Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Rapport BNA
Réalisé par :
Chaguetmi Aya
Année universitaire
2019/2020
Remerciement
Je tiens à remercier toutes les personnes qui ont contribué au succès de mon stage et qui
m'ont aidé lors de la rédaction de ce rapport.
Tout d'abord, j'adresse mes remerciements à,Mr DjabeLkhir chaouki qui m'a beaucoup aidé
dans ma recherche de stage et m'a permis de postuler dans cette entreprise. Son écoute et
ses conseils m'ont permis de cibler mes candidatures, et de trouver ce stage qui était en
totale adéquation avec mes attentes.
Je tiens à remercier vivement mon maitre de stage, Mr fisli khaled pour son accueil, le
temps passé ensemble et le partage de son expertise au quotidien. Grâce aussi à sa
confiance j'ai pu m'accomplir totalement dans mes missions. Il fut d'une aide précieuse dans
les moments les plus délicats.
Je remercie également toute l'équipe E pour leur accueil, leur esprit d'équipe et en
particulier Mr ayadi oualid, qui m'a beaucoup aidé...
Enfin, je tiens à remercier toutes les personnes qui m'ont conseillé et relu lors de la
rédaction de ce rapport de stage
i|Page
Table des matières
REMERCIEMENT...................................................................................................................
........ I
TABLE DES I
MATIERES .................................................................................................................. I
INTRODUCTION
GENERALE ......................................................................................................... 1
CHAPITRE 01 : PRESENTATION DE L’ORGANISME
D’ACCUEIL ................................................... 3
1. Définition ................................................................................................................................................. 6
ii | P a g e
2. Le compte .............................................................................................................................................. 11
2.1. La clientèle de la banque ..................................................................................................................... 11
2.2. Les produits proposés par la BNA ........................................................................................................ 11
II SERVICE
. CAISSE.................................................................................................................. 18
SERVICE
III. PORTEFEUILLE .................................................................................................. 21
iv | P a g e
Introduction générale
Pour répondre aux exigences du nouvel ordre économique, financier et mondial, l’Algérie
a opté pour un vaste mouvement de réformes économiques et financières dont l’objectif
fondamental était le passage de l’économie planifiée et administrée vers l’économie de
marché. Cette transition historique, pourtant inéluctable, s’inscrit dans un cadre global de
mondialisation de l’économie, des finances, des échanges économiques et la globalisation de
plus en plus accrue des marchés de capitaux. En vue de faire face à cette évolution, notre
économie se doit de s’y adapter, d’y faire face et de se mettre au diapason.
Il va de soi que notre système bancaire doit aussi jouer pleinement son rôle
d’intermédiaire financier à travers notamment la collecte de l’épargne et la distribution de
crédit. La loi 90-10 du 14 Avril 1990, remplacée par l’Ordonnance 03-11 du 26 Août 2003
relative à la Monnaie et au Crédit, qui représente la pièce maîtresse de la réforme
économique, a axé toute sa préoccupation sur le système bancaire composé de banques et
établissements financiers. Désormais, l’activité, les missions, l’organisation et le mode de
fonctionnement se font dans la transparence et dans le respect de la réglementation en
vigueur.
Ainsi, un bon système bancaire doit être constitué de banques rentables, vu qu’elles
contribuent à la stabilité de toute l’économie. L’analyse de la rentabilité des banques est
donc importante, puisqu’elle permet de garantir sa pérennité, d’apprécier sa qualité de
gestion et constitue son potentiel à créer de la valeur.
Les banques dans leurs activités se trouvent exposées à des risques, et avec
l’amplification de la globalisation financière au début des années quatre-vingt caractérisée
par une forte libéralisation, la volatilité des services et produits bancaires ont conduit et ont
fait apparaitre de nouvelles menaces ou formes de risques, d’autant plus que la concurrence
est devenue de plus en plus aigüe. Cette instabilité du système bancaire international s’est
manifestée par des crises et des conséquences néfastes ayant affecté le monde entier. Dans
ce contexte d’incertitude et face à un environnement complexe et mouvant, les banques à
travers le monde, se sont retrouvées face à la double obligation de vigilance et de réactivité
1|P a g e
d’une part, et à la mise en place d’une stratégie claire et des instruments de pilotage
pertinents d’autre part.
