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Constante de Planck — Wikipédia https://fr.wikipedia.

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Constante de Planck
En physique, la constante de Planck, notée , également connue sous le nom de
« quantum d'action » depuis son introduction dans la théorie des quanta, est une constante Constante de Planck
physique qui a la même dimension qu'une énergie multipliée par une durée.

Nommée d'après le physicien Max Planck, elle joue un rôle central en mécanique quantique
car elle est le coefficient de proportionnalité fondamental qui relie l'énergie d'un photon à sa
fréquence ( ) et sa quantité de mouvement à son nombre d'onde ( ) ou, plus
généralement, les propriétés discrètes de type corpusculaires aux propriétés continues de
1
type ondulatoire .

Sa valeur, fixée par convention depuis le 20 mai 2019, est désormais à la base de la définition
du kilogramme.

Présentation L'énergie d'un électron dans un atome est quantifiée.

Unités SI joule seconde (J.s)


Historique Dimension M·L 2·T −1
Nature Grandeur scalaire
Cette constante a été initialement introduite par Max Planck dans l'étude de la radiation du
Symbole usuel
corps noir, comme rapport de proportionnalité entre l'incrément minimal d'énergie E d'un
oscillateur électriquement chargé et la fréquence f de l'onde électromagnétique associée. Par
la suite, en 1905, cet incrément quantifié d'énergie a été relié par Albert Einstein à un Lien à d'autres
quantum de l'onde électromagnétique elle-même, ce quantum lumineux se comportant grandeurs
parfois comme une particule électriquement neutre et non comme une onde
électromagnétique. Ce quantum fut finalement dénommé le photon. La relation ainsi mise
en évidence par Planck et Einstein relie l'énergie E d'un photon avec sa fréquence f ou sa =
fréquence angulaire ω : Valeur h = 6,626 070 15 × 10−34 J s

L'énergie en question, de l’ordre de 4 × 10−19 J pour un photon de lumière visible, est extrêmement petite par rapport aux ordres de grandeur
des énergies quotidiennes.

Dans de nombreux cas, la quantification de l'énergie implique que seuls certains niveaux d'énergie sont autorisés, et les valeurs intermédiaires
2
ne peuvent pas être atteintes .

Cette constante a joué un rôle primordial dans le modèle de l'atome d'hydrogène, proposé en 1913 et connu à présent sous le nom de modèle
de Bohr afin d'expliquer la présence des raies spectrales qui traduisent le fait que les fréquences du mouvement de l'électron autour du noyau
central ne sont pas quelconques, et de même que l'énergie correspondante est parfaitement bien déterminée. Niels Bohr admit qu'un électron
sur des orbites stationnaires ne peut pas émettre un rayonnement, contrairement à ce qui était soutenu en électromagnétique classique. Il émit
l'hypothèse qui devint la première condition de quantification de Bohr, à savoir que l'action de la quantité de mouvement sur une
orbite complète est un multiple entier de (constante de Planck). Cette idée est également connue comme l'« hypothèse quantique de
Planck ». On a

Faisant suite à la découverte de Planck, il fut reconnu que d'une manière générale l'action d'un système physique ne pouvait pas prendre
n'importe quelle valeur, mais était également quantifiée par un quantum d'action à présent dénommé constante de Planck. Cette approche
correspond à la première interprétation de la mécanique quantique, développée par Bohr et Sommerfeld, pour laquelle les particules existent
et ont des trajectoires, mais possèdent aussi des variables cachées contraintes par les lois de la mécanique quantique. Cette interprétation est à
présent désuète, remplacée par une approche où la notion même de trajectoire n'existe plus, et où toutes les particules sont représentées par
une fonction d'onde s'étendant dans l'espace et le temps : cette approche ne permet plus de définir l'action au sens classique du terme.

