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GESTION INDUSTRIELLE
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INTRODUCTION
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DEFINITION DE LA MAINTENANCE
La définition de la maintenance fait donc apparaître 4 notions :
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ROLE DE LA MAINTENANCE
Le service maintenance doit mettre en œuvre la politique de
maintenance définie par la direction de l’entreprise ; cette
politique doit permettre d’atteindre le rendement maximal des
systèmes de production.
Alors que :
les équipements n’ont pas tous le même degré d’importance
Donc :
Il faut définir des stratégies les mieux adaptées
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ECHELONS DE LA MAINTENANCE (norme FD X 60-000)
L’échelon de la maintenance spécifie l’endroit où les
interventions sont effectuées. On définit généralement trois
échelons qui sont :
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Situation du service maintenance au sein de l’entreprise
❖ Avantages :
maîtrise de la fonction et maîtrise technique, optimisation des
efforts.
❖ Inconvénients:
On lui reproche parfois d'être fragmenté et éloigné des
préoccupations de production. Mais son efficacité est liée à la
qualité des communications entre les deux services et
l'organisation.
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Situation du service maintenance au sein de l’entreprise
➢ Tendance 2 : La décentralisation
Une partie de la maintenance dite maintenance rapprochée ou de plate-
forme est intégrée aux équipes de production, d'exploitation; ces
techniciens de plate-forme effectuent des diagnostics, décident à quelles
compétences faire appel, gèrent les commandes, surveillent les travaux
de remise en état, participent aux améliorations...
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Situation du service maintenance au sein de l’entreprise
❖ Avantages :
meilleure prévention et bonne maîtrise du processus de dégradation,
possibilités renforcées d'actions sur les procédés d'exploitation, diminution
des cloisonnements et forte collaboration, diminution des microdéfaillances,
facilité des actions qualité à la source des dysfonctionnements, meilleure
sensibilisation aux coûts en étant plus proche de la production.
❖ Inconvénients:
Il y a des risques de redondances avec la maintenance centrale d'où la
nécessité d'une forte coordination, de procédures strictes d'appel à la sous-
traitance pour éviter l'appel à des spécialités coûteuses sur-qualifiées.
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DOMAINES D’ACTION DU SERVICE MAINTENANCE
Variété des actions qui constituent souvent le quotidien de la
mission d’un service maintenance :
➢ Maintenance préventive et corrective de tous les systèmes dont le service a
la charge ainsi que toutes les opérations de révisions, contrôles, etc.
➢ Travaux d’installation et de mise en route de matériels neufs
➢ Travaux directement liés aux conditions de travail : sécurité, hygiène,
environnement, pollution, etc.
➢ Amélioration et modernisation des installations
➢ Gestion des pièces de rechange, des outillages et des moyens de transport
et de manutention
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ENTRETIEN ET MAINTENANCE
➢ augmentation de la productivité.
➢ optimisation de la disponibilité de l’outil de travail.
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ENTRETIEN ET MAINTENANCE
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IMPORTANCE DE LA MAINTENANCE ET TYPES D’ENTREPRISE
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IMPORTANCE DE LA MAINTENANCE ET TYPES D’ENTREPRISE
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NOTION DE DEFAILLANCE
❖ Panne :
État d'un produit le rendant inapte à accomplir une fonction requise dans des conditions
d'utilisation données. C'est un état.
❖ Dégradation :
État d'une entité présentant une perte de performances d'une des fonctions assurées par celle-ci
ou alors un sous-ensemble lui-même dégradé, voire défaillant, sans conséquence fonctionnelle
sur l'ensemble.
❖ Défaillance :
altération (Modification) ou cessation de l’aptitude d’un bien à accomplir la fonction requise.
❖ Il existe 2 formes de défaillance :
Défaillance partielle : altération de l’aptitude d’un bien à accomplir la fonction requise.
Défaillance complète : cessation de l’aptitude d’un bien à accomplir la fonction requise.
