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Question 1 :
Question 2 :
a) La solvabilité d’un agent économique représente la capacité de ce dernier à faire face à ses
engagements au moment de leur échéance.
b) Selon l’approche Keynes (1936) et de Baumol (1952), une augmentation du taux d’intérêt à
pour conséquence de réduire la demande de monnaie, mais pour des raisons différentes.
c) Le plafonnement du taux d’intérêt débiteur (=taux auquel la banque emprunte) a pour effet
de rationner le crédit disponible.
Question 3 :
a) Deux sources de fragilité d’une banque sont la vente d’actifs à prix bradés lorsqu’elle
manque de liquidité et le défaut de paiement de ses emprunteurs. Si la banque ne
s’attendait pas à ces situations, la perte devra être épongée par ses fonds propres.
b) Etablir une garantie des dépôts constitue une réponse efficiente au problème d’aléa moral
dans le chef des banques.
c) Après la grande dépression et jusqu’aux années 1970, le secteur bancaire a été fortement
dérégulé.
Question 4 :
a) Si une politique monétaire expansionniste est susceptible de stimuler l’économie malgré que
les taux nominaux soient proches de zéro, c’est notamment parce que l’augmentation de
l’inflation anticipée qu’elle induit réduit le taux d’intérêt réel.
b) Selon le canal du crédit bancaire, une politique monétaire restrictive aggrave les problèmes
de sélection adverse, ce qui entraine une baisse de l’investissement et de la production.
c) Les données et études disponibles tendent à montrer que les canaux du crédit constituent
plutôt un élément important du mécanisme de transmission de la politique monétaire.
Question 5 :
a) La règle de Taylor tend à montrer que la « politique monétaire optimale » aurait idéalement
dû être moins expansionniste dans le Sud que dans le Nord de l’Europe au cours des années
qui ont précédé la crise financière de 2007-2008.
b) La Fed ainsi que la BCE ont réagi de manière très vigoureuse suite à la faillite de Lehman
Brothers en septembre 2008, tant au niveau des taux d’intérêt que de la base monétaire.
c) Les deux objectifs principaux de l’assouplissement quantitatif (« quantitative easing ») lancé
par la BCE en 2015 sont l’augmentation de la croissance et la baisse de l’inflation au sein de
la zone euro.
Question 6 :
a) Dans le cadre d’analyse Ys/Yd, une augmentation du prix des facteurs de production des
entreprises a pour conséquence de déplacer la droite d’offre agrégée de court terme vers la
gauche.
b) Au plus la proportion d’entreprises dont les prix sont flexibles est importante dans
l’économie, au plus la pente de la courbe d’offre agrégée de court terme est faible.
c) L’idée qui sous-tend les modèles du « Real Business Cycle », à savoir que seuls les chocs
d’offre perturbent le système économique, a été validée par l’expérience de la crise
financière de 2007-2008.
Question 7 :
Question 8 :
a) C’est entre les régions d’un même pays que le degré de libéralisation des mouvements des
capitaux et des biens et services est le plus fort.
b) Depuis les années 1960, le degré de solidarité entre les pays de la zone euro et les Etats-Unis,
bien que faible, est allé croissant.
c) Depuis les années 1960, le degré de coordination des politiques monétaires au sein de la
CEE/UE est resté relativement faible.
Question 9 :
a) Les actionnaires d’une entreprise ont le même profil de revenu que celui d’un acheteur d’une
option call.
b) Une hausse anticipée des taux d’intérêt futurs réduit la demande d’obligations.
c) Le prix d’une obligation à coupons est d’autant plus sensible à une variation de taux d’intérêt
que l’échéance de l’obligation est longue.
Question 10 :
1) B
2)B
3) A
4)A,B,C
5)A,B
6)A
7)A,B,C
8)A
9)A,B,C
10) A,B,C