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Département d’Anglais
Université -Batna 2
Module : Français
Niveau : 3ème Année LMD
Groupes : 01/02/03/04/05 et 06
La compréhension d’un texte demande donc au lecteur de mobiliser ses connaissances pour aller à la
rencontre de nouvelles données, elle lui demande d’être un observateur sachant prélever les indices qui
vont permettre "la saisie du sens" : elle demande enfin que le lecteur sache mettre en relation les
éléments dispersés dans le texte.
D’autre part, l’acte de lire n’est pas une valeur intrinsèque, c’est pourquoi il convient de préciser à chaque
fois la situation de lecture dans laquelle s’insère cette dernière. le lecteur devra donc se poser les
questions suivantes pour chaque lecture : je lis Quoi ? Où ? Quand ? Comment ? Dans quel but ?
Une première lecture permet de découvrir le sujet, et de donner une idée globale. Cette démarche sera
l'occasion de relever les mots ou les phrases-clés (ce qu'il paraît important de retenir dans le texte).
Cette lecture achevée, peut-on répondre aux questions suivantes : de quoi s’agit-il ? De quoi l'auteur de
cet article veut-il nous informer ?
Approfondissez votre réflexion à l'aide des mots et phrases clés que vous avez relevés.
Reprenez le travail à son début comme s'il s'agissait de la découverte du texte.
Videz votre tête des informations perçues lors de la première lecture.
Évitez d'être influencé par votre première approche.
2ème étape
Typologie textuelle
1- Le texte explicatif :
Consiste à donner des informations dans un domaine pour le but de comprendre et aussi
pour expliquer ou répondre à des questions dans un fait, un phénomène, une situation.
Il est principalement présent dans les ouvrages scientifiques et techniques, les encyclopédies, les
ouvrages de vulgarisation, les manuels scolaires, la presse.
Pour rendre les explications plus claires, des procédés explicatifs doivent être employés.
2- Le texte argumentatif
C’est un débat d’idées, c’est exprimer des idées opposées sur un thème, une problématique.
Pour traiter la problématique, chacun cherche à convaincre l’autre en développant sa propre opinion. En
la renforçant par des arguments et des exemples. Dans un texte argumentatif, le locuteur (l’auteur) se
manifeste dans son discours (subjectif) en affirmant sa position et son point de vue (les indices de sa
subjectivité : la présence des pronoms personnels, les modalisateurs.)
On trouve un groupe qui défend une idée (les partisans ou défenseurs) en parlant sur les avantages ou les
bienfaits, l’autre groupe réfute cette idée (les opposants ou détracteurs) en parlant sur les inconvénients ou
les méfaits.
L’argumentation est indispensable dans la vie courante, l’individu est appelé dans plusieurs situations à
argumenter : Les entretiens d’embauches, les exercices universitaires, les sujets de concours…etc.
Convaincre et persuader.
Cible Procédés
Convaincre Le discours s’adresse à la raison Arguments, preuves, faits
irréfutables, raisonnement
logique cohérent
Persuader Le discours s’adresse à la Figures, et plus particulièrement
sensibilité, aux émotions image, recours à l’implicite
Une introduction du problème ; un développement qui contient le point de vue choisi (pour ou contre) +
les arguments classés du moins important au plus important avec des articulateurs (d’abord, ensuite,
enfin) + des exemples convaincants et réels ; une conclusion.
Une introduction du problème ; un développement qui contient le point de vue (pour) + les arguments et
les exemples + une conclusion partielle 1 : phase de transition (mais, cependant, pourtant ; le point de vue
contre + les arguments + les exemples + une conclusion partielle 2 ; enfin la conclusion générale.
3- Qu’est-ce qu’ :
3-1-Une thèse :
Il s’agit de l’idée directrice que l’auteur défend dans son texte, elle explique et structure son
argumentation. Cette thèse répond à la question suivante : que veut démontrer l’auteur dans son texte ?
Une thèse peut s’opposer à une thèse adverse, elle peut être explicite ou implicite.
3-3-Les arguments :
Pour appuyer sa thèse, l’auteur fait appel à des arguments pour pouvoir convaincre le lecteur et justifier
son point de vue.