Remarque : Après une défaillance, le bien est en panne, totale ou partielle. Une défaillance est un
événement à distinguer d'une panne qui est un état. 28
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NOTION DE DEFAILLANCE
❑ Causes de défaillance:
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NOTION DE DEFAILLANCE
❑ Evolution de défaillance:
Deux modèles de défaillance peuvent être envisagés selon leur type
d'apparition :
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NOTION DE DEFAILLANCE
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LES METHODES DE MAINTENANCE
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LES METHODES DE MAINTENANCE
Une plus grande disponibilité des machines nécessite la mise en place des
technologies les plus modernes et des stratégies de maintenance les plus
efficaces. De plus, à un cout de maintenance associant un potentiel de gain
en termes de qualité, de délai, de cout de fabrication, de pièces de rechange
et d’heures d’intervention.
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LA MAINTENANCE CORRECTIVE (extraits normes NFX 60-000) :
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LA MAINTENANCE CORRECTIVE (extraits normes NFX 60-000) :
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LA MAINTENANCE CORRECTIVE (extraits normes NFX 60-000) :
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LA MAINTENANCE CORRECTIVE CURRATIVE:
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LA MAINTENANCE CORRECTIVE PALLIATIVE:
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LA MAINTENANCE PREVENTIVE (extraits normes NFX 60-000) :
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LA MAINTENANCE PREVENTIVE (extraits normes NFX 60-000) :
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BUT DE LA MAINTENANCE PREVENTIVE
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MAINTENANCE PREVENTIVE SYSTEMATIQUE
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MAINTENANCE PREVENTIVE CONDITIONNELLE
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MAINTENANCE PREVENTIVE CONDITIONNELLE
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MAINTENANCE PREVENTIVE CONDITIONNELLE
Il est souvent onéreux, mais pour des cas bien choisis il est
rentabilisé rapidement.
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MAINTENANCE PREVENTIVE CONDITIONNELLE
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LES OPERATIONS DE MAINTENANCE
❑ Les opérations de la maintenance corrective :
❖ Le dépannage:
Action sur un bien en panne, en vue de le remettre en état de
fonctionnement.
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LES OPERATIONS DE MAINTENANCE
❑ Les opérations de la maintenance corrective :
❖ La réparation :
Intervention définitive et limitée de maintenance corrective après panne ou
défaillance.
❖ Les inspections :
activités de surveillance consistant à relever périodiquement des anomalies
et exécuter des réglages simples ne nécessitant pas d’outillage spécifique, ni
d’arrêt de l’outil de production ou des équipements.
❖ Visites :
opérations de surveillance qui, dans le cadre de la maintenance préventive
systématique, s’opèrent selon une périodicité déterminée.
Remarque : Une visite peut entraîner une action de maintenance corrective.
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LES OPERATIONS DE LA MAINTENANCE
❖ Contrôles:
vérifications de conformité par rapport à des données préétablies suivies
d’un jugement. Le contrôle peut :
➢ Comporter une activité d’information
➢ Inclure une décision : acceptation, rejet, ajournement
➢ Déboucher, comme les visites, sur des opérations de maintenance
corrective
Remarque :
➢ 1. Les opérations de surveillance sont nécessaires pour maîtriser
l’évolution de l’état réel du bien.
➢ 2. Elles sont effectuées de manière continue ou discontinu calculés sur le
nombre d’unités d’usage.
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NOTION DE MAINTENABILITE
❖ La maintenabilité :
C’est une caractéristique précisant la facilité et la rapidité avec
lesquelles un système peut être remis en un état de fonctionnement total
avec une fiabilité correspondante à son âge. C’est pourquoi, pour rendre
l’opération de maintenance plus facile et plus rapide, on devra prévoir, dès
la conception, les moyens pour faciliter :
➢ Le diagnostic des pannes existantes et celles risquant de survenir
rapidement (défaillance par dégradation) ;
➢ L’accès aux pièces à rechange, leur démontage et leur remplacement ;
➢ Le contrôle de la validité de l’action de maintenance.
