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Nom : KAZIMOTO
Post-nom : MUSAFIRI
Promotion : L1 Droit/LMD
Socrate (en grec ancien Σωκράτης / Sōkrátēs) est considéré comme le père de la philosophie
occidentale parce qu'il a centré sa philosophie uniquement sur l'être humain, se démarquant
ainsi des études des penseurs présocratiques sur la nature. Il a également été l'initiateur des
méthodes qui resteront celles de la philosophie, en questionnant la définition de certaines
notions, et en développant des examens dialectiques.
Né en -470 près d'Athènes d'une mère sage-femme, Phénarète, et d'un père tailleur de
pierre, Sophronisque, Socrate a cela d'étonnant qu'il n'a laissé absolument aucun écrit ; Connu
pour sa méthode socratique d’interrogation, il a cherché à exposer les contradictions dans les
croyances des autres.
B. Platon
Platon (en grec ancien Πλάτων / Plátôn) est né à Athènes en -427 et mort dans la même ville
en -348. Il est issu d'une famille aristocrate athénienne et commence à écrire des tragédies. Il a
deux frères, Adimante et Glaucon, et une sœur, Potone.
En -407, il fait une rencontre décisive en la personne de Socrate, dont il suit les enseignements
pendant huit ans (jusqu'à la mort de ce dernier en -399). À la suite de cette rencontre, il reniera
tous ses premiers écrits, qu'il jettera au feu.
Il fut tellement malade de la condamnation de Socrate qu'il n'assista pas aux derniers instants
de son maître ; néanmoins il retranscrivit cet intense moment dans son dialogue intitulé Phédon.
Élève de Socrate, il a développé la théorie des Formes, affirmant que les idées ou les formes
sont plus réelles que le monde physique.
Figure 2: Platon montre le ciel du doigt, pour signifier les idées… (Source : https://fr.wikipedia.org)
C. Aristote
Aristote (en grec ancien Ἀριστοτέλης / Aristotélês) est né en -384 à Stagire (d'où son surnom
de « Stagirite ») en Macédoine, et mourut à Chalcis, en Eubée, en -322. Tout ce que nous
savons de sa vie nous provient d'auteurs tiers et sensiblement éloignés dans le temps (Denys
d'Halicarnasse, Diogène Laërce…) ; c'est pourquoi elle n'est connue que dans les grandes
lignes.
Élève de Platon, il a rejeté la théorie des Formes et a développé sa propre approche empirique
de la philosophie.
Figure 3: Aristote ouvre sa main vers la terre ; cela fait référence à l’observation, dogme de sa philosophie (Source : https://fr.wikipedia.org)
Figure 4: Saint Augustin par Philippe de Champaigne, musée d’Art du comté de Los Angeles (Source : https://fr.wikipedia.org)
B. Thomas d’Aquin
Thomas d'Aquin, né en 1225 ou 1226 au château de Roccasecca près d'Aquino, dans la partie
péninsulaire du royaume de Sicile (Latium), et mort le 7 mars 1274 à l'abbaye de
Fossanova près de Priverno dans les États pontificaux (dans le Latium également), est un
religieux italien de l'ordre dominicain, célèbre pour son œuvre théologique et philosophique.
A. Descartes : Il est connu pour son scepticisme méthodique et sa célèbre déclaration “Je
pense, donc je suis”.
B. Kant : Il a développé une théorie complexe de la connaissance, affirmant que notre
compréhension du monde est structurée par notre esprit.
C. Hegel : Il a développé une philosophie dialectique de l’histoire, affirmant que la réalité
se développe à travers un processus de thèse, antithèse et synthèse.
A. Phénoménologie : Développée par Edmund Husserl, elle se concentre sur les structures
de la conscience et de l’expérience phénoménologique.
B. Structuralisme : Il affirme que les éléments de la culture humaine doivent être compris
en termes de leurs relations avec un système plus large.
C. Post-structuralisme : Il critique les tentatives de classification et d’ordre, préférant se
concentrer sur la déconstruction et la différence.
D. Analytique : Cette école se concentre sur l’analyse logique du langage et des concepts
philosophiques.
1. “Cet acte est immoral parce qu’il blesse la conscience commune.” : Ici, la blessure
à la conscience commune est présentée comme la raison pour laquelle l’acte est
considéré comme immoral. Cela suggère que si l’acte ne blessait pas la conscience
commune, il pourrait ne pas être considéré comme immoral.
2. “Cet acte blesse la conscience commune parce qu’il est immoral.” : Dans cette
phrase, l’immoralité de l’acte est présentée comme la cause de la blessure à la
conscience commune. Cela suggère que l’acte serait toujours considéré comme
immoral, indépendamment de son impact sur la conscience commune.
En somme, la première phrase met l’accent sur les conséquences de l’acte (blessure à la
conscience commune) pour déterminer son immoralité, tandis que la deuxième phrase considère
l’immoralité de l’acte comme un fait en soi, qui ensuite blesse la conscience commune.