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Le Temps

Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France


. Le Temps. 1893-06-27.

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BULLETIN DU JOUR avec la Russie sont rompues. L'Allemagne répond si contraire à la. bonne
dra à l'application du tarif maximum l'é- et qui trouble, à un si
gestion des affaires du pays,
haut degré, la confiance et le
vernement et la commission proposent de gager
avec les ressources de la dette flottante, ni de la
tembre pour quelques-unes, constituent un vé-
ritable gagne-pain. Cette période est aussi celle
tries privées en services publics nous n'accep-
russe par crédit, en arrêtant ou en suspendant toute entreprise- valeur des obligations à court terme émises par le terons jamais un socialisme qui prend le nivet-
lévation des droits d'entrée sur les céréales russes. toute amélioration; tout effort qui pour être commen, des vacances et du repos, non pas seulement lement par en bas pour la doctrine de l'égalité,
Lentement, sûrement, le recensement des Le nouveau Reichstag approuvera avec enthou- cés'ou continués ont besoin dêtre assurés des res- Trésor précïsèmeht'pour lé payement des garanties
d'intérêt antérieures à l'incorporation de cette dé- pour les mondains, qu'on peut ne pas trouver qui, au lieu de poursuivre la diffusiondela pro-
-suffragesse fait dans les circonscriptions alle- siasme cette guerre de tarifs avec la Russie. De ce sources nécessaires, pendant une durée suffisante. Par
pense au budget ordinaire, et venant à échéance en très intéressants,mais pour les universitaires,les priété individuelle, rêve de faire de l'Etat une
mandes qui ont procédé samedi au scrutin de là, l'œuvre de la prochaine législature
fait la situation de M. de Capcivlest. consolidée»-"*protnisBr*>u tout au moins considérablement aurait été com- Imt.gf&t1'8.ts. et les fonctionnaires. Ajoutez que,
affaiblie, 1894, pour une somme de 149,859,110 fr. 93 qui se* immense gamelle, qui abaisse l'horizon politi-
ballottage. Aujourd'hui, la Bavière, que la fête puisque, au lieu de demander des concessions, il car, si dès la première année il avait fallu se résigner ront prorogés. depuis quelques années, les parents français que au lieu de l'étendre à l'infini, et qui prêche
de la Nativité de saint Jean-Baptiste avait em- proposera des représailles contre la Russie et com- au régime des douzièmes provisoires, la difficulté, semblent mieux comprendre combien il est la lutte et la haine des classes. » Et ailleurs
blera ainsi les vœux des agrariens. dans les années suivantes, de préparer le budget et Le budget de 1894, conclut le rapporteur, ainsi dé-
pêchée de voter avant-hier, achèvera d'accom- de le soumettre aux Chambres, en temps utile, n'en gagé d'une partie des dépenses extraordinaires qu'il utile de faire « voir du pays » à leurs enfants, « Nous répudions, à l'heure actuelle, l'interna-

'
plir son devoir électoral.
Dans deux pu trois jours on aura donc des
renseignements définitifs sur la composition du
Reichstag. A en juger par les chiffres actueller
ment en notre possession, le caractère de cette
Madrid, 26 juin, 9 h. 30.
L'instruction de .l'affaire des anarchistes de Ma- Les
divise les inculpés en trois groupes les auteurs
eût pas permis le vote avant la fin de chaque exercice.

et complices de l'attentat contre la maison de M. Ca- mission


conséquences d'un pareil désordre sur la direction
drid est presque terminée. Le juge d'instruction montrées. n'ont pas besoin d'être indiquées, ni dé-
politique
Le projet de budget, tel que le propose la com-
eût été souhaitable, mais qu'il est vraimentimpossible
d'incorporer, cette année, se présente. encore avec un
équilibre infiniment plus-acceptable que celui de "tous
les budgets antérieurs à côté desquels figuraient des
budgets extraordinaires.
Si, en effet, on déduisait du total des dépenses -de ce
de les initier pratiquement à des langues, des
coutumes, des manières-de vivre différentes des
nôtres les voyages scolaires et d'excursions
vont se multipliant. Or, si l'on hésite à quitter
la campagne ou la mer pour venir voter, à plus
tionalisme, car la patrie ne sera grande que par
les réformes, et les réformes ne pourront elles-
mêmes aboutir que si la patrie demeure aimée
et indépendante. » •
On sait au moins à quoi s'en tenir, on voit où
assemblée se rapprochera assez sensiblement du budget s'élève,endépenses à 3,438,251 ,969 budget, la somme de 329,922,824 francs représentant les forte raison ne rentrera-t-on pas de Suisse.d'Al-
novas les auteurs et complices des' préparations francs en ne tenant pas compte d'une somme de 100 dépenses extraordinaires et- l'amortissement, on voit M. Maujan ne veut à aucun prix en venir: il
de. celui que nous avions cru pouvoir lui attri- d'explosifs dans le village Tetuan, près de Madrid, millions à avancer aux compagnies, en exécution qu'il suffirai; amplement pour faire face à toutes les lemàgne ou d'Ecosse. Enfin, n'oublions pas qu'à « ne consentira jamais à devenir le courtisan »
buer d'avance dans l'intervalle des deux tours où habitait Rmz enfin, les anarchistes accusés des conventionset qui ne. figurent en réalité pas au échéances et à tous les besoins, et qu'il. serait en excé- cette époque la chasse éloigne de leurs collèges d.u prétendu quatrième état; s'il se rencontre
descrutin. d'avoir pris part aux réunions et conciliabules à Te- budget. Ce chiffre considérable, le rapporteur le dent de recettes de plus de cent dix millions, Dans les
années suivantes, les obligations à court terme et les
électoraux un nombre respectable de fidèles. parfois avec des socialistes bon teint pour pré-
La majorité contre la loi militaire ou plu- tuan et à Madrid pour faire de la propagande et en- justifie en rappelant l'origine de ces dépenses, énu- insuffisances des comptes d'exploitation partielle une Bref, s'il n'est rien de plus légitime après plu- coniser des solutions communes, il a grand soin
tôt, car il faut être précis dans une matière qui mérant
trer en correspondance avec les anarchistes de pro- vre de lales résultats obtenus qui constituent l'œu- fois payées, cet excédent s'élèverait à plus de trois sieurs mois de labeurs continus, que cette ten- d'affirmer qu'à son sens ces dernièresne sont, à
va prêter à des arrangements et à des combi- République. cent dix millions, somme suffisante pour faire face, à dance de la classe moyenne à déserter le centre
vince. C'est surtout les événements de 1870 qui sont la la fois, aux incorporations prescrites par vos décisions aucun degré, « la préface du collectivisme », et
naisons sans nombre la majorité de ceux qui Hier soir, dans la cour de la maison d'un riche ca- cause de l'accroissement des dépenses les sommes et aux amortissements obligatoires. ordinaire de ses occupations, a se rafraîchir le que, si les unes, comme le régime des retraites
ne se sont pas prononcés a priori pour les pro- pitaliste de Séville, on a trouvé une bouteille entou- empruntées et payées pour les frais de la guerre et Ce budget ainsi établi, laisserait-il donc un avenir corps et l'esprit en prenant au loin quelques dis- pour la vieillesse, exigent l'intervention de l'Etat,
jets actuels du gouvernement, sera beaucoup inquiétant ? En aucune manière. Le produit d'une tractions et si cette tendance se manifeste pres- d'autres ne se rencontrerontque « par la seule
moins considérable que celle possédée par l'op- rée de fil de fer et contenant un liquide explosif avec la reconstitution de nos forces militaires s'élèvent à version prochaine que tout le monde escompte, ilcon-
une mèche de dix centimètres à moitié brûlée. 11 milliards 473 millions; et les crédits annuels af- vrai, pour la réalisation des projets les plus divers,
est que exclusivement durant les mois d'août et de action de l'initiative et de la liberté ».
position dans l'ancien Reichstag. D'autre part, fectés aux services de la guerre, de la marine et septembre, ne semble-t-il pas souverainement Il nous est plus difficile d'approuver M. Mau-
les éléments constitutifs de cette majorité diffé- Saint-Nazaire, 2 heures, soir. des colonies, de 516 millions en 1869, s'élèvent à procurera à nos budgets futurs l'élasticité dont ils au- illogique de choisir ces deux mois pour une
Ce matin, la plupart des déchargeursdu port se sont ront besoin, et ne peut servir qu'à cela;ilimporte de jan dans la partie positive de son programme.
reront notablement par l'accroissement du parti mis en grève. Ils réclament75 centimes par heure et la 974,547,974 pour 1894. le déclarer dès à présent. consultation décisiveà laquelle tout bon citoyen, Non, certes, que nous songions à contester le
socialiste et l'écrasementde l'ancien parti pro- journée de dix heures. Les grévistes ont empêché plu- 1869, s'élève des travaux
Le budget publics de 183,807,138 en On oublie trop peut-être,
des échéances dont nous en
effet, qu'en dehors même soucieux des intérêts du pays, a le devoir de moins du monde les multiples réformes dont
gressiste dont l'aile gauche ne comptera plus sieurs équipes de continuer le travail ils ont dételé les pour 1894 à 269,155,264 francs cette venons de parler et aux- prendre part? Ne dirait-on pas que l'on fait notre système d'impôts est susceptible pour
chevaux de plusieurs voitures le port, les quais et les augmentation de dépenses correspond à une aug- quelles il faudra faire face dans les exercices qui sui-
guère qu'une quinzaine de représentants et qui mentation sous la République de 22,777 kilomètres vront celui de 1894, en dehors des moins-valuesbud- exprès de contrecarrer des projets longuement réaliser plus de justice dans la répartition des
même, si ses deux tronçons se rejoignaient, n'at- bassins sont occupés par la troupe. gétaires qui peuvent se manifester, le prodait de cette caressés ou de forcer, en quelque sorte, toute
A deux heures, le maire a réuni les patrons dans son de chemin de fer; de 730 kilomètres de routes na- conversion a son emploi naturel et obligatoire dans charges publiques et donner au budget plus
teindrait même pas la moitié de son effectif
antérieur.
Ces deux faits sont d'une importance capitale
cabinet.
• > SaintrMihiel. 26 juin.
Ce matin a été exécuté le. nommé François Redt, con-
tionales, de 156,600 kilomètres de chemins vici-
naux.
Le service de l'agriculture n'existait pas avant
des charges qui sont en germe dans nos budgets et
que rien ne peut empêcher de naître et de se dévelop-
per. Les services de l'instruction publique, des pen-
une catégorie d'électeurs à l'abstention? Or, ces
électeurs, en raison même de lcur situation so-
ciale, ne sont ni les moins éclairés ni les moins
d'élasticité. Mais M. Maujan est l'auteur d'un
projet de réforme générale pour lequel il
éprouve une espèce d'aveuglement paternel.
pour le gouvernement. Il va de soi qu'il est pro- damné à mort par la cour d'assises de la Meuse, le 1870 les crédits qui lui étaient affectés ne dépas- sions militaires et civiles, des annuités à payer pour désireux d'accomplir sérieusementtoutes leurs
21 avril dernier, pour assassinat de deux vieillards, les saient pas 4 millions. Depuis, 400 établissements la construction des chemins de fer, des garanties d'in- Cet aveuglement le conduit tout d'abord à con-
portionnellement beaucoup plus facile d'enta- époux Brul, au mois de septembre 1892. térêt, sans parler d'autres, dont il est inutile d'exciter obligations civiques. sidérer comme vérités démontrées les détails
mer, voire de détruire une majorité qui ne d'enseignement agricole ont été créés; les services le zèle, constituent des causes certaines d'augmentation Et pourquoi vote-t-on en août ou en septem- les plus contestables de son œuvre et l'amène
(Service Bavas) sanitaires réorganisés, les associations agricoles
l'emporte plus que d'une quantité moindre sur Djeddah, 26 juin. de dépenses. bre ? Simplement parce que la dissolution de surtout à proclamer que le système actuel doit
ta minorité. La réduction probable de plus de encouragées, le service do l'hydraulique agricole
Il y a eu 450 cas de choléra hier à la Mecque. L'épi- constitué, celui des haras refondu et développé,et M. A. Dubost conclut en déclarant « Nous dé- 1877 a changé la date normale du renouvelle- être changé « radicalement et d'ensemble, non
cinquante à moins de trente voix de la différence démie augmente considérablement.
ce budget s'est élevé à 28,952,540 francs. pensons trop! » Et il demande que ce soit dans les ment de la Chambre. Antérieurement les élec- par petits paquets,sans méthode et quelque peu
numériqueMies ministériels et de l'opposition plus-values, prudemment calculées, que seulement
facilitera donc la tâche du chancelier de Caprivi.
De plus, le contact trop direct des socialistes
DERNIÈRE HEURE Il serait sunerflu de rappeler la sollicitude dont
l'enseignement public, à tous les degrés, a été l'ob-
jet depuis 1878, etles résultats obtenus 600,000 en-
on cherchedes ressources, soit pour faire face aux
intérêts et à l'amortissement des emprunts néces-
tions générales avaient toujours lieu chez nous,
comme d'ailleurs chez la plupart de nos voisins,
dans le premier semestre. N'est-il -pas clair, en
au hasard ». Nous accordons volontiers qu'il
faut de la méthode, et beaucoup, dans la prépa-
ration et dans l'exécution d'une aussi vaste en-
renforcés pourrait bien exercer une influence Le président de la République offrira le mardi 11 fants qui ne recevaient, jusque-là, aucune instruc- saires, soit polir accroître les services. Mais le rap- effet, que le printemps, la période comprise
assagissante sur le centre qui ne se soucie pas juillet, à l'occasion de la revue du 14, un grand dî- tion, sont élevés dans les écoles nouvelles ou re- porteur général estime que, pour connaître l'impor- treprise fiscale. Ce serait,' toutefois, en manquer
tance des plus-values de recettes, il ne faut pas les entre avril et juin, est celle qui convient le totalement que de l'opérer par les voies « radi-
ner militaire, aux officiers, généraux qui doivent construites les étudiants de nos Facultés, qui
trop de se solidariser outre mesure avec ce
trop puissant parti. prendre part à la revue..
La date du départ de M. Carnot pour Marly a été
étaient au nombre de 6,270 en 1876, sont aujour-
d'hui 24,385. La dépensetotale de la réorganisation
calculer sur la moyenne des cinq dernières années
comme on l'a fait adopter, mais sur les dix der-
mieux pour une grande consultation nationale?
C'est le temps du renouveau où tes esprits et
cales ». Qui peut songer, sur des calculs hypo-
thétiques, à remanier de fond en comble les re-
On peut donc prévoir, sans grand risque de arrêtée ce matin. Le président partira jeudi pro de ce grand service, faite ou avancée par l'Etat, est nières. les cœurs se mettent volontiers à. l'unisson de cettes du Trésor, lorsque celui-ci a à faire face
se tromper, que le nouveau Reichstag sera avant chain. Le colonel Chamoin s'est rendu aujourd'hui de 556 millions; et le budget, annuel, de 25 millions l'allégresse de la nature après, il fera trop aux énormes dépenses qui lui incombent? Qui
tout un lieu de négociations, de marchandages, à Marly pour surveiller l'aménagement du châteu en 1869, s'élève à 190,091,055francs pour 1894. DERNIÈRES NOUVELLES DU PALAIS chaud où trop brumeux des grêles, des orages oserait, de propos délibéré et d'un trait de
1 de compromis. La grande pièce s'y jouera sur- « Mes. Délices » que doit habiter }e président de la Le rapporteurénumère ensuite les œuvres si nom- pourront compromettre les récoltes; les élec- 'plume, biffer les impôts existants pour leur en
tout dans la coulisse. Au lieu d'une opposition République. breuses de solidarité sociales qui. se sont dévelop- tions risqueront de survenir au milieu des dé-
pées depuis la République. Il est difficile de faire le Les papiers de Zawicki substituer de nouveaux, dont ni l'assiette n'aurait
inspirée et dirigée par M. Richter, c'est-à-dire ceptions et des découragements n'est-il pas à été éprouvée ni le rendement vérifié? M. Mau-
Le général Riu a été admis à la pension de re- compte exact de toutes les dépenses éparses dans
par un homme dont on méconnaît à l'heure ac- traite, par décret on date du 23 juin. Ainsi que nous le disons dans nos tribunaux, la craindre que la Chambre future ne se ressente jan a du bon sens et du courage lorsqu'il dit
tuelle, sous la première impressionde la défaite, nos budgets dont ces lois sont l'origine les seules huitième chambre correctionnelle s'occupe de la un peu de l'astre maussade sous lequel elle
les mérites réels et le talent vigoureux, mais qui On sait que le général Riu, dont le nom avait été dépenses relatives aux ouvriers de chemins de fer poursuite intentée à MM. Zimmor et Jullien, inculpés que « la politique des dégrèvements est forcé-
prononcé à propos d'une réunion tenue à Neuilly et atteindront annuellement près de 8 millions; celles aura vu le jour? Il n'est rien de tel, pour avoir ment des plus limitées». 11 en manifesterait
est par dessus toute chose un homme de lutte, dans laquelle il avait pris la parole, a domandé sa d'assistance so sont relevées graduellement de de bris de scellés.
Dans leur interrogatoire, très court du reste, les de bonnes. élections, que d'avoir des électeurs plus encore s'il avouait du même coup qu'il
de tribune, de parole publique et de principes à mise à la retraite par anticipation. 12 millions à 45 millions par an. deux jeunes gens, l'un étudiant en droit de deuxième de bonne humeur. n'est pas possible de porter la hache sur le mé-
arête nette adaptés à cette action oratoire, on Enfin, si on récapitule les principales dépenses année, l'autro « étudiant à à l'école des beaux-arts, Or, si l'on veut rétablir les choses dans l'ordre canisme fiscal tout entier et que les Chambres
aura un groupe mené par les diplomates du cen- Le conseil général des Facultés et École de phar- extraordinaires auxquelles il a été procédé depuis protestent avec énergie contro l'inculpation dont rationnel, il n'est nullement nécessaire de re- républicaines n'auront pas failli à leur mission
tre qui n'ont point oublié les leçons de Windt- 1870 (guerre, travaux publics, instruction publique, courir à une dissolution il suffit qu'une loi rac-
macie de Paris s'est réuni, ce matin, en Sorbonne, etc.) on obtient un total de 17,863 millions, qui re- ils sont l'objet. Ils affirment n'avoir pas brisé l'un tant que chaque année apportera son contingent
horst et qui savent mieux que pas représen- sous la présidence de M. le recteur Gréard. des scellés apposés sur la porte de la chambre do courcisse ou prolonge de quelques mois la du- d'améliorations prudentes et efficaces.
tant des intérêts purement laïques un mettre le re- Il a décidé de faire l'échange de ses publications présente à 757 millions près l'augmentation de notre
dette et explique pourquoi la somme annuelle né- Zawicki par les soins du consul général de Russie. rée d'une législature. Et cette loi, rien n'empê-
latif au service de l'absolu. avec celles de l'Institut impérial de Saint-Péters- cessaire pour assurer le service de la Dette publiaue S'ils sont venus dans la maison, s'ils ont, le plus che de la faire dès à présent: bien plus, il faut
Dans l'état des questions et des partis, il n'est bourg qui met à sa disposition les Archives des tranquillement du monde, gravi six étages, c'était
guère à prévoir qu'une majorité de cartel, une sciences biologiquesen français est passé de 594 millions, en 1869, à 1,284 millions, non point pour briser des scellés, mais pour voir si
qu'on la fasse maintenantsous peine de s'expo- LA PERTE DU « VICTORIA »
Il a pris connaissance de l'invitation qui lui a été en 1894. les scellés du consul et du juge de paix de l'arron- ser, dans quatre ans, aux mêmes embarras et
coalition fixe puisse s'établir: suivant toutes adressée pour les fêtes qui doivent avoir lieu à Na- dissement n'avaient pas été touchés. aux mêmes réclamations. En effet, selon toute
les vraisemblances, M. de Caprivi visera à ob- Le rapporteur général rappelle que la République vraisemblance, la Chambre prochaine ne vou- On télégraphie de Tripoli de Syrie au Times quo
ples, le 29 juin courant, on l'honneur de Francesco Ils avaient intérêt à faire cette constatation, car
tenir et il ne sera pas à plaindre s'il y réussit de Sanctis. ne s'est pas contentée de développer tous les servi- le soir même avait lieu le meeting organisé par eux dra pas abréger et n'osera pas allonger la durée la collision du Victoria et du Camverdown a eu lieu
une majorité d'équilibre instable, une coali- Il a voté à l'unanimité le maintien de la chaire de ces publics elle a tenu à incorporer dans le budget et dans lequel une protestation devait être votée normale de son mandat. Une réforme de ce à 3 h. 41 de l'après-midi, à 95 milles do Tripoli.
général les dépenses extraordinaires ou hors bud- a mer était parfaitement calme.
tion à double assiette où tantôt un groupe et clinique de pathologie interne, vacante à la Faculté get jusqu'alors couvertes par des emprunts; et ces contre l'arrêt rendu le lor juin par la première cham- genre ne peut être réalisée que par des députés
1
D'après les dernières nouvelles, 22 officiers et 348
tantôt l'autre viendraformer l'appoint du noyau de médecine, par suite du décès de M. le professeur dépenses étaient énormes, puisque, en 1884, le bud- bre de la Cour, arrêt aux termes duquel « le consul qui n'auront ni à en souffrir, ni à en bénéficier. hommes auraient péri dans la catastrophe du Vic-
permanent. Cette solution rendrait fort proba- Peter. get ordinaire s'élevait à 3,116,559,084 francs, et le général de Russie avait seul qualité à l'exclusion Pourquoi,dèslors,nedéciderait-onpas, ces jours- toria. Le vaisseau ne contenait pas le contingent
ble le vote de la loi militaire, sinon spécifique- Il a nommé la commission chargée d e préparer budget extraordinairerégulier à 416,781,288francs. des héritiers ou légataires, pour assister par lui- ci, que la nouvelle législature durera trois ans et d'hommes que l'on avait supposé tout d'abord.
ment sous la forme de l'amendementHuene, du l'avant-projet du budget des Facultés pour l'an- Pour réaliser l'unité budgétaire sans imposer au même ou ses représentants aux opérations de la
moins avec quelques nouvelles modifications née 1895. 0
Il a demandé à MM. les doyens da^dresser, autant pays des charges nouvelles, il était indispensable levée des scellés et de l'inventaire, et que c'était à
lui que devaient être remis toutes les valeurs mo-
demi ou quatre ans etdemiau lieu dequatreans?
L'occasion s'offrirait tout naturellement à pro- Le commandant Le Clerc, attaché naval à l'am-
destinées à ménager l'amour-propre et la con- d'exiger des économies et des réductions dans le
qu'ils le ^peuvent, dès ce moment, le tableau des budget ordinaire on n'a pas hésité, et de 1883 à bilières de Zawicki, y compris les titres, valeurs, pos du projet de remaniement des circonscrip- bassade de France à Londres, vient d'adresser le té-
sistance apparente des néophytes dont le chan- cours et conférences, en vue de l'année scolaire 1892 on a rendu ainsi libre, dans le budget ordi- papiers et testament s'il en existait » tions électorales, actuellement soumis au vote légramme suivant au ministre de la marine, trans-
celier ne saurait se passer à cet effet. 1893-1894. naire, une somme de 265,734,809 francs. X'œuvre fis redescendaient, quand ils rencontrèrent au du Sénat il suffirait d'introduire un amende- mis par lord Spencer, premier lord de l'amirauté
Seulement il ne faut pas se dissimuler qu'une Il rappelle aux intéressés que les demandes en des incorporations ne fut commencée qu'en 1886, et cinquième ou au quatrième étage leurs souve- ment que la Chambre adopterait ensuite. De Je viens de recevoir le télégramme que vous venez
fois le cap de l'augmentation de l'ettectif du autorisation de cours libres doivent être déposées depuis on no s'est pas arrêté. Successivement fu- nirs ne sont pas très précis sur ce point les cette façon les désagréments que nous avons
avant:le JL°.r juillet de chaque année pour les cours agents chargés de veiller sur les scellés, et qui, de transmettre à l'amirauté de la part du ministre de
pied de paix doublé, il surgira immédiatement rent incorporés les pensions de la marine, les bud- exposés se produiraient, cette année, pour la la marine française.
du 1" semestre de l'année scolaire suiyante, et gets extraordinaires des travaux publics, de la ma- avant de les conduire'au commissariat de police,
une difficultépeut-être plus grave encore et dont avant le 1er février pour ceux du 2° semestre. rine, de la guerre, les garanties d'intérêt, le budget les obligèrent à remonter au sixième.. dernière fois et l'on aurait, dans l'avenir, des Je remercié le ministre de la marine et la marina
on ne discerne pas encore très bien comment le Ils restèrent, ajoutent-ils, un moment seuls sur le consultations du suffrage universel plus com- française de la chaude sympathie qu'il a exprimée en
gouvernementse pourra tirer. C'est de la ques- sur ressources spéciales, les téléphones; enfin, en palier, tandis que le sous-brigadier Duval, se déta- modes, plus sincères et plus complètes. son nom et au nom de la marine française au sujet da
tion financière, de celle des voies et moyens que M. Delcassé, sous-secrétaire d'Etat des colonies, 1894, on propose de substituer au septième des an- ji la perte cruelle que la reine et la nation ont éprouvé»
nuités à accorder aux villes et communes pour les chant du groupe; s'approcha seul de la chambre de
nous entendons parler. Le chancelier a fait an- a reçu ce matin le prince cambodgienDuong-Chack, Zawicki. Ils entendirent alors, affirment-ils, un dans la Méditerranée.
lycées et écoles, des subventions en capitalportées

