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Rapport de stage dans le but de l’obtention du diplôme de licence 3ème année LMD
Dédicace
2017/2018
A celui qui m'a indiqué la bonne voie en me rappelant que la volonté fait toujours les
grands hommes
Mes meilleurs amis pour leur aide, leur temps, leur encouragements, leur assistance et soutien.
Merci infiniment.
2
KALACHE
ABDELKARIM
Dédicace
A Dieu Le Tout Miséricordieux, ton amour, ta miséricorde et Tes grâces à mon endroit m’ont fortifiée
dans la persévérance et l’ardeur au travail.
A mon Père qui peut être fier et trouver ici le résultat de longues années de sacrifices et de privations
pour m'aider à avancer dans la vie. Puisse Dieu faire en sorte que ce travail porte son fruit, Merci pour
les valeurs nobles, l'éducation et le soutient permanent venu de toi.
A ma Mère qui a œuvré pour ma réussite, de par son amour, son soutien, tous les sacrifices consentis
et ses précieux conseils, pour toute son assistance et sa présence dans ma vie, reçois à travers ce travail
aussi modeste soit-il, l'expression de mes sentiments et de mon éternelle gratitude
. A mes sœurs Qui je le sais ma réussite est très importante pour vous. Que Dieu vous paye Pour tous
vos bienfaits.
A tous mes amis qui n'ont cessé d'être pour moi des exemples de persévérance, de courage et de
générosité.
Merci infiniment
3
KADDOURI
MOHAMED ABED
Remerciements
Avant toute chose nous tenons à remercier le bon DIEU de nous avoir aidées et toutes les
personnes qui ont contribué au succès de notre stage et qui nous ont aidé lors de la rédaction
de ce rapport.
Tout d'abord, nous adressons nos remerciements à notre professeur, NASSIMA BOUALEM
qui nous a beaucoup aidé dans notre recherche de stage , et DAR RAMDAN ZAKARIA qui
nous a permis de postuler dans cette entreprise. et de trouver ce stage qui était en totale
adéquation avec nos attentes.
nous tenons à remercier vivement notre maitre de stage, Mme F.DJEBBOURI, chef de
service comptabilité générale , pour son accueil, le temps passé ensemble et le partage de
son expertise au quotidien. Grâce aussi à sa confiance nous avons pu accomplir totalement
dans nos missions. Il fut d'une aide précieuse dans les moments les plus délicats.
nous remercions également toute l'équipe de la comptabilité générale pour leur accueil et leur
esprit d'équipe .
Enfin, nous tenons à remercier toutes les personnes qui nous ont conseillé et relu lors de la
rédaction de ce rapport de stage : nos famille, nos amis et nos camarade de promotion.
4
Sommaire
Introduction ………………………………………………………………… 6
5
Introduction générale
6
Introduction générale :
Dans un monde en perpétuelles mutations technologiques, économiques et socioculturelles,
dans un environnement complexe et incertain où la concurrence est rude, l’entreprise est
condamnée plus que jamais à être performante pour assurer sa survie. Si la raison pour
laquelle la performance se retrouve au centre des préoccupations des dirigeants. Toute
entreprise vise à accomplir ses objectifs et à améliorer sa performance.
En anglais «to perform» signifie accomplir une tache avec régularité, méthode et application,
l’exécuter, la mener à son accomplissement d’une manière convenable plus particulièrement,
c’est donner effet à une obligation, réaliser une promesse, accomplir quelque chose qui exige
de l’habileté ou une certain aptitude. Cependant, faudra t’il une étude qui évalue la situation
financière de l’entreprise, dans ce cas la on parle de l’analyse financière c’est lui qui permet
de connaitre la situation d’une entreprise (activité, performances réalisées, structure
financière), de l’interpréter, d’effectuer des comparaisons et donc de prendre des décisions.
L’analyse financière peut être considéré comme une démarche, qui s’appuie sur l’examen
critique de l’information comptable et financière fournie par une entreprise à tiers (donc de
tout le monde…), ayant pour but d’apprécier le plus objectivement possible sa performance
financière et économique(rentabilité, pertinence des choix de gestion…), sa solvabilité (risque
potentiel qu’elle présenté pour les tiers, capacité à faire face à ces engagements…), et enfin
son patrimoine.
Notre travail est centré sur l’impact du l’analyse financière sur la performance et la rentabilité
de l’entreprise. Ce qui nous amène à poser la problématique suivante : L’analyse financière
contribue-t-elle à la rentabilité et à la performance des entreprises ?
7
Afin de pouvoir répondre à notre question principale nous nous sommes interrogés sur les
questions suivantes :
Dans ce présent travail, nous allons essayer de bien purifier les réponses apportées à questions
précédentes à travers notre stage pratique que nous avons choisi d’effectuer au sein de
l’entreprise SONTECHOM.
L’hypothèse générale de notre recherche est que SONTECHOM présente une structure
financière qui lui permet d’atteindre sa rentabilité. Cette hypothèse est subdivisée en trois :
8
CHAPITRE 1 : Généralités sur l’analyse financière
9
CHAPITRE 1 : Généralités sur l’analyse financière
L’analyse financière peut s’effectuer grâce à l’ensemble des méthodes et outils qui permettent
d’analyser, d’examiner et d’étudier la situation financière passée et future d’une entreprise.
