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L’EXAMEN CLINIQUE EN

PARODONTOLOGIE

Dr : N.Habi
Interrogatoire : Anamnèse

Etat civil: -Nom;Prénom;Age


- Sexe
- Adresse
- Profession
- Tel
I-Anamnèse locale

-Motif de consultation
-Histoire de la maladie
1-chronologie : Quand?
2-Mode évolutif : Comment? Est-ce que c’est douloureux ou non,
dlr matinale ou nocturne , sa durée,,,
-Habitude d’hygiène : =Brossage
-Fréquence
-Technique
-Le matériel utilisé
-Durée de brossage
-Utilisation des adjuvants

-Antécédents buccaux : soins , extraction,,,


II-Anamnèse générale :

-Passé médical personnel :


-Est-ce que le malade souffre d’une pathologie ou affection
(antibioprophylaxie– avis du médecin traitant)
Ex : cardiopathie ou diabète non équilibré,,,
HTA
-régulateur de tension
Ex : la nifédipine : provoque l’hyperplasie gingivale
-S’il a subit une chirurgie : éviter les interactions
médicamenteuses
-S’il a pris de l’aspirine : risque d’hémorragie
-insuffisance rénale ou hépatique :
Eviter les médicaments à élimination rénale ou hépatique
Remarque : un rein qui ne fonctionne pas normalement ne
peut pas supporter une posologie augmentée d’antibiotique =
toxique dans ce cas

-pour les maladies contagieuses : SIDA , hépatite ,,,, il y a le


risque de transmettre sa maladie = utilisation du matériel
jetable
SIDA : le risque est augmenté pour développer les
parodontopathies

-Antécédents familiaux : Hérédité


III- Examen clinique proprement dit
1-bilan dentaire :
a-Examen exo-buccale :
-Inspection :
1-Symétrie faciale :
*Hypertrophie des muscles – cicatrices
*Tuméfaction :
Siège précis
Forme : (ovalaire – ronde)
Dimension : en mm
Consistance : dure ou molle
*Fracture :
Sens transversal-vertical,,,
2-couleur des téguments :
Rougeur , pâleur , sianose , les pétéchies (taches qui ne se disparaissent lorsqu’on
appui)
3-Présence ou l’absence du stomion

-La palpation :
1- La palpation des chaines ganglionnaires :
À la recherche des adénopathie (ganglion gonflé)
On parle d’adénopathie = si > 1cm
Si < = gangliopathie , on détermine si elle est douloureuse ou non , sa mobilité ,
adhérente ou non

2- La palpation des muscles :


B- Examen endo-buccal :
1- Hygiène : bonne ou mauvaise = tarte ou plaque
2- L’haleine : bonne ou mauvaise
3- Indice CAO : Indice de Klein et Palmer
C: cariée A : absente O : obturée
4- Présence d’une prothèse iatrogène ; ODF iatrogène ; restauration iatrogène
5-Malposition :
6-Rotation :
7-Egression :
8-Fracture ou fêlure :
9-Présence du diastème :
11-Abrasion : perte de substance mécanique
12-Erosion : perte de substance chimique
13-Mylolyse :
14-Tarte : sus ou sous gingivale
15-xérostomie :
16-Ulcération :
17-Ingression :
18-Coloration :
*Extrinsèque : boisson , thé , tabac
*Intrinsèque : -antibiotique = tétracycline (verdatre-noiratre)
-Fluorose
 Indice de plaque : Silness et Loe 1964
Degré 0 : absence de plaque
Degré 1 : Film de plaque fin le long de la marge gingival uniquement reconnaissable lors de la passage
d’une sonde
Degré 2 : plaque modérée le long de la marge gingivale visible à l’œil nu espaces interdentaires exempts
Degré 3 :Plaque importante le long de la marge gingivale espaces interdentaires remplis de plaque
COMMENT COMPTER L’INDICE DE PLAQUE :

-La cavité buccale est divisée en 6sextons


-on va mettre dans chaque sextant la valeur de la dent la plus touchée
Indice d’abrasion : BROKA
0 : pas d’attrition
1 : attrition de l’email
2 : un ou plusieurs ilots de dentine entourés d’email
3 : dentine visible sur toute la surface occlusale
4 : usure de la dent jusqu’au collet
Indice de fluorose : Dean 1933
0 : dent normale
1 : fluorose douteuse
2 : très légère fluorose <25% de la surface dentaire
3 : légère fluorose <50% de la surface dentaire
4 : fluorose modérée sup à 50% de la surface dentaire
5 : Sévère fluorose forme de la dent modifiée
C-Examen de l’environnement buccal :