'
qui lui a été présenté par M. le comte de Pontbellan- bruit sec, puis aussitôt le sous-brigadier Duval
noncer officieusement qu'il ne persisterait pas à
demanderles ressourcesindispensables aux im- ger, consul de France à Bangkok, où ce prince, fila
du roi Norodon, s'est réfugié, il y a deux ans, à la
en dépenses au budget de l'instruction publique.
Ces incorporations successives représentent, s'écria: « L'un des scellés a été brisé I » >
UN NOUVEAU PARTI r.~ ,r AFFAIRES COLONIALES
pôts sur les trois b (bière, bourse, brandwein ou suite de dissentiments avec son père. budget de 1894, un total de 374,060,613 francs. au MM. Zimmer et Jullien protestent donc contre
l'inculpation dirigée contre eux. S'ils avaient eu
alcool) dont la proposition avait été si impopu- Il ne reste plus à liquider que les comptes sui- On parlait depuis quelques jours de la fonda-
laire. On ne sait à quelle matière imposable il vants 1° Suppléments de pensions militaires re- l'intention de pénétrer dans là c hambre de Zawicki, tion, en prévision des prochaines élections, d'un
Le ministre de l'agriculturevient d'adresser il leur aurait fallu non seulement briser tous les • Indo-Chine
pourra s'adresser sans provoquer des résistan- professeurs d'agriculture une longue circulaireaux sur
présentés par une annuité qui figure au budget du
ministère des finances 9,325,000 fr.; 2° reboisement scellés apposés par le consul général de Russie, nouveau groupe, qui, sous l'étiquette de « radi-
M. de Lanessan a transmis à M. Delcassé le ré'
ces que la coalition des intérêts menacés ren- tes moyens de parer, pour l'élevageg du bétail, à l'in- mais encore les scellés du juge de paix de l'arron- cal » ou toute autre dénomination analogue, se
drait aisément formidables. suffisance des fourrages. des montagnes, représenté également par une an- dissement. Il leur aurait fallu encore forcer les deux proposait de prendre place à la droite de MM. sumé du rapport que M. Luce, résident à Vinh, lui
11 leur recommande notammentde faire ressortir
nuité inscrite au même budget, 627,416 fr.; 3° pro- cadenasqui maintenaient la porte fermée, et ils n'a- Goblet et Millerand et à la gauche de M. Jon- a fait sur la trahison de Keng-Kion. Voici le texte
Or, il ne faut pas oublier que la composition priété individuelle en Algérie, couvert par des cen-
du Reichstag, même quand cette assemblée l'erreur dé ceux qui achètent le foin à plus de 100 fr. times additionnels sur les communes intéressées vaient sur eux aucun des instrument nécessaires à nart. C'est apparemment pour exposer le pro- du télégramme du gouverneur général de l'Inde»
vient de se retremper dans le suffrage populaire, les 1,000 kilogrammes, quand les grains, les tour- 4° défense de Calais, 7,694,528; 5° budget de garan- cette opération. gramme de ce groupe que M. Maujan s'est Chine 1
teaux et autres résidus industriels tels que drêches, Ajoutons que les renseignementsfournis sur le rendu hier à Reims, et nous avouons en toute Haïphong, 25 juin.
ne correspond nullement avec une exactitude pulpes, etc., peuvent donner l'équivalent en nourri- tic des chemins de fer d'intérêt local et tramways, compte des deux jeunes gens, dont l'un, M. Jullien, Le résident Luce vient d'arriver. Il m'a confirmé
mathématique à la force proportionnelle des représenté par une annuité au ministère des tra- franchise que le discours prononcé dans la
ture à un prix moindre. vingt ans, est accompagné de son père, cité comme Marne par le député de la Seine nous a procuré tous les renseignements et toutes les appréciations
partis dans le corps électoral et qu'il y a, par M. Viger donne de nombreux détails sur la com- vaux publics; 6° le compte des travaux exécutés civilement responsable, sont dos meilleurs. que je vous avais télégraphiés d'après. lui relati-
conséquent, toujours à craindre le déchaîne- position des rations qu'il y aurait lieu do recom- par les compagnies de chemins de fer, fixé pour Les témoignages entendus, ceux des agents, sont une vive satisfaction. Sans doute, M. Maujan a vement à l'assassinat de l'inspecteur Grosgurin et
1894 à 100 millions, soit au total 117,646,944 francs. sacrifié au dieu du jour il prétend s'intituler
ment soudain de grands courants d'opinion. mander, ainsi que sur leurs prix comparatifs. En réalité, le seul compte des travaux de chemin en contrad iction formelle avec les déclarations fai- au massacre de son escorte. Voici comment les
Par un curieux effet du découpage des circon- Un exemplaire de cette circulaire affiché tes par les deux inculpés. Le sous-brigadier Duval « républicain socialiste ». Mais le sacrifice est faits se sont passés
scriptions, les partis n'obtiennent nullement dans toutes les communes de France. sera de fer reste en dehors du budget; et c'est une dé-
est particulièrement afnrmatif. L'un des scellés était seulement pour la forme, et, quand on suit l'ora- En abandonnant son poste de Cammon, le man-
pense destinée à se reproduire pendant un nombre brisé quand il s'est approché de la porte. Il n'a pu teur dans ses déductions, on s'aperçoit bien vite darin siamois remit à M. Luce une lettre où il disait
une représentationle moins du monde dans d'années indéterminé, les travaux restant à exécu-
rapport mathématiqueavec leur effectif réel.un DÉPÊCHES DE LA CHAMBRE ter en vertu des conventions s'élevantà 1,070,891,000 être brisé que par les jeunes gens.
Après quelques mots do M. le substitut Selig-
que sa préoccupation dominante est, tout au en substance « Puisque je suis obligé de quitter ce
poste, je vous le remets ainsi que tout son terri-
Pour ne citer que quelques exemples de ces francs. contraire, de rompre nettement en visière aux
M. Antonin Dubost estime, d'ailleurs, qu'on a man, qui réclame l'application de la loi, la matéria- partis dont M. Goblet cherche, dans le même toiri-, et, plus tard, nos deux gouvernements déci-
anomalies, on a vu, au dernier Reichstag, les Le rapport général sur le budget de 1894 lité du délit lui paraissant indiscutable, la parole est deront, d'après les cartes, à qui doit appartenir le
socialistes, avec 1,500,000 voix, n'avoir que On a distribué, aujourd'hui, le rapport général de procédé à l'ceuvro d'incorporation « avec un peu temps, à s'assurer la clientèle.
trop de hâte et sans la proportionner suffisamment donnée aux défenseurs des prévenus, M" Clunet
A peine est-il besoin de louer M. Maujan de pays. » M. Luce fit réunir, lui-même, les éléphants
trente-six députés, tandis que le centre, avec le M. Antonin Dubost sur le budget de 1894.
aux ressources normales dont on pouvait disposer» et Raymond Daly. nécessaires pour transporter le mandarin siamois et
même chiffre, en avait cent et que les conser- Le rapporteur général jette d'abord un rapide n'avoir parlé ni de séparation de l'Eglise et de ses bagages et annonça à ce dernier qu'il lui donne»
coup d'œil sur l'ensemble du budget de 1894 qui, et que c'est cela « la cause véritable qui rend diffi- Le procès de la Loïe Fuller l'Etat, ni sauf peut-être pour un avenir très rait une escorte de vingt hommes, commandée par
vateurs, avec moins de la moitié de ces suffra- dit-il, « sans doute, ne contient aucune grande in- cile l'établissement du budget do 1894. Il déclare La 5e chambre civile vient, après plaidoiries, de
ges, obtenaient le double de représentants. que, notamment, l'incorporation à la fin de la tota- lointain et très indéterminé de revision do la l'inspecteur Grosgurin, pour le protéger contre la
Dans le nouveau Reichstag, les progressistes, novation, aucune réforme profonde, aucune har- lité des garanties d'intérêt et du produit de l'insuf- renvoyer à huitaine son jugement dans le procès Constitution ce sont là revendications si vaines vengeance des habitants,dont il était détesté.
diesse, mais complète une série de mesures inau- intenté à la Loïe Fuller, la créatrice de la danse ser- et si nuageusesqu'aucun homme politique ayant Pendant les deux premiers jours do la route, la
qui n'ont perdu que 200,000 voix sur 1890, et gurées depuis quelques années et destinées à faire fisance des comptes'd'exploitationpartielle jusque-là pentine, par la direction du Cirque de Saint-Péters- conduite du mandarin siamois fut convenable.Mais,
ont encore près d'un million, perdent plus en porté au compte de l'établissement des compagnies, 0-
gppour non exécution d'engagement. le souci d'apporter de la clarté dans la lutte élec-

à
de la lumière dans des comptes que leur complexité bourg, l'inspecteur Grosgurin ayant été obligé de s'arrêter
trente sièges, et n'auront pas le tiers de la re- rendait souvent obscurs et confus, à placer sous -« on a chargé le budget de 1894 de sommes que ses torale ne songe plus à s'y attarder. Par contre, et de s'aliter, en proie à un accès pernicieux très
présentation des conservateurs, qui n'atteignent vos yeux la totalité des dépenses publiques et des ressources normales ne lui permettent ppas de sup- p il n'était pas inutile de dire, et de dire avec pré- grave, le mandarin commença à menacer les habi-
charges des contribuables et à fournir ainsi à tous porter ». cision, que, si sympathique soit-on à la cause tants de réprésailles et écrivit ensuite au gouver-
pas beaucoup plus de .la moitié de leurs suf- le moyen d'avoir une vue claire de notre situation LA DATE DES ÉLECTIONS des travailleurs, il est des principes que l'on ré-
frages. financière ». Et il ajoute Nous avons dit que la commission du budget a neur siamois d'Houténe, sur la rive droitemonde
du Mé-
fixé les dépenses pour 1894 à 3.438.251.969 fr. prouve catégoriquement, des aspirations aux- kong, le pressant de venir avec tout son à
DÉPÊCHES TÉLÉGRAPHIQUES On critiquera, peut-être, les moyens à l'aide desquels Elle fixe les recettes 3.438.926.876 On a vu que M. Dupuy, sénateur des Hautes- quelles on ne s'associera jamais. Rien de plus Keng-Kien pour le délivrer.
l'équilibre de ce budget a été obtenu. Sans doute, il eût D'où un excédent de recettes de 674.907 Pyrénées, s'était fait l'interprète des doléances formel à cet égard que les déclarations de M. Quelque temps après, l'inspecteur Grosgurin
DES CORRESPONDANTS PARTICULIERS DU Temps
été plus facile de l'établir et de le discuter quand la
Mais le budget ainsi réglé de plusieurs villes d'eaux, au sujet de la date Maujan « Nous ne saurions, dit-il, admettre la étant toujours malade dans une paijlotte laotienne,
tient compte ni de
Berlin, 26 juin, 11 heures.
ressource importante qui en est en réalité la base, au
rait été dégagée. Mais tout ajournement eût été à la la somme de 50,807,000 francsnemontant des arriérés probable des élections générales. Il est certain, formule embrumée, utopique et dangereuse du une troupe do 200 Siamois armés arriva de Houtène.
Le mandarin siamois, suivi de trois officiers do cette
Les négociations au sujet du traité de commerce fois une faute financière et une faute politique. Il im- dus depuis la suppression des comdtes d'exploita- en effet, que le mois d'août, pour la plupart des communisme; nous ne saurions admettre la troupe, demanda à Grosgurin un entretien. Les mi-
pliquait le retour au régime des douzièmesprovisoires, tion partielle à la Compagnie P.-L.-M., que le gou- villes d'eaux, et la première quinzaine de sep- transformationsuccessive de toutes les indus- liciens de l'escorte voulurent prendre leurs armes

FEUILLETON DU ©tfîipB certaine fierté, qui fit merveille, qu'il était clerc Bientôt ce fut M. Durand qui le pria de Le bureau suspect de cet avoué déchu prit pas de placement d'argent. J'ai une fille. Elle a infiniment poli. Eh quoi? si on lui avait confié
27 JUIN 1893 chez un avoué, qu'il gagnait sa vie, qu'il espé- faire valoir une dizaine de mille francs. La une meilleure tournure. Sosthènes, résolument, dix-sept ans et elle est adorable. Je l'ai fait des fonds, ce n'était pas, il le pensait du moins,

NÉMÉSIS
DU [2J rait bientôt un avancement. Les vieux Durand, réputation d'habileté que le «petit cousin » ac- refusa certaines négociations par trop sales. élever dans une petite pension de province.
t^–
de plus en plus contents de leur petit cousin, quit en quelques années lui valut une véritable Il comptait succéder à son patron et tenait à
pour en faire un placement de père de famille,
Elle sait vaguement que j'appartiens au théâtre, pour acheter du 3 0/0. Ce n'est pas malin d'a-
l'invitèrent à dîner. Bientôt, il fut de règle que clientèle de quartier. Il s'habilla mieux, par-la trouver une succession à peu près décente. Il mais voilà tout. Jamais elle ne vient chez moi. cheter de la rente. On aurait pu le faire sans
son couvert fût mis tous les dimanches. Jamais un peu plus haut, avec une assurance crois- devait beaucoup à ce vieux débauché, qui lui Je vais la voir, en cachette, et je l'adore. Je s'adresser à lui.. Lorsque l'on joue, on perd
il ne demanda un secours d'aucune sorte. sante, restant cependant d'une politesse scru- avait appris tous les tours de son sac, et il y en
Dès qu'il eut économisé, sou par sou, une veux que ma fille soit heureuse.Je veux qu'elle quelquefois. Dans le jeu, il y a de l'aléa, beau-
centaine de francs, Sosthènes les risqua. Il
puleuse, d'une courtoisie, envers les vieilles
femmes surtout, qui faisaient dire à tous, à
avait! se marie, qu'elle soit une honnête femme. C'est coup d'aléa. Il était désolé. Cette fois la rouge
Parmi les clients de l'étude se trouvaient plu- drôle, n'est-ce pas?7 Eh bien, c'est comme était sortie, tandis qu'il avait parié sur la noire.
Son maître renvoya à une école du soir pour s'était lié avec un petit coulissier, très adroit, toutes plus encore « Quel charmant jeune sieurs femmes galantes plus ou moins en vue, cela. Je lui donne cent mille francs, plus s'il le L'enjeu était perdu. Qu'y faire?.
y apprendre la comptabilité, la tenue des livres. qui lui donnait des conseils. Il doubla ses cent homme que le petit cousin des Durand Et si entre autres une certaine Alice Tronchais, se faut. Il n'y a rien que je ne fasse pour ma petite
Là, Sosthènes se montra élève tout a fait remar- francs. D'une façon ou d'une autre, beaucoup da
bien élevé! » disant artiste dramatique, figurante dans les Juliette. pièces d'or restaient collées à la main blanche
quable. Gaiement, un jour, à dîner chez les Durand, Une chose qui s'ébruita confirma la bonne féeries surtout, très belle personne et qui, Des larmes perlaient dans les beaux yeux et soignée de Sosthènes de Miéris: Les opéra-
Sur ces entrefaites, la malheureuseMme De- il raconta la chose, en ajoutant négligeam- réputation de Sosthènes. Parmi les amies de certes, n'avait pas gagné son petit hôtel et ses d'Alice Tronchais. Ce n'était plus une fille ga- tions s'agrandirent.Il eut bientôt sa spécialité
miéris mourut. Ses quelques meubles suffirent ment diamants uniquement avec les appointements
à peine à payer son enterrement. Mme Durand se trouvaient deux sœurs, vieilles
Le tout est d'avoir du flair. Or, j'ai du filles, qui végétaient
lante qui parlait: c'était une mère, tout bonne- dans le monde des affaires. Il patronnait de
L'enfant, seul dans la vie, respira plus libre- flair. à grand'peine, n'ayant que lui donnait son directeur. Mais celle-ci ment. nouvelles découvertes, s'intéressait à des che-
ment. 11 n'avait pas beaucoup aimé sa mère et Lorsque le valet de chambre lui remit son pour vivre qu'une toute petite rente, et tout avait cependant de la tenue, de bonnes ma- En un instant, le parti de Sosthènes fut pris. mins de fer lointains, disait merveilles de
le monde sait que les rentes sur l'Etat baissent, nières et s'habillait remarquablement bien. Il Il épouserait la fille et écarterait la mère. Ce- mines d'or et d'argent au beau milieu des mon-
n'avait pas été beaucoup aimé d'elle. La misère, paletot, le soir, il lui dit mystérieusement n'y avait chez elle qu'un seul manque de goût
arrivée à un certain degré, étouffe jusqu'aux Monsieur Sosthènes (tout le monde chez baissent
taient
toujours. Les deux vieilles filles n'é-
elle aimait trop les parfums. Le vieux Des-
pendant, ce fut encore d'un ton assez froid tagnes Rocheuses. Personne comme lui ne
sentiments naturels. Le petit orphelin ne cher- les Durand l'appelait ainsi), j'ai quelques pe- Durandpas sans inquiétude sur l'avenir. Mme qu'il dit s'entendait à lancer une spéculation nouvelle.
parla de cette situation intéressante à touches lui avait été souvent d'une grande Nous ne tenons pas une agence matrimo- Puis, la spéculation lancée, il vendait, il faisait
cha nullement à se rapprocher de sa famille tites économies la cuisinière aussi. Nous avons jeune cousin. Il en fut ému. Il prit les utilité. Elle le mettait à toutes les sauces pos- niale ici, madame.
son vendre surtout, se tenant à l'ombre. II maniait
maternelle, se disant, dans sa sagesse précoce,
que, plus tard, ces anciens quincailliers pour-
pensé.
Que je pourrais vous les doubler? C'est
valeurs que, d'une main tremblante, l'aînée des
lui confia.
sibles. Il avait même traité de la question d'ar-
gent avec un certain grand seigneur russe.
Ta! ta ta! Pour une bonne commission,
le père Destouches me trouverait un mari à
la presse financière en artiste. Il avait beau-
raient lui être à charge. Les anciens quincailliers, que, vous savez, on ne réussit pas à tout coup. sœurs coup d'entregent, se faisait bien voir partout,
Ayez foi en moi. Vous ne vous en repen- Alice, femme d'ordre, répugnait cependant à moi-même si je l'en priais! éternellement courtois, charmant, beau par-
de leur côté, ne demandaient qu'à oublier le Et si je vous les perdais?. débattre des chiffres. Depuis, il lui avait donné leur. Avec cela, très modeste.
petit saute-ruisseau. Jean se gratta la tête. tirez pas.
Six mois plus tard, il rapporta la petite for- de fort bons conseils pour des placements de Six mois plus tard, le père Destouches avait Les cent cinquante mille francs il n'avait
Une famille, du côté de son père, avait, dans Nous avons confiance. fonds. rendu sa belle âme à Dieu; Sosthènes était le
les derniers temps, découvert la misère des Sosthènes prit les économies réunies des tune des deux vieilles filles, grossie d'un quart. pas accepté les cent mille tout secs de sa
Demiéris et avait envoyé un peu d'argent à la deux domestiques. L'anse du panier devait être Ecoutez, mesdemoiselles. Si j'avais gardé Malgré sa tenue correcte et sa réputation de mari de Juliette Tronchais, et, sur le registre femme lui furent précieux. Il s'en servit comme
bonne fille, charitable au besoin, la belle Alice de l'état civil, le nom s'écrivait en deux mots. un gymnaste, hardi et prudent à la fois, se
pauvre femme. Dès qu'il put se procurer des assez sérieuse chez les Durand. Les économies votre argent un an ou deux, j'aurais peut-être était de ces clientes que Sosthènes songeait à A partir de ce moment, le jeune brasseur d'af- sert d'un tremplin.
vêtements à peu près propres, Sosthènes alla se montaient à mille francs. Le jeune homme fait mieux encore. Je ne l'ai pas osé. Cet argent- éloigner petit à petit. Aussi, lorsqu'un beau faires marcha à pas de géant. Il s'intitulait ban- Puis vint une première période difficile. Il
faire une visite à ses cousins éloignés, M. et il avait alors dix-huit ans eut un éblouis- là m'était sacré. J'aurais pu le perdre, et, alors, jour elle se présenta au nouveau bLreau, très quier et, en effet, il dirigeait une maison de connut les affres des « fin courant ». Il se
Mme Durand, vieilles gens sans enfants. Il se sement en touchant le papier tout neuf et quels remordspour moi, quelle ruine pour vous!1
montra parfait, d'une sensibilité discrète, par- cassant du billet. Jamais il n'avait encore ma- Je n'y toucherai plus. Vous avez maintenant de propre et sévèrement meublé, situé dans un banque, très modeste, n'attirant nullement trouva une fois acculé à ce qui semblait une
lant de sa mère avec une émotion contenue, nié une pareille somme. quoi vivre un peu plus à votre aise; l'avenir ne quartier convenable, la reçut-il poliment, mais l'attention, faisant de petites affaires petitement. impasse. Alors les vieux cousins Durand mou-
regrettant qu'il n'eût pas eu l'âge de lui venir Pendant un an, il donna aux domestiques de vous fera plus peur. Et moi, j'emporterai la froidement. Il était désolé. M. Destouches, souf- Et, derrière cette façade avouable, honorable, rurent, presque en même temps. Il hérita de
frant, ne viendrait pas de la journée. le spéculateurtravaillait à son aise. cinquante mille francs. Peu de chose en
en aide, de lui adoucir ses derniers jours, re- petits acomptes sur les bénéfices. Finalement, joie d'avoir fait une bonne action! La belle Alice était émue. Enfin, elle se dé- Sosthènes n'oubliait pas les leçons de son an-
merciant, sans exagération, de l'intérêt il leur remit douze cents francs, déclarant qu'il Les yeux pâles de Sosthènes étaient mouillés somme. Ce peu de chose le sauva. Parfois, un
vaient montré M. et Mme Durand envers qu'a- cette avait peur de risquer davantage un argent qui de douces larmes. cida à parler. Le jeune représentant du père
Destouches était au courant de toutes ses petites
cien patron. Il voyait toujours devant lui le peu d'argent comptant dans les mains d'un
pauvre chère maman. Les belles manières pa- n'était pas à lui. En somme; le valet de cham- coup d'ongle sur le tapis de la table une financier habile vaut dix fois ce qu'il repré-
Le concert de louanges devint général. Les affaires il pourrait très bien lui donner un ligne presque imperceptible qu'il ne fallait sente comme chiffre. Sosthènes fut convaincu
ternelles lui vinrent en aide. On le trouva char- bre et la cuisinière furent satisfaits. Sosthènes Durand, touchés, se consultèrent. Ils refirent bon conseil. D'autant plus qu'à son âge il de- jamais dépasser. Il ne la dépassait pas. Mais il
mant, joli garçon, intéressant au possible. M. aussi. Il lui restait une jolie marge sur les bé- leur testament en léguant un souvenirà qu'à chaque mauvais pas un secours inattendu
Durand, avec bonté, lui demanda s'il n'avait néfices. Il avait montré, dans le maniement rent éloigné, qui leur faisait tant d'honneur. ce pa- vait avoir des amis qui. des amis enfin. la côtoyait perpétuellement. Tous ses clients lui tomberait. il n'osait dire du ciel. Il lui
besoin de rien. Sosthènes répondit avec une de ce premier billet de mille francs, desqualités Alice s'embrouillait. Sosthènes se refroidis- n'eurent pas à se louer de lui autant que les était assez indifférent d'où le secours pouvait
Cependant, Sosthènes ne quittait pas le vieux sait de plus en plus. vieilles filles amies de la bonne Mme Durand. venir, pourvu qu'il vînt.
Reproduction et traduction interdites. rares de spéculateur. Désormais, il se sentait Destouches, qui, maintenant, se déchargeait Enfin. ce n'est pas de placements que je Parfois, des éclats de voix retentissaient dans Jeanne Mairet.
sûr de l'avenir. sur son clerc de presque toutes ses affaires. venais entretenir le père Destouches, du moins les bureaux de M. te directeur, qui, lui, restait (A suivre).
• la Caisse d'é-
mais Grosgurin le leur défendit, disant que les Sia- disait-elle un mot, fût-ce le plus insignifiant, un nou- MARINE fernet, belle pyramide qui se dresse au-dessus devenu un composé bizarre dont l'analyse est J Voici le relevé des opérations de
mois venaient, non pour se battre, mais pour s'en- de sabre lui apprenait à se taire. Plus d'un même-dfi ta ville de Briançon, à 2,360 mètres, désormais impossible ». Cependant, leproblème pargne do Paris, du di/nanehe 18 au samedi 24 juin
tretenir avec lui.
Cepeadfln^ à peine entré et après avoir adressé
veau coup sabré..
a été ainsi
A une heure, un blessé dut être transporté à l'hôpi-
tal, car il s'était affaissé au corps de garde et on avait
Le ministère de la marine nous communique la note
suivante
Plusieurs journaux, revenant sur l'admission au
dominant ainsi la place de plus de 1,900 mètres
et la gare de plus de 1,100. L'Infernet a reçu lui
l'irrite il s'y attache où tout autre officier au- I
rait désespéré de trouver une étincelle, il la. re- nouveaux,
Versements
859,672
reçus
francs. •
de 6,214
Remboursements &3.850 déposants, dont 40i pour
'
déposants, dont 434

quelques mots à Grosgurin, le mandarin, dirigeant qu'il portait au front était aussi an fort, dont la garnison permanente est cherche passionnément. L'histoire de Savines,
tête.-
son revolver sur ce dernier, le tua d'un coup à la
En entendant le coup de revolver, ce. qui était
reconnu que la blessure
mortelle. A deux- heures, un sergent fut également
transporté à l'hôpital il avait été atteint dans
Grand'Rue par une barre de fer. A la même
de six hommes chacune, commandées
la
heure,
cadre de réserve du contre-amiral Dupont, ont an-
noncé qute cet officier
où le ministre de la marine
général «erait
l'aurait
de bienveillance; on a même ajouté que c'était à la
passé parParis,
reçu avec peu
abritée des frimas et des bourrasques par de
doubles fenêtres. Un chemin carrossable monte
là-haut, en interminableslacets, par les roches,
le
par sa
vre un
mauvais
vulgarité
courant
soldat,
de
même.
est
fraternelle
navrante
Il -règne
et
dans
tendresse.
touchante
tout le li-
solde,
un
Rentes
844,441 fr. 15.
capital de 33,695 fi\ 10.i-
achetées à là 'demande des déposants pour

». '-à/iftJA

sans doute le signal se je- deux patrouilles


convenUj les Siamoisassassi- suite de cette réception que l'amiral Dupont aurait s'abritent
tèrent sur les armes des miliciens et en par un sergent, se rendirent dans lalaGrand'Rue pour
foule. Mais les formulé sa demande de mise en disponibilité. Le par les éboulis, par les bois de pins où J'ai peur, dit Art Roë, d'avoir à. répondre; pour M.. Lutaud, préfet 4o la Sarthe, a présidé, hier, à
nèrent, 17, les 3 autres ayant pu s'échapper et rega-
rechercher le coupable et disperser des postes, des baraquements et des poudrières. eux au jour du jugement dernier. Ils seront là municipalité avait organisé Sceaux-sur-Huisne, une conférence agricole. La
ils ont eùnes gens qui avaient pris part à la manifestation de fait est absolument'inexact. • Malgré ces défenses, Briançon pourrait être quinze cents, dans la vallée de Josaphat, qui di- une belle réception et lo
gner le poste français, à Cammon, où rap- la Grand'Rue s'étaient retirés sur le pont du Corbeau. L'amiral Dupont a transmis sa demandé par la curé de la devant tous ses paroissiens,
porté ces détails, qui concordent pleinement, d'ail- Malgré cela, les agents tapèrent sur les passants pen- voie hiérarchique «t s'est rendu directement de Tou- tourne cependant; la vallée de la Cerveyrette est ront.: « C'est la faute du lieutenant! Il ne nous a souhaité lacommune bienvenue
a,
préfet de la Sarthe en ces
tours avec le récit fait par les habitants. dant une heure entièré, avec leur sabre, de sorte que si profonde que la route de Cervières est défilée pas punis au bon moment;phs il a été trop sévère il au
qui s'étaient mises aux fenêtres pour lon à Rochefort, sans passer par Paris. Quant aux donné de conseils, il termes
des
Le gouvernement siamois s'efforcera sans doute voir personnes
les troubles, se mirent à leurlancer des injures et raisons qui ont motivé cette détermination, l'amiral des feux du Gondran; en outre on peut débou- a été bon; il ne nous a
Dupont a déjà fait justice des insinuations qui cher du Queyras au-dessous de Briançon parles nous a donné de mauvais exemples. » Et le bon Monsieur le préfet, ce m'est un honneur et un devoir
de dire qu'il s'agit encore là d'un-* malentendu ». des malédictions. A deux heures et demie, lesagents troubles Dieu me demandera Pourquoi celui-ci se grisait- facile de venir vous saluer et vous présenter mes res-
Mais l'acte commis par le mandarin siamois de avaient cessé. Dans la foule chargée par les se avaient été produites à cet égard. Il les a formelle- cols de Péas et d'Izouard. On a voulu barrer ces il
«
? Pourquoi celui-ci battait-il sa femme? » pectueux hommages s'il est quelqu'un ici, en effet,
Cammon (Kharn-Muon sur la nouvelle carte d'Indo- trouvaient des femmes et des enfants.
Les sergents de ville ont arrêté plus de vingt per-
ment démenties dans une lettre adressée au XIX' passages en occupant les hautes cimes de ]a rive qui doive donner l'exemple du respect pour le gouver-
Cfoino) et par le mandarin de Houtène est d'autant sonnes, parmi lesquels se trouvent des citoyens qui
Siècle, exposant que c'étaient de douloureuses rai- gauche de la Cerveyrette. Au sommet même du Un autre officier, un capitaine de fortune, nement de la République, dont vous êtes le digne re-
sons personnelles qui l'obligeaient à quitter son promontoire qui commande le confluent- avec la arrivé à la force du poignet au commandement présentant,et de la soumission à ses lois, c'est assu-
moins excusable que le premier de ces fonctionnai- jouissent de l'estime et de la considération générales. ministre Homme-Dieu dé paix, 'de
res avait déclaré à l'inspecteur Grosgurin que Y&-
commandement. Durance on a construit, à 2,137 mètres, le fort d'une batterie, mais resté fils du peuple, se justice et de charité dequicet rément le
a dit « Mon royaume n'est
On dit que M. Bebel, élu à Strasbourg et à Ham- de la Croix-de-Bretagne; la route en lacets qui y rencontre avec .Art Roë dans cette affection pas de ce monde. Rendez à César ce qui est à César
bandon du poste de Cammon ne préjugeait en rien bourg, optera pour Strasbourg et laissera le collège
de la question de frontière, qui devait être réglée de Hambourg au socialiste Molkenbuhr. LA VIE MILITAIRE la
conduit est bordée des batteries de Gafouille, de
Roche-Noire, de
pour le pauvre petit soldat Au moment de mirable
la Cerveyrette, des Ages; etc. prendre sa retraite, il n'a qu'une pensée, un vage et donné
et à Dieu ce qui est à Dieu », qui seul a, par son ad-
doctrine, brisé les chaînes de l'antique escla-
la liberté, l'égalité, la-frater-
par les deux gouvernements. à peine francisé qu'il sauvé des bri- au mondedoit
Le mandarin qui commande à Houtène relève du Mais la Croix-de-Bretagne est dominée par une « pays » a nité dont la République faire et fera, je l'espère;, la
vice-roi dont la résidence est à Nong-Kaï, à 300 ki- L'ÉTRANGER muraille de rochers où un adversaire entrepre- mades base de toutes ses lois.
lomètres en amont sur le Mékong. C'est à Houtène,
BÏÏLLETÏN DE L'epionnage. Histoires d'espions.
dans nos Alpes. Mont Dauphin et fort Queyras.
Les Italiens
nant pourrait amener du canon on a fait une Quand je serai plus là, n'oubliez Auguste. Permettez-moi,
les plus
monsieur le préfet, de vous adresser
sincères, pour la réussite de votre
construit ne pas mes vœux
on s'en souvient, que MM. Champenoiset Esquilat, (dépêches HAVAS ET renseignements particuliers} Briançon. Une forteresse d'opéra comique. route pour gagner ces rochers, on y a J'ai peur qu'on ne se remette à le brutaliser. Alors noble mission, et aussi pour le triomphe et la gloire
Forts dans les neiges. Les Italiens au Chaberton. les batteries des Trois-Mélèzes, de la Croix, la il se révolterait. C'est qu'il est de Mirande, vous sa- de la République et de la patrie. Je prie Dieu qu'il les
du Syndicat commercialfrançais du haut Laos, fu-
Allemagne, grandes et glo-