Ce chapitre nous permet d’identifier les informations nécessaires à l’analyse financière et la
rentabilité et la performance.
10
garantie et à déterminer l’indépendance à l’égard de l’exploitation de l’entreprise, montreront
aux banquiers que la simple optique de la recherche de la solvabilité état insuffisante pour
déterminer la décision d’octroi d’un crédit.
Au milieu des années cinquante-deux tendances apparaissent. D’une part, les études évaluent
dans la direction de la théorie financière et les problèmes de choix des investissements.
D’autre part, l’évaluation de l’économie et la concurrence accrue se traduisent par un
accroissement des besoins d’une gestion de qualité, de ce fait, par le développement d’une
analyse financière interne à l’entreprise.
A l’heure actuelle, cette technique a conquis droit de citer dans les entreprises et les cabinets
d’experts comptables eux-mêmes se reconvertissent progressivement dans l’analyse de
l’information qu’ils se contentaient, dans le passé, de collecter1.
De cette définition, retenons l’objectif de globalité qui est assigné à l’analyse financière et qui
doit donc conduire à apprécier l’entreprise dans ses nombreuses dimensions à partir de
quelques points clés2.
-L’analyse financière s’intéresse à une variété de domaines et ne saurait être réduite à la seule
analyse des données comptables ;
1
PLANCHONA, Introduction à l’analyse financière, Ed. Foucher – paris, 1999, p 8
2
2COHEN E, « Analyse financière », Edition économica, 5 éme édition, paris, 2004,
page 08.
11
Précisons ce que l’on entend par secteur et segments de marché.
Cependant, généralement, la notion de secteur s’avère trop large car elle réunit des
activités différentes au risque d’introduire une hétérogénéité allant à l’encontre de la
signification économique recherchée. C’est en réponse à cette limite, qu’on été développée la
segmentation stratégique dont l’objet est d’identifier, au sein d’un secteur, les activités se
caractérisant par des conditions d’exploitation identiques ou voisines en termes de
technologie et critères d’achat.
3
CONSO.P, HEMECI.F : gestion financière de l’entreprise, 10emeédition DUNOD,
paris 2002, page 274.
13
2-2-1 Les objectifs internes :
14
CHAPITRE 2 : Présentation du site de l’étude
15
CHAPITRE 2 : Présentation du site de l’étude
LA (SONTECHOM) est une entreprise nationale par son histoire et son orientation, d’un
grand poids économique et internationale par son domaine d’activités d’industrie pétrolière
gazière.
Elle se situe au premier plan par l’importance de ses activités : (prospection, forage,
production…etc.) la gestion de ses activités est assurée par des branches opérationnelles qui
sont des directions fonctionnelles qui élaborent et veillent a l’application de la politique de la
stratégie de groupe. Elle fournit l’expertise et l’appui nécessaire aux activités.
16
1-3 SONTECHOM est une société par action (SPA) :
En 1999, l’Algérie avec ses partenaires figuraient au premier rang des découvertes mondiales.
Des métiers des chaînes pétrolières et gazières, qui en font un groupe intégrant de
l’amont à l’aval.
Les métiers de base traditionnels d’une compagnie pétrolière et gazière.
Des métiers de la sphère parapétrolière, forage, géophysique, service et travaux
pétroliers
Des métiers de soutien, pose et répartition de canalisation, transport maritime des
hydrocarbures engineering, construction et montage industriel
Diverses activités qui prolongent ou diversifient son portefeuille
Infrastructure structure pétrolière et gazière, importe à l’avantage de la proximité des
marchés en expansion.
Elles exercent les métiers du groupe et développent son potentiel d’affaires tant en Algérie
qu’a l’étranger, chacune des activités est placée sous l’autorité d’un vice-président elles sont
au nombre quatre :
17
- activités amont (AMT) : qui comprennent l’exploitation, les opérations de contrôle de
données, la recherche et le développement des hydrocarbures, le forage, la production,
l’engineering et les associations.
18
Section 2 : Présentation du complexe GL1/Z
Le complexe de Liquéfaction du Gaz Naturel GL1Z, est situé à l'ouest de l'Algérie dans le
village de Bethioua, sur une superficie de 72 hectares, pour un objectif de traitement de 10.5
milliards de M3 de gaz naturel par an.
Il a pour mission de traiter le gaz naturel transporté par gazoduc en provenance des champs
gazetiers de Hassi R’mal en gaz naturel liquéfié (GNL) avec possibilité d’extraction du
propane, du butane et de la gazoline, ce gaz est en suite transporté dans les méthaniers à
destination de l’étranger.
Seconde étape qui consiste à traiter le GN, de le liquéfier puis de le stocker dans trois
(03) bacs de 100.000 m3 (chacun). D’autre part, on a deux (02) bacs de gazoline de
19
45.000 m3. On note aussi, la partie fractionnement séparant les hydrocarbures les plus
lourds du GN.
Le GNL est expédié vers les deux quais de chargement (M1, M2) ; pour le charger à
bord des méthaniers à 162°C à pression atmosphérique. On trouve de chaque côté du
quai 04 bras de chargement.