Plus généralement, en 1924, l'hypothèse de De Broglie sur la dualité onde-corpuscule généralise cette relation à une particule quelconque (et
non plus uniquement le photon) en reliant la quantité de mouvement d'une particule et sa longueur d'onde par une équation simple :

Cette hypothèse sera confirmée expérimentalement peu de temps plus tard, posant ainsi les bases de la mécanique quantique.

Constante réduite

L'hypothèse de de Broglie conduisit Erwin Schrödinger à proposer en 1925 que l'évolution d'une particule de masse m dans un champ
d'énergie potentielle est décrite par une fonction d'onde qui associe à chaque point de l'espace un nombre complexe (analysable en
un module et une phase) et qui satisfait à l'équation suivante :

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L'amplitude de la fonction d'onde normalisée est une distribution de probabilité : le carré de la fonction d'onde donne la probabilité de
mesurer la présence de la particule au point ; et la phase quantique est une rotation pure dans le plan complexe, dont la fréquence de
3
rotation dépend de l'énergie cinétique de la particule .

Si par exemple l'hamiltonien de la particule ne dépend pas explicitement du temps, la fonction d'onde peut se décomposer en une
fonction de l'espace et une fonction du temps. Une résolution par séparation des variables montre que l'équation est alors de la forme :

avec

De ce fait, dans de nombreux cas, en mécanique quantique, il est plus naturel de parler de la fréquence angulaire que de la fréquence
proprement dite, c'est-à-dire d'exprimer la fréquence en radians par seconde et non en hertz (ce qui correspond à la vitesse de rotation de la
phase dans l'espace réciproque). Dans ces formules, il est le plus souvent utile d'absorber le facteur 2π dans la constante elle-même, ce qui
conduit à utiliser la constante de Planck réduite (ou constante de Dirac), égale à la constante de Planck divisée par 2π, et notée (h-
barre) :

L'énergie d'un photon de fréquence angulaire ω=2πf s'écrit alors :

De même, le moment cinétique est alors relié au nombre d'onde par :

Ces deux relations sont les composantes temporelles et spatiales d'une formule de relativité restreinte portant sur des quadrivecteurs :

Caractérisation

Valeur
4
Lors de sa 26e réunion, le 16 novembre 2018, la Conférence générale des poids et mesures (CGPM) a décidé qu'à compter du 20 mai 2019 ,
dans le Système international d'unités (SI), la constante de Planck, h, est strictement égale à

h = 6,626 070 15 × 10−34 J s

ceci afin de définir le kilogramme à partir de cette constante.

Une grandeur associée est la « constante de Planck réduite » ou « constante de Dirac », notée et prononcée « h barre » :

▪ Valeur en joules-secondes :

▪ ≈ 1,054 571 818 × 10−34 J s.


▪ Valeur en électrons-volts-secondes :

▪ ℏ ≈ 6,582 119 570 × 10−16 eV s,


▪ Valeur en MeV-femtomètres :

▪ ℏ c ≈ 197,326 980 5 MeV fm,


5
Avant la réforme de 2019, la valeur de h se calculait à partir d'autres constantes physiques, par exemple ainsi :

où est la charge élémentaire de l'électron, la masse du proton, la masse de l'électron, la permittivité du vide, et la vitesse de la
lumière.

Dimension

En analyse dimensionnelle, la constante de Planck est homogène à une action . Sa dimension est ML2T–1 . Dans sa formulation initiale,
6, 7 8, 9

la constante apparaît comme le rapport d'une énergie (en joules) par une fréquence (en hertz), donc de dimension M·L 2·T −1. La constante de
Planck possède ainsi les dimensions d’une énergie multipliée par le temps. Il est également possible d’écrire ces unités sous la forme d’une
quantité de mouvement multipliée par une longueur.

De son côté, la constante réduite apparaît comme le rapport d'une énergie (en joules) par une fréquence angulaire (en radians par seconde), et
10
s'exprime donc en kg⋅m2⋅s−1⋅rad−1. Malgré l'identité des unités, ce n'est cependant pas physiquement un moment angulaire , qui a un
caractère pseudo-vectoriel, et dont la multiplication par une vitesse de rotation donne une énergie cinétique de rotation. C'est la constante par
laquelle l'énergie (un scalaire d'orientation 10) est divisée pour trouver la vitesse de rotation équivalente de la phase quantique.

