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Réalisé par :
Faouzi Mohamed
Encadré par :
Pr. achiban
Je remercie tout d’abord notre encadrant Pr. Redouane Barzi pour son aide, ses
conseils et sa disponibilité.
Mes remerciements s’adressent aussi à tous mes professeurs qui ont déployé
leurs efforts pour nous assure une formation aussi complète.
chaque entreprise. Le benchmarking est une focalisation sur les activités, les fonctions ou les
opérations de l’entreprise afin de parvenir à une amélioration continue. Il s’agit de juger les
processus de l’entreprise en les comparant aux meilleurs, y compris ceux d’autres industries.
Pour que les entreprises restent au sommet, le benchmarking est très nécessaire. Des analyses
comparatives sont nécessaires pour faire face aux changements démographiques, politiques,
Le benchmarking s’impose d’en plus de nos jours, car il aide à connaitre l’évolution des
tendances, ce qui crée de nouvelles demandes sur le marché, ainsi des opportunités de
changements, à voir ce que les principaux leaders du marché mettent pour répondre aux
exigences du marché.
L'analyse comparative est un outil utilisé par l'entreprise pour améliorer ses performances en
étudiant et en tirant parti des meilleures pratiques et en analysant les processus des entreprises
leaders pour réussir. Le benchmarking ne signifie pas qu'une organisation doit copier les
processus exacts et les pratiques des autres entreprises. Cela signifie que les organisations qui
souhaitent atteindre le même niveau de performance doivent apporter une idée novatrice et
domaines. Il est considéré comme un processus dynamique qui évolue avec l'expérience de
l’entreprise. Pour résoudre cette problématique, nous avons posé les questions suivantes :
« L’impact du benchmarking sur la performance de l’entreprise » 4
- Est-ce que l’utilisation du benchmarking procure une amélioration dans la fourniture
- Le benchmarking permet -il des améliorations de processus qui vont procurer les
Afin de traiter ladite problématique, un schéma simple a été choisi pour présenter au mieux la
thématique.
Une première partie consacrée au cadre théorique, la documentation recueillie à travers les
livres, revues et articles sur internet. Cette partie est répartie en trois chapitre :
benchmarking.
La deuxième partie sera notre étude empirique, les études de cas relatifs à l’impact du
benchmarking sur la performance de l’entreprise. Cette partie sera devisé en trois chapitre,
À cette fin, nous avons réalisé une revue de la littérature explorant le contexte d’émergence
d’une telle approche, son évolution, ses champs d’application.
Dans ce premier chapitre nous allons tout d’abord décrire le concept du benchmarking,
son historique et son évolution. Ensuite représenter les différents types et éléments du
benchmarking
I. Définitions :
Auteur Définition
David Kearns, directeur général de Le benchmarking est un processus
continu d’évaluation de produits, services
Xerox corporation (années 1980)
et méthodes par rapport à ceux des
concurrents les plus sérieux ou des
entreprises reconnues comme leaders.
Jac Fitz-Enz (années 1980) L’étalonnage concurrentiel est une
approche systématique afin de trouver un
point de repère, de se comparer à ce
dernier et d’identifier les pratiques qui
permettront à l’entreprise d’être la
meilleure. L’étalonnage concurrentiel n’est
pas une imitation. Il produit des données,
pas des solutions.
Nous proposons de retenir la définition Vlasceanu et al (2004) qui reflète bien la démarche
de benchmarking, elle a l’avantage de mettre plus particulièrement en valeur les méthodes
standardisées de collecte et de présentation des informations concernant les performances des
Développé dans l’industrie au début des années 1930, Il a été conceptualisé à la fin des années
1970 par la société Xerox. La compagnie Xerox est la première qui utilise le benchmarking
pour améliorer son rendement dans la production de photocopieurs et pour diminuer ses coûts
de production.
L'idée principale avec l'utilisation du benchmarking est que les producteurs japonais de
photocopieurs vendent à un meilleur prix le même produit pour un même marché
comparativement aux producteurs américains. Xerox, la maison mère, débute une
comparaison des performances et échange des données avec leur filiale du Japon nommée
Fuji-Xerox. L'échange de ces informations entre ces deux entreprises sont les premiers signes
qui introduisent le benchmarking dans le milieu manufacturier mondial.
Pendant les années 1980. La pratique du benchmarking s'implante en Europe dans l'industrie
manufacturière. Le gouvernement de la Grande-Bretagne qui reconnaît actuellement le
benchmarking comme essentiel à l'amélioration du rendement dans le domaine de la
construction, percevait à cette époque le benchmarking comme une méthode qui permettait de
déterminer et améliorer les performances de l'industrie.
Depuis son origine, le benchmarking a subi une évolution plus rapide et formelle avec le
déploiement, en parallèle, des concepts de qualité totale et d'amélioration continue.
2- Typologie du Benchmarking :
A- Le benchmarking interne :
Il est utilisé lorsqu’une entreprise peut identifier des processus équivalents sur plusieurs sites,
régions ou pays. Il permet alors de comparer les processus, les pratiques, produits ou services
appartenant à la même organisation sans aller voir ce qui se passe ailleurs. Ce type de
benchmarking présente des avantages et des limites. L’avantage est caractérisé par une plus
grande facilité à comparer les résultats puisqu’ils s’appliquent au même secteur. L’adaptation
est également facile puisqu’elle porte sur le même métier.
