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SOMMAIRE

REMERCIEMENTS .......................................................................................... Erreur ! Signet non défini.


INTRODUCTION GENERALE ............................................................................................................... 2
I. PRSENTATION GENERALE DU GROUPE INFRA-SOL ET DEROULEMENT DU STAGE 3
I.1 PRESENTATION DE LA STRUCTURE ......................................................................................... 3
I.2 DEROULEMENT DU STAGE .......................................................................................................... 4
II. EXPLORATION DE L’IDENTIFACATION COMPLETE (IC) ................................................. 6
II.1 GENERALITES SUR L’IDENTIFICATION COMPLETE .......................................................... 6
II.2 ESSAIS DE L’IDENTIFICATION COMPLETE .......................................................................... 6
A) TENEUR EN EAU (NF P 94-50) ........................................................................................................ 6
B) POIDS SPECIFIQUE DU SOL (NF P 94-054) ........................................................................ 8
C) ANALYSE GRANULOMETRIQUE (NF P94-056)................................................................ 12
C) LIMITES D’ATTERBERG (NF P94-051) ............................................................................... 14
D) ESSAI PROTOR (NF P94-093) ............................................................................................... 19
E) ESSAI CBR (CALIFORNIA BARING RATIO) (NF P94-078) ............................................ 23
III LE CISAILLEMENT (NF P94-071-1) ............................................................................................. 27
III.1 GENERALITE SUR LE CISAILLEMENT ................................................................................ 27
III.2 ESSAI DE CISAILLEMENT RECTILINE NON CONSOLIDE ET NON DRAINE (UU) ...... 27
IV.SONDAGE ........................................................................................................................................... 32
IV.1 GENERALITE SUR LE SONDAGE .......................................................................................... 32
V. ETUDE SUR LE CIMENT (NF-EN-196-1) ...................................................................................... 33
IV.1 GENERALITE SUR LE CIMENT .............................................................................................. 33
CONCLUSION GENERALE................................................................................................................. 35
INTRODUCTION GENERALE

En 2016 le Gouvernement Camerounais à lancer la construction des grands projets


structurants tels que les autoroutes, barrages etc. En vue d’être d’ici 3035 un pays émergent. Tous ces
projets nécessitent des études géotechniques fiables et appropriées dans le but de garantir les
longévités de ces ouvrages oh combien si importants. Mais le manque criard des géotechniciens
qualifiés sur le marché de l’emploi pose un véritable problème dans le suivit des études géotechniques.
Ce fut ce qui nous a motivé à choisir précisément ce domaine pour notre stage de fin de Master I
à l’université de Yaoundé I et en tant que futurs ingénieurs géotechniciens il nous semblais alors
logique de chercher un stage ouvrier dans un bureau d’études géotechniques de renommer nationale
et même sous régionale, répondant à ces enjeux du futur, en matière d’études géotechniques tout en
nous formant au métier de géotechniciens ce qui nous a conduit au sein groupe INFRA-SOL qui
d’apprend nous le plus qualifier au vue de son ancienneté dans le domaine et surtout en vue des
projets qu’ils ont mené à bien. L’organisation au sein de laquelle nous avons effectué notre stage d’un
mois, INFRA-SOL, est tout d’abord une structure complexe aux rôles économiques et culturels majeurs,
qui nous ont confié de nombreuses missions valorisantes. Cette organisation polymorphe offre à ses
stagiaires de nombreuses opportunités mais aussi et surtout un savoir expérimenté dans le domaine
géotechnique. En tant que pionné dans les études géotechniques au Cameroun. A travers notre stage,
nous avons eu l’occasion d’apprendre beaucoup, ainsi que d’accéder à des expériences inoubliables et
très formatrices. En nous offrant la possibilité de travailler en laboratoire et d’utiliser tous les
appareils nécessaires aux études géotechniques, INFRA-SOL m’a aussi offert la possibilité de vivre « The
Life Down Under ». Nous avons eu la chance d’apprendre beaucoup sur le concept ‘’géotechniques’’.
Notre affiliation à INFRA-SOL nous a aussi permis de côtoyer les grands ingénieures géotechniciens
même, le contexte environnemental qui a englobé notre expérience a aussi joué un rôle majeur dans la
manière que nous avons eu d’appréhender notre stage et nos missions .

Ainsi nous avons effectué un stage ouvrier au sein du groupe INFRA-SOL situe à Nkolbisson tout
précisément à la montée institut catholique d’Afrique centrale de la période allant du 02 Août au
02 septembre 2022.Notre rapport de stage sera doc repartit selon le plan suivant : (I) présentation
générale du groupe infra-sol et déroulement du stage,(II) exploration de l’identification complète. Et par
la suite nous parlerons tour à tour en (III) du cisaillement, (IV) le sondage et enfin en VI interprétation
des résultats de l’identification complète.
I. PRSENTATION GENERALE DU GROUPE INFRA-SOL ET DEROULEMENT DU STAGE
I.1 PRESENTATION DE LA STRUCTURE
 LOCALISATION GEOGRAPHIQUE

Le groupe INFRA-SOL/DECA-services est une entreprise camerounaise ayant sa direction


générale au Cameroun, dans la ville de Yaoundé plus précisément au quartier Nkolbisson( montée
Institut catholique) BP 3256 Tel 222 23 85 54 et ayant pour coordonnées géographiques
3°52’20’’N 11°26’53’’E et ayant pour PDG Monsieur Paul MAGOUA ce groupe comprend e son
sein plusieurs sociétés parmi lesquelles :

 ORGANISATION ADMINISTRATIVE

NFRA-SOL qui est un laboratoire Géotechnique qui a été sollicité pour la réalisation des
études géotechniques dans des grands Projet structurants du gouvernement camerounaise a l’instar du
projet de construction de l’autoroute Yaoundé –Nsimalen et du projet PAEPYS. Son organigramme se
présente comme suit :

1- Un président directeur général : Monsieur Paul MAGOUA ;


2- Un directeur technique : (DOMCHE Cédric) ;
3- des chefs de laboratoires :
 Laboratoire essais spéciaux mécaniques des sols (chef Madame KOUAM
Victorine) ;
 Laboratoire granulats, essai sol et bétons (Monsieur TCHINDA) ;
 Laboratoire essai du noir (Monsieur LOCK) ;
 Laboratoire essais chimiques et ciments ((Monsieur TAMNO Herve) ;
4- Un chef de salle (Monsieur KANA) ;
5- Des ingénieurs ;
6- Des techniciens supérieurs ;
7- Des laborantins ;
8- Des aides laborantin
DECA- services qui sont d’une société de construction qui a construit le bloque pédagogique
de polythèque il est organisé comme suite :

1. Un président directeur général : Monsieur Paul MAGOUA ;


2. Un secrétariat
3. Un directeur technique,
4. Un service financier
5. Un directeur technique ;

6. Un chef de salle ;
7. Des ingénieurs
8. Des techniciens
INSTITUT GEOPOLE qui est d’’un institut supérieur de formation des géotechniciens envie
de satisfaire le manque cria des géotechniciens qualifies au Cameroun

CAPFA (Camerounaise de petite fabrication) qui est d’une société basée à Douala
spécialisée dans la fabrication des matériaux de construction tels que les briques, pavés…

plaque infra-sol/deca-services localisasation gps d’infra-sol/dec-services

I.2 DEROULEMENT DU STAGE


Le déroulement de notre stage au sein du groupe INFRA-SOL ,c’est déroulé de façon
exceptionnelle ; dès le premier jour c’est-à-dire le 01 aout 2022 jour nous avons été reçu
chaleureusement par le directeur général du groupe INFRA-SOL Paul MAGOUA en personne qui nous
a présenté dans les différents laboratoires( Laboratoire essais chimiques et ciments ,laboratoire sols et
granulats, laboratoire essai du noirs, laboratoire essai spéciaux mécanique des sols ,laboratoire
granulats essai sol et bétons.

Le deuxième jour nous avons commencé à réaliser des essais sur le ciment au laboratoire
essais chimiques et ciments afin de déterminer la classe vrai du ciment en utilisant les cendre de
différents bois comment liants( padou) avec un étudiant d’EGEN Monsieur ALEX ….