Dans ce présent rapport j’ai choisi de présenter et d’illustrer tous les compartiments et
services de l’organisme d’accueil.
2|P a g e
Chapitre 01 : Présentation de
l’organisme d’accueil
Section 01 : Généralités
1. Définition d’une banque
Aux termes des articles 66 ,67 ,68 et 69 de l’ordonnance n° 03-11-du 26 Août 2003,
complétant et modifiant la loi n° 90-10 du 14 Avril 1990 relative à la monnaie et au crédit,
sont considérées comme Banque toute personne morale ayant pour profession habituelle
les opérations de banques qui sont :
Ils peuvent cependant utiliser leurs propres ressources pour effectuer toutes les autres
opérations à savoir : les opérations de crédit à la consommation, les opérations de courtage,
les opérations de change et les opérations de crédit à court terme et d'escompte.
3. Rôle de la banque
Les banques collectent dépôts, octroient des crédits et doivent donc contribuer activement au
financement de l'économie. Le rôle des banques est aussi de stabiliser l’économie en empêchant les
crises du système financier. Si les banques sont bien régulées cela peut contribuer à la croissance et
favoriser l'émergence. Tandis que, si ces dernières sont mal gérées, cela peut générer des crises
bancaires qui vont paralyser l’économie dans son ensemble.
3|P a g e
• L’intervention des banques pour combler les déficits budgétaires.
• Les banques créent de la monnaie.
• Assurer de la liquidité à ses clients.
D’où la nécessité d’un système bancaire pertinent pour pouvoir répondre è ces besoins et ces
évolutions.
Satisfaire leurs clients et répondre à leurs besoins est la principale préoccupation de toute banque.
Dans ce contexte la banque veille à réaliser les objectifs pour lesquels elle est conçue qu’on peut
résumer dans les points suivants :
• Veiller à ce que tous les produits proposés par l’agence soient cernés et compris par le client.
• Améliorer la performance des services de l’agence.
• Améliorer la rentabilité de la banque en mettant à la disposition du personnel les moyens
nécessaires.
• Apporter un plus à l’économie.
• Satisfaire le client pour le fidéliser et ne pas lui donner une raison pour se diriger à une autre
agence
Pour remédier à cette situation, l’Etat décide, à partir de 1966, de prendre en main le secteur
bancaire par la création de trois banques spécialisées, pour le remplacement du réseau bancaire
français défaillant alors :
1) Banque Nationale d’Algérie (la BNA) : créée par ordonnance du 13 Juin 1966, ayant pour
mission le financement des secteurs socialistes et privés.
2) Crédit Populaire d’Algérie (le CPA) : créée par ordonnance du 29 Décembre 1966, chargé
d’accorder des crédits aux petites et moyennes entreprises publiques ou privées, et de
développer l’artisanat, la pêche, le tourisme et l’hôtellerie.
3) Banque Extérieur d’Algérie (la BEA) : créée par ordonnance du 10 Octobre 1967, avec pour
mission, le développement économique avec l’étranger.
4|P a g e
La Banque Nationale d’Algérie, créée par l’ordonnance n°66-178 du 13 Juin 1966, était
directement placée sous tutelle de l’Etat à travers le ministère des finances jusqu’à la
promulgation de la loi 88-11 du 12 janvier 1988, date à laquelle la B.N.A devient une entité
juridique autonome, dotée du statut d’Entreprise Publique Economique (E.P.E).
En fait, la première banque commerciale qui a été créée fut la Banque Nationale d’Algérie qui
a repris, dès sa création, les éléments patrimoniaux et les activités des établissements
bancaires ci après ainsi que les patrimoines et activités des Caisses de Crédit Agricole, de la
Caisse Centrale des S.A.P et de la Caisse des Prêts Agricoles, à la date du 30 Septembre 1968.
Cette spécialisation découle du souci des pouvoirs publics à apporter au secteur autogéré agricole,
l’aide dont il avait besoin pour se développer et tendre à une production optimale, spécialisation
déléguée par la suite à la Banque de l’Agriculture et du Développement Rural (B.A.D.R) depuis Mars
1982 après la restructuration de la B.N.A.