B- Le benchmarking concurrentiel :
Ce type de benchmarking est le plus pratiqué dans certains secteurs de l’industrie, c’est une
démarche d’observation et d’analyse des pratiques utilisées, il vise à comparer une entreprise
au meilleur de ses concurrents sur le marché. L’avantage de ce type de benchmarking réside
de partir d’éléments de mesure finale facilement comparables puisque sur le même secteur, de
même que pour le benchmarking interne, l’adaptation est facilitée par la similitude des
pratiques.
C- Le benchmarking fonctionnel :
Ce type de benchmarking consiste à comparer et analyser ses propres fonctions avec les
fonctions similaires, ou les fonctions des organisations leaders non concurrentes à l’intérieur
du même secteur d’activité.
Les avantages de ce type c’est que les organisations leaders sont faciles à identifier. Les
informations sont facilement accessibles. Les solutions identifiées sont aisément adaptables.
Repose sur l’analyse et l’adaptation des opérations des processus critiques, sachant qu’à
chaque processus correspond des entrées « inputs » et des sorties « outputs » mesurables.
E- Le benchmarking générique :
C’est le type de benchmarking qui s’engage à comparer ses pratiques avec celles d’une
entreprise d’un secteur différent. Le benchmarking générique permet de trouver les meilleures
pratiques, qu’elles conduisent à une performance supérieure. Les avantages sont multiples :
échange d’information sans crainte de confidentialité ou de concurrence, source d’idées
innovantes, relations durables basées sur un besoin permanent d’informations et réciproque.
1. Le processus du benchmarking :
L'analyse comparative est un processus très structuré qui comprend plusieurs étapes à
franchir. Ces étapes sont souvent prévues dans un modèle. Il convient de noter que même si le
processus est très structuré, il ne devrait pas ajouter de complexité à une idée simple.
Fondamentalement, «la structure ne doit pas entraver le processus ». La plupart des modèles
de processus d’étalonnage comprennent les étapes suivantes, selon Bateman (1994) (voir la
figure 1)
Selon The Nuts and Bolts of Benchmarking, rédigé par Margaret Matters et Anne Evans
(1997), le processus d’étalonnage comporte cinq étapes, décrites ci-dessous
A- Planification de l’exercice :
Mesurer les
Mesurer sa propre Comparer performances
performance optimales
Recalibrer
La première étape consiste à sélectionner l’ensemble des membres de l’équipe. Ces membres
devraient être choisis dans différents secteurs de l'organisation. Tous les membres devraient
coopérer et communiquer entre eux afin d'obtenir les meilleurs résultats du processus
d'analyse comparative. Le groupe est composé de trois équipes principales. L’équipe
dirigeante est responsable du maintien de l’engagement envers le processus dans l’ensemble
de l’organisation. L’équipe de préparation est responsable de la réalisation d’analyses
détaillées et l’équipe chargée de la visite doit effectuer la visite d’étalonnage.
Cette étape consiste à déterminer la relation entre votre entreprise et la société référencée. Il
permet d'identifier les écarts de performance et leurs causes possibles.
Cette étape consiste à déterminer ce qui doit être fait pour correspondre aux meilleures
pratiques du processus. Non seulement les modifications doivent être déterminées, mais elles
doivent également être appliquées. 1(Matters et Evans, 1997).
Différentes entreprises ont leurs propres méthodes d'analyse comparative, mais quelle que soit
la méthode utilisée, les principales étapes sont les suivantes: premièrement, mesurer la
performance des meilleurs de leur catégorie par rapport à des variables de performance
critiques telles que le coût, la productivité et la qualité; deuxièmement, déterminer comment
les niveaux de performance sont atteints; et troisièmement, utiliser les informations pour
élaborer et mettre en œuvre un plan d'amélioration. 2(Omachonu et Ross, 1994).
Avantages Limites
Identifier les points forts de Perdre l'attention sur les clients et
certains services et fonctions. les employés.
1
Matters, M. and Evans, A. (1997), “The nuts and bolts of benchmarking”, http:// www.
ozemail.com.au/~benchmark/nuts.bolts.html, (February 18).
2
Omachonu, V.K. and Ross, J.R. (1994), Principles of Total Quality, St. Lucie Press, Delray Beach, FL, pp. 137-54.
Conclusion du chapitre :
Le benchmarking est une excellente source de nouvelles idées.il expose les entreprises à de
nouveaux produits, processus de travail et méthodes de gestion des ressources. La récompense
est l’exposition à différentes idées et approches de la conduite des affaires. Il offre également
aux dirigeants l’occasion de penser « en dehors de la boîte », d’envisager d’autres paradigmes
et de se lancer dans une réflexion « Que se passe-t-il si»?
I. Définition
La veille de manière générale pourrait être définie comme l’ensemble des stratégies mises en
place pour rester informé, en y consacrant le moins de temps possible en utilisant des
procédés de signalement automatisés via des outils classiques (newsletters, liste de diffusion)
ou par une diffusion sélective de l’information (les flux RSS, les réseaux sociaux, les blogs)
afin de recevoir des informations d’actualité en continu dans son domaine d’activité et
d’anticiper les évolutions. Cette vision repose sur deux définitions : celle de la norme de
l’AFNOR qui est précitée en début, et qui va être complétée par celle de Gilles Balmisse dans
son livre Veille stratégique sur internet qui définit la veille comme « un ensemble d’activités
visant à obtenir des informations à caractère stratégique ou opérationnel sur l’évolution de
l’environnement pour identifier les opportunités et les menaces et améliorer les processus de
décision à court ou moyen terme ». Dans cette définition l’auteur nous décrit les différentes
étapes du processus de la veille. Elle permet l’obtention d’informations. Une veille c’est
chercher à trouver une information sur un sujet précis pour ensuite la diffuser ou l’utiliser à
des fins professionnelles ou personnelles. Il ne s’agit pas d’une information brute, au contraire
c’est une information déjà traitée sur un sujet précis et à caractère stratégique ou opérationnel.
