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Cellulaire
L1S1 Sciences biologiques (2021-2022) /UNB
Biologie cellulaire
eucaryotes
Caractéristiques des cellules eucaryotes
- Présence d’un vrai noyau limité par une double membrane ou enveloppe
qui contient un organite sphérique, le nucléole
- Cellule est limitée par la membrane plasmique, qui isole les constituants
intracellulaires ou protoplasme
- Absence de chloroplastes
l'amibe
Organismes Organismes
unicellulaires eucaryotes pluricellulaires
la paramécie
Organismes pluricellulaires: Animaux et Végétaux
formé de cellules
Eucaryotes Procaryotes
Paroi: mucopeptide - +
Membrane plasmique + +
Mitochondries + -
Chloroplastes + -
Réticulum endoplasmique
+ -
Appareil de Golgi + -
Ribosome 80S 70S
Membrane nucléaire + -
Chromosome n 1 unique
Association ADN-Histone
+ -
Différences et similitudes (suite)
Eucaryotes Procaryotes
Génophore nucléaire + +
Génophore mitochondriale
+ -
Génophore chloroplastique
+ -
Génophore plasmidique - +
Division cellulaire mitose amitose
Transport actif + +
Transport passif + +
L’endocytose et l’exocytose
+ -
Respiration Membrane
Membrane cytoplasmique
mitochondriale
+ variable
Système analogue au
photosynthèse + chloroplaste chloroplaste: cyanophycées
Chromatophore: bactéries
photosynthétiques
Généralités sur l’organisation
structurale et fonctionnelle de
la cellule eucaryote
Membrane cellulaire
- Sépare le milieu intracellulaire du milieu
extracellulaire et délimite la cellule
- Constituée de deux couches de phospholipides
qui forment une bicouche phospholipidiques
- les phospholipides présentent une partie hydrophile et
une partie hydrophobe, on dit qu’ils sont amphiphiles.
Hyaloplasme
Fraction liquide et homogène du cytoplasme dans laquelle
baignent les organites et inclusions cellulaires (sans aucune
organisation structurale)
Hyaloplasme est constitué de : eau (85%), des protéines
totales, glycogène, lipides, ions, sucres, ARN
Hyaloplasme est « carrefour métabolique»
Hyaloplasme
Le cytoplasme
Le cytoplasme contient plusieurs types de constituants
individualisés sur le plan morphologique, mais métaboliquement
interactifs :
Le cytosol (= hyaloplasme)
Le cytosol est une sorte de gel dans lequel baignent organites
cellulaires, cytosquelette, ribosomes libres et plusieurs types
d’inclusions non limitées par une membrane (lipides,
glycogène). De nombreuses réactions biochimiques ont lieu
dans le cytosol (ex : glycolyse)
Techniques de microscopie
Microscope photonique (optique)
Microscope photonique (optique)
Microscope photonique (optique)
Technique de montage entre lame et lamelle
Principe
Spermatozoïde humain
Les plus petits virus sont un peu plus grands que les ribosomes cellulaires,
tandis que les poxvirus comme la vaccine (variole de la vache=maladie
infectieuse des bovidés et équidés), sont plus proches des petites
bactéries et peuvent être observés au microscope optique
Les virus sont cependant, pour la plupart, trop petits pour être visibles
au microscope optique et doivent être examinés avec des microscopes
électroniques.
Propriétés générales de la structure virale
Tous les virus, même ceux qui possèdent d’autres constituants comme une
enveloppe, sont construits autour d’une nucléocapside centrale (certains virus
sont constitué uniquement de cette nucléocapside)
Cette capside protège le matériel génétique virale (le génome viral) et favorise
son transfert d’une cellule hôte à une autre
On distingue quatre (4) types morphologiques de
capsides et de virus :
- Capsides icosaédriques
- Capsides hélicoïdales
- Capsides complexes
- Virus à enveloppe
Capsides icosaédriques
Un icosaèdre est un polyèdre régulier avec 20 faces triangulaires
équilatérales et 12 sommets.