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Incertitude

Depuis le 20 mai 2019, la constante de Planck est fixée par convention à la valeur de 6,626 070 15 × 10−34 kg m2 s−1 (ou J⋅s) exactement.

Avant sa fixation par la CGPM, elle était l'une des constantes physiques pour laquelle l'incertitude était la plus grande, une incertitude relative
de 1,2 × 10−8 (elle n'était dépassée sur ce plan que par la constante de Boltzmann (5,7 × 10−7) et la constante gravitationnelle (4,6 × 10−5), et
bien sûr la constante cosmologique très largement hors concours). Cette incertitude sur la constante de Planck était à son tour un facteur
d'incertitude sur d'autres constantes physiques dans la détermination desquelles elle intervient :

▪ la masse de l'électron, déterminée grâce à la mesure de la constante de Rydberg ;


▪ la charge élémentaire, déterminée grâce à la mesure de la constante de structure fine ;
▪ le magnéton de Bohr, défini à partir de la charge et de la masse de l'électron ;
▪ le nombre d'Avogadro, qui était déterminé à partir de la masse de l'électron dans un piège à ions de Paul ou de Penning (Il est
11
désormais fixé par convention à la valeur de 6,022 140 76 × 1023 mol−1, exactement .)

Mesure

En théorie, la constante de Planck pourrait être calculée à partir du spectre d'émission d'un corps noir, et c'est cette donnée physique qui en a
fourni la première estimation faite par Planck.

Les mesures les plus précises se fondent actuellement sur la balance de Kibble (anciennement appelée balance du watt, elle fait intervenir les
constantes de l'électron, et présuppose que la théorie sur l'effet Josephson et l'effet Hall quantique entier est correcte) et sur la mesure de la
densité d'un cristal par diffraction de rayons X (qui fait intervenir le nombre d'Avogadro). La difficulté de la mesure est illustrée par le fait que
ces deux méthodes ne donnent pas des résultats compatibles, sans que l'on puisse déterminer laquelle des deux est moins précise qu'attendu.

Un des enjeux d'une mesure précise de la constante de Planck a été de pouvoir donner au kilogramme une définition ne dépendant plus d'un
artefact, l'ancien kilogramme étalon détenu au Pavillon de Breteuil. Dans la mesure où l'incertitude sur la conservation de cet étalon est
devenue progressivement supérieure à celle sur la constante de Planck, il devient plus précis de mesurer la masse d'un kilogramme à partir
d'une valeur conventionnellement fixée de la constante de Planck (comme c'est déjà le cas pour la vitesse de la lumière), par l'une ou l'autre
des méthodes ci-dessus. C'est désormais le cas depuis mai 2019.

Interprétation physique

Quantum d'action

La physique quantique peut découler du principe suivant : il n'existe pas de système physique présentant un changement inférieur à entre
12
deux observations . De là on peut montrer qu'entre deux observations séparées par un intervalle de temps Δt, la variation d'action observée
12
étant toujours supérieure à , le produit de la variation d'énergie E par la variation de temps doit vérifier

Il en sera de même pour tout couple de grandeur physique dont le produit a la dimension d'une action, en M·L 2·T −1, comme la position et la
quantité de mouvement.

Grandeur physique

La valeur numérique de toute constante dépend du système d'unités dans lequel elle est exprimée. Dans le système international d'unités, la
constante de Planck est l'une des plus petites valeurs numériques apparaissant en physique. Ceci reflète le fait qu'à une « échelle humaine »,
où les énergies se comptent typiquement en kilojoules et les temps en secondes ou en heures, le quantum d'action est extrêmement faible. La
constante de Planck peut ainsi être vue comme une constante de l'échelle subatomique. Le système d'unité atomique se fonde sur cette
constante.