Une information est comme une valeur ajoutée au bénéfice de l’entreprise, parce qu’elle est
appelée à aider dans les prises de décision au sein de l’organisme.
1. La veille informationnelle
Parmi les définitions qu’on donne de la veille informationnelle, nous pouvons en choisir deux
afin de mieux éclairer cette notion, un peu confuse pour certains publics. Selon le
Dictionnaire encyclopédique de l'information et de la documentation de S. Cacaly et Y. F. Le
Coadic : « Processus continu et dynamique faisant l’objet d’une mise à disposition
personnalisée et périodique de données ou d’informations, traitées selon une finalité propre au
destinataire, faisant appel à une expertise en rapport avec le sujet ou la nature de l’information
collectée »
La deuxième est encore beaucoup plus explicite. Elle dit : « Une veille informationnelle se
définit par une surveillance de la parution de l’information pertinente à un sujet par des
actions de recherche, de traitement et de diffusion en vue de son exploitation éventuelle par
des personnes pour qui elle s’avère utile et peu représenter un avantage concurrentiel ». Celle-
ci est plus explicite, car elle a désigné son destinataire pour des fins singulières de prise de
décision. Par conséquent, si le manager d’une entreprise x a besoin de prendre une décision,
nécessairement il aura besoin de consulter le professionnel de l’information pour que ce
dernier lui facilite la tâche.
2. La veille stratégique
C’est pourquoi, il n’est pas du tout intéressant de mettre en place toutes ces veilles mais juste
celle qui semble être propice à la bonne marche de l’entreprise. Elle est également une veille
environnementale car elle entoure l’environnement de l’organisation. Ce type met aussi
l’accent sur les éléments de l’environnement politique, social, juridique et culturel. Cette
veille encore appelée veille sociétale ou globale, mettra en exergue certains éléments qui ne
sont pas économiques. Par exemple le cas des bibliothèques, qui sont des institutions
publiques à but non lucratif. Dans ce secteur, on dira plutôt une veille documentaire pour
offrir de meilleurs services aux usagers de la bibliothèque.
3. La veille documentaire :
Elle a pour objet de rechercher, de traiter et également de diffuser de l’information pour des
besoins de renseignements à la suite d’une requête du ou des décideurs. Ces informations sont
souvent liées aux sciences et techniques et singulièrement aux procédés de fabrication des
produits.
Tout en tenant compte de la dynamique d’évolution des technologies, la mise en place des
systèmes de collecte et de gestion de ces informations devient une nécessité pour permettre à
l’entreprise de faire face à ses concurrents. Ce type de veille a un champ d’action qui
concerne trois domaines :
- l’information scientifique qui couvre les recherches en laboratoire, la recherche, les articles
scientifiques, les thèses et rapports scientifiques.
5. La veille juridique
Elle s’est spécialisée dans la surveillance de l’évolution des textes de lois et règlements dans
le but de pouvoir les intégrer dans le fonctionnement de l’entreprise. En d’autres termes, elle
cherche à anticiper aux nouvelles lois et aux nouveaux décrets qui peuvent impacter le
système de l’entreprise. Son objet est d’identifier toute nouvelle disposition juridique
instaurée par un gouvernement ou une administration d’une entreprise par rapport aux
différents secteurs d’activités de la vie. Ce besoin doit être universel et non l’apanage d’un
certain groupe d’individus, car pour toute personne évoluant dans un Etat de droit, elle doit
Conclusion du chapitre
À la lumière de ces définitions, on pourrait retenir que la veille est une recherche
d’informations utiles à une entreprise ou à un individu lui permettant de prendre des décisions
afin de mieux maîtriser son environnement. L'obtention de renseignements commerciaux
concurrentiels présente également d'autres avantages. Il aide à effectuer des benchmarks, une
activité qui évaluera de manière objective et honnête la situation de l’entreprise par rapport
aux concurrents.
Le contexte économique actuel a remis en cause une vision purement comptable et financière
de la performance des entreprises. Aujourd’hui, il est ainsi question de gestion de la
performance à la fois globale et durable dans une approche à plus long terme incluant des
critères sociétaux et éthique car la réelle performance de l’entreprise se mesure à sa pérennité.
Cette notion de performance globale, associée à un management de plus en plus transverse,
coopératif et orienté client, promet de relier et d’optimiser l’ensemble des processus de
l’entreprise. L’amélioration de la performance passe ainsi par la maîtrise des processus dans
un objectif d’amélioration continue des résultats et de valorisation du capital humain La
performance nécessite en effet de mobiliser l’ensemble des collaborateurs et leur capacité de
faire évoluer en permanence l’organisation pour mieux satisfaire les clients. Simplifier les
processus, réduire les coûts. Les entreprises les plus performantes sont celles qui
reconnaissent les rétroactions positives existantes et en créent elles-mêmes pour soutenir leur
croissance.3
Or la compétence dans un contexte donné n’est qu’un aspect de la performance : on peut être
compétent dans un contexte donné et tout à coup ne plus être performant. Ainsi dans la
performance intervient également la motivation et l’environnement permettant de le devenir.4
Le concept de performance renvoie à l'idée d’accomplir une action. Il s’agit avant tout
d'entreprendre et de terminer cette action, sans qu'aucun a priori ne soit explicité sur la nature
ou le niveau du résultat à obtenir. Dans le langage courant, la performance est précisément le
fait d'obtenir un résultat, ce qui sous-entend bien entendu que ce résultat doit être « bon ».