1-lévres :
*inspection :
-couleur : bleu (sianose) jaunâtre (anémie)
-volume :
-siège de la lésion :
-limite anatomique :
-l’aspect :
-la présence d’une ulcération , érosion ,,,,
-des taches : purpura : tache rouge sur la peau
thrombopénie : nombre de plaque diminué
érythème : rougeur de la peau
pétéchie : points qui ressemblent au purpura
*palpation :
-tuméfaction : siège , limite , dimension , la dureté
-Ulcération : limites , siège , aspect , profondeur
-Aphte : profondeur , contour ,,
-chéilite : inflammation des lèvres
-perlèche : inflammation cutanée localisée aux commissures labiale causée par les
candidats albicans

2- les joues :
-traces de morsure
-Coloration , tuméfaction , ulcération
-Aphtes
-diapneusie : excroissance de la muqueuse

3- le plancher buccal :

4- le palais :
5-langue :
-la couleur :
-le volume :
-glossite : inflammation de la langue
-langue dépapillée , géographique (dans le cas d’une anémie sévère )
IV-Examen du parodonte :
1-Parodonte superficiel :
Comporte l’inspection de la gencive et la muqueuse alvéolaire

gencive :
On recherche une anomalie de couleur , de forme , consistance , texture , la hauteur
1- couleur :
La gencive saine a une couleur rose pale mais on peut différencier :
Chez l’enfant : une gencive saine mais de clr rouge car + vascularisée
- kératinisée
+ de mélanine chez les races ethniques

Pathologiquement : rose blanchâtre , bleu , violée , localisée ou généralisée


Anémique : couleur pale
Leucémie : violacée

2- le volume :
-déterminé par l’équipement des cellules fibrillaires
-soit il est normal , augmenté , assez augmenté , trop augmenté
-la gencive saine présentent un rebord gingivale mince appliqué intimement au
rebord alvéolaire
3- la hauteur
-la gencive attachée est limitée apicalement par la LMG et coronairement par le
sillon marginale
-On mesure cette hauteur à l’aide d’une sonde , elle est de 3mm d’environ
Et elle varie de 0,5mm à 7à8 mm
-En général la GA est souvent visible mais en cas de doute il existe des méthodes :
Ex : par l’iode la muqueuse alvéolaire fixe l’iode et la GA nn (elle devient plus
foncée)
4-la consistance :

-la gencive saine et ferme et élastique


-en cas d’inflammation la surface devient lisse et brillante donc on dit que la gencive
est molle
-le test de Godet trouve son indication pour confirmer la consistance :
À l’aide d’une sonde on appui :
_si elle reprend son état initial gencive saine (ferme)
_si elle garde le godet (molle)

5- la texture :
-une gencive saine est piquetée en peau d’orange à cause de la présence des fibres de
collagène
-agression de la gencive donne l’aspect lisse
6- le contour :
-il est festonnée suit le contour des dents
-contour altérée nn harmonieux

-inflammation peut être :


Papillaire localisée ou généralisée aigue ou chronique
Marginale // // // //
Diffusée // // // //
gencive papillaire marginale attachée

couleur

volume

consistance

hauteur

texture

contour
*Indice gingivale Loe et Silness 1963 :
0 : gencive normale , absence d’inflammation , pas de coloration , absence de saignement
1 : légère inflammation , légère modification de la couleur , faible modification de la surface ,
absence de saignement
2 : inflammation modérée , rougeur , gonflement , saignement au sondage et à la pression
3 : forte inflammation , rougeur et gonflement important , tendance au saignement spontané ,
éventuellement ulcération
Ex =11/6