Une fois remplit, il est acheminé vers différentes destinations principalement Europe
et USA.
Directeur Complexe
GL1/Z
20
Cellule Passation
Marchés
Département Département Département Département
Technique Finances & Juridiques Sécurité Travaux Neufs
Département Département
Département Département Ressources Administration
Humaines Social
Production Maintenance
Service Département
Département Relation de Moyens
Généraux
Approvisionnemen Travail
Département Finance « F »
21
Service
Trésorerie
Section Section
Stock et gestion des Analyse
immobilisation moyens de Financière
règlement
Section
comptabilisation
22
CHAPITRE 3 : étude et analyse financière du complexe
GL1Z
1 LE BILAN :
Le bilan est un document comptable de synthèse qui donne à un moment précis une
photographie de l’entreprise.
23
George Depallens dit du bilan qu’il est « la photographie économique et financière de
l’entreprise », un modèle élémentaire de celle-ci : à l’actif, les biens réels, financiers et
monétaires détenues par l’entreprise à un moment donné. Au passif, les ressources financières
(fonds propres, et dettes) dont elle dispose.
Le bilan met en évidence l’ensemble des propositions qui existent à un moment donné entre
les emplois et les ressources.
Aussi, le bilan c’est un tableau qui donne, à un moment donné, la situation des biens mis à la
disposition de l’entreprise et des capitaux ayant permis de financer l’acquisition de ces biens.
Il comporte deux parties : le passif (à droite) et l’actif (à gauche).
A chaque emploi correspond nécessairement une ressource ; il en résulte que le total des
éléments d’actif est égal au total de ceux du passif.
Le suivi des mouvements des différents éléments qui constituent l’actif et le passif , s’effectue
au moyen des « comptes » tenus selon le principe de la partie double éditée par la loi 75/35
du 29 avril 1975 portant le plan comptable national.
EMPLOIS : RESSOURCE :
24
Investissements (valeurs Fonds propres (capitaux propres).
immobilisées). Capitaux étrangers (dettes).
Stocks (valeurs
d’exploitations)
Créances (valeurs réalisables
et disponibles)
Toute création de richesse au cours d’un exercice dans le cadre de l’activité normale.
Tous simplement les charges représentent les flux réels entrants consommés durant l’exercice.
A l’inverse, les produits induisent les flux réels sortants, à ce niveau.
3-1Actif :
25
2 Investissements
23 Equi, fixes et complexes 2 698 166 4 612 232 3 668 000 +70.94 -20.47
de p
24 Autres equi, de production 246 615 220 988 197 092 -10.39 -10.81
25 Equipements sociaux 14 757 11 000 7 430 -25.46 -32.45
28 Investissement en cours 626 701 297 544 2 295 398 -52.52 +671.45
3 Stock
31 matières et fournitures 2 548 477 2 517 747 3 255 998 -1.21 +3.46
37 stocks à l’extérieur 21 545 53 +2496.15 -90.22
4 Créances
42 Créances 350 710 900 331 760 586 +156.72 -15.43
43 d’investissements 28 164 26 162 23 465 -7.11 -10.31
45 Créances de stocks 178 351 450 +97.31 +28.18
46 Avances pour compte 395 725 231 395 216 641 -41.53 -6.38
47 Avances d’exploitation 250 7 943 6 952 +3082.05 -12.47
48 Créances sur clients 290 495 481 572 289 737 +65.78 -39.98
40 disponibilités 13 964 22 443 29 024 +60.72 +29.32
Comptes débiteurs du
passif
26
2006/2007
80
40
20
0
23 24 25 28
-20
-40
-60
2007/2008
800
700
variation des investissements
600
500
400
300
200
100
0
23 24 25 28
-100
-52.52% de moins que l’exercice précédent, cela explique la réception définitive et la mise en service
des 2 chaudières virées dans le compte d’investissement approprié (compte 23).
-25.46% cette diminution est due à la sortie d’investissement réformé cédé à tiers.
27
Compte 24 : autres équipements de production.
-10.39% : cela est due au maintien des mêmes investissements et l’effet des amortissements des
équipements anciens.
-32.45% : due aux amortissements et la cession au tiers par le biais du commissaire priseur des
équipements réformés.
28
3-1-2 La Variation des stocks :
2006/2007
3000
2500
variation de stocks
2000
1500
1000
500
0
31 37
-500
2007/2008
20
0
31 37
variation de stocks
-20
-40
-60
-80
-100
2007 Analyse : Pour les comptes de stocks, les variations sont insignifiantes, de ce fait nous avons jugé
qu’il est inutile d’expliquer.
2008 Analyse : On constate une augmentation de 3.44% qui explique un taux non significatif due à
la maitrise de la gestion de stocks.
29
3-1-3 La variation des créances :
2006/2007
3500
3000
variation des créances 2500
2000
1500
1000
500
0
42 43 45 46 47 48 40
-500
2007/2008
40
30
20
variation des créances
10
0
42 43 45 46 47 48 40
-10
-20
-30
-40
-50
+156.72% : due à l’attribution des nouvelles avances sur les contrats signés.
