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REMERCIEMENTS
Notons que la tenue et le bon déroulement de cette sortie a été possible grâce à
certaines personnes envers lesquelles il nous est impératif d’exprimer toute notre gratitude.
À cet effet nous remercions de façon générale toute l’équipe d’encadrement de l’École
Supérieure des Mines et de Géologie (ESMG) ainsi que les enseignants du Département de
façons particulière :
Mme GOLI, Inspectrice du cycle Technicien Supérieur, pour son soutien et ses
conseils.
Madame BAMA, inspectrice du cycle Ingénieur, pour son soutien et pour ses
conseils ;
Par ailleurs, que tous ceux dont les noms ont été omis et qui ont participé de loin ou de près
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ELEVES TECHNICIENS SUPERIEURS TROISIEME ANNEE EN MINES ET GEOLOGIE
VISTE D’ENTREPRISE A SOGECAR
AVANT PROPOS
L’Institut National Polytechnique Félix Houphouët-Boigny (INPHB) a été créé par décret
Technique) ; ENSTP (École Nationale Supérieure des Travaux Publics) ; ENSA (École
❖ L’ESMG dont nous sommes issues, a en son sein deux cycles de formation : le cycle
ingénieur et le cycle Techniciens Supérieurs (TS).
Pour une formation d’excellence, d’efficacité, et adaptée aux réalités du génie minier, la
direction de l’ESMG allie enseignements théoriques et pratiques à travers des stages, des
sorties de terrain, des visites d’entreprise etc.
C’est donc dans cette optique que nous, élèves techniciens supérieurs en mine et géologie,
effectuons chaque année des sorties d’étude en entrprise afin de nous imprégner des réalités
du terrain et d’en connaître les exigences.
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VISTE D’ENTREPRISE A SOGECAR
INTRODUCTION
Les filières de formation Mines, Géologie, Carrières sont assez répandues travers le monde
entier, étant donné leurs objets de formation directement liés à la Terre. Ces filières offrent de
nombreux débouchés dans le domaine professionnel quitte à avoir non seulement des
compétences théoriques mais aussi des compétences pratiques, vu la compétitivité du marché
de l’emploi.
Consciente de cet aspect des choses, l’ESMG (Ecole Supérieure des Mines et de Géologie
allie enseignements théorique et pratique pour une meilleure insertion professionnelle de ses
élèves. C’est dans ce sens que nous élèves Techniciens Supérieurs (TS) en 3ème année de
Mines et Géologie avons bénéficié, le mardi 5 août 2023, d’une visite guidée de la carrière de
granite d’Abakro, exploité par la SOGECAR (SOCIETE DE GESTION DES CARRIERES).
Le présent rapport, rendant compte de cette visite guidée, est subdivisé en quatre chapitres à
savoir :
➢ La présentation de l’entreprise ;
➢ La présentation de la zone d’étude ;
➢ Les différentes phases de l’exploitation.
➢ Les impacts environnementaux et les mesures d’atténuation
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PRESENTATION DE L’ENTREPRISE
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La Société de Gestion des Carrières (SOGECAR) est une filiale de la société SOROUBAT
qui est une société chargée de la réalisation des travaux de prolongement de l’autoroute du
Nord de Singrobo à Yamoussoukro.
SOGECAR est une société à responsabilité limité (SARL) avec un capital de 1,460 milliards
FCFA. Son siège social se trouve à Yamoussoukro.
C’est une société unipersonnelle de droit ivoirien créée en juillet 2009. Au stade actuel, elle
est organisée comme suit :
- Un Conseil Administratif ;
- Une Direction des Carrières à laquelle sont rattachés les différents Départements
techniques (Mécanique, Matériel, Traitement, Minage et Magasin).
C’est la carrière d'Abakro qui a servi dans le cadre de notre sortie de visite d’entreprise. Cette
carrière s’étend sur un terrain de 30ha.
I. ORGANISATION DE L’ENTREPRISE
La SOGECAR est subdivisée en deux unités fonctionnelles qui sont sous la direction d’un
directeur général. Ces deux unités sont la direction administrative et la direction exploitation
comprenant les carrières d’Abakro (Yamoussoukro) et de Bouaké.
