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MARQUEURS DE MODALITÉ ÉPISTÉMIQUE DANS LE DISCOURS L1 ET L2

DU MODERNE GREC: UNE ÉTUDE BASÉE SUR CORPUS


Lia Efstathiadi
École d'anglais, Université Aristote de Thessalonique
econom id@enl.auth.gr
Abstrait
L'article vise à explorer le domaine de la modalité épistémique en grec moderne, au
moyen d’une recherche basée sur des corpus. Une étude comparative et quantitative a
été réalisée entre corpus écrits d'informateurs non natifs de diverses origines
linguistiques et grecs locuteurs natifs (le groupe témoin). Un certain nombre de
marqueurs épistémiques ont été étudiés en raison de leur fréquence élevée, pour
détecter les manières dont ils sont utilisés dans le expression de Haut-parleur L2
position, comme par rapport aux NS respectifs un.
Introduction
Cet article mène une étude comparative de corpus écrits de lettres informelles avec
respect à Épistémique Modalité (EM) entre indigène et non-autochtone haut-
parleurs 1 (NS et NNS) du grec moderne (MG). L'étude examine la manière dont les
NNS expriment attitude ou position personnelle envers un état des choses (SoA). La
position est considérée comme « la expression lexicale et grammaticale d'attitudes, de
sentiments, de jugements ou d'engagements concernant le contenu propositionnel d'un
message », suivant la proposition de Biber et Finegan définition (1989 : 93). Le
données étaient contre-interrogé à Localiser similitudes et différences dans la manière
dont les participants L2 et L1 de l'étude transmettent le message épistémique position.
Avant d'introduire la notion d'EM et les manières dont elle se réalise en MG, il
est sage pour définir brièvement la modalité et voir comment ce champ conceptuel est
subdivisé en domaines épistémiques et non épistémiques. Aussi, avant de présenter
l'étude quantitative et c'est résultats, un bref référence volonté être fait à efficace
argumentation et le utilisation judicieuse de haies et de rehausseurs pouvant servir de
dispositifs de protection du visage. Exigible à manque de espace, le étude qualitatif
analyse volonté seulement être touché sur. Enfin, le discussion et certaines
remarques finales volonté terminez ce document.
1 Modalité
Le terme dérive depuis le Latin modus lequel moyens 'chemin, manière'. Bien que
Modalité a a été le objet de continuel examen minutieux depuis le jours de Aristote,
les linguistes ne sont pas encore parvenus à une définition claire de la notion (Bybee,
Perkins & Pagliuca, 1994, comme cité dans Nuyts, 2006, p. 1; Van der Auwera &
Plungien, 1998).
Lyons (1977 : 452) utilise le terme pour désigner « l'opinion ou l'attitude » du
locuteur. vers le proposition que le phrase exprime ou le situation que le la
proposition décrit ». Ce qui suit est un échantillon bref mais représentatif des façons
savants ont abordé cette catégorie :
Nous proposons d'utiliser le terme « modalité » pour les domaines
sémantiques qui impliquer possibilité et nécessité comme paradigmatique
variantes, que est, comme constituant un paradigme avec deux possible les
choix, possibilité et nécessité.
Van der Auwera et Plungian (1998 : 80)
La modalité est une catégorie conceptuelle qui fournit le cadre sémantique
au sein duquel le langage codifie les relations qui caractérisent la logique
contenu de un proposition. Sur le un main, là est le interne monde, le

1
Bien que l'étude porte sur des corpus écrits, les termes « locuteur-auditeur » sont utilisés dans un sens
plus large pour désigner inclure ceux de « écrivain-destinataire ». Aussi, le conférencier ours le femelle
identité tout au long de le papier.
EM markers in L1 and L2 discourse of MG: a corpus-based study 2

attitude du locuteur qui choisit d'utiliser ce cadre pour qualifier son


propositions dans son communication avec autres. Sur le autre, là est réalité
extérieure, le monde réel auquel cette proposition fait référence et auquel la
véracité ou actualité de un événement est toujours par rapport.
Ιαευίκυ 2 (1999 : 1)
Le flou inhérent à ces définitions reflète la difficulté des chercheurs à délimiter
la notion, en raison peut-être de la multifonctionnalité du langage, qui est un outil
puissant qui satisfait nos besoins de communication. À cette fin, le langage fournit
nous avec un répertoire de modal expressions, depuis lequel nous peut choisir le
ceux que qualifier au mieux nos propositions.
Nuyts (2006) considère la modalité comme une supercatégorie qui inclut la
totalité des façons dont les locuteurs choisissent de se situer par rapport au monde réel
3
. En faisant donc, le modal qualification de un énonciation a besoin le actif
participation de tendu et aspect qui ancrent respectivement l'événement rapporté dans
le temps et décrivent « les types de Actions' (Holton et Al, 1997 ; Palmer, 1986 :
45 ; ΦδζδππΪεβ-Warburton &
΢πυλσπκυζκμ, 2006). Les trois catégories, ajoute-t-il, ne peuvent être étudiées
isolément depuis un autre.
1.1 Classement Modalité
Trois catégories sont actuellement les plus couramment utilisées dans la littérature sur
la Modalité, à savoir dynamique, déontique et épistémique (Von Wright, 1951, cité
dans Palmer, 1986, p. dix).
 Dynamique modalité se rapporte à le capacités, potentiels ou besoins de le
sujet (in)animé de la clause, soit entièrement inhérent à celle-ci, soit
conditionné par externe facteurs.
 déontique s'associe à des notions comme l'obligation morale, la permission et
une bonne conduite, qui dépend fortement de normes sociétales et culturelles,
ou de son éthique critères (Lyon 1977 ; Nuyts, 2006 ; Palmer, 1986 & 2001).
La mise au point de ce papier, cependant, repose sur le troisième type, EM.
2 Épistémique modalité
Le terme épistémique dérive depuis le grec επ ıσ IJ Ȓ µ η lequel moyens
'connaissance'. Énoncés dans c'est portée sont concerné avec conférencier avis,
connaissance et jugement plutôt que fait, tous pertinents pour la valeur de vérité de la
SoA (Palmer, 1986 ; ΦδζδππΪεβ-Warburton & ΢πυλσπκυζκμ, 2006). Ceci est illustré
dans Lyons (1977) définition:
Tout énoncé dans lequel le locuteur qualifie explicitement son engagement
à la vérité de la proposition exprimée par la phrase qu'il prononce, que ce
soit cette qualification est rendue explicite dans la composante verbale ….,
ou dans la prosodique ou paralinguistique composant, est un
épistémiquement modal, ou modalisé, énonciation. (p. 797)
Donc loin, beaucoup savants (Coates, 1983 ; Halliday, 1985 ; Traugott, 2006)
avoir a adopté une vision dégradée de la modalité, couvrant à la fois ses aspects
épistémiques et non épistémiques. zones. Sur le épistémique positif côté un se déplace
depuis absolu certitude via probabilité à une possibilité assez neutre que le SoA soit
réel, tout en étant du côté négatif on passe de l’improbabilité à la certitude absolue que
la SoA n’est pas réelle. Compte tenu du fait que EM est concerné avec conférencier
attitude, le problème de subjectivité est par définition la plupart pertinent à le étude de
cette catégorie conceptuelle (Palmer, 1986).