Ces capsides apparaissent sphériques lors de l’observation à faible
grossissement au microscope électronique
Capsides hélicoïdales
Virus à ADN sont génétiquement stables et possèdent (comme par exemple les
Herpes virus et le virus de la variole) souvent de grands génomes comprenant une
quantité considérable d’informations génétiques
La majorité des virus à ADN sont à double brin (ds, pour double strand) et se
présentent sous une forme de filament linéaire avec des extrémités définies, ou
sous forme d’anneau (circulaire).
Les virus à ARN possèdent, en règle générale, un génome à un brin (ss, pour
single strand), sujet à une fréquence de mutation élevée car les ARN polymérases
n’ont pas les fonctions de correction d’erreurs des ADN polymérases. La taille
du génome et son équipement génétique sont ainsi limités
Par contre, les virus à ARN, grâce à la mutation et à la sélection, ont une grande
capacité d’adaptation. Des virus à ARN double brin existent mais restent des
exceptions.
Propriétés générales de la structure virale: Génome viral
Les virus à ARN simple brin sont divisés en deux classes, en fonction de la
polarité de leur génome
Les virus à ARN simple brin positif [virus (+) ssARN] possèdent un génome
ARN à polarité positive, contenant les séquences codantes et servant
directement d’ARN messager (ARNm)
Les virus à ARN simple brin négatif [virus (-) ssARN] portent un ARN non
codant, de polarité négative
Ce brin négatif doit d’abord être transcrit en ARNm à brin positif complémentaire,
dans la cellule infectée, avant qu’ait lieu une synthèse protéique
Ceci est réalisé par une ARN polymérase dépendante de l’ARN, propre au virus,
présente dans la particule virale, et qui est introduite dans la cellule hôte.
Propriétés générales de la structure virale : Capside virale
Les capsomères pour leur part sont constitués d’une ou de plusieurs chaînes
polypeptidiques codées par le virus
Les virus enveloppés sont sensibles aux influences extérieures comme la dessiccation
et la chaleur. Ceci a une influence sur les voies de transmissions
Les virus nus sont, en règle générale, plus résistants que les virus enveloppés
Propriétés générales de la structure virale : Capside virale
2.4 Classification et nomenclature des virus
- Classification virale
La plus pratique des classifications est probablement celle basée sur le type
d’acide nucléique (ADN ou ARN) et son mode d’expression.
Ainsi la classification simplifiée de Baltimore (1975) est celle utilisée
aujourd’hui comme base par le comité International de taxonomie des Virus
(ICTV) :
2.4 Classification et nomenclature des virus
- Classification virale
Groupe VI : leur génome ARN+ doit être converti en ADN double brin par
une transcriptase inverse (les Rétrovirus : le virus de l’hépatite B);
Groupe VII: virus à ADN double brin qui se répliquent via un intermédiaire ARN
simple brin (les Rétrovirus : les Caulimovirus ,virus de la mosaïque du chou-
fleur)
2.4 Classification et nomenclature des virus
- Classification virale
la pénétration du virus
la décapsidation
Chez les virus nus, ces récepteurs ne sont que des protéines de la capside,
tandis que chez les virus enveloppés ce sont les glycoprotéines du peplos.
C’est la présence des récepteurs cellulaires qui rendent alors la cellule sensible
à l’infection
Multiplication ou cycle viral et interactions virus-cellule hôte
- Multiplication des virus
• la pénétration du virus
Elle se fait selon différents mécanismes suivant que le virus soit nu ou enveloppé
- Chez les virus nus, le génome pénètre soit par translocation (ou directement) à
travers la membrane cellulaire par l’altération de la capside virale, soit par
endocytose
• la décapsidation
- assurer la synthèse des ARN messagers viraux à partir desquels les protéines
virales seront traduites ;
Certains sont obligés d’accéder au noyau pour amorcer leur réplication ; c’est le
cas de certains virus à ADN (Herpesvirus, Adénovirus, Papillomavirus, Parvovirus)
et des virus à ARN (Orthomyxovirus, Bornavirus, Retrovirus).
