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Rapport de stage
Production et traitement
de l’eau potable
Par :
YASSINE Amine
Encadré par :
Mr MEDDAH Redouane
Fait à :
Année universitaire :
2016/2017
Production et Traitement de l’Eau Potable
Remerciements
Sommaire
Introduction
L'eau est essentielle à la vie et au bien-être, elle a besoin d'être protégée, traitée et
économisée. Ses ressources sont précieuses et rares, sa qualité est délicate et son cycle naturel
est très long.
Après les études théoriques de première année branche "Hydraulique Rurale et Irrigation" à
l’Institut des Techniciens Spécialisés en Mécanique Agricole et Equipement Rural de
BOUKNADEL, les étudiants TS HRI sont obligées de passer un stage au sein de l’Office National
de l’Electricité et de l’Eau Potable (ONEE), Qui joue le rôle de production de l’eau potable pour la
consommation après le traitement qui se fait dans la station par plusieurs étapes.
La qualité des eaux produites est contrôlée, au sein du laboratoire, en faisant certaines
méthodes analytiques : physico-chimiques, bactériologiques. Ces méthodes ont pour objet avoir
des eaux potables pour la consommation, afin de développer et d’enrichir leurs connaissances
dans le volet pratique notamment au niveau de traitement et production de l’eau potable.
Mon lieu de stage s’effectue à l’Office National De L’Electricité et de L’Eau Potable à Béni
Mellal ; Branche Eau (station de traitement –Ain Asserdoun), au cours de la période durant
29jours du 22/05/2017 au 21/06/2017.
Bureau
D’Ordre
Service
Service Gestion Service Technique Centres
Exploitation
Beni Mellal
Bureau Bureau
Bureau
D’exploitation Travaux Kasba-Tadla
Administratif
Ouled Zidouh
Had Bradia
Bureau -Bureau de
gestion des Méthode Bureau gérances et Ahl Marbaâ
vignettes assainissement
-laboratoire Ouled Reguiaâ
Aghbala
Ighram Laâlam
Sidi Aîssa
Krifat-Ouled Zemam
La station de traitement d’eau potable de Béni Mellal est située au sud de la ville dont le but
d’assurer un écoulement gravitaire, cette station dernière est alimentée en eau brute à partir de
la source Ain Asserdoun, et équipée pour assurer une production globale de l’ordre de 260 l/s
d’eau potable, lorsque l’eau brute présente une charge en MES ≤ 2 g/l, afin de gérer les besoins
des consommateurs.
Elle a été réalisée en deux (2) tranches, décrites succinctement ci-après :
La tranche N°1, construite en 1977 par la société CTE, pour produire un débit de 140 l/s
d’eau potable et qui comprend les ouvrages hydrauliques suivants :
1 ouvrage d'arrivée d'eau brute, équipé d'un obturateur à disque noyé ;
1 canal alimentant cette tranche en eau brute, mais qui est déjà conditionné en réactifs de
traitement (notamment le chlore et le sulfate d’alumine) ;
2 floculateurs ;
2 décanteurs statiques ;
3 filtres ouverts à lit de sable ;
1 bâche d'eau traitée pour lavage de 60 m³ ;
1 réservoir semi enterré de 700 m³ d'eau traitée.
La tranche N°2, construite en 1993 par la société SOGEA, pour produire un débit de 120 l/s
d’eau potable et qui comprend les ouvrages hydrauliques suivants :
1 canal alimentant cette tranche en eau brute, mais qui est déjà conditionné en réactifs de
traitement (notamment le chlore et le sulfate d’alumine) ;
2 floculateurs ;
2 décanteurs statiques de type ’’longitudinal’’ ;
3 filtres ouverts à lit de sable.
Comme ouvrages hydrauliques, celui d'arrivée, la bâche d’eau traitée de 60 m³ ainsi que le
réservoir d’eau traitée de 700 m³ sont communs entre les deux tranches.