Notre rôle au sein d’INFRA-SOL a été très varié et nous avons vraiment apprécié les missions sur
lesquelles nous avons eu la chance de travailler. Etant donné la taille de l’équipe du groupe INFRA -
SOL, chaque stagiaire s’est impliqué dans tous les projets en cours du début à la fin et voir son travail
valorisé à chaque étape. notre principal rôle était de réaliser les différents essais géotechniques (
teneur en eau, Analyse Granulométrique, Poids Spécifique, Limites d’Atterberg, essais Proctor et le
CBR), afin de donner une identification complètes de deux types de sols que nous sommes allés
prélever au village de Mbodoum le 05 AOUT 2022 ( argile rougeâtre profondeur 0,20m a 1,00m)
et a Eyene( argile latéritique rougeâtre profondeur de 0.10 à 1.1m) creuser par nous même les
étudiants à l’aide des pioches et pelles que nous avons mis dans des sacs de 50 kilogrammes et
transporter par pickup up jusqu’à infra -sol ou nous avons séché séparément les différents
matériaux sur une bâche au soleil .La descentes sur le terrain a été superviser par notre encadrant
ces essais sur l’identification complète nous a pris environs 26 jours afin de les réaliser tous et de
donner la classification H.R.B des matériaux ce que nous avons faites avec le chef du laboratoire
essai spéciaux mécanique des sols .

Par la suite , nous avons réalisé un essai de cisaillement sur l’argile sableuse provenant de la ville
Douala plus précisément à Bonapriso toujours avec le chef du laboratoire essai spéciaux mécanique
des sols .

En terme de l’identification complète, nos missions consistaient principalement à réaliser tous les
essais géotechniques qui concernaient les puits manuels numéro 1 ,2 ,3 (PM1, PM2, PM3) Argile
Rougeâtre il s’agit et l’argile latéritique rougeâtre :

- Teneur en eau que nous avons réalisé sur la supervision de notre acandrant ;
- Poids spécifique que nous avons réalisé sur la supervision de notre acandrant et un
laborantin ;
- Analyse granulométrique que nous avons réalisé sur la supervision de notre acandrant et un
laborantin ;
- Limites d’Atterberg que nous avons réalisé sur la supervision de notre acandrant et un
laborantin ;
- Essai Proctor que nous avons réalisé sur la supervision de notre acandrant et le chef du
laboratoire essai spéciaux mécanique des sols ;
- Essai CBR que nous avons réalisé sur la supervision de notre acandrant, du chef du
laboratoire essai spéciaux mécanique des sols et un laborantin.

A la date du 29 aout nous aller a pour réaliser un sondage pour l’entreprise pour le compte
du projet PAEPYS( Projet d’’Approvisionnent en Eau Potable dans la ville de Yaoundé) sur la
supervision de notre acandrant et du chef sondage .

II. EXPLORATION DE L’IDENTIFACATION COMPLETE (IC)

II.1 GENERALITES SUR L’IDENTIFICATION COMPLETE

L’identification complète d’un matériau ,revient à réaliser une identification simple complète(
essai de teneur en eau ; poids spécifique ; analyse granulométrique limites d’Atterberg ) complété par les
essais Proctor, pour déterminer le degré de compactage qui est un essai géotechnique qui permet de
déterminer le teneur en eau nécessaire pour obtenir une densité sèche maximal d’un sol par
compactage à une énergie fixée et permettant ainsi de connaitre les propriétés physiques et mécaniques
( types de compacteurs et le nombre de passe) ;à réaliser sur le sol, quant à l’essai CBR (California Baring
Ratio) qui est un essai géotechnique qui permet de déterminer et de réaliser la caractérisation mécanique
des sols naturels, des sols compactés dans les remblais et des couches de formes , de fondations et des
sous fondations , lors des construction en génie civil en fonction de la teneur en eau optimum et de la
densité sec a l’optimum Proctor obtenu lors de l’essai Proctor.

II.2 ESSAIS DE L’IDENTIFICATION COMPLETE


A) TENEUR EN EAU (NF P 94-50)
 DEFINITION ET BUT

La teneur en eau d’un matériau est le rapport du poids d’eau contenu dans ce matériau au poids
même matériau sec.

L’essai de teneur permet ainsi, de déterminer quel est le pourcentage massique (w%) d’eau dans le
matériau étudié .On déterminera ainsi la masse d’eau présente par rapport à une quantité en gramme
de sol sec.
 CAS PRATIQUE
- On a prélevé 400g d’échantillon de l’argile rougeâtre du puits manuel 1 et 2et de argile
latéritique du puit manuels 3 ;
- On a réalisé deux prises pour en fin prendre la moyenne ;
- On a pris une cuvette propre sec et taré;
- On remplit la cuvette préalablement taré le différent échantillon humide (400g par échantillon)
des argiles rougeâtre (puits manuels 1 et 2) et de l’argile rougeâtre (puits manuel3) ;
- Ensuite on a placé dans l’étuve pendant 24h entre deux pesées de la différence est inferieure
0.1% ;
- Par la suite nous avons pesé les échantillons secs ;
- Et en fin on a calculé le poids de l’eau en faisant la différence entre le poids humide moins le
poids sec ;
- Soit m le poids de l’eau dans l’échantillons et M le poids sec de l’échantillon ;
- Le teneur en eau est ainsi donnée par la formule suivante.

W=m/Mx100 en pourcentage :

 DES RESULTATS
Puits manuel 1 (PM1)

W%=poids humide- poids sec (Mw/Ms)/ poids sec x 100

Mw= poids humide- poids de l’eau

Ms= poids humide- poids sec

W%=(400-325.5)/325.5 x 100=22.89%

W%=22.89%

TENEUR EN EAU
Naturelle Analyse granulométrique
Poids total humide g 400
Poids total sec g 325,6
Poids net en eau g 74,4
Teneur en eau % 22,9

Poids de l'échantillon humide: g 2 000


Poids de l'échantillon sec: g 1 628,0

Puits manuel 2 (PM 2)

W%=(poids humide- poids sec)/ poids sec x 100

W%=(400-324.7)/324.7 x 100=23.19%
W%=23.19

TENEUR EN EAU
Naturelle Analyse granulométrique
Poids total humide g 400
Poids total sec g 324,7
Poids net en eau g 75,3
Teneur en eau % 23,2

Poids de l'échantillon humide: g 2 000


Poids de l'échantillon sec: g 1 623,5

Puits manuel 3 (PM 3)

TENEUR EN EAU
Naturelle Analyse granulométrique
Poids total humide g 400
Poids total sec g 355,3
Poids net en eau g 44,7
Teneur en eau % 12,6

Poids de l'échantillon humide: g 2 500


Poids de l'échantillon sec: g 2 220,6

Echantillon
du teneur en eau

B) POIDS SPECIFIQUE DU SOL (NF P 94-054)


 DEFINITION

Le poids spécifique ou poids volumique est le poids par unité de volume d’un matériau. Le
symbole du poids volumique est Ƴs (gamma).

 BUT DU POIDS SPECIFIQUE


Le but du poids spécifique est de déterminer le poids des grains solide d’un échantillon de
matériaux à l’exclusion des vides à calculer le rapport entre leur point et le volume.

 PRINCIPE

La masse des particules solides est obtenue par pesage et le volume est mesure au pycnomètre.
Ce principe est énoncé par la norme française. L’échantillon de sol est séché à l’étuve puis pesé. Le
volume des particule est déduit par pesé à l’aide d’un pycnomètre en substituant de l’eau de masse
volumique connue aux particules solides.

 CAS PRATIQUE

Pour réaliser cet essai nous avons utilisé :

 Une balance
 Pipette plein d’eau
 Thermomètre
 3pycnometres
 Lentille
 Eau
- Nous avons séché l’étuve à 105°C degré deux échantillons issus des puits manuels 1,2(argile
rougeâtre) et le puit manuel 3 (argile latéritique rougeâtre) pendant 24h ;
- Ensuite nous avons réalisé un quartage sur une plaque en marbre et on a prélevé en
diagonale et par taille les deux parts et on réalise le quartage le poids minimum soit
environs 100g pour remplir chaque pycno ;
- Nous avons pesé une série de 3 pycnomètres sur lesquels nous préalablement posé des
lentilles , pour chaque puits ;
- On a remplis chaque pycno avec le avec ¼ du matériau issu du quartage ;
- On pèse et on relève le poids du pycno+ matériaux+ lentilles ;
- Puis on a ajouté de l’eau on a pesé poids du pycno+ matériaux+ lentilles + eau et ont relevé
le masse ;

Et on agite pour chasser les vides et on a laissé reposer pendant 24h.