Multiplication ou cycle viral et interactions virus-cellule hôte
- Multiplication des virus
• Expression des gènes viraux et Réplication
Chez les virus à ADN
Les virus à ADN utilisent généralement la machinerie cellulaire, tant pour leur
réplication que pour la transcription de leurs gènes en ARNm et ensuite pour la
maturation de ces ARNm
Les virus à ADN bicaténaire et les virus à ADN monocaténaire utilisent l’ADN
polymérase cellulaire pour la réplication de leur ADN, et l’ARN polymérase II
cellulaire pour la transcription du génome en ARNm
Les ribosomes cellulaires vont ainsi traduire ces ARNm viraux en protéines
virales de structure (protéines de capside, enzymes, glycoprotéines…)
Multiplication ou cycle viral et interactions virus-cellule hôte
- Multiplication des virus
• Expression des gènes viraux et Réplication
Chez les virus à ADN
Multiplication ou cycle viral et interactions virus-cellule hôte
- Multiplication des virus
Cette même polymérase virale transcrit l’ARN- (ayant des gènes codants) en ARNm
sub-génomiques qui sont traduits en protéines virales.
Multiplication ou cycle viral et interactions virus-cellule hôte
- Multiplication des virus
Ces virus ont un génome segmenté constitué d’ARN bicaténaire. Le brin d’ARN- sert
de matrice pour la production des différents ARNs messagers.
Comme pour les autres virus à ARN, une polymérase codée par le virus est
responsable de la transcription et de la réplication du génome.
Multiplication ou cycle viral et interactions virus-cellule hôte
- Multiplication des virus
Ces virus sont uniques en leur genre. En effet, ils exploitent un système de réplication
qui défie les lois du dogme biologique : ce sont les Rétrovirus, le virus de l’hépatite B et
les Caulimovirus.
Dans le cas des rétrovirus, leur génome ARN+ doit être converti en ADN double
brin par une transcriptase inverse (TI) appelée aussi reverse transcriptase (RT) qui est
une ADN polymérase-ARN dépendante.
Cet ADN copie bicaténaire est intégré dans l’ADN de la cellule hôte grâce à
l’enzyme intégrase. Une fois l’intégration dans le chromosome hôte, l’ADN viral
peut être ensuite transcrit par l’ARN polymérase II cellulaire pour produire de nouvelles
répliques d’ARN+ génomique viral et des ARNm viraux traduits en protéines par les
ribosomes cellulaires. .
Multiplication ou cycle viral et interactions virus-cellule hôte
- Multiplication des virus
• la libération
Ces nouveaux virions sont libérés hors de la cellule par éclatement ou lyse pour les
virus nus, ou par bourgeonnement pour les virus à peplos
C’est lors du bourgeonnement que les virus à enveloppe reçoivent leur enveloppe
qui est une bicouche lipidique cellulaire hérissée de glycoprotéines
Une cellule produit de l’ordre de 100 à 1000 virus qui se propagent à d’autres
cellules ou organismes vivants
MEMBRANE PLASMIQUE
ARCHITECTURE FONCTIONNELLE DE LA MEMBRANE
PLASMIQUE
Hétérogènes;
Feuillet sombre
Épaisseur
Feuillet clair : 75Å (7,5
nm)
Feuillet sombre
Exemple de la phosphatidylcholine
Lipides (cholestérol)
(1) et (2) Protéines à traversée (2) Protéine fortement glycosylée sur un de ses
unique domaines hydrophiles
2. Composition Chimique
Protéines (récepteurs, transporteurs, enzymes)
Protéines membranaires
• Protéines périphériques ou extrinsèques (e et d)
2. Composition Chimique
Protéines membranaires
• Protéines intégrales ou intrinsèques (a, b et c)
• (b)Transmembranaires en interaction avec des
protéines de cytosol (transmission signal: hormone)
2. Composition Chimique
Diffusion • Absence de
simple (sans protéine
perméases) porteuse
Diffusion • Présence de
facilitée avec protéine
perméase porteuse
Il s’agit de transports de petites molécules, sans intervention du
cytosquelette. Ils sont de deux types: Transport passif
et le transport actif.
