Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
INTRODUCTION
1. Problématique de l’étude
Les promotions des ventes font aujourd'hui partie intégrante du paysage commercial,
l'attraction d'une offre promotionnelle est ‘’ alléchante ‘’. La promotion des ventes a
longtemps été une parente pauvre du marketing en particulier face à la publicité. Alors que
cette dernière jouissait d'une attention toute particulière, la promotion semblait limitée à des
actions tactiques, portant sur des budgets limités ayant quelques effets à court terme, mais
sans impact réel à moyen terme (P. DESMET, 1991). Cette vision s'est trouvée totalement
renversée ces dernières années.
Les individus sont sensibles à la promotion en général dans une catégorie de produit,
quelle que soit la technique promotionnelle utilisée. Il n’y a que le degré de sensibilité qui
varie d’un individu à l’autre en fonction du degré de préférence pour le type de technique
promotionnelle.
Kalwani et Yim (1992), Lattin et Bucklin (1989) et Raju (1992) ont démontrent dans
leurs études que lorsqu'une marque est trop fréquemment en promotion, son prix de référence
baisse dans l'esprit du consommateur. Par conséquent, la probabilité de réachat a tendance à
baisser car l'utilité de la transaction en soi est moindre (les consommateurs n'ont plus autant
l'impression de faire une bonne affaire) et parce que les consommateurs s'attendent à de
nouvelles promotions. Par ailleurs, les consommateurs stockent moins lorsque les promotions
sont fréquentes. En effet, lorsque c'est le cas, la probabilité pour que leurs marques préférées
soient en promotion est tellement élevée qu'ils n'ont plus d'incitation au stockage (Krishna,
1992 ; Krishna, 1994 ; Krishna, 1994 ; Meyer et Assunçao, 1990).
Sur la base de ces constats soulevés au niveau de la littérature, nous nous sommes
posé les questions suivantes :
Quel effet la promotion des ventes peut-elle avoir sur la satisfaction des clients de la
Bralima ?
Quelles sont les techniques promotionnelles utilisées par la Bralima ?
2. Objectifs
Notre but de notre recherche est de traiter d’un sujet aussi intéressant et passionnant
que celui portant sur deux pièces maitresses pour la survie et la pérennité de l’entreprise à
savoir la promotion et l’amélioration des ventes, et ensuite montrer le rôle de la promotion sur
l’amélioration des ventes.
3
3. Hypothèses
M.GRAWITZ (2001) définit l’hypothèse comme étant une proposition des réponses
provisoires aux questions posées ; cette hypothèse qui a pour rôle de formuler une relation
entre les faits observés et permet d’interpréter les résultats.
La promotion des ventes aurait un effet positif sur la satisfaction des clients de la
Bralima ;
La Bralima utiliserait les techniques promotionnelles de ventes avec primes, celui des
réductions du prix, des jeux-concours, etc.
4. Choix et intérêt du sujet
Plusieurs raisons sont à l’origine du choix de ce sujet tout d’abord l’insuffisance des
études sur ce sujet la promotion qui est un aspect important dans le processus de
l’amélioration des ventes des entreprises et il nous permet de confronter les théories apprises
aux réalités sur terrain et de manière à apporter notre modeste contribution afin d’aider la
Bralima à définir une bonne politique de promotion afin d’accroitre leurs chiffres d’affaires.
5. Méthodologies
Pour mener à bien notre recherche, nous avons eu recours aux différentes méthodes
de collecte d’informations s’articulant autour de nombreuses références bibliographiques et
d’une enquête effectuée sur le terrain résumées ci-après :
6. Délimitation spatio-temporelle
Le cadre spatial de cette étude sur l’importance de la promotion des ventes dans la
commercialisation d'un produit, sur la Bralima, précisément la ville de Kinshasa. Dans le
temps, cette dissertation couvre la période 2022.
7. Canevas du travail
Elle a été jugée moins efficace que les autres modes de communication et en
particulier la publicité. Les agents de communication l’ont souvent traitée avec dédain en y
voyant des opérations tactiques, mécaniques, peu créatives et qui pouvaient détériorer la
marque en cassant les prix. Cependant, la promotion occupe une place très importante dans la
stratégie commerciale des entreprises. Elle se développe sous la pression d’une concurrence
de plus en plus forte. La promotion est sous la responsabilité du service marketing et reste une
tâche importante des chefs des produits.
Les travaux antérieurs sur le sujet montrent une controverse en matière de réaction
des consommateurs face aux différentes techniques promotionnelles utilisées par les
entreprises. La sensibilité dépend des techniques promotionnelles utilisées si bien qu’elle a
abouti à des échelles de mesure différentes de la sensibilité de l’enfant aux promotions des
ventes en fonction des techniques promotionnelles utilisées (I. MURATORE, 1999).
1.1. Définitions
Elle est destinée à tous les produits ou utilisateurs finales dont le but est de
stimuler l’utilisation du produit et d’encourager l’achat de tailles plus importantes.