Afin d’illustrer son point de vue ou ses arguments, l’auteur emploie des exemples. Si l’argument présente
une idée générale, l’exemple quant à lui, expose un fait particulier. Autrement dit, un exemple vient
renforcer l’argument en illustrant sa pertinence à partir d’un cas concret, dans une application véritable. Il
est à noter que l’exemple ne peut en aucun cas justifier une thèse, par ailleurs, il peut jouer un rôle
explicatif
-Si l’exemple suit une idée dans un texte argumentatif pour l’éclairer, on l’appelle un exemple
illustratif.
-Si l’exemple précède l’idée, il présente un cas concret et sert de leçon ou de morale ; on l’appelle donc
exemple argumentatif
Activité 01 : Texte :
Avec l’avènement des medias : radios, télévision, télématique et même informatique, le livre a
perdu de son importance, relégué au second plan. Toutefois, il est encore trop tôt pour se prononcer sur sa
disparition car partisans et détracteurs sont là pour en témoigner et chacun s’active de son côté pour
avancer les arguments les plus convaincants. Ceux qui détestent la lecture, prétendent que l’acte de lire
est avant tout une perte de temps que l’on pourrait combler par un bon film, une sieste réparatrice, une
discussion enrichissante ou une balade bienfaitrice. D’autre part, pour les ennemis du livre, celui-ci
devient trop onéreux et donc une dépense supplémentaire que leur porte-monnaie ne pourrait supporter :
ils affirment même qu’un bon steak vaut mieux qu’un « tas de papier ». Enfin, les personnes hostiles à la
lecture poussent leur appréciation jusqu’à dire que seuls les désœuvrés se rabattent sur le livre dans la
mesure où ils ne trouvent rien d’antre à faire. Tout comme les égoïstes qui cherchent l’isolement en se
calfeutrant dans un lit ou un fauteuil, « bouquin » à la main. Néanmoins, et fort heureusement, les
adeptes de cet « objet précieux » restent encore nombreux pour contrecarrer les propos avancés par les
premiers. Les amateurs de lecture considèrent que le livre est avant tout un ami, un compagnon qui
meuble notre solitude. De plus, ils insistent sur le fait que la culture s’acquiert grâce à cette activité
enrichissante à plus d’un titre. C’est par le livre que l’individu stimule, aiguise et forge son esprit. Enfin,
disent-ils, quel serait notre niveau de langue sans lecture. De ces avis contradictoires, une conclusion
s’impose. Le livre n’est pas prêt de s’envoler de nos étals. Ses bienfaits sont incommensurables et nul ne
pourrait le contester. Il reste le grand témoin de l’humanité et des diverses civilisations qui se sont
succédées. François Nourissier, Figaro.
Questions :
Corrigé de l’activité 01 :
Par conséquent,...
Les connecteurs linguistiques pour C'est pourquoi...
bien écrire et rédiger un texte Ainsi,...
Aussi (+ inversion du sujet)...
argumentatif : Alors,...
En conséquence,...
Dès lors,...
1. L'origine du problème : D'où...
7. Pour démentir :
3. Pour insister :
Les bruits selon lesquels....sont dénués de tout Il n'est pas du tout impossible que...mais...
fondement. Sans doute...mais...
Il n'a jamais été question de... Il ne fait pas de doute que...mais...
Il ne saurait être question, un seul instant, de... Bien entendu...mais..
Il ne peut être question, en aucun cas de......sous
prétexte que...
10. Pour donner un exemple :
Les rumeurs selon lesquelles il serait question
de...sont sans fondement.
Considérons par exemple le cas de...
8. Pour énumérer des arguments : Tel est le cas, par exemple, de...
Son cas ne fait qu'illustrer celui de...
Si l'on prend le cas de....
D'abord,... L'exemple le plus significatif nous est fourni par...
Ensuite,... Prenons le cas de...
De plus,...
En outre,...
Par ailleurs,...
Enfin,...
En premier lieu,... 11.Pour exprimer une opposition ou une
En deuxième lieu,... réfutation :
En dernier lieu,...
À ce premier avantage s'ajoute...
Si l'on ajoute enfin... Cependant,...
Non seulement....mais aussi... Mais,...
Toutefois,...
Néanmoins,...
Pourtant,...
Par contre,...
Au contraire,...
9. Pour faire des concessions : En revanche,...
12.Pour conclure :
Il est exact que...mais...
S'il est certain que...il n'en reste pas moins vrai
que... Finalement...
Il est en effet possible que...cependant... En définitive, il semble bien que...
Tout en reconnaissant le fait que...il faut cependant En résumé, on peut considérer que...
noter que... On voit par ce qui précède que...