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ASSEMBLEE GENERALE
CONSEIL ADMINISTRATIF
DIRECTION GÉNÉRALE
SECTION MINAGE
SECTION VENTE
SECTION CONCASSAGE
SECTION COMPTABILITÉ
SECTION MÉCANIQUE
SECTION FINANCE
BUREAU CARRIÈRE
INFIRMERIE
MAGASIN
PONT BASCULE 1
PONT BASCULE 2
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La carrière SOGECAR d’Abakro se localise au centre de la Côte d’Ivoire dans une collectivité
territoriale de type particulier à savoir le district autonome de YAMOUSSOUKRO qui est
compris entre 6°49’ et 6°47’ de latitude nord et 05°16’ et 05°16’ de longitude ouest et
couvrant une superficie de 3500 km2.
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La région d’étude se situe au centre de la Côte d’Ivoire et baigne dans le climat équatorial de
transition atténué (subéquatorial) ou climat baouléen.
Ainsi en s’appuyant sur les données climatiques que sont la pluviométrie, la température,
l’humidité relative, l’insolation, le taux d’humidité et les vents, l’on distingue quatre saisons
nettement différenciées par leur régime pluviométrique à savoir :
• Une grande saison sèche de novembre à mi-mars : les précipitations sont faibles, dues
à des orages ou averses isolées surtout en début et fin de saison. Par ailleurs, les
hauteurs de pluie moyennes mensuelles sur le cinq (05) dernières années varient de 13
mm en décembre à 0,2 mm janvier avant de remonter jusqu’à 105,9 mm en mars.
• Une grande saison des pluies de mi-mars à mi-juillet : elle est marquée par
d’abondantes précipitations. Les hauteurs moyennes mensuelles atteignent leur pic
dans le mois de juin ou la première quinzaine du mois de juillet. La hauteur moyenne
mensuelle de 2006 à 2010 évolue progressivement de 105,9 mm en mars 165,2 mm au
mois de juillet.
• Une intersaison humide de mi-juillet à mi-août : en réalité, cette intersaison est surtout
caractérisée par une baisse quantitative des précipitations. La pluviométrie moyenne
mensuelle passe sous les 90 mm.
• Une petite saison des pluies de mi-août à fin octobre : les précipitations évoluent
progressivement de mi-août 90 mm pour atteindre leur pic en septembre 157,7 mm
avant de redescendre en octobre à 126,2 mm.
Sur la zone d’étude, la pluviométrie moyenne annuelle est d’environ 1227 mm.
L’humidité relative moyenne varie entre 60% et 83 % avec un minimum en février et un
maximum en août.
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250 2007
PLUVIOMETRIE (mm)
200
2008
150
2009
100
50 2010
0 MOYEN
NE
La température annuelle moyenne est 26,3 avec des valeurs maximales en mars avril 28° et
minimales qui se situent dans la période de juillet à août avec 25°.
30
TEMPERATURE EN DEGRE
25
20
15
10
5
0
Quant à l’insolation, elle est étroitement liée aux variations climatiques. La moyenne atteint
son maximum en février (214 heures) et novembre (218 heures). La valeur moyenne
minimale correspond au mois d’août avec 92,9 heures (Figure 5).
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250
INSOLATION (En heures)
200
150
100
50
Les données de 1970 à 2000 indiquent une direction dominante du vent comprise entre N
350° et N 18°. A cette direction dominante principale il faut ajouter les directions N 270 et N
90°.
Mais les dernières données disponibles qui datent de 2001 donnent une direction dominante N
220°.
Les vitesses moyennes mensuelles varient de 1 m/s à 2,0 m/s.
2,5
2
VITESSE (m/s)
1,5
1
0,5
0
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2. Végétation
Globalement, deux grands types de paysages végétaux se partagent le territoire ivoirien :
Un paysage forestier (moitié sud) et un paysage de savane (moitié nord). La flore du district de
Yamoussoukro est dominée par la savane pré forestière parsemée plus ou moins densément de
petits arbres et entrecoupée de bosquets et de ilots forestiers. Des galeries forestières occupent
les baffons le long des cours d’eaux. Sur les sols sableux drainés, apparaissent des
peuplements de rôniers et de palmiers dans des prairies de hautes herbes.