3 2 0
3 3 0
*Indice de saignement sulculaire SBI : Muhlemann et Son 1975
0 : gencive normale , absence de saignement au sondage
1 : saignement au sondage sans changement de coloration ni de contour
2 : saignement au sondage , érythème
3 : saignement au sondage , érythème , œdème moyen
4 : saignement au sondage , érythème , œdème important
5 : saignement spontané et au sondage , œdème important avec ou sans ulcération
-on passe la sonde au niveau du SGD pr chaque dent
*Indice de saignement papillaire PBI: Saxer et Muhilmann 1975 :
0 : pas de saignement
1 : présence d’un seul point de saignement
2 : triangle interdentaire dentaire remplis de sang
3 : saignement important tout autour de la dent le sang s’écoule immédiatement dans
le SGD
-le test se fait au niveau de la papille interdentaire
-La règle de sextant s’applique pr l’indice de plaque , gingivale , saignement
*la suppuration +/-
On va exercer une pression digitale au niveau de la poche
*la profondeur du vestibule : suffisante ou insuffisante mesurée a l’aide d’une sonde
parodontale = si elle est insuffisante le sujet à un risque d’une maladie parodontale
*l’insertion des freins et des brides :
-on a un frein médian (sup et inf) et deux freins latéraux
Signes signifiant une insertion anormale du frein :
-blanchiment de la papille interdentaire ou de la gencive libre lors de la traction
-limitation des mvts labiaux ou linguaux
-proximité de l’insertion avec la GM
-ouverture du SGD lors de la traction
Freinectomie : la chirurgie qui élimine les freins pathologiques ( frein volumineux –
insertion interdentaire du frein)
Classification topographique :
Il existe 2 classification :
Classification de DEWEL 1964
Elle comprend 2 aspects anatomo-clinique :
- Le frein rejoint la papille interdentaire
- Le frein ne rejoint pas la papille interdentaire
Classification de placek et al en 1974
1-l’attache muqueuse : l’insertion du frein labial appartient à la muqueuse alvéolaire et
se situe à la limite de la LMG
2-l’attache gingivale : les insertions du frein labial sont noyées dans la gencive attachée
3-l’attache papillaire : le frein labiale est inséré dans la gencive papillaire ,la
mobilisation du lévre (test de la traction ) entraine un déplacement de la gencive
marginale des incisives centrales
4-l’attache interdentaire : le frein labial rejoint le sommet du septum gingivale et se
confond avec la papille retro incisive (lorsqu’il s’agit du frein labial sup) souvent en
relation avec la persistance du diastéme inter dentaire
*Récession :
Migration apicale du rebord gingivale
=Causes de récession :
-brossage inadéquat , tartre , vestibulo version (position)
-over bite excessif
-rétraction gingivale post opératoire
Indice de récession : Miller 1985
Classe I : récession n’atteint pas la LMG et qu’il y a une intégrité de la gencive et de
l’os alvéolaire bordant la récession
Classe II : classe I mais la récession dépasse la LMG
Classe III : la récession atteint ou dépasse la LMG et il existe en plus une perte de la
gencive et de l’os alvéolaire interdentaire ou malposition légère
Classe IV : classe III mais la malposition ou la perte du tissu gingivale et osseux inter
dentaire est importante
Selon BENQUE 1983 : la forme en U;V;I
2- Parodonte profond :
A-sondage :
-introduire la sonde parodontale au niveau du SGD
-un geste diagnostic consiste à définir la profondeur du sondage avec des sondes
parodontales . Depuis le rebord gingivale jusqu’à l’arret de la sonde (sentir une petite
résistance)
-la sonde est appliquée entre la dent et la gencive // au grand axe longitudinal de la
dent (sondage manuel)
-sondage horizontal = en cas de furcation
Enregistrement des mesures de sondage
- Le sondage est effectué à 4 ou à 6 points (selon les auteurs)
- L’enregistrement des profondeurs de sondage sur un simple tableau reste le
procédés le plus simple
- On mentionne si on a une fausse ou vrai poche
- Au niveau de la jonction amélo cémentaire = fausse poche
Sonde de Williams Sonde de Hu Friedy Sonde de l’OMS
La + utilisée
2-la furcation : est la zone anatomique d’une multi radiculé
-Forme de sonde courbée pour atteindre la région furcatoire et calculer la
destruction
-sonde de Nabers : sonde de sondage horizontale graduée par 3 mm

Indices de l’atteinte furcatoire :