Certes...cependant... Il résulte de ce qui précède que...
Il se peut que...mais En somme,...
Dans un texte argumentatif, les idées entretiennent des rapports ou des relations logiques qui
peuvent être explicites ou implicites : cause, conséquence, opposition, but, etc.
Les mots ou outils servant à marquer ces relations logiques sont appelés des connecteurs logiques. Ils
permettent de suivre le cheminement de la pensé de l’auteur.
Les articulateurs, ainsi que les relations ; sont répertoriés dans le tableau suivant :
Conséquence Si bien que, de sorte que, de telle manière que, tant/tellement/si/au point ……que
Assez trop………pour que, Donc, alors, ainsi, c’est pourquoi, par conséquent, D’où/ de
là, aussi, Au point de
Opposition Bien que, sans que, encore, quoi que, qui/quoi/où que, Si, quelque, pour…que, Alors
que, tandis que, même si, sauf que, si ce n’est que, Quand bien même, Mais, or,
pourtant, cependant, toutefois, néanmoins, par contre, en revanche, au contraire, pour,
autant, quand même ,Malgré, en dépit de, contrairement à , Sans loin de, quitte à, au
lieu de, avoir beau
But Pour que, afin que, de peur que…ne, de crainte que...ne, de sorte que, de manière que,
de façon que, Pour, afin de, de peur de, en vue de, dans le but de, en sorte de, de façon
à, de manière à
Hypothèse Si, au cas où, à la condition que, dans l’hypothèse où
Addition et Premièrement, d’abord, en premier lieu ,En outre, de plus, par ailleurs, ensuite, de
indication de surcroît, qui plus est, en plus, de voire, et de plus, et même ,Enfin, en dernier lieu, en
l’ordre des définitive, en conclusion
éléments
Mise en D’une part/d’autre part, non seulement/ mais, ni/ni, ou bien/ou bien, soit/soit, ou/ou
parallèle,
alternative
Comparaison, Comme tel, tel que, de même que, plus que, moins que, ainsi que, de la même façon,
explication aussi…que, autant…que, Comme par exemple, c’est ainsi que, c’est le cas de,
notamment, C’est-à-dire, en effet, en d’autres termes, d’ailleurs, effectivement
Activité 02:
Complétez les phrases du texte suivant par les connecteurs appropriés : c’est…qui, non seulement…mais
aussi, il est certain que, ce qui veut dire, je pense que, bien loin.
………….qu’un homme ne peut pas aimer absolument tout le monde mais…………….il lui est possible
de vivre en communauté en acceptant…………..les différences physiques……………..de
caractère…………..ne pas rejeter l’autre simplement parce qu’il est différent. En réalité,………….d’être
un inconvénient, la différence est un enrichissement. Enfin,…………….l’acceptation de l’autre avec ses
différences…………..permet d’instaurer la tolérance.
Corrigé de l’activité 02 :
Le texte :
Il est certain qu’un homme ne peut pas aimer absolument tout le monde mais je pense qu’il lui est
possible de vivre en communauté en acceptant non seulement les différences physiques mais aussi de
caractère ce qui veut dire ne pas rejeter l’autre simplement parce qu’il est différent. En réalité, bien loin
d’être un inconvénient, la différence est un enrichissement. Enfin, c’est l’acceptation de l’autre avec ses
différences qui permet d’instaurer la tolérance.
1- Définition :
Dans le texte exhortatif, le destinateur lance un appel à des destinataires dans le but de les
sensibiliser, les inciter, les mobiliser….etc. Généralement l’appel prend en charge une action humanitaire,
c’est-à-dire il attire l’intention sur une situation négative pour le but de faire réagir contre cette situation.
a- La partie expositive :
Dans cette partie l’auteur nous expose (présente) le sujet de l’appel (la situation négative).
Exemple: nous traversons une crise inquiétante, celle de la perte continue des espaces végétal, voici donc
un état d’alerte.
b- La partie argumentative :
Il s’agit d’expliquer avec des arguments solides pourquoi cette situation doit être changée, son objectif est
de nous convaincre de la nécessité du changement. Arguments pour:
Exemple : or deux situations s’imposent : se mobiliser comme nous savons le faire, ou nous acceptons
l’élimination de ces espaces jusqu’à que la vie de nos enfants sera en jeu (l’auteur confirme que si nous ne
faisons rien, la vie de nos enfants sera en jeu).
c- La partie exhortatif:
C’est la dernière partie du texte, c’est ici que le destinateur lance son appel aux destinataires afin que
l’action se concrétise (devienne réelle). C'est l'appel proprement dit, on utilise :
Exemple : nous devons mettre en commun une démarche solidaire, il faut qu’on agisse tous ensemble
pour l’avenir de notre planète.
