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Année 2005-2006
Pour ce premier cours, vous deviez représenter un objet sorti de votre trousse, en quelques minutes. Puis
vous deviez à nouveau représenter ce même objet, mais différement...et ainsi de suite jusqu’à obtenir huit
représentations différentes. Pour vos premières représentations, vous avez tous utilisé des crayons, soit de
couleurs, soit des crayons à papier. Puis, vous avez ensuite eu la possibilité d’utiliser d’autres
matériauxpour représenter. Te rappelles-tu lesquels ?
papier de couleur
papier transparent
ficelle
papier crépon
carton ondulé, etc...
Nous avons pu voir qu’il n’y avait pas qu’une façon de représenter un objet mais une infinité... Enfin, en
utilisant des matériaux différents, vous avez pu constater que cela changeait votre représentation. Par
exemple, en utilisant le carton ondulé, certains ont montré leur objet en trois dimensions. Le crayon de
couleur permettait de montrer d’autres caractéristiques de votre objet : sa forme, sa couleur, etc...
Nous avons ensuite vu que pour représenter, on utilisait des gestes, des outils et des matériaux
différents.Chacun d’entre vous a pu chercher, dans ses représentations, quels étaient les gestes, les outils
et les matériaux que vous aviez mis en oeuvre. Voici quelques exemples de gestes :
découper
coller
tracer
déchirer
d’outils :
le crayon
le stylo
les ciseaux
de matériaux
papier
ficelle
Pour finir, nous avons comparer certains de vos travaux avec des oeuvres d’artistes, en essayant
d’identifier les techniques que ceux-ci employaient. Vois-tu des relations entre ces deux images ?
Travail d’élève
recherche d’élève
L’ours
4 octobre 2005.
La séquence sur les ours nous a permis d’aborder plusieurs mots de vocabulaire des arts-plastiques et de
parler de la ressemblance. Au départ, vous deviez représenter un ours, en 10 minutes. Nous avons pu voir
que vos dessins étaient déjà très différents et nous avons essayé de les classer. Ce classement à permis de
distinguer des représentations d’ours "réaliste", de nounours, et d’ours fantastique. Une quatrième
catégorie a été ajoutée : la représentation du panneau : "attention danger ! passage d’ours". Nous avons
essayé de trouver les caractéristiques de chaque catégorie. Ainsi, l’ours "réaliste" devait ressembler le
plus possible, l’ours fantastique pouvait être très différent d’un "vrai" ours, le nounours devait être
mignon et doux, l’ours du panneau devait être visible.
Chacun à choisi une catégorie, les outils [1] utilisés étaient libres.
Nous avons ensuite regardé certaines de vos réalisations qui nous ont permis d’apprendre de nouveaux
mots et de parler de l’obeservation. Te rappelles-tu l’exemple de l’extra-terrestre qui flotte à 2 mètres au
dessus du sol et qui ne voit les objets que de dessus ? te rappelles-tu comment il dessinerait une table ?
Qu’avons nous dit à ce sujet ?
Que la façon dont nous observions les choses était très importante. C’est cela qui nous permet de
représenter.
Maintenant, regarde quelques-uns de vos travaux. En dessous, je redonne les mots de vocabulaire
importants.
Travail d’élève
FACE et PROFIL : deux modes (façons) de représentation
Travail d’élève
La couleur posée à plat, c’est...un APLAT !
Travail d’élève
Attention ! ours. Il s’agit d’un
PICTOGRAMME, et le dessin est
SIMPLIFIER
Travail d’élève
Les HACHURES permettent de montrer la
douceur du poil du nounours. La couleur
(rose) est une façon de dire que l’ours est
"mignon"
Travail d’élève
Une autre façon de montrer la douceur du
nounours : avec le pastel. Le geste pour rendre
"flou", c’est ESTOMPER.
Travail d’élève
Pour l’ours fantastique, ce n’est pas important
qu’il "ressemble". ici, on sent qu’il y a eu
beaucoup de gestes, que l’élève s’est
"lâcher ! !".Nous avons parler de
"l’expression".peut-on dire que c’est un travail
EXPRESSIF ?
Travail d’élève
L’ours fantastique. C’est le contraire de l’ours
"réaliste". nous avons dit que c’était
IRREEL.
