ADMI TD 9

« L'administration ne peut retirer un acte règlementaire ou un acte non règlementaire non

créateur de droits que sil est illégal et si le retrait intervient dans le délai de 4 mois suivant son
édiction »

I- Retrait a une fin de légalité administrative

A- Abrogation des actes non créateurs de droit

- Peuvent être abroger a tout moment

- Le cas des règlements : CE Section 27 janvier 1961, Vannier
- Des lors qu'ils sont illégaux l’administration a l’obligation de les abroger qu'ils
soient devenu illégaux du fait d’un changement de circonstances de droit ou de
fait : CE Section 10 janvier 1930 Despujol ou qu'ils l’aient été des le début : CE
Ass 3 février 1989 Cie Alitalia
- Les cas des décisions individuelles ou les décision d'espèce : CE 30 novembre
1990 Association les Verts

B- Le retrait des actes non créateurs de droit

- Même non créateurs de droit ces actes ne peuvent être retirer qu'a la conditions
d’être illégaux.
- Les règlements : sils ont reçu application seulement pendant le délai du recours
contentieux : CE 4 décembre 2009 Lavergne

II- Suppression limitée a la sécurité juridique

Conciliation entre le principe de légalité et le principe de sécurité juridique. D’un cote les actes
administratifs illégaux portent atteinte au principe de légalité et doit pouvoir a ce titre être
supprimé de l’autre lorsqu'il créé des droits ils ne doivent pas pouvoir être supprimer
éternellement car la sécurité juridique impose que les administrés puissent a un moment ou un
autre être définitivement fixer sur leurs droits.

A- Selon la jurisprudence Dame Cachet

L’administration ne peut retirer un acte individuel créateur de droits que s'il est illégal et
pendant la durée du recours pour excès de pouvoir, c'est-à-dire : en règle générale,
pendant les deux mois qui suivent sa notification ou sa publication.
Cette solution pouvait paraître encadrer très strictement le pouvoir de retrait de
l'administration. Mais elle comportait en réalité une ambiguïté tirée de la notion de
« délais du recours pour excès de pouvoir ».
Ce délai de recours ne commence à courir à l’égard des destinataires de la décision
qu’à partir du moment où la décision leur est notifiée.
 B- Selon la jurisprudence Temon

« Sous réserve de dispositions législatives ou réglementaires contraires, et hors le cas où

il est satisfait à une demande du bénéficiaire, l’Administration ne peut retirer ou abroger
une décision expresse individuelle créatrice de droits que dans le délai de 4 mois suivant
l’intervention de cette décision et si elle est illégale » (CE Sect., 6 mars 2009, Coulibaly ,
étendant à l’abrogation la jurisprudence CE Ass., 26 octobre 2001, Ternon, GAJA).

C’est que les conditions posées ne jouent pas lorsque l’abrogation ou le retrait est
demandé par les bénéficiaires des droits créés.
Par exemple, lorsqu’ils souhaitent obtenir une décision plus favorable encore.
La deuxième remarque, c’est qu’elle ne s’applique, comme elle le rappelle elle-même,
que sous réserve de dispositions législatives ou réglementaires contraires. Or, elles sont
nombreuses.
Par exemple, la mise à la retraire d’un fonctionnaire peut abroger une nomination bien
au-delà du délai de 4 mois.