Le lendemain on a pesé poids du pycno+ matériaux+ lentilles + eau et ont relevé le masse

Et à l’aide du thermomètre on n’a pris la température 26°C

On a calculé la densité de l’eau ale température l’eau

ℓ eau= (T)=1/10 [0.002(20-T) +9.98] avec T température lue


Et on a calculé le poids spécifique apparent humide

Le volume de l’échantillon sera donc calculer par la formule suivant ;

Ve= (P2-P3/Ү w-(P2-P1)/w

Et poids spécifique humide sera donc

Үh=P1/Ve

Nous avons utilisé la formule ci-dessous pour trouver le poids spécifique apparente sec (Үd)

(Үd) = Үh/ (1+ (W%÷100)

 RESULTATS

Puits manuel 1
 ℓ eau= (T)=1/10 [0.002(20-T) +9.98]
 ℓ eau= (T)=1/10 [0.002(20-26) +9.98] =0.997
 ℓ eau=0.997(PM1 ,2 et 3)
 Ve= (P2-P3/Ү w-(P2-P1)/w
 Ve= (56,7/0.997)= 56,882
 Ve= (56,7/0.997)= 56,882
 (Үd) = Үh/ (1+ (W%÷100)
 (Үd) =626.4/ (1+ (626.4÷569,7x100÷100) =2.597 pycno PY25
 (Үd) =624,1/(1+(802.8÷567,4x100÷100)=2.623 pycno PY4
 Moyenne=2.597 +2.623 /2=2.610 (puit manuel 3)

N° Pycnomètre
N° Désignation
1 = Py25 2= 3= Py4 4=
1 Poids pycno (P1 ) 161,8 160,3
2 Poids pycno + eau ( p2 ) 476,5 474,1
3 Poids eau = 2 - 1 314,7 313,8
4 Température 26 26
5 Densité de l'eau à la T ° lue 0,997 0,997
6 Volume du pycno = 3/5 315,710 314,807
7 Poids matériau + pycno (P3 ) 311,7 310,3
8 Poids matériau = 7 - 1 149,9 150
9 Poids Total = 2 + 8 626,4 624,1
10 Poids pycno + matériau + eau (P4 ) 569,7 567,4
11 Poids d'eau déplacé = 9 - 10 56,7 56,7
12 Volume du matériau P5 = 11/5 56,882 56,882
13 Poids Spécifique = 8/12 2,635 2,637
14 Moyenne 2,636
 Puits manuel 2
o ℓ eau= (T)=1/10 [0.002(20-T) +9.98]

 ℓ eau= (T)=1/10 [0.002(20-26) +9.98] =0.997


 ℓ eau=0.997(PM1 ,2 et 3)
 Ve= (P2-P3/Ү w-(P2-P1)/w
 Ve= (77,2/0.997)= 77,448
 Ve= (76,0/0.997)= 76,244
 (Үd) = Үh/ (1+ (W%÷100)
 (Үd) = 675,3/ (1+ (626.4÷ 598,1x100÷100) =2.597 pycno PY19
 (Үd) = 671,9/ (1+ (802.8÷ 595,9x100÷100)=2.623 pycno PY8
 Moyenne=2.597 +2.623 /2=2.610 (puit manuel 3)

N° Pycnomètre
N° Désignation
1 = Py19 2= 3= Py8 4=
1 Poids pycno (P1 ) 155,6 156,1
2 Poids pycno + eau ( p2 ) 474,2 471,9
3 Poids eau = 2 - 1 318,6 315,8
4 Température 26 26
5 Densité de l'eau à la T ° lue 0,997 0,997
6 Volume du pycno = 3/5 319,623 316,814
7 Poids matériau + pycno (P3 ) 356,7 356,1
8 Poids matériau = 7 - 1 201 200,0
9 Poids Total = 2 + 8 675,3 671,9
10 Poids pycno + matériau + eau (P4 ) 598,1 595,9
11 Poids d'eau déplacé = 9 - 10 77,2 76,0
12 Volume du matériau P5 = 11/5 77,448 76,244
13 Poids Spécifique = 8/12 2,597 2,623
14 Moyenne 2,610

 Puits manuel 3
 ℓ eau= (T)=1/10 [0.002(20-T) +9.98]
 ℓ eau= (T)=1/10 [0.002(20-26) +9.98] =0.997
 ℓ eau=0.997(PM1 ,2 et 3)
 Ve= (P2-P3/Ү w-(P2-P1)/w
 Ve=(107.9/0.997)=108.246
 Ve=(108.8/0.997)=109.149
 (Үd) = Үh/ (1+ (W%÷100)
 (Үd) =804/ (1+ (804÷696.1x100÷100) =2.850 pycno PY17
 (Үd) =802.8/(1+(802.8÷694.0x100÷100)=2.814 pycno PY17

Moyenne=2.850+2.814/2=2.850 (puit manuel 3)


N° Pycnomètre
N° Désignation
1 = Py17 2= 3= Py0 4=
1 Poids pycno (P1 ) 181,7 183,3
2 Poids pycno + eau ( p2 ) 495,5 495,6
3 Poids eau = 2 - 1 313,8 312,3
4 Température 26 26
5 Densité de l'eau à la T ° lue 0,997 0,997
6 Volume du pycno = 3/5 314,807 313,303
7 Poids matériau + pycno (P3 ) 490,2 490,5
8 Poids matériau = 7 - 1 308,5 307,2
9 Poids Total = 2 + 8 804 802,8
10 Poids pycno + matériau + eau (P4 ) 696,1 694,0
11 Poids d'eau déplacé = 9 - 10 107,9 108,8
12 Volume du matériau P5 = 11/5 108,246 109,149
13 Poids Spécifique = 8/12 2,850 2,814
14 Moyenne 2,832

C) ANALYSE GRANULOMETRIQUE (NF P94-056)


 DEFINITION

L’Analyse Granulométrique se définit comme étant l’ensemble des opérations qui consistent à
séparer et à classer les différents éléments d’un matériau échantillonné en fonction de leur diamètres à
l’aide des tamis à maille carrées dans le but d’avoir une représentation et une répartition de la masse
de particules à l’état sec par rapport à leur grosseur.

 BUT
 PRINCIPE

Le principe de l’analyse granulométrique l’essai consiste à fractionner au moyen d’une série de


tamis un échantillon de matériaux en plusieurs classes granulaires de tailles décroissantes. Les masses des
différents refus et Tamisats sont alors reportées à la masse initiale de l’échantillon. Les pourcentages
ainsi obtenus sont exploités sous forme graphique.

 CAS PRATIQUE

Pour réaliser l’analyse granulométrique nous sommes allés au village de Mbodoum creuser
manuellement le sol à l’aide des poches et des plantoirs à une profondeur de 0.20m à 1.00m pour
l’argile rougeâtre et prélever environ deux sacs de 50 kg d’échantillon puis nous sommes allés à
Eyene prélever un sac de 50kg d’argile latéritique rougeâtre à une profondeur de 0.20m à 1.10m.
Puis avons respecté le mode opératoire selon la normes française NF P 95-056) en vue de choisir les
différents tamis pour réaliser l’Analyse Granulométrique qui s’est déroulé comme suite :

- Nous avons prélevé et peser 2000g de l’argile rougeâtre et 2500g de l’argile latéritique
rougeâtre
- Nous avons tamisé 2500g les échantillons l’argile latéritique rougeâtre du puits manuelle (PM3)
dans les tamis de( 31.5 ;25 ;2016 ;12.5 ;10 ;8
6.3 ;5 ;4 ;2.5 ;2 ;1.25 ;1 ;0.63 ;0.5 ;0.4 ;0.315 ;0.16 ;0.1 ;0.08 ;0.063)
- Nous avons tamisé 2000g les échantillons l’argile rougeâtre du puits manuelle 1 et 2 (PM1 et
PM2) dans les tamis de
(40 ;31.5 ;25 ;20 ;16 ;12.5 ;10 ;8 ;5 ;4 ;2 ;1.25 ;1 ;0.63 ;0.5 ;0.4 ;0.315 ;0.2 ;0.16 ;0.08 ;)
- Pour obtenir des résultats nous avons pesé successivement le refus du tamis ayant la plus grande
maille dans la série de tamis.
- Par la suite nous avons calculé le pourcentage de refus cumulé nous avons inscrits sur la
feuille d’essai
- Puis nous avons déduit le pourcentage des tamis cumules
- Et enfin nous avons tracé la courbe granulométrique en mettant en
- abscisse les dimensions des mailles, échelle logarithmique
- Sur les ordonnée : les pourcentages des tamisât sur une échelle arithmétique

