Organisation
Organisation
Choix
Choixd’und’unDAS
DAS
Segmentation
Segmentation
Positionnement
Positionnement
Définition
Définitiondedel’offre
l’offrecommerciale
commerciale
Phase
Phase3 :
3 : Action
Actionmarketing
marketing
Politique
Politiquededeproduit
produit
Contrôle Politique
Contrôle Politiquededeprix
prix
Politique
Politiquedededistribution
distribution
Politique
Politiquededecommunication
communication
Ensemble de techniques :la mise en œuvre
de la démarche marketing fait appel à des
méthodes scientifiques ( psychologie,
sociologie, statistique , mathématique
,économie, informatique ……). Les
techniques utilisées sont très nombreuses .
IV- Les optiques du marketing
management
II .Analyse interne
1. Identification des éléments de performance
2. Gestion des domaines d’activités
stratégiques
III. Le diagnostic
1. Le diagnostic externe
2. Le diagnostic interne
Section(1) : Définition et composantes
du marché
• A-Définitions :
De point de vue étymologique il vient du latin mercatus, commerce, marché.
Dans un premier sens, le marché désigne le lieu où des producteurs (commerçants, artisans, paysans) se rassemblent pour proposer directement leurs produits aux consommateurs.
En économie, par extension, le marché
est un système d'échanges où se
rencontrent l'offre (les vendeurs) et la
demande (les acheteurs). C'est aussi
l'ensemble des règles, juridiques ou
informelles, par lesquelles ce type
d'opérations économiques peut se
réaliser. Le marché, qui concerne aussi
bien les échanges de biens, de services
que les échanges actifs financiers et
immobiliers, est l'un des concepts
fondamentaux de l'économie.
Mais comme le notent Dubois & Jolibert, la
théorie économique repose sur l’idée de choix
rationnels des agents dont les hypothèses sont
peu réalistes. Malgré la remise en cause de
certaines de ces hypothèses restrictives par des
auteurs comme Lancaster avec la « Nouvelle
Théorie Economique », la définition d’un
marché à partir de la conception économique,
présente peu d’intérêts sur le plan opérationnel
pour l’homme de marketing
Comme le notent Lindon & Lendrevie, « le mot
marché est utilisé par les gens du marketing dans
deux sens différents bien que complémentaires :
Au sens étroit, on désigne par ce terme un
ensemble de données chiffrées sur l’importance, la
structure et l’évolution des ventes d’un produit ;
Au sens large, on appelle marché l’ensemble des
publics susceptibles d’exercer une influence sur les
ventes d’un produit ou plus généralement sur les
activités d’une organisation ».
B-Typologies de marché :
Si l’on adopte l’optique de la définition étroite
d’un marché, qui définit le marché en fonction
d’un produit, il convient de distinguer quatre
types de marchés :
•Le marché principal :regroupe l’ensemble des
produits techniquement semblables au produit étudié
et directement concurrents ;
•Le marché environnant : regroupe l’ensemble des
produits de nature différente du produit principal mais
satisfaisant les mêmes besoins et attentes dans les
mêmes circonstances ;
•Le marché générique: rassemble l’ensemble des
produits de nature différente du produit principal mais
satisfaisant les mêmes besoins et les mêmes attentes
que ceux satisfaits par le produit étudié ;
•Le marché support: rassemble l’ensemble des
produits dont la présence est nécessaire pour la
consommation des produits du marché principal
A une période donnée et pour un produit ,on distingue trois
catégories de consommateurs :
Les consommateurs actuels
Les non consommateurs relatifs : ce sont des non
consommateurs dans l’immédiat mais les motifs du frein à
l’achat ne sont pas rédhibitoires.
Les non consommateurs absolus : ce sont les
consommateurs qui n’achèteront pas le produit ou le service
pour des raisons d’ordre physique, psychologique ou moral.
Le marché potentiel est constitué de l’ensemble des
individus susceptibles d’acheter le produit dans une zone
géographique déterminée. Il est estimé en tenant compte de
la part des NCR transformable en acheteurs effectifs et des
consommateurs actuels qu’on peut espérer gagner sur les
concurrents.
