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Traitement Des Eaux de Consommation Exercices 97-98
Traitement Des Eaux de Consommation Exercices 97-98
Ce recueil d’exercices est réalisé dans le même esprit que celui relatif à la
chimie des eaux ; il constitue le complément indispensable du cours et un moyen
d’évaluer votre savoir.et votre savoir faire.
Cependant il est bien évident que ce dernier demeurera à votre disposition pour
toute explication dont vous pourriez avoir besoin.
SOMMAIRE
INTROOUCTION
1. COAGULATION ET FLOCUlATiON
2. DECANTATIOI\I .
3. DESINFECTION
7,DEFERRISATlON ET DEMANGANISATION
ANNEXES
r d 1
1. COAGULATION / FLOCULATION
ENONCE
I 1
Une eau brute dont la coloration correspond a 36”Hazen est soumise, avant tout autre
traitement, à l’action d’un coagulant classique en vue d’améliorer son aspect.
Les résultats des tests sont donnés dans ie tableau situé au bas de la page.
I
1. Pourquoi le sulfate est il sans effet sur la couleur au delà de 30 mg/{ ?
2. Pourquoi Ja turbidité croît elle apres cette vateur ?
3. Que faut il faire dans cette situation ?
4. A supposer qu’une coloration se développe apres désinfection par oxydation quelle
hypothèse peut on faire et quelle mesure doit on prendre ?
2
SOLUTION
Ces parficules sont éliminées par les coagulants d’une façon pratiquement proportionnelle
à la quantité de coagulant utilisée, mais cette elimination a une limite qui dépend a la fois
de la couieur elle même et du Ph.
Dans ces conditions il convient de v&ifier dans l’eau brute la présence de ces métaux et
de prévoir leur élimination avant oxydation.
3
l-2. CALCULS RELATIFS A LA CONCENTRATION
DU SULFATE D’ALUMINE
ENONCE
/
ld’ahmine”
Le sulfate d’aluminium utilisé
et répond à la formute
en flocutation est appelé improprement
A12~S04)3r 18 H20. II est commercialisé
“sulfate
sous forme
liquide ou soiide, et pour cette dernière il peut se présenter en granules ou plaquettes.
1102
/---.100=77,3%
1594
La densité étant de 1,3 on a donc 600 g de AIz$O&, 18 Hz0 pour une masse de solution
de 1300 g. Or nous savons qu’a 666 g de AI$0.J3, 18 Hz0 correspondent 102g de Alz03.,
donc pour 600 g on aura :
102
---, 600 = 91,89 g
666
666
-. 700. 7000 = 6,52. 10 ‘g soit 650 kg.
102
5
4, S’il faut 100 KQ de produit à 14 H$Z exprimé en sulfate, combien en
faut
5g4gdeA12&3C& 14HzOcorrespondent;5 702gde Al~Odonc 1OOkgcorrespondentà:
102
-. 100.1000 = 1,7. ?O 4 g = 17 kg
!Sd
r
250.000
600
= 476 I de Alf$0.J3,
,
78 H?O liquide
6
l-3, MISE EN. CEUVRE DU SULFATE D’ALUMINE
ENONCE
te coagulant est en générai préparé sous forme concentrée dans un bac mélangeur
puis introduit par yne pompe doseuse dans l’eau à traiter.
* Votre station traite 100 m3/h et est en production 18 hijour, 360 j/an.
* Le traitement exige d’utiliser 100 mg de produit commercial par litre.
* La solution mère est à 100 g/i et vous décider de la préparer deux fois par jour
1,8 10 ’
-- = 18001 .
100
1Si on veut préparer la solution deux fois par jour il faudra un bac de 1800/2
f soit 900 I minimum, en fait on prendra environ 1200 I pour pouvoir effectuer
convenablement la dissolution.
EMONCE
Soit une station dont les caractéristiques sont les mêmes que celles précisées ci
dessus.
486,3
---, 1’00 lo”3 - 0,073 g/1 soit 73 mg/l de Ca(HCOJ)2
666
*Revenons aux “F
Ca(HCO& = 162,l g
D’après l’équation ci dessus, 666 g de sulfate produisent 2 X 78g de AI(OH)3 soit 156 g,
par conséquent les 100 mg de sulfate ajoutés conduiront à la formation paf litre de.
156,
- 100 10 -’ = 0,02342 gd soit 23,42 mg/l de Al(W)3 ou 23,42 g/m3
666’ .
En un an la quantita d’eau traitée s’écrit .
100X18X360=648.000m3
*Diminution du TAC
* Formation de CO?
Le CO2 qui apparaît au sein de l’eau va enfraîner fa ljbération d’ions H’, ii va en r&ulfer
une diminution du pH fée/ de l’eau, Or I’agressivifé d’une eau peut s’apprécier il partir de
la valeur de son indice de Langeiierlequel est donné par \L = pHr - pHs
Plus IL est faible, plus l’eau est agressive, donc si la réaction d’hydrolyse a pw
conséquence comme on l’a vu, d’une part la diminution de pur, d’autre paf?
l’augmentation de pHs, ILne peut que décroître et l’eau devient donc amessive.
2. DECANTATION
ENONCE
1. On se place à 30°C
4-1. que devient Vd si la minéralisation de l’eau croit ? prendre le cas d’une eau
de mer à 20 g de chlorures/l .
