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QUESTION 1

1 of 1 points
Au Maroc, la situation financières des agents non financiers peut être résumée comme suit :
1/1
Les chiffres relatifs à l’année 2018 révèlent que 64% de la dette financières des entreprises non financières
opérant sur le territoire marocain est constituée de crédits bancaires.
Les données statistiques de 2018 montrent que 83 % du patrimoine financier des ménages marocains est
constitué des dépôts bancaires.
Les chiffres de l’année 2019 affichent une bette détérioration du patrimoine financier des agents non
financiers.
Les réponses A et B.
Aucune de ces propositions.

QUESTION 2
1 of 1 points
Le secteur des institutions de dépôt englobe :
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La banque centrale et les OPCVM monétaires.
Les OPCVM monétaires et les banques commerciales.
Les banques commerciales et la banque centrale.
La banque centrale, les banques commerciales et les OPCVM monétaires.
Aucune de ces propositions.

QUESTION 3
1 of 1 points
Les sociétés financières qui sont en dehors du secteur des institutions de dépôt :
1/1
Ne peuvent émettre de la quasi-monnaie.
Détiennent des bilans à passif monétaire.
Détiennent des actifs monétaires.
Peuvent émettre des actifs financiers quai-monétaires.
Aucune de ces propositions.

QUESTION 4
1 of 1 points
La banque centrale :
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Reçoit les dépôts des ménages et des entreprises.
Collecte les réserves bancaires dans les comptes centraux de règlement.
Collecte les encaisses des banques à travers des opérations de refinancement.
Assure la liquidité des banques commerciales en refusant de les refinancer.
Aucune de ces propositions.

QUESTION 5
1 of 1 points
Les réserves bancaires permettent aux banques commerciales de :
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Faire face aux demandes de retrait non anticipés.
Faire face aux règlements interbancaires.
Réponses A et B.
Déposer une fraction de leurs dépôts aux ministère des Finances.
Aucune de ces propositions.

QUESTION 6
1 of 1 points
Les réserves bancaires constituent :
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Une fraction du capital social.
Une fraction des bons de Trésor.
Une fraction des crédits octroyés.
Une fraction des dépôts bancaires.
Aucune de ces propositions.

QUESTION 7
1 of 1 points
Le ratio des réserves bancaires demeure :
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Librement déterminé par les banques commerciales.
Fixé par la banque centrale.
Fixé par les autorités financières.
Librement déterminé par les clients des banques.
Aucune de ces propositions.

QUESTION 8
1 of 1 points
En vue de rééquilibrer leurs bilans, les banques ont la possibilité de :
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Faire recours aux ministère des Finances.
Faire recours à la banque centrale.
Recourir au refinancement auprès de leurs clients.
Concourir aux avances de l’État.
Aucune de ces propositions.

QUESTION 9
1 of 1 points
Le refinancement des banques commerciales est conditionné par :
1/1
La présentation d’un collatéral.
La prise de risque excessive.
La baisse du ratio des réserves bancaires.
La hausse des crédits accordés
Aucune de ces propositions.
QUESTION 10
1 of 1 points
La détention des bons de Trésor par les banques commerciales :
1/1
Obéit à un impératif de liquidité, puisqu’il s’agit d’actifs financiers quasi -monétaires.
S’explique par leur utilisation en tant que collatéral aux opérations de refinancement.
Permet d’alimenter les réserves bancaires excédentaires non rémunérées.
S’inscrit dans une logique de prise de risque, puisqu’ils sont relativement risqués
Aucune de ces propositions.

QUESTION 11
1 of 1 points
Le passif du bilan de la banque centrale :
1/1
Est un passif complétement monétaire.
Comprend la monnaie fiduciaire.
Est égal aux réserves bancaires.
Représente la monnaie au sens strict.
Aucune de ces propositions.

QUESTION 12
1 of 1 points
Le total des contreparties de la base monétaire est égal à :
1/1
Les avoirs extérieurs nets
Les avoirs intérieurs nets.
Les opérations de refinancement.
Les réserves bancaires.
Aucune de ces propositions.