Ainsi, on aura :
D’autres typologies de marché
peuvent être dégagées en utilisant
différents critères :
Critères Marchés
La destination du Marché des biens de consommation, des
produit biens de production…
.La nature physique du Marché des biens industriels, des produits
produit agricoles, des prestations de services...
Le degré de Marché nouveau, marché porteur, marché
développement du saturé...
marché
La périodicité Marché saisonnier, marché permanent
L’ampleur Marché local, régional, national, mondial…
géographique
C- Composantes du marché :
taux d’équipement
Rapport entre le nombre de produits en
service sur la demande potentielle
le taux de renouvellement.
Rapport entre le volume d’achats de
remplacement sur le volume des achats
totaux de la même période
Le concept d’élasticité de la
demande
l’idée était au départ de dire que si les quantités
augmentaient, les prix augmentaient également.
L’idée selon laquelle la demande des biens varie
en fonction de leurs prix qui est à l’origine de la
notion d’élasticité de la demande par rapport au
prix est définie par le rapport entre le pourcentage
de variation conséquente des quantités demandées
sur le pourcentage de variation du prix :
Variation conséquente des quantités demandées
• e q/p =
Variation du prix
• Si par exemple, au prix unitaire de 100 dh, les
quantités demandées d’un bien sont de 2 000. Une
baisse des prix intervient et le prix est alors de
90dh. Les quantités passent alors à 2 400.
• d p/p = (90 – 100) / 100 = - 0,1
• d q/q = (2 400 – 2 000) / 2 000 = + 0,2
• d’où e q/p = (+ 0,2) / (- 0,1) = - 2
• L’élasticité de la demande par rapport au prix est
de – 2.
• Si e < - 1, alors cela signifie que la demande est très
élastique et normale.
C’est le cas des biens possédant des substituts
satisfaisant et ne suscitant pas de fidélité forte de la
part du consommateur.
• Si e = 0, la demande est alors rigide. Autrement dit,
les variations mêmes fortes des prix sont incapables
de modifier les quantités demandées. C’est le cas des
biens jugés indispensables et sans substitut direct, ou
d’un bien complémentaire d’un autre et dont le prix
ne représente qu’un faible part dans l’achat groupé,
ou encore des biens qui ne représentent de toutes
façons et malgré les hausses du prix appliquées, une
faible part dans le budget du ménage. Le chiffre
d’affaires varie dans le même sens que le prix.
• Si e > 0, la demande est donc atypique.
Dans ce cas, la hausse du prix accroît
les quantités demandées et aussi le
chiffre d’affaires. On reconnaît cette
demande dans quatre cas principaux :
L’effet Veblen : Plus le prix d’un bien est élevé plus
le bien est demandé dans la mesure où il devient un
signe socialement distinctif (consommation
ostentatoire).
L’effet Qualité : La quantité demandée d’un bien
augmente avec la hausse de son prix dans la
mesure où le prix est utilisé comme gage de
qualité. Le consommateur est souvent tenté
d’utiliser le prix comme indicateur de qualité
notamment quand il est en difficulté pour évaluer
les qualités réelles d’un produit. Contrairement à
l’effet Veblen, ce n’est pas ici un souci de paraître,
mais la recherche de rationalité, de qualité qui est à
l’origine du comportement atypique de ce
consommateur.
L’effet de Giffen : Quand le prix du pain augmente,
Giffen avait observé que les familles ne pouvaient
plus se procurer de bien plus coûteux comme la
viande par exemple. Ceci les obligeait à compléter
leur alimentation en achetant plus de pain. La
hausse du prix d’un bien inférieur empêche la
consommation de biens supérieurs et a pour
conséquence un report de consommation vers le
bien dont le prix, malgré sa hausse, est resté le moins
élevé.
L’effet de spéculation : Il consiste à acheter plus
d’un bien dont le prix augmente dans la crainte
d’une augmentation future.
SECTION 2: analyse de la
concurrence
La concurrence concerne la rivalité entre les
entreprises qui opèrent sur un marché et
satisfont les mêmes besoins des
consommateurs ». Afin de se maintenir ou
de croître sur son secteur, l’entreprise doit
comprendre la manière dont la concurrence
s’exerce.