 INTERPRETATION DES RESULTATS

La forme de la courbe granulométrique de l’argile latéritique rougeâtre nous renseigne sur


 Les dimensions d=0.063 et D= 2 du granulat, pour le puits manuel 1
 Les dimensions d=0.063 et D= 2 du granulat, pour le puits manuel 2
 Les dimensions d=0.063 et D= 25 du granulat, pour le puits manuel 3
 L’argile latéritique rougeâtre est plus ou moins riche en particules fines,
 % refus cumulé= poids cumulé/poids total sec x 100
 % Tamisats cumulés =100%-Refus cumulés

Sols Granulats Module Maille Poids Refus % Refus % Tamisats


AFNOR mm cumulés cumulé cumulés
50 80 0,00 100,00
49 63 0,00 100,00
48 50 0,00 100,00
0 47 40 0,00 100,00
0 x 46 31,5 0,00 100,00
0 x 45 25 0,00 100,00
Module de finesse sable 0 x 44 20 0,00 100,00
Refus module 23 : 0 x 43 16 0,00 100,00
Refus module 26 : 0 x 42 12,5 0,00 100,00
Refus module 29 : 0 x 41 10 0,00 100,00
Refus module 32 : 0 x 40 8 0,00 100,00
Refus module 35 : x 39 6,3 0,00
Refus module 38 : 0 x 38 5 0,0 0,00 100,00
0 x 37 4 0,0 0,00 100,00
Module de finesse 36 3,15 0,00
x 35 2,5 0,00
0 x 34 2 1,7 0,10 99,90
33 1,6 0,00
0 x 32 1,25 15,4 0,95 99,05
0 x 31 1 28,4 1,74 98,26
30 0,8 0,00
0 x 29 0,63 77,0 4,73 95,27
0 x 28 0,5 101,8 6,25 93,75
0 x 27 0,4 150,6 9,25 90,75
0 x 26 0,315 195,7 12,02 87,98
25 0,25 0,00
0 24 0,2 297,0 18,24
0 x 23 0,16 345,2 21,20 78,80
22 0,125 0,00
x 21 0,1 0,00
0 x 20 0,08 432,7 26,58 73,42
x 19 0,063 0,00
Puits manuel 1 argile rougeâtre

Sols Granulats Module Maille Poids Refus % Refus % Tamisats


AFNOR mm cumulés cumulé cumulés
50 80 0,00 100,00
49 63 0,00 100,00
48 50 0,00 100,00
0 47 40 0,00 100,00
0 x 46 31,5 0,00 100,00
0 x 45 25 0,00 100,00
Module de finesse sable 0 x 44 20 0,00 100,00
Refus module 23 : 0 x 43 16 0,00 100,00
Refus module 26 : 0 x 42 12,5 0,00 100,00
Refus module 29 : 0 x 41 10 0,00 100,00
Refus module 32 : 0 x 40 8 0,00 100,00
Refus module 35 : x 39 6,3 0,00 100,00
Refus module 38 : 0 x 38 5 0,0 0,00 100,00
0 x 37 4 0,0 0,00 100,00
Module de finesse 36 3,15 0,00 100,00
x 35 2,5 0,00 100,00
0 x 34 2 1,5 0,09 99,91
33 1,6 0,00
0 x 32 1,25 15,5 0,95 99,05
0 x 31 1 28,7 1,77 98,23
30 0,8 0,00
0 x 29 0,63 76,3 4,70 95,30
0 x 28 0,5 97,1 5,98 94,02
0 x 27 0,4 148,8 9,17 90,83
0 x 26 0,315 191,6 11,80 88,20
25 0,25 0,00
0 24 0,2 294,4 18,13 81,87
0 x 23 0,16 354,1 21,81 78,19
22 0,125 0,00
x 21 0,1 0,00
0 x 20 0,08 438,2 26,99 73,01
x 19 0,063 0,00

Puits manuel 2 argile rougeâtre

Sols Granulats Module Maille Poids Refus % Refus % Tamisats


AFNOR mm cumulés cumulé cumulés
50 80 0,00 100,00
49 63 0,00 100,00
48 50 0,00 100,00
0 47 40 0 0,00 100,00
0 x 46 31,5 0 0,00 100,00
0 x 45 25 29,3 1,32 98,68
Module de finesse sable 0 x 44 20 54,9 2,47 97,53
Refus module 23 : 0 x 43 16 81,1 3,65 96,35
Refus module 26 : 0 x 42 12,5 171,3 7,71 92,29
Refus module 29 : 0 x 41 10 299,3 13,48 86,52
Refus module 32 : 0 x 40 8 445,1 20,04 79,96
Refus module 35 : x 39 6,3 0,00
Refus module 38 : 0 x 38 5 678,4 30,55 69,45
0 x 37 4 736,8 33,18 66,82
Module de finesse 36 3,15 0,00
x 35 2,5 0,00
0 x 34 2 826,8 37,23 62,77
33 1,6 0,00
0 x 32 1,25 855,0 38,50 61,50
0 x 31 1 867,8 39,08 60,92
30 0,8 0,00
0 x 29 0,63 895,4 40,32 59,68
0 x 28 0,5 904,6 40,74 59,26
0 x 27 0,4 926,9 41,74 58,26
0 x 26 0,315 941,0 42,38 57,62
25 0,25 0,00
0 24 0,2 999,7 45,02 54,98
0 x 23 0,16 1 033,1 46,52 53,48
22 0,125 0,00
x 21 0,1 0,00
0 x 20 0,08 1 116,1 50,26 49,74
x 19 0,063 0,00

Puits manuel 3 argile latéritique rougeâtre

C) LIMITES D’ATTERBERG (NF P94-051)


 DEFINITION

Les limites d’Atterberg peut être définit comme étant la teneur en eau pondérale
correspondant à un étant particulier d’un sol.

Les limites d’Atterberg comprennent principale trois états :

- L’état solide qui est la teneur en eau de passage de l’état solide à l’état plastique ;
- L’état plastique(WP) qui est la teneur en eau de passage de l’état plastique à l’état
liquide ;
- L’état liquide(WL) qui est la teneur en eau de l’état finale de saturation d’un matériau
- La limites d’Atterberg a pour principe ;
- De rechercher la teneur en eau pour laquelle un rainure pratiquée dans sol placée sur
une coupelle de caractéristiques imposées se fermes lorsque la coupelle et son
contenue se ferme lorsqu’ils sont soumis à des chocs répétés ;
- Recherche de la teneur en eau pour lesquelles un rouleau de sol de dimensions
fixées et confectionnées manuelles ,se fissure.
 BUT

L’objectif de l’essai d’Atterberg est d’obtenir des informations de l’index de base sur le sol
utilisé pour estimer les caractéristiques de résistances et règlement. Elle est la principale forme
de classification des cohésifs afin de caractériser l’état du sol à travers la détermination des
limites de liquidité et de plasticité. Cet essai est réalisé sur la partie du sol passant au tamis de
400 microns

 PRINCIPE

Le principe de l’essai est de déterminé la limite de plasticité, il faut chercher la teneur


pour laquelle une rainure pratiquée dans le sol placé dans une coupelle de caractéristique
imposées se ferme lorsque la coupelle et son contenu a des chocs répétés et le principe de
la limites de liquidité est rechercher la teneur en eau pour laquelle un rouleau de sol de
dimension fixées et confectionné manuellement se fissure.

