AU 

: 2021-2022

DIRECTION GENERALE DES ETUDES TECHNOLOGIQUES

INSTITUT SUPERIEUR DES ETUDES TECHNOLOGIQUES DE
RADES

Rapport de
Stage d’initiation

Réalisé par :
Guesmi Jihen

Encadrée par :
Khadrali Faouzi
Ben Slama Mourad

Filière :
1ère année Génie Mécanique

Effectué au sein de la société : TRANSTU

Période De Stage :
D17 Janvier 2022 – 12 Février 2022

Sommaire
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Remerciements……………………………………………………………………………………….….3
I-Introduction………………………………………………………………….………………………..4
II-Présentation de la société TRANSTU…………………………………………………………….….5
III-Etude Bibliographique…………………………………………....……..……………………….….7
1-Présentation: Métro CITADIS………………………………..……..……………………..…………8
2-Présentation du bogie moteur: Métro CITADIS…………………………………………………….13
IV-Les tâches effectuées………………………………………………….……………………………18
V-Conclusion…………………………………………………………..………….. ………………….30

Remerciements

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 Je tiens au début de ce travail à exprimer mes vives gratitudes et respects envers le président directeur
de TRANSTU et les formateurs qui m’ont facilité mon stage et m’ont offert l’occasion d’accéder à une
formation professionnelle qualifiante et complète pour ma spécialité.

J’adresse ma reconnaissance aux cadres ingénieurs et techniciens du dépôt matériel de la TRANSTU

(réseau métro) en l’occurrence Mr Kamal ainsi que mes encadreurs Mr Faouzi et Mr Kamel qui m’ont
consacré toute la période du stage et m'ont aidé à plus comprendre ce que je dois exactement rédiger dans le
rapport. Il est indispensable de ne pas rater cette occasion pour exprimer ma gratitude et mon respect à tous
mes professeurs à l’institut supérieur des études technologiques de Rades.

Enfin je remercie toute personne qui a participé d’une façon ou d’une autre à l’accomplissement de mon
travail.

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 I- Introduction

L’institut supérieur des études technologiques de Rades encourage le stagiaire à marquer sa présence
dans la vie professionnel. Un stage est une activité dans le monde professionnel pour améliorer nos
connaissances et l’appliquer au monde pratique.

La première rencontre avec l’industrie est effectué par ce stage d’initiation qui nous a permis de
toucher le monde professionnel de prêt, aussitôt nous aide à pratiquer nos connaissances et pour cela
la société TRANSTU m’a offert de s’intégrer au sein de leur société pour pratiquer et vivre la vie
professionnelle et avoir connaissances sur les différents tâches de l’entreprise.

Dans ce rapport, je vais essayer de récapituler ce que j’ai vu pendant mon stage qui s’est déroulé de
17/01/2022 au 12/02/2022.

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 II- Présentation générale de la société
TRANSTU

 La société de transport de Tunis (STT) dont la dénomination commerciale est TRANSTU, est une
entreprise publique tunisienne chargée de la gestion de transport des passagers sur les réseaux
d’autobus et de métro léger de l’agglomération de Tunis ainsi que l’exploitation de la ligne
ferroviaire TGM.
 Née en 2003 de la fusion entre la société nationale des transports (SNT) de la société du métro léger
de Tunis (SMLT), elle transporte chaque année une moyenne de 460 millions de passagers.

1. Historique de TRANSTU :

 1871 : Projet de construction de la première ligne ferroviaire du pays, Tunis La goulette concrétisée
en 1872.
 1885 : Mise en circulation du premier tramway tunisois hippomobile puis électrique en 1902.
 1903 : Première ligne ferroviaire de banlieue entre Tunis (Beb Saadoun) et la Mannouba.
 1930 : Première ligne d’autobus reliant Tunis (rue de Rome et place de la gare) Mutuelle ville et
Monflery.
 1944 : Remplacement des Tramways des trolleybus.
 1958 : Nationalisation des transports.
 1963 : Fondation de la société nationale du transport (SNT), chargée du transport routier public qui
se spécialise en 1964 dans le transport de passagers de l’agglomération de Tunis.
 1985 : Mise en service de la première ligne de métro léger entre Tunis et Ben Arous.