A- Les pressions concurrentielles
L’attrait d’un marché particulier pour une entreprise
qui désire s’y implanter, est directement fonction
de la nature et de l’intensité de la concurrence qui
y règne. Outre la concurrence en place, Michael
Porter identifie quatre forces supplémentaires qui,
collectivement, définissent l’attrait à long terme
d’un marché. Elles correspondent chacune à une
menace particulière pour l’entreprise en place.
L’intensité concurrentielle sur un marché est liée à la
menace des nouveaux entrants potentiels (les
barrières à l’entrée sont-elles puissantes ?), à
celles des produits de substitution ainsi qu’au
pouvoir de négociation des clients et/ou des
fournisseurs. Mesurer l’intensité concurrentielle
sur un marché, c’est donc s’interroger sur la nature
et l’intensité de chacune de ces menaces.
Pour identifier les avantages (ou désavantages)
concurrentiels d’une entreprise, quatre questions
sont déterminantes :
1) Qui sont-ils ? 2) Quelles sont les positions
concurrentielles (en termes quantitatifs) ? 3)
Quelles sont les objectifs et les stratégies
des différents concurrents ? 4) Quelles sont
leurs forces et leurs faiblesses ?
B. Identification de la concurrence
Le champ concurrentiel:Il s’agit d’identifier le (ou les)
champ(s) sur lequel s’exerce la concurrence :
Éléments
Éléments Facteurs
Facteursinfluents
influents
moteurs
moteursdu du lelecomportement
comportement
comportement (variables Comportement
Comportement
comportement (variables (réponses)
(stimuli)
(stimuli) explicatives)
explicatives) (réponses)
Processus
Processusdede
décision
décision
(variables
(variables
intervenantes)
intervenantes)
I.1 Les stimuli
Un stimulus peut être défini comme
« la convergence d’un besoin et
d’un élément susceptible de le
satisfaire ».
La perception par le consommateur d’un élément,
d’une offre susceptible de constituer une réponse
à un besoin non satisfait peut provenir de trois
types de facteurs :
Les produits et leurs caractéristiques
(attributs) qu’ils soient physiques ou
symboliques ;
Les communications interpersonnelles
(contacts avec d’autres, observation d’autres
comportements,etc…) ;
Les communications commerciales
(publicités, argumentation du vendeur, etc…).
I.2 Les variables intervenantes et
le processus de décision
A – Les quatre processus de base
RETENTION
RETENTION EE
Grâce à ces quatre processus le
consommateur
forme son attitude
Une attitude, concept central de l’étude de
comportement du consommateur, peut être
définie comme « une orientation, une
prédisposition globalement favorable ou
pas à l’égard d’un produit ou d’un
service ».
B – Les états internes du
consommateur
Les motivations sont des « états
internes qui poussent l’individu
vers un comportement, vers une
action ». Elles sont très variées
BESOINS
D’EPANOUIS
SEMENT
BESOINS
D’ESTIME
BESOINS
D’APPARTENANCE A UN
GROUPE
BESOINS DE SECURITE
A l’inverse des stimuli et du processus de
décision, les réponses des
consommateurs peuvent le plus
souvent être observés empiriquement.