L'efficacité concerne le rapport entre le résultat obtenu et l'objectif à atteindre. Ce concept
3
Annie Bartoli, Le management dans les organisations publiques, Edition Dunod, France, 2005, PP : 46-49
4
Claire. Beyou, MANAGER LES CONNAISSANCES, Edition liaisons, France, 2003, P37
L'art de performance est un mode d'expression artistique contemporain, dans lequel l'œuvre
est le déroulement temporel d'une mise en scène, d'un ensemble de gestes, d'actes, d'attitudes,
d'événements, comportant une part d'improvisation. L'œuvre performance s'inscrit dans le
temps et non dans la matière.7
La performance est le résultat chiffre obtenu lors d’une compétition. En économie de marché
les entreprises sont en compétition les unes par rapport aux autres. Il faut donc mesurer la
performance de l’entreprise et pouvoir la rapporter à celles des autres entreprises avec
lesquelles est en concurrence.8
5
Jean-Bernard Ducrou, efficacité et efficience, Edition Hachette Technique, France, 2008, P53
6
Claude Levy- Leboyer, La motivation dans l’entreprise (Modèles et stratégies), Edition d’Organisation, France,
P75
7
Altavia lile, Revizor BTS tertiaires Management des entreprises, Edition de la grave, France, 2009, P25.
8
Idem, PP : 37-40
L’efficacité met en relation les résultats obtenus par rapport aux objectifs fixés (Les
résultats sont –ils conformes ?)
L’efficience met en relation les résultats obtenus par rapport aux moyens employés
(Utilisation des moyens est-elle optimale ?)
La pertinence met en rapport les ressources déployées par rapport aux objectifs fixés
(a-t-on les moyens de ses objectifs ?).9
Au cours des dernières années, on est passé de modèles de performance monocritère vers un
modèle multicritère qui intègre les attentes des différentes parties prenantes : les actionnaires,
les clients, les salariés ou les tiers externes. Les critères de performance et l’évaluation qui en
est faite peuvent également varier pour une même partie prenante, en fonction de l’attente
9
Ibid, P :27
Toute mesure de performance comportant une part de subjectivité, il est impératif d'utiliser
des indicateurs évalués par différentes parties prenantes et de profiter ainsi du « croisement
des regards ». La difficulté est donc de bien répondre à l'enjeu de la mesure est comment
identifier des indicateurs peu nombreux, simples, fiables et partagés avec les parties
prenantes. Groupes d’individus pouvant affecter une organisation ou pouvant être affectés par
elle. « Comment accroître les performances par un meilleur management »,11pour cela il faut
procéder à une évaluation rigoureuse de la performance.
Les différentes catégories de critères La performance se mesure avec des critères quantitatifs
mais aussi qualitatifs. Parmi les nombreux critères quantitatifs, on retrouve habituellement le
chiffre d’affaires, le résultat, la marge opérationnelle, les parts de marché… Parmi les critères
qualitatifs, on retrouve la qualité et la notoriété. Les notions d’efficacité et d’efficience Une
entreprise performante doit être à la fois efficace et efficiente. L’efficacité traduit l’atteinte
des objectifs fixés par l’entreprise. Ces objectifs relèvent de la stratégie définie.
10
John Libbey, les facteurs de la performance de l’entreprise, Edition john libbey Eurotext, France ,1995,PP: 22-
23
11
-Robert Kaplan et David Norton, Conceptual Foundations of the Balanced Scorecard, Edition Working Paper,
Etats-Unis,1992, PP: 15-16-17
A travers la revue de la littérature, on peut en déduire que les entreprises se servent la veille et le
benchmarking pour collecter des informations sur le secteur dont elles opèrent, afin de les employer
pour atteindre leurs objectifs et réaliser des sauts de performance, en utilisant un minimum de moyens.
L’objectif de ce chapitre est de donner une présentation sur l’entreprise AXA Assurance en
montrant son historique ses missions, son organigramme.
I. Groupe AXA
1. Présentation
Axa est un groupe international français spécialisé dans l'assurance depuis sa création, et
dans la gestion d'actifs depuis 1994. En 2012, le groupe a été classé numéro un de
« L’impact du benchmarking sur la performance de l’entreprise » 29
l'assurance dans le monde.
Axa est issu de la fusion de plusieurs mutuelles purement françaises. C’est dans les
années 80, grâce à Claude Bébéar, ancien dirigeant du groupe, qu’AXA commence son
internationalisation grâce au rachat d’assurances étrangères telles que : The Equitable Life
Assurance Company aux Etats-Unis, National Mutual en Australie, Nouvelle Zélande et à
Honk Kong.
Enfin, le 12 novembre 1996, Axa achète l'UAP. Les deux sociétés signent leur OPE, ce
qui donne naissance à la plus importante entreprise française par le chiffre d'affaires (313
milliards de FRF) et au no 1 mondial de l'assurance. Le groupe ne s’arrête pas là et
continue son internationalisation en s’implantant en Chine, en Turquie, au Liban, au
Japon et dernièrement au Maroc ainsi qu’en Algérie.