3. Hydrographie et relief
La zone d’étude est drainée par le Poto poto, le N’Zoublé, le gblogblo et le Pépkan, tous trois
affluents du Kpoussou.
Le relief est une pénéplaine formée des anciens terrains granitiques avec des versants quasi-
rectilignes, des bas-fonds à fonds plats et des collines très aplaties et peu élevées.
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b. Activités économiques
Les principales activités économiques dans la zone d’étude sont l’agriculture, l’élevage et le
petit commerce.
Les ressources agricoles sont constituées de productions vivrières (bananes, ignames, manioc,
riz...), fruitières (papaye, avocat, etc.) et de cultures de rente (café, cacao, palmiers ...).
Ces cultures sont rendues possibles par les conditions écologiques favorables caractérisées par
la rencontre de deux zones climatiques : forestière et pré-savanière.
L'élevage d'ovins, de caprins et de volailles existe dans la zone, mais elle n’est pas encore bien
développée. Il se limite au niveau familial. L'élevage des bovins y est pratiqué par quelques
ressortissants peuls.
Le commerce concerne principalement la vente de produits agricoles, des articles de première
nécessité, des denrées alimentaires et de l’alcool et d’autres produits manufacturés (dans les
boutiques).
5. Infrastructures sociales
Au plan sanitaire, la zone d’étude dispose de deux centres de santé : un centre de santé rural à
Duokro et une infirmerie privée à Subiakro.
Au niveau éducatif, on dénombre trois (03) écoles primaires comptant au total dix-huit (18)
classes pour un effectif de 1 029 écoliers encadrés par dix-neuf (19) Instituteurs.
Concernant les infrastructures de développement, on y trouve deux (02) châteaux d’eau
alimentés par deux (02) forages d’eau équipés de pompes électriques pour un système
d’hydraulique villageoise amélioré pour Subiakro et pour l’hydraulique urbaine pour Duokro
et Abakro.
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➢ Quartz : 65%
➢ Plagioclase : 20%
➢ Feldspaths alcalins : 10%
➢ Muscovite : 3%
➢ Biotite (souvent chloritisée) : 1,5%
➢ Quelques minéraux opaques : 0,5%
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Remarques : - seul le plagioclase est souvent en voie d’altération mais très peu avancée.
Figure 7: carte géologique de la zone d’étude (extrait de la carte géologique de la Région Toumodi-Divo par Ignace YACE
(Nov 1976)). Carte géologique de la zone d’étude (extrait de la carte géologique de la Région Toumodi-Divo par
Ignace YACE (Nov 1976))
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L'exploitation du gravier d’origine granitique d’Abakro par la SOGECAR se fait selon les
étapes suivantes : le décapage, l’extraction, le transport et le traitement.
I. LE DECAPAGE
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II. L’EXTRACTION
1. la foration
Cette étape consiste à faire des trous verticaux ou obliques de diamètres variables dans la
roche avec une maille définie. Pour la foration, la société utilise un marteau pneumatique
équipé d’un compresseur.
2. L’abattage
Cette opération se fait par des explosifs. La SOGECAR pour ses opérations d’abattage utilise
de l’ANFO ou nitrate-fuel qui un explosif de consistance dur. L’abattage permet de
fragmenter le front de taille.
La zone d’abattage est pompée avec une motopompe pour évacuer l’eau qui est néfaste aux
tirs. Mais lorsque malgré il y des arrivées d’eau qui persistent, la SOGECAR utilise soit
l’ANFO ordinaire qui est un mélange constitué de N03NH4 en granulés (90 à 94 %) et du fuel
(gas-oil) placé dans des gaines, soit l’ANFO dopé qui est un mélange de N03NH4 avec de
l’émulsion explosive pour améliorer la tenue à l’eau de l’ANFO.
Après toutes ces opérations, le tout-venant est envoyé à l’aire de stockage qui se trouve à
quelques mètres de l’entrée de l’usine de traitement.
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On appelle fragmentation, l’ensemble des techniques ayant pour but, d’emmener le tout-
venant brut issu de la carrière à la dimension voulue. La fragmentation vise à obtenir, le
maximum de produits d’une classe granulométrique donnée.