 2003 : Fusion de la SNT et de la société du métro léger de Tunis
 2008 : Mise en exploitation du 6ème linge reliant le centre-ville (Tunis) avec El Mourouj.
 2009 : Ouverture de la ligne 4 de 5,2 kilomètres en direction de l'Université de La Manouba.

2. Réseaux :

L’entreprise exploite trois réseaux :

 D’une part un réseau d’autobus d’une longueur de 6573,2 kilomètres dans Tunis et ses banlieues,
pour une population d’environ deux millions d’habitants, Les réseaux autobus comptent autour de
219 lignes régulières et exploités grâce à 1173 autobus, dont 318 articulés repérables par leur
couleur jaune et un numéro constitué en général d’une lettre minuscule et d’un nombre (en rouge)

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 D’autre part, un réseau de métro léger constitué de sept lignes principales
d’une longueur totale de 45.2 KM (voie double sens) avec en exploitation actuellement 173 rames :
134 rames de type SIEMENS et 39 rames de type CITADIS
 La ligne ferroviaire de TGM comporte quant ‘elles 18 rames circulant entre Tunis et La Marsa avec
une longueur de réseau 18 KM (voie double sens) qui est en voie de modernisation

3. Organigramme :
Général :
- Cadres : 644 / Personnel administratif : 385 / Technicien : 923
- Chauffeurs et chauffeurs: 3809 / Receveur bus : 22
- Conducteurs métro et TGM : 277 / Receveurs guichetiers (métro et TGM) :560 / Grade
(Contrôleurs) : 426

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 III- Etude Bibliographique

 Les tramways CITADIS d'ALSTOM :

La Tunisie a choisi des nouveaux tramways CITADIS viendront renforcer et renouveler le parc de la SMLT, qui exploite
un réseau de 32 kilomètres de métro léger composé de cinq lignes dans la capitale tunisienne, une ligne de banlieue
ainsi qu’un réseau de bus. Tunis est la première ville sur le continent africain à utiliser ces tramways !

Alstom est une multinationale française, aujourd’hui spécialisée dans le secteur des transports,

principalement ferroviaires (trains, tramways et métros).

Figure 1 : Une rame CITADIS Alstom

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1) Présentation : Métro CITADIS :
A) Définition : CITADIS :
Le CITADIS est un modèle de tramway à plancher plat produit par Alstom, à Aytré, près de La Rochelle. Il
est l'un des modèles les plus vendus en France et se fait une place de plus en plus importante à l'étranger. Le
concept du CITADIS permet, à partir de modules standardisés, de produire des tramways différents pour
chaque réseau client, notamment en utilisant une face avant au design personnalisé. De ce fait, le CITADIS
est produit en grande série pour des réseaux en France et à l'étranger. La marque CITADIS à également été
utilisée pour un projet, jamais réalisé, de rame de tramway, TRANSTU, dans le cadre du Concours Cavaillé,
dans les années 1970.

Dimensions - Longueur : 32 m - Largeur : 2,40 m - Hauteur : 3,45 m

Accès - Largeur de porte (simples) : 800 mm

- Largeur de porte (doubles) : 1300 mm

- Hauteur d’accès : 320 mm

- Hauteur du plancher : 350 mm

Capacité Nombre de passagers assis : 58

- Passagers debout (6 personnes/m²) : 208

- Nombre de passagers au total : 266

Performances - Vitesse maximale : 70 km/h

- Puissance : 4 x 120 KW

Dispositions particulières - Entièrement climatisé

- Baies voyageurs ouvrantes avec un système vidéo intérieur/extérieur

Tableau 1 : Caractéristiques techniques pour le CITADIS

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B) Fonctionnement du Métro CITADIS (Tunis Type) :

 Les Composants :

Rame : Groupe de voitures ou de wagons de chemin de fer effectuant un même parcours : Rame de métro.
Les rames sont composées de 5 modules articulés reposants (M1, M2, NP, C1, C2).

M : Caisse d’extrémité.