+97.31% : concernant le payement des AF (allocations familiales) pour le compte CNAS, et qu’on
doit déduire sur nos déclarations mensuelles
+65.78% : ces fonds disponibles dans nos comptes, pour faire face au nouveau contrat important
signé par le complexe, et dont les factures ne sont pas encore liquidés.
30
Compte 40 : comptes débiteurs du passif.
+60.72% : une partie concerne l’actualisation des créances en monnaies étrangères au 31/12.
-41.53% : cette situation due à des remboursements arrivés à termes, et la non attribution de
nouvelles avances contractuel.
-7.11% : cette situation est générée par le remboursement de l’administration des douanes des anciens
soldes.
+29.32% : due essentiellement aux bons d’anomalie constatés par la gestion des approvisionnements
sur la réception de la pièce de rechanges soit 18.819.
+28.18% : le compte de transition gère les cadeaux et les assurances payés aux personnels pour le
compte d’OSR.
Les diminutions :
- 39.98% : on constate cette diminution par le bon fonctionnement de l’application de trésorerie KTP
qui ne prévoit d’alimenter le compte que les factures réceptionnés au complexe.
-15.43% : c’est due essentiellement aux remboursements des avances venues à terme.
-12.47% : cette prestation n’est pas principale aux complexe, de ce faite ce montant ne peux être en
augmentation, cette opération est occasionnelle avec les filiales.
31
Compte 43 : créances de stocks.
-10.31% : le compte continue a diminué d’un exercice à l’autre du faite que SONTECHOM est
exonération des consignations à versées aux douanes.
-6.38% : cette diminution est due au remboursement de l’avance octroyé à la filiale UGZIA en 1999
et l’application de l’échéancier de remboursement rentre en 2007.
3-2 Passif :
C Rubriques Montant net Montant net Montant net Variation Variation
pt 2006 2007 2008 2006/2007 2007/2008
1 Fonds propres
17 Comptes de liaison inter- 5 725770 7 694 842 8 361 697 +34.39 +8.67
unités
19 Provision pour pertes et 3 677 9 363 11 260 +154.66 +0.20
charges
5 Dettes
52 Dettes d’investissements 372 535 636 217 99 186 +70.78 -84.41
53 Dettes de stocks 40 244 28 722 44 572 -28.63 +55.19
54 Détentions pour compte 21 899 17 842 58 603 -18.53 +228.46
56 Dettes d’exploitation 653 379 550 254 1 089 563 -15.78 +98.01
50 Comptes créditeurs de l’actif 7 723 7 069 7 678 -8.46 +8.61
Total 5 1095780 1 240 104 1299602 +13.17 +4.8
32
3-2-1 Variation des fonds propres :
2006/2007
180
2007/2008
10
variation des fonds propres
9
8
7
6
5
4
3
2
1
0
17 19
+154.99% : due à des pertes de charges considérables, l’augmentation du taux de changes au 31/01/2007 et
avec l’actualisation des factures libellés en devises.
+34.39% : suite aux prestations fournies, aux autres unités et une légère augmentation de la production
imputé à la division production.
33
3-2-2 Variation des dettes :
80
2006/2007
60
variation des dettes
40
20
0
52 53 54 56 50
-20
-40
2007/2008
250
200
variation des dettes
150
100
50
0
52 53 54 56 50
-50
-100
-150
+70.78% : due à l’augmentation des dettes à court terme et les retenues de garantie afférente aux nombreux
contrats signés par le complexe.
34
Compte 56 : dettes d’exploitation.
+98.01% : en augmentation significatif concernant les contrats entrés en vigueur durant l’exercice.
8.61% : cette augmentation insignifiante est due par la régularisation des comptes d’actif en fin
d’année.
35
4- Analyse du tableau des comptes de résultats:
L’évolution(c/70)
du CA.HT : (c/71) (c/74)
11400000
11200000
11000000
10800000
10600000
10400000
11218036
10200000
10000000
9800000 10216671 10131482
9600000
9400000
2006 2007 2008
CA, HT
Analyse : Les marges brutes représentent des montants non significatifs, et une faible
augmentation sur les deux années successifs.
36
4.2.2 La valeur ajoutée :
Analyse :
L’exercice 2007 :
On constate une diminution importante de la valeur ajoutée de «20% », conséquence de
l’augmentation des charges d’exploitation et une réduction des produits en particulier le
compte 74 (prestations fournis).
L’exercice 2008 :
La variation des paramètres a changé et la valeur ajoutée a légèrement
augmentée «0.42 ».
4.2.3 La rentabilité de l’activité :
La rentabilité peut être appréciée par l’analyse des résultats, et la capacité d’autofinancement.
Analyse : On remarque que le résultat d’exploitation représente une très faible part durant les trois
années.
L’exercice 2007 : On constate une diminution due à l’augmentation des frais de personnel, frais
financiers et dotations des amortissements et provisions.
37
Analyse :
En 2006 et 2008 le résultat hors exploitation apparait négatif car les charges hors
exploitation sont supérieurs aux produits, on remarque une augmentation pour l’année
2007, puis une diminution.
Analyse : On remarque une augmentation du résultat brut durant les deux années .
38
Section 2 : Passage du bilan comptable au bilan financier.