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NOTION DE MAINTENABILITE
❑ Critères de la maintenabilité :
La Norme NF X 60-300 et X 60 -301 spécifie cinq types de critères de maintenabilité
qui sont :
➢ Le premier critère est relatif à la surveillance de la maintenance préventive. Il est
important de connaitre à ce niveau l’accessibilité de la composante, sa démontabilité
et son interchangeabilité ;
➢ Le deuxième critère est relatif à la maintenance corrective, plus particulièrement, le
temps de recherche de panne ou de défaillance et le temps de diagnostic ;
➢ Le dernier critère est lié au suivi du bien par le fabricant. Il sera question de
l’évolution du fabricant, de la qualité du service après-vente et de l’obtention des
pièces de rechange.
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LES TEMPS DE LA MAINTENANCE
❑ La MTBF
La MTBF est la moyenne des temps de bon fonctionnement (TBF).
Un temps de bon fonctionnement est le temps compris entre deux défaillances.
Remarque : En anglais, MTBF signifie mean time between failures (norme X60-500).
❑ La MTTR
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LES TEMPS DE LA MAINTENANCE
❑ La MTTA
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LES TEMPS DE LA MAINTENANCE
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NIVEAUX DE LA MAINTENANCE
❑ 1er Niveau :
Ce type d'intervention peut être effectué par l'exploitant du bien, sur place,
sans outillage et à l'aide des instructions d'utilisation. Le stock de pièces
consommables nécessaires est très faible.
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NIVEAUX DE LA MAINTENANCE
❑ 2ème Niveau :
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NIVEAUX DE LA MAINTENANCE
❑ 3ème Niveau :
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NIVEAUX DE LA MAINTENANCE
❑ 5ème Niveau :
Rénovation, reconstruction ou exécution des réparations importantes
confiées à un atelier central ou à une unité extérieure
Remarque :
➢ les deux concepts de niveau et d’échelon de maintenance soient bien distincts, il existe
souvent une corrélation entre le niveau et l’échelon. Les opérations de niveaux 1 à 3,
par exemple, s’effectuant sur site, celles de niveau 4 en atelier, et celles de niveau 5
chez un spécialiste hors site (constructeur ou société spécialisée).
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MAINTENANCE A ECHELLE MAJEURE
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EXEMPLES
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EXEMPLES
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Introduction aux standards de sécurité
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LA SECURITE
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LA SECURITE
Pourquoi la maintenance est-elle importante pour la sécurité
et la santé au travail?
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DAGER ET RISQUE
Danger : Conséquences néfastes associées à un aléa (hasard,
coïncidence).
Risque : Mesure de l'occurrence d'un événement indésirable et/ou de la
mesure associée à ses effets et conséquences.
Courbe de Farmer
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Les dangers, les risques et leurs effets
❖ Dangers physiques
➢ bruit, vibrations
➢ extrêmes de température
➢ rayonnement (rayons ultraviolets, rayons X., champs électromagnétiques)
➢ charge de travail physique importante
Tâches typiques :
Perçage, moulage, entretien de routes, de ponts, de tunnels, travail à l’extérieur,
entretien de fours industriels, travail dans des unités de réfrigération, soudage,
inspection de tuyaux, entretien de rails, etc.
