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Approche plus vague que méthode

Approche 1 : Valeur actuelle ; performance ; sa capacité à générer des CF.


Approche 2 : La comparer avec d’autres entreprises sur le marché : je dois prendre une valeur
proche à cause de fluctuations ; elle prend en considération la sensibilité du marché.
Approche 3 : Se basant sur son patrimoine + Goodwill + corrections (retraitements)
Approche 4 : Méthode des options réelles (non donnée), non pratiquée, floue par rapport à la
réalité.

Evaluation d’entreprise
8 mars quiz en distantiel
15 ou 16 mars la présentation du rapport
Recherche des variables pour chaque méthode + interpréter les résultats trouvés (3
valeurs).
Capture d’écran de chaque valeur.

Service par un expert fait aux propriétaires d’entreprises avec justifications pour lui
convaincre.
On peut évaluer un élément qui peut ne pas avoir un marché (ma fye rouh echtri metl brevet ;
je crée un marché)

Je peux évaluer des éléments dont la valeur fluctue avec le temps (immobilisation).

Le bilan donne l’image de l’entreprise.

En finance : emplois (actifs économiques) (tout ce qui fait fonctionner l’entreprise : création
de valeur) et ressources : passif (comment sont financés ces emplois).
La société est financée par 2 méthodes : ses propres moyens (apport des actionnaires) ou
endettement auprès des financeurs (les banques).

J’achète seulement les actifs payés par son propre argent non pas par dette, donc j’évalue
seulement les CP, on ne peut pas évaluer l’entreprise par rapport à ses actifs économiques car
y a certains sont financés par dette, entreprise n’est pas totalement propriétaire de tous les
actifs. Pour une entreprise cotée elle est valorisée par ses actions donc ses capitaux propres.
Actionnaires propriétaires de l’entreprise donc si je veux l’acheter je vais prendre leur place.

Je génère de l’argent en contrepartie des coûts sinon elle ne peut pas continuer, elle crée de la
valeur, elle faut qu’elle réalise un profit. Donc on évalue sa capacité de création de valeur, sa
valeur dépend du moment qu’on décide de l’évaluer, fluctuation de la création de valeur ,
valorisation n’est pas ponctuelle ; à chaque fois il y a un évènement, je dois l’évaluer.

Fusion : pour devenir une seule entité ; j’évalue A et B pour savoir la part de chacune, puis
j’évalue la société résultante. Si j’ai 2 concurrents qui fusionnent, je vais acquérir une force
sur le marché (un pouvoir) force de négociation avec mon fournisseur. (synérgie entre les
entités donc création de valeur) ( le résultat de fusion n’est pas simplement a + b mais c’est
a+b + valeur crée).

OPA : offre publique d’achat : je propose de l’acheter à tel prix ; tous les propriétaires
d’action ont le choix de me vendre ou non. (Assez violente) j’absorbe tous les actionnaires
pour devenir majoritaire.
OPE : offre publique d’échange : je leur propose de prendre une action de l’entreprise et leur
donner ma part dans une autre entreprise.
OPRO : n’est faite que lorsque je détiens 95 % des actions de l’entreprise, je les oblige de me
vendre leurs parts et donc se retirer de l’entreprise.

IPO : pour estimer sa première valeur avant de s’ajuster dans le marché boursier.
LBO : montage financier qui consiste à acheter une cible en s’endettant. Condition : cible doit
être capable de générer des CF qui peuvent rembourser l’emprunt donc la cible doit être très
rentable. Je vais négocier mon emprunt.

Contexte fiscal : pour pouvoir payer les impôts.

Contexte juridique : Estimer la valeur de chaque entreprise dans le groupe.

On fait correspondre l’offre et la demande dans le marché pour avoir la valeur juste du bien.
Marché en ligne (fictif) mais c’est un marché où se rencontre l’offre et la demande.

Entreprise cotée : 1 action * nb des actions = «market capitalisation » pour savoir sa valeur
sur le marché boursier. On ne l’évalue pas, sa valeur est déjà publique, déjà affichée.

Homme de l’art : expert

Page 17 : on peut fonder notre estimation sur des arguments différents ; dépend de la
perception ; plusieurs valeurs mais un seul prix ; qu’on va payer et sur lequel on va être
d’accord.