4-2. vérifier l’hypothèse de départ
4-3. éventuellement changer de formuie et vérifier la validité de cette derniere
SOLUTION
Compte tenu de l’hypothèse faite ici, Re < 7, on peut appliquer la formule de STOCKES
qui correspond au cas le plus simple de ia formule générale de NEWTON.
On a donc :
D’OÙ
Vd=2,8. W3m/s
Ecrivons l’expression de Re
Vd. D
Re =po--
71
En se plaçant à 20°C la viscosité passe de 0,80. 7P6 à 7,006. 1F” et la nouvelle vitesse
Vd s’écrit :
lyd.2,*3. Iu”ym,s j )
vci. D
Rf? =p4--
r7
L%typothèse n’est plus vbrifiée, Re P 1, ii faut donc choisir une formuie autre que
celle de STOCKES.
1
La f%mule de ALLEN, compatible avec une valeur de Re telle que l< Re< 200, semble la
plris adapth?.
ha:
4 (0,2.10 -3)fP6(2J3.5 - 7)
l/dzem--.- ---- 9,81
55,5 (0,80. lcT6)o~6.(l)084 .
Vd. D
Re = pe --
77
On lit dans en annexe 2 que la viscosité dynamique de l’eau de mer 9 20°C et pour une
concentration de 20 @l de chlorures est de 1,085 il? Pa.s
Vd. D
Re = .Oe ----
tl
. ENONCE
tioit une canalisation a ciet ouvert qui alimente une usine de traitement de cannes à
sucre. Cette eau est relativement chargée en particules minérales grenues et on décide
de la faire tranSiter par un dessableur avant de l’utiliser.
Q = St. Vh
Q en m3/h
St en m2
Vh en m/h
d’où
1 St 4,630
.1
lI=~=2=2,37m
ENONCE
r-
1 Soit une eau dont la charge en particules grenues est de 400 mg/l.
1
On veut réduire cette concentration à 100 mg/!, aussi souhaite t’on étudier un décanteur
statique permettant d’atteindre ce résultat .
1 Hauteur du dkanteur = 2m
Rapport LongÙeur/ Hauteur = 10
Vs = 5 mlh
Q = 200 m3 / h
i
Les tests de décantation effectués avec l’eau concernée dans une colonne ad hoc et
pour laquelle H = 2 m, ont donné les résultats suivants :
,
tmn 10 12 15 20 24 32 40 68
Fd % 25 28 33 43 55 78 87 95
H
On a foujours Vv =-
t
Hm
vv=“-.-- 60
tmn ’
.
Exempie psur t = 10 mn
R%=ll-FO).I/Vv.dF
vs
Sur le graphe on lit pour Vs = 5 m/h + Fo = 45%
Ch a donc :
SoitR=86%
400-344 =56 mg
Q = 200 m3/h
L=lOm
H=2m
V.s=5m/h
22
II est facile de déduire L des valeurs ci dessus, en effet si L = 10 H , connaissant H = 2 m
on dkduit immédiatement :
L=lOx2=20m
Par aiiîews :
Q cl 200
vs c- d’où Sh=-...w=-= 40 m 2
Sh vs 5
Sh 40
Or Sh = Ll sait I ZiII=-=2m
L’ * 20
La wlutiun consiste d faire en sotte que les particules dont la Vv est inférieure à la Vs
ado&Se puissent décanfer elles aussi.
Il faut donc adopter une nouvelle Vs < 8 la précédente
Q‘
Orona: Vs=-
Sh
ENONCE
i 1
Une station reçoit des eaux brutes qui véhiculent des MES de nature colloïdale,
La concentration de ces MES est de 250 mg /I et on veut la veut ramener à 100 mg/ 1.
Ii vous est demandé de concevoir un décanteur fonctionnant selon le principe de la
décantation diffuse et,peimettant d’atteindre ce résultat.
Les contraintes sont I’es suivantes : Q = 200 m3/h, H = 2,5 m, UH = 70
Les tests de déeantation effectues sur une colonne expérimentale dont la hauteur
correspond à celle du déuanteur, soit 2,5 m, ont donné les résultats ci dessous.
A partir de ces résultats :
t mn l 15 - -24 391 67 92
% éliminé 30 381 501 62 68
24
SOLUrIQN
A partir des mesures réalisées au Iaboratoire on dresse les tableaux suivants relatifs à
chaque % d’élimination
,.. .. : ,“,’ .:
.:‘.-:. .
26
2. Déterminez sur le grarrhe le ternos de séiour corresoondant à chaque
5%d’élimination
On lit directement sur le graphe, la oti les courbes coupent l’axe horizontal, les temps de
séjour relatifs ci chaque 76 d’élimination.
R% 30 401 50 60 70
t mn 25. 401 63 93 128
25
Gn a da7c : !$s = - 60
rs
si on veut exprimer Vs en rn/h
hz h3
R%=R,+ - (R2 - R,) +-(RJ-Rz) +-(Rd-Rs/
H H H
*Casoùts=25mn, avecH=2,5m
R % tsgj = 37,24
27
* Cas où ts = 40 mn, avec H = 2.5 m
v
t
Rl R2 R3 Rd
40 % 50 % 60 % 70 %
hl I h2 h3
7 0,35 0.16
1 0,35 OJS
R%=40+ --.lO + -.?O+----- 10
2,5 2,5 2,5 .