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Les dangers, les risques et leurs effets
❖ Dangers d’ordre chimique
vapeurs, fumées, poussière (p. ex. fumées de bitume, gaz d’échappement
de diesel, silice cristalline), acides
Tâches typiques :
- soudage à l’arc électrique dans des espaces confinés
- travail dans des ateliers de réparation de véhicules
-maintenance d’installations industrielles dans lesquelles se trouvent des
produits chimiques dangereux
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Les dangers, les risques et leurs effets
❖ Dangers d’ordre biologique
bactéries (p. ex. légionelle, salmonelle)moisissures et champignons
Tâches typiques :
- maintenance dans des installations de traitement des déchets
- maintenance dans des lieux, comme les laboratoires, où sont manipulés
des agents biologiques
- maintenance dans des lieux où des bactéries ont tendance à proliférer
comme les systèmes de climatisation
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Les dangers, les risques et leurs effets
travail par équipes, travail de week-end, travail de nuit, travail sur appel
et horaires de travail irréguliers,
travail avec le personnel d’une ou de plusieurs entreprises extérieures –
problèmes de communication
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Les dangers, les risques et leurs effets
❖ La sous-traitance
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Les dangers, les risques et leurs effets
Phénomène dangereux, Risque
Situations dangereuses
Pour ce faire :
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MÉTHODES DE PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS
❖ Conséquences :
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MÉTHODES DE PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS
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MÉTHODES DE PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS
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MÉTHODES DE PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS
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MÉTHODES DE PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS
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MÉTHODES DE PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS
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MÉTHODES DE PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS
EVITER LE DOMMAGE
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PRINCIPES GENERAUX DE PREVENTION
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PRINCIPES GENERAUX DE PREVENTION
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PRINCIPES GENERAUX DE PREVENTION
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PRINCIPES GENERAUX DE PREVENTION
❖ESTIMER LE RISQUE Norme NF EN 1050 :
LA PROBABILITÉ
D’OCCURRENCE DU
LE RISQUE DOMMAGE: LA GRAVITÉ DU
Est une - Fréquence et durée DOMMAGE:
relatif au d’exposition; Et de :
fonction de: pour le phénomène
phénomène - Probabilité d’occurrence d’un dangereux considéré
dangereux événement dangereux
- Possibilité d’éviter ou de
limiter le dommage
f)- Remplacer ce qui est dangereux par ce qui n’est pas dangereux ou moins
dangereux,
g)- Plan de prévention (organisation du travail, conditions de travail,
relations sociales, facteurs d’ambiances),
h)- Donner la priorité aux mesures de protection collective sur les mesures
de protection individuelles,
i)- Donner les instructions appropriées aux travailleurs.
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DIFFERENTS TYPES DE PREVENTION
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DIFFERENTS TYPES DE PREVENTION
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DIFFERENTS TYPES DE PREVENTION
➢ Éviter, ou réduire les dommages liés aux phénomènes dangereux en utilisant des
mesures de protection
4)- Consignes
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BARRIERE DE SECURITE
❖Définition :
Les barrières de sécurité sont représentées par l’ensemble des éléments techniques et
organisationnels permettant d’assurer la totalité des exigences d’une fonction de
sécurité. Et on peut définir les (BS) comme étant tout dispositif instrumental
mécanique ou procédural, permettant de prévenir ou de réduire la probabilité
d’occurrence d’un événement redouté ou en limiter les conséquences.
➢ Barrière passive : Une barrière de sécurité est passive si elle n’a pas besoin
d’action humaine, d’énergie ou de sollicitation pour remplir sa fonction.
Exemple : cuvette de rétention, arrête-flamme, mur coupe-feu...etc.
➢ Barrière active : Une barrière est active si elle nécessite une énergie ou
sollicitation (action automatique ou manuelle) pour remplir sa fonction.
Exemple : Clapet anti-retour, soupape de décharge.
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BARRIERE DE SECURITE
Selon la fonction de barrière :
La sécurité d’une installation est assurée à différents niveaux dans l’évolution d’une
dérive susceptible de conduire à un accident. On distingue donc des (BS) assurant
des fonctions de prévention, de protection et d’intervention.
➢ Barrière de prévention :
Une barrière de prévention permet de prévenir l’occurrence d’un événement redouté.
Elle peut assurer le suivi d’un paramètre qui, en cas de dérive peut entraîner la perte
de contrôle de l’installation et aboutir à un accident majeur.
Exemple : couche protectrice, contrôle d’accès au site
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Introduction aux outils de mesurage utilisés
en automobile
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INTRODUCTION
Les outils de mesure sont souvent utilisés dans la technologie automobile, par
exemple lors de l'inspection des moteurs. Mais des outils de mesure sont également
utilisés pour mesurer l'épaisseur des garnitures de frein ou du disque de frein. Afin
d'effectuer une mesure, il est important de connaître la précision de mesure avec
laquelle l'outil a été conçu.
Les outils de mesure les plus courants en automobile et leur précision sont :
Pied à coulisse (0,05 mm, ce qui équivaut à 1/20 mm.)
Taille de vis ( 0,01 mm ou 1/100 mm.)
Comparateur à cadran (0,01 mm.)