Le fort des Olives. Que pense le troupier? batterie, la batterie du Col (à 2,417 mè- vez! fasse et les conserve toujours fortes,
rent molestés par les fonctionnaires siamois. Ces Pingot et moi. Un officier psychologue. Les grande tres). Un autre rocher, plus haut encore, com- rieuses.
fonctionnaires ne sont pas des mandarins sans in- formules de l'obturateur. Ainsi passe: dans ces trois cents pages un Puissevotre présence ici être un bienfait pour notre
struction, des Asiatiques ignorants des usages eu- La -Gazette 'universelle, de Munich, annonce que mande ce groupe à 2,652 mètres on l'a gagné souffle. profond de charité intellectuelle. Pas excellente population, si droite, si généreuse, si dé-
devait giony du Il a quelques années, je parcourais une ré- lui aussi et une batterie y a été élevé c'est la l'ombre d'un sentiment de supériorité. Le lieu- braves vouée à la République et un encouragement pour nos
ropéens. M. Champenois raconte que, dans son les. manoeuvres que la cavalerie bavaroise Sud-Ouest, la Charente, où il est peu batterie de la Tour. et intéressants cultivateurs si éprouvés actuel-
voyage de Vinh à Houtène, il rencontra à Keng-Tiec lieu. exécuter ces jours-ci près de Bamberg n'auront pas vraisemblable invasion produise ja- tenant se plaît à vivre de l'existence de ses hom-
La direction militaire les a supprimées. afin de qu'une se Au-dessous une montagne plus trapue se ter- mes. Il se sent encore si près d'eux, il partage
lement
village qui s'identifie avec Keng-Kien, où M. ménager les cultures déjà compromises par la sé- mais. Une carte d'état-major, dépassant les mine enpentesraidessurCervières.Malgrélabat- si bien, à certaines heures, au camp, devant les Il n'est pas sans intérêt d'indiquer que la nom-
Grosgurin fut assassiné -* un commissaire siamois cheresse.•• bords d'une poche, avait paru intéresser prodi- être mune de Sceaux-sur-Huisno appartient à la lrc cir-
vêtu à l'européenne (dolman, pantalon, casque, bot- gieusement un vieux monsieur assis près de l'ennemi un chemin terie de la Tour ce pourrait une position-pour feux du bivouac, leur existence fataliste; avec conscription de Mamers, actuellement représentée
tes vernies), qui lui offrit collation, du thé et On écrit d'Erfurt à la Gazette de Francfort qu'une extraordinairement déve- il remonte aux origines de l'humanité Il par,M. de la Rochefoucaull, duç de Doudeauville.
une
instruction vient d'être ouverte à propos des traite- vieuxenmonsieur
moi wagon. A la gare où je descendis, le loppé en lacet, y parvient. Là, à 2,348 mètres, faut eux
soldat savoir tout qui subsiste
«
des cigares, suivant les usages des Occidentaux.A se précipita sur le quai, parla les batteries et blockhaus de la Lauzette ont été
être pour ce
Houtènemême, le fonctionnairequi intima ànos com- ments cruels que le sous-officierHoyer, du 71° ré-
giment d'infanterie, infligeait à subordonnés. fiévreusement au chef de gare en me désignant construits. en nous de l'homme préhistorique.» S'il nous On nous télégraphie de Toulouse

travail.
patriotes l'ordre de partir était un délégué du vice- ses et remonta dans son compartiment. Aussitôt, montre leur, simplicité, c'est dans un sourire. Hier, sous la présidence de M. Serres, maire ds
Parmi ses victimes, on cite notamment un troupier
roi de Nong-Kaï qui se donnait le titre de commis- auquel Hoyer administra un jour, dans la région du on me regarda avec un air indigné, je n'y pris Sur l'autre rive de la Durance on n"a construit Ainsi pour son ami Pingot, proposé pour trom- Toulouse, assisté du préfet, des adjoints, des con-
sioner Eenginecr, qui parlait très correctement l'an- bas ventre, des coups de pied tellement violents garde, mais, dans le bourg de Saint-Amant-de- aucun fort, mais un chemin hardi conduit sur pette, et qui, le commandantlui demandant son seillers municipaux, a eu lieuorganisés la distribution des
glais et qui avait passé huit ans à la légation sia- que ses intestins furent déplacés et formèrent, sur Boixe, on me suivit, la population paraissant la montagne de la Croix-de-Toulouse où l'on âge, répond « Un mètre soixante-huit. » Et prix des cours professionnels à la Bourse
moise à Londres 1 un certain point, comme une tumeur énorme. Le très émue à l'aspect d'un étranger visitant
projette un ouvrage. le cerveau obtus, désespoir et colère des in- duDans le discours qu'il a prononcé, M. Moitcl, se-
Dans ces conditions, si les officiers siamois qui soldat tomba en syncope. malheureux
Hoyer le somma de se l'église et faisant le tour de l'édifice, à la re- structeurs, Art Roë est plein de tendresse crêtaire général de la Bourse, a exprimé l'espoir que
se sont rendus d'Houtèneà Keng-Kien, en remontant relever et, comme le restait couché im- cherche des détails de sculpture. Ma carte à la inexpugnable. Ce- pour lui, tendresse de psychologue pour un le conseil général subventionnera la Bourse. Il a
mobile le sol, le tortionnaire le frappa au visage Briançon ainsi défendu est tout ce qu'il remercié les pouvoirs publics de leur sollicitude en-
la vallée du Song-Hin-Boum, ont commis leur as- de tellesur la bou- main, je pris un sentier à travers champs pour pendant population est inquiète; elle croit beau sujet. Ici, il s'appelle Gandolf;
sorte.que le sang coula du et de sa lumière, c'est que vers la Bourse du travail, ajoutant
sassinat en sachant fort bien à quoi ils s'exposaient. che. Le soldat fut admis à l'ambulance
nez
avec la men- gagner un autre village. Longtemps je fus suivi que les Italiens peuvent contrebattre ces dé- a pu comprendreau canal de
La demande de réparations faites par le gouverne- tion « Tombé par accident. » Mais, quoique, dans par des gamins, et du haut d'une colline, j'aper- fenses. « c'est le trou que ça met le feu au canon ». Par- S'il est une chose qui nous réjouisse plus particuliè-
ment français, tant à propos de la mort de M. Gros- les premières heures, la terreur que lui inspirait le çus, ventre à terre, deux gendarmes accourus tant de principe, il faut lui faire comprendre c'est votre présence à notre fête,
vexations De la gare on aperçoit par dessus la ville, le reste;ce patience infinie, l'officier le rement, messieurs,
d'autant plus précieuse aujourd'hui ou, dans
gurin et de ses hommes que des de nos sous-officier l'eût empêché de parler, il finit, sous le de la brigade la plus proche, fouillant le pays ` dans l'échancrure de la Durance, une montagne avec une présence
moindres, semble soutller
degré la formule, à la défi- villes, et des
commerçants, a été ou va être soumise au roi.de coup de douleurs intolérables, par faire des révéla- que je venais de parcourir. Le lendemain, le en forme de dôme où, même en ce moment, il mène de degré en à quelques non

Bangkok déterminera, on le sait, la nature


rations que le contre-amiral Humann effectuera
des opé- état d'arrestation, n;
Autriche-Hongrie ' .'• .a
..•;
•'•
:>
Siam. La réponse qui sera faite à notre ministre à tions à la suite desquelles Hoyer vient d'être mis en préfet me faisait mander, me montrait un in-
1
..vv.h1
y a encore
terminable procès-verbal dans lequel mon cos- très proche; il y a cependant, à vol d'oiseau, 19
tume était minutieusement décrit et où l'on kilomètres de là gare de Briançon à la cime du Gandolf
de la neige. Cette montagne semble nition
voici
de
par
l'obturateur.
quelles phases
L'instruction
passent
est pénible, un vent
les idées de ses du
de
travail
réaction
blicaines cependant,
solidarité et les
alors
égards
contre
que
oubliant
dus
le
quelques
à
principe
les
la
même
municipalités,
véritables
classe si
des Bour-
règles
répu-
intéressante
enlever lé moyen,
de

dans le golfe de Siam avec les bâtiments de l'esca- tout simplement d'être un espion Chaberton. II y en a huit entre cette cime et no- des travailleurs, semblent vouloir lui menacés
m'accusait 1° L'obturateur, c'est. une gamelle. une gar- de défendre ses intérêts sans cesse en sup-
dre de l'extrême Orient. On a trouvé à Vienne, dans la succession du ren- étranger. Le préfet, ancien journaliste, riait sachant lette. une galette fendue. gamelle suif primant subventions minimes quelquefois ac-
Dès lors, on peut-considérer comme prématurée la tier Elbi, décédé il y a quelquesdes jours, un tableau le premier de l'aventure, tout tre fort du Janus. Or, les Briançonnais, une
imbibé
en
suif,
soit les
Bourses, soit en restreignant la liberté de
représentant madone et hommes com- en avouant que certains canons portent à 15 kilomètres, 2° L'obturateur se compose de cordées aux
une réunion et fermant les locaux qui pourraient être
nouvelle envoyée par le correspondant du Times à pétents déclarent une
être un Munllo
que
authentique. qu'elle aurait pu tourner au tragique, au mi- voient déjà les Italiens, installés sur leur ro- galette enveloppé de toile. affectés à
en
ces Bourses. de C'est dans ces conditions que
Rangoon concernant le blocus probable des côtes lieu d'une population aussi inflammable. Le cher brûler la ville et détruire la voie ferrée. lette 3° L'obturateur se compose d'une amante en ga- heureux vous voir, messieurs, faire
nous sommes
de Siam. Les consuls britanniques auraient averti Angleterre dénonciateur était mon voisin de wagon, un On se chuchote que nos voisins, cheminant par imbibée de suif
cause commune avec la Bourse du travail de Toulouse

éternelles.
les sujets anglais de l'éventualité de ce blocus, et 40 L'obturateur se compose d'une galette en qui, comme ses sœurs de France, n'entend laisser tou-
Les radicaux écossais sont très, mécontents au su- ancien chef d'escadron du train. des galeries dans l'intérieur de la montagne amiante imbibée de suif. cher à aucun de ses droits, comme elle sait aussi pra-
les Chinois qui constituent la plus grande partie de jet de la motion proposant le home rule écossais. Si je raconte cette petite aventure personnelle, vont bientôt installer une citadelle dans ces nei- tiquer, dans le sens le plus large du mot, tous ses
idées •

vail..
la population de Bangkokauraient fait des approvi- Un manifeste parnelliste, portant entre autres si- (et il m'en est arrivé bien d'autres) c'est parce que Art Roë énumère sans impatience ces devoirs.
sionnements de riz pour quinze jours. C'est là une gnatures, celle de M. John Redmond a été adressé ma dernière « Vie militaire » a valu au journal gesLa vérité est moins romanesque.De même confuses, il prend même plaisir à les voir peu à Le maire a prononcé un discours' dans lequel il a..
simple mesure de précaution que la cour de Siam aux Irlandais d'Amérique. Ce manifeste proteste des lettres révélant un état d'esprit semblable à que nous avons barré à Briançon la route du peu se cristalliser dans le cerveau de Gandolf prié le préfet d'intervenir auprès du conseil général
re.dra sans doute inutile en donnant à la France contre les nouveaux articles du home rûle MU qui celui de rios bons paysans charentais. Les dé- mont Genèvre, de même les- Italiens fortifient sous la forme d'une définition précise. Ce- pour obtenir une subvention pour la Bourse du tra-
•; toutes les satisfactions qu'elle réclame et que les contiennent la proposition de M. Gladstone de reti- tails que j'ai donnés sur la défense des Alpes leur versant du col. Mais, au lieu de créer des pendant la psychologie ne lui suffit pas, il rêve
fonctionnaires siamois de tout ordre et de tout rang rer à l'Irlande pendant six ans le contrôle absolu de ont paru monstrueux à quelques lecteurs; ils batteries géométriques habitables toute l'année, à l'heure où ces natures endormies, mises en Puis a eu lieu la distribution des prix.
n'ont que trop justifiées. ses finances. Il conclut en demandant l'appui des reprochent de donner à l'ennemi des face du danger, se réveilleront sous les sensa- En se retirant, le préfet a promis au secrétaire
Irlandais américains. me ren- ils ont eu recours à des procédés particuliers. la En rentrant à Vincennes après général de la Bourse du travail d'appuyer la de-
seignements secrets sur la défense nationale. Des barricades, des ponts sur les routes, des tions de guerre. mande de la Bourse auprès du conseil général.
sous-secrétaire beau temps l'ennemi sait long l'exercice, il s'écrie
La prise de possession de 111e Samit a été suivie M. Labouchère demandera au il y a que en canons sur des terres-pleins déroutent un peu
et de Rong-Sam-Lem (orthographe des cartes de la noncé, dans une assemblée
Eh
immédiatementde l'occupation des îles de Co-Rong des colonies s'il est vrai que M.CeciIRhodesait an- là-dessus! Tous nos forts des Alpes ont été con- les bonnes gens duhaut Dauphiné habitués aux
du gouvernement du truits par des ouvriers italiens parmi lesquels remparts classiques. Les défenses accumulées nousCela vomisse,
n'arrivera donc jamais que ce portail
armés en guerre et nous projette sur
AU JOUR LE JOUR
mètres au sud de la presqu'île Samit. Voici en quels vres
termes M. de Lanessan rend compte au sous-secré-
taire d'Etat aux colonies de ces opérations mjli-
jusqu'à Marekin,
Belgique
>-< \s;:i
>«,
.
marine) et qui sont situées à une vingtaine de kilo- Cap, que le gouvernementimpérial donnera 100,000 li- s'est glissé plus d'un officier. On vit là-bas dans entre Clavières et Cézannesont plutôt des chica- la route, en marche définitive, vers les combats,
sterling pour la prolongation du chemin de fer
une véritable atmosphère d'espionnage; les ha- nes, elles ont coûté peu d'argent comparative- versées hasards, vers les anoblissantes douleurs?2
bitants citent des espions avérés contre lesquels ment à ce que nous avons dépensé à Briançonj A. DUMAZET. Marly
taires:
On écrit de Bruxelles, 24 juin ,» on
tais
ne
à
prend
Briançon
guère
quand
de mesures.
un
Cependant, j'é- mais elles sont fort
des conducteurs de ficiers du génie allemands ont, dit-on, préparé
habilement conçues; des ofi L'installation du président de la République à
Marly va donner sans doute un regain do popula-

''
Do-Son, 24:juin 1893. nous publiques Cesana-Torinese fut
voitures
Le Sénat reprend ses travaux mardi. Il abordera le expulsé. Les Italiens connaissent donc pour et dirigent encore les travaux.. CHRONIQUE ELECTORALE rité à ce joli pays sylvestre où les Parisiens n'ont
Nous avons procédé, les 17 et 18 juin, à l'occupation lendemain la par le Du haut du Janus, et mieux encore des pentes de se porter en foula
discussion
des îles Rong et Rong-Salem, toutes deux très impor- qui le concernent. De nouvelles formules revisionnis-des articles de la Constitution
tout faisons. française de la Plane .on décou-r pas encore pris l;habitude forêts Saint-Germain et do
tantes, mais particulièrementla dernière, parce qu'elles tes de l'article 53 (électorat sénatorial) lui seront sou- menu ce que nous de la montagne Conseil d'arrondissementde la Seine comme dans les de
renseignements j'ai fournis sont était bien due à

'
défendent une baie qui constitue un excellent mouil- mises par plusieurs de ses membres -et par le chef du Les que vre très bien l'ensemble des travaux exécutés Montmorency. Cette bonne fortune
tout Les forts si éclatante splendeur à un
cabinet. M. Beernaert ne désespère pas d'obtenir une d'ailleurs à lales portée de
lage. le monde. par nos voisins: la ligne noire des barricadesou Le scrutin de ballottage pour les élections du Marly, tombé d'une
L'opération s'est effectuée sans incident. revanche de l'élection à deux degrés, malgré le. vote figurent sur cartes; des livres comme celui palissades qui couvrent l'étroit vallon en avant Conseil d'arrondissement a eu lieu hier dans les 21 calme si profond.
Le 15 juin, une canonnière siamoise s'est approchée de principe émis par la Chambre qui a 'repoussé ce de Ténot sur la frontière, comme la Géographie de Clavières, très petit village formé de cinq ou cantons du département de la Seine. En voici les ré- Par une ironie douce de l'histoire, le rêve caressé
de nie Samit, que nous avions occupée deux jours au- système par une majorité de plus des deux tiers des militaire du commandant Marga exposent notre six toits rouges autour d'une église. Un block- sutyats-; par Louisqu'il XIV va se trouver réalisé pour un suc-
paravant. Sans s'arrêter, elle a dirigé vers l'île un ca-
not avec six hommes. Notre poste, après l'avoir inuti- sur
voix.
dans
Par
l'âge
contre,
de 35
l'électorat
ans
l'honorable
il
sénatorial
admettrait
lement invitée à ne pas avancer, a tiré enfin sur l'em- mode d'élection à deux degrés combiné avec un grou-
et
ministre
les
chercherait
n'insisterait
citoyens
un
de 25
nouveau
pas système de défense, même quant
ans
pièces et à leur disposition.
au nombre de haus noir, des ponts
Ce sont des ouvra- nisés pour la défense, des casernes, un mur de
Italie, à
faciles à détruire et orga- .!:
Tabanon,
ARRONDISSEMENT DE SAINT-DENIS ,:<>
Canton de Boulogne
sort.rép
••• •;

1.367Elu.
j cesseur
.j
.]
sait que
arbres de
le
n'aurait sans doute jamais prévu. On
grand
Marly
roi avait voulu trouver sous les
une retraite champêtre, un vérita-
• barcation, qui s'est alors décidée à regagner la terre. pement des électeurs, de manière à écarter les objec- peine ges classiques en Allemagne et en et forteresse ferment le passage. Pour forcer ce M. cons. ble ermitage où il pourrait oubliercette grandeur qui
en France 1 Les étrangers savent aurait doute quelque Canton Levallois-Perret quand armée traversait lo
Woeste et Feron tout en donnant à ce dernier connus défilé de Clavières on sans
Rabourdhvrép. de le retenait au rivage son

rép.
Le mouillage dit de Samit est effectivementsitué à tions d'une représentationdes intérêts. mieux que les Français ce que nous avons peine, la route est minée mais nos alpins sau- M. 1.527 Elu. Rhin. Le site était fait à ravir, la forêt avec ses
l'est des îles Co-Rong et Rong-Sam-Lem,où se trou- l'illusion L'échec infligé par la Chambre à toutes les formules fait pour la défense de notre territoire. raient bien trouver ou créer dessentiers. Canton -de CLichy hautes et mystérieuses futaies, son ruisseau mur-
vent des fonds de 13 à 18 mètres, abrités au nord et de revision de l'article 53, et notamment à celles que Un officier de mes amis se rendant en civil de n'est donepus vraie force de la position. murant, chose rare sur ces hauteurs, était à souhait
à l'est par le continent et à l'ouest par la série d'iles défendaient MM. Beernaert et de Burlet, n'est pas pour Paris à Versailles voyageait Là la M. Bardin, rép « I.188E1U.
pour le calme. De là, on découvre un riant, horizon
lui avec un couple al- Le Chaberton,lorsqu'il sera aménagé, sera autre-
dont il est question. consolider la situation du ministère qui a eu contre « Canton de Courbevoie
sur la Seine, forêt. les hauteurs de Cormeilles, Saint-Ger-
la majorité de ses amis politiques.Aussi assure-t-on de lemand muni d'un guide, que le mari lisait à mentpuissant. Sur un contrefortbordantle vallon M.' Gravier, 1.493 Elu. main Les collines de Lpuveciennes
J Madagascar
Notre correspondantde Marseille nous télégraphie é retirer,
Marséille, 26 juin.
différents côtés,et même dans les sphères ministérielles, haute voix. Mon ami sait l'allemand, il enten- de la fontaine des Chamois (dei Camosci), deux
que ses jours sont comptés et qu'il ne tardera pas à se dit signaler
soit qu'il attende ou provoque un voté résolu- rection des forts de Verrières,
ment hostile, soit qu'il prenne les devants sous un pré-
l'école de Chalais et montrer
aux abords
la di-
de
texte quelconque. Tout cela est prématuré. Il est cer- Versailles; la Grande-Ceinture fut désignée par de Gimont où passe un chemin muletier venant M. Coùzon,adjoint
étages de.batteries ont été édifiés. Une
basse à deux pièces dirigeant leur feu sur le col
batterie M. Pic, cons.. munie., rad. soc.
Canton de

Canton de Saint-Ouen
Puteaux

au maire, soc. révolut. 1.682 Elu.


masquent
et sa
la vue vers Saint-Denis,ce charnier
1.105 Elu. dont Louis XIV ne pouvait supporter
qui lui fit abandonner
rais de Versailles.
Saint-Germain
la
pour
pensée
les
royal
ma-
et

Le paquebot Sindh, courrier de Madagascar, est taindécidé que le ministère a du plomb dans l'aile. Mais il le lecteur comme une voie stratégique. Voilà du village français de Cervières.Deux autres piè- Mais la grandeur ne se dépouille pas aisément;
arrivé ce matin, à cinq heures, avec 132 passagers, est à aller jusqu'au bout de la revision, et il est les Allemands savent, ce qu'on lit dans ces battent la route. A cinquante mètres au-des- Canton de Pantin le pavillon, bâti au fond d'un sauvage vallon,
peu probable que les droitiers les moins fidèles tien- ce que M. Kugler, socialiste révolutionnaire. Elu. entouré par les grands arbres de la forêt, devint
dont plusieurs officiers, soldats et marins venant de nent à se débarrasser de lui avant d'être eux-mêmes des bouquins à l'usage des touristes. Et si un c'est-à-dire à 2,184 mètres d'altitude, une
2.963
Diego-Suarez et de la Réunion. débarrassés du fardeau révisionniste, qui pourraitêtre Français veut apprendre, à des Français ce batterie haute est armée de six pièces de 15 mil- sus, Canton de Noisy-le-Sec trop peu majestueux pour tant de majesté. Les eaux
Le Sindh est arrivé avec un petit retard, occasion- aussi gênant pour ses successeurs que pour lui-même. qu'on fait pour leur sécurité, on. l'accuse de limètres dont la gueule, apparaissant au-dessus M. Diyière (de Villemonble),républicain. 1 395 Elu. errantes furent réunies et torrent vinrent se déverser de-
né par là rencontre qu'il avait faite, le 12 juin, le len- vant le château en un descendant sur
demain de son départ d'Obock, avec le steamer an-
glais Imshoiven Head, de l'Ulster company, allant
Italie renseigner l'adversaire 1 d'un
sur
parapet en terre,
le col de Gimont. Une autre
est également dirigée
batterie de ;v;!
,i
CL ARRONDISSEMENT DE SCEAUX
Canton de Vincennes
soixante-trois
rouge et vert.
marches
En face
de
de
marbre
somptueux
alternativement
jardins, des
de Manille à Belfast et dont l'arbre de ..couche ve- autre terrain Un incident, qui aura peut-être une suite sur un Encore une' fois, les Italiens savent ce que 4 pièces fait face à la route du mont Genèvre. M. Tard, conseiller sortant, républicain. i,638,Elu. bassins ornés de jets d'eau, se terminant par un
nait de se briser. que le terrain parlementaire, a eu lieu, abreuvoir monumental, ouvraient une large pers-
hier, à la Chambre. Une altercation s'est élevée en- nous faisons, comme les habitants de nos Alpes Une caserne en maçonnerie et six baraques en Charenton-le-Pont la Seine.
Le Sindh l'a pris en remorque et il l'a conduit à Canton de pective vers
Suez avec un temps très contraire, qui a réduit sa -tré les députés Aprile et Belgiojosopendant que M. savent ce que l'on prépare contre nous. Dans la bois abritent la garmson. Des chemins mule- M. Gravinard, cons. sortant, républicain. 1,238 Elu. bientôt le souverain se trouva isolé, Mansart
Fortunato parlait contre le projet de loi sur les ban- vallée de Barcelonnette, j'ai recueilli sans peine tiers et une route carrossable relient ces diffé- construisit alors douze pavillons reliés par. deux
marche à cent milles par jour. Le steamer anglais ques. M. Balgio'joso avait sommé M. Aprile, qui travaux Italiens rents la route continue vers le Canton de Nogent-sur-Marne
jauge plus do quatre mille tonnes. les détails sur les des au ouvrages se M. Jauffet, conseiller sortant, républicain. 843 Elu. voûtes de verdure, où l'on put loger les princes et
Les capitaines ont convenu de la somme de causait avec ses voisins, de se taire. Des gros mots col de Larche. A Briançon, en quelques heures, sommet du Chaberton, qu'elie n'a pas atteint les courtisans. De tout cela il ne, reste rien que l'a-
100,000 francs pour l'indemnité du remorquage. on en
séparer
vint
les
Les journaux de Madagascar arrivés par ce pa- pendue pendant quelquesminutes. Il
• quebot apportent les nouvelles suivantes Am- de témoins entre les deux députés.
aux coups
adversaires.
et on
La
eut beaucoup
séance a
y

a
de
eu
peine
être sus-
échange
à j'ai appris les travaux de nos voisins en vue de encore,
nous barrer la roùte'du mont Genèvre ou d'en- ter des canons à une hauteur
le but
Alpes. Je n'ai même pas eu besoin de de notre fort du Janus (2,514 mètres), de façon
des Italiens étant d'arriver
supérieure
à
à
por-
celle M. Palade, républicain
Canton de Saint-Maur