On peut considérer inversement que la petite valeur numérique de la constante de Planck vient de ce que les systèmes physiques traités dans la
vie courante sont formés d'un très grand nombre de particules (valeurs par exemple proche du nombre d'Avogadro). Par exemple, un photon
de lumière verte de longueur d'onde de 555 nm (le maximum de sensibilité de l'œil humain) a une fréquence de 540 THz, et chaque photon a
donc une énergie de E = hf = 3,58 × 10−19 J. Cette valeur est extrêmement faible par rapport aux énergies à « échelle humaine » (autour du kJ)
et ne correspond donc pas à notre expérience quotidienne (et pourtant, il suffit de quelques photons de cette énergie pour donner une lumière
détectable à l'œil). Si en revanche on considère l'énergie contenue dans une mole de photons, en la multipliant par le nombre d'Avogadro
6,022 × 1023 mol−1, on trouve finalement une énergie de 216 kJ mol−1, plus proche d'une « échelle humaine ».

Quantification

La constante de Planck est utilisée pour décrire les phénomènes de quantification qui se produisent avec les particules et dont certaines
propriétés physiques ne prennent que des valeurs multiples de valeurs fixes au lieu d'un ensemble continu de valeurs possibles. Par exemple la
fréquence d'une particule est reliée à son énergie, laquelle est quantifiée dans certaines situations (électron dans un atome par exemple) :
.

On retrouve de telles conditions de quantification dans toute la mécanique quantique. Par exemple, si est le moment angulaire total d’un
système et le moment angulaire du système mesuré sur une direction quelconque, ces quantités ne peuvent prendre que les valeurs

▪ , avec ;

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▪ , avec : .

En conséquence, est parfois considérée comme un quantum de moment angulaire, y compris le quantum de spin, c'est-à-dire que le moment
angulaire de n’importe quel système, mesuré par rapport à n'importe quel choix particulier d'axe, est toujours un multiple entier de cette
valeur.

Principe d'incertitude

La constante de Planck réduite apparaît également dans les énoncés du principe d'indétermination de Heisenberg. L’écart type d’une mesure
de position et celui d’une mesure de quantité de mouvement le long du même axe obéissent à la relation

Ce principe peut également s'énoncer sous la forme

où est la masse de l'objet considéré, supposée constante, et sa vitesse.

Unités de Planck

La constante de Planck réduite est également employée comme constante fondamentale exprimant l'échelle quantique, dans le système
d’unités dit des unités de Planck, ainsi que dans le système d'unités atomiques.

L'intérêt du système d'unités atomiques est que la constante de Planck y ayant par définition une valeur exacte égale à l'unité, l'incertitude sur
sa mesure ne se répercute pas sur les résultats d'une mesure physique lorsqu'elle est exprimée dans ces unités, seule intervient l'incertitude sur
la mesure de la grandeur physique elle-même.

Inversement, les unités de Planck sont généralement connues avec une mauvaise précision, l'imprécision majeure étant celle introduite par la
constante gravitationnelle.

Autres domaines

Cette constante est (entre autres) utilisée dans :

▪ le calcul du spectre électromagnétique du corps noir ;


▪ le calcul de la variation de longueur d'onde par la théorie quantique ;
▪ le calcul de la norme du moment cinétique orbital, de celles du moment magnétique orbital ou encore du spin d'un électron ; on l'utilise
aussi pour le calcul du spin des autres particules élémentaires (proton et neutron en particulier, mais encore du spin des autres bosons
et leptons), ainsi que le spin de leurs groupements, mais cette constante est utilisée aussi en magnétisme corpusculaire.

Première et seconde constantes de Planck de luminance


Dans la théorie des corps noirs, notamment pour l'expression de la luminance, on utilise deux autres constantes de Planck appelées C1 et C2 :

▪ C1 = 3,741 5 × 10−16 W m2 sr−1, soit C1 = 1,190 5 × 10−16 W m2 ;


▪ C2 = 1,438 8 × 10−2 m K.

