Vous êtes sur la page 1sur 3

Texte n°1 :

La vente du fonds de commerce


Le vendeur d’un fonds de commerce et tout
autre cédant à titre onéreux, doivent
s’abstenir de tout acte susceptible d’affecter la
valeur du fonds vendu, notamment de
l’exploitation d’un commerce concurrentiel à
proximité de ce fonds.
L’acheteur du fonds de commerce doit en
premier lieu prendre livraison au temps, au
lieu et dans les conditions convenues. Il doit
ensuite payer les prix convenus au lieu, à la
date et de la manière sauf observation des
convenues formalités prescrites aux articles
12-21 du décret-loi n°11/67 qui régit le fonds
de commerce.

Texte n°2 :
Attendu qu’il est déjà vu dans la pratique, que
deux parties liées par un contrat de vente
passible de l’exercices du droit de préférence
par une tierce personne ai-ont recours à
exagérer le prix déclaré en vue de mettre
cette personne dans l’incapacité ou dans
l’impossibilité d’exercer son droit (de
préférence) ou de permettre à l’acheteur de
tirer un profit de cet exercice.
Attendu qu’il revenait par loi au tribunal, de
s’assurer de la réalité du prix en évaluant les
éléments qui forçaient à douter de son
montant, afin que le texte juridique
constituant ce droit ne sont pas inopérant ou
qu’il ne soit imposé au titulaire de ce droit des
charges supplémentaires ou additionnelles qui
ne lui incombaient pas originairement.
Texte n°3 :
Le conseil d’administration
Il faut reconnaître aux tribunaux, pour le cas
ou le fonctionnement d’un conseil
d’administration serait paralysé par la
réduction du nombre de ses membres
au-dessous du minimum légal ou statutaire,
ou par des différents ne permettant pas
d’obtenir le quorum ou la majorité, le pouvoir
de désigner un ou plusieurs administrateurs
séquestres provisoires, avec mission de gérer
jusqu’à ce que le conseil soit à nouveau en
état de délibérer et, si nécessaire de
convoquer l’assemblée des actionnaires. En
cas d’urgence, le juge des référés serait
compétent à cette fin.

Texte n°4 :
De la faillite
Le liquidateur doit tenir une comptabilité
régulière de toutes les opérations qu’il a
accomplies, et communiquer aux associés ou
à leurs ayant-droit non seulement pour cette
comptabilité mais celle antérieurement tenue
au siège de la société dissoute, sans toutefois
que les exigences des intéressés puissent
(entamer ou empêcher) le fonctionnement
normal de la liquidation.
Texte n°5 :
Le contrat individuel
Est celui qui est conclu entre personnes qui y
adhèrent en exprimant leur entière volonté et
en optant les termes sans qu’elles ne soient
soumises à aucune autorité extérieure à leur
propre volonté. Le type de contrat est le plus
répandu entre citoyens. Il peut être conclu
entre deux ou plusieurs personnes physiques
ou morales.
Les contrats collectifs
Les contrats collectifs sont ceux imposés par
une majorité à un minorité de telle sorte qu’ils
lient des personnes qui n’y ont jamais
consenti tels les contrats collectifs de travail et
le contrat en cas de faillite (art 173 alinéa 2).
Les contrats se sont répandus avec la
multiplication et l’expansion des
établissements économiques industriels, et
bancaires dans ce type de contrat des
représentants des employeurs et des salariés
mettent d’accord sur les termes d’un contrat
collectif qui lie non seulement les signataires
mais tous les employeurs et les salariés.

Vous aimerez peut-être aussi