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Réalisés par:
EL AAMIRI
FATIMA-EZZAHRA
KHIR-EDDINE AICHA
EL MAGHRANI REDA
JAMIM EL MEHDI
PLAN
Dans le cadre du renforcement des garanties et des droits des individus et de leurs
libertés, il a été stipulé que les principes suivants devaient être respectés:
- Égalité devant la loi Article 1
- - Procès dans un délai raisonnable article 1 et 307
- Respect des droits de la défense
- Garantir les droits des victimes et des accusés
- Respect de la légalité des procédures et de leur respect sous le contrôle de
l'autorité judiciaire
Le projet a mis au point un ensemble de mesures et de procédures qui envisagent de
surveiller les conditions de la situation sous garde a vu
Pour garantir les droits des déposants, respecter leur dignité humaine et limiter toute action
arbitraire ou arbitraire qui pourrait leur être infligée, parmi les mesures introduites dans le
cadre de ce projet figurent :
Enregistrement audiovisuel les interrogatoires des personnes placées en garde à vue avec
la pièce jointe du dossierle contenu des enregistrements est satisfait par le juge
conformément aux exigences de l'article 286 de la présente loi
Renforcement du droit de contacter la personne en garde à vue est que l'avocat a des
garanties supplémentaires en accordant le droit de contacter l'avocat à partir de la première
heure
La possibilité de la présence d'un avocat lors de l'audition des mineurs suspects détenus me
reste le premier alinéa de l'article 460 du Code pénal
Préparation d'un registre électronique national de la garde a vu
Quant au second, c'était un point important dans le projet, renforçons les droits de la Défense
Ce sont les droits de la défense qui accompagnent ce projet de son début à sa fin, car ce droit est
l'un des droits fondamentaux à un procès équitable, et donc toutes les procédures menées dans
le cadre de ce projet tiennent compte du bon exercice de ce droit, mais on peut signaler certaines
procédures qui renforcent le droit de la défense, par exemple, y compris:
La présence d'un avocat lors de l'audition d'un suspect soupçonné d'avoir commis un crime ou un
délit s'il n'est pas un sujet placé en garde à vue théorique (articles 3 à 67) - l'avocat est convoqué
au moins dix jours avant chaque interrogatoire du prévenu par le juge d'instruction (article (139))؛
- Accorder aux avocats des parties le droit d'obtenir des copies des procès-verbaux ou des
documents, avec la possibilité de retarder exceptionnellement l'obtention des copies dans les cas
prévus à l'article 108 du code de procédure pénale, à condition que le délai n'excède pas 15 jours
avant l'enquête détaillée (Article (139);
- accorder à l'avocat le pouvoir d'agir en tant que médiateur dans la réconciliation entre les
parties ( article (41))
III. l’affirmation de l'efficacité et la modernisation des
mécanismes de justice pénale
1- réconciliation injonctive :
Accorder aux parties le droit de convenir d'une réconciliation sans demander l'approbation du
ministère public.
Reconnaissance de la possibilité de réconciliation devant le juge d'instruction.
Désigner l'avocat des parties ou un ou plusieurs médiateurs pour procéder à la réconciliation. Le
médiateur est soit proposé par les parties, soit choisi par le procureur du roi.
Dispense de l'approbation du juge, C'est une procédure dont l'efficacité n'est pas prouvée, outre son
absence de faisabilité pour les parties.
Déterminer les crimes pouvant faire l'objet d'une plainte directement devant le juge d'instruction.
Déterminer les données à inclure dans la plainte directe sous peine de refus (article 92).
Réglementer le moment et le mode de paiement des frais directs de plainte et du versement de la
pénalité.
Extension de l'impact de l'appel et de pourvoi par le demandeur du droit civil qui a intenté la poursuite.
3- Lien exécutif administratif :
Afin de rationaliser les conflits judiciaires, cette procédure permet à certains services de proposer le
paiement d'une amende n'excédant pas la moitié de l'amende maximale que la loi fixe pour un délit
passible d'une amende uniquement lorsque la limite maximale de cette amende n'excède pas cinq mille
dirhams. Le pouvoir judiciaire, si l'intéressé s'y est opposé après avoir constitué une caution égale à
l'amende qui lui est proposée (les articles 382- jusqu’à 382-3).