Origine de la notation
13 14
Le symbole h de la constante de Planck est dû à Planck lui-même . Il apparaît pour la première fois dans une communication faite par
15
Planck le 14 décembre 1900 à la Société allemande de physique . Selon les auteurs, la lettre h est l'abréviation des mots en allemand
16 17, 18 19
Hilfsgröße (« variable auxiliaire ») , Hilfe! (« à l'aide ! ») ou encore Helfen (« aider ») .
20 21
Le symbole ħ de la constante réduite est dû à Paul Dirac (1902-1984) . Celui-ci l'a proposé pour la première fois dans un article paru en
22, 23
1926 .

Représentation informatique
La constante de Planck possède les représentations Unicode suivantes :

▪ : U+210E (constante de Planck) ;


▪ : U+210F (constante de Planck réduite sur 2π) ;
▪ en LaTeX, s'écrit \hbar.

Notes et références

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Constante de Planck — Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Constante_de_Planck

1. Jean-Marc Levy-Leblond, Alain Laverne, article "Mécanique 10. Constante de Planck (http://www.formules-physique.com/categorie
quantique", Encyclopedia Universalis /1245), Formules de physique.
11. « Projet de résolution A – 26e réunion de la CGPM (13-16
« «Les relations de Planck-Einstein ( ) et de novembre 2018) » (https://www.bipm.org/utils/fr/pdf/CGPM/Draft-R
De Broglie ( ) lient des propriétés de type esolution-A-FR.pdf) [PDF]
corpusculaire (énergie et quantité de mouvement
12. Approche due à Niels Bohr, d'après Christoph Schiller, Motion
d'entités discrètes) à des propriétés de type Mountain vol. IV, p. 16.
ondulatoire (périodicités spatio-temporelles). Plus
13. Taillet, Villain et Febvre 2018, s.v.h, p. 353, col. 1.
précisément, elles permettent de cerner le domaine
de validité approximative de ces concepts. C'est là 14. Aslangul 2018, p. 110, n. 49.
l'un des rôles essentiels des fameuses relations de 15. Jean-Claude Boudenot (préf. Claude Cohen-Tannoudji), Comment
Heisenberg, dites encore relations d'incertitude.» » Einstein a changé le monde, Les Ulis, EDP Sciences, hors coll.,
janvier 2005, 1re éd., 187 p., 24 cm (ISBN 978-2-86883-763-9,
2. Albert Einstein, Physics and Reality, vol. 132, 2003 EAN 9782868837639,
(DOI OCLC 61762452 (https://worldcat.org/fr/title/61762452),
BNF
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t_Einstein.pdf)), chap. 4, p. 24 , SUDOC 08469596X (https://www.sudoc.fr/08469596X),
présentation en ligne (https://laboutique.edpsciences.fr/produit/289
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discrete succession of energy value Hσ to a system =9ShCF-9yloEC)), p. 138.
specified in the sense of classical mechanics (the 16. (de) M. Planck: Zur Theorie des Gesetzes der Energieverteilung im
energy function is a given function of the Normalspektrum. Verhandlungen der Deutschen physikalischen
coordinates qr and the corresponding momenta Gesellschaft 2(1900) Nr. 17, S. 237–245, Berlin (vorgetragen am
pr)? The Planck constant h relates the frequency 14. Dezember 1900)
Hσ/h to the energy values Hσ. It is therefore 17. François Vanucci, Le vrai roman des particules élémentaires,
Dunod, 2011 (lire en ligne (https://books.google.de/books?id=xlJsB
sufficient to give to the system a succession of
hbnfhkC&pg=PT27)), chapitre 4, page 27.
discrete frequency values. »
18. Parenthèse culture 15 - La révolution quantique (https://www.youtu
3. Christoph Schiller, Motion Mountain vol. 4, p. 88. be.com/watch?v=8vNtPd_4E74), Étienne
Klein (27 mars 2014) IFG. La scène se produit à 13:40.
4. Résolution CGPM (https://www.bipm.org/utils/fr/pdf/CGPM/Draft-R
esolution-A-FR.pdf) 19. Alberto Pérez Izquierdo (trad. de l'espagnol par Nathalie
Renevier), La révolution de l'infiniment petit : Planck et la physique
5. Y. Heymann, Euclid and the Age of the Universe, Amazon, KDP
quantique [« MAX PLANCK - La teoría cuántica : La revolución de
Self-Publishing, 2021, 66 p.
lo muy pequeño »], Paris, RBA France, 2013, 167 p.
6. Aslangul 2018, p. 217. (ISBN 978-2-8237-0153-1), p. 9
7. Taillet, Villain et Febvre 2018, s.v.Planck (constante de), p. 570, 20. Taillet, Villain et Febvre 2018, s.v.ħ, p. 353, col. 1.
col. 2.
21. Kragh 1990, p. 23.
8. Aslangul 2018, p. 309.
22. Kragh 1990, p. 319, n. 22.
9. Taillet, Villain et Febvre 2018, s.v.action [sens 1], p. 11, col. 1.
23. Kragh 1990, p. 305.