Une des lacunes l’absence de définition d’acte de créateur de droit de la création de droit
en tant que telle.avant l'état de droit était prétorien et jurisprudentiel les regles
daborgatione t de retrait sont désormais législative alors que avant elels étaient
jurisprudentiel. Le code a condifier l'état de droit jursi mais altérer quelque regles. Donc
tout ces regles dans le tableau sont applicable sauf sous réservé de disposition législative
contraire. Les exceptions c'est l'application des regles de droit euorpeen ou l'application
des dispositions législatives et règlementaire spéciale. D’un autre cote les actes
administratif obtenu par fraude qui peuvent être abroger et retirer. Dans le chap 2 on parle
de décision alors que dans le chapitre 3 on parle d’acte alors que le législateur vulait
simplifier l'état de droit c'est une autre lacuen du code la disparite dans le vocabulaire
utilisée par le legisalateur.
Pour les décisions créatrices de droit : jurisprudence cachet : toutes le sdispotiiosn sont
entre en vigueur en 2016. Le droit applicable pour ces décisions avant l'entrée en vigueur
du droit : elle peut être retirer sous 2 conditions l’illégalité et dans le cadre du recoure
contentieux c'est a dire a partir de quand ? les tiers le délai du recours contentieux ne
commencent pas a courir pour les deicsions individuelles qui n ;étaient pas publier. Pour
le bénéficiaire il commence a courir a la date de la notification de la décision pour le tier
a la date de la publication des décisions alors quelle sont rarement publier donc le délai
de retrait était en pratique rester ouvert a tout moment.
Arrêt ternon 2001 : on a dissocier le délai de recoure au délai de retrait l'arrêt ternon a
dissocier les deux si la decisionest illégal et si intervient 4 mois après la prise de la
décision non plus de la date de commencement de rrecourmias a apartir de la date de la
prise de la décision. Donc le délai commence a courir a partir de la décision prise et non
la date de la notifcation ou publication.
L 242 le législateur a differencier entre 3 cas soit laboragtione t le retrait interviene a
l'initiative de lami ou le tier soit le bénéficiaire soit dans le cadre d'un recoure
administratif préalable obligatoire.
Le cas d'un exercice préalable : on doit demander dans un recoure plein contentieux il
faut demander a l’a quand elle rend une décision on part en justice.
Les conditions de l'arrêt ternon : art 242-2 codifie cette jurisprudence : pour els décisions
createurs de droit illégal : il peut être retirer ou abroger dans un délai de 4 mois suivant la
prise de la décision. Pour les décisions créatrice de droit légal : impossible en principe on
va voir les exceptions après.
Article l 242-2 : exceptions qui se dissocie de la condition de délai a l’initiative de
l’administration. Pas de délai de recoure.
Article 242-3 : pas prise de deicsion art 241-1 mais édiction de la décision : pas d’intérêt
L 242-4 : exception pour retrait de décision créatrice de droit légale : si la decsion est
légale ou illégale car le législateur ne restreit pas le cas : même si légale : pas de délai a
condition quelle ne porte pas atteinte au droit des tiers et sil s'agit de le remplacer par une
décision plus favorable au benenficaire
Section 3 : il y a un contrat et ladmi a résilier un contrat, pas de décision je veux que
ladmi mindemnise pour reiliation. L’admi a deux mois pour se prononcer sur la décision
si dans 2 mois elle doit prende décision il y a décision de rejet implicite. Dans le délai de
ce deux mois que le retrait et labrogation peut intervenir. Pendant les deux mois ou elle
doit se prononcer je peux présenter devant le CE.
Chapitre 3 : a priori l'acte règlementaire n'est pas créateur de droit mais il y a des actes
regleemntaire créateur de droit. Quand l'acte devient illgela : obligation dabroger l'acte.
Pour les actes non regl non créateur de droit laborgation est le recoure peut intervenir a
tout moment pour les actes règlementaire on différencie deux cas soit ila été mis en
exécution application il peut être retirer a tous moment sil est appliquer sa soit Pr être
illégal et dans le délai de recours contentieux.

Abrogation l 243-2 : pour abrogation pas de condition de délai pas transmis la

jurisprudence pour acte regl ou on regl non créateur de droit on exige pas de condition de
délai : on a condifier la jurisprudence anteieure.une autre différence qu'on peut deceler
c'est que le deuxième chap on a differencier les chap a la lumière du demandeur de
labrogation la on différencie entre les regle appliablr a labrogation et le retrait.
L 243-2 por l'acte règlementaire illégal tenu de l’abroger.

Abrogation  souple on ne restreint pas le recours a un certain délai et on peut le faire a

tout moment.

Retait : il doit être illégal et dand le délai de recours de 4 mois. A contrario sil est légale
impossibilité a priori. Donc on exige un délai de 4 mois.
Innovation on a restreit le champ ou la possibilité de l'administration de retirer on a
condition par un délaiet on aunifier les actes règlementaire et non règlementaire.

Comparaison art l243-3 et 242-1 : quel intérêt de distinguer entre créateur de droit et non
créateur de droit. A la lumière régime juridique du retrait a l’initaitve de l’admi la
differenciation entre acte créateur de droit et non créateur de droit parce que les
conditiosn du régime de retrait : illégalité et délai de 4 mois suivant son édiction ou prise
de la décision.
Dans le même article acte règlementaire et non créateur de droit.

Alors que avant il yavait un régime juridique différente Pr acte règlementaire et acte non
regl non créateur de drit la on a unifier les deux.
A comparer a l'article ;243-1 c'est les même conditions pour acte non créateur et acte
créateur de droit,.
Critique le code n'apporte pas de difnition au acte créateur de droit.

I- Acte non créateur exigee

a- Notion ambiguë parcque le codenapporte pas de définition desssus
b- Précision inutile : même condition
II- Conditions de retrait pretorienne transposer
a- Unification du régime du retrait des actes regl et non regl non créateur de
droit : l'acte regl on diffeencier dans le cas il est mis en application et pas
mis en application et pour l'acte non regleemntaire pas de condition
b- Transposition de la jurisprudence