Jauge d'épaisseur ( 0,05 mm.)
Plastigage (précision selon version).
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NOTIONS DE LA METROLOGIE
METROLOGIE : C’est le domaine des connaissances relatives au mesurage. Il englobe tous les
aspects aussi bien théoriques que pratiques quel que soit la nature de la science et de la technologie
développée.
METHODE DE MESURE : C’est une succession logique d’opérations décrites d’une manière
succincte permettant la mise en œuvre de mesurage. On distingue entre deux méthodes : méthode
directe et méthode indirecte.
Méthode directe :
• C’est le relevé d’une dimension à partir d’une référence.
• La précision et la grandeur de dimension influencent le choix de la référence.
Exemple : Appareil à trait : Mètre
Méthode indirecte :
• C’est le relevé à l’aide d’un capteur de l’écart entre une pièce à mesurer et un étalon (pièce de
référence).
• Pour ce type de mesurage on utilise le comparateur à cadran.
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NOTIONS DE LA METROLOGIE
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NOTIONS DE LA METROLOGIE
La fonction métrologie dans l’entreprise
Etalonnage : Ensemble des opérations établissant, dans des conditions spécifiées, la relation entre les
valeurs indiquées par un appareil de mesure ou un système de mesure ou les valeurs représentées par
une mesure matérialisée, et les valeurs connues correspondantes d’une grandeur mesurée.
En pratique, le résultat d’un étalonnage permet de déterminer les valeurs des écarts d’indication d’un
instrument de mesure, ou d’un système de mesure par rapport aux valeurs étalons. II permet
également, par l’application de corrections systématiques de réduire l’incertitude associée aux
mesures.
Vérification : Confirmation par examen et établissement des preuves que les exigences spécifiées ont
été satisfaites. Le résultat d’une vérification se traduit par une décision de remise en service,
d’ajustage, de réparation, de déclassement ou de réforme. Dans tous les cas, une trace écrite de la
vérification effectuée doit être conservée dans le dossier individuel de l’appareil de mesure.
Principe de fonctionnement :
Un coulisseau portant un vernier (par exemple au 1/50) et un bec mobile se déplacent sur une règle en
fonction de la grandeur de la pièce à mesurer. La position de mesurage peut être stabilisée par la vis
de blocage.
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OUTILS DE MESURAGE
Principe de lecture :
a) Lire un nombre entier de mm sur la règle juste à gauche du zéro du vernier : (11)
b) Repérer la coïncidence des graduations entre la règle et le vernier, puis multiplier le nombre de
graduations lues sur le vernier du 0 à la coïncidence par 1/50 ou 0,02 : 30 x 0,02 = 0,70
Expression du résultat brut de mesurage est : 11.70
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OUTILS DE MESURAGE
Types de pieds à coulisse :
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OUTILS DE MESURAGE
Applications courantes :
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OUTILS DE MESURAGE
Jauges de profondeurs :
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OUTILS DE MESURAGE
Applications courantes :
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OUTILS DE MESURAGE
❖ Micromètres :
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OUTILS DE MESURAGE
Principe de lecture sur micromètre :
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OUTILS DE MESURAGE
Types de micromètres :
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OUTILS DE MESURAGE
Applications courantes :
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OUTILS DE MESURAGE
❖Comparateur à cadran :
Principe de fonctionnement :
Pour un déplacement de 1 mm du palpeur lié à la crémaillère, l'aiguille liée au pignon terminal de la
chaîne cinématique fait 1 tour. Le cadran étant divisé en 100 graduations, chaque graduation est égale
à : 1 mm/100, soit 0,01 mm.
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OUTILS DE MESURAGE
Principales utilisations :
• Mesurer l'écart e entre un étalon et une pièce à mesurer.
• Réaliser les différents réglages géométriques sur la machine.
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OUTILS DE MESURAGE
❖Jauge d’épaisseur :
La jauge d'épaisseur permet de mesurer l'espace entre deux pièces. La jauge d'épaisseur est constituée d'un
certain nombre de bandes métalliques dont chacune a une épaisseur différente. L'épaisseur est indiquée sur la
bande métallique. La bande inférieure de la jauge d'épaisseur dans l'image ci-dessous indique « 30 ». Cela
signifie que la bande métallique a une épaisseur de 0,30 mm.