QUESTION 13
1 of 1 points
Les avoirs extérieurs nets de la banque centrale représentent :
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La différence entre les créances sur les non-résidents et les engagements envers l’extérieur.
La différence entre les créances et sur l’administration centrale et les engagements envers le Trésor.
Les réserves internationales nettes.
Les réserves internationales brutes.
Aucune de ces propositions.
QUESTION 14
1 of 1 points
Les créances nettes de la banque centrale sur l’administration publique représentent :
1/1
Les crédits consentis au gouvernement, sous forme d’avances.
Les bons de Trésor détenus par la banque centrale.
Les dépôts du Trésor chez la banque centrale.
L’Or monétaire et les droits de Tirage Spéciaux.
Aucune de ces propositions.

QUESTION 15
1 of 1 points
Le capital de la banque centrale est :
1/1
Complément libéré.
Entièrement détenu par l’État.
Réparti en actions.
Partiellement détenu par l’État.
Aucune de ces propositions.

QUESTION 16
1 of 1 points
Le refinancement qu’assure la banque centrale : 1/1
Fait partie de ses avoirs extérieurs nets.
Fait partie de ses avoirs intérieurs nets.
Est exclu de ses avoirs intérieurs nets.
Est exclu des contreparties la base monétaire.
Aucune de ces propositions.

QUESTION 17
1 of 1 points
Le bilan de la banque centrale montre que : 1/1
La création de la monnaie fiduciaire ne peut se faire sans contrepartie.
La contrepartie de la monnaie fiduciaire peut être intérieure ou extérieure.
Les contreparties de la monnaie fiduciaires assurent à la monnaie sa crédibilité.
Les réponses A, B et C.
Aucune de ces propositions.

QUESTION 18
1 of 1 points
La banque centrale est considérée comme étant une institution de dépôt :1/1
Différente des autres institutions de dépôts, eu égard à son actif monétaire.
Car son passif contient la totalité de la monnaie fiduciaire émise.
Réponses A et B.
Parce qu’elle émet des actifs financiers quasi-monétaires.
Aucune de ces propositions.

QUESTION 19
1 of 1 points
Le dénominateur commun entre les conditions bancaires optimales est : 1/1
Le taux débiteur qui agit directement sur le taux du marché interbancaire.
Le taux de marché interbancaire, car elles dépendent positivement de sa valeur.
Le taux créditeur et le taux débiteur.
Le taux obligataire, eu égard à son influence sur le taux des bons de Trésor.
Aucune de ces propositions.

QUESTION 20
1 of 1 points
Une baisse du taux de marché interbancaire mène à : 1/1
Une baisse simultanée du taux débiteur et du taux créditeur.
Une hausse simultanée du taux créditeur et du taux débiteur.
Une hausse simultanée du taux obligataire et du taux des bons de Trésor.
Une hausse simultanée des taux des bons de Trésor de toutes les maturités.
Aucune de ces propositions.

QUESTION 21
1 of 1 points
Les valeurs optimales des conditions bancaires assurent une marge d’intermédiation
financières aux banques, ceci à travers :
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La supériorité du taux obligataire à court terme sur le taux obligataire à long terme.
La supériorité du taux du créditeur sur le taux obligataire à long terme.
La supériorité du taux créditeur sur le taux débiteur, abstraction faite de la prime de terme.
La supériorité du taux débiteur sur le taux créditeur, abstraction faite de la prime de terme.
Aucune de ces propositions.

QUESTION 22
1 of 1 points
Du point de vue microéconomique, le taux de marché interbancaire constitue : 1/1
Le cout moyen de l’activité d’intermédiation financière assurée par les banques.
Le cout total de l’activité de transformation d’échéance qu’assurent les banques.
Le cout marginale de l’activité d’intermédiation financière qu’assurent les banques.
Le cout marginal de la banque, en tant que producteur de services non financiers.
Aucune de ces propositions.

QUESTION 23
1 of 1 points
La hausse du taux du marché interbancaire est répercutée sur : 1/1
Le taux obligataire qui baisse pour attirer les investisseurs financiers.
Le taux débiteur qui baisse pour amortir ce choc exogène issu du marché monétaire.
Le taux débiteur qui augmente en vue d’attirer plus d’emprunteur et distribuer plus de crédits.
Le taux débiteur que les banques revoient à la hausse en vue de garder leur marge intacte.
Aucune de ces propositions.