Canton de Sceaux
1,129 Elu.
breuvoir
pelouse où
seul édifice
jariins
saillent
de
et
l'époque
çà
pièces
et là
resté
d'eau ont fait place aune
de petits monticules. Le
complet est la maison
vahir nos socialiste. l'ancien de Marly, située près de
bohimarina a été fortifié. On y a placé six canons pénétrer en Italie. Des montagnes voisines je à écraser celui-ci. Ils projettent des batteries au M. Carmignac,-radical 2,028 Elu. de
l'église et
gouverneur
aujourd'hui propriété de M. Victorien
se chargeant par la culasse, ainsi que de. nom- "•" «Hv Saint-Siège voyais ces ouvrages se dessiner comme sur les Porton (2,000 mètres) et au Portail (2,800 mè- Canton de T'anves
breuses munitions et une garnison de deux mille
hommes. Les canons provenant d'un nouvel arri- Hier, en présence de l'ambassadeur de France au- beaux plans en relief des Invalides; comme, au tres). La cime du Pas-du-Chamoisest déjà reliée M. Gilbert, maire de Malakoff,rép.
souterraine à emplacements
rad. 2,059 Elu.
Sardou.
duit à
En
Bailly
face,
par
de
les
l'autre côté
batteries,
de
est
la route qui con-
lo,:chàtcau do
débouché de la route du col de Vars on décou- par une galerie ces les conseilsd'arrondissement de Saint- Mes Délices où le président Carnot doit passer l'été.
vage. M. Dœrer, directeur de l'exploitation agricole près du Vatican, et de beaucoup d'évêques, de pré- En résumé,
de Ivato, a failli être assassiné par des Toutakely. lats et des membres de communautés religieuses, vre tout à coup dans le riant bassin de Guilles- de batteries; elle aurajour sur le territoire fran- Denis et de Sceaux se composent de 13 républicains, Château est un terme ambitieux pour cette vaste
Ces derniers, qui ont été reçus à coups de revolver, ainsi que d'une nombreuse assistance, le cardinal tre -la curieuse forteresse de Mont-Dauphin, çais par des.batteries casernes. 5 radicaux et 3 révolutionnaires. construction en pierre grise etarbres, brique rouge à
se sont enfuis. Les juges malgaches'ont fait exécu- Thomas, archevêque de Rouen, a pris possession de comme des cols de' Queyras ou surplombe le Au nord le Chaberton s'abaisse, en un col demi dissimulée dans les grands à l'entrée
ter les deux gouverneurs d'Antànamalaz, ainsi que son titre presbytéral de Sainte-Françoise de Rome. vieux et pittoresque château de Fort-Queyras, d'une altitude de 2,670 mètres, de on là domine d'un parc superbe, séparé de la forêt par un mur
trois de leurs complices et deux des fameux arra- A cette occasion, le cardinal Thomas a prononcé base d'opérations des troupes alpines. Fort- le col frontière des Trois-Frères (2,586 mètres) Elections au Conseil général précédé en partie d'un énorme fossé. Des ombreu-
cheurs de cœurs d'enfant. un discours qui a impressionnétrès vivement l'au- Queyras, la plus curieuse de nos forteresses au par où nous pourrions tourner le Chaberton. Seine-Inférieure. Canton de Lillobonne ses allées du parc on accède par des'portes dans la
ditoire. Il a rappelé que c'est le pape Grégoire XI, point de forêt, en un de ses sites les plus beaux, mais aussi
"•<' '• militaire, bien soit plus Les Italiens ont installédeux baraques et un sé- M. René Berge, républicain, a été élu contre le ba-
pape français, qui ramena la papauté à Rome, siège qu'une bicoque, vue que ce ne y conservateur. des plus fréquentés. Rien de seigneurial, sinon les


jusqu'ici l'avan- Piérard, député
V V;' Algérie
On télégraphie d'Oran, 26 juin:
éternel de la papauté « La France, a-t-il dit, doit
toujours revenir à Rome, non comme conquérante, dessus de la gorge que s'est creusé le torrent, ce
si bien
mais si fièrement campée au-
remparts, tours,
maphore.
mais
menaçantes
En
les
somme,
défenses
quand les
du
nous avons
Chaberton
batteries de
deviendront
2,800 mètres
ron
Il s'agissait de remplacer
tion avait été invalidée par le Conseil d'Etat.
M. Piérard, dont l'élec- ombrages, dans cette belle propriété où l'on pour-
rait se croire à cent lieues de Paris.
Mes Délicesn'ont pas d'histoire.L'homme qui, con-
s.:
La cour d'assises d'Oran a condamné M. Legeay, mais comme auxiliaire de la papauté, avec, tout son découpant toits d'ardoise ses ses son
sur le fond des mon- seront construites et armées. Même à ce mo- naît le mieux Marly, M. Victorien Sardou, né sait


rédacteur en chef de la Bataille orannise, à un mois génie et tout son cœur. » • clocher, ses NORD. Lille, canton nord, scrutin de ballottage
Le cardinal a affirmé ensuite la politique française tagnesl ment-là, Briançon pourra être tranquille, le ca- M. Scrive, conservateur rallié, a été élu par 2,099 rien sur elles, sinon que Mme, veuve Boissaye, la
de prison, ,500 francs d'amende, 2,000 francs de dom- avait épousé un des fondateurs
mages-intérêts et à l'insertion du jugement dans du pape qui fait appel à tous les honnêtes gens pour Si Mont-Dauphin et Fort-Queyras n'ont plus non qui porte à douze ou quinze kilomètres voix contre M. Rigaut, républicain, qui ena obtenu propriétaireactuelle,
plusieurs journaux, pour diffamation envers M. faire une France libre, unie et forte, parce que Dieu qu'un rôle secondaire, Briançon est resté le existe, mais il n'est pas encore installé à de 1,785. du Comptoird'escompte,ami personnel dé Gàrnier-
Saurel, avoué, ancien adjoint au maire de Sétif. a besoin d'elle plus que jamais pour accomplir la boulevard de cette partie de nos Alpes. La route telles altitudes, et s'il y parvient jamais, son tir, Pagès, d?Hippolyte Carnot et des autres Chefs du
est maire d'Etre-
M. Golaya été élu maire de Bouhir, en remplace-? grande œuvre de la civilisation chrétienne. Le pape
.ment de M. Bérouh, qui avait été révoqué. appelle à lui tous les cœurs droits, toutes les âmes du mont Genèvre est
honnêtes, tous ceux pour qui.l'amour de la patrie et facile, pour xionduir,e d'Italie en France. Aussi
le respect des institutions choisies librement sont a-t-on fait de Briançon une place formidable. Et nord, le col de
la plus courte et la plus à

et
de
Une
si

qu'un
grandes
autre
bon
voie
distances
menaçait
l'Echelle
chemin
qui
relie
ne sera
Briançon,
n'a
à la
que
guère
1,790
assuré
c'est,
pittoresque
mètres
I
au M. Béjol, rallié.
et LANDES. Canton de
0 •.•': -u^ bi
Saïrit-Vûicent-de-Tyrosse
>
Seine-et-Oise. Canton de l'Isle-Adam M. Gi- parti libéral sous l'empire. Son filsRéçopé,.
rolle, radical, a été élu par. 2,158 voix contre ,1,891 à tat. Elle est alliée, dit-on,
ww.j¡ inspecteur de la forêt de
chasses présidentielles.
à

Mes Délices se rattachent par un point à l'his-


M.
Marly, qui
l'aimabla
dirige les

LES ÉLECTIONS EN ALLEMAGNE. desLedevoirs sacrés. c'est un singulier contraste entre cet appa- Saint-Martin, républicain, remplace M. Dor- 1
toire même de Marly. L'habitation est construite
cardinal a signalé ensuite l'avènement de la reil farouche, ces cimes en apparence inacces- profonde vallée du Val-des-Prés. Pour la maî- M. de

,
démocratie avec laquelle le Saint-Siège consent à sibles, couvertes de forts.et de batteries et cette triser on a fortement occupé le rocher des Oli- rignoux, républicain, décédé. sur les ruines du château féodal détruit parvilla les
Le second tour de scrutin traiter comme firent Sixte-Quint avec Henri IV, et mignonne cité aux hautes maisons peintes, déjà ves, montagne escarpée que couronne un fort Anglais pendant la guerre de Cent Ans. La
SAONE-ET-LOIRE. Canton de Conches-les-Mines: de M. Victorien Sardou et l'église de Marly ont été
On connaitle résultat de 127 scrutins de ballottage Pie VII avec Napoléon Ier. u,- r italiennes, serrées dans un jétroit corselet de et des batteries reliés par un chemin carrossa- M. le docteur Léon Martin est élu par 1,824 voix bâties avec les ruines du donjon que Louis XIV,
sur 180. La Bavière, où il y a 17 ballottages, ne vo-
tera qu'aujourd'hui. n; Russie murailles. Pour se hausser à la hauteur de son ble
douze
à la route
kilomètres
du Lautaret.
de Briançon
A vol
au
d'oiseau
fort des
il y
Olives;
a contre
vah'dé»
M.
qui
Albert
n'en
Clair,
reçoit
conservateur
que 1,648. •
récemment.in-
.• ,• peu épris des débris du moyen âge, fit raser.
découvert, à ce sujet, que le
Ces 127 élections se décomposent ainsi Conser- Le Journal de Saint-Pétersbourgpublie les dispo-
vateurs, 21 Parti de l'empire, 8; Nationaux-libé- sitions relatives à l'adoption d'un double tarif de croupe
raux, 25; Union libérale ou progressistes dissidents, douanes. Il en résulte, notamment,
8; progressistes nuance Richter, 17; démocrates tuel est considéré comme tarif minimum.
rôle, la petite ville, cavalièrement assise sur une
dominant la Durance, fait dévaler de les chemins
que le tarif ac- guingois la nappe houleuse de ses toits d'ar- chelle, d'Ascles et de Thures qui conduisent à la céélu.
doise. Vue de la gare- une-gare monumentale
en ont le double.
perbe commande absolument les cols de
Cette position su-
l'E- Morbihan. Canton de Mauroh
onservateur, dont l'élection avait été annulée, a été massifEt,forestier
M. Victorien Sardou a
M. Mbisan, château fit partie d'un
de Marly.plan de défense
puisque cela vous intéresse, me dit M. Sar-
voyant suivre
complet du

intérêt les détails

forêt.
dou,
de l'Allemagne du Sud, 6; Centre, 7; Polonais, 3; Il sera concédé aux pays qui autoriseront, sous digne d'une grande cité, Briançon parait un vallée de Bardonnèche et au débouché du tun- r CORSE. Canton de Castifao M. Grimaldi qu'ilenmemedonne, vous serezavec sans doute bien aise
Alsacien, 1 antisémites, 9; socialistes, 2,0. les conditions les plus favorables, l'entrée et le shako posé sur l'oreille; l'église elle-même, nel du mont Cenis. élu par 340 voix contre 225 données à d'apprendre que nos aïeux avaient organisé mili-
transit des produits russes. Les pays qui ne feront lourde ettrapue, sortie du compas et de l'équerre Les Italiens ne sont pas 'en reste. Ils viennent d'Esdra a étéPierre.
On nous écrit de Strasbourg il'pas bénéficier' la Russie du traitement des nations de Vauban,ressemble à un pompon. Ondiraitque de construireà la pointe Gaspard, au-dessus de M. Grimaldi
tes plus favorisées seront soumis au tarif maxi- leur Meilezel, batterie de six
tairement la défense dé la
Et l'académicien, l'auteur dramatique se révèle
la ville veut se venger de son exiguïté et lutter village de une soudain à nous comme un stratégiste et un topo-
Les deux ballottages de samedi complètent la dé- mum.
putation de l'Alsace-Lorraine au Reichstag. Celle-ci Il appartiendraau ministre des finances, d'accord de crânerie avec les forteresses des hautes ci- tre emplacement pour quatreen
pièces, dont deux sont déjà batterie.
pièces est
Un
préparé
au- NOUVELLES DU JOUR graphe. Il a relevé dans la forêt tous les débris qui
et reconstitué ainsi le site d'une véri-
comprend actuellement huit députés qui formeront avec le ministre des affaires étrangères et sous la <ïïies. Elle n'y réussit guère; l'aspect est toujours entre les cols des Ailes et de l'Echelle. Des ba- y sont épars, d'armes,d'un réduitabsolument semblable
table place
le groupe alsacien-lorrain, deux socialistes et cinq réserve de l'approbation de. l'empereur, de fixer, celui d'un aimable joujou. Jadis il devait être sont L'ambassadeur d?Anglcterre, lord Dufferin, doit réduit actuel. La position de Marly est si naturel-
représentantsappartenant aux partis govvernemen- pour les pays à désigner, l'époque à laquellele tarif plus saisissant, quand la cité restait isolée sur raques ont été édifiées et des abris voûtésde la revenir ce soir ou demain à Paris. On attend à l'am-
au
lement forte, les rois de France, il y a plus do
à la croupe que
taux.
Le groupe alsacien-lorrain perd donc deux sièges,
les socialistes en gagnent un sur les gouvernemen-
taux à Strasbourg. Ceux-ci, par contre, gagnent
Schlestadt et Haguenau-Wissembourg où les dépu- désordres
'- '.
maximum entrera en vigueur.
Birmanie ••
son
la
rocher, mais une ville nouvelle naît près de en voie d'exécution. Enfin,
gare, plus
de la vieille cité
grande d'allure,
qu'elle
montant
submergera
À ^occasion des fêtes religieuses islamistes, des lorsque Briançoa sera 'devenu un centre pour recouvert de terre abritent les soldats italiens.
à l'assaut
un jour,
Mulotière,
baraques
des ouvrages
casernes,
garnison
un
des
battent
blockhaus
les passes, trois bassade une dépêche fixant
en
les
palanques
alpins qui
Au commencement du mois prochain,
retournera à Londres pour assister au
duc d'York avec la princesse May
l'heure de son

de
lord
arrivée.
Dufferin
mariage
Teçk. Dans
du
le
cinq
ses
jette
Retz;
siècles,
modernes.
d'établir
au-dessus
ont
Du
un
tracé

du
côté
fort,
à
de
vallon
l'avance
ils
Saint-Jamos,
avaient
qui
le plan des défen-
le
renfermait
Montjoie.
où l'on pro-
château do
l'abbaye
défilé,
tés indigènes renonçant au renouvellementde leur Mahométans graves viennent d'avoir lieu à Rangoon. les touristes. Notre petite Olives,
Clairéeet les montagnes
courant du mois de juillet, l'ambassadeurquittera
annuel.
de
entre
Joyenval
la forêt
fut
et
le
les
château
hauteurs
de
de Chambourcy,
Ce
gorge
mandat ont été remplacés par le prince Alexandre La police intervenue et Hindous en sont venus aux mains. Ce ne sont pas les forts modernes qui don- sillonnent la vallée de. la Paris pour prendre son congé i(. la naturelle, fut forcé les Anglais
a été reçue à coups de pierres. à la ville son caractère guerrier, ce sont ceux de Névache peuventapercevoir les ouvriers qui de citadelle par
de Hohenloheet le kreisdirector Poèhlmann. maisons, des coups de. feu ont été nent travaux.. c'était le point faible de la position, car, au sud, le
La Haute-Alsace et la Lorraine ont conservé à aussi tirés sur elle; plusieurs de ses officiers ont été qui, tant de fois, arrêtèrent l'ennemi. Les mon- mettent la dernière main à ces
Des fenêtres des A l'issue de la distribution des prix de l'Àssocia- château
parlé de la Bretesche avait, vers Villepreux. da
'leur représentation à Berlin sa physionomie. secondaires qui bordent la Durance et la tion philotechnique, dont avons hier,
frappés à mort. Les agents chargèrent à leur tour. tagnes Buisson, directeur de
nous
l'enseignement primaire, a touré beaux glacis. Le château de Marly était ainsi en-
Les émeutiers ont eu vingt tués et un grand nombre Cerveyrette ont conservé les remparts pittores- Que pensent nos troupiers de ce spectacle? M.
la croix de la Légion d'honneur à M. Pres- de châteaux annexes, transformant tout le
Nous avons relaté hier, d'après nôtre correspon- de blessés. Finalement, un régiment d'infanterie ques des vieilles fortifications le fort des Trois- Rester ainsi, hiver et été, dans ces solitudes sard, professeur au lycée Louis-le-Grand. Il a an- plateau en citadelle. Il n'en reste qu'un conféré débris, an-
dant de Strasbourg, les incidents tumultueux qui mit fin à la lutte. Têtes, relié à la ville par l'arche hardie du pont glacées pour barrer l'accès de la patrie, être noncé que plusieurs palmes académiques seront gle de remparts ressemblant à un bastion, qui for-
produits dans la soirée de samedi à Stras- d'Asfeld,le fort Dauphin, le fort du Randouillet, sans cesse en présence de l'ennemi éventuel également distribuées au prochain mouvement. me une belle terrassedu parc de Mes Délices. Près da
se sont La
ce débris vénérable est aujourd'hui une batterie,
iC»
bourg. Post, de Strasbourg, qui nous arrive ce le fort d'Anjou, la redoute des Salettes avec doit être attrait singulier. Qui nous dira
matin, s'efforce de donner à ces faits un caractère AFFAIRES MILITAIRES ce un dont la garnison sera sans doute appelée à faire la
leurs murailles escarpées, leurs bastions, leurs les sensations, qui fera la psychologie de ces du président.
politique en prétendantqu'on criait dans la foule échauguettes forment guerrier du simples, dire l'effetproduit C'est ce soir qu'a lieu à la Bourse centrale du service d'honneur devant la résidence bassin
«ViveBebel! Vive la France 1» En réalité il n'y a .f~nf un paysage âmes pour nous sur travail le meeting organisé par la commission de Ses remparts commandent le riant de l'E*
rien eu de ce genre. Beaucoup de jeunes gens, qui
n'étaient même pas électeurs, ont fait du tapage, et
ARMÉE
Le voyage du général de Miribel.
.à eux se sont joints au dernier moment, tous les Boisdeffre, les colonels Pistor, attaché à la prési-
Le général de Du
plus
haut
saisissant
dernece n'est qu'une
de
effet.
montagnes
Mais pour
éloignées,
la
d'où
guerre mo- elles par le calme infini des
forteressed'opéracomique.
les canons
litude éternelle, l'horreur des jours, dans
nuées et dans les neiges et
hautes cimes,
l'appréhension
la so- propagande de la Bourse.
les
per-
Voici l'appel que la commissionadresse à tous les champs de
travailleurs parisiens
groseillers.. •
tang-la-Ville, aux pentes couvertes de
En somme, Mes Délices n'ont do Marly quo le
vignes et de

éléments de désordre que contient une grande ville. dence de la République, et Le Loup de Sancy, chef du de Vauban n'auraient pu atteindre l'enceinte, manente du sacrifice? Il faudrait là haut pen- Au peuple de Paris, calme profond et les ombrages. Sauf de la terrassa
La police s'est livrée à une répression excessive- 2° bureau à l'état-major général, sont passés à Col- l'artillerie moderne, même les petites pièces dant les longues journées d'hiver, un oflicier Aux socialistes de toutes les écoles, qui domine là place de l'Eglise, on n'a aucune vue
ment rigoureuse et nous empruntons, pour en'don- mars-les-Alpes, samedi 24 juin, avec 12 officiers. Ils alpines, auraient vite fait de réduire la ville comme cet Art Roë dissimulant, dit-on, un lieu- sur la vallée villa de la Seine et les coteaux voisins. Au
Camarades, Sardou, sa voisine, dont la belle
chômage sans précédent, qui jette la moitié contraire,
ner une idée, le compte rendu que donne la Post ont inspecté la vallée de Barcelonnette, le col d'Al- en cendres et les vieux forts en décom- tenant d'artillerie de Vincennes, qui vient de la
Après un allée bordée de dix sphinx
elle-même los, et ont visité la route de Colmars au col des bres. Il a donc fallu aller sur les hautes ci- nous donner un livre si pénétrant et si poignant, du prolétariat sur le pavé, sans ressources et sans grille ouvrant sur unebelles pelouses dévalant sut
A peine les lampes électriques furent-elles éteintes Champs, actuellement construite par le 23° bataillon mes voisines, dans la région des neiges. Pingot et moi (1), dédié à M. Melchior de Vogué. pain, le gouvernement de la République ose, violant devant roses, a, gràce à ses d'admirables échappées sur la
qu'une foule de jeunes gens sortirent de toutes les de chasseurs alpins. une telle situation, provoquer nos syndicats en les pentes du coteau,
Le commandant Clanet, du 58e d'infanterie, a Entre la frontière et la ville, une haute Voici donc enfin le livre attendu sur la vie leur liberté d'action, en leur imposant la loi imparfaite vallée de la Seine et, lointains par delà la forêt de Saint-Ger-
rues et tentèrent de passer à travers les lignes de la du Vexin.
police. Alors, l'ordre fut donné aux agents de mettre présenté les officiers des troupes alpines stationnées série de pics s'aligne du nord au sud, trouée intime des humbles du métier militaire. et policière du 21 mars 1884.
répondrez entente générale
main, Pontoise et les horizons
naturellement fort émo*
sabre au clair et de frapper tous ceux qui leur oppo- au camp de Ratery-Colmars, à 2,050 mètres d'alti- par une cluse formidable où mugit la Cer- Le lieutenant Art Roë a trouvé dans le régi- deAlaceclasse défi vous par une La venue du président a
ouvrière qui, par cette action, imposera tionné Marly qui ne s'attendait pas à cet honneur.
seraient de la résistance. Un grand nombre de citoyens tude. veyrette. C'est sur cette arête qu'on a porté ment un monde inconnu il y pénètre avec éton- les résolutionssuivantes visiter conseiller municipal
qui passaient sans se douter de rien, se rendant de la La population de Colmars, conduite par le maire, la défense. Le mont Janus, superbe rocher se nementet sympathie. Sa tendresse né va pas aux Le maire est allé son
brasserie chez eux, s'aperçurent alors de ce que c'est 1« Les moyens â employer pour l'application immé- sujet de la réception à faire chef de
qu'un agent avec lequel on discute, car la fureur des M. Roux, et le sous-préfet, de Castellane, M. terminant en promontoire vers l'Italie, haut de « malins », aux enfants des grandes villes, mais diate de la journée légale de huit heures, avec un mi- l'Etat. On paraîtdécidéà n'en pas faire, au Sardou, au puisque M.
sergents de ville ne connut plus de bornes. Henry, a fait un accueilenthousiaste au grand état- 2,514 mètres, a reçu un fort. Delà, pendant près au lourd travailleur de la terre dont l'esprit nimum de salaire. Marly, pré-
L'ordre donné fut exécuté de la manière la plus ter- 2° Suppression du marchandage et des bureaux de Carnot recherche surtout le calme. A fe
major général, qui s'est retiré charmé de la récep- d'une lieue, court, sur l'étroite arête, une route reste engourdi malgré la vie plus active et le placement. sident sera simplement en villégiature un voisin
rible. De toutes parts on entendait tomber des coups tion et frappé de l'importance stratégique de la bordée de batteriesdominant le cirque où naît voisinage d'êtres plus affinés. Il cherche à
sourds, et quiconque s'arrêtait pour demander ce qui vallée du Verdon, malheureusement défendue in- com- 3° De l'attitude de la classe ouvrière en face des de campagne de M. Alexandre Dumas, propriétaire
se passait était aussitôt entouré de quelques agents et complètement par les si pittoresques mais si inutiles la Durance; elle se termine à la cime du Gon- prendre ce qui se passe dans « cet être, neuf grèves actuelles.
et municipauxdu de Champflour, et de M. Victorien Sardou, héritier
sommé de la façon la plus brutale de prendre le large. fortifications de Colmars, ville qui aurait une garni- dran, croupe terreuse couverte de forts et de naguère entre les mains de son instructeur, département de la Seine sont invités à assister a cette des gouverneurs de la résidence royale. Il trouvera Les députés, conseillers généraux
ft'obéissait-il pas assez vite, il était atteint sans retard
d'un coup de sabre et mis en état d'arrestation. La son, si les difficultés de l'instruction des troupes ne batteries. Le Gondran est relié à Briançon
persoime arrêtée protestait-elle de son innocence ou s'y opposaient. ..par ideux. routes l'une passe par le pic de Tln- 11) A Paris, chez Berger-Levrault.
1 réunion.
LA COMMISSION DE PROPAGANDE. un ermitage.
à Marly ce que le grand roi y chercha vainement
;:¡,

de MM. Plaacn,
M.
M. vtger, ministre

chef de cabinet, est


où il a présidé la
concours régional.
Viger à Quimper
directeur
brée directeur général dps
arrivé
distribution
»,
Porquier, premier adjoint, et
S'est rendu immédiatement à
des

la
..m-J-i^'l
de l'agriculture, accompagné
général des haras,.Dau-
forêts, et Boucard, son
samedi soir à Quimper,
récompenses
Le ministre a été reçu par le préfet, M. Proudhon,
et par MM. Astor, sénateur, maire de député.
Hémori,.
préfecture.
Pendant la matinée d'hier, M. Viger, accompagné
du

Quirn fer,

d'une suite nombreuse."a visité l'exposition, le con-


Il

hippique. Puis il a reçu


droit pénal, Foinitzki, avocat général àSain.t-Pér maternelle parisienne, .dont Je -but est d'assurer aux
tersboui'.sr, de Mayer, ancien sous-secrétaire d'Etat nouveau-nés les meilleurs soins, .tout
d'Àlsaee-Lorraine, de Liszt, professeur
sité de Halle, le docteur. Kubner,
Hamel, professeur à l'Université
de
à l'Univer-
Berlin,
d'Amsterdam^
Van
séparant
visiter
pas
aussi
généreuses
de leurs mères,
fréquemnient
initiatrices dé
qui sont
qu'elles
l'œuvre,
le
qui
premier président, et Manau, procureur général à à Rueil, sur l'emplacement de l'ancien, hippodrome
la. Cour de cassation, Bertrand, procureur général
à la Cour d'appel, les directeurs
justice, Leveillé, professeur à la
Monod, directeur de l'Assistance
du ministère
Faculté
publique
tère do l'intérieur, Duflos, directeur
tion pénitentiaire, Bérenger, sénateur,
Blanc, etc..
de
au
de
de la
droit,
minis-
l'administra-
Xavier
le
en ne les
admises à. les
désirent;
Garofalo, président du tribunal de Naples, Mazeau, Charpentier, A. Sain et Manuel, ont fait construire
sont

de Porchefontaine, pour recevoir les jeunes enfants


dont s'occupe la société, de vastes locaux, auxquels
elles ont donné le nom de la « Pouponnière ».
C'était hier qu'avait lieu l'inauguration de ces
nouveaux bâtiments. Cette cérémonie, qui avait at-
tiré une nombreuse et élégante assistance, était
présidée par M. Goudchaux,conseiller général de
Seine-et-Oise. Au nombre des personnes présentes,
Ces
Mmes
Méditerranée.
très belle à Nice.
Corse.

Lundi.
•–
•i*-
8n.
'•-Mer houleuse à 'Marseille et à Sicié,
(Mer agitée aux
Variations atmosphériques du
JWJ£. :» .j^jÇBUW?

"10 h.
K'h.
i Sh. SOiP
îles Sanguinairjs.
26
THEB.M0iIETRB
juin

matin 14 •/» au-dessus Î62«» »h


14 1/2
18 1/2
20 1/2
On verra plus loin, dans 1 article des sports,
l'incident qui s'est produit, hier, aux courses d'Au-
teuil, entre M0 Lagasse et M. Guinebert.
Nous avons vu ce matin Me Lagasse, qui nous a
l
-r>
BAROM^nffl

762°«> »/»
»/»
762mn>
762Bm»/»
'ilq .}~< o:L:J..t~ ~'J'~
apposés sur la porte du petit appartement par le
joge de paix de l'arroïufissemeirfet par le consul
général, de Russie, Zawicki ayant laissé à sa grand.
mère et à ses amis un certain nombre de lettres ré-
clamées aussitôt par le gouvernement russe.
Au commencement de ce mois, les scellés n'a-
vaient point été levés encore" car des contestations
judiciaires s'étaient élevées entre la grand'mère de
Zawicki et le consul général de Russie à l'occasion
de l'exécution de la convention du 17 juin 1874 entre
la France et la Russie, qui est relative au règlement
des successions laissées dans l'un des deux Etats
par les nationaux de l'autre pays.
Ces contestations eurent même pour résultat de
provoquer une agitation très vive dans le monde
C
~.1~w~~r

I!