2
Le traduction ours le responsabilité de le auteur de ce papier.
3
Dans fait Nuyts' voir de le terme chutes très fermer à le définition de position fourni par Biber et
Finegan (1989).
EM markers in L1 and L2 discourse of MG: a corpus-based study 3

Manteaux (1983 : 20) ajoute un autre dimension à le étude de EM : «


Épistémique modalité exprime le haut-parleurs Réservations à propos affirmant le
vérité de le proposition". Comme nous ne pouvons pas toujours être certains de la
(non)actualité d'une SoA, nous qualifier en conséquence notre discours lorsque nous
souhaitons nous engager envers la vérité- valeur de nos paroles, ou simplement
adopter une position neutre. Dans le premier cas, nous exprimons nous-mêmes de
manière confiante (nécessité épistémique), alors que dans ce dernier cas, notre les
qualifications sont plus faibles (possibilité épistémique) (Palmer, 1986 & 2001). Ce
faisant, nous utilisons un certain nombre de manières fonctionnellement équivalentes
(grammaticales et/ou lexicales) pour exprimer notre attitude. Le suivant section
présente le exposants de grec EM, comme ces sont proposé par Κζαέλβμ &
Μπαηπδθδυτβμ (1999).
2.1 Le grammatical réalisations de grec EΜ
Il s'agit des modaux « semi-auxiliaires » (Σσαΰΰαζέδβμ, 2003 : 742) πρέπεı ( must ) et
µπoρεí ( mai ) qui satisfont au critère de modalité proposé par Tsangalidis (2004 :
237) : « la condition nécessaire pour que quelque chose soit membre du groupe grec
Le système de verbe modal est qu'il soit verbal et qu'il exprime à la fois épistémique
et non- modalité épistémique ». Mπoρεí se situe du côté « faible » de l'échelle, tandis
que πρέπεı tient le 'fort' un (Mackridge, 1987).
Les syntagmes verbaux qui expriment également EM sont organisés selon le
temps, aspect et humeur (ΦδζδππΪεβ-Warburton & ΢πυλσπκυζκμ, 2006), au moyen
de subjonctif qui se rapporte à la non-factivité et à la possibilité moins lointaine
(Lyons, 1977) et constructions composées principalement des particules modales
vα(na) et θα(θa) suivies de le verbe (Joseph & Philippaki-Warburton, 1987).
Nα est peut-être le la plupart polyfonctionnel marqueur de MG. Il peut être un
complémentateur ou un marqueur du subjonctif 4 . En fonction des facteurs structurels
et contextuels facteurs, c'est sémantique peut encoder divers nuances de signification
que gamme depuis subjectivité (sens épistémique) à l'obligation ou à la volonté (sens
non épistémique). Nα sera ne doit être discuté que dans la mesure où il coexiste avec
d'autres exposants EM qui marquent conférencier subjectivité ou doute, comme
πρέπεı, µπoρεí, íσωs, etc.
Θα , le marqueur prototypique du futur dans MG, est également une particule
modale avec épistémique et non épistémique lectures. Tableau 1 ci-dessous résume
le interaction de l'épistémique θα (θα+E) avec les traits [±parfait] et [±passé]
(Tsangalidis, 2002 : 138-9) :
Tableau 1: Le interaction de θα+E avec aspect et tendu
Αspect/Τense interaction Exemple En lisant
épître. nécessité
1) Perfectif passé
θα έγραψε ou
θα + [+perf][+passé]
possibilité
(épist.
passé)
2) Imperfectif non passé épître. possibilité
θα + [-perf][-passé] θα γρáφεı (épist. présent)
3) Avenir parfait
θα + parfait θα έ3εı γρáψεı épistémique
parfait
4) Plus-que-parfait épistémique à
θα + plus que parfait θα εí3ε γρáψεı
distance
passé
2.2 Le lexical réalisations de grec EΜ
Les moyens lexicaux de réalisation de la MÉ grecque appartiennent à une classe
ouverte et peuvent impliquer : a) verbes lexicaux à la 1ère personne comme voµíȗω (je
pense), ȟέρω (je sais), b) adverbiaux comme íσωs (peut-être) , h α IJ á IJη γv ώ µ η µo υ
( à mon avis ) , c) adjectifs comme πıθαvó s ( possible ) ,
4
Pour plus d'informations sur la polyfonctionnalité de vα, voir ΣαΪλτααθκμ (1953/1991 : 185ff). Aussi,
des informations précieuses sur la double nature de la particule, c'est à dire sa capacité à exprimer deux
EM markers in L1 and L2 discourse of MG: a corpus-based study 4

nuances assertives (factualité vs non-factualité), ainsi que sur les restrictions contextuelles impliquées
dans soit cas, peut être trouvé dans Bεζκτδβμ (2001) ; Ρκτσσκυ (2006); ΦδζδππΪεβ-
Warburton et
΢πυλσπκυζκμ (2006).
EM markers in L1 and L2 discourse of MG: a corpus-based study 5