L’application des réformes de la loi 90-10 du 14 Avril 1990, et la situation culminante des
performances de l’institution, satisfaisant, les conditions d’éligibilité prévues par la Banque d’Algérie
ont fait que, par délibération du Conseil de la Monnaie et du Crédit (le C.M.C) du 05 septembre 1995,
la B.N.A a obtenu son agrément. Elle est, ainsi, la première banque du pays à bénéficier de ce statut.
La B.N.A dispose d’un réseau d’exploitation très dense réparti sur l’ensemble du territoire
national. En effet, elle compte un vaste réseau de 171 agences, regroupées dans 17 Directions
Régionales d’Exploitation. Vous retrouvez en (Annexe 1) l’organigramme de la BNA.
5|P a g e
Section 2 : Présentation de l’agence BNA
AZZABA 485
1. Définition
L'agence constitue la cellule de base de l'institution et le noyau de l'action bancaire et c'est à ce
niveau que se traitent l'ensemble des opérations bancaires avec la clientèle.
Elle est chargée de mener toute action qui favorise l'accroissement des ressources de la banque et
le développement du portefeuille de la clientèle.
2. Description de l’agence
Les agences de l’établissement bancaire que constitue la B.N.A, sont classées, selon le volume
d’activité qui est fonction des pouvoirs conférés, en trois catégories :
En se référant, à la lettre n° 1741 du 10 novembre 1997, l’agence B.N.A 485 est une agence de
catégorie «B» pouvant, sous réserve du respect de la réglementation bancaire en vigueur, effectuer
toute opération de banque, au sens de la Loi sur la Monnaie et du crédit.
Dans ce cadre, l’agence 485 de azzaba comme tout autre agence B.N.A, doit par le biais des
moyens d’accueil et de traitement dont elle dispose, être en mesure de satisfaire la clientèle quel
que soit sa nature et son secteur d’activité. En outre, elle est tenue de traiter toutes les opérations
du commerce extérieur requises dans la limite des prérogatives conférées (rôle du service étranger
marchandises), de recevoir, d’étudier et de mettre en place les crédits dans la limite de ses pouvoirs
et d’assurer la gestion et le suivi de ceux-ci (fonction allouée au service crédit).
A l’effet de traiter l’ensemble de ces opérations, et pour accomplir, convenablement, ses missions
afin de répondre au mieux à ses engagements, l’agence 485 de azzaba s’est dotée d’un modèle
d’organisation d’une agence de deuxième catégorie, performant représenté d’une manière
sommaire. Voir (Annexe 2)
6|P a g e
➢ Service portefeuille (télé compensation).
➢ Service commerce extérieur.
Section
administrative Chargé de clientèle
Secrétariat Juriste
Contrôleur permanent
Directeur Adjoint
(post
e à pourvoir)
Page
4. Différents services de l’agence 485 azzaba
4.1. Service caisse
Les opérations de caisse constituent la base de l'ensemble des opérations bancaires.
On entend par service de caisse, l'ensemble des services matériels que doit offrir la banque à son
client pour lui permettre une utilisation la plus souple possible des fonds déposés sur un compte en
banque.
Le service caisse traite les opérations de mouvements de fonds reçus ou octroyé à la clientèle tels
que : versement, virement, retrait....
La banque :
Pour faire face aux différents besoins des clients, et afin de faciliter leur gestion commerciale, le
banquier procède avant tout à l'ouverture de comptes, qui constitue l'étape préalable est importante
avant toute nouvelle relation entre le client et sa banque.
Pour en faire, au niveau de chaque agence bancaire on trouve le service secrétariat engagement
qui est un organe de gestion et d'exécution.
8|P a g e
4.4. Service télécompensation
Le service est chargé de la remise des chèques, d'escompte des effets de commerce, émis par la
banque ou reçus des confrères.
La télé compensation est un système centralisé, avec un accès unique par participant, qui se
traduit par la suppression des chambres de compensation régionales, elle nécessite la centralisation
des remises et ordre de toutes les agences d'une banque sur un site central de la banque.