L’essai gratuit est une pratique permettant de faire connaître rapidement un produit,
notamment lorsqu’il s’agit d’un produit nouveau. Il existe trois techniques d’essai gratuit :
consommateur par mail ou envoi postal, mais également par la presse, par internet
sur des sites spécifiquement dédiés, en magasin par un représentant de la marque
ou encore par emballage produit (coupon à découper).
Le remboursement différé : dans ce cas, le consommateur peut se faire rembourser
une partie du prix d’un produit acheté, auprès du producteur, avec une preuve
d’achat (ex : ticket de caisse).
Les rabais sur quantité : la marque offre une réduction de prix opérée sur la
quantité produit. Cette technique promotionnelle a pour but d’inciter le
consommateur à consommer plus. Il existe trois types de rabais sur quantité :
o La promotion girafe : il s’agit de rajouter un pourcentage de quantité
supplémentaire au produit tout en conservant le prix du format normal.
o Les lots : cela consiste à vendre, ensemble, plusieurs unités d’un même
produit à un prix inférieur à celui de la somme des prix unitaires
originels de chaque unité.
o Les lots croisés : le concept est le même que celui des lots simples,
cependant il s’agit non pas d’unités de produits différents mais
complémentaires (ex : lessive et détachant).
1.2.1.3. Les primes
Les primes sont généralement utilisées afin d’inciter à l’achat répétitif, c’est-à-dire
dans le but de fidéliser les consommateurs. On retrouve quatre types de primes :
La prime directe : la marque offre un objet pour l’achat d’un produit spécifique
(l’objet est différent du produit). L’objet peut être offert de différentes façons : soit
par insertion dans l’emballage du produit, soit par remise de l’objet par un
animateur en magasin (avant ou après achat), soit par réclamation de l’objet à
l’accueil du magasin.
La prime différée : le concept est le même que la prime directe, cependant, l’objet
n’est pas donné de manière immédiate. Le consommateur doit envoyer une preuve
d’achat auprès du producteur afin que celui-ci lui envoie l’objet offert.
La prime auto payante directe : il s’agit d’offrir un objet au consommateur en
échange d’une faible participation financière, lors de l’achat d’un produit (ex : une
seconde paire de lunettes pour 1 $ de plus).
8
La prime auto payante différée : le concept est le même que la prime auto payante
directe, mais ici, l’objet est remis après preuve d’achat et versement de la
participation financière.
1.2.1.4. Les concours
Celle(s)-ci vont permettre par la suite de tirer au sort un ou des gagnants de plusieurs
cadeaux (appelé(s) dotation), parmi les bonnes réponses. Les cadeaux peuvent être très
variés : objet, bon d'achat, etc. Pour le jeu (=la loterie), il n’y a pas de questions de
connaissances, tout est remis au hasard (tirage au sort neutre).
Elle est faite par distributeur à destination du client final pour l'amener à fréquenter
son point de vente ou de service et y acheter plus.
La promotion commerciale vise à développer les ventes d'un produit sous la forme
d'action intensive conduite par l'offreur. L'objectif d'une promotion est d'attirer davantage
l'attention du consommateur en s'efforçant de faire mieux connaître, de faire mieux apprécier,
et de faire acheter le produit.
La promotion sur les prix (offre spéciale, couponnage, vente à prix coûtant, vente par
lot et les soldes) ;
Les promotions par objet (prime directe, échantillon, prime différée) ;
9
La promotion par les jeux (loteries, concours) ou par une animation particulière
effectuée par un animateur pour le compte de la marque ou de l’enseigne. Pour ce faire
un mécanisme ludique ou une politique de prix promotionnelle (vente flash) sont
souvent mis en œuvre.
1.2.4. La promotion réseau
Elle s'adresse aux intermédiaires dans les circuits de distribution, elles les incitent à
stocker davantage et elles les encouragent à faire des achats hors saison.
Pour conclure, il reste s ouligner I ‘existence d'interactions entre ces différents types
de promotion car la mise en place d'un type de promotion, généralement, s'appuie sur un
autre : une promotion consommateur ne réussit qu'avec le soutien de la distribution ; de
même, une promotion commerciale a besoin des moyens proposes p a r les producteurs.
Enfin, une promotion distributeur développée pour inciter le distributeur à augmenter le
stock mais sans que les moyens de revente soient actifs est peu avantageuse (INGOLD,
1995). Ainsi, pour aboutir aux objectifs propres à chaque type de promotion, i l s’avère
capital que tous les intervenants soient motivés et se soutiennent successivement (HARDY,
1986).
La promotion des ventes A pour objectif général de « promouvoir les ventes » d'une
marque par des actions concrète sur le comportement d'achat et de consommateur. L'objectif
doit autant que possible être unique et bien sûr toujours positif.
L'objectif décréter une habitude d'achat, de favoriser l'achat régulier (fidéliser), est
plus laborieux et complexe en particulier dans l'environnement des biens d'achat courant car
il faut désormais partager le marché avec la concurrence. A cet égard, les techniques
promotionnelles fondées sur le principe d'accumulation peuvent accomplir cette tâche car
elles font revenir le consommateur au produit, en l'incitant, a cheté. I l s ’ a g i t dans ce
domaine des techniques telles que le bon de réduction à -valoir, les offres de
remboursement, la prime différée par accumulation, la prime collection et d’autres
techniques dont leur avantage est différé.
l'accomplissement de cet objectif, les réductions de prix et les techniques fondées sur le
principe d'accumulation.