NP : Caisse centrale.

C : Caisse suspendue.

 M1 : Motrice Avant de la rame.

 M2 : Motrice Centre de la rame.

 NP : Nacelle (Porteuse ou Pantographe) recevant le pantographe.

 C1 : Caisse suspendue placé entre la Motrice et la nacelle.

 C2 : Caisse suspendue placée entre la Motrice Centre et la nacelle.

 Acrotère : L’acrotère est une pièce d’habillage placée sur le toit d’un métro qui permet de cacher les
éléments techniques dans l’ordre de sécurité.

 Jupe : Une jupe est une pièce d’habillage placée en bas d’un métro qui permet de cacher des éléments
techniques dans l’ordre de sécurité.

Figure 2 : Présentation de la rame

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 Nacelle Pantographe :
Appareil élévateur constitué d'une plateforme et d'un pantographe, qui permet
d'accéder à un poste de travail en hauteur.
Le pantographe est le dispositif articulé qui permet à une locomotive électrique ou à un tramway ou à
d'autres systèmes automoteurs électriques de capter le courant par frottement sur une caténaire.

Figure 3 : Les composants d’une Nacelle Pantographe

 Lignes Caténaires :
Une caténaire est un ensemble de câbles porteurs et de fils conducteurs destinés à l’alimentation des moyens
de transports électriques à captage du courant par dispositif aérien qui alimentent les métros en électricité en
passant par le pantographe.

Figure 4 : Lignes Caténaires

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 Chaine de traction :
Une chaîne de traction est un composant du train. Il s’agit d’un système installé sur
le toit ou au dessous du train. La chaîne de traction convertit l’énergie électrique, captée par le pantographe
depuis la caténaire, en énergie mécanique, permettant ainsi aux roues de tourner et donc au train d’accélérer
et de freiner.

Figure 5 : Explication du principe de la chaine de traction

 Bogie :
Un bogie, ou boggie, est un chariot situé sous un véhicule ferroviaire, sur lequel sont fixés les essieux (et
donc les roues). Il est mobile par rapport au châssis du véhicule (locomotive, wagon ou voiture) et destiné à
s'orienter convenablement dans les courbes.
Le mot bogie est un mot d'origine anglaise qui signifie cabriolet, c'est-à-dire un attelage hippomobile se
guidant facilement.
La fonction essentielle des bogies est de faciliter l'inscription en courbe. En effet, les bogies du véhicule
peuvent pivoter indépendamment les uns des autres, ce qui autorise des rayons de courbure plus faibles, et
un éloignement plus important entre les essieux (qu'ils soient moteurs ou porteurs).

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 Figure 6 : Un bogie (Porteur)

 La Différence entre les bogies :

On distingue donc deux grandes familles de bogies : les bogies moteurs avec moteurs dans le cas d'une
traction directe ou avec les pignons dans le cas d'une traction indirecte. Et les bogies porteurs (pas
de moteur), généralement plutôt dédiés au freinage et assurant la répartition des charges et le guidage.

Figure 7 : Les positions des bogies

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2) Présentation du Bogie Moteur : Métro CITADIS :

A) Dessin d’ensemble :

Figure 8 : Dessin d’ensemble du bogie moteur

Ensemble retour de
10 Ensemble Châssis 70 Bielle d’entraînement 130 courant sans plaque

20 Moteur de Traction 80 Patin magnétique 140 Les Shunts Moteur

Ensemble frein à disque Ensemble retour de

30 Suspension Secondaire 90 passif 170 courant

40 Amortisseur Vertical 100 Ensemble câblage 180 Garde boue moteur

Ensemble graisseur de
50 Amortisseur Transversal 120 Les Shunts 190 boudin sur bogie

Tableau 2 : Ensemble Bogie Moteur

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B) Moteur de traction :
Les moteurs de traction sont de type asynchrone triphasés et à cage d’écureuil,
Fermé et refroidit par fluide caloporteur à partir de 750V, un onduleur individuel à
IGBT alimente chaque moteur.
Chaque métro doit être équipé d'un moteur adapté à son utilisation.