R%ti4 = 46,04
.
hi hz
, O-86 i 6 OF36
0,86 0,36
R%=50+ -- TO+-- 10
2,5 2,5 ’
*Casoùts=63mn. avecH=2.5m
ht
t 1 I
1
R%=60+ - 10
2,5 ’
28
5. Tracez R % = f (ts)
tmn *
25 40 63 93 128
R% 37,24 46,04 , 54,88 64 >70
0 20 >
40 60 80 700 720
t S
29
tmn 25 40 63 93 i 128’
Vs rn/h 6 3,75 2,38 I$l A,17
0 20 40 60 80 100
3c
7. Déterminez ts à adopter F)our obtenir l’abattement souhaité
lnitialemenf les MES ont une concentration de 250 mgff ; aprés abattement on souhaite
que cette valeur soit infétieure à 100 mgfl, il faut donc que le décanteur puisse éliminer /a
dif%rence soit 250 - ?OU = 150 mg7
150
- 700=60%
250 .
On porfe ts = 80 b-w
9. Dimensionner le décanteur
UH=lO
t-i.= 2!5 m
Vs=Zmnt
Q = 200 m3/h
Q Q
200
VS = - soit Sh = - z--z fQOmZ
Sh vs 2
32
SOLUTION
Qn a : IV = 14 et Cl = 355
L’équation (3; montré qCi! faut 33; 5 ç de Ci;ior~ pour transformer 14 g d’azo!e sous ferme
0e mono chioramhe, par conséquent pour transformer 1 mg il faudra :
ENONCE
/
l
i
34
SOLUTION
On a :
Gomme fe produit est à 60 % ibfwdm prendre en fait ($6 7I / 60) x 7UQ= 2,085 mg
Cette vâieur correqmnd à un /$re d’eau A Pai&r, donc pour 1 m3 d’eau il faudra 1000 fois
PiUS SGit .
35
3-3COURBEDECHLURATION
ENONCE
r --
I Ccmment expliquez vous que i’on ait trouvé ii; même valeur de chiore résiduel, Ci, su:
j c,P)&&nCii ,Jm’ auquel on a ajout4 progressivement Jes quantités suivantes de chlore :
/
i .48 rngii,
/ 1$96 mgil ?
36
&prenons la courbe de ehloraiion forsquY existe des produits ammoniacaux dans [‘eau
Les valeurs citées se trouvent sur une même hotizontale gui coupe /a courbe aux points
A, B, C :
Chiore total
Nous sommes c!ans /a zone c’e fb-mation des mono et di chloramines et ces composés
répondent ac dc sagfa avec la GFD donc on mesare une certaine vakur Cir
Point C :
HUCI
9; = -------- r’ao
HOCI + cm-’ ’
--
j d’cxi % = 7X6/
39
2. A quel QH doit ot? se situer si on veti que la fraction de chlore cj
dessus soif de 95 % à 30°C ?
On a toujours (3)
j d’où pH = 6,24 i
1
95 = (y-- ----j. IOQ
7 + 2,3. 10-d/:fjPH
à Pb = 6,21 SEt = 30 “0
Par conséquanf on peut dire qu’une température plcrs faible permet de fravailier à un pH
plus élevé.
I”------- 7
i Compte tenu des x$suitats de /‘rxexice précédent expliquez pourquoi it serait à priori/
;&?Jusioçique d’utiliser du chlore g-G&tiiC que de I’hypochiot=ite dans ies pays tropicaux. i
/
I,
91! (nota : d’autres csfisidérati~ns Kant qu’it est cependant souhaitable de faite l’inverse !)
-- 1
41
E~ti~ons les réaction s d’hydfdyse qui intervienneni Iors de la mise en solution des ces
deux désinfectants.
* Cas du chbre
* Cas de Yhy~ochlorite
Si le r/,j dj,min~e. banc sj (,Y’; cugmer;:e, m favcn’se /a km~at~on de HOCI) par contre si
c’est ie contraire qui se produit, donc si OH augmente, on favorise la dissociation de
HOC.
1Or7 une température klevée exige pour un résultat dunné, un pH plus faible que’
:pour une températus pft~s basse, donc I’hydro&se du chlore va dans ie bon sens
j alors que -celfe de l’hypochlorite va dans un sens défavorable , i
42
1. Dans quai rag.zo~? doiven! se Iro~er ies concentratioris (A) et (Sj des deux produits
pour qu’iis donnent ie même résd ! ai aprés un temps de contact identique.
2. Dans que; rapport Soivent se ?r,uver- !es temps de contact tr et t2 des deux produits
pour qu’ils donncant ie ~êmn résuitar si leurs cortczntrations sont identiques.
3. Conciusion
43
SOLUTION
~avec A et B, ii faudm que la cancentrath de El soit environ 10 fois plus forte que
j celle de A.
Eant cbnné que(A,i = (B), appelons @ Ia concentration utilisée pour les deux produits:
.T
L 3,Ï? .t1 3.72 :, 0,x? il 0,211
---ze soit ,- G,7?-S.64
” .- =- soit -=
e 0,64
L * t2 34 tz 3,4 t2 P3
3. @on&sion~ _
Lorsque les temps de ctmtact sont égaux, et quels que soient ces temps, ie rapporf des
concentrations demeurent constant
iorSqUe .@a concentrations sont égales, ie rappcirf des temps dépend de /a concentration
adoptée Sauf prrur :e cas cjù i’exposant des concentrations dans les lois empiriques est le
même.