1 Le redressement du bilan :
Les analystes financiers restructurent le bilan légal pour le besoin des études qu'ils conduisent
en classant les comptes par liquidité croissante de haut en bas en fonction du principe que tout
emploi doit être financé par une ressource d'une durée au moins équivalente, ce qui leur
permet de mettre en évidence quatre grandes masses :
1-1 l’actif :
Celui-ci est subdivisé en deux principales masses à savoir : L’actif immobilisé et l’actif
circulant.
Les valeurs immobilisées comprennent les valeurs incorporelles et les valeurs corporelles
(terrains, équipements et production, équipements sociaux, investissement en cours).
Les autres valeurs immobilisées : représentent les actifs exigibles à long terme dont la durée
de liquidité n’est pas immédiate.
- Les valeurs d’exploitation : constituées essentiellement des stocks tels les marchandises,
matières premières, matières semi-ouvrés, produits et travaux en cours, produits finis, déchets
et rebus, et les stocks à l’extérieur.
- Les valeurs non-disponibles «réalisables» : constituées des créances à moins d’un an telles
les créances de stocks, avances pour compte, avances d’exploitation, et es créances sur la
clientèle exigible à court terme.
39
1-2 passif : Il est aussi subdivisé en deux principales masses à savoir :
Cette rubrique est formée par les capitaux propres (sociaux ou individuels) et la dette à
long et moyen terme ainsi que tous les autres éléments à plus d’un an classés par les analystes
comme tels :
- Les capitaux propres : Ils sont constitués du capital social, des réserves (légales, statutaires,
réglementaires et autres), Les provisions pour pertes et charges destinées à la couverture de
certains risques ou de certaines charges éventuelles ultérieures.
- Les dettes à long et à moyen terme : elles comprennent les capitaux d’emprunts dont
l’échéance est supérieure à un an tel que les dettes d’investissement, les crédits bancaires à
long terme.
Cette rubrique est constituée par les dettes à court terme dont l’échéance est inférieure ou égale à une
année.
40
Graphique :
Actif passif
EMPLOIS
RESSOURCE
S
2 V. Fonds 1
Actif fixe
Investissement immobilisée propre Fonds
Capitaux permanents
s s s
propre
s
3 Stocks Actif Passage D.L.T
du bilan
comptabl
e au bilan 5
4 Créances V. financier D.C.T Dettes
réalisables
DCT
V.
disponibles
Les deux principes (échéance et durée de vie) sont structurés en fonction de la notion de
permanence, liquidité et exigibilité des emplois et des ressources sachant que dans le cadre
cyclique et dynamique de la dimension financière de l’entreprise, tout emploi doit être
créateur des ressources supplémentaires dans la mesure où toute ressource n’est générée que
pour être employée de nouveau.
La situation financière de l’entreprise est définie par son aptitude à maintenir un degré de
liquidité suffisant pour assurer en permanence sa solvabilité. L’équilibre financier de
l’entreprise résulte de l’opposition entre la liquidité des actifs et l’exigibilité de son
endettement.
D’une manière générale, l’étude de l’équilibre financier de l’entreprise s’exprime dans les
trois interrogations suivantes :
Tout bien acquis pour l’entreprise doit être financé par des ressources qui resteront à sa
disposition pendant un délai au moins équivalent à la durée de vie du bien considéré.
Ce principe postule que l’actif immobilisé (emploi du haut de bilan) doit être financé par les
capitaux permanents (ressources du haut de bilan) et que l’actif circulant (emploi du bas de
bilan) doit être financé par les dettes à court terme (ressources du bas de bilan).
En haut du bilan, le rythme d’exigibilité des ressources permanentes procurées par l’emprunt
étant quasi-similaire au rythme de liquidité de l’investissement aussi bien par période qui
génère tout au long de sa durée de vie économique des surplus financiers qui sont générés
d’une manière symétrique par rapport aux annuités successives de l’emprunt, où on distingue
l’importance de la capacité d’autofinancement
42
(Résultat net + dotations aux amortissements et aux provisions)
L’incertitude caractérise la correspondance entre les différents rythmes sur lesquels s’appuie
la règle :
43
Les indicateurs fondamentaux de l’équilibre financier.
44
6 Les différents agrégats de l’équilibre financier :
La notion de fonds de roulement est sans doute celle qui est plus utilisée dans l’analyse
financière tant au niveau de l’analyse théorique qu’en pratique.
L’entreprise doit maintenir un «Matelas de sécurité» entre les ressources et les emplois de
même durée afin de tenir compte des risques inhérents à son activité c'est à dire que le
maintien d’un matelas de sécurité entre l’ensemble des actifs et l’exigible total.
Le fonds de roulement constitue une ressource permanente et stable dans la mesure où elle fait
partie des capitaux permanents pour financer une fraction de l’actif circulant dont le degré de
liquidité est le moins élevé.
On peut aussi le calculer en bas du bilan par la différence entre l’actif circulant et les dettes à
court terme où il constitue une marge de sécurité représenté par la fonction de l’actif circulant
non financé et des ressources à court terme mais pas des ressources permanentes et stables.
45
6-1-2 Fonds de roulement étranger :
Où
Selon cette formulation, le fonds de roulement représente un excédent des actifs circulants,
liquidés au transformable en monnaie à moins d’un an par rapport aux dettes à court terme,
remboursable à moins d’un an.