 CAS PRATIQUE

Pour réaliser cet essai nous avons utilisé :

 -une gamelle d’’environs 2l de capacité


 - une bac de dimension 30x20x8(minimale)
 - un tamis à maille carre d’ouverture 0.4 millimètre
 un appareil de Casagrande
 une étuve de dessiccation a 105
 -balance
 capsules truelles, spatule

Pour déterminer la limites de liquidité de notre argile rougeâtre et argile latéritique rougeâtre
nous avons tout d’’abord échantillonner et homogénéise nos matériaux par brasage puis nous
avons prélever une certaine masse de ALR et AR que nous mis en immersion pendant 24 heures
environs.
Une fois les matériaux inhibe, nous les avons tamisé par voie humide au tamis de 0.4mm
pour l’’argile rougeâtre et au tamis de 1mm pour l’’argile latéritique rougeâtre ,l ‘’eau de lavage et
le tamisât a été ensuite recueillit dans des bacs et nous avons laissé décanter pendant envions une
demi-journée(12h) et nous avons siphonné l’eau claire du dessus du dépôt , le matériaux est par la
suit sécher

- le matériaux préalablement sécher a été malaxer à l’aide de la spatule .truelle tout en ajoutant
petit à petit de à l’aide d’une pipette de façon à obtenir une patte homogène et presque fluide ;
- En fin on a placé en couche environs 70 g des matériaux dans la coupelle de l’appareil de
Casagrande rempli au 2/3 danse but d’éviter l’emprisonnement des bulle d’air ;
- à l’aide d’un outil rainure nous avons séparé les matériaux contenu dans la coupelle ;
- à l’aide de la came nous avons soumis la coupelle aune série de coups à une cadence de 2 cops
par seconde jusqu’à fermeture des deux lèvres d’’environs 1cm ;
- -puis on a prélever la partie de l ;échantillon qui c’est fermera une masse d’’environs 10g que
nous avons mis dans les tare préalablement peser ;
- puis on a pesé le contenue et mis dans l’étuve a 105 le lendemain on a repesé afin de déterminer
la teneur en eau ;
- Pour ce qui concerne l’identification des limites de plasticité nous avons procédé comme suite ;
- -Sur une plaque en marbre nous avons fabriqué manuelles de baguette d’une longueur d’environs
10centimentres et de diamètre de 3millimetres ;
- la limite de plasticité est atteindre lors la baguette a une longueur de 10cm et de diamètre 3mm
se fissure au milieu ;
- les deux parties sont mises dans des tares et peser immédiatement puis mis à l’étuve afin de
déterminer la teneur en eau.
 INTERPRETATION DES RESULTATS
La formes de la courbe granulométrique de l’argile latéritique rougeâtre nous renseigne sur

 Les dimensions d=0.063 et D= 25 du granulat,


 L’argile latéritique rougeâtre est plus ou moins riche en particules fines,
 % refus cumulé= poids cumulé/poids total sec x 100
 % Tamisats cumulés =100%-Refus cumulés
2.GRAPHIQUE

Teneur en eau
1.LIMITE DE LIQUIDITE 79,0
78,5
78,0
77,5
77,0
WL 76,5
Nombre de coups 19 24 29 34 76,0
75,5

N° de la tare L24 L29 L30 L31 75,0


74,5
74,0
Poids total humide a g 26,12 26,20 21,47 21,81 15 20 25 30 35
Nombre de coups

Poids total sec b g 23,65 23,45 18,81 19,49 3.LIMITE DE PLASTICITE 4.RESULTAT D'ESSAI

Poids de la tare c g 20,5 19,88 15,29 16,37 N° de la tare F4 1Z D Limite de liquidité


Poids total humide a g 14,82 14,87 13,05 WL(25) = 76,7 %
Poids del'eau d a-b g 2,47 2,75 2,66 2,32 0 Poids total sec
Poids de la tare
b
c
g
g
13,61
10,71
13,67
10,77
11,86
8,93 Limite de plasticité

Poids du matériau sec e b-c g 3,15 3,57 3,52 3,12 0 Poids del'eau
Poids du matériau sec
d a-b g
e b-c g
1,21
2,90
1,20
2,90
1,19 WP =
2,93
41,2 %

Teneur en eau f d/e % 41,72 41,38 40,61 Indice de plasticité


Teneur en eau f d/e % 78,4 77,0 75,6 74,4 #DIV/0! Moyenne w % 41,2 IP = WL-Wp 35,5 %

Puits manuel 1 argile rougeâtre

2.GRAPHIQUE
Teneur en eau

1.LIMITE DE LIQUIDITE 83,0


82,0
81,0
80,0
Nombre de coups 18 23 28 33 WL
79,0
78,0
N° de la tare L7 L3 L40 L2 77,0
76,0
Poids total humide a g 27,79 22,41 24,10 23,14 15 20 25 30 35
Nombre de coups

Poids total sec b g 24,12 20,19 21,51 20,71 3.LIMITE DE PLASTICITE 4.RESULTAT D'ESSAI

Poids de la tare c g 19,67 17,43 18,21 17,54 N° de la tare P9 P25 Limite de liquidité
Poids total humide a g 13,87 11,34 WL(25) = 79,7 %
Poids del'eau d a-b g 3,67 2,22 2,59 2,43 0 Poids total sec
Poids de la tare
b
c
g
g
13,18 10,61
11,60 8,94 Limite de plasticité
Poids du matériau sec e b-c g 4,45 2,76 3,30 3,17 0 Poids del'eau
Poids du matériau sec
d a-b g
e b-c g
0,69 0,73
1,58 1,67
0 WP =
0
43,7 %

Teneur en eau f d/e % 82,5 80,4 78,5 76,7 #DIV/0! Teneur en eau
Moyenne
f d/e %
w %
43,67 43,71 #DIV/0! Indice de plasticité
43,7 IP = WL-Wp 36,0 %

Puits manuel 2 argile rougeâtre


2.GRAPHIQUE

1.LIMITE DE LIQUIDITE

Teneur en eau
67,0
66,5
66,0
65,5

Nombre de coups 18 23 28 33 WL 65,0


64,5
64,0
N° de la tare L4 L6 L10 L8 63,5
63,0

Poids total humide a g 31,16 26,97 26,97 29,36 62,5


15 20 25 30 35
Nombre de coups

Poids total sec b g 25,93 22,81 23,42 25,62 3.LIMITE DE PLASTICITE 4.RESULTAT D'ESSAI

Poids de la tare c g 18,07 16,44 17,89 19,68 N° de la tare P12 P20 P28 Limite de liquidité
Poids total humide a g 11,04 12,82 12,11 WL(25) = 64,9 %
Poids del'eau d a-b g 5,23 4,16 3,55 3,74 0 Poids total sec b g 10,29 12,09 11,36
Poids de la tare c g 8,03 9,94 9,08 Limite de plasticité
Poids du matériau sec e b-c g 7,86 6,37 5,53 5,94 0 Poids del'eau
Poids du matériau sec
d a-b g
e b-c g
0,75 0,73 0,75 WP =
2,26 2,15 2,28
33,3 %

Teneur en eau f d/e % 66,5 65,3 64,2 63,0 #DIV/0! Teneur en eau
Moyenne
f d/e %
w %
33,19 33,95 32,89 Indice de plasticité
33,3 IP = WL-Wp 31,6 %

Puits manuel 3 argile latéritique rougeâtre

D) ESSAI PROTOR (NF P94-093)


 DEFINITION

L’essai Proctor est un essai géotechnique qui permet de déterminer le teneur en nécessaire pour
obtenir une densité sèche maximal d’un sol par compactage a une énergie fixée.

 BUT

L’essai Proctor définit un compactage type et permet de déterminer la teneur en eau, que doit
contenir le sol pour que sa densité soit maximum sous l’effet d’un compactage donné. A cette
densité maximum correspond une teneur en eau appelée « teneur en eau optimum Proctor » Wop.