Incite à stocker davantage, encourage des achats hors saison, répondent à des
promotions concurrentes, gagne la fidélité du détaillant ou aide à pénétrer un nouveau canal
de distribution.
De plus, il arrive que l'utilisation des médias promotionnels fasse objet d'une
rémunération versée au distributeur par le fabricant, en permettant au premier d'augmenter
sa marge globale.
12
Cependant, les techniques destinées à la même cible, comme les coupons ou les jeux,
ne suscitent pas de mêmes comportements de la part des consommateurs. De surcroit,
juste les réductions de prix sont perçues spontanément par le consommateur comme des
promotions (GUILBERT, 1983). Autrement dit, il ne suffit pas d'utiliser la bonne
technique et le bon media pour atteindre son objectif auprès du consommateur : i l
faut à tout prix prendre en compte et comprendre les relations entre le
consommateur et la promotion pour qu'elle réussisse.
En second lieu, il y a les partenaires externes de l’entreprise que peuvent être les
responsables de zones, les managers de rayons, les chefs de rayons ou encore les
commerciaux. Ici, une bonne information et une écoute continue de l’ensemble de ces parties
est l’un des facteurs clés de succès d’une action de promotion.
13
Simple : Afin d’atteindre au mieux la cible visée, la promotion doit être facile à
comprendre et à réaliser.
Spectaculaire : La proposition faite par la marque doit être forte, puissante (ex :
prix défiant toute concurrence, quantités limitées).
Singulière : Pour attirer l’attention, une action promotionnelle doit être originale et
sortir de l’ordinaire. De plus, celle-ci doit pouvoir être associée directement à la
marque en question.
Stratégique : La promotion doit être en cohérence avec la stratégie et les valeurs
de la marque. Elle ne doit pas être en conflit avec le positionnement et ne pas
entamer la notoriété de cette dernière.
1.5. Les différents profils d’acheteurs de la promotion des ventes
Certaines enseignes, comme Auchan, ont observé, à travers plusieurs études, qu’il
existe différents types de consommateurs face à la promotion. Cette étude publiée par LSA
avait pour but de mieux comprendre les attitudes des consommateurs en matière de
promotion. Ainsi, quatre profils ont été identifiés.
distributeurs. Cette catégorie donne la priorité au critère du prix, ce qui les rend
relativement fidèles aux marques.
À travers la promotion des ventes, les études permettent d'identifier deux grands
segments : un segment très impliqué dans la promotion des ventes et un autre, totalement
réfractaire. Ainsi, quand un consommateur est sensible à la promotion, il le serait à toutes les
techniques promotionnelles. Par ailleurs, plus un client apprécie les marques de distributeurs,
plus il achèterait en promotion. Enfin, les critères tels que le sexe et le revenu seraient les
notions qui permettent d’expliquer le mieux la sensibilité à la promotion.
Le contenu d’une offre promotionnelle est très varié et donne lieu à un grand nombre
de mécanismes souvent regroupés en quatre grandes catégories : les techniques de prix et de
produit, les techniques de primes, les jeux-concours et les techniques d’essai. D’autres
classifications existent dont certaines offrent des visions plus pertinentes des caractéristiques
des techniques : la nature de l’offre (du produit, du prix, du risque, etc.), son caractère
certain/incertain, immédiat/différé et son destinataire (acheteur/ autrui). Les techniques
économiques représentent cependant la part la plus importante en nombre des opérations
promotionnelles sur les produits grand public et en magasin (BIPP, 56 % en 2000).
Les effets promotionnels sont de différentes natures car la promotion est, à la fois,
une offre communiquée, induisant donc des effets comparables aux effets d’une publicité, et
une décision-action de la part du récepteur, une expérience qui génère une satisfaction
intrinsèque et des effets tant cognitifs qu’affectifs.
opération de type loterie. A contrario, un effet de déception est aussi créé quand les
bénéfices anticipés ne sont pas obtenus (jeux).
L’effet d’exposition : la communication promotionnelle entraîne une exposition à la
marque qui conforte sa notoriété. Bien plus la promotion par l’objet (prime, boutique,
club) permet une exposition répétée, éventuellement dans un contexte proche de la
situation d’utilisation (cuisine, salle de bain), difficilement accessible avec les
supports publicitaires classiques.
Malgré le grand nombre d’études effectuées, les résultats sont encore très incomplets
et comportent des biais importants : ils ne traitent souvent que des produits de grande
consommation, du point de vue des industriels et s’occupent principalement des techniques
promotionnelles par réduction de prix directe ou différée, de plus les recherches concernent
presque exclusivement le marché américain.