46
La notion de fonds de roulement brut ou total ou économique correspond purement et
simplement au montant « des valeurs de roulement » c'est-à-dire aux éléments de l’actif
circulant, ces derniers sont, en effet, susceptibles d’être transformés en monnaie à moins d’un
an et de subir ainsi un renouvellement d’une rotation.
Analyse : Le tableau fait ressortir une diminution du F.R de la période (2006-2007-2008), ensuite
une augmentation, l’analyse du FR permet de souligner sa instabilité au cours des 3exercices. On
remarque que l’établissement possède un F.R positif durant les trois années ce qui signifie que les
immobilisations sont financées par les capitaux permanents.
La notion de besoin en fonds de roulement est liée au problème posé par la couverture des
besoins aux financements de l’exploitation. La caractéristique de ce besoin est d’être instable,
fluctuant et soumis aux aléas de la conjoncture et aux conditions du maintien de l’équilibre financier
de l’entreprise.
La définition des besoins en fonds de roulement serait simple permanent (financement externe et
interne).
On assimilerait ainsi les besoins en fonds de roulement aux besoins de financement de l’exploitation,
c’est l’image que l’on a lorsqu’on examine un bilan à une date donnée. La différence entre les actifs
47
circulants et les dettes à court terme est égale au fonds de roulement. Mais cet équilibre va être
immédiatement rompu parce qu’il n’est valable qu’à un moment donné.
L’équilibre financier sera maintenu par les variations de la trésorerie : encaisse et crédit à court
terme.
On remarque que l’entreprise possède un B.F.R positif durant les trois années, ce qui signifie que les
vs d’exploitations et vs réalisables couvrent non seulement les dettes à court terme, mais aussi une
partie consistante des capitaux permanents.
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a- Niveau en fonds de roulement nécessaire :
Cela signifie plus précisément que les disponibilités, qui apparaissent à l’actif, sont
supérieures aux dettes bancaires de trésorerie, dont le montant est indiqué au bas du passif. Il
est possible que cet argent disponible suffise à couvrir les décalages momentanés de
trésorerie.
Les capitaux permanents couvrent les immobilisations d’une part et le besoin en fonds de
roulement d’autre part. Il est probable que l’entreprise n’éprouvera pas guère de difficultés
pour financer ses besoins momentanés de trésorerie.
Une partie de ce besoin en fonds de roulement est nécessairement financée par des
concours bancaires de trésorerie, une telle situation peut facilement mettre l’entreprise en
difficulté car les risques d’insolvabilité sont d’autant plus grands que le fonds de roulement
est faible.
49
et endettement :
Le revenu qu’on peut en tirer reste faible face au coût de détention des capitaux utilisés, seul
l’emploi des capitaux à des fins productifs peut assurer un profit suffisant pour justifier
l’usage des capitaux étrangers. Sous cet aspect, la rentabilité s’oppose à la solvabilité.
Le crédit à court terme apparaît comme un moyen de financement permanent tant que
l’entreprise fonctionne normalement, mais il suffit que l’activité de l’entreprise diminue pour
que cette permanence se traduise en une volatilité dangereuse.
Le crédit qui reste permanent est celui qui a été négocié, suivant un échéancier long, ce qui
revient à dispose de capitaux permanents donc d’un fonds de roulement permanent.
6-3 La trésorerie :
50
6-3-1 La gestion de la trésorerie :
La trésorerie est un processus qui commence par les prévisions des flux d’encaissement et de
décaissement. Pour tenir par la phase noble d’optimisation, il existe toute une panoplie de
modèles de gestion de la trésorerie.
Toute les opérations que l’entreprise réalise avec son environnement se traduisent,
immédiatement ou à terme, par des flux de trésorerie (encaissement et décaissement). La
trésorerie représente donc, selon cette optique le stock de monnaie vers ou convergent les flux
générateurs de mouvements monétaires. Mais il s’agit, en réalité d’une trésorerie nette c'est-à-
51
dire du solde (positif ou négatif) entre la trésorerie active (disponibilités) et la trésorerie
passive (concours bancaires courants).
Evolution de la trésorerie :
Analyse : Le F.R apparait suffisant pour couvrir le B.F.R cette suffisance engendre un équilibre
financier de l’établissement que nous appelons situation de la trésorerie qui est positif dans notre cas.
On remarque une instabilité au niveau de la trésorerie net, une augmentation pour l’année (2006-
2007), et une large diminution pour l’année (2007-2008).
Un ratio est un rapport entre deux éléments économiques ayant une relation de cohérence ou de
corrélation.
Un ratio est composé d’un numérateur et d’un dénominateur qui n’évoluent pas toujours dans le
même sens et pratiquement jamais proportionnellement. Il peut s’exprimer en pourcentage ou en
relativité.
Selon les éléments qui sont comparés, les ratios donneront une information susceptible d’informer
l’analyste financier sur un des nombreux aspects de l’entreprise qu’il souhaite mettre en valeur :
rentabilité, indépendance financière, etc.
52
2- Utilisation des ratios :
Les ratios peuvent être utilisés dans le but de mieux suivre l’évolution économique de l’entreprise.