σíγoυρos (certain), d) impersonnel constructions comme εívαı απαραíIJηIJo (il est


nécessaire) ,
εívαı πıθαvó (il est probable), etc.
2.2.1 Les verbes lexicaux sont souvent utilisés pour transmettre une EM subjective
(Lyons, 1977 ; Palmer, 1986 et 2001). Basé sur la littérature pertinente (Biber &
Finegan 5 , 1989; Holmes, 1984 ; Hyland et Milton, 1997; Palmer, 1986 ; Πκζέτβμ,
2001), les cinq verbes lexicaux de l’étude (voir section 4.4) ont été divisées selon
qu’elles étaient fortes ou faibles. assertif verbes:
Tableau 2 : Certitude contre doute verbes
Verbe Fort Assertif Faible Assertif
γvωρíȗω P.
θεωρώ Π
voµíȗω 6 HM BF, H, Π
ȟέρω Mon copain, HM,
P.
πıσIJεńω Π
2.2.2 Les constructions adjectivales comme εíµαı σíγoυρη/βέβαıη (je suis
certain/sûr) peuvent également revêtent un sens épistémique. Cependant, comme
ceux-ci n’étaient pas suffisamment utilisés dans les corpus, étaient pas choisi pour
plus loin enquête.
2.2.3 Les adverbes modaux servent également d'exposants lexicaux de l'EM. Bien
qu'ils soient de nature facultative (Kallergi, 2004), ils peuvent fonctionner comme des
marqueurs de discours car ils modifier la force des actes de langage dans l'expression
de sa position (Andersen, 2000, comme cité dans Downing, 2006, p. 46 ; Biber et
Finegan, 1989). Bien qu'ils aient tendance à apparaître au début de la phrase, leurs
possibilités de position sont nombreuses (De Haan, 2006). Depuis Liste des adverbes
épistémiques de Kallergi (2004 : 68ff), íσωs, µáßßov, βέβαıα et σíγoυρα ont donné les
fréquences les plus élevées dans les corpus (voir section 4.4). Ίσωs comprend le
prototype adverbe de épistémique possibilité, signification 'dans égal chance, peut-
être'. Máßßov est relativement opaque dans sa sémantique, car il peut recevoir des
significations similaires à « évidemment » mais peut également remplir une fonction
comparative. Bέβαıα est essentiellement emphatique en fait, bien que cela puisse
également atténuer la force pragmatique de l’énoncé du locuteur (ibid : 97-8). Il est
plus opaque que σíγoυρα, lequel est conceptuellement plus proche à absolu confiance.
Ayant tous ces outils à son élimination, le conférencier peut plus loin modifier
son engagement à le SoA par moyens de "harmonique combinaisons » (Lyon,
1977 : 807),
c'est-à-dire en utilisant deux ou plusieurs formes modales du même degré de modalité
au sein d'un phrases qui « se renforcent mutuellement » (Halliday, 1970, cité dans
Lyons, 1977, p. 807). Non harmonique des combinaisons, sur le autre main, peut aussi
rendement intéressant résultats, comme Marqueurs de différent modalités (par
exemple déontique/épistémique) ou différent degrés de le même modalité (EM :
doute/confiance) sont combiné ensemble. Par exemple, Μπαηπδθδυτβμ (1999)
soutient que leur incohérence sémantique reflète le mieux le degré élevé d'incertitude
de l'orateur à l'heure actuelle de parler, comme dans Nonµíȗω óIJı σíγoυρα θα
πρoßáβεIJε (p. 89).
Le qualitatif analyse de ce étude fournit nous avec un nombre de combinaisons
(non)harmoniques, où πρέπεı ou µπoρεí colocalisent avec des expressions comme
βέβαıα , voµíȗω, πıσIJεńω , etc.
2.3 Le zone de EM était trouvé prometteur pour un plusieurs raisons :

5
Le respectif abréviations dans le tableau sont Mon copain, H, SM, P. et Π.
6
Le fait qu’une même forme puisse accueillir deux nuances affirmées opposées peut, à première vue,
ressembler à un paradoxe. Cependant, cela est clairement expliqué et illustré dans Holmes
(1990 : 187) : des caractéristiques paralinguistiques telles que le contour de l'intonation (intonation
EM markers in L1 and L2 discourse of MG: a corpus-based study 6

descendante-montante), ou la variance de position du verbe (initiale, médiale, finale position dans la


phrase) sont des facteurs qui doivent être pris en considération lorsque l’on tente de comprendre le
différent sens assignés à le verbe.
EM markers in L1 and L2 discourse of MG: a corpus-based study 7

 C'est une notion complexe et difficile (même en L1), car l'attitude du locuteur
peut être exprimé de diverses manières, ne reflétant que de subtiles nuances
sémantiques au sein du champ (Hylande & Milton, 1997).
 Des études typologiques sur la modalité (De Haan, 2006 ; Palmer, 1986 et 2001)
montrent que les langues réalisent l'EM à travers un certain nombre de
dispositifs linguistiques (grammaticaux ou lexical) et la prosodie.
 Précédent études dans le L1 (Choi, 2006 ; Stéphanie, 1986 & 1995) et L2
acquisition de EM (Dittmar & Ahrenholz, 1995 ; Giacalone Ramat, 1995 ;
Stéphanie, 1995) montrer que il est acquis plus tard que non épistémique
modalités.
 Les sujets des deux lettres soulèvent des questions sensibles, associant la SE aux
problèmes socio-économiques. culturel problèmes comme politesse normes et
affronter (Brun & Lévinson, 1987).
2.4 Le deux des lettres de l'étude
Le situations décrit dans le deux des lettres premier plan subjectivité et conférencier
attitude. Les données L2 proviennent des papiers des apprenants adultes de MG qui
ont été délivrés le Certificat de réussite en grec (CAG), niveaux C et D. Les candidats
au niveau C avaient produire une lettre argumentative pour demander un don pour la
construction d'un refuge pour sans-abri auprès d'un ami riche, qui travaille comme
directeur exécutif dans une grande entreprise. Niveau D candidats avait à écrire un
lettre à un ami à décourager lui elle depuis jeu d'argent.
Sur la base de ce qui a été mentionné jusqu'à présent, deux hypothèses sont
possibles. étude. En particulier, NNS devraient:
a) épistémiquement modaliser leur déclarations à un moindre degré que N.-É.,
b) privilégier l’usage de formes lexicales (plutôt que grammaticales), au nom
de signification transparence, à éviter malentendus.
3 L'écriture argumentative efficace, la notion de visage et le recours aux haies
et boosters
Selon Golder et Coirier (1996), l’écriture argumentative est une activité sociale qui
engage de manière communicative à la fois le locuteur et l’auditeur. Il s'agit d'un
domaine très spécifique et exigeant langue comportement lequel a besoin un avancé
niveau de compétence. Argumentatif discours est basé sur l'opinion discours, dans
que le conférencier généralement prend un particulier position sur un controversé
problème et tentatives à convaincre le auditeur à adopter ce poste. Ainsi,
l’argumentation est lié à la persuasion et négociation.
Un texte argumentatif n’est efficace que lorsque des étapes bien définies de un
séquencement logique est suivi et un système commun de valeurs sociales et
culturelles est partagé entre le participants. C'est efficacité, cependant, peut être
contraint par des facteurs situationnels comme la nature de la relation entre les
participants (amicale, officiel), le degré de controverse de le sujet matière, le
paramètre, etc.
Selon à Biber et Finegan (1989) comme Bien comme Hylande (1998), le
communicatif but de un argument peut plus loin être promu par un nombre de traits
métadiscours. Selon la situation, une personne peut choisir de se détacher de son
argument au moyen d'expressions d'incertitude ou de haies (par exemple , je pense,
probablement, peut-être ), ou, à l'inverse, faire preuve de confiance au moyen de
boosters qui renforcent forcer la force de ses propositions (ex. Je sais, sûrement ).
Ce étude se concentre sur un nombre de EM Marqueurs lequel, en fonction,
dépendemment sur le contexte, sont utilisé comme sociale des « accélérateurs »,
'freins' (Holmes, 1984 : 350) ou affronter- dispositifs de protection. Brown et
Levinson (1987 : 61) définissent le visage comme notre identité publique. image qui a
deux valeurs, une positive (quand on souhaite être approuvé par les autres), et une
négatif (quand nous souhait à être gauche gratuit de l’imposition). Leur gestion du
visage le travail se concentre sur la tension entre la nécessité de commettre un acte
EM markers in L1 and L2 discourse of MG: a corpus-based study 8