D – La rétroaction (feed-back)
Facteurs Facteurs
Consommateur
individuels sociaux
Facteurs
De situation
Facteurs socio-démo:
•Age;sexe;taille;poids;Revenu;emploi;
Facteurs individuels
csp;Temps disponible;Habitat
Facteurs psychologiques:
•Besoins et motivations
•Attitude;Image de soi
Facteurs psychographiques
•Les valeurs
•La personnalité
•Modes et styles de vie
La famille
Les groupes
Les classes
Facteurs
sociaux
La culture
Exemples :
Critères Exemples d’utilisation
marché des montres
Sexe marché des déodorants corporels
marché du tourisme et des loisirs
Age
marché de la confection
Taille et poids de marché des produits diététiques
l’individu
marché des machines à laver et lave-vaisselle
Taille et composition de marché des « petits-déjeuners »
la famille
marché des appareils de chauffage
Régions marché des pépiniéristes
marché de certains produits alimentaires (corps gras,
alcools, charcuterie, etc…)
marché électoral
marché des aliments pour chiens et chats
Catégorie de ville
habitée
marché des automobiles
Revenu (1) marché des manteaux de fourrure
marché des voyages organisés
I. LA MOTIVATION :
Définition :
Conditionnement classique
Réponse Comportement
renforcée répété
Stimulu
s
Réponse Comportement
non différent ou
renforcée extinction
III. LA PERCEPTION :
Définition :
L’attention :
Facteurs internes :
• La motivation
• L’état d’esprit
• Rôle et statut
2- L’organisation dans la perception :
La perception subliminale
Définition :
La théorie des traits est centrée sur l ’évaluation
de la personnalité en ce qui concerne les traits
spécifiques de l ’individu.
2- Les théories typologiques :
Le type sentimentale
Le type senseur
Le type intuitif.
3- Les influences externes sur la
formation de la personnalité.
La personnalité sociale
La personnalité biologique
La personnalité du au statut
communication suivantes :
Ajouter de nouveaux attributs au produit s ’il ne
se fait pas accepter : la perfectionna
Modifier l ’image du produit
Modifier l ’image de la concurrence relativement
à un attribut important.
Modifier ou faire varier la pertinence des
attributs du produits par rapport à la situation
Repositionner le produit sur différents marché et
VI. L’INFLUENCE
DES GROUPES
1- Classement des groupes :
Les groupes primaires : sont classés selon trois
catégories :
Ceux qui procurent de nombreux intérêts et
activités : la famille, le voisinage, l ’appartenance à
de tel groupes est involontaire.
Ceux qui pratiquent une activité particulière et à
laquelle l ’appartenance est volontaire :club
d ’échecs, club de ski.
Ceux de nature spéciale comme des personnes
partageons le bureau. l ’appartenance à de tels
groupes est volontaire et involontaire.
1- Classement des groupes (suite) :
intermittentes.
2- Relation intra- groupes :
t [-] [+]
t
y Savon
Appareil de climatisation y
p Pêches en conserve p
e Lessive Café soluble e
+ Réfrigérateur (marque) +
Téléviseur (noir et blanc)
Radio
4- Groupe de référence
(suite) :
Utilisation de celebrité comme groupe de
référence :
Peut être faite de six façons différentes.
• L’adhésion
• Le témoignage
• Le placement
• Mise en scène
• Représentation
• Identification
VII- LA STRATIFICATION
SOCIALE :
VIII- LA STRATIFICATION SOCIALE :
dans la société.
1- Système de satisfaction sociale
Système de :satisfaction fermée : un individu né
définition :
Certains considérations :
•Degré d’homogénéité du marché
•Satisfaction des besoins du marché étudié
•Echelle des valeurs
•Structure politique et judiciaire
•Niveau réel de la demande
•Système de distribution
•Publicité sur les attributs du produit
LE CONSUMERISME
défintion
Le consémurisme est un mouvement social qui
tente de modifier les relations entre les entreprises
et les consommateurs en vue d’accroître le
pouvoir de ces derniers;
Le consémurisme est un phénomène social
institutionnalisé, politisé, qui émane des relations
multiples et complexes d’une société moderne de
consommation.