Figure 9 : Moteurs de Traction

C) Les Amortisseurs :

Figure 10 : les différents amortisseurs du bogie

 Suspension Secondaire :
Chaque bogie est fixé à la caisse par l'intermédiaire des plaques de chacune des quatre suspensions
secondaires. Cet ensemble à pour objectif principal le confort. Elle supporte la caisse par rapport au châssis
de bogie et assure à la fois la suspension verticale et le rappel transversal.

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 Figure 11 : Suspension secondaire

D) Patin Magnétique :
Ce type de freins est réalisé par l’intermédiaire de 6 patins magnétiques par élément de rame. Une paire de
patin magnétique est montée sur chaque bogie ils se plaquent sur les rails lorsqu’ils sont alimentées afin de
faire ralentir ou arrêter le véhicule suivant les cas d’utilisation. Chaque patin magnétique est suspendu au
longeron de châssis pont du bogie.

Figure 12 : Patins magnétiques

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E) Frein à Disque passif :
Les freins mécaniques sont aussi appelés freins à friction. Ils équipent tous les
essieux des bogies moteurs et les roues des bogies porteurs. Ces freins sont mis en œuvre à l’aide d’un
dispositif hydraulique agissant sur un ensemble étriers du disque de freins

Figure 13 : Composition du frein à disque passif

10 Etrier De freinage 20 Garniture 70 Disque de Frein

TABLEAU 3 : Liste des pièces de l’ensemble disque de frein

 Etrier De freinage :
Essentiel pour le ralentissement du métro, l'étrier de frein permet aux plaquettes de pincer le disque de frein
plus ou moins fort, pour cela, l'étrier de frein reçoit sous pression, l'huile du circuit hydraulique qu'il
transforme avec le ou les pistons en force mécanique.

 Garniture :
La garniture de frein est le matériau qui est en contact avec les disques de frein lors du freinage et qui
permet de dissiper l'énergie cinétique du métro en énergie calorifique lorsque vous engendrez l'action
de freinage.

 Disque de Frein :
Représente uniquement une partie du système de freinage. Il pince le disque, ce qui a pour effet de ralentir la
rotation de la roue.

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Figure 14 : Ensemble Frein à disque passif

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 IV- Les Taches Effectuées

Pendant la période de mon stage que j’ai effectué avec un grand group mécanique. Le but de notre tâche
s’agit de réparer des bogies moteurs et aussi porteurs du métro de type CITADIS de sorte que j’ai réalisé 3
majeurs et importants parties.

 Nettoyage des pièces mécaniques :

Grâce aux Produits spéciaux comme :

– Le Dégraissant (dans quelques cas, l’essence est suffisant, fioul, huile ou huile spéciale).

Figure 15 : Huile Spécial Figure 16 : Dégraissant des pièces

mécanique

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 La sécurité des composantes obtenues avec :

 LOCTITE 222 (les shunts des roues) OU LOCTITE 542 (vis de coté moteur de traction) pour la
lubrification.
 Graisse pour éviter l’oxydation

Figure 17 : LOCTITE 222 Figure 18 : LOCTITE

542

 Serrer des vis avec un couple bien spécifique en utilisant un Clé Dynamométrique.

Figure 19 : Clé Dynamométrique

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  Pour indiquer la fin du serrage, on Fait le témoignage de toutes les vis, après
chaque serrage pour la sécurité avec l’Ecrimétal

l.

Figure 20 : Ecrimetal

 Poser ou déposer / monter ou démonter des organes du bogie Moteur Métro CITADIS.

1) Les outils utilisés :

Outillage standard du mécanicien :

- Les clés : clé à fourche, clé lunette, clé mixte, clé contre coude, clé à pipe, clé à choc (énergie
pneumatique), clé dynamométrique, clés à 6 pans : (serrage ou desserrage)

- le Cliquet américain

- Le manchon fixe

- Les douilles

- Les pinces : pince universel, pince coupante, pince à bec, pince à gaz

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 Figure 21 : Outillage Standard d’un labo mécanique

Les autres Moyens de Travail :

 Palan électrique : Un palan est un dispositif servant à lever ou à déplacer des matériaux. La force de
levage du palan est assurée par un treuil (ou une roue) sur lequel s'enroule un câble (fait de métal ou
de fibres synthétiques) ou une chaîne.