Plusieurs valeurs pour un seul prix car y a plusieurs méthodes pour estimer la valeur pour
négocier le prix (réellement payé).
Pour évaluer une entreprise j’ai besoin des données (des informations) pour cela je fais un
diagnostic général de l’entreprise.

Capacité administrative : s’assurer si le processus est fluide aw badda l ossa ktir signatures
(fluidité de l’information).
Lorsqu’on fait l’audit dans le but d’évaluer l’entreprise je fais appel à des structures externes.
Audit industriel ou de production : fait par un ingénieur.
Audit commercial : mkg
Audit juridique : avocats.
On commence par l’audit puis on termine par l’évaluation.

But de l’analyse stratégique :


1. Je dois être capable de définir exactement ce que fait l’entreprise.
2. Connaitre tout ce qui entoure l’entreprise (parties prenantes) : concurrents – banque –
fournisseurs – état (tout ce qui influe l’activité)

3. Quelle stratégie est adoptée par l’entreprise (s’élargir ; acquérir une autre part sur le
marché ou bien concentrée sur une niche, proportion d’une clientèle : stratégie de
niche).

Pour les définir je dois répondre aux questions (slide 24) :


Barrière à l’entrée : brevet – certification (me protéger contre les concurrents : je mets des
barrières)
Réglementation : commercialiser un produit interdit dans un autre pays.
Produit de substitution : cell phones ont remplacé les appareils photos (sont pas des produits
concurrents : ce n’est pas un téléphone de la même marque) : concurrence indirecte.

Pouvoir de négociation = rapports de force entre l’entreprise et ses clients. Eza ana monopole
b2dar 3alle l prix lal clients ad ma badde w eza ana l wahid li 3ambchtere men l fournisseur
be2dar watilo l prix li 3ambchtri menno.

6eme force de modèle de porter (1ère méthode pour évaluer la stratégie) : état


2ème méthode : SWOT matrice.

Slide 29 : viable : pérenne = a un avenir.


On peut être rentable dans le court terme ; mais ne pas vivre après.
Une société non rentable peut être viable.
Poids des capitaux propres et des dettes.

Bilan : à un instant T car je cumule les actifs et les passifs ; tout ce qui existe avant

Flux actualisé tjrs inférieur que le flux reçu dans le futur.


Méthode des CF : la seule basée sur des estimations.
Faiblesse : y a tjrs des chances d’erreur puisqu’elle est basée sur des hypothèses.

Approche du marché : point faible : risque d’erreur ; difficulté à trouver vraiment une
entreprise comparable.
Point fort : prend en considération le facteur du marché (valeur actuelle du marché) ; déjà
présent dans le prix ; critère très important.

Approche des coûts : ne prend pas en considération sa capacité de générer des bénéfices.

La meilleure approche dépend des informations que j’ai. Donc utiliser toutes les méthodes est
préférentiel.

Je ne peux pas appliquer ce multiple dans ce cas et je regarde un autre ratio, en cas d’un
résultat 0 ou négatif ce n’est pas que la société ne vaut rien ou n’a pas de valeur.

Chapitre 1
Les méthodes d’évaluation d’entreprise sont utilisées seulement pour les entreprises non
cotées en bourse.
On a besoin des informations qui vont servir pour déterminer la valeur, ces informations sont
fournies à partir d’un audit et des diagnostics.
Il n’y a pas de meilleure méthode mais je peux appliquer les 3 méthodes, chaque méthode va
me donner une valeur, ces valeurs je vais les classer pour pouvoir déterminer une fourchette
des prix : prix minimal & prix maximal, cette fourchette est respectée lors des négociations.
L’évaluation de l’entreprise se fait par un professionnel expert capable de savoir quel type de
méthode appliquer et si l’information influe l’évaluation de la valeur de l’entreprise.
Chaque méthode d’évaluation peut être appliquée pour n’importe quel type d’entreprise (en
théorie).
Si l’entreprise n’a pas de business plan, on ne peut pas appliquer la méthode de DCF car la
base n’est pas là.
La méthode patrimoniale n’est pas pertinente pour une entreprise en démarrage. Des éléments
que j’ai payés peu pour investir n’existent pas dans le patrimoine car l’entreprise en train de
démarrer, c’est une méthode non représentative.
La méthode des multiples n’a pas de sens pour les entreprises non rentables : example : valeur
d’une entreprise est égale à 2 fois son résultat d’exploitation, si le REX actuel = 0, on ne peut
pas dire que sa valeur = 0 ou ne vaut rien, ou a une valeur négative si le REX est négatif, je
regarde un autre multiple ou une autre méthode.