1- Catégoris des mouvements de consommateurs :
le manque d’information
Le manque de rendement
Aversion pour la publicité
Entreprises de marketing impersonnelles
Changemnt dans les valeurs
**chantement à l’égard du système
1- le consumérisme : responsabilité sociale de
l’entreprise privée :
(suite) :
IMPORTAN 4 3 1 3
CE
SONY 1 3 3 5
SHARP 1 3 5 3
KOSS 4 3 3 4
G.E 4 3 3 3
Si notre consommatrice applique un tel processus
décisionnel, alors sa décision se formulera comme suit:
Mj = Iij x Eij
Mj = évaluation de la marque j
·i = nombre de critères évalués
Iij = importance du critère i pour la marque j
Eij = évaluation du critère i pour la marque j
Mj = Iij x Eij
Famille
Attitudes Evaluation des Style de vie
Valeurs
alternatives Variables
économiques
Variables Sources
Dissonance Décision physiologiques d’information
Satisfaction/
Evaluation post-
insatisfaction
achat
Processus décisionnel du consommateur
Etapes du processus désionnel Processus psychologique
Évaluationpost-achat
Évaluation post-achat Apprentissage
Apprentissage
Processus décisionnel
Mémoire
Perception Déclen- Attributs du Circons-
Culture
produit tances Mémoire
et chement
Apprentissage
apprentissa environne- Groupes de
ge relié à mental référence
la décision Recherche
Classe sociale
Croyances d’information
Besoins
Famille
Attitudes Evaluation des Style de vie
Valeurs
alternatives Variables
économiques
Variables Sources
Dissonance Décision physiologiques d’information
Satisfaction/
Evaluation post-
insatisfaction
achat
Processus décisionnel du consommateur
Etapes du processus désionnel Processus psychologique
Évaluationpost-achat
Évaluation post-achat Apprentissage
Apprentissage
II-ANALYSE DU PROCESSUS
clique
1-La reconnaissance d’un besoin
Il est possible de définir la reconnaissance d’un besoin
comme la perception par le consommateur d’un
décalage entre un état souhaité et un état ressenti.
Il est permis de penser que ce décalage ne conduit à la
perception d’un besoin que s’il ne dépasse un certain
seuil, le consommateur ressent alors une situation non-
satisfaisante, habituellement appelée « un problème de
consommation ».
Plusieurs catégories de facteurs peuvent être à l’origine
de l’apparition d’un tel décalage. On parle de facteurs
d’activation des besoins :
► Les facteurs d’environnement du consommateur :
une modification de l’environnement du consommateur peut
provoquer l’activation de nombreux besoins. Remarquons
que les besoins activés par de tels facteurs sont souvent
internes et conduisent presque toujours à un comportement.
► Les facteurs liés aux produits : le plus souvent, un
consommateur prend conscience du besoin d’un produit
quand le produit qu’il possède est consommé ou devient
inutilisable ou encore quand le produit qu’il possède appelle
un produit complémentaire.
►► La politique commerciale du producteur : si le
producteur ne peut créer de besoins, il est par contre en
mesure d’activer des besoins latents chez le consommateur,
soit en faveur d’une classe de produit, soit en faveur d’une
marque précise.
2-La recherche d’informations
Préférence
4-L’acte d’achat proprement dit
clique
-Logique
&rationnel
FORTE
• Implication du consommateur
Faible
FORTE
• Différences perçue entre les marques
Faible
B- Typologies
Implication forte
Apprentissage Snobisme
logique Émotionnel
Routine Hédonisme
Implication faible
Apprentissage
logique Émotionnel
Routine
Implication Implication
Elevée faible
Décision
Différences significatives Décision marquée par la
complexe
entre les marques recherche
concurrentes de variétés
Aucune différence perçue Décision visant Décision correspondant
entre les marques à réduire à l’inertie
concurrentes la dissonance cognitive
CHAPITTRE(4): Segmentation marketing et positionnement
DIA INTERNE DIA EXTERNE
SEGMENTATION ET POSITIONNEMENT
ACTION COMMERCIALE
EVALUATION ET CONTROLE
I-4 Choix d’une stratégie
247
248
1-choix de cibles
Il s’agit essentiellement de répondre à trois questions
principales :
249
Entreprise propre
•Potentiel •Infrastructure •Mktg-mix (autres
pers., équip. et finan. de marketing groupes de produits)
5 5 5
Ent. commerciale Concurrents
•Intérêt Mktg-mix •Action mktg
2 groupe de 3
•critères d’achat •infratstructure
•potentiel produits A •potentiel
•habitudes •etc.