Figure 22 : Palan Electrique

 Note : On a généralement utilisé le palan pour par une bride pour déposer les roue de
n’importe quel type sur les bogies moteurs et porteurs.

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 Figure 23 : Un support du bondage

 Les vérins de levage de la rame puis déposer un certain bogie.

Figure 24 : Vérins de levage

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 Table de levage du bogie qui est placé sous une rame.

Figure 25 : Table de levage du bogie

 Des tréteaux sur lesquels le bogie sera placé

Figure 26 : Deux Tréteaux

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 Table de presse hydraulique (LARZEP Hydraulique) pour la compression
et la suppression du tout jeu trouvé entre les composants de la roue

Figure 27 : Compression des organes de la roue avec la presse hydraulique

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2) Certaines tâches à achever :

A) Lever une Rame pour déposer d’autres organes (essentiellement déposer un bogie)

1. Fixer la rame.
2. Isoler électriquement la rame en toute sécurité.
3. Démonter le carénage de la voiture pour le levage sur vérin à chaque point de levage de la
rame.
4. Organiser les 12 vérins de levage afin de mettre une voiture CITADIS.

Figure 28 : Rame levée

 Vérification du fonctionnement des vérins de levage par le pupitre des vérins.

Figure 29 : Pupitre des vérins de levage

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  Assurer le levage de la rame automatiquement avec le pupitre des vérins de
levage, à une hauteur approximative de 1,60 m, pour pouvoir déposer les
organes (exemple : un bogie à changer, une roue à changer).

B) Poser/Dépose un Bogie d’une rame :

 Déposer le bogie :

- Lever la rame à une hauteur approximative de 1,60 m par les vérins de levage.

- Ouvrir les TRAPPES de la rame

Figure 30 : Trappe ouverte

 Positionner la table de levage sous le bogie à déposer.

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 Figure 31 : Table de levage au dessous de La rame

 Descendre de la rame sur la table de levage jusqu'à ce que le bogie soit en contact avec la table de
levage.

Figure 32 : Bogie en contact avec la table de levage

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  Déconnecter tous les outils qui sont en contact avec la rame (bielles de barre
Anti-Roulis, amortisseurs verticaux, des câbles de la lubrification ou du
retour de courant, les suspensions secondaires).
 Mis à la bâche sur les étriers (faire le retour l’huile vers la centrale hydraulique).
 Décapotage (Desserrage de frein mécanique des étriers de frein).
 Relever la rame.
 Faire sortir la table de levage du bogie.

Figure 33 : Bogie déposé

 Utiliser le palan électrique avec la Prague et les anneaux afin de placer le bogie sur les tréteaux.
 Nettoyage des composants du bogie à changer.
 Poser le bogie :
 Faire les mêmes étapes précédentes dans l’ordre inverse.

C) Poser/Déposer une roue d’un bogie :

- Déposer la roue :

 Utiliser le palan électrique avec la bride afin de placer la roue sur la table de pression hydraulique

 Changer les 2 élastomères de la roue en utilisant la pression (en norme 500 bars ou 500*10^5pascal),
des vis de pression, 2 manilles de manutention : déposer la jante (2), le première élastomère (11), le
bondage (10), le deuxième élastomère (9).

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Figure 34 : Les composants (Organes) d’une roue

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 V- Conclusion

L’expérience que j’ai eu lors de mon passage à l’atelier mécanique de la TRANSTU, m’a été très
bénéfique, dans le sens ou il m’a permis d’acquérir des nouvelles connaissances pratiques.

Ce stage était une grande faveur car il m’a permis de connaitre l’importance d’un service de maintenance au
sein d’une entreprise. Une bonne maintenance allonge la durée de vie du matériel et réduit aussi les
investissements dans l’achat de matériel neuf.

Enfin, ce stage au cours des études est une faveur donnée par l’institut aux élèves pour mieux enrichir
leurs cultures technique et technologique dans le domaine industriel.

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