L’interrogation sur la valeur ajoutée de la marque pour le client doit être la première
question posée. Car la promotion est utilisée dans deux contextes différents : le premier
19
correspond à un contexte où la marque est forte, avec les promotions d’attaque (augmentant le
référencement, favorisant l’essai), le second à une situation de faiblesse (promotions de
défense) où le supplément de prix demandé ne semble plus justifié par la valeur apportée par
la marque, l’objectif est alors le maintien du niveau des ventes à court terme. Loin d’être la
source de la baisse de valeur de la marque, les promotions pratiquées (plus de produit, prix
plus faible) ne sont alors que le constat de l’incapacité de la marque à apporter une valeur
spécifique.
Sur le plan tactique, les promotions offrent des avantages spécifiques pour le
développement du capital de la marque. Les perspectives récentes soulignent la contribution
de l’expérience, notamment le service, à l’enrichissement de l’image de marque. Or la force
de la promotion est de mettre le récepteur en action et de lui offrir un contact direct, ce qui
permet une expérience de consommation qui informe sur certains attributs (essai, dégustation,
etc.) et élargit ainsi l’ensemble des marques acceptables. Au-delà de cette expérience marque-
client, d’autres expériences non commerciales entre les clients peuvent aussi être stimulées
par des opérations promotionnelles au sein de clubs ou de communautés.
Si les promotions prix peuvent réduire à moyen terme le prix de référence, à court
terme elles constituent une alternative à la baisse de prix et permettent de maintenir, au moins
momentanément, un prix tarif stable. Cependant du fait de l’effet négatif à moyen terme et
lorsque les prix de référence sont perturbés, comme actuellement avec l’euro, il est préférable
d’utiliser d’autres techniques économiques comme le produit en plus et, surtout, le produit
gratuit qui a l’avantage de ne pas générer de coûts industriels spécifiques.
De plus, dans une approche capital-client, elle offre des échanges spécifiques et donc
des possibilités d’accumulation d’informations et constitue un vecteur incontournable dans le
cadre des programmes de fidélisation et des bases de données clients tant des industriels que
des distributeurs.
Pour amplifier les effets positifs et limiter les effets négatifs de la promotion sur la
marque, une attention particulière doit être portée à deux points de l’offre promotionnelle. Les
offres doivent être adaptées au produit et aux attentes des clients. Une cohérence entre les
bénéfices (hédoniques ou utilitaires) de la promotion et ceux du produit permet d’obtenir une
plus grande efficacité (Chandon et al., 2000). Une offre promotionnelle doit toujours avoir
une contrepartie ou, au moins, une justification plausible.
21
Un pré-test devrait en général être entrepris afin de vérifier que les techniques
choisies sont appropriées, que l'amplitude de l'effort est adéquate et que le mode de
présentation est efficace Les pré-tests réalisés par définition avant la mise en place de
l'opération ; peuvent viser quatre types d'objectif principaux : Comparer, évaluer, mesurer,
comprendre (Ingold P-H, 1994). Les pré-tests bien réussis peuvent apporter autant d'avantages
tel que :
Une telle démarche suppose qu'un plan de mise en oeuvre soit élaboré, le plan doit
préciser le délai préparatoire et la date de clôture de l'opération. Le délai préparatoire
correspond au temps nécessaire pour élaborer le programme jusqu'au lancement officiel ; il
doit comprendre la conception, la planification, les modifications d'emballage, constitution
des stocks de sécurité et le transport des centres d'entreposage.
L’outil dans ce cas c'est la facture, par une simple analyse des facturations on peut
décrire le comportement des consommateurs face à une opération promotionnelle, l'avantage
de cette technique c'est qu'elle est simple et moins coûteuse, en revanche l'information
rapportée est relativement pauvre en terme explicatifs dans la mesure où les consommateurs
ne sont pas identifiés.
L'intérêt principal de ce panel est de montrer les types de personnes qui ont réagi à la
promotion, le nombre de consommateur qui ont tiré bénéfice de cette opération et leur
impression. Cette technique utilise généralement les questionnaires comme outils
d'évaluation, ils sont remplis à la main, contrôlés, saisis et exploités.
Le panel distributeur est un outil de mesure de vente, des parts de marché des
marques et de l'offre en magasin, il est basé sur un échantillon statistique permanent de point
de vente de détail représentatif à un moment précis d'un univers commercial défini,
permettant de suivre de façon continue et à intervalles réguliers de l'écoulement des produits à
travers les différents circuits de distribution.
Donc le panel distributeur permet de mesurer l'évolution des ventes, des achats et des
stocks.
On a :
Objectifs des promotions et nombre de promotion nécessaires : volume des ventes qui
doit être soutenu par des promotions, variétés ou formats à promouvoir ;
Activité de la concurrence : l'importance, le type et la périodicité des promotions
concurrentes doivent être analysés ;
Importance des variations saisonnières : généralement les promotions sont plus
efficaces aux périodes de forte consommation. Selon la catégorie du produit, on devra
fixer le rôle exact que doit jouer la promotion par apport à ces périodes ;
Relation entre publicité et promotion : une planification interne des efforts doit être
prévue pour arriver à un équilibre des ressources optimum pour la marque ;
Budget promotionnel total : le budget doit être considéré comme une limite supérieure
à ne pas dépasser et non comme une somme qui doit être dépensée.