Classification de Glickman :
La classification la plus utilisée est celle de GLICKMAN 1958 elle se fonde
Sur la perte d’attache horizontale et comporte 4 classes
Classe I :
Il existe une lésion débitante qui forme une poche supra osseuse impliquant des
tissus mous
On note une légère perte osseuse dans l’aire de furcation qui n’est pas visible
radiologiquement,la perte d’attache est inf 3mm
Classe II :
On constate une perte osseuse sur un ou plusieurs cotés de la furcation, mais une
portion de l’os alvéolaire et du ligament parodontal reste intacte,
La sonde ne pénètre que partiellement dans la lésion qui présente une légère zone
de radioclarté,la perte d’attache horizontale est supérieure à 3mm
On distingue 2 degrés d’atteinte dans cette classe :
Degré I : la lésion ne dépasse pas la moitié de la furcation
Degrés II : la lésion dépasse la moitié de la furcation
Classe III :
l’os iner-radiculaire est absent,mais les orifices de la furcation sont obstrués par le
tissu gingival
Le passage de la sonde se fait de part en part et la zone radiculaire est distincte
Classe IV :
L’os inter-radiculaire est absent,et la lésion est visible car il y a une récession
gingivale
La classification de Hamp et Nyman et Lindhe 1975 :
Classe I : (initiale)
Début d’atteinte de la furcation et l’affection ne s’étend pas sur plus du tiers(3mm) à
l’intérieur de la furcation dans le sens horizantal
Classe II (partielle) :
L’atteinte couvre une profondeur horizontale sup à 3mm,sans la traverser totalement
Classe III (totale) :
L’atteinte est de part en part, et la sonde peut entiérement passer entre les racines
3-la mobilité :
-on a une mobilité physiologique et une mobilité pathologique
la mobilité physiologique :
-les dents sont mobiles la mâtiné (il n y a pas un contact dentodentaire = LAD lâche)
-Lors de la grossesse
La mobilité peut être pathologique résulte de l’elargissement de l’espace desmodental
Indice de ARPA (association de recherche en paro américaine)
1 : mobilité physiologique, perceptible au doit et nn visible à l’œil nu
2 : mobilité transversale, visible à l’œil nu et inf à 1mm
3 : mobilité transversale, visible à l’œil nu et sup à 1mm
4 : mobilité axiale
Indice de Muhilmann 1954 :
0 : ankylose
1 : mobilité physiologique, perceptible entre les deux doits
2 : mobilité transversale , visible à l’œil nu
3 : mobilité transversale, sup à 1mm
4 : mobilité axiale
V- Examen clinique de l’occlusion :
1- Occlusion statique + dynamique : étude de l’occlusion
A- occlusion de l’intercuspidation maximale ICM
-Position ICM
-le max de contact dento dentaire
-l’occlusion idéale :
Les contacts son ponctiformes
Le temporal fonctionne légèrement pr maintenir la mandibule
B- la relation centrée RC
C’est la position ou la mandibule est en position la + haute ; la + reculée ;
la + médiane
Occlusion de relation centrée est différente de la RC =IM+RC = max de
contact en RC
C – position de repos :
Caractérisée par
-contact labio labial
-désocclusion dento dentaire de 2mm
-minimum d’activité musculaire sauf le temporal = une petite activité

2- Examen statique :
A partir de la position d’ICM = Incisives – C – M
a – pr les incisives :
Over jet : Distance entre le bord libre de l’In sup et la face vestibulaire de l’In inf
normal = 2mm
- On l’évalue avec une sonde dans le sens antéro posterieur (sagittal)
- Si = proclusion
- Si = rétroclusion
- Si -6 = articulé croisé ou crosse bite
Over bite : recouvrement des In inf,par les In sup = 2mm

- Si = supraclusion
- Si = supraclusion vraie
- Si = infraclusion
- Si = béance

La coïncidence de la ligne inter incisif ou déviation (droite ou gauche) par apport à ligne médiane
b – pr les canines : la classe d’angle on recherche :
Normoclusion : Cl I = C inf est mésialée / C sup
Mésioclusion : Cl III = Cl I exagérée
Distoclusion : Cl II = C inf distalée / C sup
- Le recouvrement : C sup recouvre C inf
- surplomb
C – pr les molaires :
Cl I : normoclusion
Cl II : distoclusion
Cl III : cl I exagérée
- Courbe de compensation :
- Courbe de Spee :
dans le sens sagittal commence par la pointe canine jusqu’aux cuspides des PM et M
- Courbe de Wilson :
Dans le sens frontal passe par les pointes cuspidiennes (V-L)
3 – examen dynamique :
*étude de la PIM ou OIM :
- Après l’asséchage des surfaces occlusales on va introduire le papier articulé entre les 2 arcades à la
recherche des contacts exagérés