menaçant la face (FTA), tel comme un demande ou un conseil, et le besoin pour


l'atténuer à éviter d'être impoli.
EM markers in L1 and L2 discourse of MG: a corpus-based study 9

Réussi L2 en écrivant, dans le sens de être de manière pragmatique approprié,


met au premier plan la question de la variation culturelle. Les NNS de l’étude
proviennent de différents milieux linguistiques, éducatifs et sociétaux. La rhétorique
interculturelle suggère que le rhétorique préférences de différent langues et des
cultures tendre à manifeste eux-mêmes dans l’écriture de la L2 (Hyland & Milton,
1997 ; Koutsantoni, 2005). Très souvent les apprenants de L2 violent les normes
communicatives de la L1, en étant trop directs ou trop provisoire. Pour éviter de tels
problèmes de communication interculturelle, les apprenants de L2 doivent apprendre
explicitement les différentes conventions linguistiques qui expriment le même sens
(dans ce cas EM) et les stratégies rhétoriques et normes de politesse particulières de la
L2. À à cette fin, la contribution des corpus électroniques NS est inestimable, car ils
fournissent un précieux source de information pour le L2 apprenant, OMS devient
mieux connaissance avec des collocations ou des expressions idiomatiques dans la L2
grâce à l'exposition à des textes ou enregistrements.
4 L'étude
Le présent étude emploie un basé sur un corpus approche. Le choisi articles étaient
récupéré avec Monoconc Pro 2.2 , un concordancier qui fournit des fréquences brutes
de (chaînes de) mots (y compris fautes d'orthographe et autre morphologique
variantes).
4.1 Les données
Le matériel pour le L2 corpus était collecté avec le autorisation de Le Centre pour
la langue grecque, et en particulier la Division pour le soutien et la promotion de la
langue grecque (DSPGL), qui organise, planifie et administre exclusivement le
examens pour le certificat de réussite en grec moderne, « qui est le seul titre de
compétence dans Moderne grec que est valide mondial" 7 .
Selon le site officiel du DSPGL 8 , le certificat « sert de preuve de la niveau de
connaissance du grec sur le marché du travail du candidat retenu ». « Niveau C permet
aux étrangers de s'inscrire dans un établissement d'enseignement supérieur grec »,
alors que "Niveau D permet citoyens de européen syndicat membre États à prouver
complet connaissance et courant utiliser de le grec langue et ainsi être employé
dans un grec poste dans la fonction publique ». Ainsi, les NNS ont été sélectionnées
sur la base de leurs avancées niveau de maîtrise du grec L2.
Les données ont été tirées des copies d'examen des candidats qui ont réussi les
examens CAG 2003. CAG exige que chaque candidat réussisse les quatre langue
compétences (Parlant, écoute, en lisant, en écrivant). Leur écrit production se
compose de deux lettres, dont l’une est généralement plus formelle que la autre. Le
objet de ce L'étude porte sur la lettre informelle.
4.2 Le informateurs
Le corpus NNS est constitué des écrits de 143 adultes apprenants L2 de MG. 78
d'entre eux détiennent le niveau C et 65 autres le niveau D. En revanche, les 114
informateurs de la NS corpus sont surtout 2 ème et 3 ème année étudiants de le École de
Anglais, Aristote Université de Thessalonique. Le corpus est constitué de leur
production écrite, d'une lettre rédigé sous forme de devoir en classe chronométré (30').
Afin d'assurer la comparabilité des données, les NS ont été divisés au hasard en deux
groupes et chacun a reçu l'un des deux les sujets le NNS a écrit sur.
4.3 Le compilation de les corpus
Les lettres originales ont été dactylographiées et transférées dans une base de données
électronique, conservant ainsi le des lettres' original format intact (fautes
d'orthographe, grammatical les erreurs). Le corpus consister