Selon la nature des risques pris en charge, les assurances se diffèrent d'une application à une
autre, ainsi on rencontre :
- Les Assurances maritimes : Couvrir contre les risques de mer pour navire et
marchandises. Les personnes sont exclues.
- Les Assurances terrestres : Elles regroupent les Assurances de dommages et
Assurances de personnes.
-Assurance de dommage : Garantir l'assuré contre les conséquences d'un événement pouvant
causer un dommage à son patrimoine. Elle se subdivise à son tour en Assurance de choses et
en Assurance de responsabilité.
⦁ Assurance de choses : Assurance incendie, Assurance grêle, vol, mortalité de bétail..
⦁ Assurance de responsabilité : garantit l'assuré contre les recours exercés contre lui par
les tiers à raison de préjudice qu'il a pu leur causé en engageant sa responsabilité
-Assurances de personnes : Elles comprennent 2 catégories principales, Assurance-vie et
Assurance accidents corporels.
1. Présentation
Le groupe AXA ASSSURANCE est réputé pour être un des leaders mondiaux dans le
domaine des assurances et de la protection financière.
Ce groupe est notamment présent un peu partout dans le monde et renforce considérablement
sa position au Maroc sous le nom d’AXA ASSURANCE MAROC.
AXA Assurance Maroc est née 2000 de la fusion entre AXA Al Amane et la compagnie
africaine d’assurances et se place en seconde position sur le marché marocain des assurances.
Le résultat du groupe Axa Assurance Maroc a connu une croissance de 236% en 2017 pour
atteindre 328 millions de DH. Cette performance a été portée par la croissance du chiffre
d’affaires à 4,1 milliards de DH. L’activité de la société a été marquée par le grand
dynamisme de l’ensemble de ses réseaux de distribution.
3. Métiers et missions
Le métier d’AXA Assurance Maroc est la protection financière qui consiste à accompagner
leurs clients, particuliers, petites, moyennes et grandes entreprises tout au long de leur vie, en
proposant des solutions adaptées à leurs besoins.
Pour ce faire, AXA propose des services d’assurance, de réassurance, de gestion d’actifs, de
conseil patrimonial et d’autres produits financiers.
La mission d’AXA Assurance Maroc : protéger les biens de leurs clients, préserver leur avenir
et celui de leur famille, contre un large éventail de risques. Tout cela grâce à trois principes
fondamentaux : écoute, proximité et efficacité.
III- Organigramme :
Secrétariat Général
DGA Direction
DGA Services aux Directeur de
Directeur Directeur
Direction des clients Directeur de l’Organisation
Finances et des
politiques Entreprises et vente et de et des
investissement Ressources
techniques et Développement distribution Systèmes
s Humaines
marchés IARD Epargne et d’information
Prévoyance
Marketing
Et
Communication
Marketing
Marketing Digital Marketing Produits opérationnel
Application Etude du
Expérience Communication
MY AXA risque existant
client
sur le marché
CXT Veille
Mesurer la concurrentielle
Missions
satisfaction du (Benchmark
client (Globale) services,
produits, tarifs)
ICF Etude
Mesurer la d’opportunité
satisfaction du (mesurer le
client (Auto, potentiel du
sinistre) produit)
Mise en marché
(L’outillage
d’aide à la
vente)
Afin de répondre à notre problématique, nous avons réalisé une étude qualitative. Cette étude
se justifie par la difficulté d’évaluer l’impact du benchmarking sur la performance des
entreprises. Etant donné la nature de la question de recherche, la réalisation d’une démarche
quantitative était difficile. Cette démarche qualitative a permis d’obtenir des informations plus
précises sur la perception de chaque interviewé quant au sujet étudié.
Nous avons rédigé un guide d'entretien (voir annexe1) pour réaliser des entretiens semi-
directifs auprès des professionnels des différents secteurs d’activité.
Cette étude avait comme but de voir de près ce qui se passe dans le marché et plus
particulièrement si les responsables marketing des sociétés en question pratiquent le
benchmarking et de savoir comment ce dernier influence la performance de l’entreprise.
I. Études exploratoires.
Elles permettent de préciser un problème, développer des hypothèses, dégager les points clés
à approfondir et définir les variables importantes. Elles utilisent la recherche documentaire,
l’analyse des données secondaires, l’entretien avec des experts et des études qualitatives.
1. Introduction générale :
L’observation de la sphère de travail et à partir des missions accorder par l’encadrant au sein
de l’entreprise, nous avons pu élaborer la problématique suivante : « comment le
benchmarking influence la performance de l’entreprise ? ».
Pour des raisons pratiques nous avons pu faire la distinction entre trois types de variables
qualitatives :
variable
intermédiaire
variable variable
indépendente dépandante
les
variables
Nous avons pu former les hypothèses ci-dessus en se basant principalement sur les
informations collecter dans la première partie du rapport et sur l’observation quotidien du
département ou j’été assujettie.
La principale méthode, dans cette partie de la recherche, consiste dans l’interview d’experts.
Nous avons effectué cette étape par le biais de L’entretien semi-directif pour le recueil
d’informations permettant de centrer le discours des personnes interrogées autour de thèmes
définis préalablement et que nous avons consigné dans un guide d’entretien.