Voir aussi
Sur les autres projets Wikimedia :
Bibliographie
constante de Planck, sur le Wiktionnaire
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

▪ [Aslangul 2018] Claude Aslangul, Mécanique quantique, t. 1 : Fondements et premières applications, Louvain-la-Neuve, De Boeck
Supérieur, coll. « LMD / Physique », septembre 2018, 3e éd. (1re éd. septembre 2007), XXVII-715 p., 24 cm (ISBN 978-2-8073-1555-6,
EAN 9782807315556, OCLC 1055765279 (https://worldcat.org/fr/title/1055765279), BNF 45568601 (https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb455686016.public),
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▪ [Kragh 1990] (en) Helge Kragh, Dirac : a scientific biography [« Dirac : une biographie scientifique »], Cambridge, CUP, hors coll., juin 1990
(réimpr. juillet 2005), 1re éd., X-389 p., 24 cm (EAN 9780521380898, OCLC 708371117 (https://worldcat.org/fr/title/708371117),
BNF 35502544 (https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb35502544d.public), Bibcode 1990dsb..book.....K (https://ui.adsabs.harvard.edu/abs/1990dsb..book.....K),
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ations-physics/dirac-scientific-biography?format=HB), lire en ligne (https://books.google.com/books?id=zXm1Bso1VREC)).
▪ [Taillet, Villain et Febvre 2018] Richard Taillet, Loïc Villain et Pascal Febvre, Dictionnaire de physique, Louvain-la-Neuve, De Boeck Supérieur,
hors coll., janvier 2018, 4e éd. (1re éd. mai 2008), X-956 p., 24 cm (ISBN 978-2-8073-0744-5, EAN 9782807307445,
OCLC 1022951339 (https://worldcat.org/fr/title/1022951339), BNF 45646901 (https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb456469019.public),
SUDOC 224228161 (https://www.sudoc.fr/224228161), présentation en ligne (https://www.deboecksuperieur.com/ouvrage/9782807307445-dictionnaire-de-physiqu
e), lire en ligne (https://books.google.com/books?id=pjlFDwAAQBAJ)).

Articles connexes
▪ Corps noir ▪ Rayonnement électromagnétique
▪ Relation de Planck-Einstein ▪ Équation de Schrödinger
▪ Loi de Planck ▪ Dualité onde-particule
▪ Mur de Planck ▪ Effet Hall quantique
▪ Temps de Planck ▪ Constante physique
▪ Longueur de Planck ▪ Unités de mesure en physique

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Liens externes
▪ (en) Quantum of Action and Quantum of Spin - Numericana (http://www.numericana.com/answer/constants.htm#h)
▪ (en) NIST - CODATA recommended values - Planck constant (http://physics.nist.gov/cgi-bin/cuu/Value?h)

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