Méthode des discounted cash flow

Méthode longue et beaucoup de calculs.


La valeur de l’entreprise va correspondre à la somme des différents flux futurs qui seront
générés par l’entreprise donc pour cela et les actualiser.
J’estime les flux futurs allant de 1 (l’année prochaine) jusqu’à l’infini, l’année actuelle n’est
pas prise en compte, ce n’est pas une estimation.

La méthode DCF donne la valeur globale de l’entreprise c’est-à-dire total des actifs mais ce
n’est pas ce qu’on cherche, elle ne calcule pas les capitaux propres donc il faut enlever les
dettes pour retrouver la valeur de l’entreprise.

5 étapes :
Construire un plan d’affaires
Calculer flux de trésorerie
Estimer le taux d’actualisation
Calculer la valeur terminale ou finale
Calculer la valeur de l’entreprise.

Étape 1 :
Construire un plan d’affaires : Estimer (donner une perspective sur l’évolution des flux)
différents flux futurs, on a besoin d’informations sur revenus et charges, toujours construit en
interne car c’est ressenti, juste des perspectives (on peut faire recours à des organismes
externes).
Si par exemple business de logiciel, on ne peut pas estimer pour une durée de 10 ans ce n’est
pas pratique car ça évolue très rapidement et un logiciel peut être remplacé.
Cohérence entre charges et revenues qui doit être respectée.
CA : les ventes encaissées réellement et non. On raisonne en flux réel les encaissements (ne
pas prendre en correction les créances clients), on doit faire des corrections
(Stock + créances) – dettes fournisseurs = BFR
Variation BFR : N – (N-1) : cette année – l’année précédente.
Investissement = montant réel à décaisser, si les dépenses sont échelonnées je dois répartir les
charges réelles sur chaque année.
Dotations aux amortissements sont des charges prises en considération pour les impôts mais
pas réellement décaissées donc on les ajoute.
Attention aux informations hors exo.
REX = CA – charges d’exploitation, prévisionnel ni de N ni de N-1
Impôt = REX x taux d’IS

CMPC est le meilleur taux car calcule le poids des dettes et les CP donc toute la structure
financière de l’Enterprise.

Actualisation : on divise par 1+ taux d’actualisation r


Capitalisation : on multiplie par 1 + taux d’actualisation r.
N = nombre d’années.

Comme actionnaire, je vais exiger au minimum le taux sans risque mais je dois être payé un
petit plus qui est x þ (Rm – Rf), la beta est différente pour chaque entreprise, alors Rm et Rf le
même pour toutes les entreprises, þ = coefficient de sensibilité par rapport au marché, si beta
= 1, l’action réplique le marché. Si beta est inférieur à 1 donc on fait moins que le marché, si
beta négative donc on fait l’inverse du marché, si beta > 1, on fait un peu mieux que le
marché.
Valeur finale = valeur terminale car je ne peux pas estimer toutes les sommes futures de n
(l’année où je suis arrêtée) jusqu’à l’infini.
g = Taux d’évolution des FCF à partir de l’année 5 (supposition).
K = CMPC

FCF n (dernier CF que j’ai pu calculer) doit être sans actualisation dans le calcul de la valeur
terminale qui correspond à l’année n ; puis j’actualise la valeur terminale.

Points faibles de la méthode : erreur dans l’estimation.


Même dans MEDAF le Beta est estimé ; donc erreur d’estimation, ou erreur dans l’estimation
du taux de croissance.
TD2
On commence par la formule du cout moyen pondéré. Puisqu’on n’a pas le cout des CP , on
commence par la MEDAF : cout des CP = 7.18 %.
Cout de la dette = 5.5 %
Poids de la dette et des CP à partir du gearing : 91.74 % D = 9% x CP
D = 8.26 %.

CMPC = 6.86 %

Pour calculer le CA de N+5 : on prend le CA de N+4 et on multiplie par 1+ taux de


croissance.
Je prends taux de croissance de la 5eme année donc N+5 non pas N+4

Le ratio de dotations / CA est maintenu donc on calcule le ratio de N+4 on obtient 19.23 %
utilisé pour les autres années. Ce % est la proportion.

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