7
Le lecteur est informé à visite CGL site web pour plus loin information concernant c'est organisation
et objectifs : http://www.greeklingual.gr/eng/aims.html.
8
Récupéré sur 02/06/2009 depuis http://www.greek-lingual.gr/greekLang/en/certification/01.html.
EM markers in L1 and L2 discourse of MG: a corpus-based study 10

seulement du corps principal des lettres. Comme la date et le message d'accueil initial
(c'est-à-dire Cher X ) étaient fournis à tout moment par le cahier d’examen, ceux-ci
ont été exclus. C'était aussi le cas pour le nommé signature à le fermeture partie,
lequel était considéré non pertinent aux fins de cette étude et a donc également été
exclue. Le tableau 3 présente en détail les taille de le corpus avec respect à niveau.
Note que Niveau se rapporte à L2 corpus, alors que le correspondant Sujet est plus
approprié pour L1 corpus.
Tableau 3 : Le taille du corpus
N.-É. Jetons Informate NNS corpus Jetons Informateu
corpus urs rs
Sujet C 16.040 60 Niveau C 19.429 78
Sujet D 16.918 54 Niveau D 21.762 65
TOTAL 32.958 114 TOTAL 41.191 143
4.4 Procédure
Basé sur le pertinent littérature sur grec EM (Ιαευίκυ, 1999 ; Kallergi, 2004 ;
Κζαέλβμ & Μπαηπδθδυτβμ, 1999 et 2001 ; Πκζέτβμ, 2001), un certain nombre de et
les exposants lexicaux ont été récupérés pour finalement trouver un représentant
échantillon de marqueurs EM, basé sur leurs fréquences les plus élevées et sur un
certain nombre d'autres conditions. Plus spécifiquement, les éléments de l'étude
doivent :
a. être retrouvées dans tous les corpus pour faciliter les comparaisons
quantitatives entre eux. Une exception a été faite pour πρέπεı , car il était
considéré comme un modèle trop prototypique. catégorie à être gauche
dehors de le étude
b. marque le haut-parleurs fort conviction (épist. nécessité) ou doute (épist.
possibilité) vers la proposition exprimé dans le phrase
c. consister de un mot seulement pour être facilement identifiable à travers
concordances.
Ainsi, l'article examine les marqueurs suivants : a) les verbes modaux πρέπεı et
µπoρεí , b) les verbes lexicaux γvωρíȗω (je viens à connaître) , θεωρώ (je présume) ,
voµíȗω (je pense), ȟέρω ( JE savoir ) , π ıσ IJ ε ń ω ( JE croire ) , et c ) le m odèle les
adverbes β έ βαıα (sûrement ) , σíγoυρα (certainement) , íσωs (peut-être) , µáßßov
(plutôt plus). Bien que le θα épistémique ( θα+E ) viole apparemment le dernier
critère, il fera l'objet d'une enquête sur la base de c'est proche lien à EM.
4.5 Résultats
Comme les deux corpus majeurs n’étaient pas de taille égale, les fréquences observées
étaient normalisés par 10 000 mots pour faciliter les analyses comparatives entre eux.
Tableau 4 présente le brut et normalisé compte de le choisi articles, alors que Chiffre
1 fournit un schématique illustration de leur répartition :
Tableau 4 : Brut et normalisé fréquences de le choisi articles dans le corpus
EM f/10.000 f/10.000 f/10.000 f/10.000
marqueu NS-C mots NNS-C mots NS-D mots NNS-D mots
r
µπoρεí 7 4,36 11 5,66 58 34,28 66 30,32
πρέπεı 0 0 2 1,02 0 0 4 1,83
θα+E 8 4,98 6 3,08 6 3,54 4 1,83
γvωρíȗω dix 6,23 1 0,51 4 2,36 1 0,45
θεωρώ 6 3,74 1 0,51 7 4,13 4 1,83
voµíȗω 6 3,74 21 10,8 dix 5,91 22 10,1
ȟέρω 21 13,09 48 24,7 11 6,5 27 12,4
πıσIJεńω 13 8,1 13 6,69 16 9,45 17 7,81
βέβαıα 4 2,49 17 8,74 15 8,86 21 9,64
íσωs 19 11,84 14 7,2 26 15,36 14 6,43
µáßßov 2 1,24 3 1,54 4 2,36 7 3,21
σíγoυρα 4 2,49 11 5,66 16 9,45 7 3,21
TOTAL 100 62,3 148 76,11 173 102,2 194 89,06
EM markers in L1 and L2 discourse of MG: a corpus-based study 11

Chiffre 1: Le fréquence de le choisi Marqueurs dans le deux majeur corpus


40

35

30

25

20

15

10

5
NS

0 NNS

On comprend tout de suite que le raisonnement L1 et L2 est avant tout codé


lexicalement, avec l'usage fréquent de verbes et d'adverbes lexicaux, et
accessoirement avec le utiliser des verbes modaux et θα+E.
Concernant la distribution de πρέπεı et µπoρεí , la figure 2 illustre l'émergence
modèle dans les quatre corpus :
Chiffre 2 : Le fréquence de µπoρεí et πρέπεı dans tous corpus

40 0
1,83

30

20 34,28 30,32
1,02
10 0
5,66
4,36
0 πλΫπεδ
NS-C NNS-C NS-D NNS-D ηπκλεέ

Quoi est évident depuis Chiffre 2 est que πρέπεı Des marques un très rare
utiliser (2,85) dans les corpus NNS et une absence totale dans ceux NS, alors que
µπoρεí présente une distribution partout (NS 38,64 / NNS 35,98), bien qu'il reçoive
ses valeurs les plus élevées dans les corpus NS. Mπoρεí est clairement le choix préféré
des informateurs de niveau D, et donne des relations statistiquement significatives
dans les deux corpus : a) NNS-D>NNS-C : x 2 = 16,800, DF = 1, p =0,000, b) NS-
D>NS-C : (test exact de Fisher) x 2 = 24,149, DF = 1, p =0,000.
Bien que ni NS (8,52) ni NNS (4,91) ne préfèrent l’utilisation de θα+E , le
ancien utilisez-le plus fréquemment que le dernier:
EM markers in L1 and L2 discourse of MG: a corpus-based study 12

Chiffre 3 : Le fréquence de θα+E dans tous corpus

4,98
5
3,54
4 3,08
NS-C NNS-C NS-D
3 NNS-D
1,83
2

0
NS-C NNS-C NS-D NNS-D

Comme pour le lexical moyens de exprimer EM, beaucoup fluctuation est


attesté. Chiffre 4 donne la répartition de les cinq verbes lexicaux dans les deux corpus
majeurs :
Chiffre 4 : Le fréquence de le cinq lexical verbes dans le deux majeur corpus

