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internationales
Les pratiques international diffèrent des pratiques national pour plusieurs raisons (les importateurs
Et les exportateurs se connaissent mal puisque souvent la langue, mes habitudes, les produits sont
différents–les problèmes de changer de risque de variation relative des monnaies rendre plus
incertain les échanges–les problèmes liés au transport sont plus fréquents–du crédit entre acheteurs
et vendeurs soulève des problèmes délicat–les réglementations de change complique encore les
transactions dans quelques pays)
Les opérations à l’étranger nécessitent l’adoption d’une monnaie de facturation et font appel à des
méthodes de règlement particulières.
Une monnaie de facturation est une monnaie dans laquelle le contrat est libellé, la monnaie de
règlement est celle dans laquelle est effectué le transfert de fonds.
Choix d’une monnaie de facturation : Je suis un peu s’effectuer entre la monnaie nationale de
l’exportateur, la monnaie nationale de l’importateur ou une tierce monnaie. Dans de nombreux pays,
les exportateurs une préférence pour leur monnaie nationale comme on est de facturation de façon
à éviter de prendre un risque de change. Puisque les exportateurs en large pouvoir comparer aux
importateurs pour le choix de la monnaie, ce sont les importateurs qui subissent le risque de change
de manière plus élevé. Le dollard américain est la devise tierce la plus utilisée.
Critère de choix
Critères de rentabilité : suivant ce critère, l’exportateur devrait libérer ses créances en monnaie forte
alors que l’importateur aurait intérêt à les libérer dans une monnaie faible. Dans la pratique,
exportateurs choisit souvent sa monnaie nationale de façon à éviter le risque de change.
L’importateur, au contraire, préfère une facturation en devises faibles pour bénéficier du déport
dans les cas de dépréciation de cette devise par rapport à sa monnaie nationale.
Critères du risque de change : une facturation en monnaie nationale permet de faire des économies
de couverture aussi bien pour l’importateur que pour l’exportateur. Ce comportement est adopté
par plusieurs petites ou moyennes entreprises disposant pas d’un service spécialisé de trésorier
international.
Critères du risque commercial : l’exportateur qui exige de libérer son contrat en monnaie nationale
peut être amené à consentir à ses clients d’autres avantages. Le choix de la monnaie de facturation
entraîne celui de règlement. S’il exportateur facture en euros, le crédit demandé à la banque sera un
crédit en euros.De nombreuses clauses peuvent figurerDans le contrat, elles sont appelés clause de
parité ou de change. Certaines fixe une parité entre la monnaie de facturation et celle de règlement,
d’autres prévoit une adaptation du prix lorsque la dépréciation ou l’appréciation d’une monnaie par
rapport à une autre monnaie de référence est supérieur à un certain pourcentage.
NB : IBAN est nouveau standard pour le numéro de compte en banque en vue de simplifier et
d’accélérer le traitement des payements transfrontalier, il a été adopté par les membres de l’union
européenne et de quelques autres pays comme la Suisse. Ce numéro identifie très précisément le
titulaire du compte, sa banque et son pays d’origine. Virement SWIFT (Society for worldwide
interbank financial telecommunication) est un système permettant les échanges privés des messages
télématique entre banques adhérentes et une rapidité inégalé à condition que la banque qui envoie
les fonds et celles qui les reçoit soit un membre de ce réseau.
Chèque :Le chèque est un titre de payement sur lequel le titulaire d’un compte donne ordre aux
banquiers de payer à un bénéficiaire montant déterminé à prélever sur les fonds ou les crédits du
titulaire. Il y a deux types de chèques (chef d’entreprise qui n’offre aucune garantie à l’exportateur,
la provision sur le compte de l’importateur pouvons être insuffisante inexistante au moment où le
chèque sera présenté par l’exportateur à son établissement bancaire–le chèque de banque est un
chèque tiré par une banque sur ses propres caisses ou sur un autre banque offrant une garantie
contre le risque commercial mais le protégeant cependant pas du risque bancaire) ses avantages
sont une simplicité d’utilisation, mais à des inconvénients comme le temps d’encaissement
relativement long, risque de change exposé si le chèque est libellé en devises, vol ou perte du
chèque, et non protection du chèque d’entreprise de l’exportateur.