2- Les procédés d’injonction :
Les verbes performatifs : j’invite, j’exhorte, j’ordonne, j’appelle... (J’appelle chacun d’entre vous à…).
L’emploi de l’impératif : un mode de temps qui sert à conseiller, inviter ou exhorter. Il se conjugue avec
TU, VOUS, NOUS.
Avez-vous un but dans la vie ? Quel est le but de cet appel ? Quelle est le but de l’auteur ?
Quand on pose ces questions, le terme de « but » signifie l'intention, l'objectif, la visée, l’ambition, le
désir...
Le but peut être exprimé par une proposition subordonnée conjonctive, dont le verbe est au
subjonctif, introduite par les conjonctions de subordination ou les locutions conjonctives : pour
que, afin que, de sorte que, de manière que, de façon que.
Pour exprimer la crainte, on emploie les locutions conjonctives de peur que, de crainte que.
Ex. : Hector a attaché son vélo, [de peur qu'on le lui vole.]
À la forme négative, la locution pour que devient pour que... ne... pas (et non pour ne pas que).
Je t'ai fait un plan [pour que tu ne te perdes pas.](Je est différent de tu)
- Un nom ou un groupe nominal introduits par la préposition : pour ou les locutions prépositives : Afin de,
en vue de, de crainte de, de peur de, dans le but de, à l’intention de...
- Un verbe à l’infinitif, introduit par la préposition pour ou par les locutions prépositives afin de, de façon
à, de manière à, de sorte de, de peur de, de crainte de, dans le cadre de, dans l’objectif de…
1. Identifier le(s) destinateur(s) et ses (leurs) marques [Qui lance (ent) l'appel ? Quel(s) pronom(s) utilise
(ent)-t- il(s)?]
2. Identifier le(s) destinataire(s) et ses (leurs) marques [à qui est destiné l'appel ? Quels sont les pronoms
utilisés? Identifier l'objet de l'appel (le thème ; dénoncer le problème et faire réagir).
3. Identifier l’objectif de l’appel (le but) et les actions proposées (les changements attendus et souhaités).
Le résumé est un exercice qui consiste à réduire un texte en ne gardant que les idées essentielles et
en utilisant un style personnel. La réduction se fait en général au 1/3 ou au ¼ de la longueur du texte
initial. L’exercice comporte une phase de préparation au brouillon et une phase de rédaction au propre. II
est donc indispensable de respecter les règles suivantes pour réussir l’exercice.
Il faut commencer d’abord par lire plusieurs fois le texte et l’analyser avant de passer à la phase de
rédaction proprement dite. Pour cela, on peut procéder de la manière suivante :
1) Faire une première lecture intégrale du texte pour en découvrir le thème et en dégager l’idée
générale. Pour la découverte du thème on peut s’appuyer sur le titre du texte (s‘il en a un) ou sur les
mots-clés (mots répétés plusieurs fois dans le texte). A ce stade il s’agit de savoir de quoi parle le
texte, quelle idées l’auteur y expose-t-il ou quelle thèse ou défend-t-il.
2) Lire une deuxième fois le texte pour l’analyser, c’est-à-dire étudier les liens logiques entre les idées
et les paragraphes du texte. Pour cela on doit s’appuyer sur les articulateurs logiques : les souligner ou
encadrer. On doit aussi expliciter les liens logiques perceptibles à la lecture mais non formulés par
l'auteur. Exemple: Entre les deux premiers paragraphes, le rapport d'opposition (rupture) est à
signaler. On doit aussi prêter attention au changement d’énonciation et le noter dans son brouillon : par
exemple l’auteur passe-t-il de la troisième à la première personne (du « il » à « je ») ou garde-t-il le
même système d’énonciation ?
3) Lire une troisième fois le texte pour dégager l’idée directrice de chaque paragraphe en la
reformulant par une courte phrase personnelle. Pour cela souligner l’idée directrice de chaque
paragraphe après l’avoir repérée. Elle se trouve généralement au début du paragraphe. On peut aussi
indiquer sous forme de titre pour chaque étape, l’idée essentiellement retrouvée à l'aide des termes
soulignés. Inscrire le lien logique qui la sépare de l'étape suivante.