YASSINE Amine Page 14
Production et Traitement de l’Eau Potable
11-Réservoir 700 m3
Température °C 16.9
PH 7,3
TH méq/l 5,1
TA méq/l 0
TAC méq/l 5,2
Remarque :
Ces valeurs peuvent varier mais il n’y a aucun dépassement des normes de potabilité, et l’eau
captée ne contient pas les éléments toxiques (Cuivre, Plomb, Chrome, Cadmium…etc.) et vacant
de la radioactivité. En général les eaux captées sont de bonne qualité.
Débit (l/s) 40 40 60 40
Station de Longueur de
Puissance (kW) Hmt (m) Débit Q (l/s) refoulement (km)
reprise
Groupe 1 250 176 80 17
Groupe 2 250 176 80 17
Groupe 3 250 176 80 17
Groupe 4 160 176 50 17
Groupe 5 160 176 50 17
III.2 Coagulation-Floculation
III.2.1 Coagulation
Les particules colloïdales (causant la turbidité) qui possède l’eau brute portent
habituellement une charge électrique négative provoque les répulsions inter-colloïdales qui
empêchent les particules de s'agglomérer les unes aux autres pour former des particules plus
volumineuses (flocs).
Le but de la coagulation est donc de neutraliser les charges de ces substances afin de
favoriser la formation d'un agglomérat. Pour ce faire, on introduit dans l'eau un produit
chimique chargé positivement c’est le sulfate d’alumine (coagulant).
La coagulation nécessite une vitesse d'agitation plutôt rapide (120 tr/min), afin de bien
mélanger l'eau et que les colloïdes et les cations métalliques se rencontrent et se neutralisent.
III.2.2 Floculation
La floculation permet de s’attaquer au problème du faible diamètre des colloïdes elle vise à
favoriser la formation et la croissance de flocs par l’ajout de poly électrolytes (floculant) et sous
une agitation lente de 40tr/min.
La floculation nécessite une vitesse relativement lente afin de favoriser la rencontre et
l'agrégation des colloïdes mais sans détruire les flocs déjà formés. (40 tr/min).
III.3 Décantation
La décantation est une étape qui consiste à laisser les déchets les plus lourds tomber au fond
du décanteur. Cette technique n'est pas comparable à une filtration. Nous devons faire une
décantation avant une filtration. A la fin de la décantation les objets les plus lourds sont
recueillis sous forme de boues.
La décantation a pour objectifs :
Séparation de matières en suspension ;
Obtention d’une eau décantée.
Paramètres bactériologiques :
Tableau 4: Valeurs Maximaux Admissible des paramètres bactériologiques.
Paramètres VMA
Escherichia Coli 0/100 ml
Entérocoques intestinaux 0/100 ml
Substances minérales :
Tableau 5: Valeurs Maximaux Admissible des substances minérales.
Cyanures CN : µg/1 70
Chrome Cr : µg/1 50
Sélénium Se : µg/1 10
Bore B : µg/1 0,3
Nickel Ni : µg/1 20
Paramètres physico-chimiques :
Tableau 6: Valeurs Maximaux Admissible des paramètres physico-chimiques.
Les valeurs mesurées de ces paramètres ne devraient pas être supérieures aux valeurs
figurant dans la colonne "valeur maximale admissible " (VMA) car chaque dépassement de ces
normes de qualité provoque des inconvénients.
IV.1.2 Température
La température varie selon l’origine de l’eau. Elle joue un rôle très important dans la
solubilité des sels et surtout des gaz et conditionne les équilibres de dissociation, elle agit sur la
conductivité électrique et le pH.
La mesure doit être effectuée sur place au moment du prélèvement de l’échantillon.
Le résultat de mesure de la température sera donné en degré Celsius (°C).
Principe :
L’addition de DPD à des eaux contenant du chlore donne une coloration rose qui permet de
déterminer à côté d’un comparateur la teneur en chlore.
Mode opératoire :
Dans une cuve, on introduit 10ml d’eau à analyser en ajoutant une pastille de DPD et à l’aide
d’un comparateur on détermine directement la teneur de l’eau en chlore par la comparaison de
la coloration obtenue avec la palette.