4-t CORRECTION DE LA DURETE
2. Er! avant
I rxnurs ZJX diagrammes bar;es déterminez !a composition finale de I’eaL
après l’avoir soumise à tiri traitement de ce ?jpe.
3. A supposer que l’or! veuiiie faire subir un abattement pius important de la dureté à
cette eau, quels traitements peut on !ui appliquer ?
4. Pour des raisons qui reièver;i aussi bien des normes d’hygiène que de ‘la protection
des canalisations or? souhaite que l’eau distribuée par le rhseau ait les caractéristiques
suivantes :
ie carbonate de capum qui se furme ne le faif qu’à partir des ions HCOi présents, or
ceux ci étant A hauteur de 25 “F et ie calcium de 30 “F. la di%rence soif 5” F demeurera
d Mat de Ca++ dissous.
1
1 Ces 5 “F s’ajouteront ,361~ 70 “F de Mg non affect& ce qui conduira r) une dureté/
! totale minimum de 15 “F. I
il faut autant de chaux qu’ii ex%te de /+CG?~ soit 25 “F, ce qui donne :
25 50
SC& Cf
uh
”
4 4
‘
* excèsde chatrx
*add,G%~~ de Maux et de carbonate de sodium
"excès de chacx ut ciif-benafe de sodbm
D’une :~~CIEgé&raie ces traitements sont applicables dans les cas suivanfs :
a. excèrs de chaux
Cas des eaz pr&er~tant’Line dureté mi,xte calbque et magnésienne mais avec une forfa
valeur cfe ;a c’urefé carscriafée
La solution la phs simple pour ramener /‘eau à un TAC convenable consisfe i) mélanger
judicieusement /‘eau traifée avec de l’eau brute de telle sorte que l’on aboutisse h un
compromis acceptable.
Ces r&ultat sor;f corrects mais 2 est toujours possible de les affiner en vue de limiter le
volume d’eau frait&e ce gui permetfraif de minorer le prix de revient.
49
4-7-2, DECARBONATATION AVEC EXCES DE CHAUX
It
l
50
1.Rew&entation de /‘eau
2. Ajout de Ia chaux
a. Quantité a abouter
53 0 30 40 50
-.--
53 0 38 50
53 0 30 40 50
53 0 38 50
51
c. Précipitation du CaCt& hîwpelons Qu’il subsistera toujours 4 OF de CaCO, en
raison du KS de ce composé)
Ca*
534 46
38 50
Cos-
0 10 27 31
+
1
w” Ca* Na’
OK l Cos- .S04-
0 15 19 31
Mg++
041 10 27 31
Mg++
oh - 72 22
Ca” Na’
OK COS- SO4’
0 6 10 22
52
3. Premiere cafbsnafatiun
Cette dose doit être telle que CO2 = [(OH-) - 7“F] soit ( 6 - 1) = 5°F
b. Formation de Cl&=
Mg(-+
2
0 9m 22
OK
?2
il 4 22
OH
mJ*
0 60 17
53
a. ajout de CC+
lwç*+
ai7 <
OY,
54
4-1-5. DECARBONATATIBN A LA CHAUX ET AU
CARBONATE BE SODIUM
Rappelons cpe ce procédk es: intéressant dans le cas des eaux pauvres es
magnésium et qtii possédent à ia fois une dureté temporaire et une dureté permanente.
ENONCE
Afin d’éviter cet inconvénient if sur?? d’ajouter les produifs en deux temps, la chaux en
premier, ie carbonate de sodium en second après précipifation du CaCOJ.
0 18 24 30
I .J
0 72 28 ?‘30
cr
2. Addition de !a chaux
a. Quantitk3 d ajkwter
72
T 0 f8 24 30
Cl 4 72 287’30
CJ
0 10 16 22
/
Ca” / Mg++ Na’
i
04 2G7’ 22
CI
6 0 10 16 22
r I I 1
Na* I Ca”
/
0 4 10 16 28
10 26f 28
c. Comaosition de l’eau
Na’
2UT 22
cr
4. Carbonatation
a. dose de CO? à utiliser
4 0 4 10 22
/
r
l Ca” / Mg++ Na’
CO2 i 1
/
1 Cos- l’ sa- .
4 0 4 2o;r 22
.
ci
TAC ] TH rca / mg
4 j 70 4 6
58
4-l -4DECARBONATATf0N PAR ADDtTION BE CHAlJX
EN EXCES ET DE CARBONATE DE SODIUM
Ce procéoé permet dans un premier temps de réduire la dureté carbonatée, qu’elle soit
Ca!cique ou magrhienne, at dans un second temps fa dureté non raarbonatée également
calcique bu magnésienne
l------- -__/ ,
j Raprenons le cas ie zas cl desst23 pour lequel nous avions :
l/
, if(-J(-&‘ u *y2 “J= TCû ZZZ18 “f
sQ$-- L yypf mg = 6 “F
1 cI- fl 2°F p&+ z 6 “F
/
j 1. Ouelfe sera ia composition de cette eau après l’avoir trait&e avec de ia chaux en i
jexcés et du carkzate 3e sodium ?