• Dépense énergie
Transport actif + présence de
protéine
porteuse
• deux principales
Secondaire formes: symport
et antiport
Transport passif avec ou sans perméase
Molécules sont transportées dans le sens de leur
gradient de concentration, sans consommation d'ATP,
ils sont de deux types:
Transport passif sans
perméase
Transport passif avec
perméase
perméase (transporteur)
cytosol
Transport passif avec ou sans perméase
perméase (transporteur)
+ énergie
Exocytose (sécrétion)
+ énergie
cytosol
Phagocytose (bactéries)
+ énergie
Le hyaloplasme (= cytosol)
Le hyaloplasme est une sorte de gel dans lequel baignent
organites cellulaires, cytosquelette, ribosomes libres et
plusieurs types d’inclusions non limitées par une
membrane (lipides, glycogène).
3. Production de mouvements
- Contractions musculaires,
mouvements
- Transports actifs
- Renouvellement moléculaire,
croissance
Glycolyse anaérobie dans le cytoplasme
La glycolyse cytoplasmique: processus anaérobique
2 modalités:
- Fermentation lactique seule voie capable de produire ATP, en
absence de O2
- Oxydation mitochondriale complète du pyruvate
Glycolyse
202
Cytosquelette
Microtubules : bâtonnets creux ayant un rôle déterminant
dans la cellule. Ils sont formés à partir d’une protéine
appelée tubuline
208
Chapitre 4. Les ribosomes
Chapitre 4. Les ribosomes
Ribosome => Deux sous unités produites au niveau du
nucléole indépendamment l’une de l’autre. Elle ne s’associe
que lorsqu’il y a traduction d’un ARNm
ARN ribosomaux
Protéines S Protéines L
• se déroule dans
le nucléole et se poursuit dans le cytoplasme
responsable de la synthèse
lieu d’assemblage des
des acides ribonucléiques
2 sous unités
des ribosomes
Chapitre 4. Les ribosomes
Biosynthèse des ribosomes
Dans le nucléole:
• Le nucléole est responsable de la synthèse
des acides ribonucléiques des ribosomes
Comment?
Chapitre 4. Les ribosomes
Biosynthèse des ribosomes
le nucléole est formé de deux zones (en
microscopie électronique (ME))
ARNr: 5,8 S ; 18 S et 28 S
S = unité de mesure du coefficient de sédimentation (svedbergs)
Chapitre 4. Les ribosomes
Biosynthèse des ribosomes
zone granulaire (cortex)
Préribosome
Clivage du préribosome 80 S
pour donner une grande sous
unité 60 S et une petite sous cytoplasme
unité ribosomique 40 S
Ribosome (2 sous-unités)
Ribosome (2 sous-unités)
Chapitre 4. Les ribosomes
RÉTICULUM
ENDOPLASMIQUE
Structure et Ultrastructure
Structure et Ultrastructure
Mitochondries
REG
Structure et Ultrastructure
Divers aspects du réticulum endoplasmique
Isolement de la fraction RE
a) Fonctions du RE rugueux
b) Fonctions du RE lisse
240
Trafic intracellulaire des protéines
241
B/ Trafic intracellulaire des protéines
242
Les deux voies de la synthèse protéique
243
Récapitulatif du devenir des protéines selon leur lieu de synthèse
244
1-Translocation des protéines
(protéines membranaires, résidentes
(endosomes par ex) ou sécrétées)
245
1 .Translocation à travers la membrane du réticulum
endoplasmique
247
b) Mécanisme de translocation
248
b) Mécanisme de translocation
Elle y est poussée par l’allongement de la chaîne et tirée dans la lumière par
des protéines chaperonnes (dont la BiP)
251
Maturation des protéines par le système endomembranaire
252
2- TRANSPORT VESICULAIRE
253
II. TRANSPORT VESICULAIRE
Le transport vésiculaire constitue un des exemples les plus
remarquables de la dynamique cellulaire. Il montre à quel point les
nombreux organites, ici du système endomembranaire en l’occurrence,
interagissent et communiquent les uns avec les autres et avec
l’extérieur de la cellule par les vésicules de transport. On distingue trois
voies dans le transport vésiculaire :
– voie de biosynthèse-sécrétion ;
– voie de l’endocytose ;
– voie de retour.