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1. Quelques définitions
➢ Concassage : c’est la réduction des gros blocs à une dimension de l’ordre du
centimètre (on l’appelle granulation lorsque la taille des particules produites
est de l’ordre de 5 mm) ;
➢ Broyage : ou pulvérisation dans certaines industries, est la continuation de
l’opération de concassage jusqu'à une dimension plus fine c’est-à-dire de
l’ordre du millimètre ;
➢ Trémie : grand entonnoir destiné à stocker puis à verser une matière
pondéreuse (grain, sable…) par gravitation
➢ Scalpeur : crible disposé avant l’atelier primaire dans une installation de
concassage. Il sépare les blocs pouvant être broyés des éléments plus petits
pouvant aller directement dans l’atelier secondaire de fragmentation.
➢ Criblage : classification des grains en fonction de leur dimension. Cette
classification se fait à l’aide d’un crible.
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Le traitement concerne la transformation des produits semi-finis pour obtenir des produits
finis.
Tout commence lorsque le tout-venant disposé sur l’aire de stockage est envoyé dans la
trémie d’alimentation : c’est le début de la chaine de l’usine de traitement. En dessous de cette
trémie d’alimentation se trouve un vibreur qui permet aux différents blocs d’avancer.
Au bout de cette trémie se trouve un prolongement appelé scalpeur, qui contient en vibreur à
son sein pour faire progresser les blocs qui arrive qui sont dessus. La progression des blocs se
fait jusqu’au concasseur primaire qui est un concasseur à mâchoires dont une mobile et l’autre
fixe.
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Une fois le traitement terminé, les camions clients se succède pour acheter du granite
concassé. Le processus consiste dans un premier temps à la pesé du camion client à vide pour
prendre son poids à vide. Les pesées s’effectuent sur des ponts à bascules pour une précision
sur les quantités à vendre. Ces ponts sont installés non loin de l’entrée de la carrière. Une fois
le camion chargé, il repasse avec sa charge sur le pont à bascule pour la seconde pesée qui sert
de vérification du chargement. Le client peut ensuite payer avant de s’en aller.
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TOUT-VENANT
TREMIE D’ALIMENTATION
SCALPEUR
CONCASSEUR PRIMAIRE
TREMIES
CRIBLES
GRANULATS
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1. Au niveau du décapage
L’activité de décapage étant primordiale pour l’exploitation, force est de constater que celle-ci
engendre des dommages sur l’environnement en l’occurrence la végétation.
Ces impacts négatifs sont les suivants :
2. Au niveau de l’extraction
Les problèmes environnementaux rencontrés durant les phases d’extraction des matériaux de
construction concernent :
• Le changement de la lithologie
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Les nuisances sonores sont généralement associées à toutes les activités d’extraction, y
compris celles de matériaux de construction. Toutes les étapes de l’exploitation et du
traitement génèrent du bruit (telles que pelletage, sciage, forage, abattage à l’explosif,
transport, concassage, broyage, criblage et stockage). Les principales sources de bruit sont les
activités de forage, d’abattage, de concassage, de tamisage et de transport.
Les débris de roche et les morts-terrains enlevés sont les principaux déchets inertes produits
par les activités d’extraction. Des déchets dangereux peuvent provenir d’impuretés et de
microconstituants des déchets de roches (métaux lourds ou minéraux pouvant donner lieu à
un ruissellement acide, etc.).
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Enlever le sol superficiel, les morts-terrains et les matériaux de qualité inférieure, les
stocker près du site et les préserver de manière adéquate en vue de la réhabilitation du
site
Dès la conception et la planification des opérations, prévoir des procédures pour
réduire les quantités de déchets produits (par exemple en mélangeant des roches de
bonne et de moins bonne qualité)
Les décapages effectués sur les sites des activités d’extraction de matériaux de construction
entraînent souvent à une modification importante de la topographie, des couches
superficielles du sol et notamment, dans bien des cas, leur défrichement. Les techniques
permettant de réduire le plus possible les impacts sur l’affectation des sols consistent à :
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CONCLUSION
En somme, il convient de retenir que cette sortie dans la carrière de SOGECAR, nous a
permis de mettre en pratique ce que nous avons appris en classe. Elle nous a permis également
de connaitre les réalités du terrain à travers l’observation des différentes étapes du traitement
des matériaux et d’acquérir de nouvelles notions. Nous pouvons donc dire que cette sortie
nous a été très utile.
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