1 2. Cc~mparez ies sésuitats obte~;us avec ceux du trsiitement préckdent, conclusion. I
i t
-II -- . .., . . ...< .,
:. ‘. ..: ,;. . .
<.. .: ._,.. : . ‘.. .“. _.__
S0LUTf0N
0 18 24 3c
r------ 1 J
l
0 12 28?30
cr
2. Addition de la chaux
a. Quantité ti ajouter
On ajoute tout d’abo.rd/a quant?&+de chaux qui correspond a~ ffzdemeni gar exds de
chaux soif en “F /a somme suivante :
HCO, = 12 “<ci
47 = 6°F
Excès = 5°F
Soif 23°F
23 12 0 8 18 24 30
23 12 8 ?12
041 27 33
a. Quantité de CC& t utiliser.
5 8
CP
b. Formation de CQ-
w+
0 8
0 77 418 24
62
72 4
iI
---
4:;.-. 177 ?e 34 ? 36
Ci-i CI
0 5 27 i”23
a
PH 6.2
minéraiisatisn j 473,99 ,
température j 36 “C 1
b. Calcul de DK’S
8JE4 - 8,lG7
---x 73,99 = - 0.0159
600 - 4GG
de meme :
e. calcul du DH 2
---1
1Ph = fQ,iOZ - 8,091 + 2,6102 + 2,4775 = 7,021
j et arécisez E%tat de
cette eau
.
4-2-2.UTlL1SA=T=lON DU NQMOGRAMME BE
- HOOVER
i Ca++
I /
K+ / 1.540 1 N03a--
GATIONS 1
1 Ca++ i
l&++
-- f
I minéralisation /
CaO=56g
7 eqg Ca0 = 5Ed2 = 28g
7 meq Cal = 28 mg
:“F Ca0 = 25/5 = 5,6 mg
* exoression de Aiç
On &ève à pa3ir de Ia valeur 0,9 de Taxe Alc / CaO, une vefiicale qui coupe la courbe de
température 30°C en un p&t qui csr~espond à celui que l’on cherche.
On fait gliâser hotizontaiement ie calque d’une fsçun telle que ie point reprbeniatjf
précédent vienne sur /a cwrbe de saturation tracée sur le graphe HD
A~rt+s avoir bien v&=#% k parfaite su;serpositPon des lignes harizsntates, on reporte SU~ le
calque fa droite de satcrratian du graphique I-XI.
g* CO?ma/*
Ce; total ~~t~f?spnd aL: Cc, ~SUS iOUtes ses formes, son ici CO2 libre et CO2 des
bicarbonates.Mxs connaissons Ci& libre = 30 mg, il convient de d&erminer le COT des
bicarbonates, ce qui petit se faire sc;it 3 ;a& dkn ca/cu/ simple, suit à partir du graphique
1-10.
77
* Rrocédé Dar calcul
HC03 =Mg
CO2 = 44 g
d’où
jCOztotai=30+63,65=73,65mcri/# 74ma/Ej
* mocédé c?rm%uue
On iit au dessus de /a liçne cerrespcndanf à ptf ,R.7 :lne %c,+eJ:e &X?, des
bicarbonates ~3 qui donne immédiatement les r&u.&ats Q’u cal& 3r&édent.
Il suB7t alors de prolonger la vertical’e gassant par 0: jusqu% cette ét,belle, on iit 44 mg.
Si l’on veua ramener une eau à !‘équib-e paf simple aération, ii fau: que /e CO2 dissout
soit égal au CO2 équiliDfant et dune que Je C& agressif soit é/imini+. Pwr ce faire on va
provoquer une évasion du CflL2 1’jbre ~‘usqu’d ce que CO3 A&re s& égai au C& &ui/&ant
On pourrait donc penser que Veau va spontanément se li&éEr de son CO1 jusqu’à ce que
la concentration de celui ci corresponde B ce qu’elle doif être pour une certaine
tempéra turc.
Ceci ne se vérifie cependant pas sur le plan pratique car des probl&mes de cinétique font
qu’on ne peut espérer descendre par aération au dessous d’une concentration en C&
dissout de l’ordre de 5 à 6 mgn !
Ce point C3 qui correspmd donc 2 6 mçlf de CrJ2 dissout, est encore situé en dessous de
pi
/a ,r&+e ce safur&~n : &mc Peau sera ~~~~OUIT agessive et if ne sera pas possible de /a
ramener d son équiiibre par aérat!ofl.
ori Ceut toutefuis pr&k3er qü e par a&ation le point repr&entatif de Yeau migrera de p, en
F,- et que sol? pH r@ei passera de 6; 5 à ?,ê.
4.5 n;g/t 1-egréseme !‘aJcaJinitt$ que devrait avoir /‘eau pour Qtre à J’&quiiibre, of son alcafinitk
p-P~ente est a’e 27,3 mg,4~ i mnvient donc de lui ajouter :
iü chaux utiksée i’étmt g&érale~vent sous fume de Ca/OH,12 ,chaux éteinte,, et non pas
SGus fOrme ~C?a0; cham vive if conv!er?t de faire ia con~~ersion :
7n
I”
*PH
* CO2 Iibre
CO2 = 70 mg,4
ôlx 70
HC&- = = 97mgn
44
Faisons glisse; le calque vers /a droite jusqu% ce que je point Pt vienne sur la courbe
K neutralisation calcaire n du graphique HD.