Pour mesurer l'espace entre deux pièces, toute bande métallique doit être dépliée et glissée entre les pièces. Si la
bande peut être déplacée très facilement, voire sans résistance, alors l'espace est plus grand que l'épaisseur de la
bande. II faut donc déplier une bande métallique plus épaisse. Si la bande ne passe plus, c'est qu'elle est trop
épaisse. Si la bande peut être glissée entre les pièces avec une certaine résistance, alors c'est la bonne taille.
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OUTILS DE MESURAGE
❖Le compressiomètre
Le compressiomètre est un outil très pratique que l'on utilise pour déterminer l'état d'usure du moteur
de la voiture. Il permet de mesurer la pression au sein de chaque cylindre du moteur afin de déceler
un dysfonctionnement d'un ou plusieurs éléments du moteur. Les valeurs affichées par le
compressiomètre varient selon le type de motorisation (essence ou diesel).
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INSPECTION ET ENTRETIEN DU VEHICULE
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INTRODUCTION
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REGLAGE DES JEUX DE SOUPAPES
OBJECTIF :
➢ La revue technique
➢ L’outillage courant
➢ Un jeu de cales d’épaisseur (jeu de jauges)
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REGLAGE DES JEUX DE SOUPAPES
ORGANISER SON POSTE DE TRAVAIL :
Préparer :
➢ Préparer l’outillage et le jeu de cales d’épaisseur
➢ Déposer le cache culbuteurs
➢ Repérer les soupapes d’admission (en prolongement de la tubulure d’admission), les
soupapes d’échappement (en prolongement de la tubulure d’échappement).
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REGLAGE DES JEUX DE SOUPAPES
Les moteurs à 4 temps possèdent des soupapes d’admission et d’échappement. Ces soupapes sont
actionnées par un arbre à cames.
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REGLAGE DES JEUX DE SOUPAPES
différents types de commandes de soupape :
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REGLAGE DES JEUX DE SOUPAPES
Lorsque la soupape est fermée, l'étanchéité de sa tête sur son siège doit être parfaite;
Le jeu aux soupapes permet de garantir la fermeture des soupapes quelle que soit la température du
moteur.
Les soupapes d'échappement sont soumises à une plus grande chaleur que les soupapes d'admission,
le jeu prescrit pour les soupapes d'échappement est ainsi généralement plus grand que pour les
soupapes d'admission
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REGLAGE DES JEUX DE SOUPAPES
Effets d'un Jeu de Soupape Mal Réglé
Le jeu des soupapes est trop grand : la commande d'ouverture des soupapes et bruyante les
performances du moteur sont réduites car le temps d'ouverture des soupapes est sensiblement diminué,
Le jeu est insuffisant : il provoque un ralenti instable et des démarrages difficiles car l'étanchéité des
soupapes est affectée.
Dans les deux cas, les performances du moteur sont réduites et la consommation de carburant augmente.
Le réglage du jeu aux soupapes influence directement le remplissage en air du moteur. Donc les
compressions.
Il faut contrôler le jeu aux soupapes et le régler lors d'un dysfonctionnement du moteur. Le jeu doit être
conforme aux spécifications pour assurer le bon fonctionnement du moteur.
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REGLAGE DES JEUX DE SOUPAPES
Le contrôle :
Quel que soit le type de commande des soupapes il faut respecter les conditions suivantes avant de
procéder au contrôle du jeu aux soupapes :
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REGLAGE DES JEUX DE SOUPAPES
Quel que soit le type de commande des soupapes les étapes du contrôle de jeu sont les suivantes :
Positionner le ou les arbres à cames pour la mesure mesurer le jeu à l'aide d'un jeu de cale vérifier que la
cale correspondant au jeu minimum passe et que la cale correspondant au jeu maximum ne passe pas si
les mesures ne sont pas conformes aux spécifications procéder aux réglages du jeu selon les méthodes
de la documentation technique.