 PRINCIPE

Le principe de l’essai Proctor consiste à humidifier un sol a plusieurs teneurs en eau et a


compacter selon un procède et une énergie conventionnelle. L’opération se fait dans un moule standard
avec un outil de compactage appelé <<dame>> il existe deux dames Proctor selon le type de Proctor
(normale ou modifie)
 CAS PRATIQUE

Pour réaliser notre essai de Proctor modifiée nous avons utilisé :

 une dame de masse 4535g


 un mouton de diamètre 51mm
 une hauteur de chute de 457mm
 Nombre de couche égale à 5
 Nombre de coup par couches 56
Tout d’’abord nous nous avons fait un quartage avec un échantillonneur afin que de repartir
uniformément les matériaux.
Nous avons prélevé 5500g d’argile rougeâtre des puits manuels 1 et 2 et 6000g d ; argile latéritique
rougeâtre puits manuel 3 que nous avons mis dans plastique afin de conserver les propriétés physique et
mécaniques de l’échantillon, (5 échantillons par puit) ;
Pour l’’exécution proprement dit de l’essai nous avons :

- Humidifier chaque respectivement chaque échantillon de chaque puit a des teneur en eau
de(6% ;8% ;10% ;12% et 14% )pour le puit manuel 1 ensuite( ;8% ;10% ;12% ;14% et 16%)
pour le puit manuel 2 et ( 4% :6%;8% ;10% ;12% ;) pour le puit manuel 3 dans des gamelles

- Solidariser les moules Proctor : embase + moule + rehausse


- Placer le disque d’espacement au fond du moule Proctor

- Placer un papier filtre d’espacement au fond du moule Proctor pour facilites le démoulage
- Puis nous avons introduit alors la quantité de matériaux pour que la hauteur de la première
couche après compactage soit légèrement supérieur au cinquième de la hauteur du moule,
- A l’aide de la dame on a compacte successivement chaque a 56 coups
- Par la suite peser le matériaux + moule puis remplir le brouillon Proctor puis remplir la fiche de
l’essai Proctor en fonction du teneur en eau et on a démoulé les moules ;
- Puis nous avons prélevé le un échantillon de matériaux pour la teneur en eau, qu’on a pesé et
on a mis à l’étuve pendant 24 heures.
 RESULTATS
1-CARACTERISTIQUES DU MOULAGE

p net moulage g 5 500 5 500 5 500 5 500 5 500


eau gachage %g 6 8 10 12 14
n° tare
pth a g 350,1 350,3 350,2 350,1 350,4
ptsec b g 300,6 295,8 290,3 285,4 281
ptare c g
peau d a-b g 49,5 54,5 59,9 64,7 69,4
pmat sec e b-c g 300,6 295,8 290,3 285,4 281,0
teneur en eau f d/e % 16,5 18,4 20,6 22,7 24,7

2-DENSITE

n°moule
pth g g 8 515 8 809 9 000 8 926 8 740
pmoule h g 4 588 4 588 4 588 4 588 4 588
p net humide i g-h g 3 927 4 221 4 412 4 338 4 152
volume moule j cm3 2 168 2 168 2 168 2 168 2 168 Degré de saturation
densité humide k i/j g/cm3 1,811 1,947 2,035 2,001 1,915
densité sèche l k/(1+w) g/cm3 1,555 1,644 1,687 1,631 1,536 ϒs
2,636
3-GRAPHIQUE 4- RESULTAT DE L'ESSAI 2,636
2,636
PROCTOR
DENSITE SECHE MAXIMUM 2,636
Densité sèche

Sa tura tion
2,636
1,750 Poly. (PROCTOR)
DSM= 1,687 g/cm3
1,700
1,650 TENEUR EN EAU
1,600
1,550 WOPM= 20,6 %
1,500
1,450
1,400
16,0 17,0 18,0 19,0 20,0 21,0 22,0 23,0 24,0 25,0 26,0
Teneur en eau

1-CARACTERISTIQUES DU MOULAGE

p net moulage g 5 500 5 500 5 500 5 500 5 500


eau gachage %g 8 10 12 14 16
n° tare
pth a g 350,4 350,2 350,4 350,1 350,1
ptsec b g 299,9 295 290,6 284,6 277,5
ptare c g
peau d a-b g 50,5 55,2 59,8 65,5 72,6
pmat sec e b-c g 299,9 295,0 290,6 284,6 277,5
teneur en eau f d/e % 16,8 18,7 20,6 23,0 26,2

2-DENSITE

n°moule
pth g g 8 418 8 728 8 872 8 881 8 750
pmoule h g 4 588 4 588 4 588 4 588 4 588
p net humide i g-h g 3 830 4 140 4 284 4 293 4 162
volume moule j cm3 2 168 2 168 2 168 2 168 2 168 Degré de saturation
densité humide k i/j g/cm3 1,767 1,910 1,976 1,980 1,920
densité sèche l k/(1+w) g/cm3 1,512 1,609 1,639 1,610 1,522 ϒs
2,610
3-GRAPHIQUE 4- RESULTAT DE L'ESSAI 2,610
2,610
PROCTOR
DENSITE SECHE MAXIMUM 2,610
Densité sèche

Saturation
2,610
1,700 Poly. (PROCTOR)
DSM= 1,639 g/cm3
1,650
TENEUR EN EAU
1,600
WOPM= 20,6 %
1,550

1,500
16,0 17,0 18,0 19,0 20,0 21,0 22,0 23,0 24,0 25,0 26,0 27,0
Teneur en eau
1-CARACTERISTIQUES DU MOULAGE

p net moulage g 6 000 6 000 6 000 6 000 6 000


eau gachage %g 2 4 6 8 10
n° tare
pth a g 350,4 350,7 350,4 350,3 350,1
ptsec b g 313,5 308,5 303 297,5 292,7
ptare c g
peau d a-b g 36,9 42,2 47,4 52,8 57,4
pmat sec e b-c g 313,5 308,5 303,0 297,5 292,7
teneur en eau f d/e % 11,8 13,7 15,6 17,7 19,6

2-DENSITE

n°moule
pth g g 8 829 9 134 9 306 9 199 9 010
pmoule h g 4 588 4 588 4 588 4 588 4 588
p net humide i g-h g 4 241 4 546 4 718 4 611 4 422
volume moule j cm3 2 168 2 168 2 168 2 168 2 168 Degré de saturation
densité humide k i/j g/cm3 1,956 2,097 2,176 2,127 2,040
densité sèche l k/(1+w) g/cm3 1,750 1,845 1,882 1,806 1,705 ϒs
2,832
3-GRAPHIQUE 4- RESULTAT DE L'ESSAI 2,832
2,832
PROCTOR
DENSITE SECHE MAXIMUM 2,832
Densité sèche

Sa tura tion
2,832
2,000 Poly. (PRO CTO R)
DSM= 1,884 g/cm3
1,950

1,900 TENEUR EN EAU


1,850
WOPM= 15,6 %
1,800

1,750

1,700
10,0 11,0 12,0 13,0 14,0 15,0 16,0 17,0 18,0 19,0 20,0
Teneur en eau

E) ESSAI CBR (CALIFORNIA BARING RATIO) (NF P94-078)

 DEFINITION

Le CBR(California Baring Ratio) est un essai géotechnique qui permet de terminer de réaliser
la caractérisation mécanique des sols naturels des sols compactés dans les remblais et des couches de
formes , de fondations et des sous fondations lors des construction en génie civil. Il permet également
de de mesurer le résistance à l’effort tranchant d’un sol lorsqu’il est immergé dans l’eau pendant 4
jours, afin de calculer la portance du sol, en estimant sa résistance au poinçonnement.
Le principe de l’essai CBR est d’effectuer sur des échantillons compactés avec une teneur en eau
optimale ,obtenus à partir de l’essai de compactage Proctor.