Reportons sur le calque le tronçon de cette courbe qui apparaît par transparence, entE ie
point PT et le point PS, celui ci représentant i’interseciion de /a courbe de neutralisation par
le ca&re avec la droite de saturation tracée sur le carque.
108 mg,7 représente i’akali2ité. exptimée en mg de CaCC& que devrait avoir I’eau pouf
êtfe à i@.Mx-e, or S~E zkaiit?ittS présente: su cet?e QcheUe, est de Oa,3 mgA> if convient
Pionc de iui ajuuter :
On ht aicfs CO2 libre = 5 mgA, valeur qui conaspond 4 celle du CQ2 équilibrant.
La différence entre ces deux vafeurs :ep&sente donc le CO2 agressif qui a été neuffalisé
par !e carbonate.
jco,gr@ssif - 30 L 5 - 25 m-ga
-
.
82
oua b3sl
eier
fi
26-0s98(15:00)
m-w
Eiéments fondamentaux
c Ca++ J
[COZaqj
[HC03-]
[CO3--1
.-
Eléments caractéristiques mg/i rnmoie/l /
- *--mm-
[Cl-] d- .5? 0 -13
[N03-1
p02-j 14.52
0.00 0 .23-
CF-3 0.00 0.00
[SO4--] 12.54 0.00
0.13
[PO4zj 1.57 r 0.02
NOUS obsemns que la concentration en CO2 aq, iaqudle correspond B ceJe du CO, libre
figure sur cette fiche alors que nous ne Pavions pas four-nie.
84
2 3 4
l’eau
* balance ioniwe
* HCO$’
* PH cictuilibrall t
On trouve pH = St24
87
t - -
pH = ?,9
(Ca*) = 0,870 mgA
(CO2 a@ = 0,038 mmdd suit 0,030 x 44 = 1,672 mgd
(HCOS ) = 1,540 mmoleA suif 1,540x 61 = 93, 94 mg//
. . ., .- ,‘. ..-_. .I_ . . . __ _. .-. .;.L..lï-,.m .:
89
CO, iibre 2:2 mg/!
HCOJ- 9 7 mg/?
COS-
pH eq 7, a
Si les résu/tats s&mbt&i;t assez voisins /es uns d&s autres CP se rend compte malgré tout
qu’une différ&nc& assez impotiantr, puisque de !‘ordYe de 20% s& <mar;if&sta &n ce qui
concerne la dose ak CA~UX ii ut~/&x
Ceci est du au fait que .%D c?w~& 3C mg,4 d& COS iYb:a, a/ws que flL n!&/i danne que
26,84, en conséquence ii faut bien 6.fid’emmenf d’avafltage d& chaux dan-a fe p~&mi&r cas
que dans le second.
Au niveau de I%pérat&ur ia question qui se pose &SI d& savalr quelk rs: /a bonne valeur
de chaux 4 adopter !
Indubitablement il conviendra d’adopter la seconde SO@celle donnée par PL car e//e tient
compte de /‘ensemble des paramétr&s qui int&rviennent dans l’t+qui%bre Ca/ca carbuniquet
notamment au niveau de la force ionique et donc des Constant&s apparwtes.
En effet on peut observer sur le graphe LPL représentant /‘eau fraifée que si Yon
augmente ia concent:ation en calcium, ceiui ci provenant de ia chaux, on ci@asse la
courbe de saturation ef /‘oanse trouve dans le domaine des eaux incrus$m@.
5-I. RESULTATSAATTE~DRE DE L'UTILISATION
DESDWERSESRESINES
_..__I.._. _.., ... .
93
SQLUT!QN
D’une façon partCm%re, ,;I faut signaler que /a prksence de fer et de martganèse dans /es
eaux, peut conduire SU& & k-w passage d des degrés dbxydatim sirpérieurs, à )a
formation de précipités au S&T? mêfle de /a cohm=îe.
Des pré traitements adapt& à chaque situation devrmt dons &re em~sagés,
Lors du passage sur une résine de ce type Ifeau khange ses ions @a” et Mg” cmtre
des ions Na’ par csnséquent el/e @sente en soioie de cuimne les” caractkist~ques
suivantes :
f2 28 30
‘-- / I I
G Y.2 28 30
5 Même ques~iun si un faîf Passer Pe;au oBtensre en (3) sur une résine
anionicwe faible fonctimnant en cycle hvdrumtle ?
Ces derniers se cozu3binerw+-4afec /es H’ présents pour réghiiïer de Yeau et l’on aura ::
0 30
.--
0 12 28 30
Puis
Une résine AF est capable d’&miner tous les anions pfésenfs dans Ïeau, qu’ils
proviennent d’acides fctis au faibies, par conséquen: on aura de J’eau entièrement
déminéralisée.
0 30
II faudra ramener ces eaux à yne minéralisatron convenable en les m&angeânt dans des
proportions données avec &s eaux n’ayant pas été soumises 4 Yaction des rhines.
En vue d’étuoier t’adsorption des mi cro DOilUZ%%3 par le charbon actif que l’on souhaite
utiliser, ori a &3iisf+ m certain i?smis.re de soiutions pou !esqueiles ia concentration
Maie en micro palluan?r, CG, varie de ? 2 256 ,y@{.