Dans ce cas, le responsable financier établira à la clôture des comptes de chaque exercice un
ensemble de ratios qui seront comparés à ceux des exercices précédents.
Il sera intéressant d’établir sur des graphiques, l’évolution année par année, d’un certain nombre de
ratios jugés particulièrement intéressant. Une bonne connaissance de passé améliorera la qualité de
la prévision.
Les entreprises françaises disposent également de normes particulièrement instructives grâce aux
informations éditées par la centrale des bilans. Cet organisme, rattaché à la banque de France, édite
chaque année les ratios les plus caractéristiques par secteur d’activité. Les entreprises adhérentes
envoient à la centrale des bilans un ensemble d’éléments chiffrés extrêmement précis. La centrale
établit sur cette base un ensemble de ratios par type d’exploitation et les envoie aux entreprises
intéressées.
Il est donc possible à chaque entreprise de situer exactement sa position financière et ses
performances, dans son secteur d’activités. C’est à ce niveau que la méthode des ratios nous semble
la plus significative.
Les ratios les plus utilisés peuvent être classés en trois groupes :
53
3-1 Les ratios de structure de bilan :
Analyse :
R1 : on remarque une augmentation de ce ratio pour l’année 2007 due à l’accroissement des
investissements, puis une légère diminution causée par une augmentation des valeurs réalisables et
disponibles.
R2 : on remarque une diminution des valeurs d’exploitation durant les deux années due à l’activité de
l’entreprise qui ne détient pas un grand stock.
R3 : on constate une diminution des v réalisables et disponibles pour l’année 2007, puis une
augmentation.
Analyse : R4 : On constate une augmentation au niveau des capitaux propres pour les deux années.
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R5 : On observe une légère diminution des dettes à long terme.
R6 : On remarque une diminution des dettes à court terme durant deux ans.
Analyse : R7 : on constate que les ratios sont supérieurs à 100% durant les trois années, donc
l’entreprise respecte la 1ere règle de l’équilibre financier, ce qui signifie que le financement est par les
des capitaux permanents.
R8 : On remarque que les capitaux propres financent les immobilisations. Ce qui fait que le
financement est par les fonds internes.
R9 : On remarque que pendant les trois années étudiées, les ratios sont supérieurs à 50% qui
indiquent que cette entreprise est indépendante financièrement.
55
Analyse : R10 : on remarque que les ratios sont supérieurs à 100% durant les trois années. Donc
l’établissement est solvable et peut honorer ses dettes dans la mesure où les stocks et les créances se
transforment en liquidités dans un délai plus ou moins court.
R11 : les valeurs réalisables et disponibles ne sont pas suffisantes à couvrir la totalité des dettes à
court terme, on remarque une diminution pour 2007, puis une augmentation.
R12 : on constate que les disponibilités couvrent les dettes à court terme (de 69.93% en 2006), puis
une diminution considérable des deux années (29.01% en 2007 et 16.50% en 2008).
rentabilité est définie par un rapport entre le résultat obtenu et les moyens mis en œuvre. On réserve
le terme de rentabilité au résultat obtenu de la mise en œuvre d’un capital, de la rémunération des
autres facteurs notamment le travail à mesure par un prix payé, et du coût d’acquisition.
L’appréciation de la rentabilité dépend donc de l’enjeu de chaque agent dans l’activité économique
par l’immobilisation du capital. Il existe donc une grande diversité de point de vue suivant les
objectifs poursuivis.
Il existe à la fois un grand nombre de niveaux de mesure de résultats et des moyens mis en œuvre.
Fondamentalement, la rentabilité repose sur un surplus monétaire net, des soldes de toues les
dépenses et notamment de la dépense initiale dite d’investissement ainsi que toutes les recettes nettes.
C’est cette notion de rentabilité fondée exclusivement sur les flux financiers qui est à la base du
calcul économique appliqué à l’analyse de la décision d’investissement.
56
Il y a plusieurs types de rentabilités, mais d’après l’étude qu’on a faite on se base
Suivant les entreprises, les ratios ci-dessous sont considérés comme de bon indicateur de gestion de
simples données d’informations ou d’évolution, ce sont plus des ratios de constats que de décision.
Tous ces ratios indiquent l’évolution d’une forme particulière.
R= M a r g e b r u t e
Ventes de marchandises(CAHT)
R= Valeur ajoutée
CAHT
Si les structures sont constantes, ce ratio peut également provoquer des questions sur l’évolution des
structures de l’entreprise et de ses produits.
R= Résultat d’exploitation
CAHT
Ce ratio élimine les opérations financières et exceptionnelles qui n’ont rien à voir avec le chiffre
d’affaires.
57
Analyse : R14 : on constate que le résultat net en 2006 et 2007 est moins important qu’en 2008.
Capitaux propres+dettes
Analyse : R15 : on remarque que les ratios sont faibles suivant les résultats réalisées mais
considérable par rapport à la taille et la dimension de l’entreprise, on constate une diminution du
résultat net pour l’année 2007, puis une légère augmentation.
Dans une première approximation, la rentabilité financière mesure l’aptitude de l’entreprise à sécréter
des fonds pour assurer le renouvellement de l’outil de production et reproduire le développement sur
une base élargie.