 BUT

L’essai CBR permet de déterminer la capacité de portance d’un sol compacté, en estimant sa
résistance au poinçonnement, en fonction de son état, sa densité et son humidité, ainsi que les charges
appliquées

 PRINCIPE

Les essais de CBR sont effectués sur des échantillons compactés avec une teneur en humidité
optimale, obtenus à partir de l’essai de compactage Proctor.
CBR=p/ps x 100

Ou P= est la pression mesurée dans les sols du site [N/mm2]

Ps=est la pression pour atteindre la pénétration égale sur le sol standard [N/mm2]

 CAS PRATIQUE
Pour réaliser l’essai CBR nous avons utilisé 3 échantillons de de l’argile rougeâtre pour
chacun des puits manuels 1 et 2 soit 5500g par échantillon et 3 échantillons pour

Argile latéritique rougeâtre soit 6000g correspondant au trois couche nécessaires pour
réaliser un essai CBR respectivement à 10 ; 25 ; 56 coups.
Pour cela on a :
- Humidifier chaque respectivement chaque échantillon de chaque puit a des teneurs en eau de
(20.6%) pour le puit manuel 1 et 2 et (15.6%;) pour le puit manuel 3 dans des gamelles

- Solidariser les moules CBR : embase + moule + rehausse


- Placer le disque d’espacement au fond du moule Proctor

- Placer un papier filtre d’espacement au fond du moule CBR pour facilites le démoulage et
un papier buvard on l’a répété pour chaque moule
- Puis nous avons introduit alors la quantité de matériaux pour que la hauteur de la première
couche après compactage soit légèrement supérieur au cinquième de la hauteur du moule,
- A l’aide de la dame on a compacte successivement cinq couches a 10 ; 25 et 56 coups des
trois échantillons
Par la suite peser le matériaux + moule puis remplir+ embase le brouillon CBR puis remplir la fiche
de l’essai Proctor en fonction du teneur en eau et on a démoulé les moules
Puis on a placé la surcharge et les comparateur dans les moules de 25 coups et on les a mis dans
un bacs que nous avons rempli d’’eau afin qu’ils soient totalement immergés dans l’eau et n’a les a
laisser dans cette immersion pendant 4 jours pur ce qui concerne les moules de 10et 56 coups nous les
avons également mis des surcharger puis immerger pendant 4 jours sans comparateur.
La lecture ce faisait tous le jour jusqu’aux quatrièmes jours ou nous relevions les valeurs de petite
aiguille qui indique le nombre de tours que la grande aiguille a eu à faire. La grande aiguille indique
quant à elle indique la variation de la hauteur de l’argile en fonction de la quantité d’eau absorbée
Les quatrièmes jours nous avons fait sortir tous les moules de l’eau et nous avons pesé les moules
de 25 coups et inscrit les valeurs dans le brouillon CBR et fin nous avons calculé les gonflements.

 RESULTATS
Pour le puits manuel 1

Nbre coups ICBR ϒd


ϒdmax= 1,687 10 5 1,504
0,95ϒdmax= 1,603 25 10 1,597
56 27 1,704

Section poinçon S= 19,625 cm2


Pression du matériau en dan/cm2Etalon presse k= 0,982
56 Coups 25 coups 10 Coups
1,5 2,0 1,0
4,0 2,5 1,5 Courbe CBR
7,0 3,5 1,5
9,0 4,0 2,0 1,800
11,0 4,5 2,5 1,750
14,5 6,0 3,0 1,700
17,0 6,5 3,5
19,0 7,0 3,5 1,650
21,0 7,5 4,0 1,600
22,5 7,5 4,5
24,0 8,0 4,5 1,550
25,5 8,5 5,0 1,500
26,5 9,0 5,5
1,450
29,0 9,5 5,5
31,0 10,0 6,0 1,400
32,5 10,5 6,5 0 10 20 30 40
CBR=1
Indice CBR
pr (2,5 mm) en dan/cm2= 0,7
Pr(5 mm) en dan/cm2 = 1,05

Pour le puits manuel 2


Nbre coups ICBR ϒd
ϒdmax= 1,638 10 2 1,462
0,95ϒdmax= 1,556 25 9 1,573
56 21 1,656

Section poinçon S= 19,625 cm2


Pression du matériau en dan/cm2Etalon presse k= 0,982
56 Coups 25 coups 10 Coups
4,0 2,0 0,0
6,0 2,5 0,0 Courbe CBR
7,5 4,0 0,5
8,5 5,0 0,5 1,660
10,0 5,5 0,5 1,640
12,0 6,0 1,0 1,620
13,0 6,0 1,0 1,600
14,5 6,5 1,0 1,580
16,0 7,0 1,5 1,560
17,0 7,0 2,0 1,540
18,0 8,0 2,0 1,520
19,0 8,0 2,0 1,500
19,5 8,5 2,5 1,480
21,5 9,5 2,5 1,460
22,5 10,0 3,0 1,440
24,0 11,0 3,0 0 5 10 15 20

Indice CBR
CBR=8
pr (2,5 mm) en dan/cm2= 0,7
Pr(5 mm) en dan/cm2 = 1,05
Pour le puits manuel 3
Nbre coups ICBR ϒd
ϒdmax= 1,884 10 9 1,679
0,95ϒdmax= 1,790 25 27 1,772
56 46 1,869

Section poinçon S= 19,625 cm2


Pression du matériau en dan/cm2Etalon presse k= 0,982
56 Coups 25 coups 10 Coups
1,5 5,0 2,0
5,0 8,5 3,0 Courbe CBR
8,0 10,0 3,5
12,0 11,5 4,0 1,900
15,0 12,5 4,5
22,5 15,5 5,5 1,850
28,0 17,5 6,0
32,5 19,0 6,5 1,800
36,0 20,5 7,0
38,5 21,5 7,5 1,750
41,5 22,0 7,5
43,5 22,5 8,0
45,0 23,5 8,0 1,700
48,5 25,0 8,5
50,2 26,5 9,5 1,650
53,5 28,0 10,0 0 10 20 30

Indice CBR
pr (2,5 mm) en dan/cm2= 0,7 CBR=3
Pr(5 mm) en dan/cm2 = 1,05

III LE CISAILLEMENT (NF P94-071-1)

III.1 GENERALITE SUR LE CISAILLEMENT

Le cisaillement à la boite de Casagrande a été développé au début des années 1980 une boite
de Casagrande de dimension destinée à l’origine à caractériser les propriétés de résistances au
cisaillement des grossiers dans le cadre des conceptions des barrages.

III.2 ESSAI DE CISAILLEMENT RECTILINE NON CONSOLIDE ET NON DRAINE (UU)


 DEFINITION
C’est un essai mécanique réalisé en laboratoire sur un échantillon de sol, à l’aide de la boite
de cisaillement ; il consiste à mesurer l’effort tangentiel de rupture du sol sous un effort de compression
donné. Il permet de déterminer les caractéristiques mécaniques d’un sol (cohésion et angle de frottement
interne), dans des conditions de drainage et de consolidation données.
 BUT
Il s’agit de déterminer expérimentalement la courbe intrinsèque d’un sol pulvérulent puis d’en déduire
les paramètres de cisaillement qui permet d’’estimer par exemple la contrainte de rupture sous une
fondation superficielle.
 PRINCIPE
Le principe de l’essai sur une éprouvette de matériau placé dans une boite de cisaillement (boite de
Casagrande) constituée de deux demi-boites indépendantes. Le plan de séparation des deux demi-boites
constitue un plan de glissement correspondant au plan de cisaillement de l’éprouvette. Il consiste à :

- Appliquer sur la face supérieure de l’éprouvette un effort (N) maintenu constant pendant toute la
durée de l’essai ;
- Produire après consolidation de l’éprouvette sous l’effort (N) un cisaillement dans l’éprouvette
selon le plan horizontal de glissement de deux demi-boites l’une par rapport à l’autre en leur
imposant un déplacement relatif δ1 à une vitesse constant ;
- Mesurer l’effort horizontal de cisaillement (τ) correspondant.

 CAS PRATIQUE

Nous avons utilisé


- Une balance de précision ;
- Une enceinte thermique ou une étuve de dessiccation a température réglage à 50ºC et à
105ºC ;
- Les outils nécessaires au découpage et à la préparation des éprouvettes ;
- Un chronomètre donnant la seconde ;
- Nous avons placé un échantillon dans la boite de Casagrande
- Taillé les éprouvettes
- Pesé l’échantillon
- Nous avons placé une pierre poreuse au fond de la demi- boite inferieur de Casagrande
comme plaque drainage inferieur puis nous avons placé un papier buvard.

Ensuite nous avons introduit l’éprouvette dans deux demi-boites solidarisées au préalable
remplis d’échantillon issu du carottage préalablement taillé dans boite de Casagrande.