Chacune de ces sDtu;ions a 6th iie~ a~ ~ûnta~t du c;~s~o~-I jusquà ce qt.~e l’équilibre
soit atieint et Z’on 2 crlûrr mesuré ta concentration résidueUet Cr, des micro polluants pour
chaque solution.
Sous forme logatithmique on a -+ iog ,‘/pn = /og K f fi’r iog C,
Ce& équation est celle d’une droite et correspond 3 uf7e fonction du type y = ax + b
Par conséquent si l’on parvient A établir que kog J:?IY = f(log CT ) est eeectivement une
droite c’est que l’isotherme de FREUNBLICH s’applique au cas considéré, ce que nous
allons vérifier à partir des résuftats expkmentaux.
Nous a/ons donc porter dan s i’e tabieau ci dessus tous les élé.mer?ts qui nous sont
nécessaires aour tracer i’isotherma de F2F?EUNDLiCH.
Nota
Toutes les concentrations sont exprimées en mg/l, la valeur de ni est constante ef vaut
1QOQmg.
.._. . . : .. : .:., :. .,..
a. Détermination de K
logK=iegJ/m =-Y
On peut écrire .
[soitY/n=Ietn-71
log Cr = 0,25527
On va donc adsorber 0, ?58 mg de polluants par mg de charbon actif aut~ment dit pour
absorber les 16: 8 mg/? voulus 17faudra ;
1. Expiiq..iez pcwqi~cr Yélimination bu fer nkcessite qu’it sclit mis soîds forme Fe”
3. Expfiques pcurquoi la vitesse d’c;xydation du Fe* par /‘ctxygi;ne diminue au fur et à
mesure que la réaction avance. *
2. Donnez ia raison gour taqueile l’aération ne fournit pas toujours les résultats
escomptés
Le fer est an gén&al éiiminé par filtratiern après avoir tjtf+ pfécipité sous la forme gui se
prête fe mieux au but rechefchk. Ii faut aien évidemment que de précipité formé ait un
produit de soltibilifé qui soit Ie plus petit pussible.
Les précipités susceptibles Cie se fs::mer dans ia.5 eaux naturelies à partir du fer sont /es
suivants .*
C’est donc &ans !a combiriaisoi? ,Fk@3+ 9~ /e fer est e wGr?s soitibia et c’est sous cette
forme 9uil conviendra à ~tioti de f7tSiimi~e~Sce gui implique que ie fer suit oxyde à Yétat de
fe”
Ce diagramme m;anue 9~ &{CH), existe dans UT: dumaine qui conespand tr&s bien,
id
aux conditions de #-! at h=epotwk., t ~edcx .p,x+:‘ix renixdre dans les eaux naturelles.
Par ccnséquent ii suflra, si nécessaire de jouer modérément sur ces deux paramétras, /a
pH en le remontant par ajout de chaux, k? pOtent& rédax en faisant de meme par une
oxy&fjon; pour se .mettre dar?s les condifiens optimum de formatiw de JFe(Q&
Comme dans toute réaction, la vitesse diminue au fur et =7mesure du degré d’avancement
de ceffe réaction puisque les &astifs s’ils ne scnf pas renowelés voient leur concenfration
diminuer ; il en est ainsi pour {Fe ++) et pi& C’est donc là une premiére expikation logique.
Si Fe* est associé sous forme de cumpiexes avec de ia si,iice CU Ces acid.es htimiques. la
vitesse d’oxydation par Yoxygène s”en trouve tré,s s&+ieusement f&uife et il n’est pas
possible d’éliminer le fer dans les temps qui cGrreSponderTt 6 cem appliqués en général
dans une station de traitement
ENONCE
pH = 7,9
TAC = 20°F
1. Quelle est la concentration maximum en Fe” libre susceptibie d’exister dans cette
eau ?
2. Expliquez pourquoi la forte teneur en CO* des eaux souterraines peut entraîner
une forte concentration en Fe” libre
3. Pourquoi une augmentation même importante du TAC n’entraînera t’elle pas de
modification très sensible dans la concentration en Fe” libre
SOLimON
HC03- e H+ + COS-
CH+)(CG-)
avec K2 - = ~(J’O’3
(HC&-)
de KS ef K2 on tire :
KS U-f+)
Fe” = -, (3)
Kz (HCOJ-)
En convertissant le TAC en molefi ef en remplaçant les divers symboles par leur valeur on
obtient :
soit en mg/1
Pour une composition donnée d’une eau, une forte teneur en CO2 de celle ci conduit à un
faible pH donc à une valeur élevée de (H4).
.ie numérafeur de l’expression (3) augmente donc et il s’ensuit que (Fe*) fait de même
comme lR3US allons le montrer page suivante en prenant pH = 5
soit en rnM
I
!0,75.Ia”‘x SS.?# = 83,9 mg/I]
Reprenons le cas correspondant à /a question (1) et faisons le calcul avec TAC = 50°F
ENONCE
Selon ia façon dont on envisage l’association des anions dans Veau. notamment les
bicarbonates, avec les différents cations, les réaction d’oxytiation du fer et du manganèse
avec le chlore peuvent s’écrire de multiples façons.