Il visait à encourager le recours à la procédure d'ordonnance judiciaire dans les délits comme procédure
simplifiée pour les délits mineurs, puis à relever le plafond de l'amende prévue pour les délits soumis à
ladite procédure à des amendes n'excédant pas 20 000 dirhams au lieu de 5 000 dirhams.
5. Remise de la convocation par l'officier de police judiciaire :
Le projet a créé un nouveau mécanisme visant à gagner en efficacité et à simplifier les procédures de
notification en transférant à l'officier de police judiciaire le pouvoir de délivrer au prévenu une citation à
comparaître directement devant le tribunal, sur la base d'une ordonnance du procureur du Roi au lieu de
la déposer devant le ministère public.
Cette mesure prise par le procureur du Roi après examen des procès-verbaux contribuera à desserrer la
pression sur les tribunaux, et accélérera le traitement des dossiers et leur diffusion dans un délai
raisonnable.
Dans le cadre du comblement du vide législatif concernant le mécanisme du délit judiciaire, le projet a
été approuvé comme une nouveauté dans les conditions de l'article 49, qui autorise le procureur général
du roi à saisir le procureur du roi comme un délit seulement dans la mesure où il lui apparaissait que le
dommage qui en résultait était limité ou que la valeur du droit violé était simple, et que la loi le permet
aussi.
7. Pouvoir du tribunal de modifier l’ajustement des délits :
Dans le cadre du comblement du vide juridique qui existait quant à la compétence du tribunal pour
modifier le conditionnement des délits, contrairement à ce qui est établi pour les crimes par l'article 432
du code de procédure pénale, le projet a autorisé le tribunal à modifier le conditionnement du délit objet
de la suite à un délit de même catégorie si les éléments s'y appliquent La composante juridique du crime
objet de la nouvelle qualification, compte tenu de la nécessité pour le tribunal de discuter de la nouvelle
qualification (l’article 386-1).
IV . Développement et renforcement des mécanismes de lutter
contre la criminalité
La possibilité de la présence de l'avocat lors de l'audition de mineur par la police judiciaire (article
460).
Les prisons et les centres d'observation sont inspectés mensuellement par le ministère public ou les
agents chargés de l'aide sociale (article 461).
La confirmation que le procès des mineurs n'est pas de nature punitive, et que les instances judiciaires
tiennent compte de l'intérêt supérieur du mineur dans l'estimation de la mesure appropriée pour lui.
(article 462-1).
Interdire le placement des mineurs de moins de 15 ans dans les établissements pénitentiaires. (article
473).
L’obligation de justifier la décision de placer un mineur de plus de 15 ans en prison, avec l'exigence
d'indiquer les raisons qui empêchent l'application des mesures de protection.(article 480)
La possibilité de transformer la peine privative de liberté en travail de l’intérêt général. (article 482)
Nomination d'un juge des mineures par l'assemblée générale du tribunal. (article 485)
La possibilité de remplacer la peine imposé au mineur par une autre instance judiciaire qui l'a
examinée par des mesures disciplinaire. (article 501-1)
Prolonger la protection garantie aux mineurs en situation difficile jusqu'à l'âge de 18 ans. (article 517)
VIII- Nouvelles méthodes de recours
Le projet a apporté plusieurs développements dans le niveau des recours en appel; Comme suit:
Compte tenu du rôle important joué par la mise en œuvre des sanctions dans les politiques
pénales
Il a souligné la nécessité d’imposer une peine pour ses fonctions de dissuasion, de réadaptation
de l’auteur et de contribution à sa réinsertion sociale.
Le projet a accordé une attention particulière à la question de la mise en œuvre des sanctions
selon une approche globale envisagée
Atteindre ces objectifs en stipulant que :
1. Juge qui prononce la peine :
_ nomination d’un juge chargé d’appliquer les sanctions par l’Assemblée générale de la Cour à la
place du ministre de la Justice
pour une période de deux ans renouvelable (art. 596);