1.11.1.2. Au niveau du chef de vente
Quand chaque chef de produit a établi son plan, il appartient au chef des ventes
d'examiner les points suivants (Y. CASTAGNOL, 1972) :
Le directeur de marketing doit s'assurer que 3 points sont remplis (Y. CASTAGNOL,
1972) :
Souplesse du plan.
1.11.2. La planification
Une opération mal préparée peut aller jusqu'à bloquer les rouages de l'entreprise ;
l'usine peut être arrêtée parce que le conditionnellement de la promotion a été mal étudié ; ou
tout simplement parce que les emballages promotionnels ne sont pas livrés à temps et que les
vendeurs n'auront pas le stock disponible.
Si l'entreprise est de taille modeste ; une personne pourra en être chargée à temps
partiel ; mais pour les grandes sociétés ce rôle devra être dévolu à une « promotion officiée »
qui remplira à la fois le rôle de la coordination et le rôle d'un conseiller technique auprès des
responsables de produit. Il les déchargera des tâches matérielles et les aidera à concevoir ;
bâtir et tester leur plan de promotions (Y. CASTAGNOL, 1972).
Les seuls gains importants en efficacité sont toujours venus du fait que beaucoup de
temps et d'efforts ont été consacrés à développer de nouvelles techniques promotionnelles ou
à améliorer des techniques existantes. Le développement de certains types de promotions a
pris plusieurs mois et quelquefois plusieurs années.
25
La vertu principale d'un plan à long terme réside dans le fait qu'il anticipe les besoins
en promotions futures ; à une époque où les intentions marketing commencent à être assez
nettes ; alors qu'il est encore temps de trouver des solutions satisfaisantes ; à un coût
raisonnable. Le contraire est prouvé tous les jours, certes on trouve en général la solution ;
mais elle n'est pas toujours la meilleure.
Des arbitrages entre les marques ; pour éviter la surcharge de promotion à certains
cycles de ventes de l'année réputés comme étant de bonnes périodes ;
Une harmonisation avec le plan de ventes de l'entreprise et le plan de marketing qui en
découle ;
Une souplesse suffisante pour permettre de saisir des opportunités inattendues, le plan
de promotion doit être précis mais non rigide ;
Une adaptation aux prévisions des distributeurs les plus importants, ce qui oblige à
une information en temps opportun des circuits de distribution.
1.12. Elaboration d'un plan d'action promotionnel
Il faut également définir à qui l'offre promotionnelle sera proposée, une telle décision
dépend de la réglementation et déterminer la manière dont la promotion parvient au
consommateur et cette dernière elle-même dépend de la technique utilisée.
Le responsable marketing qui élaborer une promotion peut choisir entre une
multitude de techniques présentées dans le zoom ci. Le choix entre ces dispositifs doit prendre
en considération la nature du marché, l’objectif poursuivi les actions de la concurrence et le
rapport coût/efficacité de chaque outil. Certains outils permettent désormais une certaine
personnalisation, à l’instar des « trans-promotions »de Xerox imprimées sur les factures des
clients, ou des offres individualisées des distributeurs qui choisissent de promouvoir certains
produits plutôt que d’autres auprès des clients détenteurs de cartes de fidélité. En fonction de
leur historique d’achat.
Lorsque l’objectif est de stimuler les ventes à court terme et d’attirer les clients des
concurrents, une réduction de prix ou un lot sont souvent efficaces.
Elles font probablement l’objet des dépenses plus importantes que les promotions
consommateur. Une fabrication poursuit quatre objectifs vis-à-vis de son réseau :
Les fabrications mettent souvent en place des actions promotionnelles auprès de leurs
représentants ou de leur agent afin de stimuler un effort de vente particulier1. Les primes de
fin d’année, concours et voyages sont les trois techniques les plus couramment utilisées.
Les plus utilisées sont les primes directes (par exemple, offre d’une imprimante lors
de la vente d’un gros photocopieur ou marquage gratuit des produits au nom du client),
parfois remises indépendamment de la transaction (cadeaux) ; les primes différées
récompensant la fidélité ; essai (près d’une machine) et les échantillons ; ainsi que les
réductions de prix, bien qu’elles soient souvent difficiles à isoler par rapport aux conditions de
vente accordées. Les salons, enfin, occupent une place à part (voir zoom).
Dans le présent chapitre nous allons présenter l’entreprise Bralima qui est le cas
pratique sur lequel repose notre étude. Ce deuxième chapitre porte sur la présentation de ladite
institution et la description de ses activités.