9|P a g e
Chapitre 02 : Les différents
services dans une agence bancaire
cas BNA AZZABA 485
I. Chargé clientèle
Le chargé de clientèle banque a pour mission de développer un portefeuille clientèle
(artisans, commerçants, professions libérales, particuliers…) et de suivre les comptes de ses
clients (100 à 700 selon les établissements). À l’écoute de ses clients, le chargé de clientèle
banque cherche à répondre à leurs besoins et leur propose des solutions adaptées :
demande de crédit, autorisation de découvert, placements, etc. Lorsqu’un incident survient,
il entre en contact avec eux pour s’informer sur leurs difficultés et tenter d’y remédier. Son
rôle est non seulement de conseiller mais aussi de fidéliser sa clientèle. Soumis à des
objectifs annuels chiffrés, le chargé de clientèle banque prospecte en permanence de
nouveaux clients, développe des arguments pour les convaincre, met en avant les nouveaux
produits, les offres liées à une premières souscription, propose des produits financiers
adaptés à leur situation (épargnes, prêts, cartes de paiement diverses, etc.).Le DOCA
s’articule autour d’un boitier électronique chargé de traiter l’ensemble des données capteurs
afin d’assister le conducteur à l’accostage.
10|P a g e
2. Le compte
C’est la convention qui existe entre deux personnes ou deux parties qui conviennent que toutes
les créances qui pourraient naître entre eux lorsqu’elles entrent dans le compte perdront leur
individualité pour devenir de simples articles de débit ou de crédit, et dont le solde qu’est le résultat
de leur compensation est le seul exigible au époques convenues.
I. Les particuliers : c’est les personnes non commerçantes ; on peut citer les salariés
comme personnes physiques et les associations comme personnes morales.
II. Les entreprises : c’est les personnes commerçantes qu’elles soient physiques,
sociétés individuelles, ou sociétés de personnes.
Ils sont ouverts pour les personnes non commerçantes : physiques (salariés) et morales
(associations et coopératives), ils ne peuvent jamais être en position débitrice. Modalités
d’ouverture : L’ouverture d’un compte chèque nécessite des documents requis par le client
en contrepartie la banque établira des autres pour le client, ces derniers figurent au tableau
ci- dessous :
11|P a g e
Types de personnes Documents requis Documents établis
Pièce d’identité officielle :
Physiques : Salariés. - Carte d’identité ou permis de
conduire. Carte diplomatique - Demande d’ouverture
(les diplomates). (annexe03)
- Attestation de travail. - Carte de signature
Morales : Associations et - Procès-verbal désignant les - Demande de carnets de
coopératives. gestionnaires du compte. chèques
- agrément
- Statuts
L’ouverture d’un compte courant nécessite des documents requis par le client en
contrepartie la banque établira des autres pour le client, ces derniers figurent au tableau ci-
dessous :
12|P a g e
2.2.1.3. Compte de devises
Un compte ouvert au nom d’une personne physique ou morale, dont les avoirs sont à vue
et dont l’unité monétaire est une devise (euro, dollar américain, livre sterling…).
Ce compte ne peut fonctionner en position débitrice.
Il permet de faire des opérations de :
- Retraits en monnaie étrangère.
- Versements en monnaie étrangère.
- Réceptions et émissions de virements en monnaie étrangère.
Nb : ce compte ne donne pas droit à un chéquier.
Le LEP est destiné à toute personne majeure de nationalité algérienne résidente ou non
résidente, ainsi qu’aux mineurs avec autorisation du représentant légal.
Une somme de 10 000.00 DA doit être versée à l’ouverture du compte.
Rémunéré à taux d’intérêts 2.5%.
13|P a g e
2.2.2. Le compte dépôt à terme
C’est un compte à terme ouvert à des personnes physiques et morales disposant d’un
certain capital placé pour une durée déterminée, rémunéré à des taux d’intérêts variables.
Caractéristiques :
La durée du placement s’étend de 3 à 36 mois :
Le montant minimal du placement est de 10.000DA.
Le DAT ne peut pas être anonyme.
Les intérêts sont servis à partir du 3ième mois suivant le dépôt.
Le montant du DAT est soumis à l’IRG (10%).
2.2.4. La bancassurance
C’est l’activité à travers laquelle la banque par le biais de son réseau d’exploitation
commercialise des produits d’assurance, moyennant une rémunération.