40 37,10

35

30

25
20,9019,59

20 17,55
14,50
15
9,65
8,59 7,87
10

5 2,34
0,96 NS
NNS
0
ΰθωλέαωγεωλυθκηέαωιΫλωπδστετω

Il est clair que les deux groupes compter sur principalement sur voµíȗω, ȟ Ϋλω
et πıσIJεńω à exprimer EM. Néanmoins, NS fait un usage plus équilibré des verbes en
question . ÷έρω est de loin le d'abord choix de tous le informateurs (total 56,69),
cédant statistiquement significatif relations au niveau C : a) au sein des corpus NNS
(NNS-C>NNS-D) : x 2 = 5,727, DF = 1, p =0,017, et b) sur les deux corpus majeurs
(NNS-C>NS-C) : x 2 = 4,585, DF = 1, p =0,032. ΠıσIJεńω arrive deuxième en
fréquence (32,05) et voµíȗω troisième (30,55). C'est intéressant de noter ici que les
NNS ont tendance à utiliser ȟέρω et voµíȗω (presque) doublement comme autant que
NS, ce qui est un indice de leur familiarité avec ces éléments lexicaux qui dénotent
subjectivité du locuteur. Les deux groupes font un usage peu fréquent de θεωρώ (NS
7,87 / NNS 2,34) et γvωρíȗω (NS 8,59 / NNS 0,96). Une perquisition aléatoire dans le
Hellenic National Corpus (HNC) montré que celles-ci sont également rare dans le L1
usage.
Chiffre 5 illustre le distribution de le choisi les adverbes dans tous quatre corpus :
EM markers in L1 and L2 discourse of MG: a corpus-based study 13

Chiffre 5 : Le fréquence de le quatre les adverbes dans tout corpus

15,36
16
14
12 11,84
10 9,64
8 8,74 8,86 9,45
6
4 6,43 5,66
2 7,2
0
2,36 3,21 2,49 3,21
2,49 NS-C NNS-C NS-D
1,24 1,54 NNS-D

ίΫίαδαέσωμηΪζζκθσέΰκυλα

Bέβαıα et íσωs sont les adverbes les plus couramment utilisés, tandis que
µáßßov est le le moins fréquent de tous. Les NNS montrent une préférence pour les
adverbes de certitude βέβαıα et σíγoυρα (27,25 ) sur les possibilités íσωs et µáßßov
(18,38). À travers les deux corpus majeurs, une relation a été trouvée au niveau C
entre tendance à l’usage de βέβαıα et corpus NNS (NNS-C>NS-C) : (test exact de
Fisher) x 2 = 4,732, DF = 1, p =0,034. NS, en revanche, utilise plus fréquemment les
adverbes de possibilité (30,8) que adverbes de certitude (23,29), donnant une relation
statistiquement significative entre tendance vers le utiliser de íσωs et N.-É. corpus
(NS>NNS) : x 2 = 3.883, DF = 1, p =0,049.
Quand le articles étaient groupé dans quatre grand catégories, modal verbes
(MODVBS), θα+E , lexical verbes (LEXVBS) et les adverbes, le suivant modèle

120
3,54

1,83 100

3,08 36,03
22,49 80
4,98
23,14
60
18,06 28,35 32,59

40
34,9 43,21
γα+E ADVERBS LEXVBS
34,28 32,15 20
MODVBS
4,36 6,68
0
NS-C NNS-C NS-D NNS-D

émergé :
Chiffre 6 : Le fréquence de le quatre catégories dans tous corpus
Concernant les marqueurs grammaticaux de l'EM et l'utilisation des verbes
modaux, le le tableau d'ensemble est quasiment identique dans les deux corpus
majeurs (NNS 38,83 / NS 38,64), cédant statistiquement significatif rapports à niveau
D: un) (NNS-D>NNS-C) : x2 = 16.949,
EM markers in L1 and L2 discourse of MG: a corpus-based study 14

DF = 1, p =0,000, et b) (NS-D>NS-C) : (test exact de Fisher) x 2 = 24,149, DF = 1, p


=0,000. Les informateurs de niveau C font un usage peu fréquent des verbes modaux,
alors que les l’image au niveau D est plus équilibrée. Bien que θα+E reçoive ses
valeurs les plus élevées dans le corpκra, il marque des fréquences également basses
dans les quatre corpus. Bien que ce soit le Dans ce cas, on pourrait s’attendre à ce que
les informateurs de niveau D utilisent davantage ce marqueur que les informateurs de
niveau C. niveaux, peut-être en raison de sa complexité grammaticale. Les résultats
obtenus montrent la exactement le contraire, ce qui peut laisser penser que la
sensibilité des informateurs à ce sujet Le marqueur au niveau C était probablement
induit par le sujet. Demander de l'argent (même pour un don) est un délicat matière
que soulève sensible problèmes. Néanmoins, le délicatesse de la situation a été perçue
par les informateurs, qui ont eu recours à ce marqueur grammatical dans commande à
avec succès remplir le tâche.
Comme pour le lexical réalisations de EM, NNS utiliser lexical verbes plus
fréquemment que NS (75,8 > 63,25), tandis que l'image inverse se dessine pour les
adverbes : NS 54,09 > NNS 45,63.
Bien que qualitatif analyses sont toujours élucider, exigible à manque de
espace, seulement une brève référence sera faite aux résultats qualitatifs de l’étude
pour une vision plus globale compréhension de cette étude résultats.
5 Dans l'ensemble résultats de le qualitatif analyse
5.1 Πρέπεı et µπoρεí
 Πρέπεı est surtout utilisé dans c'est déontique sens à exprimer obligation
 Le deux verbes sont très souvent trouvé dans le portée de (un autre EM
marqueur(s) qui influence(nt) la lecture de l’ensemble de la proposition. Sur
celui D’un autre côté, lorsque les NNS choisissent de paraître assertifs, ils
utilisent des harmoniques combinaisons (Lyons, 1977), comme illustré ci-
dessous (tous les exemples sont pris depuis le corpus NNS-D) :
AγαπηIJȒ µoυ Άvvα – σIJεvα3ωρıέµαı γıα σέvα hαı γı' αυIJó απoφáσıσα vα σoυ γρáψω
αµέσωs haı va σoυ παρoυσıáσω µερıhons ßóγoυs γıα IJoυs oπoíoυs πρέπεı
oπωσ6Ȓπoτ ε va σIJαµαIJȒσεıs va παíȗεıs IJυ3ερá παı3víδıα
Όµωs σε ȟέρω απó πoßń hαıρó γıα va µηv hαIJαßáβω óIJı háπoıos αvεȟı3víασIJos
παρáγovIJαs πρέπεı σíγoυρα σε έ3εı επηρεáȗεı ασε έ3εı φέρεı σε αυIJó IJo σηµεío
En revanche, lorsqu'ils souhaitent atténuer la force de leur potentiel
'préjudiciable' remarques, pour les raisons de politesse, ils souvent employer non
harmonique combinaisons modales :
ΈIJσı, πȒρα IJηv απóφαση vα σoυ γρáψω, γıα IJıs αρvıIJηhέs συvέπıεs αυIJȒs IJηs
συvȒθεıαs, παρ΄ osso πoυ ȟέρω óIJı πıθαvόv va σoυ πρohαßέσω σIJεvo3ώρεıα
5.2 Malgré le rare utiliser de θα+E , ce est aussi trouvé dans (non)harmonique
combinaisons:
Eívαı γvωσIJó oIJı η εIJαıρíα σαs έ3εı IJηv δυvαIJóIJηIJα αυIJȒ, áßßα θέßω va IJo σhεφIJεís
hαßá, hαı εαv IJo hávεıs, va εívαı µέσα απó IJηv hαρδıá σoυ. Zε γvωρíȗω hαı ȟέρω πωs
έIJσı θα εívαı (NNS-C)
5.3 Γvωρíȗω, θεωρώ, voµíȗω, ȟέρω, πıσIJεńω
Bien qu’il n’y ait pas suffisamment d’occurrences de θεωρώ , cela invite à une lecture
approfondie de nécessité épistémique dans les corpus. ΠıσIJεńω est associé à une
croyance ferme, alors que voµíȗω peut librement remplacer les deux verbes dans des
contextes différents, tels qu'ils se présentent sur le frontière entre les deux (Πκζέτβμ,
2001). Quant à sa lecture pragmatique, voµíȗω rendements un précis dégradant effet
sur la sémantique de l’énoncé.
Le cinq verbes sont principalement suivi par le complémentateurs óIJı/πωs. ÷έρω
et
γvωρíȗω signal complet engagement à un bien fondé croyance que un SoA est vrai:
EM markers in L1 and L2 discourse of MG: a corpus-based study 15