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REGLAGE DES JEUX DE SOUPAPES
Les réglages des différents types de commandes :
Le jeu se mesure entre la queue de la soupape et le culbuteur, le réglage du jeu s'effectue à l'aide d'une
vis de réglage situé à l'extrémité du culbuteur si le jeu est trop petit et que la cale correspondant au jeu
minimum ne passe pas vous devez dévisser si le jeu est trop grand et elle correspondant au jeu
maximum passe vous devez visser.
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REGLAGE DES JEUX DE SOUPAPES
e jeu se mesure entre la cale du poussoir et la came à l'aide d'un jeu de cale le réglage du jeu s'effectue
en remplaçant la cale par une cale d'épaisseur différentes, il existe des outils spécifiques pour assurer ces
opérations vous les trouverez dans la section outillage spécialisé de la documentation technique.
L'épaisseur de la cale à installer est calculée de la manière suivante :
Jeu mesuré + épaisseur de l'ancienne cale - jeu préconisé par le constructeur
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REGLAGE DES JEUX DE SOUPAPES
Le réglage du jeu s'effectue en remplaçant le poussoir existant par un poussoir d'épaisseur différentes,
après dépose de l'arbre à cames, l'épaisseur du poussoir à installer est calculée de la manière suivante :
Dans tous les cas, il existe des cales et des poussoirs avec des dimensions spécifiques disponibles au
magasin de pièces de rechange.
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CONTRÔLE DES COMPRESSIONS
Le contrôle des compressions fait partie des tests fondamentaux du contrôle d'un moteur, le contrôle des
compressions permet de vérifier l'état de santé du moteur. Le contrôle des compressions consiste à
mesurer la pression dans chaque cylindre. La pression maximale dans chaque cylindre enfin de
compression se mesure lorsque le piston est au point mort haut.
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CONTRÔLE DES COMPRESSIONS
L’interprétation du contrôle des compressions s'effectue en comparant les mesures des pressions des
cylindres. Cette interprétation peut révéler un déséquilibre ou des pressions trop faible.
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CONTRÔLE DES COMPRESSIONS
Les causes peuvent se trouver dans les éléments suivants :
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CONTRÔLE DES COMPRESSIONS
Les conséquences :
manque de puissance, consommation excessive de carburant, difficulté ou impossibilité au démarrage
Le contrôle :
Avant de mesurer les compressions il est nécessaire d'effectuer les contrôles préliminaires suivants :
niveau et qualité d'huile, propreté du circuit d'air, charge de la batterie, vitesse du démarreur.
Le contrôle des compressions doit être effectué dans les conditions suivantes :
Moteur chaud ;
Tous les bougies injecteurs ou bougies de préchauffage déposés.
Le contrôle des compressions à l'aide d'un compressiomètre : le compressiomètre donne la mesure
en bar de la pression exacte dans le cylindre.
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CONTRÔLE DES COMPRESSIONS
Le compressiomètre doit se brancher successivement sur chaque cylindre, le contrôle se
fait en comparant les résultats.
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CONTRÔLE DES COMPRESSIONS
Le compressiomètre doit se brancher successivement sur chaque cylindre, le contrôle se
fait en comparant les résultats.
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CONTRÔLE DE L’USURE DES CYLINDRES
OBJECTIF :
Comparer le diamètre intérieur des cylindres avec le diamètre nominal d’origine, à la suite
d’une perte de compression et d’une consommation excessive.
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CONTRÔLE DE L’USURE DES CYLINDRES
ORGANISER SON POSTE DE TRAVAIL :
Préparer :
➢ Déposer la culasse en prenant bien toutes les précautions d’usage (placer les brides de
chemises). Déposer les bielles et les pistons. Nettoyer les alésages des cylindres en
dégraissant et en toilant légèrement pour éliminer la calamine.
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CONTRÔLE DE L’USURE DES CYLINDRES
➢ Préparer le comparateur :
• Placer la montre sur le tube et la serrer.
• Placer un embout de pige à la partie inférieure de telle sorte qu’au repos la longueur
totale de la pige soit légèrement supérieure au diamètre intérieur des cylindres à mesurer.