La BNA diversifie ses produits :
- Les produits d’assurance personne.
- Les produits d’assurance de biens assurance multirisques habitation.
NB : la banque distribue des produits d’assurance similaires à ceux que peuvent vendre les
compagnies d’assurances ou les mutuelles.
14|P a g e
NB : Les différents crédits que propose la banque seront détaillés par la suite dans le service
crédit.
Si le client saisi est une personne morale, le délai durant lequel le banquier est tenu est
porté à quatre ans.
15|P a g e
3.5. Saisie-arrêt judiciaire
C’est une procédure permettant à un créancier (le saisissant) de bloquer, en vue de les
appréhender, les actifs mobiliers de son débiteur (le saisi) qui se trouvent aux mains d’un
tiers (le tiers saisi). Une saisie-arrêt ne peut être pratiqué que par procès-verbal de saisie-
arrêt établi sous forme d’acte extrajudiciaire signifié par le greffier de la juridiction ou du lieu
où se trouvent les sommes et les effets à saisir-arrêter.
4. La clôture de compte
Un compte est considéré comme clos dans les cas suivants :
c) Saisie et mise à jour du dossier : A l'aide du micro l'exploitant procède à la saisie des
opérations de solde et clôture du compte, il porte par la suite sur le registre clôture
des comptes les renseignements suivants :
- La date de la clôture.
- Le nom et le prénom ou la raison sociale du client.
- Le numéro de compte.
- Le numéro de la clôture.
L'exploitant avise le client par une lettre de notification du délai d'expiration duquel compte
doit être soldée (une lettre recommandée avec accusé de réception).
b) Formalités de clôture :
- Il adresse une copie de la lettre à la D.R.E.
- Il avise le client par lettre recommandée la somme représentant le solde ainsi que les
titres détenus.
c) Saisie et mise à jour du dossier : Idem que pour le premier cas précédent.
16|P a g e
4.3. La succession
C'est une procédure établie lors du décès d'une personne qui dispose des avoirs en
banque.
L'actif successoral : Il regroupe tous les éléments détenus par la banque pouvant faire
l'objet de la succession : Liste des comtes. Titres en dépôt libre, en nantissement ou en
caisse des titres. Coffre-fort en location.
➢ Vérification et information :
A la présentation de l'acte de décès d'un client par un proche parent, l'exploitant doit
s'assurer de l'identité du défunt en vérifiant :
Le nom et le prénom.
Le domicile.
La date et le lieu de naissance.
La date et lieu de décès du défunt.
A cet effet, il informe la D.R.E. du décès du client pour diffusion à l'ensemble du réseau
afin de lui transmettre les biens du défunt détenus par ce dernier. Il réceptionne la liste des
comptes ouverts à travers le réseau.
Il établit un bordereau en deux exemplaires des titres, sommes ou valeurs détenues par la
banque. Il constitue un "dossier succession" qui regroupe toutes les informations liées à
cette procédure.
➢ Saisie et blocage des avoirs
➢ L'arrêté comptable des comptes
➢ Déclaration de l'actif successoral
➢ Recueil préalable des pièces justificatives au règlement
➢ Remise de l’actif
Le client de la banque se présente à la banque du tiré pour retirer une attestation de non-
paiement du chèque délivré au profit du tireur.
17|P a g e
A cet effet, une pénalité doit être payée au niveau des impôts.
- Non règlement de la première injonction, une deuxième va lui être adressée pour un
délai de quinze (15) jours.
- Dans le cas de non-paiement de la deuxième injonction, le client devient un interdit
de chéquier.
Ce cas est le plus simple puisque c’est le client lui-même qui se présente pour le
versement.
18|P a g e
b) Versement effectué par un tiers dans l’agence du titulaire de compte :
Dans ce cas, le guichetier doit vérifier que le CA30 comporte le nom de la partie versante
ainsi que le n° de compte du bénéficiaire et établir un bordereau de versement qui sera
signé par le tiers qui se présente, ce type versement ne peut générer des frais.