Afin de collecter les données nécessaires à la validation ou au rejet des hypothèses, nous
avons réalisé des entretiens semi directifs auprès des professionnels, ce sont été des entretiens
téléphoniques pour des raisons de disponibilité des interviewés.
3. Choix d’échantillon :
L’échantillon de cette étude est constitué des professionnels de différents secteur d’activité.
Pour des raisons de temps limité et de disponibilité des interviewés, le nombre d’entretiens
réalisés été de 12.
Variables Réponses
La taille de l’entreprise Grand entreprise
Couts , efficacités et bénéfices Oui , car le benchmarking ne nécessite pas un grand budget
apportés par le benchmarking et procure une amélioration continue
Variables Réponses
La taille de l’entreprise Grand entreprise
Couts , efficacités et bénéfices Informations gratuites qui vont aider à la prise des
apportés par le benchmarking décisions, donc c’est bénéfique pour l’entreprise.
Variables Réponses
La taille de l’entreprise Grand entreprise
leader/êtes-vous considéré comme une Oui, vu la diversité des domaines/ secteurs dans lesquels le
référence cabinet opère
Critères de la réussite d’un benchmark Le choix des entreprises benchmarkés, c’est-à-dire les
concurrents ou les entreprises qui se rapprochent le mieux
du domaine d’activité mais aussi de la taille.
L’impact du benchmarking sur la Un très bon impact résidant dans l’amélioration des procès,
performance de l’entreprise des stratégies, des décisions…
Couts , efficacités et bénéfices Ça dépend des frais engagés et du respect des étapes à
apportés par le benchmarking suivre. mais généralement le benchmarking ne coute pas
beaucoup.
Des commentaires généraux sur le Il y a eu des échecs lors de l’adoption de cette pratique,
benchmarking mais un benchmark bien ciblé, apporte un bon résultat
4- Cipla Maroc :
Variables Réponses
La taille de l’entreprise Grand entreprise
5- EG2S Group
Variables Réponses
leader/êtes-vous considéré comme une Leader non, mais on peut qu’on est considéré comme une
référence référence
Reference de comparaison Les autres bureaux d’études leaders sur les marchés
Couts , efficacités et bénéfices Le benchmarking est très bénéfique pour les entreprises car
apportés par le benchmarking il permet de découvrir des nouvelles pratiques sans la
nécessité d’avoir un budget
6- Logi-pub
Variables Réponses
La taille de l’entreprise Moyenne
7- Bamoussa Group :
Variables Réponses
La taille de l’entreprise Petite entreprise
8- PROTHESE :
Variables Réponses
La taille de l’entreprise Grande entreprise
Critères de la réussite d’un benchmark Les critères de réussite sont d’abord les processus
d’évaluation des produits des sévices et des méthodes par
rapport à ceux des concurrents.
Couts , efficacités et bénéfices Oui, il apport énormément des bénéfices par rapport à
apportés par le benchmarking l’argent investi
Variables Réponses
La taille de l’entreprise Grande entreprise
Couts , efficacités et bénéfices Oui, car il permet d’offrir un service adapté au client et lui
apportés par le benchmarking donner un large choix des modèles réalisés.
10-AL Omrane :
Variables Réponses
La taille de l’entreprise Grande entreprise
Implantation du benchmarking Le concept a débuté vers les années 70, pour le groupe
c’est un outil très important adopté depuis toujours pour
pouvoir faire face aux exigences de nos clients avec
efficacité.
Critères de la réussite d’un benchmark -Une bonne analyse des données pour choisir le bon axe à
benchmarker : la cible ;
-Maitriser l’impact des changements qui peuvent survenir à
la suite de l’adoption de l’approche ;
-Réussir la conduite de changement.
Processus d’une démarche benchmark -Faire une bonne analyse de l’entreprise pour connaitre les
points forts et les axes à améliorer ;
-Identifier la cible à perfectionner ;
-Mesurer les impacts (financier social organisationnel) et
s’assure de la pertinence ;
-Assurer une maitrise de la conduite de changement
Critères de mesure de la performance -Les indicateurs financiers qui donnent une idée précise sur
la rentabilité ;
-L’agilité de l’entreprise pour s’adapter aux changements
éventuels : produit, mode de production…
-La gestion des risques ;
-La croissance pluri-annuelle de l’entreprise qui informe
sur la pérennité de l’entreprise ;
L’impact du benchmarking sur la Très positif car permet de faire des gains considérables sur
performance de l’entreprise le plan financier.
Ressources spéciales pour réussir un Des ressources humaines capables de faire des analyses
benchmark poussées pour identifier la cible, et s’adapter aux
changements lors de l’adoption de nouveaux modes de
production ou de commercialisation.
Des commentaires généraux sur le Le benchmarking interne est le plus utilisé auprès de notre
benchmarking entreprise vu la taille de ces structures
Variables Réponses
La taille de l’entreprise Grande entreprise
leader/êtes-vous considéré comme une Parmi les leaders (marchés national et international)
référence
Ressources spéciales pour réussir un Toutes sortes de ressources peuvent jouer un rôle important
benchmark
12-IHM TECHNOLOGIES :
Variables Réponses
La taille de l’entreprise Entreprise moyenne
Définition du benchmarking C’est le fait de se comparer avec des autres entreprises afin
de s’inspirer et de développer son activité.
Couts , efficacités et bénéfices Oui, car le benchmarking a permet d’apporter des projets
apportés par le benchmarking bénéfiques.