254
Etapes du transport vésiculaire
255
256
a) Bourgeonnement, détachement des vésicules recouvertes et
perte du revêtement
257
a) Bourgeonnement, détachement des vésicules recouvertes
et perte du revêtement
Schématiquement :
– les vésicules ayant un manteau de clathrine sont issues des
bourgeonnements de l’AG et de la membrane plasmique ;
– les vésicules ayant un manteau de COPII (COating Protein)
sont issues des bourgeonnements du RE ;
– les vésicules ayant un manteau de COP I sont issues des
bourgeonnements de l’AG.
COPI (7 sous-unités) et COPII (4 sous-unités) sont également
appelés coatomères.
258
259
- dans le cas du transport AG trans → membrane
plasmique, COPI intervient dans l’exocytose
constitutive, et clathrine dans l’exocytose contrôlée
Exemple : Bourgeonnement utilisant les manteaux de
clathrine.
260
261
b) Transport des vésicules
262
c) Adressage/vectorisation des protéines
vésiculaires
264
265
RECAPITULATIF DU TRAFIC
INTRACELLULAIRE DES PROTEINES
266
III. ROLE ET ACTIVITES PHYSIOLOGIQUES DU RE
1) Ségrégation et concentration de diverses substances
Concentration de protéines du
cytoplasme vers les cavités du Grains de vitellus
réticulum
III. ROLE ET ACTIVITES PHYSIOLOGIQUES DU RE
Le réticulum endoplasmique
lisse : il a un rôle dans le
stockage du calcium
intracellulaire
APPAREIL DE GOLGI
- Formé de saccules aplatis superposés les une aux
autres. Un ensemble de saccules est nommé
dictyosome
MEMBRANE
PLASMIQUE
VÉSICULES et
Face de maturation GRAINS DE
(trans) SÉCRÉTION Participation
des
DICTYOSOME dictyosomes
dans
Face de
formation (cis)
VÉSICULES DE l’exocytose
TRANSITION
Formes variables:
organites filiformes
organites globulaires
membrane externe
membrane interne
matrice
crête mitochondriale
I. STRUCTURE ET ULTRASTRUCTURE
Technique de fractionnement:
Ultracentrifugation différentielle
II. CONSTITUTION CHIMIQUE: membrane externe
Bicouche lipidique de 5 à 7nm d’épaisseur
Contient :
- Des protons H+ : rôle dans la phosphorylation
- Des molécules de cytochrome c : rôle dans l’apoptose
- Des molécules inférieure à 10 KDa
II. CONSTITUTION CHIMIQUE : espace inter-membranaire
NB: La plupart des protéines de la mitochondrie sont codées par le génome nucléaire
et importées dans la mitochondrie
IV. l’ADNmt
Chaîne respiratoire mitochondriale
ou Phosphorylation oxydative
Composition de la chaîne respiratoire mitochondriale
- Complexe I: NADH-ubiquinone-oxydoréductase
Rôle oxydation du NADH+ H+ (enlève 2 électrons) en
NAD+ et pompe des protons (4 H+ ) de la matrice vers l'espace
intermembranaire.