Après la Première Guerre mondiale, des hommes d’affaires belges sont venus
visiter l’actuelle République démocratique du Congo pour évaluer les opportunités
d’investissement dans le pays. Il était entendu que le gouvernement était intéressé par la
production de bière pour la population locale car la bière produite par les habitants eux-
mêmes causait de graves problèmes de santé. Une brasserie, qui pourrait brasser une bière
de haute qualité, améliorerait la situation actuelle. Les investisseurs ont décidé de créer une
brasserie avec le soutien de la « Société Congolaise de Banque ». Le 23 octobre 1923, la
Brasserie de Léopoldville (Léopoldville est aujourd’hui Kinshasa) a été créée pour
4.000.000 de francs congolais. La première bière est produite le 27 décembre 1926.
La bière Primus n'était pas pasteurisée. De ce fait, elle ne pouvait être commercialisée
qu'à l'intérieur de Léopoldville, ce qui réduit le nombre de consommateurs éventuels ;
31
Le marché de la bière était aux mains des Allemands et des Hollandais qui importaient
la bière de l'extérieur du pays en quantité supérieure et en qualité meilleure que celle
de la Primus, et la revendait en un prix inférieur à celui de la Primus.
La Primus dont on redoutait encore la qualité ne pouvait s'imposer sur le marché, etc.
Pour faire face à ces difficultés, la Brasserie ; sous la conduite d'un 2ème Directeur,
Monsieur VISEZ redressera la qualité de la bière, augmentera les salaires des ouvriers et afin,
elle mettra au point une pasteurisation de la bière pour ainsi étendre sa commercialisation.
Ainsi, la quantité produite de la bière qui était de 3.500 hectolitres par mois en 1936 passera à
10.800 hectolitres par mois en 1945.
La Brasserie de Léopoldville est secouée par la crise mondiale de 1929, qui fait
baisser les prix dans le monde entier. Sa bière concurrencée par les bières d’importation est
peu consommée par les autochtones à cause de son prix élevé et de la réticence du
gouvernement général d’autoriser la vente de la bière à toute la population. Avant la création
de la Brasserie de Léopoldville, le marché de la bière était aux mains des Allemands et
Hollandais qui importaient 35.000 à 40.000 hectolitres de bière de bonne qualité par an et à un
prix plus raisonnable que celui de la bière « Primus » qui était de 5,75 FRS alors qu’un
manœuvre Congolais devait dépenser son salaire de 3 jours pour payer une bouteille et
encore, le gouvernement Congolais n’autorisait pas la vente de la bière indigènes. C’est avec
l’arrivée de Monsieur Visez, deuxième Directeur, qu’on a vu la BRALIMA se lever lentement
de ses maux.
Suite aux progrès réalisés par la Brasserie, les actionnaires à Bruxelles décident
l’extension géographique de ses activités en créant progressivement plusieurs brasseries à
l’intérieur du Pays, au Congo Brazzaville, Bujumbura, Kisangani, Boma, Gisenyi et
Mbandaka.
Depuis 2007, l’association sans but lucratif « Fondation Bralima » est l’expression
de la responsabilité sociétale de l’entreprise, à travers laquelle Bralima contribue aux
enjeux du développement durable de la RDC. Avec comme mission principale de
‘‘S’investir pour le bien-être du Congolais’’, depuis plus de 10 ans, la Fondation Bralima
déploie un important programme d’appui au secteur de la santé de l’éducation et de la
production alimentaire.
Avec son programme BABW, la Bralima intègre dans sa politique générale, une
vision et des actions pour la préservation de l’environnement et la promotion du
développement durable. BRASSEUR D’UN MONDE MEILLEUR est le Fruit d’intenses
discussions entre HEINEKEN et ses principales parties prenantes, il a permis à toutes les
entreprises du groupe d’avoir un programme clair qui traduit l’ambition du groupe de
devenir la brasserie la plus responsable à l’horizon 2030.
2.7.1. Production
Avec un matériel très moderne et un personnel qualifié, la BRALIMA a connu une
progression dans la production de ses boissons.
En effet, de 35.000 bouteilles de bière par mois en 1926, elle produit actuellement
environ 12 millions de bouteilles de bière par mois, elle produit actuellement environ 12
millions de bouteilles de bière par mois dans ses usines. Les équipements et sa politique de
servir tous les consommateurs en satisfaisant tous les goûts l’ont poussée à varier sa gamme :
la Primus produite depuis 1926, complétée par Mutzig en 1989, la Guinness en 1993,
l’Amstel en 1995 (dont la production est actuellement arrêtée) et la Turbo King en 1996,
Heineken et Wind hock importées depuis 2004.
Pour fabriquer la bière, la BRALIMA utilise des matières premières de meilleure
qualité qui sont le malt, les céréales, le riz, le sucre, le houblon et l’eau. La transformation de
ces matières premières en bière consommable se fait en 4 stades : le brassage, la fermentation
et la garde, la filtration et le conditionnement.
Le brassage : c’est une opération au cours de laquelle les matières 1ères : le malt et
grains crus sont concassés, macérés filtrés et culte. Il conduit à l’obtention d’un jus sucré,
légèrement amer, stérile et stable appelé « moût ».
La fermentation et la garde : le moûtrefroidi et oxygéné est fermenté par la levure. La
fermentation est un processus anaérobie et exothermique. Elle conduit à la formation de la
35
bière. La bière est dépouillée de la levure et gardée en basse température afin de la mûrir et
d’affiner son goût.
