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entreprises associées
Réalisé par :
BENSALAH KAOUTAR
IGR AMJAD
HAMARRAS IKRAM
Encadré par Mr Hilmi OUAZAZ CHAIMAE
2021-2022
Sommaire 01 Introduction.
05 Etude de cas.
Introduction
Une entreprise associée est considérée Une coentreprise est un accord contractuel en
comme telle lorsque l’investisseur y détient vertu duquel deux parties où Une coentreprise
une influence notable, sans que cela lui est un accord contractuel en vertu duquel
confère pour autant la position d’un contrôle deux parties ou plus conviennent d’exercer
ou la situation de coentrepreneur. une activité sous contrôle conjoint. Un
Elle est réputée acquise, sauf preuve coentrepreneur est un participant à une
contraire, lorsque l’investisseur détient, coentreprise dans laquelle il exerce un
directement ou indirectement, plus de 20% contrôle conjoint ; un investisseur dans une
des droits de vote émis par l’entité, coentreprise est un participant à cette
nonobstant la présence d’un actionnaire coentreprise dans laquelle il n’exerce pas un
majoritaire ou l’existence d’autres contrôle conjoint.
investisseurs détenteurs d’une influence
notable
Objectifs
3
Le coût est ensuite augmenté périodiquement de la
quote-part de résultat global, ajustée notamment de la
dotation aux amortissements résultant des ajustements
à la juste valeur des actifs et passifs liés à la
comptabilité d’acquisition initiale et éventuellement des
dépréciations devant être comptabilisées.
Quote-part
Valeur
dans le Dividendes
Cout initial comptable
résultat reçus
des titres
global
Champ d’application
Des ajustements de la valeur comptable peuvent également être nécessaires dans le cas de modifications de la valeur de la participation de
l'investisseur dans l'entreprise détenue dues à des variations de capitaux propres de l'entité détenue qui n'ont pas été comptabilisées dans son
résultat. De telles modifications sont notamment celles qui résultent de la réévaluation des immobilisations corporelles et des écarts de
conversion. La quote-part de l'investisseur dans ces changements est comptabilisée directement en capitaux propres de l'investisseur.
Lorsque des droits de vote potentiels existent, la quote-part de l'investisseur dans le résultat de l'entreprise détenue et dans les variations de
capitaux propres de l'entreprise détenue est déterminée sur la base des parts d'intérêt actuelles et ne traduit pas la possibilité d'exercice ou de
conversion des droits de vote potentiels.
Le traitement comptable
La participation est classée comme détenue en vue de la vente selon IFRS 5 « Actifs non courants détenus en
vue de la vente et activités abandonnées » ;
L’exception visée au paragraphe 10 d'IAS 27 « Etats financiers consolidés et individuels », qui autorise une
société mère détenant également une participation dans une entreprise associée à ne pas présenter d'états
financiers consolidés.
Comparaison entre IAS 28
et CGNC Modalités d’application Selon l’IAS 28 :
Une participation dans une entreprise associée est comptabilisée selon la méthode de
la mise en équivalence à partir de la date à laquelle l'entité devient une entreprise
associée.
Dans les Etats consolidés le coût de l’investissement dans l’entreprise associée ou dans la coentreprise doit être comptabilisé en appliquant la méthode de la
mise en équivalence des titres à l’actif du bilan de la société participante. Cette technique consiste à substituer à la valeur d’origine des titres (le coût), la valeur
de la quote-part des capitaux propres détenus à la clôture de la période considérée, avec la constatation de la part du résultat de l’exercice revenant à
l’investisseur dans ses propres résultats.
Comparaison entre IAS 28
et CGNC Modalités d’application Selon La CGNC :
Substituer, dans le bilan, à la valeur comptable des titres détenus, la quote-part des
capitaux propres (y compris le résultat net de l’exercice) déterminée d'après les
règles de consolidation ;
Inscrite, dans le CPCC la fraction du résultat net (déterminé selon les règles de
consolidation) attribuable au groupe.
Ceci doit être fait dans le respect total des règles générales de consolidation relatives
à:
• l’homogénéité des méthodes,
• l’élimination des résultats sur opérations "internes",
• la constatation des impôts différés s'appliquent pour évaluer les capitaux
propres et les résultats des entreprises associées pour les éléments
significatifs.
L’éventuel "écart d'acquisition" des titres calculé lors de la première consolidation est inscrit, selon son sens (positif ou négatif) :
a) Soit à l’actif du bilan consolidé en "Ecarts d'acquisition" ;
b) Soit au passif, au poste "Provisions durables pour risques et charges" ;
Il est rapporté au Compte de produits et charges consolidé conformément à un plan d’amortissement ou de reprise de provisions.
La contrepartie de l’écart constaté entre la quote-part des capitaux propres attribuable au groupe et le prix d'acquisition des titres est
imputée aux réserves et au résultat net consolidés (en plus ou en mois).
Lorsque la quote-part de la société détentrice dans les pertes nettes d'une société associée dépasse le montant de la participation, cette
dernière est retenue, dans le bilan consolidé, pour une valeur nulle.
Etude de cas
Une société X détient 20% des titres d’une société Y, sans en détenir ni le contrôle exclusif ni le contrôle conjoint.
Les titres Y ont été acquis par X pour 200, le capital social de Y étant de 1 000.