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Chapitre X : Comment l’assurance et la protection sociale contribuent-elles à la

gestion des risques dans les sociétés développées ?

I. Quels sont les risques auquel les individus sont exposés ?

Q1 : phrase avec la valeur

D’après le baromètre de 2018 IRSM, 19% des personnes interrogées en novembre 2017,
considère que le chômage est le risque le plus préoccupant.

Q2 : Comparaison protection du chômage et protection du terrorisme

Le chômage est un risque social, lié à la vie en société. Pour se protéger contre ce risque, il
faut que la société mette en place des actions pour augmenter le niveau de qualification et
celui de la protection sociale. En ce qui concerne la protection sociale, l’assuré cotise dans
une caisse chômage pour toucher un revenu de remplacement en cas de chômage.

Le terrorisme est un risque lié à la sécurité, aux conflits géopolitiques. On ne peut pas
s’assurer contre ce risque : pris en charge par la collectivité.

Q3 : Exposition des différents pays aux risques environnementaux

Expositions différentes dues à la situation géographique et géologique : tremblement de


terre plus importants et plus fréquents au japon ou à Haïti qu’en France par exemple.

Autres facteurs : moyens de prévention, humains et technologiques différents d’un pays à un


autre  moyens différents selon richesse du pays.

Ex : le Japon a pu construire des maisons antisismiques ce qui n’est pas le cas de Haïti
(pays pauvre)

Conclusion :

Il existe différentes catégories de risques :

- Certains sont pris en charge par la protection sociale (Sécurité sociale) : maladies,
chômage
- D’autres sont protégés par une assurance privée : accidents de voiture, incendie
- Enfin certains risques tels que le terrorisme, les problèmes environnementaux, la
prévention et la protection sont assurés à la fois par l’Etat (police, justice) et par les
individus

Doc 4 p 253

Q1 : Comparaison des données entourées

A 15-30 ans le risque ponctuel lié à l’alcool est environ 3,7 fois plus fréquent que le risque
chronique selon le baromètre sante de l’INPES.

Q2 : Age et alcoolisme


Les 15-30 ans ont un comportement plus risqué face à l’alcool que les autres catégories
d’âge. Ainsi 37% des 15-30 ans connaissent un risque ponctuel de consommation d’alcool
(consommation excessive dans un contexte de fête) contre 15,1% des individus de 61 ans et
plus.

Q3 : Corrélation positive entre l’avancée en âge et la perception du risque de


consommation d’alcool

Supposons que l’individu qui prend de l’âge a plus conscience des risques de l’alcool. Il
développe une aversion au risque : craignant plus le risque il, limite par son comportement
prudent la prise de risque.

II. La gestion des risques : comment et par qui ?

Doc 1 page 270

Q1 : Nature du document

Affiche d’une campagne de sécurité routière du ministère de l’intérieur

Q2 Type d’action

S’agit d’une campagne de sensibilisation et de prévention contre les risques de l’alcool au


volant.

Q3 Comportement de l’individu pour se protéger du risque évoqué

= adopter un comportement prudent en :

- Limitant la consommation d’alcool


- Respectant le code de la route
- Laissant ses amis prendre le volant
- Décidant de ne pas boire

 En clair adopter un principe de prévention

Doc 2 page 270

Q1 Principaux risques des riziculteurs de Guinée

- Alea climatiques
- Variations des cours (prix) du riz si bonne récolte prix bas
- Ravages des cultures ex : invasion d’insectes

 Rend leur revenu aléatoire : montant incertain

Q2 moyen de se protéger contre ces risques

= diversifie « ne pas mettre tous les œufs dans le même panier »
 Diversification des activités par exemple vers le tourisme pour compenser la perte de
revenus du riz

Q3 Diversification et placement de l’épargne

Pour être sûr de ne pas perdre de l’argent dans le placement de l’épargne (risque financier) il
s’agit pour l’épargnant de diversifier ses placements : achat d’action, de placement
immobilier, placement dans le livret A.

 On gère le risque selon le principe de diversification

Doc 3 p 271

Q1 différents organismes proposant des contrats de complémentaire santé

- Mutuelles : MGEN, mutuelle Générale etc


- Les compagnies d’assurances : AG2R la Mondiale, MAAF Santé, Groupama...
- Banques : Crédit mutuelle, BNP Paribas, La Banque Postale...

Q2 ticket modérateur

= est la partie des dépenses de santé qui reste à la charge de l’assuré donc c’est la
part des dépenses de santé qui n’est pas prise en charge par la Sécurité sociale.

Q3 : Mutualisation des risques

Est un principe important en assurance. Cela signifie que chaque assuré paie une cotisation
qui dépend de ses revenus mais aussi d’autres facteurs comme l’âge. L’ensemble des
cotisations versées va permettre de financer les dépenses de santé.

Je m’auto-évalue

1)Prévention

2) Diversification

3) Mutualisation

4) Diversification

III. Les logiques d’assurance et d’assistance

Dossier 3 doc 3

Q1 Mesures qui relèvent de la logique d’assurance

- Prise en charge des risques sociaux organisée selon le principe de l’assurance à


savoir que le versement d’une prestation sociale est d ‘abord soumis au paiement de
cotisations sociales
- Mesures liées à la logique d’assurance :
 Mise en place d’un système obligatoire d’assurance sociales (1928-30), instauration
du régime général de la sécurité sociale (1945), la généralisation de l’assurance
vieillesse obligatoire (1975)

Q2 Mesures qui relèvent de la logique d’assistance

- Versement de prestation sociales aux personnes les plus démunies, souvent exclues
de l’emploi, elles ne peuvent donc pas cotiser et l’assistance leur assure un minimum
de ressources.

 RMI (Revenu Minimum d’Insertion), la CMU (Couverture Maladie Universelle) , le


RSA ( Revenu de Solidarité Active) et la PUMA (Protection Universelle maladie)

Q3 Logique qui prédomine jusqu’aux années 80 (et encore actuellement)

C’est la logique d’assurance mais avec la montée du chômage de masse et de la pauvreté


dans les années 80, des mesures relevant de l’assistance se sont développées.

Dossier 3 doc 4

Q1 phrase à faire

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