Après la retranscription des informations cumulées à l’aide des interviews effectuées cette
matrice d’analyse, englobe l’ensemble des données collectées auprès des entreprises
Après plusieurs lectures des résultats décortiqué, on peut remarquer que tous les interviewés
ont donné des définitions convergentes, à travers les réponses on peut conclure que le
benchmarking est une technique de comparaison et un exercice visant à définir les meilleurs
pratiques, à identifier les opportunités d’amélioration, à observer, à comparer et à analyser la
performance des concurrents et leaders sur le marché .Le benchmarking permet d’indiquer si
performance de l’entreprise est plus forte ou plus faible que celle des concurrents. Cela
donnera aux responsables une idée précise des domaines dans lesquels des améliorations sont
nécessaires et comment augmenter les bénéfices.
On remarque ainsi que les domaines d’application du benchmarking sont multiples, quel que
soit le secteur d’activité dont opère l’entreprise. C’est un processus structuré de plusieurs
étapes, qui diffèrent d’une entreprise à une autre, mais les objectifs restent les mêmes et
conduisent tous vers le résultat souhaité (l’amélioration continue de la performance). Il faut
juste définir le processus à évaluer, puis établir un plan d’action et les stratégies à suivre.
Il ne fait aucun doute que l'analyse comparative est là pour rester. Toute entreprise doit se
mesurer si elle veut : atteindre une capacité concurrentielle de classe mondiale, prospérer dans
une économie mondiale et surtout si elle veut survivre (McNair et Leibfried, 1992) (source :
McNair, C.J. and Leibfried, K.H.J. (1992), Benchmarking: A Tool for Continuous
Improvement, Oliver Wright, Essex Junction, VT..) Cette tendance n’est plus une une option
pour les entreprises, elle devrait être appliquée par tous les entreprises qui veulent devenir ou
rester compétitifs. Le benchmarking peut aider toutes les entreprises à devenir rentables,
compétitives et performantes c’est-à-dire à réussir, à condition qu’il soit correctement
appliqué.
L’étalonnage permet d’identifier facilement l’écart entre les objectifs de l’entreprise et ces
réalisations. Cet écart fournit les mesures des améliorations qu’une société doit apporter.
C’est un excellent outil car il implique tout le personnel, mais c’est aux cadres supérieurs de
décider s’ils préfèrent effectuer des benchmark en se concentrant sur diverses fonctions, leurs
concurrents, la performance ou sur leurs objectifs.
Tout type de benchmarking choisi par les dirigeants d’une entreprise sera bénéfique pour
l’entreprise s’il est appliqué correctement. L’objectif global du benchmarking est d’aider les
entreprises à une classe mondiale de compétition.
Il semble que le benchmarking continuera à être utilisée dans les entreprises qui cherchent à
s’améliorer continuellement, c’est un processus qui les aide à mieux réussir. Bien qu’il ait des
limites, ses avantages l’emportent largement.
Liste des tableaux
Webographie :
http://www.assufrance.com/axa.php
-An overview of benchmarking process: a tool for continuous improvement and competitive
advantage. Dean Elmuti and Yunus Kathawala Lumpkin College of Business and Applied
Sciences, Eastern Illinois University, Charleston, Illinois, USA
- LE BENCHMARKING : UNE MÉTHODE D'AMÉLIORATION CONTINUE DE LA
QUALITÉ EN SANTÉ. Amina Ettorchi-Tardy, Marie Levif et Philippe Michel.
-LE BENCHMARKING, UNE IDÉE NEUVE ? Nicolas Berland.
-PROPOSITION D'UN MODÈLE DE REPRÉSENTATION ET DE MESURE DE LA
PERFORMANCE GLOBALE Christophe Maurel et Mouloud Tensaout
- La recherche scientifique au crible du benchmarking. Petite histoire d’une technologie de
gouvernement.
- Reporting intégré et mesure de la performance Limites et perspectives d’une approche par
les parties prenantes et les territoires en France et en Allemagne.
- https://pdfs.semanticscholar.org/8748/092dcb7f88ab1e1f09d7826f8c07402918ce.pdf
- http://www.bibliotheque.auf.org/doc_num.php?explnum_id=658
- https://d1n7iqsz6ob2ad.cloudfront.net/document/pdf/538c5253695a7.pdf
- https://lnt.ma/secteur-de-lassurance-face-a-defis/
- https://www.performance-
publique.budget.gouv.fr/sites/performance_publique/files/files/documents/performance/controle_
gestion/analyse_comparative/concepts_et_methodologie/Guide_methodologique_benchmarking_
Nevaoconseil_2005.pdf
- https://www.enssib.fr/bibliotheque-numerique/documents/1647-le-processus-et-les-outils-de-
veille-technologique-dans-un-centre-de-recherche-et-developpement.pdf?telecharger=1
- http://www.bibliotheque.auf.org/doc_num.php?explnum_id=658
- https://d1n7iqsz6ob2ad.cloudfront.net/document/pdf/538c5253695a7.pdf
- https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01704733/document
Annexe
Guide D’entretien
Phase d’introduction :
Dans le cadre de la préparation d’un rapport concernant une étude qualitative. Nous vous
prions de participer à notre enquête, en nous consacrant quelques minutes pour répondre à ce
questionnaire sous la problématique suivant « comment le benchmarking influence la
performance de l’entreprise ? ».
Thème abordé :
C.A : ………………………………………………………………….