L’hyperréaliste (l’homme de l’est..) richard ESTES. tellement ressemblant que l’on aurait dit une photo...
"Le cri" de Munch : une oeuvre expressive...Nous avons dit que l’artiste avait essayé d’exprimer ses
sentiments.
Les constructeurs de Fernand Léger (l’homme qui avait des poids de 15 tonnes aux pieds...), pour parler
des CONTOURS.
Le monstre
18 octobre 2005.
Première séance
Vous deviez représenter un monstre, imaginaire, en utilisant uniquement les formes géométriques
suivantes : carré, triangle, cercle et une dernière forme : le cylindre.
En comparant les travaux, nous avons vu que certains représentaient leurs formes en donnant
l’ILLUSION du volume. Par exemple, le carré devenait un cube. Cela nous a permis de voir comment
dessiner un cube en PERSPECTIVE CAVALIERE. Nous avons remarqué que trois faces du cube
étaient alors visibles. Chacun d’entre vous à produit quatre images de ce cube en utilisant les repères
techniques du professeur.
Il existe de nombreuses façons de représenter un cube. La perspective dîtes "cavalière" est un système
simple pour représenter les volumes de formes géométriques.
Deuxième séance
Dans cette seconde séance, nous sommes passés à la représentation du cylindre, en variant les positions
de celui-ci. Enfin, nous avons représenté un cône.
Un élément nous a posé problème : le cercle. En effet, le cercle ci-dessous peut être à la fois
Une vue de dessous d’un cylindre
Une vue de dessous d’un cône
Une sphère ou une boule
Qu’est ce qui nous permet de différencier le cercle de la boule ? la LUMIERE. Celle-ci en venant frapper
la boule crée des ombres que notre oeil interprète. Je vous ai dit que nous dessinerions la lumière. Cela
sera l’objet de notre prochaine séance.
Enfin, nous avons, grâce au travail de l’architecte ALDO ROSSI, abordé quelques mots importants :
croquis
plan
schéma
maquette
échelle
Bien sûr, vous connaissiez déjà ces mots, mais seriez-vous faire la différence entre un schéma et un
croquis ? Nous y reviendrons... En attendant, nous avons pu voir que comme l’architecte pour son projet
du "théâtre du monde", nous réalisions nous aussi un projet (celui de fabriquer un monstre), en plusieurs
étapes, en allant du croquis à la maquette. Nous avons terminer cette séance en retravaillant nos monstres
en perspective cavalière, à l’échelle 1 [1]
Comme pour cette architecture, nous construisons notre monstre étape après
étape, du croquis à la réalisation finale.
Trois termes de vocabulaire ont été abordés : Le DEGRADE qui est le passage d’une valeur ou d’une
couleur à une autre, avec une transition où les deux se confondent. L’OMBRE PROPRE, qui est l’ombre
produite par la lumière sur l’objet. L’OMBRE PORTEE, qui est l’ombre produite par l’objet sur une
autre surface.
Nous avons aussi vu que la lumière frappait les objets en suivant leurs formes : ainsi, pour créer les
ombres et les lumières sur une sphère, il faut que ton crayon suive la forme de la sphère (donc, le crayon
décrit une courbe).Enfin, nous avons vu que nous pouvions plus ou moins appuyer sur la feuille, c’est à
dire, faire varier la pression du crayon ; MODULER, pour créer des zones plus ou moins sombres.
Nous avons aussi aborder le mot suivant : NUANCE : c’est les variations d’une couleur (par exemple,
avec ton crayon à papier, tu crées des nuances de gris)
Enfin, nous avons vu des réalisations d’artistes qui ont tous travaillés sur la lumière, en essayant eux-
aussi, de la "capturer" :
A la fin du XIXème siècle, les impressionistes, dont auguste renoir, étaient fascinés par les effets de la
lumière : comment la peindre alors que celle-ci change tout le temps, selon l’heure de la journée, l’endroit
où l’on se trouve, le temps qu’il fait ?
Auguste Renoir
La balançoire - 1876 - 73 X 92 cm
L’artiste Christian Boltanski, l’année dernière, à créer un théâtre d’ombres dans le musée d’orsay, à Paris.
Les formes sont énigmatiques, on reconnait certaines formes : des visages, des têtes de mort. Une autre
façon de capturer la lumière !