Blés.
~s.
VINcocACHEVRIERff:^Trs?»
duDOCCBUr~pR$
BULLETIN COMMERCIAL
cesEapftueé,o6

DÉPÊCHES COMMEHCMLES
ftiYRA101l0. ·IGAAfItEL

-Marseille, 25
Vendu 500 qx tendre Plata dispon. 416.50;
juin.
cours agricoleet le concours M. Guérin, ministre de la justice, a prononcé 2,000 qx Ghirka Alexandrof dispon. à 16 37 1/2; 1,508 qx


à la préfecture les autorités civiles et militaires et discours suivant on remarquaitM. le préfet de la Seine et Mme Pou- donné les explications suivantes des étudiants russes résidant à Paris et notamment dito (p. g. 121 1/2 kil.) embarq. juillet à 15 50 c. a. f.;
< < dans quelques-uns des groupes politiques auxquels
les corps constitués. L'évêque de Quimper, acconv: belle, M. Emile Zola, le docteur Th. Roussel, séna- « Je causais avec un de mes amis au pesage, au 4,000 qx dur Bône ou Philippeville livr. 5 d'août à 22 fr.;
GBÉRIN teur, membre de l'Académie de médecine, M. Cau- moment de la victoire de Cette, montée par Ronan. appartenaient les deux inculpés d'aujourd'hui, MM. 1,500 qxGhirka Alexandrof à 16 50. -Impart,. 663 qx.
paené do ses grands vicaires, est venu présenter ses
hommages au ministre.
Après un déjeuner à la préfecture, le ministre a
• >
ÛISCOURS DE M.
Messieurs,
J'ai accepté volontiers l'offre qui m'a été faite de pré-
meau, délégué par le Conseil municipal
M. Lefèvre, maire de Versailles, M.
de Paris,
Lenoir, adjoint
Me rappelant sa défaite récente à Colombes et m'a-
dressant à mon anr, je m'écriai « Bravo, Ronan,
Zimmer et Jullien.
Un meeting de protestation contre les mesures
prises en conformitéde la convention diplomatique
Graines oléagineuses. Vendu 1,000 qx arachides
décortiquées Bombay embarq. juillet-août à 27 50.
Laines. -Vendu 22 balles Bagdad pelade N à 150 Ir.
visité le musée, puis s'est rendu à la halle pour pré- sider la première séance du congrès de l'Union inter- au maire de Versailles, MM. Mazinghein et Truf- » c'est mieux qu'à Colombes ». Au môme moment, de 1874 fut même décidé, et Zimmer et Jullien con- Singapour, 22 juin.
sider à la distribution des récompenses. M, Viger a nationale de droit pénal. Il m'était particulièrement faut, membres du Conseil municipal de Versailles, je reçus par derrière un formidable coup de poing
den. .
Gambier qté ordin. 17 sh. 10 1/2 den. délivré.
remis les décorations suivantes
Officiers du Mérite agricole MM. David, agri-
culteur à Tréméven Le Roux, vétérinaire à Brest.
agréable de pouvoir vous souhaiter la bienvenue et de M. le grand-rabbin
vous assurer de l'accueil sympathique que vous trou- chaux,
heu-
Au début de la
a prononcé un
Zadoc Kahn, etc.
réunion, le président, M. Goud-
discours dans lequel il a dit
qui m'atteignit à la joue gauche et qui m'envoya
rouler à terre. J'ai eu deux dents cassées et les gen-
cives déchirées. Me voyant tout ensanglanté, les
tribuèrent puissamment à son organisation en ré-
digeant les notes qui parurent dans les journaux et
en faisant imprimer les affiches qui annoncèrent la
Sagou perlé 10 sh. 4 1/2 de_,
Farine de sagou Sarawak 8 sh- 9
Farine de tapioca 11 sh. 3 den.
:;
verez au milieu de nous. J'en suis d'autant plusâmes et défini le but de l'œuvre m< Sauver la assistants se sont précipités vers moi, m'ont relevé réunion. Poivre noir 2 3/4 den.; dito blanc 4 3/16 den. cif
Chevaliers du Mérite agricole MM. Hervieu; reux que j'ai l'honneur et le plaisir de saluerla jus- vie les origines
peuvent' En présence de cette agitation, la préfecture de Café Bally 80 sh.; coprah Bally nom., Sing.apore
propriétaire à Quéménéven Mahric, propriétaire à côtés mon éminent collègue, M. le ministre de aux enfants que les parents ne élever et m'ont fait donner les premiers soins à-la pharma- police crut devoir faire exercer une surveillance de 16 sh. 1 1/2 d. avec coût et fret par steamerpour Ham-
Juvillac; Viaud, professeur à l'Ecole pratique d'a- chez
tice de Belgique, qui a voulu, honorant ce congrès de nourrice eux et doivent, en conséquence, mettre en cie. Je n'ai nullement eu l'intention d'être ironique
griculture Cornic, vétérinaire à Quimper Guillou, envers M. Guinebert, et je ne m'explique pas son tous les instants sur les scellés apposés sur l'ap- bourg.
Juge de paix à Lamneur; Toubmont, propriétaire à sa présence, marquer l'intérêt qu'il attache à vos tra- Après
».
allocution très applaudie de M. le doc- intervention. partementde Zawicki, et le 8 juin le service de sur-
Plobannalec Le Coz, vétérinaire à Morlaix Cara-
vaux.
Vous avez eu, messieurs, l'heureuse idée de vous teur
une
ThéophileRoussel, qui a déclaréqu'en présence » J'ai déposé une plainte entre les mains du com- veillance était confié aux agents Duval, Thomas,
/"m~ S 7P C~ R'L'
dec, propriétaire à Kervillern Le Défont, proprié-
taire à Trevaux; Perrot, propriétaire à Kôngo-
nalcfi.'
placer sous le patronage de .deux sociétés qui se sont de ce
acquis des titres à la reccnnaissancede tous ceux que résultats
préoccupent les questions pénales et les améliorations tureJules
qu'il
d'une
voyait
obtenus
lettre
il
par
applaudissait
la
adressé
société,
à Mme
sans réserve aux
il a été donné lec-
Charpentier par
missaire de Boulogne. »
Un fabricant de bicyclettes a imaginé un ori-
Gonot, Souaison et Berthounier.
Ce jour-là môme, Berthounier abandonna à ses
collègues la chambre qu'il habitait dans la maison
Courses d'Auteuil '*<^3
éminent col- ginal moyen de réclame. Il a fait confectionner un et qui, située au rez-de-chaussée, commandait l'en-
II a, en outre, été distribué trois médailles d'hon- à introduire dans les diverses branches de la législa- M. Simon, dans laquelle notre
trée de l'immeuble, et alla occuper un petit loge- Une légère averse a failli gâter, au début, la journée
neur en or,undouze en argent et dix-sept en bronze, laborateur s'excuse, retenu par d'autres, occupa- mannequin articulé à la figure peinte qu'il a revêtu d'hier à Auteuil; mais les nuages se sont vite dissipés,
banquet a été offert à M. Viger. Aux
tion. tions, de n'avoir assister à l'inauguration de la d'un costume authentique de gardien de la paix, ment situé au sixième étage, à quelquespas de l'ap- et le public nombreux venu pour-voir courir le prix de
Le soir, Vous ne pouviez avoir de meilleurs répondants au- Pouponnière. pu puis il a placé ce mannequin sur une bicyclette traî- partement où Zawicki s'était émpoisonné. France aurait trouvé le déplacementdes plus. agréables,
côtés du ministre avaient pris place M. Proudhpn, près de nous. La Société générale des prisons et la née par une voiture réclame. Hier, vers trois heu- Vers cinq heures, parurent Zimmer et Jullien. sans un très regrettableincident qui est venujeterune
préfet du Finistère le général commandant la 44« Société de législation comparée ont montré ce que qui Voici en quels termes est conçue cette lettre,
res, une foule considérable de curieux suivait cet Sans mot dire, en gens qui ont les habitudes de la note des plus attristantes sur la réunion.
brigade d'infanterie;M. Astor, maire de Quimper; a provoqué dans l'assistance de chaleureux ap-
peut l'initiative privée et les services que l'on doit at- plaudissements •• appareil sur le boulevard de Magenta. Mais de vérita- maison, ils passèrentdevant la loge du conciergeet Disons tout de suite ce qu'a été cet incident. La ju-
plusieurs sénateurs et députés M. Vallot, évoque
de Quimper, e\ un vicaire général les directeurs
des différents services administratifs, etc.
Au dessert, M. Astor, maire de Quimper, a re-
tendre d'associations dont le but est d'accroître le pa-
trimoine moral et intellectuel du pays.
L'Union internationale de droit pénal, elle aussi,
doit à l'initiative privée son origine et ses progrès.
Madame, •. •: '•• -
Je suis bien fâché d'être retenu dimanche prochain
.4;"
bles gardiens de la paix intervinrentet conduisirent
leur faux collègue au commissariat de .M. Dresch.
Les 15° et 27e d'artillerie, en garnison à Douai,
gravirent l'escalier, mais ils avaient été vuspar l'a-
gent Souaison, qui, frappé de leur allure, prévint
ses collègues. Etouffant le bruit de leurs pas, ils
s'engagèrentà leur tour dans l'escalier.
ment Cette (Ronan), appartenant à M. de Vésian, dont
le nom ne saurait en rien être mêlé à gagner
traînée par M. Guinebert. venait de
Torpitleur (15,000 fr., 4,500 m.), battant très aisé-
l'affaire, et en-
le prix Le
mercié le ministre de sa présence, disant que.sa vi- à Paris l'obligation de présider la distribution des ment de deux longueursVelum, à M. G. Dreyfus (Beeck),
Fondée pour rechercher les moyens de combattre la prix de par l'Association philotechnique. Aucune cérémo- sont partis ces jours derniers pour aller manœu- Ils étaient arrivés au cinquième étage, lorsqu'ils 2°, Grossmann, à M. Béthune (S. Mann). 3e, à six loa
Bite est un encouragement aux agriculteurs, si criminalité, elle entend soumettre à une critique rai- nie ne m'aurait attiré autant que la vôtre. Depuis plu- la mu- furent croisés par Zimmer et Jullien, qui redescen- Cymbal II, Latude, Whist et Mirette
gueurs du second,avait-elle
éprouvés par la sécneresse. « Le Finistère, dit-il, vrer au camp de Chàlons, accompagnés par passé première le poteau
sonnée et approfondie les divers systèmes qui ontpour sieurs années, je ne cesse de crier à tout le monde que sique de l'Ecole d'artillerie. Leur voyage vientd'ê- daient du sixième. tombée. A peine
est franchement attaché au régime républicain, en objet d'en prévenir le .développement et d'en assurer le sang de la France coule entre nos doigts. La popu- tre attristé par la mort de M. Chaulier, chef de mu- Qui êtes-vous ? et d'où venez-vous? demanda que de violentes clameurs, accompagnées de sifflets,
dépit de certaines croyances. » Il termine en buvant la répression. lation s'accroît chez nos voisins si rapidement et nous sique, qui a été tué d'un coup de pied de cheval. Souaison. s'élevaient de la foule massée le long
trouvaient
des barrières sur
représentantdu gouvernement la protestations un écho pe-
« au ministre, digne
pelouse ces au
Quatre années seulementse sont écoulées depuis le restons si fort en arrière Qui nous sommes? répondit Zimmer. Des étu- des plus vifs,
de la République, et à M. Carnot, dont la maladie que nous ne tarderons pas à Plusieurs enfants jouaient, hier, dans un ter- sage, où l'on rapprochait, dans des termes
jour où vous avez formulé votre programme, et cepen- l'infériorité numérique de nos armées celle diants. C'est à nous qu'est due l'organisationde la avec toutes sortes d'épithètes accentuées, la facile, vic-
prive les habitants du Finistère d'une visite si im- dant il me semble que déjà vous pouvez légitimement
gémir de
bienfaisante rain vague près de l'église du Sacré-Cœur, à Tour- réunion publique dans laquelle on s'est préoccupé toire du jour de la dernière défaite de Cette, mercredi,
patiemment attendue. de la guerre et celle de la paix, l'armée, la coing, lorsque le jeune Debischoop, âgé de onze ans, était battue Montcalm, un che-
Le ministre se lève ensuite et, dans un discours vous enorgueillir des résultats obtenus. armée du travail. On a cherché, à augmenter la pro- de la succession de Zawicki,et nous sommes venus à Colombes, où elle par
Vous avez su réunir dans une commune pensée de duction je me prête à cela en riant: ce ne sont pres- poussa un petit bossu, Vanderbilke, âgé de dix ans, afin de voir si les scellés apposés sur la porte de sa val de prix à réclamer.
très applaudi,il définit l'utilité politique des concours dévouement à une œuvre d'un haut intérêt social, des qui, en tombant, se fit quelques légères contusions chambre n'avaient pas été brisés. M. Guinebert, qui était allé au devant de la jument
régionaux. « Tandis que dans le milieu politique les que que des folies. Ce qui est vraiment pratique, c'est aux genoux. Les frères de ce dernier, âgés de dix- qu'il entraîne et qui entendait crier autouremporter de lui
esprits s'agitent, les fêtes agricoles, sur lesquelles jurisconsultes et des criminalistesappartenant aux na- de faire obstacle à la mort. Nous y sommes tenus d'a- Vous direz cela au commissaire, conclut alors «Au voleur! » énervé par les cris, témoin se laissa
tionalités les plus diverses. Aux congrès de Bruxelles, bord, indépendamment du devoir patriotique, par le huit et seize ans, prévenus aussitôt, se jetèrent sur l'agent Duval qui, toutefois, jugea utile avant de et, au moment où un de la scène
plane l'incontestée et grave figure de la République de Berne, de Christiania, vous avez montré comment Debischoop et le frappèrent violemment à coups de conduireZimmer et Jullien chez le commissaire de par la colère
disait simplement « Bravo bien mieux que la der-
réunissenttous les cceurs dans les mêmes aspira- plus impérieux devoir de l'humanité. de pied et de. poing. L'enfant a été transporté chez qui
vous savez examiner et résoudre les plus délicats pro- Vous pensez comme moi, madame, que nous lais- police du quartier, de monter avec eux au sixième nière fois » tomba sur le sportsman en question,
tions et les mêmes vœux. » Abordant le terrain po- blèmes de législation pénale. Il suffit de lire le compte lui dans un état désespéré par suite de lésions in- étage de la maison. n'était autre que Me Lagasse, le défenseur de Ravachol,
litique, le ministre dit que, sans la République, il sons mourir chaque année, faute de soins, plus de cent et lui asséna un coup de poing si violent qu'il lui fendit la
n'y a pas de patrie possible et que la réaction est rendu de vos travaux, pour être frappé de la sûreté mille enfants. Il n'y a qu'à lire les tables de M. Ber- ternes. Il constata alors que l'un des scellés apposés par
lèvre et luitransporté
abîma la machoire. Me Lagasse, la figure. en
avec laquelle vos discussions ont été conduites et de tillon. Les pauvres bébés sont sur la brèche dès le pre- le consul général de Russie avait été brisé. balances, où,
morte. « Tous les efforts, conclut-il, doivent se réu- la netteté avec laquelle vos décisions ont été formulées. On nous écrit de Toulouse Tels sont les faits sur lesquels va se prononcer la sang. est dans la salle des

i
nir pour l'amour de la République et son affermis- mier jour, exposés à toutes les conséquences des cou- Le 10 juin, une petite fille de sept ans, Catherine aussitôt remis de cette inqualifiable agression,etilles a
sement. » Le ministre termine en buvant au prési- Vous avez ainsi excellemment accompli une partie rants d'air, de l'abandon et d'une alimentation déri- 8e chambre. porté plainte. Une enquête judiciaire suivra,
essentielle de la tâche que vous vous êtes assignée. soire. L'histoire des nourrices de la campagne est une Gonzaigues,fut trouvée morte dans un puisard si- commissaires de la Société des steeple-chases de France
dent de la Républiqueet à l'agriculture. tué dans un bois de la commune de Romieu (Gers).
Mais vous n'entendez pas vous borner à des discus- auront, de leur côté, à se prononcer sur l'affaire.
matin.
a
Le ministre de 1 agriculture quitté Quimper ne sions purement spéculatives, sans autre préoccupation
histoire funèbre, que résume Ce mot de «faiseuses d'an-
ges » que l'on adonné à ces entrepreneusesde la morta-
La police de sûreté de Toulouse vient de procéder à JNiiiLi±lUi-iUlxIi!i En ce qui concerne la course, il ne nous semble pas
surprenant que quelques-
que de fournir à vos rapporteurs l'occasion de mon- la double arrestation des nommés Eugène Fournié, mia le résultat en soit aussi rapport entre-le
lité enfantine. âgé de vingt-cinq ans, originaire d'Auch, et Pierre une ont paru le croire il n'y a aucun
trer la souplesse de leur esprit et latout, vigueur de leur n y a la charité, les nourrices officielles et les se-
",d.
Les papiers de M. Millevoye de Colombes et celui d'Auteuil, et. avec .le
argumentation. Vous voulez, avant faire œuvre Auga, âgé de quarante-quatre ans, colporteur, né au parcours avait chance aussi bien que
cours de maternité. Mais ces aumônes officielles sont Blanc (Indre), sous l'inculpation du viol et de l'as- M. Massoc-Mandre,directeur de la 26° circonscrip- plus petit poids, Cette d'un sa
Nous avons dit, lorsque M. Atthalin décerna con- pratique. Vous pensez et vous proclamez vous-mêmes insuffisantes à tous les points de vue. A qui s'adres- tion pénitentiaire (Gironde, Charente-Inférieure et chacun des concurrents handicap, puisque c était
que, si la législation pénale de chaque Etat varie avec sassinat commis le 10 juin. d'un handicap hier qu'iL s'agissait.àMais le malheurest
tre-Norton un mandat de dépôt, que celuî-ci était senUelles Aux malheureuses .qui n'ont plus le senti- Dordogne), est mort hier à Bordeaux, au fort du tort raison, suspecter
arrêté en vertu de l'article 2 de la loi du 18 avril les mce'jrs, les habitudes et les institutions nationa- ment de leur dignité et qui se résignent elles-mêmes à On télégraphie de Valence Hà, siège administratifde sa circonscription. que le public a cru déjà, à ou
interversionsde forme des
les, il y a des principes communs à tous les peuples plus d'une fois les brusques
1886 punissant de l'emprisonnement et de l'amende n'être que des mendiantes. L'immense majorité des chevaux entraînés par M. Guinebert et que celui-ci a
civilisés. M. Georges de Neyrieux, beau-frère du marquis de
tout individu qui aura livré ou communiquédes do-

mères veulentrester mère; elles demandent seulement eu le tort, dans une circonstance analogue, de se livrer
Ces^principes,vous vous attachez à les dégager, à v Bimar, en villégiature à Chàbeuil, se rendait à Va- Nous avons le regret d'apprendre la mort de Mme de lui un récidiviste,
cuments secrets intéressant la défense ou le. sûreté qu'on atténue le fardeau pour qu'elles puissent le por- lence à cheval. déjà à un acte de violence qui faitdoit
extérieure de l'Etat. Dans l'interrogatoirequ'il ve- les mettre en lumière, à en faire proclamer la légiti- ter. C'est à celles-là que vous avez pensé. Obligées de de Blowitz, femme de notre confrère M. de Blowitz, dont Me Lagasse, en tout cas, ne avoir aucune en-
nait de subir. Norton avait, en effet, affirmé l'au- mité par les jurisconsultes et les criminalistes de tous
les pays :.n'est-ce pas le moyen d'en assurer la pro- passer la journée à l'atelier, au magasin ou au bureau
Sur la rampe rapide du Chabran, l'animal s'est em- correspondant
ballé et a jeté son cavalier sur la route. Relevé aussi-
Mme de
du Times à Paris.
Blowitz, née Arnaud d'Agnel, s'est éteinte,
vie d'entreprendre la défense.
Le rapport de Cette au pari mutuel,à àla..pelouse, l'unité de 10
thenticité des papiers livrés par-lui à M. Ducrat.. chaine application? parce que leur salaire fait l'appoint nécessaire à celui tôt grièvement blessé, il a été transporté au petit sé-
francs, au pesage, était de 110 francs à5
Mais devant les aveux qu'il a faits avant-hier, M. de leur mari, elles sont obligées de livrer leurs enfants minaire, où, malgré les soins, il a succombé ce matin. hier, en son domicile, rue de Tilsitt, 12.
Atthalin a dû changer les termes de l'inculpation Vous préparez et vous facilitez l'oeuvre du législa- à des nourricesmercenaires qui ne les nourrissent pas. Suivant le désir formel de la déîunte, il n'y aura francs, de 60 fr. 50.
^L^eômpagnonVécurie
de Cette, Sélim II, é.tait tom-
'Norton est désormais poursuivi pour faux et usage teur en mettant à sa disposition une ample moisson de Vous remplacez la fausse nourrice, qui n'a pas de ni lettre de faire part ni fleurs. be tribunes, dans la première course,

)
INFORMATIONS DIVERSES à la rivière des
de pièces fausses. matériaux. Vous éclairez sa route en projetant la lu- lait, pas même de lait de vache ou de chèvre, et qui Une messe basse sera dite demain mardi, à. dix le prix Biberon (steeple-chase, 8,000 fr. 4,200 -m.],
mière sur les imperfections et les lacunes des vieilles n'a pas d'asile par votre beau pavillon» en bon air, On nous prie d'annoncer qu'en raison du prochain heures, en l'église Saint-Philippe-du-Roule,sa pa- qui a été gagné par Cadix à M. Holtzer (Watlans), bat-
M. Atthalin, juge d'instruction^ a examiné rapi- législations. Partout on consulte et on utilise vos tra- départ de M. le présidentde la République pour Marly roisse. tant de loin Simoun II, tombé lui aussi en, route et
dement les papiers saisis chez M.'Du.cret, au courss vaux vous recueillez ainsi la seule récompense que par des soins judicieux et continuels, par la pré- Mme Carnot cesse ses réceptions du mardi. Le corps sera transporté de l'église à la gare de remonté. J îff
sence. non interrompue du médecin, et surtout par Pari mutuel 21 francs. <n~Qnn~â~
de la perquisition que nous avons racontée hier. A vous ayez jamais ambitionnée vous avez conscience pour être enseveli, à Marseille, dans le ca-

.• <
Le président du Sénat donnera mercredi 28 juin Lyon,
;première vue, il ne croit pas qu'il y ait des docu- de servir utilement la cause du progrès. une alimentation normale étudiée, rectifiée selon les de la famille Arnaud d'Agnel. Le prix du Chalet (haies, handicap, 4,000fr., 3,0UO~m.)
besoins,, faite au sein pour la plus grande partie, un dîner suivi, à neuf heures et demie, d'une récep- veau a été gagné de deux longueurs par Sado, à M. J. Arch-
ments importants concernant l'affaire des. papiers Messieurs, en choisissantParis pour être le siège de On se réunira à l'église. deacon (Basden), battant Maiden, 2«; Talan. 3", Oreste
'de M. Millevoye. Quant aux notes relativesà M.
Wilson, ce sont des projets d'articles.
votre congrès, vous avez voulu donner à votre asso-
ciation droit de cité parmi nous. Je me félicite que
et la mère, sans augmenter son sacrifice, voit son en-
fant entrer dans un paradis. Vous êtes aussi, mada-
tion au Petit-Luxembourg.
MM. les sénateurs et les députés sont priés de con-
Une messe sera célébrée dans Féglise Saint-
jetPariuiva. francs.
me, la providence des nourrices elles-mêmes, sidérer le présent avis comme une invitation à la ré-
que le mutuel 54
Norton persiste à dire que M. Ducret a com- vous ayez eu cette pensée. Soyez certains que nous Le prix de France (steeple-chase international, han-
posé avec lui les prétendus documents diplomati- suivrons vos travaux avec un vif intérêt et que nous besoin forçait à se séparer de leur propre enfant pour ception pour eux et'leurs familles. Sont également in- Pierre de Chaillot, le 28, à onze heures, par les. dicap, 20,000 fr., 4,000 m.) donné lieu à une très jolie
a l'origine, était un -steeple
donner leur lait à l'enfant d'une autre. Vous ne pre- vités avec leurs familles, MM. les membres du corps soins de M. Benjamin W. Moss et de sa fa- steeple-chase,
ques et voulant préciser encore davantage ses dé- applaudirons aux succès de vos efforts. Puissent les nez plus la nourrice sans son enfant. Vous payez les diplomatique, du Conseil d'Etat, de l'Institut, les offi- mine, pour le repos de l'âme du colonel Viriii- course. Ce à
militaire, réservé aux seuls officiersguerre en activité da
clarations là-dessus, il a ajouté: "Il me les dictait discussions auxquelles vous allez livrer contri-
vous
:•••• : •• obligé,
soins qu'elle donne à un autre en élevant gratuitement

'!•
ciers supérieurs de l'armée de Paris, lés chefs de ser- lio Carvalho, son beau-frère,, décédé à Rio-Ja- service; une décision du ministre de la asteeple-
et j'écrivais sur une petite table qui se trouve dans buer à resserrer les liens d'estime et de confiance réci- le sien. vice dans les différentes administrations et les per- neiro. la Société, des
l'année dernière, le comité deles. conditions premières
le jardin-do M. Ducret. «Cette petite table existe, faire apparaitre d'une
proques qui vous unissent, et caractère chases de France à modifier gentlemen-riders sans
Votre œuvre est bien une œuvre de charité, parce que sonnes qui sont en relations privées avec.. M* le présï-
en effet, mais Norton a pudelalavoir
tes qu'il a faites au directeur
dans les visi-
Cocarde.
façon plus éclatante encore
reux et désintéressé de
le
l'oeuvre
élevé, géné-
que vous avez entre- c'est la charité qui vous anime. Mais la mère contribue
avec vous à payer les dépenses de son enfant. Elle a la
dent du Sénat. < Les obsèques de M. Scheurïch, propriétaire de
l'hôtel auront lieu à Saint-Roch, mardi
et à ouvrir cette course aux
aucune distinction.M. La victoire est restée,
l'un
cette année,
meilleurs
Pour celui-ci, il est fort tranquille. Il mangé, boit prise. gloire, elle a la joie de travailler pour lui. Le travail Jeudi, à deux heures et demie, M. Poincaré, minis- matin, àMeurice, précises.
1892, à Morand, -de nos
comme en qui a été très justement félicité. M. Morand
et dort avec la plus parfaite insouciance: « Je suis o ion de l'Uniari
Je déclare ouverte la session l'Union internatio-
interna 'o- tre de l'instruction publique, inaugurera le monu- dix heures cavaliers,
qu'on fait pour une telle cause est un travail béni, qui Robert Lebaudy, Lord Wil-
ment que les anciens élèves de M. Fustél de Coulanges faire part sont priéesn'auraient
bien certain, dit-il, que l'on arrivera à connaître nale de droit pénal. Les personnes qui pas reçu de lettre de montait un cheval de M. d'Angleterre.
ne fatigue pas. Vous mesurez pour elle, dans votre considérer le présent avis récemment importé Lord William
toute la vérité. On saura alors que le nègre a menti M. Prins, président de l'Union, remercie le garde ont élevé à leur maître dans la salle des Actes de l'Ecole comme une invitation.
de liam, Garnement,. à M.J. Monnfer
effrontément et que je ne suis pour rien dans la sagesse, le poids du fardeau. Vous ne lui demandez battait d'une longueur
confection de ses documents diplomatiques. J'ai été. des sceaux et les membres français de s'être rendus que ce qu'elle peut donner. Vous ne prenez que ce normale. Le buste de l'illustrehistorien estla reproduc- (M:Brécard), 28, et Tunique, à M. Paccard
second.
(baron
Crouvillaise,
de
au
à l'invitation du comité. Il se félicite de trouver dans qu'elle vous offre. Vous avez des bourses, des demi- tion en bronze du marbre que M. Pierre Ogé à exécuté Ràvignan), 3», à une tête du

4 »T vicomte de Nantois, montée par son propriétaire, était


trompé. Dupe, oui; complice, jamais. »
M. de Morès s'est rendu, hier, au Palais de justi-
ce, accompagné de M. de Cesti pour remettre à M,
Atthalin les documents qu'il avait promis à M. Clé^
ce congrès une manifestation éclatante du caractère
international de l'Union. Le fait saillant du siècle
est précisément cet internationalisme du droit pé-
nal qui devient essentiellement social et individua-
bourses, des quarts de bourse. Votre maison est à tous
les points de vue une maison maternelle.
Le plus grand service que vous nous rendrez con-
sistera peut-êtredans les études que va faire-le corps
pour l'Institut. La stèle est l'œuvre de M. Mayeux,pro-
fesseur à l'Ecole des beaux-arts, architecte de l'Ecole
normale. Tous les àhciens^élèves de l'Ecole normale
désireux de rendre hommage à la mémoire de M. Fus-
~)~A. A. A~~a~ ~)~ j~ A. ~~0
LAIT 1 STÉRILISÉ
STÉRILISÉ:
P
tderniers
placée 4".
P Non placés:- .1. Kilmore, Montigny, Baron, Incognito,

tombés. "' JJ':•'•


Redon, Sachet Il et.
Jagellon, Redqn, et Montagnard^
••
cea dns
M'Olltagna;r. ,cas.
\'§
x.