Expression des résultats :
Teneur de l’eau en chlore est exprimée en mg/l.
Quantité de chlore dans l’eau traitée ne doit pas être inférieure à 0,5mg/l.
Mode opération :
Prélever 100ml d’échantillon à analyser dans un ballon rodé de 250 ml ;
Ajouter 2 ml d’acide sulfurique H2SO4 concentré ;
Ajouter 10 ml de permanganate de potassium KMnO4 N/100 ;
Relier le ballon rodé à un réfrigérant et porter à ébullition pendant exactement 13 min ;
Après ces 13 min retirer du bain marie à 100 °C et ajouter 10 ml d’oxalate de sodium
Na2C2O4 N/100 ;
Titrer après décoration par permanganate de potassium KMnO4 N/100 pendant que la
solution est encore chaude ;
Le point d’équivalent correspondant à une couleur rose persistante pendant 30 secondes.
Essaie témoin :
Ajouter la solution dosée précédemment 10 ml d’oxalate de sodium Na2C2O4 N/100 ;
Chauffer si nécessaire à 80 °C ;
Titrer avec permanganate de potassium KMnO4 N/100 jusqu'à apparition d’une couleur
rose persistante pendant environ 30 secondes.
Expression des résultats :
Indice de permanganate I est exprimé en mg d’oxygène/l donnés par la formule.
abc
I 8
c
a : Volume de permanganate introduit au début.
b : Volume de permanganate ajouté jusqu’au virage au rose.
c : Volume de permanganate employé pour titrer le témoin.
K: la pente de la droite.
Germes pathogènes :
Vibrion chlorérique ;
Salmonella ;
Pseudomonas ;
Staphylocoques.
Bactériophage :
Coliphage :
Autre bactéries :
Bactéries hétérotrophes ;
Aérobies revivifiables.
IV.2.2 Prélèvement
L’on dit souvent que "l’analyse commence au prélèvement".
L’échantillon prélevé doit être représentatif du milieu, le prélèvement est réalisé de manière
à ne pas contaminer l’échantillon. Le soin apporté à la technique des prélèvements d’eau en vue
de l’analyse bactériologique revêt une importance primordiale pour la valeur d’analyse.
Points de prélèvement :
Robinet : le prélèvement est réalisé d’une manière aseptique dans un flacon stérile ;
Cours d’eau : l’échantillon est prélevé à l’aide d’un flacon stérilisé lesté loin des rives ou
à partir d’un pont en se positionnant du côté aval ;
Lac-Etang : le prélèvement à réaliser à partir d’un bateau, loin des berges ;
Réservoir-Puits : le prélèvement est effectué à l’aide d’un flacon stérilisé lesté loin des
bords.
Vibrion chlérique :
L’échantillon est prélevé dans un flacon stérilisé contenant un milieu d’enrichissement
adéquat.
Flacon lesté : Le système de lestage et corde sont stérilisées ;
Sol monelle : flacon de prélèvement contenant un bouillon d’enrichissement.
IV.2.3 Transport
Glacière contenant le matériel de prélèvement :
Flacon stérilisé ;
Turbidimètre ;
Comparateur pour le dosage du chlore résiduel.
Véhicule de transport :
La qualité bactériologique de l’échantillon transporté risque d’être effectuée si des
précautions ne sont pas prises.
Pour cela le transport doit être effectué :
De plus rapidement possible après le prélèvement (ne pas dépasser 6 à 8 heures) ;
A une température de +4°C ou de 6°C (glacière).
Membrane de
porosité 0,450µm
Milieu de culture
Boite de pétrie
Mode opératoire :
On travaille stérilement pour éviter toute contamination microbienne par l’air, on filtre 100
ml d’eau traité (membrane filtrante stérile), en suite on prend la membrane filtrante avec une
pince stérile et on met dans une boite de pétri contient le milieu au tergitol-7 ont trait une autre
boite avec le même procédé.
Incubation :
Une boite de pétri est incubé à 44 °C pendant 24h pour la détermination des coliformes
fécaux, l’autre boite est incubée à 37°C pendant 24h pour détermination des coliformes totaux.