1
Utilisateurs
•Besoins/pouvoir achat
4 •habitudes d’achat
4
•image, préférences
Environnement
•Fact. Amb. Économ. •Écologiques •Culturels, sociaux
•technologiques •politiques •légaux
ALAOUI/2009
Univers hétérogène
Face à cet univers hétérogène, pour réussir, il faudra tenir
compte simultanément
1. des besoins et des caractéristiques des utilisateurs du
produit, év. de différents groupes d’utilisateurs du produit
2. des désirs et des possibilités du commerce
3. des “actions perturbatrices” de la concurrence et de la
nécessité de se détacher d’elles
4. des effets rétroactifs à long terme de l’environnement
5. du potentiel et de l’infrastructure de l’entreprise propre
ALAOUI/2009
Structure du marché
environnement
système
demande demande
Propre entreprise Entreprises rivales
Mktg Mktg
mix mix
Commerce intermédiaire
demande demande
Influenceurs Mktg-mix Influenceurs
externes commerce externes
Utilisateurs du produuit
acheteurs et influenceurs internes
ALAOUI/2009
facteurs ambiants
Stratégies fondamentales du M-mix
Stratégie de développement de
secteurs de marché
Volume du marché dans le
secteur de marché 1 en l ’année X
Volume du marché dans le Part du marché de
secteur de marché 2 en l ’année X l ’entreprise Y en l ’année X
ALAOUI/2009
Stratégies fondamentales du M-mix
Stratégie de développement du
marché
Volume du marché
en l ’année X Part du marché de
l ’entreprise Y en l ’année X
ALAOUI/2009
Stratégies fondamentales du M-mix
Stratégie de compétition
Volume du marché
en l ’année X Part du marché de
l ’entreprise Y en l ’année X
Volume du marché
en l ’année X + + Part du marché de l ’entr. Y
en l ’année X + 1
ALAOUI/2009
Push - Pull
fabricant fabricant
mix mix
mesures « push »
complémentaires: vente, promotion
publicité
utilisateurs du utilisateurs du
produit produit
création de l ’image
ALAOUI/2009
7. Plan sommaire du budget de mktg
• Conséquence des décisions stratégiques préalables
• C ’est un moyen de contrôle de leur faisabilité
• Période de 3 à 5 ans
• Il permet d ’affecter les moyens aux différents
mixes spécifiques
• Il place le cadre des plans d ’action et du budget
de marketing annuel.
ALAOUI/2009
258
259
Bien économique multidimensionnel
Acquisition
Voiture de sport autre bien
Rejet Acquisit
Motivations Obstacles
ion
Moyen de transport Moyens
rapide financiers
Stratégies marketing
LA SEGMENTATION DES MARCHÉS
Évaluer l ’attrait de ch
Identifier les v aque segment Définir les
ariables de seg concepts de
mentation positionnement
Déterminer le p Choisir le ou les Choisir,
possiblesdévelo
rofil des segmen segments cibles pper et diffuser
ts de marché le concept choi
si
LES CONDITIONS D ’UNE
SEGMENTATION EFFICACE
MESURABLE
ACCESSIBLE
RÉACTIF
SUBSTANTIEL
CHOISIR LES SEGMENTS
A) Marketing de masse
PROGRAMME DE MARCHÉ
MARKETING
B) Marketing concentré
PROGRAMME DE SEGMENT
MARKETING
C) Marketing différencié
PROGRAMME DE SEGMENT 1
MARKETING No 1
PROGRAMME DE SEGMENT 2
MARKETING No 2
PROGRAMME DE SEGMENT 3
MARKETING No 1
CRITÈRES D ’UN BON
POSITIONNEMENT
ATTRACTIF
DISTINCTIF
CRÉDIBLE
DURABLE
DU MARCHÉ AU POSITIONNEMENT
MARCHÉ CONCURRENCE
SEGMENTS AXES DE
DIFFÉRENCIATION
AVANTAGES
CIBLES
CONCURRENTIELS
POSITIONNEMENT
CARTE PERCEPTUELLE
LE PRODUIT
• Cycle de vie du produit
• Gestion de la marque
• Gestion de la gamme
• Conditionnement et emballage
LE PRIX
• Importance du prix
• Facteurs de détermination du prix
• Méthodes de fixation du prix
• Stratégies de prix
LA DISTRIBUTION
• Fonctions de la distribution
• Choix de circuits de distribution
• Stratégies de distribution
• Gestion des relations avec les distributeurs
LA COMMUNICATION
• Le processus de communication
commerciale
• La communication médias
• La communication hors médias
• Les stratégies de communication
De la segmentation stratégique
à la segmentation marketing
• Stratégie de portefeuille
plutôt le long terme
• Stratégie concurrentielle par DAS
plutôt le moyen terme
• Action commerciale
le court terme
La segmentation stratégique
DEFINITION
Technique consistant à repérer les activités pour
lesquelles une stratégie spécifique devra être
développée afin de :
• Permettre une analyse concurrentielle pertinente
• Développer un avantage concurrentiel à partir de
l’identification des F.C.S. propres au secteur
• Organiser l’entreprise en unités stratégiques ayant un sens
vis-à-vis des différents marchés.