.s
fr.
liste, tant dans ses principes que dans ses diffé- tel de Coulanges sont priés de considérer, cette note 4 LAIT mutuel: 73 francs. -.{ sw'"
ment, commissaire aux délégations judiciaires, de
• porter au juge instructeur. Ladeporte du cabinet rentes applications. La prévention et la répression médical dans cette maison, si bien aménagée et si Dieu
pourvue dé tout ce que la. science a besoin de rassem- commeune invitation. 4 \] PUR NOM ÉCRÉMÉ > Pari
Le prix de la Tour (haies, 5,000(Ward), fr.2,700.m.)-a étéiga-
de M.
Cesti
Atthalin
se sont
étant
retirés et
close,*
comme
M.
les
Morès et M. de
documents for-
deviennent. hautement charitables, notamment en
ce qui concerne la protection de l'enfance, et par
suite elles se décentralisent de jour en jour. Ces
bler sous sa main. Que Dieu vous aide Sauvez la vie
à ces petits êtres. Augmentez la population saine et
M. Joseph Faire a fait, hier, à "Vaucouleurs, sous
la présidence de M. Ghevelle, maire, une conférence
.4 DE LA FERME D'ARCY-EN-BRIE j>
A S'adr. 22, Rue de Paradis, Paris
2e"etMarnes,3c.
tombé.
gné par Cadalen, à M. A.. Roche. battant Vezin,
Non placés': Timbre-Poste; La Villette, Salien, Tiff et

ment un volumineux paquet très lourd et fort em- graves questions et ces aspirations généreuses no valide du pays. Tous les honnêtes gens' applaudissent sur Jeanne d'Arc. 0-y -y v?1 VWVTTWTT9 Odessa,
barrassant, M. de Mores les posésaujourd'hui.
du Palais où il les reprendra,
moment de sa visite à M. Atthalin.
On a vu que, dans la note qu'elle communique
A.
dans un coin

,r,¡
au
-l"jf> 'js$;.
pouvaient être discutées dans un cadre plus appro-
prié que la Sorbonne, qui a su si bien concilier les
pro°rès nécessaires avec le respect des traditions.
Après ce discours, qui a' été très applaudi, l'as-
semblée procède à l'élection d'un nouveau prési-
à vos efforts et les suivent de cœur.
Pour moi, madame, je suis depuis longtemps, comme
vous savez, de vous et de vos collaboratrices le très
fldéle admirateur.
JULES SIMON.
La réunion a exprimé, à l'unanimité, le vœu que M.
Poincaré, député de la Meuse, ministre de l'instrue-
tion publique, assure par un .arrêté le vœu du conseil
KBi'ïFUPâ'liSÏ^'Tfg? fi9fâlg_ ImprimezMOT
supérieur en faveur d'une fête scolaire annuelle .de 't n Circulaires, Dessins, Plans, Hnsiqne et Photographie.
Jeanne d'Arc. ;ti^.4,r..?H,
f .• |J ;| l;i~K :£! •"•
DuOrlSÏ
GrlIUlR

_aB Indispensable am commerçante, officiera minisUSriels,ete.


Pari mutuel 23
Le prix de la Rivière (steeple-chase,3,000 fn, 3,200. m.)
vous-même a été gagné par Badine, à M..d'Alain (Ward),
i Aïssé, tombée et remontée, et Désir,
Pari mutuel: 26 fr.. tombé.
battant
>

aux journaux; l'ambassade d'Angleterre disait que dent de l'Union. Est élu notre éminent collaborateur Les discours terminés, les invités ont visité les Hier, dimanche, a eu lieu,' au Conservatoire des
• _Fhspécihens fan». J. Gîi-OULOZ. 9. Bd Poissonnière.Paris La réunion de Saint^uentni,qui; avait eu -lieu hïer-
Norton lui avait été recommandé par un député M: Leveillé/professeur de législation criminelle à la locaux delà Pouponnière,dont l'aménagement a été également, en même temps qu'il y avait courses à
• i
arts et métiers,l'assemblée générale de la Société phi-
français. Un journal ayant dit que ce député était.
M. Flourens, ancien ministre des affaires étrangè-
res, M. Flouréns dément cette' allégation parla note
• suiyajate, qu'il adresse à l'agence Havas
Faculté de droit, qui prononce quelques paroles de
travaux du congrès.
remerciement et. donne lecture du programme des
Le congrès discutera les questions suivantes: | ••' La grève des
.•••>{
opéré avec le souci absolu du bien-être des bébés
qu'ils sont destinés à hospitaliser.
.<?
'' lanthropique savoisienne de Paris. M." Chautemps, dé-
puté de la Seine, après une interruption de quelques
aimées, a de nouveau accepté, pour une période de
Rouen, à Lyon, à Lille, à Toulouse, à Bazas et à Sanat-
Brieùc, a été attristée par un terrible
dans le grand prix de la-/ Ville, (steeple-chase,
3200 nu), gagné par Rodomont,
montait
à
accident survenu
'M. G.
3,000
Ledat
cheval à
(DOg-
&

si
cochers gett). Le jo.ckev Keyte, qui un M. G.
Cet après-midi, à trois heures et demie « Les sen-
T
>• deux ans, la présidence de la société. MM. Pierre Blanc, Hygiénique, Reconstituant, Stimulant
si malheureuse-
En réponse à des allégations contenues dans l'Esta- M. Bixio, directeur de la Compagnie générale, à président d'âge de la Chambre, Duval et Carquet, dépu- Remplace Bains alcalins,ferrugineux, Champouillon,"Le Gave,, est tombé,
Flourens nous fait
fette et reproduitespar le Paris, M. le. tences indéterminées. » Rapporteurs, MM. Brockway sulfureux, surtout les Battis de mer. ment qu'il s'est tué sur le coup. Le. cheval de M. Tas-
savoir qu'il n'a jamais vu ni connu nommé Norton, (Etats-Unis), van Hahiel (Pays-Bas), Prins (Bel- conféré ce matin avec M. Lozé sur la grève. tés, assistaient également à la séance.. & Èxigo- Timlirejlf VÊlat. PHARMACIES.BAINS _J i set Arsenal, qui courait dans cette même épreuve, a
recommander.
qu'il n'a, par conséquent, jamais écrit de lettre pour le. Mardi,
gique).
Marl,matin Qconmesures,
et soir: «Quelles rendre
mesures, soit d'as-
FAITS DIVERS
Les Rosati inauguraient, hier, à Fontenay-aux- fait
abattu.une chute à la suite de laquelle il a du êfea

!
'•••.
poursuit
M. Flourens en diffamation l'Estafette de- ma
sistance, soit de répression, convient-il de prendre
Roses, le buste de La Fontaine, sous -la présidence de
f BâîHS SâtliSdeLâiSÎLÏSÉ1 v. _(.(,
vant la Cour d'assises à raison de l'article publié par à ï'ôgarddes mendiants et des vagabonds?Rappor-
M..Carolus Duran.
Malgré le mauvais temps, la fête a été très gaie.
i
CÏCOS5IE ' i|
ce journal dans son numéro du 16 juin et intitulé à BESANÇON iDuuns) aii. 1/ de Paris., pu: arnvèi
M. Flouréns.. teurs MM. J. Drioux (France) et le pasteur Robin M. Doyen, maire de Fontenay, a souhaité la bienve- BAINS SALINS, EAUX MÈRES, HYDROTHÉRAPIE Malgré toute son énergie, Stéphane n'a à
(France). l'atteindre.

.•
Lymphatisme, Goutte, Scrofule battre son record de 1892, ni même à Tou-
? Nous recevons la lettre suivante Mercredi, matin: «De la méthode relative à l'or- nue à ses hôtes, et M. Carolus Duran a répondu par Anémie, Rachitisme, Maladiesnerveuses tefois, par égard pour la foule immense qui était ve-
t La dépression dont le centre Christiansund
était hier près d'Oxô, une allocution pleine d'humour. Un banquet a réuni l'applaudir, il marché jusqu'au bout, tout en; -sa
Monsieur le directeur, ganisation d'une statistique scientifiqueet uniforme s'est transportée au nord de elle est ensuite tous les Rosati sous les bosquets du café QRAHO GASIHO, THÉÂTRE, CONCERTS, EXCURSIONS nue
rendant compte de
a
l'impossibilité où il était d'arriver.
Le Temps, dans, son numéro d'hier, a publié une con- de la récidive. » Rapporteurs MM. Bodio (Italie), suivie d'une autre qui s'avance assez rapidement au Faure; des poésies ont été dites au dessert, des toasts ^i»<!iRi^Sii^iT^.iiiaes !?fiINf' Il a fait exactement en vingt-quatre heures 620 kil.
versation où M. de Cesti, à l'occasion d'un récent scan- van Hamel (Pays-Bas), Kœbner (Allemagne). sud del'Irlande et amène une baisse barométritrue sur ont été portés et les honneurs de la Rose ont été ii n- 305 mètres. On l'a porté en triomphe, et, après avoir
dale, après avoir protesté contre le rôle attribuécru
à son. Mercredi, après'midi « Quelle est l'influence que tout l'ouest de la France. La pressionhauteurscontinue à se re-
rendus au sculpteur Doublemard et au poète Ch. pris les premières précautions hygiéniques, .cet homme,
Faubourg-Saint-Honoré, de- lever
les études sociologiques et anthropologiques peu- périeures au centre du continent où les sont su- a su^vii
agence de la rue du a à elles atteignent 76i à Lyon et à Lamy. qui venait de fournit une semblable journée, de
voir ajouter « N'a-t-on pas dit aussi que'là se trouvait vent avoir sur les conceptions juridiquesMM.fonda- 760 mm. ~G~I~ÉRA16~~ DU $A~~ la meilleure grâce du monde, à' l'hôpital Bor-
le comité de M. Andrieux? p mentales des lois pénales ? » Rapporteurs, Ali- Alger. Le vent est faible de l'est à Valentia
fort duS.-E. àOuessant;il souffle de l'ouest sur la
et assez Après la lecture des pièces couronnées au concours 1 avec
deaux, le docteur Bergognié, qui l'a" électrisô douce-

• cette supposi- des Rosati, tous les invités ont assisté aux jeux [1
Je tiens à répondre à M. de Cesti quefaite DRAGÉES de courants faradiques, opération dont le coureur
sonne.
tion invraisemblable n'a jamais été par per-
Je comprends l'intérêt que peuvent avoir certains
personnagesà dépisterde l'attention;.maisje ne puis per-
mena
Le
(Italie), Garofalo (Italie), Gauckler
de Liszt (Allemagne), Tarde {France).
(France),
:•-
congrès visitera demain, à une heure, le ser-
Baltique. Il a plu sur tout le versant nord-ouest de
l'Europe.
La température monte sur
vice anthropométrique de M.Bertillon, et, jeudi ma- était, ce matin,
nos
de +10° à Stornoway, 13° à Paris, 19° à
`-
côtes de l'Océan; elle
offerts à la jeunesse du pays sur la place de. la Mairie.

TRIBUNAUX
VÉRITABLES
FER RABUTEÀU
CE:
F-
ment
s'est si bien trouvé qu'il
commencer, thérapeutiquement
a demandé au docteur de re-
cette fois. Les obser-
vations du docteur seront intéressantes à lire lors-
qu'elles seront rédigées..
mon nom pour rompre les tin, l'asile départemental de Nanterre.' Moscou,. Biarritz. et 26° à Patras.
mettre qu'on Les études faites dans les H3pitaux ont partis, hier
chiens.
se serve
Demain soir, M. Guérin, ministre de là justice, On
40 au
notait 6° au
pic du Midi..
puy de Dfime et au mont Ventoux, démontré aue les DRAGÉESDE FER- RUBUTEAU sonL
supérieures à tous les autres Ferrugineux dans
MM. de Perrodil et H. Farman sont
matin, pour l'Espagne, conforhïénient àù' programme
Paris, 1893.
Veuillez agréer, etc.
26 juin
ANDRlgUX:
ANDRIEUX.
donne un dîner eri l'honneur de. son collègue belge.
laquelle sont invités les membres du congrès.
En France, le temps est à la pluie avec température
M. Lejeùne. Ce dîner sera suivi d'une réception à voisine de la normale.
A Paris, hier l'après-midi, quelques averses et pluie
dans la nuit à partir de trois heures. A sept heures, ce
Les papiers de Zawicki. Une affaire qui
emprunte à de récents incidents de justice une gra-
vité toute particulière vient aujourd'hui devant la h!
1\
les cas de Ch'orose, Anémie. Pâles Couleurs,
Pertes Débilité, upwsement, Convalescence,
Faiblesse des Su fanes: Le Flacon 3 m.
Prsndiie 4 a G Dragf.es par joua
Exiger les Véritables Dragées de Fer Rabuteau JM
;H
que nous avons puDlié.
Ce soir, à l'Elysée-Montmartre, meeting vélocïpé-
dique pour protester contre l'impôt et demander la re-
risibn^e-la loi récente qui vient de l'établir.^ Villiers.
Le congrès de droit pénal j baromètre 760,8; température maximum: 21°3 8e chambre. Deux jeunes gens, René-CharlesZim-
v Inauguration dé la Po«ponnièr»>1; 1 matin, minimum ll0^ moyenne d'hier 15°0, inférieure de 2°8: mer et Marie-Eugène JulHen, celui-ci âgé de vingt q^eVanpcv.t te procurer dunt Us Pharmacies. ^4*
La séance d'ouverture du congrès interna tional la normale. ans, sont poursuivis pour bris de scellés.
de droit pénal a eu lieu, ce matin, dans le grand .Trois dames charitables, compatissant aux dou- à A la tour Eiffel, maximum 17°8 minimum: ll°0. SPORTS ATHLÉTIQUES
leurs des mères parisiennes auxquelles leurs On se rappelle que "l'étudiant russe Zawicki était
amphithéâtre de la nouvelle Sorbonne; sous là pré- moyens pécuniairesne permettent pas d'élever elles- Situation particuliers aux ports trouvé mort le 13 février dernier dans la modeste !Q
P fi D BC
8Ï F6
~I ISf
~p~~
iflirtlj E dPPRCUP$E
&J nC
APPRDUVÊEFAR
DE PAR L'gCADÉMIE
L'ACADÉMIE DE MÊD.
DE M~p.
RAPRAICBISSANT, 3° CHÀsipiONNÀT DE LAWN-TENNISINDIVIDUEL
sidence de M. Guérin, garde des sceaux. A ses cô- bien- chambre qu'il occupait au sixièmeétage d'un hôtel DEPlERIS, LAXATIFRAFRAICHISSANT,
PARIS, IAXATIF
Le 3* championnat individuel de lawn-tennis a été
mêmes leurs enfants dans des conditions de
tés avaient pris -place MM. Lejeune, ministre de la
justice de Belgique. Prins, professeurà l'Université
de Bruxelles, président de l'Union internationale de ans, de fonder une œuvre de secours, la Société
Manche. Mer belle à Dunkerque et à Calais, calme
être suffisant, se sont donné la mission, il y a quatre à Boulogne, peu agitée au Havre, agitée à Cherbourg.
Océan. Mer belle à Brest, agitée à Lorient.
meublé de la rue Buffon. On se rappelle encore que
des scellés furent, après les constatations de décès, '1'î' ilUGIb
Hj\,
10GI'
Bfljjtfr
IL
L
s
DB PURGATIF AGRÉABLE,PROMPT ET SIIB. i.
19,:ueJacob,
19, rue Jacob, 9,9,iae
ruedu4-S.ptembr.
da 4-S«ptembrea I
Paris, et toutes phakmacihs f I de l'îlecette
joué, année, sur les cours de la Société de sport
de Puteaux. ••pu^i. -M0^ i- «;«
m^^i
.•tii'i-iW'i:')
Ô_?1_UII_I_BXO.I¥. I>U teîtpjS. autre dans les rations de leurs bêtes: ce état d'humidité,indiquera la quantité totale des tation des fourrages aux buts divers qu'il a en Ces chiffres montrent, comme ceux que j'ai aideront aussi dans une large mesure à parer à
par un l'acte digestif. vue dans son exploitation. déjà donnés sur la composition des ramilles, l'insuffisance de notre récolte fourragère.
point a trait au mode de calcul du poids d'un principes du foin asssimilés dans L'emploi des ramilles alimentaires est encore Les feuilles d'arbre ont, de toute antiquité, été
DU 27 JUIN 1893 fourrage à substituer à tel ou tel autre. Les pesées exprimera
Le chiffre fourni par ces deux que l'acacia, le peuplier, l'aulne et les aiguilles employées à la nourriture du bétail, Pline TAn-
fourrages présentant, dans leur composition, ce que nous appelons le coefficient de digestibilité de date trop récente pour que nous possédions, 'de pin ont une valeur alimentaire, basée sur le
cien, Caton dans le dere ruslica indiquent déjà
REVUEAGRONOMIQUE des écarts énormes, suivant la nature des végé-
taux qui les constituent, ce n'est point poids à
de la substance sèche totale du foin. Supposons
que l'on fasse ensuite l'analyse du crottin et
au sujet de leur digestibilité, des documents aussi coefficient de digestibilité, très supérieureà celle
nombreux et aussi variés que ceux que de lon- de la paille et égale à celle, du foin de médiocre les services qu'elles pouvaient rendre sous ce
rapport. L'ingénieuse idée epu'a eue M. Ramann
poids qu'ils peuvent être substitués les uns aux qu'on y dose, comme on l'a fait préalablement gues années de recherches sur l'alimentation qualité^ de proposer la trituration des ramilles pour les
autres, mais bien en quantités inversementpro- pour le foin, la matière azotée, la graisse, la cel- avec les denrées courantes nous ont permis de ré- Les expériences de M. Ramm sur les vaches
portionnelles à leur vaieur alimentaire. Nous lulose, l'amidon et ses congénères, on aura .les unir. Je vais faire connaître, à peu près complè- laitières, celles de M. Lehmann et ses collabo- transformer en un succédané excellent de la
déterminationdu coefficient de digestibilité des four- éléments nécessaires pour calculer le coefficient tement, les résultats acquis par les essais d'ali- rateurs sur le mouton ont, en outre, établi que paille et du foin ne saurait manquer d'appeler
rages. Méthode directe par les essais d'alimenta- avons vu que les deux données essentielles pour
de digestibilité de chacun de ces principes im- mentation avec les ramilles sur le bœuf, par les ramilles alimentaires associéesà desaliments l'attention des cultivateurs sur une source éco-
lion des animaux. Méthode indirecte digestions tout calcul de substitution sont il la composi- M. Ramm sur le mouton, par MM. Lehmann concentrés tels que les féveroles et les tour- nomique d'aliments d'autant plus précieux, que
artiticielles. Digestibilité des ramilles alimen- tion chimique de l'aliment; 2° la proportion de médiats, dans le cas du cheval observé 1 la. récolte des ramilles échappe à toutesles con-
taires. Expériences de Ramm sur la vache lai- chacun des éléments nutritifs du fourrage Revenant à l'exemple cité dans une dernière et ses collaborateurs, et, par M. Stutzer, dans teaux de graines oléagineuses forment, une ra-
tière. Expériences de Lehmann sur les moutons. ditions défavorables auxquelles sont exposés
Expériences de Stutzer.. apte à être assimilé par l'animal, proportion Revue, d'un foin de très bonne qualité, voici à ses essais de digestion artificielle. N'ou- tion capable d'entretenir le poids vif de l'animal
les autres fourrages.
.qu'on désigne sous le nom de coefficient de di- quel résultat moyen a conduit une série d'expé- blions pas, d'abord, que M. Biebrach, à Hédelle, et la production lactée dans des conditions tout
Plus qu'en aucun temps, dans les années dé- gestibilité. La substitution basée sur ces don- riences sur la digestibilité du foin chez le cheval nourrit depuis deux ans soixante bêtes à cor- à fait comparables à celles qu'offrent la paille et
sastreuses au point de vue de la récoltedes four-
rages, comme l'est celle-ci, les notions précises
sur les règles qui doivent présider au rationne-
ment du bétail ont une importance capitale.
Lorsque le fourrage est abondant, quand le cul-
tivateur récolte, dans son exploitation, une
cevant, sous des poids bruts parfois très diffé-
rents de fourrages, des quantités égales de ma-
tière azotée, d'amidon, de graisse,
La déterminationde la composition
etc.
chimique Substance
•Matière"
.'•.>
nées est aussi parfaite que possible, l'animal re- fit, chez lès ruminants

sèche..
azotée.
Composition Eléments ^^e"1

85.0
11.7
»
4.3
d'
du foin du crottin dig<=rcs

»
.7.4
dedlO"es-
taufto
0/0
»
63.2
nes et trente chevaux avec les ramilles alimen- le foin auxquels on les u substituées. Des expé-
taires, et qu'avant lui M. le major Jena a en- riences faites jusqu'ici, on peut déduire les coef-
tretenu son étable et son écurie avec le même ficients de digestibilité que je réunis dans le ta-
succès par l'emploi des ramilles substituées à la bleau suivant
paille. Ces deux exemples suffisent pour dé-
montrer Tassimilabilité des ramilles par les cipes
Sont digérés, pour cent de chacun des prin-
A l'occasion de ces Revues, plusieurs de mes
lecteurs m'ont écrit pour me demander si les
copeaux et rognures minces de bois ne pouvaient
pas être, dans une certaineà limite,
aux ramilles. La
absolumentnégative
réponse
le
cette
ligneux ou
substitués
question
bois
est
parfait
quantité suflisante de denrées alimentairespour des fourrages et des coefficientsde digestibilité Cellulose 21.9 8.1 13.8 63.3 ne saurait être considéré comme un aliment,
de chacun d'eux entraîne, comme il est aisé de Matière grasse.1 2.8 1.5 1.3 46.4 animaux de la ferme et pour permettre de con-
nourrir son bétail sans recourir à l'achat de pro- l'admettre, une série d'opérations et d'expérien- Matière extractive 41.6 13.7 27.9 67.1 seiller l'emploi, dans une année de pénurie de - -ru,' :<>t, uotée. toisse.. Mlulase. laidra,.ett. même médiocre;
tités absolument
il ne renferme
insignifiantes
que
de
des quan-
substances
duits étrangers, il a moins d'intérêt à tenir exac-
tement compte de la composition du foin, de la ces que le cultivateur ne peut pas faire cette On a procédé de la même manièrepour les en- fourrage comme celle que nous traversons.
Quant à leur valeur nutritive comparée à celle Paille.
"60 Foin 53 57 64
azotées (0,1 à 0,2 0/0); d'autre part, la cellulose
paille, etc., qu'il fait consommer; il peut, à la double étude a été depuis une vingtaine d'an- vers aliments du bétail et l'on est arrivé à dres- du" foin et de la paille, les essais des expérimen- Hûtre.
17 36
9
56
T77
39
16 9 lisrnifice qui forme la masse du bois est indiges-
rigueur s'inspirer, pour règler les quantités de nées l'objet des recherches entreprises dans les ser les tables de digestibilité en usage par le Peuplier.
17
'"fl"ïia i:r '39(' "28 51. tible l'amidon et la matière grasse ont disparu
laboratoires et dans les étables expérimentales calcul des rations. tateurs que je viens de citer vont nous rensei- Acacia.
chacun des aliments à donner à son bétail, des gner. Je réunis dans le tableau ci-dessous les 56 :•: 23 21 48 et les quantités variables de principes hydro-
résultats empiriques que lui fournit une longue des stations agronomiques. Elle a rendu possi- Méthode indirecte. M. Stutzer a proposé., il
carbures (gomme, etc.), associées à la fibre
ble l'établissementde tables qui dispensent l'é- y a quelques années, de substituer aux essais teneurs en principes assimilables des ramilles A ces chiffres peu nombreux viendrontbien-
pratique de l'alimentation de son étable et de son animaux l'emploi des digestions et, comme terme de comparaison, les chiffres tôt s'en ligneuse ne constituent pas un aliment pour
écurie, à l'aide de denrées de compositions à peu leveur d'essais personnels impraticables sans le directs sur les ajouter d'autres, et j'espère pouvoir, l'animal. Les organes jeunes des végétaux, tels
pour établir le coefficientd'utilisation correspondantspour le foin et la paille d'avoine dans quelques mois, faire connaître les résul-
près identiques d'une année à l'autre. Mais lors- secours d'installations spéciales et lui fournis- artificielles,
desmatièresazotéesd'unfourrage.Cetteméthode d'après les expériences de Ramm, de Lehmann tats d'essais d'alimentation du cheval par les que les feuilles, les jeunes pousses et les bran-
que le manque ou l'insuffisance des récoltes le
sent des indications sinon absolues, du moins et de Stutzer (digestion artificielle) chettes peuvent seules ôtre utilisés pour nourrir
met dans l'obligation de recourir à l'achat d'ali- très suffisantes dans la pratique, pour évaluer, qui consiste essentiellement à traiter un poids dé- ramilles alimentaires. les animaux. On a fait à ce sujet des expériences
à l'avance, la composition et la valeur nutritive terminé d'aliment (un gramme par exemple) par De l'ensemble de l'étude à laquelle nous nous
ments dont il n'a pas coutume de se servir, il macération de l'esto-
QUANTITÉS ASSIMILABLES DANS 100 PARTIES DE RAMILLES (1) absolumentdécisives, et l'emploi du bois sous
lui importe au plus haut point, pour le régime des rations alimentaires.Rappelons enquelques un certain volume d'une chlorhydrique Matières Matières Amidons et
"azotées grasses Cellulose ueuulose congénères sommes livrés, de tous les documents venus à forme de sciure, rognures, etc., ne peut être
mots les méthodes qui servent à établir le coef- mac du porc dans l'acide étendu, notre connaissance sur la valeur alimentaire des conseillé, en aucun cas, pour remplacer le foin

•• --•
de son bétail, d'être éclairé sur la valeur alimen- ficient de digestibilité des fourrages. 'On a re- donne rapidement des résultats sensiblement ramilles, il résulte déjà que les cultivateurs
taire de ces denrées, afin de pratiquer ration- Hêtre (fi), 0.22 0.21 3.68 8.23 ou la paille.
cours à deux méthodes principales, identiques sur voisins de ceux que fournit l'expérience directe Hêtre L). 0.65 0.14 2.73 6.30 trouveront dans ces déchets de nos forêts des En dehors des ramilles, on peut encore re-
nellement les substitutionsrendues nécessaires dans leur point de départ, mais fort différentes faiteles animaux. Une opération du même genre
par la disette de foin, de paille, de. bettera- liquide provenant du pancréas et
Peuplier (L). 2.60
Acacia (R).. 5-?»
1.12
0.37
9.37
6.60
19.89
18.97 ressources précieuses pour subvenir à l'entre- courir aux balles de riz de valeur nutritive au
dans l'application. avec un Aulne (S). 3.36 .f, tien de leur bétail. L'industrie ne tardera pas moins équivalente à celle des meilleures pailles
ves, etc. Méthode directe. Tout le monde sait que de Tintestin grêle convenablement traités, four-
J'ai cherché, dans mes deux -dernières Re-
vues (1), à présenter un résumé succinct des
lorsqu'on donne un poids déterminé de four- nit
sur la digestibilité des la hydrocarbonates, Hêtre (S). 1.25
Pin (S). 2.13 •–• •-i- à être en mesure de livrer des ramilles fourra-
gères et des machines propres à les préparer. aux pulpes séchées de pomme de terre, déchets
terave et aux drêches sèches et autres
de bet-

principes qui doivent servir de guide dans l'éta- rage, de foin par exemple, à un cheval, le foin amidon,,cellulose, etc. et de graisse d'utiles Acacia (S).. 5.06
1.00 15.00 25.90 Nous tiendrons nos lecteurs au courant des pro- industriels sur lesquels j'appellerai plus spécia-
blissement de la ration journalière des animaux n'est pas entièrement décomposé dans l'appa- indications. En un mot, l'expérimentation phy- Foin moyen 5.40
FoinU^q,). «-20 1.30 13.80 27.90 grès en voie de réalisation de ce côté. lement l'attentiondans une prochaine revue.
de la ferme. Je ne saurais trop insister sur un reil digestif et qu'une certaine quantité de four- siologique appuyée sur l'analyse chimique des Paille d'av. 1.40 0.70 23:40 16.70
rage est éliminée du corps au bout d'un court. nom- fourrages et des excréments, dont si imparfaits en- Pailled.blé. 0.80 O.iO 22.00 13.60
point fondamental^ trop souvent méconnu des nous dispo- Les feuilles d'arbre et celles de la vigne sur L. GRANDE*»,
cultivateurs qui veulent remplacer un aliment bre d'heures variable, mais toujours assez core que soient les procédés renseignements (1) La lettre placée entre parenthèses à la suite du la valeur desquelles M. Ch. Gérard et M. Miintz
La différence entre le poids du crottin et celui sons, apporte aux éleveurs des nom des ramilles indique le nom des expérimenta- ont récemmentattiré l'attention des cultivateurs
(1) Voir le Temps des 23 mai et 13 juin 1893. du foin ingéré, ramenés tous deux au même précieux pour le choix, la proportion et l'adap- teurs.
Les parties d'hier peuvent compter parmi les plus
belles auxquelles il ait été donné d assister chez (nous.
Match F. M. Ortmans bat M. Llchtenberger par ros, artistiques, THÉÂTRES
on a pu, avec un semblant de rai-
son, reprocher aux directeurs leur manque d'initia-
tions et des jouissances physiques sans exiger du pu faire précédemment sur le même sujet. Ce n'c»
spectateur aucune dépense intellectuelle. Car no» ,1 point tout. AD. Ad.
,Nos meilleurs joueurs d'ailleurs, comme nous l'avons Match G. M. Hetley bat M. Goldsmith par 6-4, tive. Depuis, deux directeurs ont fait défiler une tons qu'il so dépense tf>us les jours autant d'are^nt
annoncé, s'étaient inscrits, et pas un n'a manqué à 2-6, 8-7. Un Théâtre-Français populaire douzaine des auteurs de l'école nouvelle, et non des pour le plaisir. Mais cet argent va à des plaisirs vant La Comédie française jouera, demain, soir de»
l'appel. Le programme a donc été suivi de point en Match H. M. Schœpfer bat M. Wickham par
Les études que nous avons faites pour établir la moindres. Leurs tentatives, sans rien aggraver, plus physiques, plus immédiats les bals, les ca- la reine Victoria, à Windsor, La joie fait peul.
«oint. Dès dix heures, M. le vicomte de Janzé, prési- 6-5,6-5. nécessité d'un troisième théâtre de musique qui fût n'ont rien enrayé. fés-concerts, les femmes, les acrobates, les restau- et Y Eté cle la Saint-Martin.
dent. assisté de M. le comte Jacques de Pourtalès, juge- *• Tour à la fois un théâtre lyrique et un opéra populaire, » Il parait donc formel que le public n'est pas si rants.