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CONTRÔLE DE L’USURE DES CYLINDRES
Le contrôle :
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CONTRÔLE DE L’USURE DES CYLINDRES
1. Placer la pige du comparateur dans le cylindre en la comprimant légèrement (sens
perpendiculaire à l’axe du vilebrequin) à la hauteur du cordon d’usure : diamètre
nominal du cylindre, qui va servir de côte de référence.
2. Faire osciller légèrement le tube du comparateur et l’arrêter dans la position ou
l’aiguille change de sens (diamètre minimal).
3. Tourner le cadran de la montre pour amener le 0 à la pointe de l’aiguille.
4. Descendre la pige de quelques mm au point A (point d’usure maximal).
5. Faire osciller le tube du comparateur pour trouver le diamètre minimal.
6. Lire la différence entre le 0 du cadran et la position de l’aiguille. Une graduation de
comparateur représente 0,01 mm (1/100 mm).
7. Noter cette valeur.
8. Répéter l’opération aux points B et C et noter les valeurs trouvées.
9. Répéter l’opération sur les autres cylindres et noter les valeurs trouvées.
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CONTRÔLE DE L’USURE DES CYLINDRES
Le diagnostique :
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CONTRÔLE DU VILEBREQUIN
OBJECTIF :
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CONTRÔLE DU VILEBREQUIN
ORGANISER SON POSTE DE TRAVAIL :
Préparer :
➢ Le contrôle du vilebrequin est à effectuer lors de la dépose des pistons (fiche
précédente), il faut suivre toute la procédure de dépose décrite dans cette fiche.
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CONTRÔLE DU VILEBREQUIN
RÉALISER L’INTERVENTION :
Démonter
➢ Déposer le vilebrequin du moteur en suivant les instructions du manuel de réparation.
➢ Nettoyer les pièces à contrôler.
➢ Repérer l’ordre et le sens de montage des composants :
• Les chapeaux de paliers et les chapeaux de bielles doivent être repérés pour les remettre
dans la même position et le même sens, s’ils n’ont pas de repères il faut les numéroter et
repérer le sens avec des petits coup de pointeau mais il faut choisir une zone non fragile,
qui n’a pas d’usinage.
• Les coussinets si toutefois ils devaient être remontés doivent retrouver leur emplacement
et sens d’origine. Si on les inverse on peut fausser leurs ajustements et créé un problème
moteur (pression d’huile, manque de jeu pour la bielle…)
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CONTRÔLE DU VILEBREQUIN
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CONTRÔLE DU VILEBREQUIN
Contrôler
1. Contrôle visuel :
• Rayures : fines ou prononcées.
• Traces de coups, grippage, oxydation.
• Partie filetée, état des logements de clavettes, pions de centrage du volant.
2. Contrôle de la conicité et de l’ovalisation des manetons et des tourillons :
• Mesurer le diamètre de chaque côté du maneton puis refaire la mesure en décalant le
micromètre de 90° (Voir schéma).
• Refaire le même travail sur le tourillon.
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CONTRÔLE DU VILEBREQUIN
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CONTRÔLE DU VILEBREQUIN
3. Contrôle de l’alignement des tourillons :
La flexion doit être inférieure à 0,05 mm. La mesure est effectuée sur des vés reposant sur
un marbre, avec un comparateur et son support magnétique.
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CONTRÔLE DU VILEBREQUIN
Remonter
1. Remonter en suivant le manuel de réparation.
2. Nettoyer les passages d’huile du vilebrequin, des manetons et tourillons, il ne doit
subsister aucune impureté.
3. Respecter les couples de serrage préconisé par le constructeur.
4. Contrôler le jeu latéral (ou axial) du vilebrequin :
• On serre au couple prescrit puis on mesure le jeu latéral du vilebrequin à l’aide d’un
comparateur sur son support que l’on met en bout de vilebrequin, s’il n’est pas dans la
tolérance on l’ajustera en remplaçant par des cales plus ou moins épaisses.
• On vérifie ensuite que le vilebrequin seul tourne sans forcer
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