÷έρω óIJı σIJηv πóßη σIJȒv oπoíα IJώρα εργáȗεσαı υπáρ3εı έvα hέvIJρo γıα IJηv φρovIJíδα
IJωv ȗώωv (NNS-D)
ΠıσIJεńω et θεωρώ sont considérés comme moins assertifs et avec une force
plus faible que ȟέρω et γvωρíȗω . Cependant, en fonction, dépendemment sur leur
position dans le phrase, ils supposer un plus catégorique Ton. Ce aussi tient pour le
reste de les verbes:
Noµíȗω, oIJí 9 IJα IJń3ερα παı3víδıα µπoρońv vα σoυ πρoσφερońv µóvo oıhovoµıhá
πρoβßȒµαIJα (NNS-D)
Quand utilisé entre parenthèses, ils exprimer doute ou adoucir le forcer de le
haut-parleurs déclaration de politesse raisons (Coates, 2003; Holmes, 1984) :
Asssá ȟέρω oIJı έ3εıs haı εσń µεγáßη hαρδıá, haı o3ı µovo αυIJó, η εIJαıρíα σIJηv oπoíα
δoυßέυεıs θα µπoρońσε va µαs 3αρȒσεı αρhεIJα 3ρȒµαIJα, voµíȗω, εαv πεíσεıs IJoυs
συvεργ α έs σoυ, γıα va πραγµαIJoπoıηθoυv IJα óvεıρα πo υ havoυµε γıα IJ o υs φIJω3oυ s ,
γıα va ȟεφαvıσIJη φIJω3íα απo IJηv πßαvηIJη µαs (NNS-C)
Le expression de EM est un matière de degré, où le conférencier exprime
différent degrés de certitude (Joseph & Philippaki-Warburton, 1987) via un nombre
de lexical et grammatical moyens. Elle combine eux ensemble dans
(non)harmonique rapports à encoder subtil nuances dans le épistémique
signification un) à exprimer son limité connaissance comme à le actualité de le SoA
exprimé dans le phrase (Bεζκτδβμ,
2001 ; Lyon, 1977), ou b) parce que c'est mieux sert son communicatif intentions.
N.-É. sont naturellement attendu à faire face avec tel subtil manœuvres dans le
champ épistémique puisqu’ils écrivent dans leur L1. Ce qui frappe est la production
habile de NNS, qui présentent une connaissance plus qu'adéquate de la combinaison
de marqueurs modaux de le même ou de différents degrés d'EM. Ces « clusters
épistémiques » (Hyland & Milton, 1997 : 199) rendement différent interprétations et
refléter un variété de pragmatique les fonctions:
ΈIJσı, πȒρα IJηv απóφαση vα σoυ γρáψω, γıα IJıs αρvıIJηhέs συvέπıεs αυIJȒs IJηs
συvȒθεıαs, παρ΄ osso πoυ ȟέρω óIJı πıθαvóv va σoυ πρohαßέσω σIJεvo3ώρεıα
(NNS-D)
5.4 Bέβαıα, íσωs, µáßßov, σíγoυρα
Bien que les quatre adverbes se trouvent principalement en position initiale et
médiane, ils semblent être assez mobile. NNS sont pleinement conscient de le
impact de ce positionnel variance sur le sémantique de la proposition.
βέβαıα et σíγoυρα épistémiquement plus forts sont utilisés pour exprimer la
certitude. ( σíγoυρα ) ou indiquer que quelque chose est bien connu ( βέβαıα ). Ils
sont surtout trouvé dans position initiale ou médiane pour exprimer un large éventail
de significations :
Zíγoυρα óµωs δεv ȟέρεıs IJηv αıIJíα γıα IJηv oπoíα δıáßεȟα vα δoυßέψω εhεí (NNS-C)
Kávε óµωs µıα πρoσπáθεıα vα πεíσεıs IJo Zυµβońßıo IJηs εIJαıρíαs σoυ vα µαs
παραδώσεı, γıα έva µıhρó δıáßıµα βέβαıα, αυIJó IJo σπíIJı ouais, πρos IJo παρóv,
εívαı áδεıo (NNS-C)
Le épistémiquement plus faible íσωs et µáßßov sont principalement utilisé
comme façades de indirect, c'est-à-dire lorsque les informateurs ont besoin de
procéder à une évaluation, de donner des conseils ou de demander pour l'argent, sans
nuire à sentiments de l'auditeur :
Ίσωs θα ȒIJαv hαßó va συµβoυßευIJεís haı haπoıov Oui, εvvoώ έva ψυ3ossóγo
(NNS-D)
Le qualitatif analyse suggère que NNS poignée dans un plus que satisfaisant
et de manière appropriée les différents usages et sens des objets sélectionnés. Ils
donnent priorité aux marqueurs lexicaux de l’EM, qu’ils regroupent avec succès avec
autre EM Marqueurs dans façons que meilleur costume leurs besoins communicatifs.