1) Une fois les idées directrices des différents paragraphes mentionnés dans le brouillon, rédiger un
résumé en les reformulant par de courtes phrases personnelles (si ce travail n’a pas été fait
précédemment), et en les reliant logiquement par les articulateurs appropriés.
2) Relire le résumé pour vérifier la reformulation et s’assurer qu’on a vraiment utilisé des phrases
personnelles sans changer le sens du texte, c’est-à-dire les idées essentielles qu’il renfermait.
3) Relire le résumé pour vérifier que la longueur demandée a été respectée. Exemple : Si le résumé à
faire est de 115 mots. La tolérance est de plus ou moins 10 %, le résumé doit se situer, obligatoirement
entre 104 et 126 mots. Si le résumé est trop long, il faut gagner en concision. Si le résumé est trop
court, c'est qu'une idée essentielle a été oubliée. Reprendre le plan et vérifier si chaque étape a été
résumée. Si aucun oubli n'est repérable ainsi, c'est que le plan est mauvais : revoir, alors la préparation
-Supprimer les répétitions maladroites. Tels que les énumérations : Si elles ne sont pas importantes, on
les supprime. Si elles sont importantes, on les remplace par un terme générique.
Exemple : Le vaccin prépare le corps à se défendre contre la rougeole, la poliomyélite, les oreillons et la
grippe. Le vaccin prépare le corps à se défendre contre les maladies virales.
-Compter de nouveau les mots une fois toutes les corrections apportées. - vérifier la cohérence de vos
propos.
Passage 1 : Depuis le début de l’aire industrielle, soit plus d’une centaine d’années, l’être humain a rejeté
dans l’atmosphère le dioxyde de carbone, le méthane, l’oxyde d’azote.
Résumé1 :
Passage 2 : On utilise des pesticides, des fongicides, des herbicides et des insecticides pour lutter contre
les champignons, les rats, les champignons, les insectes qui ravagent les pommes de terre, les oignions,
les raisins et les haricots dans les potagers
Résumé 2 :
Des produits chimiques sont employés pour combattre les parasites qui détruisent les cultures.
Passage 3 :
La consommation du tabac est responsable d’une accélération du rythme cardiaque, le tabac est aussi
responsable de la broncho-pneumopathie chronique, le tabac diminue l’oxygénation du sang, ce qui
entraine un essoufflement du cœur
Résumé3 :
Activité 04 : Résumez le texte suivent en quelques lignes (supprimez les exemples et les statistiques).
Texte :
La malnutrition infantile
La malnutrition infantile est l'un des premiers facteurs de mortalité dans le monde. De 20 à 25% des 150 ou
200 millions d’enfants mal nourris du monde ne survivent pas au-delà de leur cinquième année. Pour ceux qui
subsistent, l'espérance moyenne de vie est inférieure de vingt ans à celle de leurs homologues des pays riches. En
Inde la mortalité infantile représente 65% de la mortalité globale. Ce pourcentage atteint 68% en Egypte. II n'est
que de 43% aux Etats-Unis. Outre les quelques cas de malnutrition infantile qui existent en Amérique latine, au
Brésil et au Mexique notamment, l'essentiel de la population infantile mal nourrie se trouve dans deux zones
géographiques : le sous-continent indien et l'Afrique du sud (Sahara).
C'est au moment du sevrage que le problème de la malnutrition se pose avec plus d'acquitté. En effet, le lait
maternel, très riche en aliments essentiels, protège, pour un temps, le nouveau-né des maladies parasitaires et
carentielles. Après le sevrage, cette protection disparait. L'alimentation de l'enfant devient« normale » : la voie est
libre pour les maladies nutritionnelles et leur cortège de 3 difformités : les troubles de la vue et de la perception,
altérations parfois irréversibles du système nerveux qui laissent se développer, en plein XXème siècle des
populations entières de handicapés, voire d'arriérés mentaux. Et cela justement dans des pays encore peu
industrialisés qui ont besoin du concours actif de toute leur population pour échapper au sous-développement.
-Le résumé :
La malnutrition infantile est un problème qui sévit particulièrement dans les pays pauvres où l'alimentation
de l'enfant est déséquilibrée. Elle survient au moment de l'arrêt du lait maternel car l'enfant n’est plus protégé. Elle
entraine souvent la mort mais lorsque l'enfant survit, il devient aveugle, handicapé ou arriéré mental.