La filtration : c’est une opération de clarification au cours de laquelle la bière est
vendue brillante et pétillante (carbonatation). Le conditionnement : La bière claire est
conditionnée en bouteille préalablement nettoyée et stérilisée. La production est pasteurisée
avant l’étiquetage et la mise en casier.
Dans ses limonaderies, la BRALIMA produit toute une gamme des boissons
gazeuses : Coca-Cola, Sprite, Schweppes, Fanta et Krest sont des productions sous licence.
Vital’o eau de table, Vital’o grenadine, et Maltina sont ses marques propres.
En plus, la BRALIMA fabrique des blocs de glace respectivement à Kinshasa et à
Kisangani. A cela, il faut ajouter la bière Mutzig brassée et embouteillée sous licence Mutzing
international par la BRALIMA R.D.C. Cette entreprise a une capacité de production de
32.500 bouteilles de Primus par mois. Les productions gazeuses sont de 21.000 hectolitres par
an.
2.7.2. Commercialisation
La vocation de la BRALIMA est de produire des boissons de qualité et de les vendre
à tous les consommateurs urbains et ruraux. Une vocation nationale qui se concrétise par la
présence des sièges en provinces qu’on a déjà cités ci-haut. Afin de servir tous les Congolais
et les étrangers habitant le Pays, la BRALIMA de plus en plus vers ses consommateurs en
installant ses propres dépôts à l’intérieur des provinces.
La BRALIMA possède un charroi automobile important et une flotte de pousseurs et
barges pour la consommation de ses produits à des bonnes conditions de vente pour ses gros
clients. Avoir un numéro du nouveau registre de commerce et d’identification nationale.
Avoir un ou plusieurs points de vente connus ; Disposer d’une certaine quantité d’emballages,
au moins 510 casiers.
Elle entretient de très bonnes relations avec tous ses clients avec qui elle passe des
contrats annuels et reste attentive aux efforts de modernisation de ces P.M.E. à qui elle fournit
un soutien actif : conseils techniques, soutien financier, crédit, produits et emballages, moyens
d’exploitation (bâtiment, matériels, véhicules …) un partenariat confiant malgré une
conjoncture économique Congolaise peu rassurante.
2.8. Organisation structurelle et fonctionnelle de l’Entreprise
2.8.1. Organisation structurelle.
La structure est chapeautée par une direction générale qui comporte en son sein :
Un Administrateur délégué général.
36
Un secrétariat général.
Une direction financière.
Une direction technique et de production.
Une direction marketing et commerciale.
Une direction logistique.
Une direction des ressources humaines.
Une direction médicale.
Une direction des gros des techniques.
Une direction des sièges.
particulier. Les primes de fin d’année, concours et voyages sont les trois techniques les plus
couramment utilisées.
En outre, le service de promotion des ventes de la BRALIMA recourt a une
multitude de techniques telles que la réduction du prix, la remise des cadeaux, 1
échantillonnage, les jeux-concours, la loterie …
Dans les terrasses, la BRALIMA exploite avec succès une pratique appelée « action
», laquelle consiste à gratifier l’acheteur d’une bouteille de bière d’une autre.
Devenue « Groupe HEINEKEN », cette brasserie est implantée aujourd’hui dans
plus de 145 Pays. Au Congo- Kinshasa, le groupe HEINEKEN a acheté la CIB/Coca-Cola en
1992 et l’a fusionnée avec la BRALIMA ; En 1998, il a facilité à la BRALIMA l’acquisition
de BONAL/Pepsi. En outre, il est propriétaire de la BOUKIN, la bouteillerie de Kinshasa.
d’un programme portant essentiellement sur la valorisation des ressources locales, et sur la
formation des cadres techniques Congolais. Cette ressource financière sert également à
entreprendre des tâches spécifiques et concrètes dans la réalisation immédiate et de progrès
agricoles.
2.9.7.1. Hors Kin
Sous l’autorité de la direction générale, ce service coordonne toutes les actions faites
en direction des villes autres que
Kinshasa.
Dans le but de fidéliser ou de conserver la clientèle déjà conquise, la BRALIMA
recourt à la stratégie de conservation pour accroître la demande des produits de ce type de
client, surtout dans un marché très concurrentiel, tel que le nôtre. Cette étape demande
beaucoup d’ingéniosité de la part des responsables. Ainsi, pour arriver à la mise en œuvre de
ces stratégies de conquête de nouveaux clients, une étude de marché est menée au préalable.
Ce chapitre nous a permis de faire la présentation de notre contexte d’étude qui est la
Bralima dans son histoire, organisation, son fonctionnement, structure tout en mettant l’accès
sur le département de la marketing.
43
La Bralima SARL fonctionne sous l'autorité d'un Administrateur Délégué (AD) qui
s'occupe du fonctionnement de toutes les directions de la Brasserie. Il est secondé par chacun
des directeurs à la tête de differentes directions.