QUESTION 24
1 of 1 points
Une baisse du taux de marché interbancaire se traduirait par :
1/1
Une baisse de la demande des crédits, due à une baisse du taux débiteur conjuguée à une hausse des
charges d’intérêts pour les emprunteurs.
Une baisse de l’octroi des crédits qui s’explique par une augmentation de l’aversion aux risque chez les
banques commerciales.
Une augmentation des recettes financières des banques, si la baisse du taux débiteur est plus que
compensée par une hausse des intérêts perçus.
Une baisse des recettes financières des banques, si la baisse du taux créditeur est proportionnelles à la
hausse de la collectes de dépôts.
Aucune de ces propositions.

QUESTION 25
1 of 1 points
La corrélation entre le taux débiteur et le taux de marché interbancaire peut être altérée par :
1/1
La prime de risque qui dépend positivement de la probabilité de remboursement.
La prime de terme qui dépend négativement de la maturité du prêt.
Le ratio de la réserve bancaire qui dépend positivement du cycle économique.
Le ratio des créances en souffrance qui dépend positivement de la probabilité de remboursement.
Aucune de ces propositions.

QUESTION 26
1 of 1 points
Dans un contexte de récession économique ou le risque de défaut est relativement élevé, la
baisse du taux de marché interbancaire :
1/1
Ne se traduirait pas par une baisse du taux débiteur.
Se traduit forcément par une hausse du taux débiteur.
Peut se traduire par une hausse du taux créditeur.
Aurait des conséquences sur le taux des créances en souffrance.
Aucune de ces propositions.

QUESTION 27
1 of 1 points
La corrélation entre le taux créditeur et le taux de marché interbancaire s’explique par le fait
que :
1/1
Le cout total des dépôts devrait être inférieur à leur cout marginal.
Le cout marginal des banques devrait être supérieur au taux débiteur.
Le cout marginal des dépôts devrait être supérieur à leur cout total.
Le cout des dépôts devrait s’aligner avec le cout marginal des banques.
Aucune de ces propositions.

QUESTION 28
1 of 1 points
Lorsque le taux du marché interbancaire baisse :
1/1
Le taux créditeur devrait augmenter.
Le taux créditeur devrait baisser.
Le taux créditeur demeure inchangé.
Le taux débiteur demeure inchangé.
Aucune de ces propositions.
QUESTION 29
1 of 1 points
Le taux créditeur dépend ;
1/1
Négativement du taux de marché interbancaire et positivement du ratio de la réserve bancaire.
Négativement du taux de marché interbancaire et du ratio des réserves bancaires.
Positivement du taux du marché interbancaire et négativement du ratio des réserve s bancaires.
Positivement du taux de marché interbancaire et du ratio des réserves bancaires.
Aucune de ces propositions.

QUESTION 30
1 of 1 points
Une hausse des réserves bancaires aurait pour conséquence de :
1/1
Réduire le taux créditeur.
Augmenter le taux créditeur.
Réduire le ratio des réserves bancaires.
Augmenter la prime de risque.
Aucune de ces propositions.

QUESTION 31
1 of 1 points
Dans le cadre de la libéralisation financière, les banques sont : 1/1
Astreintes à pratiquer des conditions bancaires prédéterminées.
Contraintes de fixer leurs conditions bancaires selon la réglementation en vigueur.
Obligées d’obéir aux directives de la banque centrale en matière de conditions bancaires.
Lires de pratiquer les valeurs jugées optimales des conditions bancaires.
Aucune de ces propositions.

QUESTION 32
1 of 1 points
Les externalités négatives de la libéralisation financière résident dans : 1/1
Le risque de pratiquer des conditions bancaires procycliques.
Le risque de fixer des conditions bancaires contracycliques.
Les conséquences d’une baisse des conditions bancaires en phase de récession économique.
Les effets indésirables d’une hausse du taux créditeur en phase d’expansion économiques.
Aucune de ces propositions.

QUESTION 33
1 of 1 points
Le comportement d’optimisation des banques commerciales : 1/1
Se base sur une fonction d’utilité qui tient compte de leur bien-être individuel.
Concerne leurs conditions bancaires et ne soucie guère de la stabilité macroéconomique.
Doit être cadré par un agent ayant une fonction d’utilité collective, à savoir la banque centrale.
Doit être influencé par la politique monétaire qui agit sur les facteurs explicatifs de ce comportement.
Les réponses A, B et C

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