Vous êtes sur la page 1sur 2

Carmen Lasota de Andrés

6TC

Les philosophes de Lumière du 18ème Siècle.

Introduction :

Aujourd’hui, dans nos sociétés moderne, on a la liberté de nous divertir, de débattre, lire, écrire,
exprimer nos opinions, etc. Tout cela est possible grâce au courage des visionneurs du 18 ème Siècle
qui ont conquit toutes ces liberté en utilisant des arguments raisonnés contre l’Eglise.

La politique du 18ème siècle :

Le régime politique, avant 1789, était une monarchie absolue du droit divin dont le monarque absolu
du 17ème jusqu’au début 18ème siècle était Louis XIV qui ensuite mourut en 1715. Louis XIV marque son
empreinte en faisant de la monarchie et de la France la vitrine de l’Europe (il rendit la
monarchie/Paris brillant et le règne visible et reconnu). Cependant la fin de son règne se définit
comme une époque sombre et très religieuse dans laquelle il y avait beaucoup de guerres. Après la
mort de ce dernier, la régence occupait le pouvoir du roi le temps que son petit neveu, Louis XV,
reprenne le trône. Le régent désigné par Louis XIV était un libertin (également athéiste) nommé
Philippe d’Orléans, qui faisait souffler un vent de liberté sur la France (gestion de liberté).

La structure de la société au 18ème siècle :

Le mode d’organisation sociale qui prévalait en France du XVI au XVIII était une société d’Ancien
Régime, ce qui divisait la population française en trois ordres hiérarchisés :

- Les nobles
- Les clergés
- Le Tiers État

Le Tiers État, qui étaient les plus nombreux, payaient les taxes, ce qui n’était pas le cas pour les deux
autres ordres (qui était bien moins nombreux). Donc, c’est ce qui rendait la société socialement
inégalitaire. Par ailleurs l’Etat était également mal géré car la gestion était aux mains d’une
administration compliqué, archaïque et figée, ce qui ne permettait aucune nouvelle réforme.

Les intérêts et projets des philosophes de lumière  :

Les philosophes de lumières étaient appelés ainsi car ils s’attribuaient le rôle du sauveur (= lumière) :

 Rendant la population plus intelligente


 Faisant comprendre au peuple où sont leurs intérêts/intérêts collectif

Ils étaient également ceux qui, non seulement allaient se battre pour les droits du peuple, mais qui
allaient aussi leur apprendre qu’ils ont des devoir. C’est la raison pour laquelle les philosophes se
voyaient comme des saints laïques par rapport aux hommes d'Eglise, qu’ils considéraient comme
hypocrite. Leur projet de société était d’anéantir l’aristocratie et de mettre en place une méritocratie
dans lequel il y aurait une liberté d’expression (selon Voltaire c’est la plus importante liberté). Ils
voulaient également séparer les pouvoirs, surtout le pouvoir politique du religieux car la religion
influençait fortement la politique au 18 ème siècle et tyrannisait le peuple.
Carmen Lasota de Andrés
6TC

L’influence des femmes sur la philosophie  :

La philosophie de lumière était une philosophie qui se nourrissait des rencontres sur dialogue. Ces
échanges avaient lieu dans des salons ou dans des cafés qui étaient entretenu par les femmes. C’était
ainsi que les femmes était indirectement associés à la philosophie de lumière et influençaient les
pensés des savants.

Les batailles entre les philosophes et l’Eglise  :

Les savants se battaient pendant des siècles contre l’Eglise qui imposait la foie religieuse au peuple
dans le but de les tyranniser, ce qui était le contraire de la pensé intellectuel des philosophes.

Leur seule attitude intellectuelle était le rationalisme (culte de la raison) ce qui définit qu’on ne peut
rien affirmer sans preuve, c’est la base des sciences. Les philosophes se rendait compte que
d’attaquer la foie religieuse n’était pas une bonne idée car c’est impossible de prouver l’existence de
Dieu. Alors ils décidaient d’attaquer la base la plus fragile de la religion : le concret.

Le concret critiquable :

 L’Eglise était corrompu par l’argent


 Principaux moraux imposé aux croyants cependant pas respecté par l’Eglise
 Condamnation du fanatisme religieux
 La comparaison des autres civilisations/croyances beaucoup moins extrémistes ayant le
même sens de la morale

La diffusion du savoir :

La diffusion du savoir se faisait principalement sur un support écrit dont un ouvrage appelé
l’Encyclopédie était un diffuseur très important (symbolisant les sciences triomphantes qui n’était
plus soumise par la religion) au 18ème siècle. Elle comporte un tas de connaissances, sujet confondu,
en 28 volumes (26 années de travail) dont chaque article était écrit par le spécialiste dans le
domaine. Par contre, en raison de nombreux censures qui empêchaient la publication de ces écrits
ainsi que la limitation propre des milieux tel que ceux des paysans, où l’alphabétisme était très
répondu, l’accessibilité à tous les secteurs de la société devint très compliquée.

Conclusion :

Les ouvrage des visionneurs du 18ème avaient changé fortement la manière de penser chez le peuple,
qui pendant des siècles croyait aveuglement à la foie religieuse que l’Eglise leur imposait.

Vous aimerez peut-être aussi