- Enfoncé avec le piston recouvert l’échantillon avec un autre papier buvard puis une pierre
poreuse qui sert de plaque drainante supérieure et placer le boite de distribution des charge
verticaux. Nous avons doc placé le boite de Casagrande.
- Les essais de cisaillement dans trois éprouvettes de mêmes dimensions qui sera cisaillées
a la même vitesse, mais soumises à des effort verticaux différentes(1 bar, 2bars, et 3 bars)
- Puis nous avons placé la boite de cisaillement contenant l’éprouvette dans le châssis
étanche fixé sur le bâti tout en maintenant la solidarisation deux demi-boites pour cela :
- On place le piston muni de sa plaque de drainante sur le sommet de l’éprouvette ;
- On note ,après fixation du système de mesure de l’effort de cisaillement horizontale(T),et
avant application de tout effort, la valeur d’origine du capteur de l’effort(T) ;
- Nous avons réglé la position du capteur de mesure de déplacement relatif horizontale entre
les demi-boites et noté la valeur d’origine ;
- On position ensuite le capteur du déplacement vertical du piston par rapport à un repère fixe
et a noté les valeurs d’origines ;
- Puis nous avons appliqué l’effort de 1bar, 2bars et 3 bars respectivement sur la boite de
Casagrande 1,2 et 3 ;
- On a ensuite imposé le déplacement relatif des deux demi-boites à une vitesse constante fixée
de l’ordre de 0.80mm/mn ;
- On a libéré le système de solidarisation des deux demi-boites ;
- agir sur les vis de la boite supérieure afin de supprimer le contact entre les deux demi-boites et
ramener immédiatement les vis à leur position antérieure ;
- Enfin on arrête le cisaillement lorsque
- le déplacement horizontal il a atteint au moins 5mn ;
- On faisait les lectures et les mesures le déplacement horizontale du piston il en fonction du
temps tous les 15 seconde.

 RESULTATS

Contraintes de cisaillement t
Contrainte t en dan/cm2

1,20
Courbe intrinsèque
1,00 1,20
(dan/cm2)

0,80 1,00
0,80
0,60
0,60 y = 0,3083x + 0,2085
0,40
0,40 R² = 0,9994
0,20
0,20
0,00
0,00
0 2 4 6
0 1 2 3 4
Temps en mn Contraintes normales σ

Pour s 1 =

Angle Ф (en
1 bar
Pth (g) = 155,5

Contrainte σ Contrainte t
Ptare (g) = 42,3
Ph (g) = 113,2
V (cm3)= 60,0

Cohésion C
ϒh (g/cm3) 1,887
ϒd (g/cm3) 1,625
Pour s 2 =

1 0,51
2bars
Pth (g) = 155,7
Ptare (g) = 42,3

dégré)
Ph (g) = 113,4
V (cm3)= 60,0

2 0,83
ϒh (g/cm3) 1,890
ϒd (g/cm3) 1,627
2bars
Pth (g) = 155,3
Ptare (g) = 42,3

3 1,13
Ph (g) = 113
V (cm3)= 60,0

17,1 0,2085
ϒh (g/cm3) 1,884
ϒd (g/cm3) 1,622
Te ne ur e n e au nature lle
Ph (g) = 400
Psec (g) = 344,4
Peau (g) = 55,6
Wnat (%) = 16,1
IV.SONDAGE
IV.1 GENERALITE SUR LE SONDAGE

 DEFINITION
Le sondage carotté fournit la meilleure qualité d’échantillon permettant de caractériser à la fois la
nature et l’état des sols. Il est donc indispensable pour la recherche du gisement de minerais, d’eau,
d’hydrocarbures mais également l’étude et une meilleure connaissance du socle rocheux en général.
Les sondages carottés de visualiser les terrains traverses, de préciser avec certitude leur disposition
géométrique, d’effectuer un certain nombre d’essai en laboratoire comme l’essai de cisaillent,
œdométrique et de consolidation et in situ.

 BUT DU SONDAGE

Le but d’un sondage est d’abord d’avoir une connaissance sur la profondeur à laquelle se trouvent
les couches de sol stable. En effet elles peuvent être superficielles, à moyenne ou grande profondeur.

 PRINCIPE DU SONDAGE

Le principe en règle générale pour réaliser un sondage, on réalise un forage par fonçage ou
battage( carottier poinçonneur) ou par rotation(carottier rotatif).

Il s’agit de découper un cylindre de terrain le plus intact possible afin de réaliser des
observations et des essais représentatifs de formations en place.

 CAS PRATIQUE DU SONDAGE


Nous sommes allés à Nkozoua dans le cadre du projet PAEPYS réaliser un sondage pour
connaitre à quelle profondeur se trouve le toit rocheux qui pourra supporter un surcharge de 3 kilo-
pascals des tuyaux d’approvisionnement en eau.
Pour cela on a carotté au milieu de la fondation à l’aide d’un pénétromètre approvisionner en
eau pour diluer la roche pourrie, nous avons utilisé deux tiges de 1 mètre de longueurs mais
l’entreprise abdicataire nous a demandé d’arrêter les travaux car il n’arrivait pas à s’entendre avec le
Maitre d’Ouvrage(MINTP) et le mission de contrôle ( LABOGENIE).
V.CLASSE VRAI DU CIMENT (NF-EN-196-1)

IV.1 GENERALITE SUR LE CIMENT


 DEFINITION
La classe vraie FCE d’un ciment correspond à des moyennes de résistances obtenues sur
un mortier de référence composé à partir du ciment à caractériser| (formulation et essai respectant la
normeNF-EN-196-1).
 CAS PRATIQUE
Pour déterminer la classe vrai d’un ciment à base de la cendre de bois pour un rapport de 0.5
de dimension 4x4x16.

Préparer tous les éléments jusqu’à l’appareillage

 Moulage :
- Faire des pesés les cendre de bois (padou Morinaga) ;
- Faire peser le sable ;
- Peser le ciment tout en tarant le récipient ;
- Verser dans le malaxeur l’eau, puis le ciment ensuite la cendre de bois ;
- Mixer le mélange d’abord aune vitesse pendant 30 secondes ;
- Apres 30 secondes on ajoute du sable dans le mélange sans arrêter le chronomètre ;
- Mixer le tout pendant 1 minute et 30 secondes à vitesse lente ;
- Arrêter le mixeur et mélange à l’aide d’une d ;une cuillère puis nous avons remixer cette fois-
ci pendant deux minutes aune vitesse plus élevée ;
- Nous avons introduire le mélange dans le moule tout d’abord au milieu ;
- Puis nous l’avons place sur l’appareil vibreur a 60 coups et arrêter l’appareil ;
- Nous avons remplis le moule a nouveaux surtout aux bords et relancer l’appareil à vibreur
pour 60 autres coups puis arrêter l’appareil ;
- On a remplir les bords et laisser reposer pendant 24 h ;
- Le lendemain nous avons démoulé ;
- Emmarger les mortiers de ciments dans l’eau dans une banque pendant
 A 5%

Sable 1350g;ciment 427.5g;cendre 22.5g et eau 225g

 A 10%

Sable 1350g;ciment 405g;cendre 45g et eau 225g

 A 15%

Sable 1350g;ciment 382.5g;cendre 67.5g et eau 225g

Apres 28 jours nous avons réalisé la flexion et la consolidation sur les mortiers pour avoir la durabilité.
CONCLUSION GENERALE

Pour conclure, nous avons effectué notre stage pour notre master 1 en ingénieure
géotechnique, en tant que laborantin au sein du groupe INFR-SOL a Nkolbisson. Lors de ce stage
d’un mois, nous avons pu mettre en pratique nos connaissances théoriques acquise durant notre
parcourt universitaire à l’université de Yaoundé I, tout en étant confronté aux difficultés réelles du
monde du travail dans le domaine des études géotechniques

Apres notre intégration au sein d’infra-son, nous avons eu la grande chance de réaliser
plusieurs essais de l’identification complète de l’argile rougeâtre et l’argile latéritique rougeâtre. Mais
également les essai de cisaillements et sur la classe vrai du ciment en utilisant de la cendre de
bois comme liant mais également une descente sur le terrain à Nkozoua dans le cadre du projet
PAEPYS.

Ce stage a été très enrichissement pour nous, car il nous a permis de découvrir le domaine
d’application géotechniques, ses acteurs et ses contraintes. Il nous a permis de participer
concrètement a ses défis au travers nos taches en laboratoires sur le terrain. Ce stage nous a aussi
fait comprendre que le travail en laboratoire n’était pas le plus idéale a notre profil et que les
travaux sur le terrain étaient plus adaptés pour nous. Nous préférons ainsi nous orientés vers un poste
clé dans la mission de contrôle géotechnique.

Cette expérience nous a permis de répondre aux questionnements que nous en ce qui
concerne les moyens utilisés par les entreprises géotechniques pour s’adapter au changement de
leur environnement. L’entreprise faisait face à une période de manque de projets ce qui ralentissait
son dynamisme.
ANNEXE

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