Ce type de versement concerne un client domicilié dans une autre agence de la même
banque, ce type de versement génère des frais qui seront supporté par le client
d) Le versement accéléré :
C’est un versement qui doit être effectué par fax mais avec des frais à la charge du client
donneur d’ordre. L’agence envoie par fax la liaison-sièges.
Le chèque au porteur est un chèque dont le bénéficiaire n’est pas indiqué donc qui
appartient à celui qui le détient. Ce cas rejoint le précédent dans la mesure où le guichetier
relève les caractéristiques de la pièce d’identité du bénéficiaire après avoir demandé à ce
dernier d’inscrire son nom sur le chèque (à l’ordre de…) et de signer à l’endos.
19|P a g e
Retrait à distance :
Il concerne un client domicilié dans une autre agence de la même banque, ce type de
retrais génère des frais qui seront à la charge du client
Retrait par un chèque guichet :
Il est très courant qu’un client dépourvu de chéquier se présente à l’agence en vue
d’effectuer un retrait.
2.3.1. Définition
Le virement est une opération comptable par laquelle une banque débite un compte d'un
certain montant et porte la même somme au crédit d'un autre compte.
20|P a g e
b) Virement inter agence :
Dont le compte du bénéficiaire est domicilié dans une autre agence de la même institution.
Code opération 103 et comptabilisé comme suite :
➢20.00DA+3.40
Débit : compte du donneur d’ordre. Montant du virement + commission /tva
➢ Crédit : compte de liaison 5100000xxx (xxx indice agence réceptrice) Montant du
virement.
➢ Débit : compte de liaison 5100000xxx (xxx indice agence réceptrice) Montant du
virement.
➢ Crédit : client bénéficiaire. Montant du virement.
Contrairement au service caisse qui gère les mouvements de fonds (versement, retraits
espèces, virement), le service portefeuille gère les mouvements de transfert de valeurs
qui sont représentés par des chèques, lettres de change, billets à ordre, titre etc.
Il a pour charge :
- La gestion et traitement des valeurs remises par la clientèle aux fins d’encaissement ou
d’escompte
- La gestion et le suivi des retours d’impayés.
- La compensation avec les confrères (télé compensation)
- La gestion et le suivi des comptes de recouvrement interbancaires qui peuvent être
actionnés, temporairement, que dans le cas de l’apurement des anciennes opérations et
du recouvrement des valeurs non encore normalisés.
Les comptes de cette nature seront clôturés définitivement dès leur apurement et
une fois que tous les chéquiers délivrés par les banques à leurs clientèles, seront
normalisées
21|P a g e
2. Les titres traités par le service portefeuille
2.1. Le chèque
2.1.1. Définition
C’est un instrument de paiement à vue par lequel le titulaire d’un compte (le tireur)
donne ordre à son banquier (le tiré) soit à lui-même, soit en faveur d’un tiers dénommé ou
non (le bénéficiaire) un montant déterminé à prélever sur les fonds ou le crédit dont il
dispose
a) Délai de présentation
Ils se comptent à partir de la date d’émission du chèque et sont de :
20 jours pour les chèques émis et payables en Algérie
30 jours pour les chèques émis en Europe et dans les pays riverains de la Méditerranée.
70 jours pour les chèques émis dans le reste du monde.
b) Délai de prescription
Ils sont de trois ans à compter de l’expiration des délais de présentation.
Si le chèque présenté dans le délai légal est impayé, le bénéficiaire peut se retourner
22|P a g e
2.2. La lettre de change
a) Définition
C’est un écrit par lequel le tireur invite le tiré à payer une somme déterminée à l’ordre
D’un bénéficiaire indiqué, à une échéance convenue.
L’aval : Engagement d’un tiers à payer la lettre de change en cas de défaillance duTiré. Il
peut être total ou partiel et se donne soit sur la lettre de change, soit sur un acte séparé.
3. La lettre de change est soumise à un droit de timbre de 100DA.
4. La mention « Sans frais » ou « Sans protêt » signifie que la lettre de change est
protestable en cas de non-paiement.
23|P a g e
1. La dénomination « Billet à ordre »
2. La promesse pure et simple de payer une somme déterminée.
3. L’échéance
4. Le lieu de paiement
5. Le nom du bénéficiaire
6. La date et le lieu de création
7. La signature de l’émetteur
Le montant que vous octroie la banque est déterminé à l'avance. Si vous avez ensuite
besoin de plus d'argent, vous devrez négocier avec votre banque pour augmenter le capital
emprunté ou souscrire un nouveau prêt ou une rallonge.