Du métabolisme cellulaire :
- glycolyse,
- cycle de Krebs,
- oxydation des acides gras
Oxydation de l’acétyl-coenzyme A: Cycle de Krebs
Oxydation de l’acétyl-coenzyme A: Cycle de Krebs
Bêta oxydation des acides gras saturés: hélice de Lynen
Bêta oxydation des acides gras saturés: hélice de Lynen
Chapitre 7. Les mitochondries
b a b a
C H2C H2C H2C O O C H2C H2C OO
H H
b a
C H2 C C COO
H H
H
b a
C H2 C C COO
H
H H
b a
C H2 C C COO
HO H
H
b a
C H2 C C COO
O H
4. Apoptose (mort cellulaire)
La théorie de l'endosymbiose tente d'expliquer l'origine des organites comme les mitochondries
et les chloroplastes chez les cellules eucaryotes. La théorie propose que les chloroplastes et les
mitochondries ont évolué à partir de certaines formes bactériennes dont les cellules
procaryotes ont été phagocytés. Ces cellules eucaryotes et les bactéries piégées à l'intérieur
ont formé des relations d'endosymbiose très serrées et durant très longtemps.
Généralités
Photophosphorylation cyclique
3-P-glycérate
3-P- glycéraldéhyde
Précurseur pour la
synthèse du glucose,
lipides et protéines
Cycle de Calvin
Cycle de Calvin
CENTRIOLE ET DÉRIVÉS
CENTRIOLAIRES
Le centriole et les dérivés centriolaires
Le centriole et les dérivés centriolaires
1. doublement du centrosome,
2. migration aux pôles cellulaires,
3. formation du fuseau mitotique et des microtubules astraux,
4. accrochage des chromosomes par leur centromère,
5. séparation des chromatides.
Le centriole et les dérivés centriolaires
Le centriole et les dérivés centriolaires
Le centriole et les dérivés centriolaires
Dérivés centriolaires : cils et flagelles
Cils et flagelles = prolongements de membrane plasmique
enrobant des microtubules.
Les catalases utilisent le H2O2 pour oxyder une grande variété de substrats,
participant ainsi à la détoxification de l’organisme :
En dehors de l’oxydation des acides gras, le peroxysome est
aussi impliqué dans la synthèse de la bile, du cholestérol et
également dans le métabolisme des acides aminés et des
purines.
- Fonctionnant à un pH acide
- vésicules ou grains de
sécrétion
- aspect homogène
Lysosomes secondaires - contenant des hydrolases
(liés)
vacuoles à aspect hétérogène
contenant en plus des hydrolases le
substrat en cours de digestion.
MEMBRANE LYSOSOMALE
Autophagie
DIFFÉRENTS TYPES DE DIGESTIONS
Hétérophagie
- Substances exogènes (substances alimentaires ou
organismes pathogènes) pénètrent dans la cellule
soit par endocytose soit par phagocytose
- La silicose :
La silicose est une maladie reconnue comme professionnelle des
mineurs et des carriers. Ces cristaux vont établir des liaisons
hydrogènes avec la membrane lysosomale et provoque sa
rupture et de la libération des hydrolases.
- La goutte :
Les cristaux d’urate sodique provoquent une inflammation des
articulations suite à une rupture de la membrane des
phagosomes.
5. LYSOSOMES ET PATHOLOGIES
Equipement enzymatique défectueux
L’inactivation ou l’absence d’une hydrolase (mutations) aura
pour conséquence la non dégradation d’un substrat et son
accumulation dans un corps résiduel.
- La régurgitation
C’est un déchargement du contenu lysosomale vers l’extérieur
ce qui provoque la dégradation des tissus conjonctifs.
- L’encombrement
La surcharge en composés non digérés à cause de
l’inactivation ou l’absence de l’hydrolase spécifiques à la suite
d’une mutation génétique.
*Maladie de GAUCHER
Les lysosomes
Le noyau et la division
cellulaire