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BANQUES COMMERCIALES

PRÉPARÉ PAR :
OUSSAMA MAKKA
SALMA NACIRI
SOMMAIRE

 Définition des banques commerciales

 Banques commerciales au Maroc

 Liste des banques commerciales marocaines


Définition

 Une banque commerciale est un établissement financier dont les activités, basiques, sont


majoritairement tournées vers les particuliers (dépôts, placements, solutions d’épargne, crédit), les
entreprises ou les collectivités publiques. Il peut s’agir d’établissements physiques (agences,
distributeurs) ou virtuels (présence en ligne ou à distance uniquement). Leur capital est détenu par
des actionnaires n’étant pas nécessairement clients.
 Bien qu’il n’existe pas de segmentation officielle, on distingue généralement les banques
commerciales des banques coopératives (dont les usagers sont également les sociétaires), des
banques d’affaires (majoritairement tournées vers les activités de marché ou vers le conseil), ou des
banques privées (majoritairement tournées vers les clients fortunés). Dans la pratique, la frontière
entre ces divers types d’établissements est relativement ténue.
Banque commerciale du Maroc 

 Banque commerciale du Maroc ou BCM était une banque fondée en 1911 au Maroc et qui a existé
sous cette dénomination jusqu'en 2004. Abdelaziz El Alami Hassani a dirigé la banque pendant 40
ans, son nom est devenu l'emblème du secteur banquier.
 En 1999, le capital social de la Banque commerciale du Maroc s'élevait à 1 325 000 000 dirhams
marocains pour un total de 13 250 000 actions et son siège social était au 2, boulevard Moulay
Youssef Casablanca, Maroc depuis le début des années 1980.
 Et en 2002, le capital social de la Wafabank s'élevait à 639 482 700 dirhams marocains.
 En 2004 il y eut la fusion-acquisition B.C.M/Wafa qui a créé Attijariwafa Bank.
 En juillet 2008, le capital social d'Attijariwafa Bank s'élève à 1 929 959 600 dirhams marocains pour
un total de 19 299 596 actions et son siège social est au 2, bd Moulay Youssef, Casablanca, Maroc.
Les fonctions des banques commerciales

 Les banques sont essentielles à l’activité économique

La première fonction des banques est de collecter l’épargne et de financer ainsi les crédits. Leur relation privilégiée avec les clients
(individus, PME et grandes entreprises) et leur connaissance approfondie du marché leur permet d’être des intermédiaires indispensables
entre les emprunteurs, qui recherchent des fonds, et les prêteurs, qui disposent des ressources.

• Grâce à leur intervention, la plupart des particuliers et professionnels ont un moyen de financer leurs projets.

Ce système est crucial pour que l’épargne soit investie et contribue à la croissance. En effet, si on le compare avec les pays en développement,
où une population majoritairement non bancarisée mise sur des avoirs en liquide ou des biens patrimoniaux exclusivement, l’épargne nationale
ne profite à personne d’autre qu’à son propriétaire.

Les banques sont des « centrales de risques » indispensables

Les banques commerciales jouent un autre rôle important dans la gestion du risque. En effet, il existe un décalage entre les placements et les
financements : les premiers sont effectués le plus souvent à court terme et restent disponibles pour leurs propriétaires ; à l’inverse, les
seconds sont sollicités pour une durée plus longue afin de générer une rentabilité suffisante (cas d’un investissement) ou pour se constituer
une épargne (cas d’un prêt immobilier).

Les banques assument donc ces risques à la place des acteurs économiques, au contraire des marchés financiers, notamment, sur lesquels
emprunteurs et prêteurs prennent eux-mêmes tous les risques inhérents à une opération. Encore un service que les banques rendent à
l’économie.

Vouloir minimiser les risques pris par les banques en les « étranglant » avec une réglementation trop restrictive représente donc un réel
danger, pour les financements d’abord, mais aussi pour les autres acteurs, car en vue d’un transfert des risques, elles pourraient par exemple
décider de vendre leurs crédits titrisés ou se limiter à des crédits immobiliers à taux variable.

• Une telle extrémité favoriserait par ailleurs l’essor d’une « finance de l’ombre » parallèle, par définition hors de contrôle. 
Liste des BCM

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