9
Comme déjà mentionné dans 4.3, le format de le original des lettres (fautes d'orthographe,
EM markers in L1 and L2 discourse of MG: a corpus-based study 16

grammatical les erreurs) était gardé intact.


EM markers in L1 and L2 discourse of MG: a corpus-based study 17

6 Discussion
6.1 Général remarques
Quand en cours d'analyse le distribution de certaines formes, il est important à
considérer le variables en interaction qui sont en jeu : type d’interaction impliquée,
formalité du contexte, mode d'expression, identités personnelles et statut et sexe des
participants (Aijmer & Stenström, 2004).
Le motif sous-jacent dans les deux lettres est que les deux participants partagent
un Relation amicale. Le contexte est informel et le genre est celui de la rédaction de
lettres. Le deux des lettres, cependant, augmenter problèmes que sont considéré
sensible (demande pour argent/don) ou controversés (conseils/jeu), qui peuvent
potentiellement dommage le visage des participants.
6.2 Revisiter le deux hypothèses de le étude
En raison de la difficulté inhérente à l'EM et malgré leur niveau de compétence
avancé, NNS étaient censés modaliser épistémiquement leurs énoncés dans une
moindre mesure que les NS. Cependant, Tableau 4 démontre que le d'abord
hypothèse est réfuté. Le fréquence des marqueurs EM dans le discours L2 (165,17)
est, bien que marginalement, encore plus élevé que le L1 respectif un (164,5).
En outre, exigible à le controverse de le deux les sujets, NNS étaient attendu
privilégier l’utilisation d’exposants lexicaux de l’EM pour éviter tout malentendu. En
effet, l’étude vérifie cette hypothèse. Les NNS privilégient le marquage lexical dans
leur expression de position épistémique et ils le font dans une plus grande mesure que
NS, en raison peut-être du fait qu'ils reconnaissent le danger de dommages potentiels
au visage ainsi que l'urgence et la sensibilité nature de le situations décrit. Ainsi, ils
choisir à exprimer leur arguments explicitement à éviter malentendus. Dans ce
chemin, là est un chance que leur le franc-parler sera évalué positivement (Brown et
Levinson, 1987), ce qui, à son tour, peut contribuer à un réussi résultat de leur effort.
Les résultats corroborent d’autres résultats de recherche sur l’expression de la
modalité (Dittmar & Ahrenholz, 1995 ; Giacalone Ramat, 1995 ; Stephany, 1995), qui
montrent que a) les verbes modaux sont principalement utilisés dans leur sens non
épistémique, b) le sens épistémique la modification des énoncés est une réalisation
ultérieure dans l'acquisition de L1 et L2, et c) le lexical moyens que transmettre Les
EM sont préféré à le grammatical ceux par NNS.
6.3 Pédagogique conséquences
L'EM est généralement reconnu comme étant difficile à acquérir pour les apprenants
car le locuteur Cette attitude peut s’exprimer de diverses manières qui véhiculent un
éventail tout aussi large de sens. Outre la difficulté inhérente au sens épistémique, une
partie de La difficulté des étudiants est causée par le fait que l'importance de
l'ensemble de la gamme de les dispositifs qui s'en rendent compte sont soit sous-
estimés, soit en partie présentés à la fois par l'enseignant et étudiant manuels (Hylande
& Milton, 1997 ; ΢πυλσπκυζκμ & Σσαΰΰαζέδβμ, 2005).
À cette fin, l’utilisation de corpus peut contribuer à une meilleure
compréhension des nuances sémantiques impliquées, car une exposition approfondie
aux concordances aidera les apprenants se rendre compte que les marqueurs modaux
ne fonctionnent pas seulement de manière isolée ; c'est plutôt le texte ou contexte
social qui détermine l’interaction difficile entre l’usage sémantique et pragmatique
fonction.
7 Conclusion
Prise dans compte le dans l'ensemble résultats, le difficulté de le sémantique zone
de EM, et la performance globale des NNS, on peut conclure positivement que leur la
performance est très proche de celle de NS dans l’expression de la position
épistémique. L'EM est perçue comme une notion de gradient qui prend en compte les
croyances et l'évaluation du locuteur. attitudes à travers un nombre de différent
façons, grammaticale et lexical.
EM markers in L1 and L2 discourse of MG: a corpus-based study 18

Le données montrer que EM est juste le moyens à un fin, c'est à dire le


satisfaction de diverses fonctions pragmatiques. L’utilisation de marqueurs
épistémiques à travers les corpus est sans rapport avec la connaissance ou le manque
de connaissance du locuteur. L'objectif à atteindre dans les deux lettres est très précis,
car le locuteur doit convaincre l'auditeur de faire le faire un don ou arrêter de jouer.
EM est simplement le véhicule vers la réussite des besoins communicatifs du locuteur.
Selon le contexte, elle a) la « filtre » des énoncés visant à minimiser l'impact négatif
d'un contenu hautement chargé, ou b) des exploits le force de formes épistémiques
projeter autre aspects dans son discours.
Les données montrent que les marqueurs modaux épistémiques sont
polyfonctionnels et répandus à travers l’échelle épistémique au moyen de
combinaisons (non)harmoniques qui renforcent ou réduire l’effet d’éventuels ALE. La
politesse linguistique, dans le sens de montrer considération des sentiments des autres
(Thomas, 1995) et conformité aux normes sociétales normes de comportement public
« acceptable », est le facteur qui rassemble tous ces sémantique nuances et fonctions
pragmatiques.
Il est préférable de considérer cette étude comme fournissant certains indication
pour des recherches ultérieures. Cependant, une future étude à plus grande échelle
apportera davantage de lumière sur la manière dont les apprenants de L2 MG exploite
les conventions infinies fournies par le langage dans la réalisation du épistémique
sens.

Clé mots: épistémique modalité, apprenant corpus, affronter, les haies, boosters
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