La catégorie est le profil (Résultat net) rapporté à des grandeurs à l’origine de leur génération
(ventes, immobilisations et capitaux propres).
On parle alors, selon le dénominateur, du ratio rentabilité des ventes par rapport aux capitaux propres.
58
La rentabilité financière s’exprime alors par le rapport suivant :
Fonds propres
Remarque :
* Il faut analyser les endettements, s’ils procurent une richesse pour l’entreprise on peut dire qu’elle
est dans une situation favorable.
Mais dans l’approche nouvelle, l’endettement peut être efficace pour l’entreprise et on peut analyser
ça à partir d’effet de levier.
- Définition : C’est un nouveau concept introduit dans l’entreprise pour une meilleure gestion de
l’endettement.
- Formalisation :
* Si l’effet de levier est positif (la RF est supérieure au RE) c'est-à-dire qu’il a dégagé un bénéfice
supérieur à la somme de l’endettement.
* Si l’effet de levier est négatif (la RF est inférieure au RE) c'est-à-dire que l’entreprise doit réduire
ces endettements (effet de massue).
59
Analyse : R16 : Le ratio s’avère important en 2006 par rapport aux autres exercices soit « 6.36% »
qui représente la part du résultat net du total des fonds propres.
En 2007 le ratio a diminué à cause de l’augmentation des capitaux propres, on remarque une légère
augmentation pour l’année 2008.
((( Suite à l’analyse faite nous avons constaté que notre hypothèse est confirmée.)))
60
Dédicace ………………………………………………………………………………….2
Remerciements ……………………………………………………………………….......4
Sommaire…………………………………………………………………………………...5
Introduction ………………………………………………………………....6
61
3-1-1 La Variation des investissements………………………………..27
3-1-2 La Variation des stocks ………………………………………....29
3-1-3 La variation des créances ……………………………………….30
3-2 Passif ………………………………………………………………….32
3-2-1 Variation des fonds propres ……………………………………..33
3-2-2 Variation des dettes ……………………………………….…….34
4- Analyse du tableau des comptes de résultats……………………………...35
4-1 Le niveau de l’activité ………………………………………………..36
4-2 La structure de l’activité……………………………………………....36
4.2.1 La marge brute ……………………………………………….....36
4.2.2 La valeur ajoutée……………………………………………......37
4.2.3 La rentabilité de l’activité ………………………………….......37
4.2.3.1Le résultat d’exploitation …………………………….…..37
4.2.3.2Le résultat hors exploitation…………………………...…37
4.2.3.3 Le résultat brut de l’exercice……………………….……37
4.2.3.4 La capacité d’autofinancement…………………………..37
Section 2 : Passage du bilan comptable au bilan financier ……………………………...39
1- Le redressement du bilan ………………………………………………..39
1-1 le bilan ……………………………………………………………...39
1-1-1 L’actif immobilisé …………………………………………….39
1-1-2 L’actif circulant …………………………………………….....39
1-2 Le passif…………………………………………………………….40
1-2-1 Les capitaux permanents ……………………………………..40
1-2-2 Les dettes à court terme ………………………………………40
2- Définition de l’équilibre financier ………………………………………41
3- Les objectifs de l’équilibre financier ……………………………………42
4- L’équilibre financier minimum …………………………………………42
5- limites de la règle de l’équilibre financier ……………………………...43
6- Les différents agrégats de l’équilibre financier …………………………45
6-1 Le fond de roulement……………………………………………45
6-1-1 Fonds de roulement propre ………………………………..45
6-1-2 Fonds de roulement étranger……………………………...46
6-1-3 Fonds de roulement permanent ………………………………..46
6-1-4 Fonds de roulement net …………………………………….…46
62
6-1-5 Fonds de roulement « brut » ou « économique »……………….47
6-2 Le besoin de fonds de roulement …………………………………...47
6-3 La trésorerie ………………………………………………………....51
6-3-1 La gestion de la trésorerie ………………………………………..51
6-3-2 Les concepts de trésorerie………………………………………...51
Conclusion générale……………………………………………………………………… 64
CONCLUSION GENERALE
63
L’analyse financière est une pièce maitresse pour l’évolution et la prise de décision des
dirigeants des entreprises mais le choix reste toujours subjectif, de même l’analyse financière
doit être toujours dynamique pour répondre aux changements des différents indicateurs de
performance macroéconomique et les différents ratios de conjoncture économique nationale et
internationale. L’analyse financière concerne la politique générale de la firme :sa naissance,
sa croissance et son autonomie.
En effet, au cours de notre stage qui s’est déroulé au sein de SONTECHOM , nous avons
essayé de mener une étude des bilans financiers et des tableaux de compte des résultats des
indicateurs de l’équilibre financier (FRN , BFR , TR ) et la méthode des ratios et une autre sur
l’analyse de l’activité (les soldes intermédiaire de gestion, la capacité de l’autofinancement et
la rentabilité) à travers trois exercices 2006 et 2007 et 2008 . Pour cela, nous avons vérifié les
trois questions principales en concluant que l’analyse financière est un outil d’amélioration
de la performance de l’entreprise SONTECHOM.
Nous espérons que ce travail sera utile à l’entreprise SONTECHOM, ainsi qu’aux futures
promotions de notre université.
64