vauts
• '-• •- '
arbitre, et de MM. Lejeune, Fournier, Masson, arbitres,
rse trouvaient à leur poste pour

1" Tour
juger les premières
épreuves éliminatoires,qui ont donné les résultats sui-
Match I. M. Riboulet bat M. Ortmans par 6-2, 4-0, et, avant tout, une salle de spectacle à bon marché, disposé qu'on pouvait le croire à accueillir tout de
co dernier abandonnant.
Match J.-M. Schoepfer bat M. Hetley par 6-4 2-6, 8-7. nous
pion de l'an dernier, M. Schœpfer, etjM. Riboulet. C'est
Match'A. –M. Ortmans, du Decimal club, bat M. ce dernier qui l'a emporté en gagnant par 6 jeux à 2 et au
Bridgman, de Puteaux, par 3 jeux à 6, 6 à 3 et 6 à 4.
Match B. M. Lichtenberger, du Stade français,
6 jeux à 4:
M. Riboulet, au milieu des applaudissements de l'as-
d'un

pour
vés.
voudrions.les faire aussi. pour l'établissementt suite des œuvres nouvelles et qu'il est simplement
«Théâtre-Français

Nul ne
une
s'adonner
peut
à des
populaire». Le but que nous las des anciennes. 11 y a là une périodede transition
La partie finale se trouvaitcirconscriteentré lecham- poursuivons est bien clair nous voulons maintenir
théâtre clientèle qui
plaisirs
nous en
s'en
savoir
éloigne
beaucoup
mauvais
moins
gré.
et de tâtonnements qui se prolongera sans doute très
peu peu longuement et qui ne trouvera d'issue qu'à la suite
à
rele- d'une collaboration commune du public et des jeu-
nes auteurs nouveaux. Ceux-ci, inévitablement,
» Il ne faut pas non plus oublier le jeu, qui déplace
des sommes considérables. Le pari mutuel en-
gouffre ponr les classes moyennes, la bourgeoisie,
les employés et les petits ouvriers aisés, qui for-
ment le noyau des publics de théâtre, des sommes
considérables une fois dépensées, le dimanche, à
Longchampou à Auteuil, ces sommes ne se retrou-
SPECTACLES DU LUNDI 26 JUIN
Opéra. 7 h. 3/4. La Maladetta. Samson et Dalila.
Opéra-Com. 8 h. 1/4. Richard Cœur de Lion. Phryn6.
Pal.-Royal.8h. 1/2.Terre-Neuve.S.-Pr. de Chât.-Buzard.
Châtelet. 8 h. »/»• Le Tour du monde en 80 jours.
Gaité. 8 h. 1/2. Les Cloches de Corneville.
Ambigu. 8 h. 1/2. Le Crime de Jean Morel.
bat M. Robinson, du Decimalclub, par 6-4, 1-6, 6-4. sistance la plus élégante que Paris peut fournir, areçu Diverses personnes compétentes avec qui nous abandonnent un peu des positions de combat pure- vent plus pour les plaisirs du soir en semaine. Fol.-Dram.8 h. »/•>. Mari d'Hortense. 28 jours de Clairette.
Cluny. 8h. 1/2. G. aux pianos.CorignancontreCorignan»
Match C. M. Hetley, du Decimal club, bat M. Ha- des mains de M. le vicomte Léon de Janzé la raquette avons causé de ces questions constataient le mat, ment théoriques pour se plier davantage aux néces- » Il faut signaler aussi le mouvement qui porte les Nouveautés.8 h. 1/4. -Le Scrupule.- Champlgnol.
vet, de Puteaux, par 6-2, 6-5. d'honneur que l'Union des sports athlétiques donne à comme nous, et le besoin d'y porter remède. sités courantes, tandis que, de son côté, le public, population vers la banlieue. Une grande partie de Men.-lJlaisirs.8 h. »/». M. le Moraliste. Mlle ma femme.
Match D. M. Goldsmith, de Puteaux, bat M. Cu- son champion. M. Antoine, par exemple, le directeur du Théâtre- plus instruit et plus éclairé, fera un pas vers des la classe aisée des employés habite à l'heure ac- Chât-d'Eau. 8 h. 1/2. La Grâce de Dieu.
cheval-Clarigny.duRacihg club, par 6-5, 6-2. Libre, tombait d'accord avec nous que la crise théâ- œuvres correspondant à la maturité de son esprit. » tuelle les communes environnantes. Autant de Olvmpia. 8 h. 1/2. Spect. varié. Dim. et fêtes matinées.
MM. Riboulet, du Cercle du boulevard Lannes, Va-
cherot, du Racing club, Schœpfer, de l'Ile de Puteaux, ESCRIME trale n'était point niable. Il nous rappelait, comme
a quelque
Notre interlocuteur concluait que la cause de la
crise théâtrale n'était pas dans la valeur des œuvres
spectateurs habituels de moins 1. Th. du Chat-Noir. 9 h. 1/2. La Marche à l'Etoile. Phryné.
Nouveau-Cirque.8 h. 1/2. La Rosière de Charenton.
Wickham,du Stade français, étaient exempts au lor La fête d'inaugurationde la Société d'escrime, à l'é- nous l'avons dit nous-môme il y temps, » Voilà bien des raisons pour rayer du budget un
tour. a eu lieu hier dans l'île de Bougival. qu'en quelques mois quatre théâtres avaient an- représentées, mais qu'elle lui semblait plus grave plaisir d'autant moins tentant qu'il est très coûteux, Matinées mercredis, jeudis, dimanches et fêtes.
Après un déjeuner qui a réuni tous les concurrents, pée Une trentaine de tireurs y ont pris part. Citons noncé leur liquidation judiciaire, qu'un cinquième qu'on ne. l'avait pi'nsê et qu'elle était peut-être le que les tentations y deviennent rares et que les né-
Cirque d'Eté. 8 h. 1/2. Bacchuset Gambrinus.
Alcazar d'Eté } Café-concert tous les soirs.
les arbitres et le secrétaire de l'Union des sports ath- parmi eux MM. le lieutenant-colonelDérué, D. Clou- avait dû faire un large appel à ses actionnaires et prélude d'un abandon completdu théâtre ppour une cessités de la vie journalière, les travaux achevés" Ambassadeurs ) } Matinées dimanches et fêtes.
létiques, sous la présidence de M. de Janzé, les parties tier, vicomte de Rochefort, de la Croix, Bouchard, qu'un sixième, le rival et le concurrent du précé- certaine période de temps. p fort tard compliquentd'une hâto et d'une g*ôno peu
ont recommencé à 2 heures comme suit Doumic, Bouasse, docteur Meige, Saussine, d'Hausen, dent, avait subi également des pertes sérieuses, compatibles avec nos besoins de confort moderne. » SPECTACLES DU MARDI 27 JUIN
« Los conditions de la vie moderne sont telles, ,>;
«e Tour Worms, de Hérédia, etc., etc. malgré l'intelligence et l'activité de son directeur. ajoutait-il, la lutte et le travail quotidiens devien- Comme on le voit, M. Antoine abonde complète- Opéra. Relâche.
Un banquettrès cordial a suivi cette fête, dont les disait alors nent si âpres I L'avenir est peut-être aux spectacles ment dans nos idées et il confirme par des obser- Opêra.-Com. 8 h. 1/4.– Les Deux Avares.-Le Déserteur.
Match E. M. Riboulet bat M. Vacherot par 6-2, vainqueurs sont: MM. le lieutenant-colonel Dérué, M. Antoine nous
6-8. Bouchard et de Sainte-Croix. « Longtemps, dans des débats purement littérai- simples, faciles et violents, qui donnent des sensa- vations judicieuses les remarques que nous avions (Les autres spectacles comme lundi)

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Ri ^©kB &£Notnrellegntstanceinaltérahleet procédé nonveanremplacantavectonslesavantagesetsansancundangerlagreffeprothésique.lesdentsàpivotsainsi-m wgjgfas^^ t^ëSJ^^Ba^e!i^Jiiia^li^ÉËÊ&. ^HHII"ïiIt!'MM&"W1"^
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a
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DIABÈTE 1 dont
reliquat de la susdite somme aux actionnaires
les noms seront notés au retrait des l~ansi~er
pianos d'occasion
donne tous pouvoirs à Mo N. Soccoli, avocat ex-facteur et accordeur
conseil de la Banque, pour défendre ses inté- H. Herz, 2, avenue de Messine.
rêts aux susdites instances et de répartir tout
Pour Arranger fl
DEPUIS 45Ofr. A. Thomas,

jft||
II!
des maisons Pleyel et
Costil, succesr.»

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Alexandrie, le 20 juin 1893.
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IfIIc!oturej 1l«1 RENTES S|"
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bas ET -]^IJ^TOMW-ACTIONS'!Pr6céT Dem HI" Précê-j D 11
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%& I Paris, 26 juin, deux heures. Le marché n'est
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tionales,etpar les recettes de douanes d'Athènes, du
APCoMpr.ETAxEHME(couraoff1ciel)
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COMPT. ET A TERME (cours oflj()lel) cours cours COUrg
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COMPTANT ~COUI~ÏOffICiel) ClÔtUr-
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c oturcours.
G~T ON
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tralisés dans les caisses de la Banque de Constartino-
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les mêmes cours quo samedi, avec le même manque
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Rent.
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I 1865. 541
140
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1871.janv. janv. 4Î9
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359
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Il
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Le 3 0/0 a inscrit 98 et 98 05 comme cours extrêmes
le comptant a fait 97 95 et 98.
Le 4 1/2 se traite à 106 22.
ont été enlevées à ces porteurs po»ir passer jusqu'à
nouvel ordre aux détenteurs éventuels du nouvel em-
prunt.

482. i«JS
4S0 !SS«1 14 S.-Compt. desEntrep.-W 150.. 150 I it. id.113.. 312 I Parmi
1/4 r. à I 6662. les fonds étrangers, l'Extérieure est calme à
1OO toJouissance 05 "f 16 mai (tme 106 27
1876 Banq. hypoth. d'Espagne id. I 1875..
100
15 avrU
11150
539.. Annuités Chalons 500 févr. fr –MM. Hielard et le comte de Mou:' vice-présidentsde

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15.. 482 0A).cpt. I 25 ocks de Marseille mai. 50250 503.. II id. 540.. 539.. fr l'Association des porteurs français de valeurs étran-
i • Lérouville mars 535 !ff L'emprunt d'Orient 1879 a suivi la baisse du rouble
H
<oo œ T5oBUGATlO»STOIllSlBmCES3 I •• 50 Magasins Nord T(Soc.500
civile). ij^nv 533
gères. viennent d'adresser aux porteurs de fonds por-
20' »/ÏÏ?i^?»ea^Viyi
I »•• Voilures id.
» 48150 27 gén. de Paris.janv. 560.. W5 1886 S 0>0. 15 mars 419 418-
573
«« .avril
générale o/o 459 50 et reculé à 68 95, en moins-value d'un demi-point sur
S9K50
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109.. Foncier colonill 6 0/0 janvier 503 506 avant-hier,
C tugais une circulaire protestant conti* l'inégalité de

SX;
~n igg
lOKftTSi
2 kSi
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A-Ctionnom.– Jouissance 27dec. (tme 3915
148 75
2MB^00}frKt>^C»^rDBPAI"8""SS« I g" 3915 I
50/0
.avril
Bevrouth-Damas.lanvier
17 50 Départementauxlib. 250. avril I -nôuv.Slîfr.p.id. 403..
I ViUe de Marseille Sljanr. 407 408 O g" des EauxS 0/0
3-24.. 323..
305 solidé
pour se relever maintenant à 69 20. Le Con-
russe fait 99 60 et 99 65, et le 3 0/0 1891, 78 75 et
traitement établie entre les porteurs de la Rente exté-
rieure et ceux de la Rente intérieure ils ajoutent que
SX t.
655. «•• algérien janv.
1850
fr. I 611.. 471..

*«S
î 50 d00 p. février |tme Ville 147
14750 I15922 50 I Sud de la France mai. 355..359
parisien ianv. 531
614
de Bordeaux nov.U911650 mai. 528 7865. le comité étudie, d'accord avec le « Council of Foreign
HS?^K ?E PABÏS- ••

484. I ^ïïS2ïï&4.aî S» S»
I Gaz Le Portugais 3 0/0 reste à 22 92; le Brésilien 4 0/0, Bondholders » de Londres, une combinaison pour sau-

^vl^Z^i^
SI générale).janv. I
otw
^îîlçsa^p: 114 25 114 75 Fives-LiUe
Eaux (C 1620 1610
"lï î-ï^îfi^^iS-» "• ?TO ««fr-t-P-- Jouissance janvier tme
Slsl §SSSS??^S
655

™ pou! l'Etranger.,oct. 90 231.. 232 I Ville de Lille 1860 avril janv 529.. fait 66 40; le Turc 22 10 et 22 12; le Hongrois 96 92. vegarder les droits des porteurs qui encaisseraient
58
^^Ï^S^TE: «,
1S14..
655

424. SSS 485 490 Parmi les établissements de crédit, le Crédit foncier
iS50 S™\r ià6 ..Gazcentral.avril SSr ™*> M leurs coupons conformément aux stipulations de la loi

:i::i
COMPTOIR NATIONAL D'ESCOMPTE.. fcpt. j Messageriesmaritimes40/0.avril. 513 50 513 50 progresse à 990 la Banque de France vaut 3.9J0 la
12 50 4W 1 50 1280..1280.. du mai 1893.

'
484 50
2. «:: /tme 983 425..
59
«::1 50..GazdeMarseUle.avriHM5..i090.viUed6RoubatxetTourcomg.
47.tVoitures40?0.avrU
I SÏÏSa^^Xwïï: S::
m
i^î50 Banque de Paris cote 6-58 et 655 le Crédit lyonnais va- 20
LIe6 ?é0
12 50 am
"S-SSïïS^SS1 .990 S::|v:ïï:l«me«M4W«.
C. F?NCIER ET AGRICOLE D'ALGÉRIEI cpt.

5£ 504.. 503 rie de 761 à 762; le Comptoir national d'escompte cote On s'entretient de la constitution d'une nouvelle

' ™iA
.
SS:: 483 la Société générale se traite à 470 la Banqueotto- banque au Brésil, au capital nominal de 62 millions 1/2,
Ç'

'
Jouissance janv.
}|S !I8'J 50 7 50 500 fr, t. p.
SÎS?to^«?SÎ5K «ni.^ 11? 75

40/01863 id.658..
12 Gaz de Madrid
I Lits militaires .mal.
I 40 • •5eMmes juillet 228.. I Foncières 4. 0/0 1853
30/01853 m.%L 552 .5~7 Transatlantique 3 0/0, r. à 500 t. p id. 369.. 369..
606.. mane se négocie de 597 à 598. sous les auspices de capitalistes français et brésiliens.

juill.1891 240
W 763'" "50 J *£#• de Launum janv. 648.. 637 50 I I Télégraphessous-marins 5 0/0 r. 500. mai. 603..
7R125
469
iû237 50 1M i *"• ™2S;ïïvn^f
™S «S
P y
I 40 «
rS?v?'^»S".i?Ï^TT iïïS»ffee lfn 50 1?P
390
2«S 2^^l130"
163
t
1% M
t.;mai.
50
15-
I Bons de la Presse
MalQd.act.de
-deMokta.. 600
mai.
Etablissements Eiffel. julll.
porteur.
juin 2225..
885..
2210..
890
I
I Foncières 1877
p.
p fév. 5-23
34150 389.
517

t.
445..
10 2510 75 [
M-
Le
Le
Suez
Gaz
reste à 2,686.
varie
L'Autrichien
de 1,375 à 1,378.
vaut 6i8 et 617 le Lombard 228 et 227.
L'objet de la nouvelle banque est principalement tou-
tes opérations de crédit, de construction de chemins de
fer et de commandite d'entreprises industrielles.


7- c.FONC. »B MMCli 500 p. J -JaiMetcpt. 1879 473 50 473 I Bons de loterie de 100 fr. au porteur, p. 51.
«507 23750 150
mX?f?^p 122- «g( I •
239.. I, 30 DecauviUe.déo.
trentenaires.avril Y.
8479Aciéries de France janv. 1*40
175- 175.. I
1 1883 t. p. sans lots janv. 419- 418 25 -fi Bons à lots algériens au 40.. 39 To Le Nord de l'Espagne se tient de 158 à 156, le Saragosse Avant-hier, l'assemblée annuelle des actionnaires
a»SS"5 Zm^iUpiTf^ï 137
cp 1240 188530#r.à500fr.t.p.avr. 4CT 465 mars
m/ iuv • • suLIr.lK bh» <UALc tGpl.
SS 645
408 DU 409 • oblîîT
I 25 FlVeS-IjlllC. mai lit
Suez bons
*S O/O ".mara 475 50 140-
II à 193. de la Société française des télégraphessous-marins a
80
m î§
3^50
80" 5 St
SiSSSSÏ^SJ?™»»^,?»
ït2™55SS.^T^^™'»;»;;pSÎ
ÏS™™^™^ S m P
.fév.
525-
|

•• I60
II]35
Ateliers et Ch. de l"a Loire
30/02>série id.
Chargeurs réunis
jap
mal. 1215 1210
9300..I
I I Commun. 187930/0r.à500t.p. mars
1880 3 0/0 1. p id. 470- 469 I
47450 474 25»
I
III3 0/0 i" sérié:

bons de coupons nov.


fil"!

472 5094
tWx

47250 50 1
I
Le Rio-Tinto est calme à 383 et 382, la de Beers à
450.
Trois heures. Clôture sans grande modification.
voté à l'unanimité les résolutions suivantes
1° L'assembléeapprouve les comptes de l'exercice 1892,

,$£* I m~32 Etablissements Duval.. 15 mai1080 -3300-1080 1891 3 0/0 f. p. r.400avr. 394 50 3J5
i t. I5oct.
50 Lits mUitaires 493 50 494 1 Panama 5 0/0 p. 15juill. 94
3 heures 30. 3 0/0. 98 03 3/4. Roub!es. 264 3/4.– laissant à reporter au compte de l'exercice 1893 une
«ow ou.
355OI-948lo Sfr 50 Joulslanca m?i' ?^ 32 janv. 485 ISStl«n «A"l 30/0t.p
40/0t.p
Wagons-LiU.
id. 20
18923.200/0t.p.r500janv.
475 f Banque hypothôc. de France- mai 524 5-24 50 I 28 èo 28 25 1
I 4 o/o hongrois, f6 7/ Extérieure, 66 9/16.– Portu- somme de 72,640 fr. 55. administrateur Lefaivre, ad-
1507 ~~7~,n,.i'
i
-T^ïfnw^M™»»; BSTauuir. i.p.
pSÎ'4^35 t. Jouissance mai. cpt.950-
.mai.
«î- 950 I7525 Petit 21-
Bateaux parisiens mai. 3 0/0 81 mars. 419 418 1 I 2175 20 50 II gais, 22 6 n/0, 506 87; dito 31 /2. 483 75.– 2° L'assembléeréélit M.


S*
13/16.–

MIDI.
Egyptien

••••I
sérié.15nôv.

I
I
"50750 ~~X Journal 28 1290 1282 50
12 Le ~intemps.30l!1,!i. mai. 554Fonc. Immeubl. Ilb: r. à, 1.000~ai. 386.. 386 m
28.;28
nouveUès 6 0/0 1»
2828.. Turc, 22 10.– -Panque ott.. 598 12.– Douanes, 495 » ».-Ta- ministrateursortant.
55
:i"^n-°"F-?S;:
4595~ 50, 5W fr. t. p. -Jouissance

1344.t34i..t "S&s::i«* 1507


UO 2812
z '^U^J^
-3'sene.dccS8
Ancienne C' Rlcher.12 12 juin 1592 50 1550.
ffi: 40/01ib.r.à500..id.47450474. 2.s6rie.l5sept.
88 80 2" bacs ottom. 377 50.- Priorité, 449 37.– Rio, 381 25.– Thar-
sis. 118 12 »/». Alnine*. 115 »» »/. D* Heers. 450 »».
3» Elle nomme commissaires chargés de la vérifica-
tion des comptes pour l'exercice 1893 MM. de Sainte-
liO 1342.1
fr. t. p- Jouissance janv- .CanaldeCor:e.ju;Uet.S8Mt.. loi -«-»»«r. .fév.
451.I -août 131
ÎS4-»
M7 26 juin.- Cours du Paris Londres à Paris, 25 16 >»/»;
Marie, de Pontalba et Rivière.

2
juill..83 247
fo»'S-
•n
134375
.iïZrJ, -••:••|cpt.
ÎS?w<iS?yV
500
S 467.»
ObUg.30/0 ]anv-|cpt.
IWI. |; 465251 tme
,janv,
I
4909|87 13 Suez (Société civUe) janv. 190250 1907 50 I
Partsdefondateur..id..
0/0.
Panamar parts l'O* 175
1135 165 1135 II
A~als
Bf.ne
Est
au
3
Rbbnç;
Guelma
0/0 nouvelles mars 455 50 454 50 I Crédit
bons à lots 188»
foncier
-9i&&.p.MMùtS9M
Santa-Fé
50/0 6 0/0 oct. 98 98
I Espagne
I Berlin, 214à 20: Paris, 4 29 t/2; à Berlin. 81 »•: roubles à
en Italie, »»; à Amsterdam, 48 161/4;
Le conseil général de la Banque de France a fixé,
dans sa séance de ce jour, le dividende des actions
«.«n,50
1590.
;£r?X
ORLÉANS. janv. |
'••••50 476-
*• ?X 4°0fr:t.p. Jouissancejanv-.jtme
-Oblig.30/0
•ti| Eiffel.
cpt.
190350
474- .JlfS
l£ ;15janv.
1902 50 ,190125.1 11
Tiaret.
475 I H Parts
Tour
Tour
Eiffel jaav. 204
196 Est Ardenncs
algérien
MosUganem à avril
458 459 Il
40950 430 *J8 11 =='
426
Crédit foncier ém-ptien
ë
4 avril 134
451 25^_«M 450 50
-I
I à
à
Vienne.
Athènes,
48
155
96 »/•>;
•>»; à
napoléons
Constantinople,
a Vienne,
23 05;
9 82 »/•;
Londres
pour le premiersemestre de 1893 à 65 fr. 625; l'impôt à
déduire étant de 2 fr. 625, il reste net à distribuer
5850 Î2§"
ooen.S,
ÎS«
fr.•"
t.
30/0. 500
T5 –Obl'g.
avril-
465- p. Jouissance
janv. cpt.
fept.
300 1593 • 1595
| Itme
bauphïhé. .id. I
Il Rio-Tinto.
20.. S. gén. des Téléphones, .juil. 398- 398. ,11" Grande-Ceinture. id.
et
5 -• Télég.ParisàNew-York.oct:86 112 112.. IMS Lille-Béthune- avril 455
1 1 Tharsis
465.25 I 22 91 Télégraphess.-marins-.janv.
OCEST500fr;;t.p. Joulss. avril cpt. 1097 109i 1 21 50 Tclcg.duNordîGd'C').. mai. 5f8 "518 i S
£Bourbonnais janv
id. «58 460 f
465
MABCHÉ E« banquk
Union1. i Phénix espagnol 507501567501 Londres.
-38137 387-1
à Rio, 11 »/»»; dito à Valparaiso, 15 1/2.
Extérieure, 66
Marché lourd. Consolidés, 98 1/16;
1/2; Unifiée, •>».» »/»; 3 0/0 français. 98 »/»»;
63francs par action.
Le dividende du premier semestre de 1892 avait été
de 72 francs .net.

nouv.avr. 467 I
Obhg.30/0.fr. t. avril 466
M 37
1 40t.. 464 75 118 12 I Grëç 1881, 47 7/8; Turc D. 2V7y8; Rio 15 i/8
1 Robinson. I lia de
i
2?;- S? • •• • 7o
estl algérien
™3"
fr. t.
BONE-GCELMA 500 cpt.
mai. cpt
janv. cpt.
p
464 50
I 707 707 I
§
I 464 50
40
I Alpines
Tabacs des Philippines,janv. 670- 670 Genève 1855
M Méditerranée 3 0/0 id. 463 DO
-id. 460 459 II Ȏ Beers 450.. 450 621 Beers, 17 9/16
I Change sur Paris, 25 16. Recettesdu Suez, 24 juin.
juin, 240.0J0 contre
100,000 contre 80,000

515
on
606 ••
S 50 500
pauisien– (cpt. 1376 p I .rTIONS PB jooissawce Banque foncière russe 1" 46125 111 25 110 II Métal argent, 371/4. en 1892. 25 240,000 en 1892.
72 •• 1375
30- 514- l
GAZ
avril.
transatlantiques. J.
.*i--J2° suez (actions).. (cpt.6212690 2692 II 25 Midi-janv.
I
Est janv.
mai
I cpt.
1376
250 fr. t- p. Jouissance avril- Itme 1377 50
430 .1377 50 I
ï
1128 23 23
87 13
Tabacs
ACTIONS

i. Il Grand-Hôtel
Vieille-Montagne
DK JOUISSANCE
Suez
ottomans
Délégations-janv. (cpt)
2100 2100
175 50 176

Ils/ 1
paj.i3.Ly0n-Med.fus.anc.-id.