*étude de l’ ORC :
- Apres l’asséchage des surfaces occlusales on va introduire la cire calibrée entre les 2 arcades à la
recherches des contacts prématurés (ce sont des contacts qui entrent en contact avant les autres)
- Les contacts prématurés se traduisent par des perforation au niveau de la cire
* Excursions mandibulaires
-mvts transversaux (latéraux) :
Le patient doit être en PIM
Latéralité droite :
Coté travaillant : coté droit
Coté nn travaillant : // gauche
*cote travaillant :
On a 3 fonctions :
1- fonction canine : protection canine : guidage canin (l’idéale)
Glissé jusqu’à position bout à bout (contact canine avec canine seulement)
2 – fonction de groupe : totale ou partielle
totale(la canine + PM + M)
Partielle ( la canine + 1 ou 2 PM)
3 – fonction antero latérale :
Canine + la latérale
Interférence en latéralité travaillante :
A part ces 3 fonction = autre contact : considéré comme interférence travaillante en
latéralité droite
* Coté nn travaillant :
Aucun contact
- si on a un contact = intérference non travaillante en latéralité droite

Latéralité gauche :
Coté travaillant et nn travaillant
De mm que pr la latéralité droite
Propulsion :
Depuis la PIM
Le glissement des 4 incisives inf sur la face palatine des 2 centrales sup ( contact entre
la 21 et la 31/32 la 11 et la 41/42)
* Coté travaillant :
Les 2 In sup en contact avec les 4 In inf
Interférence travaillante protrusive :
Si on a pas un contact entre les 2 I sup avec les 4 I inf

* Coté nn trvaillant : région post


aucun contact
Interférence nn travaillante protrusive :
Si on a la présence de contact posterieur
VI – Examen musculo-articulaire :
A – Muscles masticateurs :
1-temporal
2-ptérygoidien médial (interne) muscles élévateurs de la mandibules
3-masséter
4-ptérygoidien latéral (externe)===muscle abaisseur

1-temporal : en forme d’évantaille occupe la fosse temporale


Le temporal a trois chef :
*antérieur : vertical
*moyen : oblique
*postérieur : horizontal
2- le masséter :
-Il est court , rectangulaire et très puissant
-il a 2 insertions crânienne et mandibulaire
-il a trois chefs :
*superficiel
*moyen
*profond
-masséter a une action élévatrice + propulsion
-pincer au niveau de la joue à la recherche d’une dlr, volume,,,,

3-ptérygoidien médial :
-a 2chefs :
Antérieur et posterieur

4-ptérygoidien latéral :
-action de la propulsion
- la fermeture en association avec le sous et sus hyoidien
*les douleurs :
-Peuvent être :
Articulaires (arthralgies) ou musculaires (myalgies)
-on cherche la localisation (bilatérale – gauche ou droite)
-si elle diffusées ou localisées
-durée de la dlr
-Sa fréquence
-aigue , chronique
-provoquée , spontanée

B – bruits articulaires : (gnathosonie) == gnatho : os , sonie : son


- On a plusieurs types :
Craquement : bruit bref moins sonore
Claquement : c le rattrapage du disque par la tête condylienne
Crépitation : c le frottement des surfaces articulaires (absence du disque )
-DAM : dysfonctionnement de l’appareil manducateur
*ouverture buccale : évaluée à l’aide d’une réglette
-ouverture en 1 seul temps ou en 2 temps
-est d’une façon rectiligne ou en baïonnette
*morsure des joues interne :
*déviation mandibulaire :
*DVO
*médication
*bruxisme : diurne ou nocturne (forme la + grave : brycose)
*stress :
*Acouphène : bruit entendu par le patient seulement et nn son entourage (un
sifflement)
*vertige , fatigue :
*palpation articulaire :
A - extra auriculaire : la pulpe des doigts sur les condyles
-avec l’ouverture on constate :
=dlr , bruit et trajet
B – intra – auriculaire :
A l’intérieur du méat auditif ou auscultation avec le stéthoscope pr mètre en évidence la
crépitation ( car elle est inaudible)
*palpation musculaire :
VII – Examen fonctionnel :
*Mode masticatoire :
Uni ou bilatéral
*déglutition :
-déglutition typique :
lèvres jointes et non contractées, arcades en occlusion, langue contenue à l’intérieur
des arcades, avec pointe de la langue en appui sur le palais antérieur et avec la base de
la langue au contact du voile.
-déglutition atypique :
Aussi appelée « déglutition infantile », elle est normale chez le nourrisson et le très jeune
enfant et sera considérée comme pathologique au-delà de (7ans)
la déglutition atypique désigne une façon d’avaler qui n’est pas adéquate. Plus
précisément, un enfant ou un adulte qui a une déglutition atypique pousse avec sa langue
vers l’avant au moment d’avaler ou une interposition de la langue entre les arcades
dentaires. Ceci a pour conséquence de perturber l’équilibre oro-facial et l’occlusion
dentaire.
*phonation :
Dento-dentale : s
Dento-labiale : f

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