Christian Boltanski
Théâtre d’ombres - verrière du mudée d’Orsay - 2005
Monstres - Fabrication
15 décembre 2005.
Après avoir travaillé sur les volumes géométriques simples, les élèves ont fabriqués leurs monstres.
Après avoir travaillé sur les volumes géométriques simples, les élèves ont fabriqués leurs monstres.
Voici le texte de la fiche que vous deviez remplir à l’issue de ce travail, avec les notions abordées :
Le schéma de mon monstre à été réalisé sur une feuille de papier qui est un espace en deux dimensions.
Mon monstre est fait de différents volumes (cylindres, cônes, cubes,...) qui sont en trois dimensions.
Certains monstres tiennent debout grâce à un socle. Relier les différents éléments du monstre, c’est faire
un assemblage
Une photo du monstre - mon monstre, ce héros.
16 janvier 2006.
Il est demandé de photographier le monstre pour une affiche de film dont il est le héros. Les élèves
disposent d’un éclairage, de filtres de couleurs et ...d’un appareil numérique
Pour cette séance, chaque élève recoit une fiche reprenant les consignes
pour réaliser la photographie : Penser à la hauteur de l’éclairage, à la
hauteur de l’appareil par rapport au monstre photographié, à la couleur
du filtre. La verbalisation permet de voir que chaque choix fait par le
photographe est important.
Photo d’élève
Ici, l’image du projecteur
recouvre la peau du monstre et
crée un sorte de décor derrière
lui
reproduire-deformer-transformer
13 février 2006.
Un fragment d’image...Trois opérations plastiques.
La demande était très simple. A partir d’un fragment d’image récupéré dans un magazine, les élèves
devaient reproduire l’image, puis la déformer, puis la transformer.
Nous avons vu que REPRODUIRE une image, c’était déjà un peu la DEFORMER. il est impossible de
produire une image qui ressemble parfaitement au modèle (référent), alors autant s’amuser et réfléchir à
en faire autre chose ! !
Pour TRANSFORMER, nous avons vu que de multiples choix étaient possibles : faire des courbe sà la
place des traits droits, varier les lignes, les épaisseurs du trait... Pour TRANSFORMER, nous avons tous
chercher des opérations plastiques différentes les unes des autres. TRANSFORMER, c’est changer
quelque chose en autre chose : un chapeau en maison, une table en personnage, etc...
Nous avons vu que cela pouvait être plus intéressant que de reproduire une image : on peut s’amuser avec
les formes, les couleurs, les lignes.
fragment de
magazine
L’image à reproduire
/
déformer/transformer
travail d’élève
La transformation (image de droite) est très visible : le maillot de bain est
devenu un ensemble de zones colorées, mais l’élève conserve les lignes
principales de l’image. On passe enfin de la FIGURATION à
l’ABSTRACTION.
Travail d’élève
Chaque étape est bien marquée. Les éléments de l’image centrale sont réutilisés pour se
TRANSFORMER en personnage. L’élève, avec une grande efficacité, réutilise les couleurs
et les formes. Le personnage apparait déjà dans l’image déformée du milieu. Le vois-tu ?
L’image à déformer-
transformer
Travail d’élève
Le fer à repasser évolue vers un TGV. l’analogie formelle est ici bien
réemployée.
L’éléphant mascotte
17 mars 2006.
Où il s’agit de dessiner un éléphant...
Dans ce cours, je n’était pas très intéressé, car je n’ai pas trop aimé cette idée d’éléphant.
Ingrid.
Lors de la première séance, les élèves devaient tous représenter le même animal, un éléphant,par le
système de la mise au carreau. Cela a permis de montrer les RESSEMBLANCES inévitables entre leurs
représentations. Les élèves, pendant le temps de verbalisation ont bien vu que tous les travaux sont
ressemblants, qu’il n’y a pas de différences entre eux, aucun ECART n’est produit, les travaux ne sont
pas personnels. En s’appuyant sur ce constat, la seconde séance permet de créer de la divergence : les
élèves produisent un éléphant mascotte, qui leur correspond, un éléphant plus personnel. En présentation
des références, on montre, en introduction, le Perspectographe d’Albrecht Durer pour le système de la
mise au carreau. On voit la question de l’IMITATION, du MODELE.