Victor-Emmanuel1862 id. 456- 458


166 50
460 75 461 no 25457
378
W0 17373
116 50

470
25 1 Berlin.
12
Marché calme. Rouble, 214 1/4 à »» »».
11 Russe consolidé. 99 7/8; Italien, 91 1 /2; Hongrois or, »».
I Vienne. Marché calme. Autrichiens, 3 17 »»; Lom-
Du 1er janvier au 25 juin, 36,210,000 contre 40,340,000
en 1892.
MESS\GEpiESMABiTiMES.J. juin|cpt. JnU. Médoc juiUet
515 I 1550 430-
715- •* 895-1
686- 379- 388
4 720- 895- Londres.– Métaux. Cuûvre: comptant 43 liv. 15 sh.
I bards, 10650; Alpines, 54»»; Hongrois, 116 25; Crédit
626
119132692-
id. cpt. 2690
54 Nord 147250 1472 50 2 Midi 3 0/0 nouveau avr. 46125
Id.
I Ouest Nord-Est id.
II– à à°
avril d.; à trois mois 44 liv. 13 sh. » d. Etain comptant
.«ot^k50 k" 25° 5°9 fr- P- Jouissan=e ^ny .tme 2686 25 43 50 Orléans
avril I
0/0.
dt-dt25 à ^8 37 I mobilier, 339 50; Rente papier, 98 15; Loenderbank,

31~
»
153 23 6M 5 délkgations.
“ i°j°,».. »*•• PAN*MA (Canal interocéanique).- [cpt. 18 fë
690 21
I2059 50 Omnibus Gaz parisien avril 1085 50 1080
1132 1133 50
588- 590 §
gg Orléans
1884
Central janv.
457 25 458 50
461 460 50 I 3
PRmES
50 SlO
fin courant Fit
98 12 à 98 1598 62 à 68 7^1
PnorHAiN
à 98 *î
I 250 10. 86 liv. 17 sh. 6 den.; a trois mois 84 liv. 15 sh. > den.
Zinc comptant 17 liv. 17 sh. 6 den. Plomb comptant
i
117 II.à.àa •
45..1040- --OMNIBUS DE
t. PABIS. (cpt.
p. -Jouissance janv..fept
1045 1045 18
I juillet 400-
(tme 1040 1037 50 105 Mines de Malfidano juin 1745g Ouest 3 0/0 nouvelles avr. 461 50461
g 464 50465 M I
4 1/2 50 àdt I On i
INFORMATIONS FINANCIÈRES
télégraphie - 9 liv. 8 sh. 9 den.
250 5001r.
1250 453- DTOAM1TE (Société centrale de). I 400

~~GE..
10 Voitures à Paris juU. 151- 164- a Ouest algérien 3 0/0 mars 428 428 50 II Italien 5 0/0 dt dt 25
à
à La
nous
Banque
de Madrid
ouvert aujourd'hui la sous-

tme 10130 1^ d'Espagne


50
I cription à 250 millions dea pesetas effectives d'obliga-
461 25ÉTRANGERS
97. f~ t. p.0-C Jouissance avril.. ~tme 461 25 S Plcard16-¥landres.Janv. 461.. 46J ,,0
93 15à Blés (77/75 à l'hectolitr» et 100 kit. net comptant).
9695. 15 Crédit fonCIer.dt 10 à lm
31/2'
101 30
ÉGYI'TE3~/2.privilÓgiées.avr!llcpt. 96 90 e0 Là Réunion. id -ii825 44875 Suez 988 75 1000 à 1007 50 tions du Trésor, portant intérêt annuel à 5 0/0 payable Courant 21 25 à 21 50; juil. 21 25 à 21 50; juil.-août

'
FOND
10145
21 ?2 Detteunifiee mai.jcpt. 96 95
II! dtIO à..
416.
50 Belge 3 1/2 janv. 103 05 Ch. de fer économiques.. mai. 422- trimestres et remboursables le 30 juin 1894 en 2t 50 21 75; 4 dern.- 22»» à 22 25; 4 de nov. 22 25 a2250.
10125
ÎRiX 10130 1 Autriche 5 0/0 argent. -avril 8180 81 95 II Ch. département. 1888 1985 avr. I se I par titres de 500 et de 5,000 pesetas. Circul. :250. Liquid.: »»».
«O'O XJIO ADTmcnE 4 0/0or.-Jouiss. avril cpt I Domaniales d1 Autriche-mars 325 département. 1886 1956 avr. 416- 438-I 3433-1 VALEURS négociant A TROIS
impifb Î-oitiit
mois I
40/» 92»& 03 hongrois 4 0/0 or. -Jouis, janv. I cpt 97 97 10
I 20 Egypte-Daïra-Sanieh- 15avr. 10> 05 324 avr. 0/0 Amsterd.. 205
CHANGE •! "s papier
Ta 206 long
1/8 205 3/8 il 205 5/8??4 O/O I La souscription restera ouverte jusqu'au 30 juin. Si Farines (12 marques le sac de 159 Icil. esc, 1/2 0/0).
f660 35 ESPAGNE extkrieuhe 4 0/0 (cpt.
^i-l°-in •••• 66 97 07
66 25 50/0
••'• 4 0/0 avril 104
obi. domaniales.juin
102 55 I1 département-
115 I Cn. de fer Sud de la France, avril 383
1887 1985 I oioAllemaS î/4 122 3/8
122122 l&iiiÀi n'n
I t OOVieïno! 202 /4 à 202 3 4-20' 1/4 à 202 Xt! 0 0I en juillet pour compléter I elle est couverte, la Banque offrira encore 100 millions Courant 45 75 à 46 »»: juil. 46 »» a 46 25; juil.-août
\^m
::«• »"iS^fe:p:te
Jonissanc?^V,n
10 portugais 1833 3 0/0. -J. janv- lept. 2Ï 85
tme «g0 e662 Etats-Unis
|~?terr~~6-r."a-
r. 650.
SSSiïaffii^î^-i-ïKv.SÎÎ'Sah Est 5 0/0 à juin
382
653 50 I 5 0/0 Barcelone 423 à 425 I
l'émission destinée à couvrir 46 25 à 46 50; 4 dern. 48 »» a 48 25; 4 de nov. 48 50 à

50/0~63:ou~
30/0 2285
.«Sg
&?r::ri::™ti&M^$Ld:!3£t.
22 75
118!
25
s y^^m^Xv.
Emp. hellen.18Sl.50/0-janv. 249 50 244..
93~ ~Victo~mmanue-~1863: 315 50 3~50
SS»
6î5 •• ^«^ .1.
653
R 0/0 Madrid. 4M .1. à 42;; '14:4
424 à 426
à
ett O'O comptes
426 .et401,'0
le solde débiteur
avec la
du
Banque.
Trésor dans la liquidation de ses 48 75 Circul. 1,200. Liq.: ».– Farines de Corbeil. 51 fr.
Huiles (100 kilos, fut compris). Lin (esc. 2 0/0).

390
ttine \J3 02 7 010Lisbonne.1. « à **> 253 :1. à«2651.1.1£ Disp. 51 »» à 51 50; courant 51 75 à 51 »»; juil. 50 50 à
£?. Iffl Dans le cas où la souscription ne serait pas cou-

i' id.
647 50 et4 m®
4 0/0 4~6 17 TURC 4 0(0(5' d'ob!.D:) '7~' marsepL '2-2 Si?.15 2'! 17 portugais iS*
$25XŒnï}£?.i£ 4 112 31~10?-20 164 «i |2sSaS5i.V.'?.!îî?*fc.Sïï:
1 Brésilien mai. gî::
372 ..372 5 St-Péters. 258 .1. à 260 .1. 260 .1. à 262 i. eU 0/0
0,0
verte. la Banque gardera le solde de l'émission; On 51 »»; juil.-aoùt !j0 30 à 51 »»; 4 dern. 48 75 à 49 25; J
«ïttë S?25 • obhg. des Douanes .janv.. cpt.
502 502 Roumain 1S75 5 0/0 avril I id. • I Autrichiens 1" hyp mars 426.. 425 II I admet les bons du Trésor, les coupons de la dette à 4 prem. 48 75 à 49 25. Cire. »»,»»». –Colza (esc. 1 0/0).
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autrichiens. cpt
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PAYS 392 Russe 4 0/0 1867-1869.mai 98 07 98 20 I
5 0/0 1879 mai
15075 100 80

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I échéance du 30 juin 1893 dans le premier versement de
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I 10 0/0 de la valeur des obligations souscriteset dans
Dispon. 57 75 à 58 »»; courant 57 75 à 58 »»; juil. 58 »»,
à 58 25; juil.-août 58 25 à 58 50; 4 dern. 59 75 à »» »»;
| série id. 65 69 35 II £<%
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500 fr. 250 p.- Jouissance juiUetftme 598 75
598 598 50 40/01880
juin
60/01883
40/01889
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totale qui devra être effectuée pas le 4 prem. 60 50 à 60 75. Civcul. »».»»».

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3950 1198 crédit 3
450
D-AUTniCHE. cpt. foncier 1195 1195 101 80
80 II
Cacerès-Madrid avrfll891
nouvellesjanv.
86-
142 50 137 I n 0/0 Na^York 5(7 i r^î U?
•{• I second et dernier versements, le 30 juin contre déli- Esprits'3/6 Nord fin 9) degrés, l'hect. nu esc. 2 0/0).–

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J. .1.
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Lombardes
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portugais iCh. de p. Janv. cpt
1 CRBDIT foncier égyptien -fov. cpt.
cpt I
cons. 40/01",2'sér.avr. 1001099 78 80 75 1 avr. 332.. 328
33-J! a^OBeiïîaSo nalr
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I 0 nlftlSn P#7/R à iHt'" i i?r i '« i/?' I
d '/# 1/8 n V* vrance des titres. Courant 46 75 a »» »»; juil. 47 »» »» à »» »»; juil.-août
46 75 à 47 »»; 4 dern. 44 25 à 44 50: 3 d'oct. 43 75 à 41 25;
S"-»ÎS^ autrichiens.
.(cpt. 225-
5U0fr. 1891. Serbe 30/05o/o1891
Iavril
janv. 78 80 405
407
107 I Nord de l'Espagne 1" hyp id. 329..
id.
§• 3- janv. 335 334 50 If 2/n »2isS"" l/4bàl/8Ï ili'Zïtë? Le gouvernement grec émet en ce moment le nou- 4 prem. 44 25 à 4i 50. Stock: 7,550 pipes. Circul. 300.

230 les
l/4p.àl/2p. vel emprunt qui doit servir au payement on coupons
cpt b 1/4 b. 3/8 b. Sucres (blanc n» 10) kil. net. esc. 1/i 0/0).
id.230-
•• 6*750 b. 1
Empr. suédois 1878 4 0/0., juin p.
•'
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K 500fr. t. p. -Jouissance janv- tme 648 75 I 300 50 298 50 et titres remboursables au 1« juillet 1893 des emprunts
3» •'
125
S0^
f 50 SUD-AUTRICHE. 648 75 1880 2- série. avr. 104
228 Obl.f abacsportug.41/20/0av. 360.. 359 50 1 4« id. 290..
1 II 5 0/01881 et 1884. Cet emprunt, assure le gouverne-
Disp. 50 75 à »» »•> »/»: courant 50 87 1/2 à »» »»; juil.

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tSSPff 66°
500 fr. t p. –Jouissance juin. Hme
Mf BIDI0N,A" V;» lcpî' 227 50 Empr. brésilien 4 0/0..j. avril 6650 50 66 25 1
18884iy20/0 avril
148 | 7125 71 50 I Sud
5"
.id.
264- 264 5075 I Or en barres,MATIERES
250
de l'Espagne 30/0 r,à500. avr. 135- 131.. Il Arg. bar., pteO/00 375 à 380
1/2 à 1 1/2.
D'On ET D'ARGENT

314 50 I Quadruple espagn. 81- Aigles Etats-Unis. 25


Souverains
25 11 I ment, estpayables
Banknotes
25 12 1 caisserevenus
spécialement garanti par certaines taxes et
en or qui seront encaissés par une
5112 1/2 à 51 25: juil.-aoùt 51 37 1/2 à » sept.
50 50 à 5025 »/»; 4 d'oct. 43 87 1/2 à 44 »»; dito roux 88o
48 50 a 48 75; dito raffinés 121 50 à 122 »». Gircul.: 14,700.
iaïr "'••
1587o
I937!>.
1 2o 500fr.t. p. -Jouissance janvientme 158 75
8*iSÎGf?S?E«"im;i™iW«"-
500 lr. t.. p. Jouissance janv- jtme 193 75
15750
ffpt-
193 :™~
io850
157 50
;AA
75 Cordoba60/0
Argentin 5 0/0 1886. avril 346 50345
Mendoza 6 0/0 1888.juil.

Madagascar 6 0/0. 92 Il
1888..oct juin 470
Pampelune. Spéciales 3 0/0
Il Barcelone. Priorité 3 0/0 id. 324- 32Î
92 50 I Asturies, Galice et Léon 1" h., avr. 2m
Cordoue-So
314

ville. janv. 299 Piastres


|
Colonib. et Mex. 81- Guillaume (20 marcs)
mexicaines. 339Impériales russes 20801
90

351 Il Banque de Frauce, Escompte, 2 1/2; avances, 3 1/2 I tabacs, par les annuités de terre et desl'emprunt
notamment
créée à cet
65 I avaient été données effet. porteurs
I
garanti
aux
Or, les mêmes assurances
spécialement par
de l'emprunt 1881,
sur les
plantationsna-
Tendance soutenue.
Paris, C.Pariset, iinp.-gérant, 5, boulev.des Italiens,

DERNIÈRE S NOUVELLES tion, d'où surmenage:ainsi la ligne Hôtel de Ville-Porte


Maillot qui, autrefois, avec 21 voitures fournissait
60,000 quintaux environ le nombre de quintaux de Le gouvernement français a commence, il y a la commission du budget puisse apporter un rap- tré dans la Tyne la nuit dernière. Le capitaine a dé-
conserves qu'il pourrait faire fabriquer, par anticipation, quelques mois, avec l'Autriche des négociations port demain. claré qu'un chauffeur avait été pris dimanche de
336 courses, soit 16 par voiture, fournitmaintenant, avec au titre de 1894 et de 1895.
quatre heures en moins, 318 courses avec 20 voitures, Il est entendu que les budgetsde 1894 et de 1895 subi qui se poursuivent encore et dont il a fait connai- M. Burdeau, au nom de la commission du bud- crampes cholériques et était mort. Le navire a été dé-
MORT DE CORNELIUS HERZ soit encore 16 par voiture. ront une diminution de ce fait, les quantités de con- tre l'état à la commission. get, fera tout son possible, sans toutefois pouvoir sinfecté et placé en quarantaine. Marseille, 26 juin.
le docteur Brouardel, qui 2° La diminutionde durée des parcours et des sta- serves de viande à acheter pendant ces deux années M. Turrel persiste, quant à lui, à vouloir déve- prendre un engagement ferme quant au jour où elle
M. est commissaire du tionnements, mesure prise pour faire faire en douze devant être diminuées de 30,000 quintaux chacune, par lopper son interpellation. pourra apporter son rapport. Ce matin se sont ouverts devant le tribunal correc-
gouvernement pour la discussion d'un projet de loi heures ce qui se faisait en seize. La moyenne de dimi- suite du transport de crédits qui est fait en 1893. La di- Le renvoi à la commission du budget est or- tionnel les débats de l'affaire des quatre adjoints so-
relatif à la santé publique, est arrivé à trois heures nution de durée de parcours est de trois minutes par minution à apporter au budget de 1894 sera de Le budget de 1894 cialistes de Marseille, poursuivis à la suite des trou-
à la Chambre. donné. bles du l" mai.
course. 4,050,000francs. Le président du conseil et le ministre des finances Les Halles de Paris
II annonce qu'il a reçu une dépêche lui annonçant Pour obtenir le résultat demandé, il serait nécessaire se sont rendus à la commissiondu budget et ont Au banc de la défense se trouve Mo Millerand, dé-
M. Girou, conseiller municipal, présent à la réu- M. de Ladou cette, rapporteur, a la parole sur la puté, pour M. Cadenat.
que Cornelius Herz vient de mourir. nion, proteste contre l'accusation portée par un dé- que le Parlementmit immédiatement à la disposition constaté l'accord du gouvernement et de la com-
légué que les conseillers municipaux déconseillent du ministre de la guerre un crédit spécial de 10 mil- mission sur l'établissement du budget de 1894. proposition relative à la réglementation des Halles
lions 800,000 francs. Il a été convenu qu'on demanderait à la Chambre centrales do Paris, qui vient en seconde lecture. Le nouveau bureau du Conseil général de la Seine
La démission du préfet de Seine-et-Oise aux employés de poursuivre leurs revendications. L'objet du projet est donc de demander l'ouverture d'ouvrir la discussion en séance publique du budget Il signale les fraudes qui ont donné naissance à MM. Patenne, président, Bassinet et Gibert, vice-
r
Nous avons tenu nos lecteurs au courant des di- ment La grève, dit-il, serait-elle heureuse en ce mo- sur l'exercice 1893 du crédit précité de 10,800,000 francs. jeudi, et de tenir deux séances par jour à partir de ce projet. présidents, Puech, Laurent-Gôly, Davrillé des Es-
? Non, répondent unanimement les délégués. Les droits sur les pétroles
vergences qui se sont produites, au cours de ces A ce moment où les voitures sont en grève, au-
vendredi. sards, Picau, secrétaires, se sont rendus cet après-
dernières semaines, entre le comité organisateur riez-vous Les ministres des affaires étrangèreset du com- LA SÉANCE midi à l'Elysée, pour faire au président de la Répu-
du banquet Hoche et certaines personnalités poli- l'opinion publique avec vous ?9 merce sont entendus aujourd'hui par la commission DÉPÊCHES PARTICULIÈRESDU SÉNAT blique la visite drusage.
Non, répondent encore une fois les délégués. 3 h. 50.
50.
tiques du département de Seine-et-Oise. des douanes au sujet du projet de loi sur les pétro- M. Casimir-Perier préside. r
M. Girou poursuit: les et la convention commercialefranco-russe. LA SÉANCE
On sait que M. Maret avait refusé d'y assister par Mais si vous pensez que la s rêve doive se faire h.
la raison que ces invitations avaient été restreintes La commission aurait voulu compléter ce projet; Un « Journal officiel » du soir 3 50
La Villette. 26 juin. Bestiaux. Vente très diffi-
et qu'une réunion générale doive être provoquée, tout en acceptant les droits de 9 et 12 fr. 50 pour les M. Vilar déposele rapport sur le projet modifiant cile
à une catégorie de républicains. nous n'en serons pas moins avec vous. La Chambre prend en considérationla proposition le tableau des circonscriptions électorales. sur le gros bétail et les veaux, facile sur les mou-
M. Bargeton, préfet de Seine-et-Oise, se plaçant bruts et les raffinés au tarif minimum, elle aurait de M. Guichard tendant à la création d'un Journal tons et les porcs.
Néanmoins, une grève à l'heure actuelle pourrait voulu créer deux nouvelles catégories pour cer- Le Sénat reprend le projet de loi relatif à la ré-
au même point de vue, s'était rendu au ministère de conduire à la suppression officiel du soir donnant les comptes rendus in extenso
l'intérieur pour expliquer à M. Dupuy que cette été accordés. des avantagesqui vous ont tains pétroles au-dessous d'une limite déterminée
d'une part, d'autre part pour les pétroles riches con-
de la veille avec le scrutin public des séances du forme des boissons. p.B
Ame- Ven- 1™ 2' 3» ^Prixextrêmes^
M. Guyot développe un amendement prescrivant El!>i)el' nés. dus. qté. qtô. qté. viana«net|pôids vif
attitude était de nature à compromettre la majorité Un délégué répond à M. Girou et déclare que, si Sénat et de la Chambre des députés, au prix de aux employés des contributions indirectes de faire
républicaine dans le département. M. Dupuy décide tenant les essences. 5 centimes le numéro et, par abonnement, à raison
alors que ce fonctionnaire n'assisterait pas au ban- tuels, ces camarades sont contents des traitements ac- Le gouvernement ne croit pas possible de modi- do 12 francs par an. chei les débitants des prélèvements do vins et li- Bœufs. 3.339 2.490 1 42 1 22 » 92 » 72àl 50 » 46à» 97
quet.
lui ne l'est pas il conseillela grève. fier le projet do loi, car il faudrait recommencer ses La Chambre déclare l'urgence. queurs pour soumettre ces échantillons aux analy- Vaches 1.253 1.042 1 36 t 10 » 74 » 68 1 42 » 41 » 92
des laboratoires. Taurx.
•sesM. Moinet appuie l'amendement de M. Guyot.
négociations. 226 194 1 12 « 84 » 72 » 66 1 16 » 41 » 86
La nouvelle de cette abstention s'étant répandue M. Letellier a la parole pour une question au mi- Veaux. 2.078 1.405 1 60 1 40 120 » 60 1 80 » 40 1 10
à Versailles, plusieurs des organisateurs du ban- A la Bourse du travail Or, lo traité doit être ratifié le 1er juillet et le nistère de l'intérieur. Mout*>. 14.245 13.880 1 90 1 70 44 1 24 1 96 » 6i 1 10
quet demandèrent une audience au ministre, qui, Nous avons dit que des délégués de la Bourse du temps ferait défaut pour négocic-r à nouveau d'ici-là. Il demande que, sur les projets de réforme admi- Porcs.. 2.602 2.600 1 38 l 34 1 30 » 98 1 42 » 43 » 9C
après les avoir entendus, donna l'ordre, dépê- travail se sont rendus, samedi, à la recette munici- Le gouvernement a été questionné par la com- nistrative de l'Algérie, la Chambre soit consultée Les papiers de M. Millevoye Le Havre, 11 heures. Laines (à terme). Marché
che au préfet, de représenter le gouvernement par mission sur le point de savoir si l'on ne devrait pas aussi bien que le Sénat. Il prie le ministre de confir-
au pale pour toucher leur mensualité. accorder des primes aux producteurs français d'hui- M. Atthalin, juge d'instruction, a interrogé ce soutenu. Ventes 50 balles.
banquet. C'est celle du mois de juin qu'ils réclamaient, les les de schiste et d'huiles de colza, pour compenser mer à cet égard les assurances données par son pré- matin M. de Sannoit, administrateurdo la Cocarde. Courant 139 50: août 141 »»; oct. 143 »».
A cette dépêche, le préfet de Seine-et-Oise répon- mensualités ne leur étant payées que pour chacun décesseur. Cet après-midi, lojuge instructeur a reçu M. de Le Havre, midi. Cotons (à terme). Acheteurs
dit par une autre, dans laquelle il déclarait au mi- des mois écoulés. le préjudice que causerait à leur industrie l'abaisse- M. Dupuy, président du conseil, répond qu'il a aux cotes. Ventes 2,700 balles.
ment des droits sur les pétroles étrangers. Morès, qui lui a remis les documents dont nous Courant 52 5/8; juillet 52 3/4: août 53 1/4; sept. 53 3/4;
nistre de l'intérieur qu'il lui était bien difficile de re- Ils demandaient que le payement leur en fût fait fait connaître ses intentions en ce sens à la haute parlons plus haut. octobre 54 1/8; nov. 51 l/2:déc. 54 3/4; janv. 1894. 55 1/8;
venir sur la décision qu'il avait prise après en avoir quelques jours à l'avance. On sait que ce versement M. Terrier, ministre du commerce, a répondu Assemblée.
Il a été dit que MM. Marinoni,directeur, et Judet, fév. 55 1/2; mars 55 7/8; avril 56 1/4; mai 56 5/8; juin
causé avec lui. leur a été refusé. que le gouvernement accepterait la prime pour les M. Chiché. Il n'y a pas de haute Assemblée. 57 •</».
M. Dupuy fit demander M. Bargeton au téléphone producteurs de schiste. Mais il est opposé à la M. le président du conseil. Nous continuerons chef du service politique au Petit Journal,avaient Cafés (à terme). Languisssants. Ventes nulles.
et lui renouvela l'ordre de se rendre au banquet; La grève des cochers prime aux producteurs d'huiles de colza. de le dire encore, ne vous en déplaise. (Très bien I été convoqués par M. Atthalin. Cotes inchangées.
sur quoi M. Bargeton répondit en donnant sa dé- On a vu plus haut que M. Bixio s'était rendu, ce
La commission des douanes entendra demain les très bien 1) Par une note qu'il communiqueà l'agence Dalziel, Le Havre, 1 h. 50. Cotons dispon. Calmes..
Tnission, qui fut acceptée. matin, chez le préfet de police qu'il a entretenu d'un
raffineurs de pétrole. Le président du conseil ajoute que le gouverne- M. Judet dément cette nouvelle aussi bien en ce qui Ventes 100 balles.
Cette nouvelle a été annoncée ce matin à la délé- projet dont ment, sans se départir de sa prérogative, déclare le concerne qu'on ce qui concerne M. Marinoni, ab- Cafés disponibles. Calmes. On a vendu 150 sacs
avons parlé et qui consisterait à Les vins français en Autriche Cap à 98 fr.; 700 sacs Cayes à 94 50; 80 sacs GonaïveE
gation de Seine-et-Oise qui était venue demander remettre à nous des cochers disposés à travailler des A la commissiondes douanes, le ministre des af- qu'il ne sera rendu aucun décret ni pris aucune dé- sent de Paris actuellement. de 103 fr. à 103 50; 300 sacs Jacmel de 97 50 à 98 50.
malgré sapromesse,le gouvernement n'eût pas été
il
au ministre de l'intérieur comment se faisait que, permis de conduire provisoire. faires étrangères s'est ensuite expliqué sur le fait cision sur cette question sans que la Chambre ait
été mise à même de faire connaître son opinion.
M. Judet déclare avoir eu communication seule-
ment des papiers de M. Milievoye.
213 sacs Petit Goave à 98 fr.; 200 sacs Porto-Cabellc
M. Bixio, que nous avons nous a déclaré que que M. TuitoI se propose do porter à la tribune par trillados à 100 fr.
représenté au banquet Hoche. si le préfet donnait suite à cevu, projet, la Compagnie voie d'interpellation et qui a trait régime doua-
3 h. 50.
Norton vient d'être amené au Palais pour être en-
Terme. -Rapproché inchangé, éloigné baisse 25 c.
On a vendu 1.000 sacs depuis la précédente dépêche.
nier appliqué aux vins français enau
des voitures rouvrirait tous ses dépôts. La Chambre adopte, après déclaration d'urgence,
Autriche. le projet de loi relatif au rengagement des sous- tendu par M. Atthalin, juge d'instruction. Le Havre. Cafés (à terme;. Clôture de 3 heures.
La réunion des employés des omnibus L'Autriche, quoique nous ayons avec elle officiers. M. de Morès est toujours dans le cabinet du juge. Calmes. Ventes 3,000 sacs.
Les délégués des divers dépôts d'omnibus, DÉPÊCHES PARTICULIERESDE LA CHAMBRE convention reposant sur l'application dn régimeune de On supposeque Norton va être confronté avec M. Courant 94 75; juillet 95 »»; août 95 »»; sept. 95 25:
src.de 80, se sont réunis cet après-midi à au nom-
la salle la nation la plus favorisée, applique aux vins fran- L'urgence est également prononcée sur le projet de Morès. octobre 94 75; nov. 94 25; déc. 9i >»; janvier 1894, 93 »»;
février 92 75; mars 92 50;avril 9225; mai 92 ,»; juin8850
du Tivoli Vauxhall, rue de la Douane, pour exami- Les conserves de viande çais un droit supérieur à celui dont elle frappe les de loi relatif à la constitution des cadres et des Le juge a également convoqué M. Maigre qui
vins italiens. effectifs de l'armée active et de l'armée territoriale. était au service de M. de Mores. Roubaix. Laines. Qualité peigné de fabrique
ner le différend existant entre la Compagnie et les Voici l'exposé des motifs du projet de loi tendant
M. Develle a expliqué les origines de ce fait qui 'tvpe réfluct.) juin 485 »/.>; juiUet 4 85; sept. 4 90 »/•;
employés, différend qui n'a pu être tranché dans les à la constitution d'un approvisionnement de 60,000 M. Burdeau, président de la commission du bud- nov. 4 90 •»/». Ventes 30.000 kil.
deux entrevues qui ont eu lieu il y a huit et quinze quintaux de conserves de viande remonte au temps où la Lombardo-Vénétie n'était get, fait observer gue le projet comporte une aug- (Service liavcui Liverpooi, midi. Cotons. Soutenus. Demandes mo*
jours avec les administrateursde'la Compagnie. Le gouvernement, d'après le vœu manifestement pas encore italienne et où, par convention de fron- mentation de crédits. Il demande que le projet soit dérées. Ventes prob. 9.000 balles. Import. 1,000.
Les principaux griefs énumérés par les employés exprimé tière. un régime de faveur était accordé aux vins renvoyé à la commissiondu budget, qui s'expliquera
p q Londres, 26 juin. Liverpool, 1 h. 2D. Cotons dispon. Soutenus.
et qui figurent sur un mémoire qui va être adressé 17 juin dernier, par la Chambre des députés, à la séance du italiens à leur entrée sur le territoire autrichien.1 sur les conséquences financières du projet. Une dépêche de Bangkok en date d'hier annonce Ventes 10.000 balles. Futurs soutenus.
au Conaei! municipal sont
s'est engagé à faire fabriquer la plus
grande quantité possible de conserves de viande Mais depuis 1891, cette explication parait plus M. Cuneo d'Ornano. La Chambre vient de vo- le que, dans le but de maintenir la sûreté publique dans Courant • »•/»»: juin-juillet » »»/»»; juil.-août* 25/6»;
l'industrieprivée et par les usines de l'Etat qui sont par
à admissible, puisque, aux termes desneconventions Siam, le ministre anglais à Bangkok a averti le Free
ter un projet qui est lié avec le suivant il crée une Press, journal de Siam, de modifler son langage anti-
août-sept. • »»/»».ept.-oct. 4 28/lH', oct.-nov. » »»/»•.
8 55: seiffle automne 7 49;
1» Hior que la journée de travail soit, depuis 1891, ré- la disposition des ministres la nouvelles entre 1 Italie et l'Autriche, cette dernière recette, et le second fait emploi de cette recette. Vienne. Hlo automne
duite de scwo heures à douze heures, les employés pré- rine. de guerre et de la ma- siamois. maïs sepl.-oct. 5 82: dito nfti-juin 1894 5 90.
«ftnd<»t fournir autant de courses qu'avant cette réduc- applique le régime du faveur aux vins de toutes les M. Mézières, président de la commission de l'ar- South-Shields, 26 juin. Budapest. Rio automne 8 37; mais sept.-oct. 5 50J
D'autre part, le ministre de la guerre a estimé à régions de l'Italie, même ceux de Sicile. mée, ne s'oppose pas au renvoi; mais il faudra que dito mat-juin 1894 5 50.
Le steamer Myrtle-Branch, venant de Nantes, est en-

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