IV.2.4.3 Détermination des streptocoques fécaux par la méthode M.F
IV.2.4.3.1 Streptocoques fécaux
Streptocoques sont des bactéries aérobies arrondies, Gram positif. Les streptocoques se
présentent en chaînettes ou par paires et certains groupes sont pathogènes pour l’homme.
Parmi les infections à streptocoques, on trouve : l’angine ; la scarlatine ; l’érysipèle ; la fièvre
puerpérale et certains pneumonies.
Les streptocoques responsables de maladies telles que des pneumonies, les bactéries du
genre streptocoques sont ici vues au microscope électronique à balayage, en fausses couleurs.
Echantillon : Eau traité dans la station et l’eau des régions ;
Milieu de culture : Slanetz ;
Mode opératoire :
Même méthode qui est fait pour détermination de coliformes totaux et fécaux.
Incubation :
Pour déterminer les streptocoques fécaux, la boite de pétri est incubé à 37°C pendant 48h.
IV.2.4.4 Méthode MPN pour l’eau brute
Cette méthode dite : MPN, consiste à ensemencer, une série de 3 tubes contenants le milieu
de culture Lauryl double et une cloche en verre, par (10 ml) de l’échantillon, puis ensemencer
une autre série de 3 tubes contenant le milieu de culture Lauryl simple et une cloche par tube,
par (1ml) de l’échantillon, et une troisième série contenant Lauryl simple et une cloche, par (0,1
ml) de l’échantillon. La même chose pour le milieu de culture Roth double et simple, mais sans
mettre les cloches, puis on incube dans l’étuve à 44°C pendant 48heures.
Lecture des résultats :
Sont comptés positifs les tubes caractérisés par un développement bactérien important (trouble)
et un dégagement de gaz.
Test confirmatif (repiquage) :
On agite avec précaution les tubes positifs du test présomptif, avec une anse stérile ou une
pipette pasteur stérile on transfère une population bactérienne prélevée des tubes de bouillon
lactosé bilié au milieu de culture EC Medium (pour les coliformes fécaux), et vers vert brillant (pour
les coliformes totaux), Puis on agite doucement les tubes inoculés et on incube à 37°C pendant 24-48
heures.
Mode opératoire :
On remplit chaque bécher par 1 litre d’eau brute ;
On met en marche les agitateurs à 120 tr/min ;
Plus d’une manière rapide on introduit dans chaque tube là les quantités des réactifs
suivants :
Tableau 8: Réactifs d’essaie de traitement
Bécher N° I II III IV V VI
Sulfate d’alumine (mg/l) 10 20 30 40 50 60
Poly électrolyte (mg/l) 0,2 0,2 0,2 0,2 0,2 0,2
Après une période de 20 minutes, on note l’aspect des flocs (pas de flocs, légère
opalescente, petits points, flocon de dimension moyenne, bon floc, excellent) ;
On a arrêté les agitateurs, puis on laisse reposer toutes les solutions pendantes 30 minutes ;
On détermine le PH, turbidité, l’oxydabilité et le chlore résiduel ;
On filtre surnageant sur papier filtre et on détermine la turbidité et l’alcalinité sur chaque
échantillon.
Avec Vi est le volume de l’eau de javel nécessaire pour avoir une solution étalon de 0,1mg/l
après la dilution par l’eau distillée (100ml).
On prend une série de fiole contenant chacun 100ml l’échantillon (eau brute) dans lesquelles
on injecte des doses de chlore croissantes à partir d’une solution du chlore à concentration
connu après agitation des fioles, on les passe à l’obscurité pendant 30min ensuite, on ajoute 2
goutte d’ortholidine à chaque fiole et on fait le lecture on utilisant un comparateur de chlore.