Lettre de change : La lettre de change également appelé traite est un effet de commerce
transmissible par lequel l’exportateur dans l’ordre à l’importateur ou à son représentant de lui payer
une certaine somme à une date déterminée. L’exportateur expédier la traite à l’importateur pour
que celui-ci la lui retourne accepté c’est-à-dire signé. Ceci dit, exportateur donne à son client un délai
de paiement plus ou moins long lui permettant de mobiliser ce crédit auprès de la banque en lui
demandant l’escompte de cette traite. La lettre de chance dispose de nombreux Avantages qui en
fait un instrument fréquemment utilisé (matérialisation d’une créance pouvant être négocié auprès
d’une banque–transmission par endossement de la lettre de change pour régler une date) Mais
présente des inconvénients (Non suppression des risques d’impayés–recouvrement long en attente
d’acceptation de l’importateur-différence de sa valeur dans les états). Ceci dit, la lettre de change
coûte plus cher que le chèque car elle doit généralement être présenté deux fois parfois une
troisième fois pour aval. des frais de virement.Sont également imputer au moment de
l’encaissement
Billet à ordre : effet de commerce est mis à l’initiative de l’acheteur par lequel celui-ci promets le
paiement d’une certaine somme à son créancier a vu ou à une certaine date. Il ressemble à la lettre
de change, et a quasiment les mêmes avantages et inconvénients que ces dernières si ce n’est que
sur un point essentiel à savoir qu’il est émis à l’initiative de l’acheteur et non à l’anis Atif du vendeur.
C’est pour cela qu’il est très rarement utilisé en commerce international.
Technique de paiement
Encaissement direct : les opérations d’encaissement dans lesquelles le paiement du vendeur n’est
pas conditionnée par la remise en banque des documents destinés à prouver qu’il a rempli ses
obligations. Il y a plusieurs types d’encaissement direct : encaissement simple (Encaissement de
documents financiers par la banque du vendeur. Par cette procédure, l’exportateur envoie
directement à son acheteur tous les documents représentatif de marchandises expédiées en tirant
une traite as vu sur lui qui remet à son banquier pour encaissement. Par cette procédure l’acheteur
paye généralement directement l’exportateur sans attendre la réception des marchandises)Paiement
à la commande (correspond à un paiement anticipé. C’est bon de paiement suppose de la part de
l’acheteur une confiance absolue à l’égard de son fournisseur étranger car il lui paye marchandise qui
n’a pas encore reçu et qui peut-être n’est même pas encore fabriqué. Pour l’exportateur il s’agit de la
technique de paiement la plus simple et la plus sûre) Pairment a la facturation (L’exportateur
envoyer facture commerciale à son client payable a vue ou à échéance vec des instruments de
paiement. C’est le client qui garde l’initiative du règlement)paiement ex-usine (certains industriels
exige que les marchandises soient payés dès qu’elles sont prêtés pour expédition. Ils veulent de la
sorte éviter que le paiement de la marchandise soit tributaire des dates de départ des transports et
de leur durée. Ce type de contrat est avantageux pour le vendeur qui voit ses besoins de trésorerie et
sans risque diminuer mais pose des problèmes à l’acheteur car c’est lui qui doit gérer le transport et
les formalités douanières au départ d’un pays qui ne connaît peut-être pas.)
Compte à l’étranger : lorsque la banque de l’exportateur dispose d’une filiale ou d’une succursale
dans le pays de l’importateur il y a possibilité d’ouvrir un compte. C’est une technique intéressante
lorsque l’exportateur exporte couramment vers un pays pour des sommes importantes.
Remise documentaire : c’est une opération par laquelle un exportateur mandat de sa banque de
recueillir selon les indications une somme du haut l’acceptation d’un effet de commerce par un
acheteur contre remise de documents. Il peut se faire selon deux formes : document contre
paiement (Banque si tu es à l’étranger, correspondante du banquier de l’exportateur ne remettra les
documents que contre paiement immédiat.) Ou documents contre acceptation (banque si tu es à
l’étranger correspondante du banquier de l’expéditeur ne donnera les documents à l’acheteur que
contre l’acceptation par ce dernier d’une ou plusieurs traite payable à une échéance ultérieure)