5. Montrez que la chute de TAC observée lors de i’oxydation du Fe* ou du Mn”, par
! chlore est identique, pour chaque cas: quel!e que soit la réaction envisagée.
2 Fe* CD 2 Fe” + 2e
+Il +Ii1
Cl2 + 2e e 2 ct-
0 4
soit si l’on veut isitre apparaitre !e fer sous la forme qui précipitera :
* Cas du manaanèse
Mn* ~3 Mn-C + 2e
+II + JV
soit si I’on veut faire apparaitre le mahganése sous la forme qui prkipitera :
Les réacticns (f), (31, {S), (7) montrent que l’axydatisn de deux atomes de fer nécessite
tmjours la réductbn de 2 atomes de chlore, soit si f’on s’exptime en unit& de masse :
ZFe=2x56=712g
* dis~a-ition effective dans les équations précédentes des ions à I’oriaine du TAC,
soit les HCCQ
1On observe en reprenant les d,k~~as équations que i'oxyt%kw de deux Fe” conduit
toujours à i’élimination de 6 é9g d’aicalinife ef gue celle a’%n Mn” c=Qnduif eiie à
1;I’&iminafion de 4 é9g d’akaîinité.
* Cas de Fe++
* Cas de Mn”
On vient de montrer ,î: dessus que hxyda fion d’un Mn”, consommaif 4 eqg d’aîcalhifé.
MASSES A TOM/QUES
Masse Masse
Nom Symbole
aromique
:vom Symbole
atomique
Actinium 221AC :56Md
227,O Mendélévium 2561
A!uminium A.1 2698 Mercure HE 200.6
Amétic4um Id3 Am 243,1 Xf olybdène Mo 95,94
Aniimoine Sb 121.8 Yéodyme Nd !44,2
Argent ’ Ag 107.9 Xéon Ne 20,IS
.4 rgon .Ar 39,95 Veptünium 23’Np 23Ï,O
ArsPinic As 74.92 Nickel Ni 55.69
,Asta:e 2:0,4, Z!C,C Niobium Nb 92.21
Azcte N’ Id,01 Nnbéiium 259 NO 259.!
Baryum Ba 137.3 Or 2 137,O
Re:ke!iüm 2dlBk 247.1 Osmium 0: 190.2
Eéryftit2m Re 9,0!2 C?.~ygéne 0 16.00
Risrncnth Ri 2(!?.0 Pn!ladium PJ ! 06.4
ihre D !O,Pl Phi3SphOrt: P 30.97
Brome Br 79,YO P!atine Pt 195.1
Cadmium Cd il 2.4 Plomb Pb 2072
Calcium Ca 40,oa P!utonium 239 pu 239, i
232
C’ailiornium Cf 252.1 Poionium 210po
210,o
Cal-hOTIf! c i 2.0 1 Potassium K 39,io
CCrium ce 140,f Praséodvme Pr iQ9
Césium cs ! 32.9 Promét$ium *‘jPrn 144,9
Giore Cl 35.45 Protactinium ?31pa
23 1,0
Chrome c: 52.00 Radium jZ6 RZ 226,O
C,bai! CO 58.93 RAdOll 222 Rn -77
-AL,0
CUiVE CU 67,55 Rhénium 186.2
Curium 2J~Cm 247,: Rhodium RRh 102.0
fI?~SprOSiUtTl DY 162.5 Rubidium Rb 85,37
Einsielnicm 25: Es 757
L- L, 1 Ruthénium Ru 101,l
Erbium 167,3 Samarium Sm 150,4
É!hl ” 1!8,7 Scandium *SC 44.96
Europium Eu i 52,o Selenium St! 78,96 2 3
Fer Fe C5,85 Silicium Si 28,09
Fefmium 257F.m 25?,1 Sodium Na 22,99
Fluor F 19,OO Soufre S 32,07
Francium 213 Fr
223.0 Strontium Sr 87.42
Gadoiinium Cd !57,3 Tantale Ta 180,9
Galiium Ga 69,72 Technélium 99-l-C 98,91
Germanium Ge 72.59 k 3 Telhre 127.6
HdCKtl Hf 178s Terbium Fb 158,Y
Hélium He 4,003 Thallium TI 204.4
Hoimium Ho !64,9 Thorium T-h 232,0
Hydrogène l-3 1,008 Tlulium Tm 168,9
iridium In fi48 Titane -ri 47,885 3
10de 1 126.9 Tungstène W 183,9
iridium ir 192,2 Uranium U 238,o
Krypton Kr 83,80 Vanadium V 50,94
Lanthrnel L6 138.9 Xinan 131,3
Lawrencium 7a;OLr 260,l Ytterbium Yb 173,o
Lithium Li 6,941 2 2 Y ttrium Y 88,91
LuCCCium Lu 175,o Zinc Zn 65,39 I 2
Magnésium Me 24.31 Zirconium Zr 91.22
Mangakc MI1 54,94
MASSES MOiAIR.eS, COURANTES EN CHiMiE DES
EAUX ’ ’
fhnm0niu.m nitrate
- aitrite
- sulfate
Argent chlomre
Baym hydroxyde (EoLyte] -
- sulfate
- chhwe
-
CdCiWn carbonate
- hydroghcahmate
Chlor!!e
süifate
- -- i
Cuivre xdfate
-- Y--