Pour les élèves, il s’agit de comprendre que "faire différent" est une invention bien plus intéressante que
l’imitation. Ils comprennent que la DIVERSITE, la différence est source de richesse.
A travers les références, nous abordons la question de la nature de l’oeuvre. Les élèves doivent
différencier un monument - une peinture - une sculpture - une photographie.
Travail d’élève
Pastels, collages.
Travail d’élève
Travail d’élève
Colorier et peindre
18 mars 2006.
Quelles sont les différences entre colorier et peindre ? Que peut-on faire avec un crayon de couleur, un
pinceau ? Une séance qui permet de découvrir les effets, et le plaisir du pinceau, et sortir du stade du
coloriage, que les élèves connaissent depuis leur plus petit âge.
Le compte rendu de l’élève est en cours. Les photographies des travaux d’élèves seront bientôt misent en
ligne, en guise d’exemple.
Et peindre, c’est :
Poser de la couleur sur une surface
Créer de nombreux effets (COULURES, EPAISSEURS...)
Montrer les traces du pinceau (la TOUCHE)
Pouvoir travailler sur de grands espaces
Jouer avec la LUMIERE
Créer des effets de MOUVEMENT
Après avoir fait quelques expériences pour distinguer ces deux gestes "colorier" et "peindre", avec un
bateau comme modèle, nous devions réaliser un travail d’après l’incitation suivante : Quel tempête ! Les
travaux seront bientôt mis en ligne ci-dessous.
Quelle tempête ! !
3 avril 2006.
Cette séance fait suite au travail sur "colorier & peindre". Il s’agit de la phase d’évaluation des travaux.
Avec de la peinture, uniquement, vous deviez réaliser "une tempête". Tout le monde a bien compris que
dans une tempête, il y a du mouvement, beaucoup de mouvement ! Ors, nous avions vu que le travail à la
peinture était justement intéressant pour créer du mouvement par les gestes, par les giclures, les tâches.
Tout cela permettait de créer des effets et de faire une tempête. Mais observons plutôt comment certains
élèves ont répondu à cette incitation...
OBSERVE (1)"la vague" de Gustave Courbet (Huile sur toile - 1869 - 117X160) et regarde comment il
crée des MOUVEMENTS avec les coups de pinceau, observe l’EPAISSEUR des couches de peinture et
les NUANCES de vert et de bleu.
(1) http://www.ibiblio.org/wm/paint/auth/courbet/wave.jpg
Au départ, les élèves devaient couvrir la SURFACE de la feuille, avec de l’encre. Nous avons vu qu’en le
DILUANT, on obtenait des EFFETS, des NUANCES et différentes VALEURS de la même couleur. Cet
espace crée est un FOND.
Sur ce fond, vous deviez réaliser des ombres d’animaux étranges, de personnages de rêve ou de
cauchemar. On devait voir à peine ces ombres. Nous avons vu que ces ombres étaient des FORMES, qui
étaient plus ou moins mélangées avec le FOND, ou au contraire, qui étaient en CONTRASTE avec le
FOND.
Nous avons vu ensuite des oeuvres, que tu peux retrouver dans la rubrique ’artistes présentés’, où nous
avons tenté de voir quelles étaient les relations entre le FOND de l’oeuvre et les FORMES présentes sur
cette oeuvre.
travail d’élève
Quelles sont les formes que tu peux distinguer ?
Travail d’élève
ici, la FORME de l’éléphant apparait grâce à un CONTOUR bleu.
Travail d’élève
Apparement, juste un fond...Observe maintenant la partie droite
de l’image, en bas : que reconnais-tu ?
Harmonie
24 mai 2006.
Après la séance sur la couleur, nous passons de la théorie à la pratique...Les élèves ont cherché à réalisé
une "harmonie" de couleurs en partant des papiers découpés.
harmonie, harmonie...Nous avons vu en classe ce qu’était une harmonie en musique, c’est à dire : une
façon de mettre les notes ensemble pour que cela sonne bien à nos oreilles.Et bien, en arts plastiques,
c’est la même chose ! ! C’est vrai que nous avons tous des goûts un peu différents, mais vous avez tous
remarqué que certaines couleurs semblaient mieux aller ensemble que d’autres. Il existe des règles, mais
vous n’étiez pas obligé de suivre ces règles. Parfois, il faut savoir les oublier et se laisser guider par votre
sensibilité...ce que matisse apellait sa "petite sensation". Chacun était libre d’agencer les papiers comme il
le souhaitait tant dans les FORMES que dans les COULEURS. Une fois votre travail terminé, vous
deviez nommer votre travail, inventez un petit titre qui permettait de mieux comprendre le choix de vos
couleurs. Voici quelques exemples de vos réalisations.