Demande en Chlore
1,60
1,40
1,00
0,80
0,60
0,40
0,20
0,00
0,00 1,00 2,00 3,00 4,00 5,00 6,00 7,00
Conclusion
Durant ce stage effectué dans la station de traitement d’Ain Asserdoun. On a constaté que les
processus de traitement des eaux se base quand même sur des critères complexes, et on peut
dire que cette station accomplie sa mission en asseyent de respecter le maximum des normes
prescrites afin de fournir aux consommateurs une eau potable, bénéfique par la santé.
En effet, cette période était très bénéfique au niveau pratique, dans la mesure où elle m’a
permis de découvrir le déroulement de la production et le traitement de l’eau potable. J’ai
acquise plusieurs connaissances telles que :
les différents procédés de traitement de l’eau potable ;
Les techniques des analyses physiques, chimiques, et bactériologiques ;
les produits utilisés dans les analyses, leurs méthodes de préparation et de conservation ;
La méthode de prélèvement d’un échantillon d’eau ;
les machines de laboratoire et leurs techniques d’utilisation comme : spectrophotomètre,
autoclave, étuves, bain-marie, pH-mètre, turbidimètre, conductimètre, appareil jar-test,
balance de précision ;
Les différents types de verrerie et les méthodes de les stériliser ;
les aspects de facturation du service de l’eau potable et de l’assainissement ;
les problèmes de gestion au niveau de la station de traitement.
Ce stage technique d’une durée de un mois que nous avons effectué au sein de laboratoire de
station de traitement au terme de notre formation, nous a permis d’acquérir une bonne
connaissance sur le milieu professionnel et de valoriser les compétences acquises en théories en
les mettant en pratique.
Cette expérience nous a permet aussi de se familiariser avec l’environnement du travail et de
se rendre compte des difficultés techniques et logistiques lors de la résolution des problèmes.
J’espère que mon rapport sera un guide pour tous ceux qui veulent prendre une idée plus ou
moins approfondit en plasturgie.
Date Activités
Visite à la station de traitement ; j’ai rencontré le maitre de stage
Mr .MEDDAH Redouane et ses collaborateurs ;
Faire une tournée dans la station et connaitre ses différentes salles et
équipements avec Mr. EL BAKKALI Ahmed. ;
Apprendre comment prendre des prélèvements des échantillons
Du 22 mai Au 26mai
d’eau à partir les différents composants de la station de
traitement (échantillons d’eau brute, des 4 décanteurs et des six
filtres, et de l’eau traitée) ;
Savoir comment réaliser le suivi quotidien des analyses physico-
chimiques : le chlore résiduel, la turbidité, la température, le pH.
Contrôle de la qualité d’eau (brute, décanté, filtré, et l’eau traité) de
chaque jour (température, ph, conductivité, turbidité, chlore résiduel,
TAC, oxydabilité,...) ;
Du 29 mai Au 02juin
Essaie de coagulation-floculation ;
Sortie à Sidi Jaber pour voir la station de pompage et prendre des
échantillons de l’eau potable des forrages.
Contrôle de la qualité d’eau (brute, décanté, filtré, et l’eau traité) de
chaque jour (température, ph, conductivité, turbidité, chlore résiduel,
Du 05juin Au 09juin TAC, oxydabilité,...) ;
Sortie à Réservoir 4000 m3 pour prendre des échantillons de l’eau
potable des forrages de sidi Jaber.
Contrôle de la qualité d’eau (brute, décanté, filtré, et l’eau traité) de
chaque jour (température, ph, conductivité, turbidité, chlore résiduel,
Du 12 juin Au 21 juin TAC, oxydabilité,...) ;
Sortie à El-Ksiba pour prendre des échantillons de l’eau potable ;
Visite de la nouvelle station de traitement de l’eau Ait Massaoud.
Bibliographies
Office nationale de l’eau potable Normes marocaines relatives aux eaux d’alimentation
humaine ‘’Méthodes d’essai janvier 1990’’ ;
Office nationale de l’eau potable Procédure de la gestion commerciale au niveau des
centres version 2010 ;
L’aide des encadrants de stage Mr MEDDAH Redouane et Mme BOUHALOUA Khadija ;
Bibliothèque de la station de traitement Beni Mellal.