La segmentation stratégique
1A/ METIER
• Ensemble de compétences et de savoir-
faire, dont la maîtrise permet à l’entreprise
d’être présente sur plusieurs segments
stratégiques
• Ex pour un groupe chimique : Peintures /
Colorants / Fibres
La segmentation stratégique
1B/ VOCATION DE L’ENTREPRISE
• Qu’aimons nous faire ?
• Que savons nous faire ?
• Quel est notre cadre de référence ?
La segmentation stratégique
2A/ SEGMENT STRATEGIQUE :
• Ensemble de lignes de produits de même
spécificité. C’est un couple homogène
Produit (technologie, coût,…) / Marché
(concurrence, clients, usage du produit,…)
• Ex pour un groupe chimique : Grand
public / Bâtiment / Industrie
La segmentation stratégique
2B/ DOMAINE D’ACTIVITE
STRATEGIQUE
• Les DAS sont l’objet de la phase de
segmentation stratégique : c’est l’entité
homogène pour le stratège
• Il s’agit des segments stratégiques sur
lesquels l’entreprise se positionne
La segmentation stratégique
METHODE : La triade (Abell et Hammond, 1979)
• technologies / (ex.: stylo plume, bille,
feutre, mine, …)
• applications / (ex.:objet publicitaire, objet
cadeau, écriture simple,…)
• groupe d’acheteurs / (ex.: grand public,
entreprises, …)
La segmentation stratégique
CRITERES EMPIRIQUES
Un regroupement pour :
• Un nombre limité de DAS
• Valorisant chacun un mix spécifique de
facteurs clés de succès
• Permettant chacun un jugement homogène
en termes de valeur ou d’attrait de l’activité
La segmentation marketing
DEFINITION
Technique consistant à séparer une population
globale en plusieurs sous-ensembles
homogènes au regard de certains critères
que l’on suppose capables d’expliquer des
différences de comportement
La segmentation marketing
• CIBLE(S)
Segment(s) marketing effectivement
retenu(s) par l’entreprise pour le(s)
potentiel(s) qu’il(s) représente(nt)
Une cible => Un mix spécifique
Des cibles => Des mix différenciés
Distinction entre segmentation
stratégique et marketing
Domaine Moyen Objectif Terme
1/ LES ANALYSES
A - EXTERNES
• La demande (le client final)
• L’offre (les concurrents et leurs
segmentations, les distributeurs)
Notion de Valeur de l’activité
Notion de Groupes stratégiques
Diagnostic et formulation des
prescriptions stratégiques
B - ANALYSES INTERNES
• Des chiffres par DAS ( CA / CA /
Contribution CA / idem pour marges)
• L’opérationnel : les mix (Forces et
faiblesses)
• L’organisationnel : organigramme // réalité
observable
Diagnostic et formulation des
prescriptions stratégiques
C - ANALYSES STRATEGIQUES
• Portefeuille : Métiers et DAS, équilibre du
portefeuille
• Stratégies concurrentielles : quelles propositions
sont faites face à la concurrence pour chaque DAS
• FCS : identifier les FCS pour chaque DAS par
croisement des synthèses des analyses internes et
externes
290