Le professeur.
Le paradis - Quentin
la banquise - Ingrid
La plage - Sylvain
L’océan - Bastien
Théo rit de la couleur
10 avril 2006.
Dans cette séance les élèves redécouvrent à la fois l’idée du plaisir de peindre (il y a de grandes surfaces à
couvrir ! !) tout en abordant les fondements théoriques de la couleur.
1 - couvrir la surface de couleur (4 élèves sur un format raisin) Chaque table possède des couleurs
différentes. En l’occurence, deux couleurs primaires (JAUNE et ROUGE, ROUGE et BLEU, BLEU et
JAUNE). Une table posède les trois couleurs. Il est demandé de faire LE PLUS DE COULEURS
POSSIBLES
4 - Un nouveau classement met en évidence les couleurs CHAUDES et les couleurs FROIDES.
5 - Chaque élève doit ensuite réalisé une HARMONIE de couleurs, c’est à dire trouver des associations
de couleurs agréables à l’oeil.
6 - Nous observons plusieurs petites animations sur le vidéo-projecteur, que tu peux retrouver sur ce
SITE. (1) Nous découvrons combien la COULEUR dépend de notre façon dont notre oeil recoit la
LUMIERE.
(1) http://www.profil-couleur.com/lc/003-couleur-newton.php
COULEURS PRIMAIRES
Il en existe TROIS
Les couleurs pures ne peuvent pas être obtenues par le mélange d'autres couleurs. Le
rouge et le jaune abondent dans la nature, contrairement au bleu, qui est plus rare.
COULEURS SECONDAIRES
+ =
+ =
+ =
Au nombre de TROIS, elles sont obtenues en mélangeant à part égales deux couleurs
primaires.
Rouge + violet=pourpre
Bleu + violet=indigo
Bleu + vert=turquoise
Jaune + vert=vert chartreuse
Jaune + orange=doré
Rouge + orange=écarlate
Elle est composée des couleurs vert clair, vert, vert émeraude, bleu cyan,
bleu outremer, bleu foncé et violet. L'emploi de ces couleurs donne une
gamme de dominante bleu.
Elle est composée des couleurs violet, pourpre, carmin, rouge, orange, jaune
et vert clair. L'emploi de ces couleurs donne un gamme de dominante rouge.
Vincent VAN GOGH- champ de blé aux corbeaux - 1890 [épaisseurs, touche,
mouvements]
Morris LOUIS - Beta zeta - 1960 [coulures, transparences]
Diego VELASQUEZ - détail des ménines - 1656 [gestes du pinceau]
Andy WARHOL - Do it yourself - 1962
Les machines de Jean TINGUELY (1925-1991) : une fois sur la page, choisi le nom de la
"machine" dans la liste en BAS
Les sculptures de Joel SHAPIRO : Blue and red (ce qui veut dire ?...) - 2001
Henri MATISSE (18969-1954) : vitrail de la chapelle de vence - 1948-1951 - Pour les jeux
de lumière et de couleur.
Différentes images de l’architecte ALDO ROSSI, pour son "théâtre du monde" - 1980-
(Biennale de venise).
Un dessin de Eugène DELACROIX (1798-1863) : "Le départ du Cavalier arabe "- 1832 -
Plume et encre brune - 24 x 38 cm
Une peinture de Georges SEURAT (1859-1891) : "la seine à la grande jatte" - 1887 - Huile
sur toile - ( 81 x 65 cm )
Une peinture de Claude MONET (1840 - 1926) : "la cathédrale de Rouen" - 1893 - huile
sur toile - 73 cm x 106 cm
Une gouache découpée de Henri MATISSE (1869-1954) : "JAZZ - Icare " (1942)
Une peinture d’Edward MUNCH(1863-1944) : "le cri" 1893 - huile sur toile - 91 X 73 cm
Une peinture de fernand LEGER(1881-1955) : "les constructeurs" 1950 - Huile sur toile