1. Département de vente
Service ventes ;
44
d) Service ventes internes : il s'occupe spécialement des ventes internes, c'est- à-dire la vente
qui s'effectue au sein de l'espace géographique de la Bralima.
2. Département marketing
Elle joue la fonction d'intermédiaire entre d'une part, l'entreprise et d'autre part les
clients grossistes et les détaillants dans la distribution, mi l'étude du marché des bières et des
boissons sans alcool.
Ce service fonctionne sous la tutelle d'un manager et d'un superviseur dont le rôle est
de vendre le produit et de démontrer aux consommateurs les caractéristiques et la qualité
dudit produit tout en cherchant comment le fidélisé à la consommation de ce produit.
Nous disons autrement que la promotion des ventes consiste en vue d'incitations
matérielles qui se situent hors de la routine habituelle et que vise à stimuler les ventes de
façon immédiate et donc à modifier le comportement du consommateur.
Chaque mois, une équipe de la force des ventes sillonne le lieu de consommation en
vue d'écouter et de discuter avec les consommateurs sur leur goût préféré. Cette équipe
procède aussi à la distribution des produits de la Bralima en vue de la rendre disponible à
l'endroit et au moment voulu
Bralima par des contrats de production, ils s'engagent à véhiculer la publicité à travers leurs
chansons.
d. Rabattement de prix
e. Tombola
Elle consiste en un tirage au sort au cours de quel les gagnants reçoivent plusieurs
prix dont :
Des calendriers ;
Des T-shirts :
Des casquettes, etc.
Tableau nº 1 : Evolution des dépenses sur la promotion et des ventes de la boisson MALTINA
de 2017 à 2021 (en USD)
300000000
250000000
200000000
150000000
100000000
50000000
0
2017 2018 2019 2020 2021
Pour bien analyser la corrélation de la promotion des ventes sur la Maltina (X) sur les
ventes (Y) durant la période sous étude.
N 5 5
Pearson Correlation 0,634** 1
N 5 5
Les résultats du tableau ci-haut nous montre que la corrélation entre les dépenses de
promotion de vente et sur les ventes de la boisson Bralima est de 63,4. La probabilité attachée
à la statistique de Pearson étant significative (0,000) car inférieure au seuil de signification de
5%, cela traduit qu’il y a bien une corrélation entre nos deux variables et que les dépenses de
promotion sur la boisson maltina influencent les ventes de cette dernière durant la période
sous étude.
49
CONCLUSION GENERALE
Nous sommes arrivés au terme de notre travail qui a pour thème : importance de la
promotion des ventes dans la commercialisation d’un produit, cas de la Maltina, produit de la
Bralima.
Notre but de notre recherche est de traiter d’un sujet aussi intéressant et passionnant
que celui portant sur deux pièces maitresses pour la survie et la pérennité de l’entreprise à
savoir la promotion et l’amélioration des ventes, et ensuite montrer le rôle de la promotion sur
l’amélioration des ventes.
Afin d’atteindre cet objectif, nous nous sommes posés les questions suivantes :
Quel effet la promotion des ventes peut-elle avoir sur la satisfaction des clients de la
Bralima ?
51
La promotion des ventes aurait un effet positif sur la satisfaction des clients de la
Bralima ;
La Bralima utiliserait les techniques promotionnelles de ventes avec primes, celui des
réductions du prix, des jeux-concours, etc.
Pour y arriver, nous avons en premier lieu, recouru à la revue de la littérature, grâce à
laquelle nous avons pu appréhender la notion la gestion du personnel dans une entreprise
publique et comment l’appréhender.
Les résultats de nos analyses nous ont montré que la corrélation entre les dépenses de
promotion de vente et sur les ventes de la boisson Bralima est de 63,4. La probabilité attachée
à la statistique de Pearson étant significative (0,000) car inférieure au seuil de signification de
5%, cela traduit qu’il y a bien une corrélation entre nos deux variables et que les dépenses de
promotion sur la boisson maltina influencent les ventes de cette dernière durant la période
sous étude. Ce qui confirmer notre hypothèse selon laquelle la promotion des ventes aurait un
effet positif sur la satisfaction des clients de la Bralima.
BIBLIOGRAPHIE
I. Ouvrage
1. INGOLD Philippe, promotion des ventes et action commerciale, éd. Dunod, 1994
2. MICHON, C., Fondements et nouveauté du marketing, 2e édition, Paris, PUF, 2006.
3. BONNEVILLE, L., GROSJEAN, S., et LAGACE, M., Introduction aux méthodes de
recherche en communication, Montréal (Québec), éd. Gaëtan Morin, 2007.
4. DESMET Pierre, Portée et limites de l'utilisation du modèle Logit pour l'étude des
comportements d'achat, Recherche et Applications en Marketing, VIII, 1993.
5. GUILBERT Francis, Analyse structurelle des concepts de marketing mix,
communication et promotion, Revue Française du Marketing, 1991.
6. DESMET Pierre, promotion des ventes et capital-marque, Revue française de gestion,
2003
IV. Webographie
1. https://bralima.net/qui-nous-sommes/