Adresse :
Interviewé :
Poste occupé :
10. Selon vous qu’elles sont les critères de réussite d’un benchmarking de qualité ?
11. Décrivez les étapes du processus d’une démarche benchmarking.
13. Mentionnez les critères que vous considérez pour mesurer l’excellence de la
performance globale de votre entreprise ?
14. De quelles ressources spéciales avez-vous besoin pour réussir vos benchmarks ? ?
15. Y-a-t- il eu un échec lors de l’adoption de cette pratique ? quelle peut-être la raison ?
18. Pensez-vous que le Benchmarking est profitable pour les entreprises en termes des
couts, efficacité et bénéfices apportés ?
19. Des commentaires généraux sur le benchmarking et les meilleurs pratiques adoptées
dans votre département/entreprise ?
Phase de conclusion :
Merci d’avoir accepté de nous donner un peu de votre temps et de nous répondre
à nos questions.
Table des matières
Sommaire...............................................................................................................................................1
Remerciements......................................................................................................................................2
Introduction...........................................................................................................................................3
Première partie : le cadre théorique......................................................................................................5
Chapitre 1 : Benchmarking.....................................................................................................................7
I. Définitions :...................................................................................................................................7
II. Historique, évolution et typologie du benchmarking :...........................................................10
1- Historique et évolution du benchmarking.....................................................................................10
2- Typologie du Benchmarking :......................................................................................................11
A- Le benchmarking interne :........................................................................................................11
B- Le benchmarking concurrentiel :..............................................................................................11
C- Le benchmarking fonctionnel :.................................................................................................12
D- Le Benchmarking des processus :.............................................................................................12
E- Le benchmarking générique :.......................................................................................................12
III- Le processus, avantages et limites du benchmarking :....................................................13
1. Le processus du benchmarking :...................................................................................................13
A- Planification de l’exercice :......................................................................................................13
2. Former l’équipe du benchmarking :..............................................................................................14
B- Collecter les données :..............................................................................................................15
C- Analyser les données :..............................................................................................................15
D- Prendre des mesures :...............................................................................................................15
2- Avantages et limites du benchmarking :.......................................................................................16
Avantages.............................................................................................................................................16
Limites.................................................................................................................................................16
3. Conclusion du chapitre :...............................................................................................................16
Chapitre 2 : La veille au service du benchmarking :..............................................................................17
I. Définition.....................................................................................................................................17
II. Typologie de veilles...................................................................................................................18
1. La veille informationnelle............................................................................................................18
2. La veille stratégique.....................................................................................................................18
3. La veille documentaire :...............................................................................................................19
4. La veille technologique ou scientifique........................................................................................20
5. La veille juridique........................................................................................................................20
6. Conclusion du chapitre.................................................................................................................21
Chapitre 3 : la performance de l’entreprise.........................................................................................22
I. Définition et les composants de la performance de l’entreprise..........................................22
1. Définition de la performance de l’entreprise................................................................................22
2. Les composants de la performance...............................................................................................24
II. L’évaluation de la performance................................................................................................24
III. Les critères de la performance............................................................................................25
IV. Conclusion du chapitre :.......................................................................................................26
V. Conclusion de la première partie :..........................................................................................26
Deuxième partie : l’étude empirique....................................................................................................27
Chapitre 1 : Présentation de l’entreprise.............................................................................................28
I. Groupe AXA...............................................................................................................................28
1. Présentation..................................................................................................................................28
2. AXA en quelques chiffres............................................................................................................29
3. Métiers et missions :.....................................................................................................................30
II. AXA assurance Maroc..............................................................................................................30
1. Présentation..................................................................................................................................30
2. AXA Assurance Maroc en quelques chiffres :..............................................................................31
3. Métiers et missions.......................................................................................................................31
III- Organigramme :.....................................................................................................................32
Chapitre 2 : méthodologie...................................................................................................................34
I. Études exploratoires..................................................................................................................34
1. Introduction générale :..................................................................................................................34
2. Les variables.................................................................................................................................35
3. Les hypothèses :...........................................................................................................................35
II. Collecte d’informations..............................................................................................................36
1. Elaboration d’un guide d’entretien :.............................................................................................36
2. Collecte des données :..................................................................................................................37
3. Choix d’échantillon :....................................................................................................................37
Chapitre 3 : Analyses des données.......................................................................................................38
I- Matrice des données :..............................................................................................................38
1- AXA Assurance Maroc :..............................................................................................................38
2- Alomra Guarding international.....................................................................................................39
3- Mazars Audit et conseil :..............................................................................................................41
5- EG2S Group.................................................................................................................................44
6- Logi-pub.......................................................................................................................................45
7- Bamoussa Group :........................................................................................................................46
8- PROTHESE :................................................................................................................................46
9- Audit et Conseil :..........................................................................................................................48
10- AL Omrane :.............................................................................................................................49
11- Banque Populaire :...................................................................................................................51
12- IHM TECHNOLOGIES :.........................................................................................................52
II- Méta-matrice :............................................................................................................................54
III- Analyse finale et interprétation des résultats.....................................................................55
Conclusion............................................................................................................................................58
Liste des tableaux..............................................................................................................................59
Liste des figures.................................................................................................................................59
Bibliographie :......................................................................................................................................60
Webographie :......................................................................................................................................60
Annexe.................................................................................................................................................62
Guide D’entretien...............................................................................................................................62
Phase d’introduction :........................................................................................................................62
Thème abordé :..................................................................................................................................62
Phase de conclusion :.......................................................................................................................64