur X, Mr l’Abbé BIMBO, le capitaine Y,
mon général Z, Mr le Directeur général.
1) Incorrection :
EXERCICE :
I/ Concordance :
1) Je souhaite que tu aies des amis
2) Je ne pense pas que tu sois malade
3) Il faut que tu viennes chanter
4) Il faut que je lui dise la vérité
5) Il a fallu que je vienne pour te parler
6) A condition que tu reviennes demain
III/ Différence entre verbe transitif indirect et verbe intransitif est que le verbe transitif
indirect qui admet un COI
Ex : Elle ressemble à sa mère
S V COI
Tandis que un verbe intransitif c’est un verbe qui n’admet pas le COD ou le COI
Ex : Dormir, vouloir, marcher etc…
Elle marche
2) Le barbarisme
On ne dit pas elle est une agresseuse : on dira elle est un agresseur
J’ai ambiancé cette personne : j’aime cette personne
Un dérangeur : un emmerdeur
Où est le concerné : où est l’intéressé
J’ai intervenu : je suis intervenu
Les candidats échoués : les candidats recalés
A NE PAS CONFONDRE :
Payer et acheter
Payer : C’est donné l’argent du, acquitté une dette, un droit, un impôt
Exemple : Payer les ouvriers
Acheter : C’est obtenir contre paiement
Exemple : Acheté une voiture
Regarder et voir
Regarder : C’est porté la vue sur quelque chose
Exemple : Regarder la télévision
Voir : Se regarder quelque chose avec attention
Exemple : Je vois le match entre Real et Chelsea
Remarque : On emploi Amener et Emmener quant-il s’agit des êtres animés (personnes,
animaux) et apporter quant-il s’agit d’une chose.
Causer et Parler
Connaitre et Savoir
Connaitre : C’est avoir l’idée ; la raison plus ou moins précise de quelque chose
Exemple : Je connais bien cette fille.
Remarque : Il serait mieux d’employer savoir plus infinitif et connaitre plus nom, on ne
connait une chose ou une personne (se faire une idée de, avoir l’esprit etc…)
Exemple : Nous connaissons Monsieur Mouton, nous avons connus la faim et le froid à Sèvres
pendant l’hiver.
Prêter et Emprunter
a) Le registre familier :
Il caractérise le niveau du vocabulaire par un lexique limité, restreint, intime, vulgaire,
brisé, estropié.
Exemple : Mon petit, papi, maman, ca, gars, toi, la, pote, farfelu.
* La syntaxe familière :
Exemple 1: Elle est brisée, pas de logique, il y’a omission de certains termes.
Exemple 2 : J’ai pas d’argent (en bon français je n’ai pas d’argent)
Que veux-tu ? (qu’est-ce que tu veux ?)
T’a pas mangé ? (tu n’a pas mangé ?)
- Les tournures sont maladroites.
Exemple : C’est à lui que vous causez ? (Pour dire : Est-ce à lui que vous parlez ?)
Il fut blessé à la tête et à l’improvisme (mauvaise coordination déséquilibre la phrase)
Pour dire : Il y’a reçu à l’improviste une blessure à la tête.
- De mauvaise formules toutes faites, Ex : La fois que (Pour dire : lorsque, quand)
Beaucoup de fois (Souvent ou nombreuses reprises)
- Passer moi l’expression comme on dit, comme on dirait (Pour dire : si vous me
permettez cette expression)
- Des emprunts techniques comme : solutionner, ambitionner, continuation, émotionner
(Pour dire : résoudre, désirer, ému, bouleverser, continuer)
b) Le registre courant :
Il se caractérise par un lexique juste idoine, approprié, connue de tous sans ornement et
sans état d’âme.
Exemple 1 : Maison, ami(e), discourt, dépêche-toi, deviner, certainement, regarde (et non
bicoque, et non pote, topo, salades)
Exemple 2 : J’ai deviné qu’il voulait me trompé et non j’ai saisi qu’il voulait me roulé
* La syntaxe courante :
Elle se caractérise par :
- Des tournures simples et correctes : les phrases sont du type sujet+ verbe+
complément/attribut (phrase simple).
- Des temps et modes de conjugaison sont simples
Exemple : Présent, imparfait, future
Exemple 1 : Que voulez-vous ? (et non vous voulez quoi ?)
Exemple 2 : A quelle heure prenons-nous le repas (et non on mange quand ?)
Exemple 3 : Ma sœur et nous avons bavardé (et non nous deux la sœur avons bavardé)
Exemple 4 : Il dort ne le dérangé pas (et non dérangé le pas)