Le crédit s'accompagne :
• De frais (agios);
• D’intérêts ;
• Et éventuellement d'une durée.
Le crédit peut prendre la forme de :
• Prêt d'argent ;
• Délai de paiement ;
• Garantie bancaire ;
• Crédit de caisse (ouverture de crédit, crédit revolving ou autorisation de découvert).
NB : Les banques sont les principaux organismes qui délivrent des crédits.
24|P a g e
Les crédits à court terme sont des crédits dont la durée est inférieure à 1 ans.
Généralement consentis par les banques de dépôts, peuvent rentrer dans cette catégorie :
les bons de trésor, les engagements par signature (aval, caution, acceptation), les crédits par
caisse (escompte, avance en compte courant, facilités de caisse ou découverts), les crédits
de campagne.
La facilité de caisse se justifie par les décalages mensuels entre certains décaissements
importants (par exemple, la paie du personnel) à échéances fixes.
1.1.2. Découvert
On parle de découvert lorsque le compte est débiteur pendant plusieurs semaines, voire
plusieurs mois sans interruption. Ce crédit, de durée plus longue que la facilité de caisse
(quelques semaines voire quelques mois) est destinée à compléter le fonds de roulement de
l'entreprise temporairement insuffisant.
1.1.3. Escompte
Cette procédure, très ancienne, peut être définie comme un moyen pour l'entreprise de
se procurer immédiatement la contre-valeur d'une créance à terme détenue sur un de ses
clients et matérialisée par un effet de commerce : traite, lettre de change, billet à ordre...
25|P a g e
2. Types de crédits proposés par la BNA
26|P a g e
2.1.3. Modalités de mise en place du crédit à la consommation
Une fois l’accord bancaire notifié le client est invité à accomplir les formalités suivantes :
- L’ouverture d’un compte de chèques.
- Signature de la convention de crédit, et son enregistrement auprès de l’inspection
des impôts.
- Signature de l’autorisation de prélèvement sur le compte chèques.
- Paiement de la commission de gestion.
- La souscription su subrogation au profit de la banque de la police d’assurance décès-
IAD en prime unique.
Une fois les documents réunis la banque procèdent à la mobilisation du crédit par
l’établissement d’un chèque de banque à l’ordre du fournisseur.
27|P a g e
2.1.5. Conditions d’octroi du crédit confort
Le montant du crédit est plafonné à (1 000.000,00 DA) sans toutefois être inférieur à (100
000,00 DA) en toutes taxes comprises (TTC). A la demande du client, la prime d’assurance
décès-IAD est incluse dans le montant du crédit.
Dans tous les cas la mensualité ne doit pas dépasser 30% du revenu mensuel net de
l’emprunteur.
Le taux d’intérêt :
Catégorie : Taux d’intérêt :
Non épargnant 8.25%
Taux préférentiel 8%
NB : Le crédit auto est soumis aux mêmes règles d’exigibilité et la constitution dossier et
taux d’intérêts que le crédit confort. La différence se distingue dans les points suivants :
Financement du crédit :
Financement
15% 85%
28|P a g e
2.2. Crédit immobilier
2.2.1. Définition
C’est des prêts accordés aux ménages, l’objet de ce crédit lie à l’achat d’un bien
immobilier. La mise en place du crédit se fait par l’ouverture d’un compte spécialement à
l’opération en vue de régler la partie non apportée par le client.
Le prêt sera amorti par des prélèvements périodiques au compte bancaire ordinaire de
l’intéressé, ou par des versements volontaires du client.
2.2.2.1. Crédit bonifié plafonné à 12 000 000 .00 DA, a taux d’intérêt
qui s’élève à 1%
a) Vente sur plan VSP : la banque financera 90% du montant de l’immobilier sur une
durée qui peut aller jusqu’à 40ans.
b) Achat d’un logement au prêt d’un promoteur immobilier : la banque financera 90%
du montant de l’immobilier sur une durée qui peut aller jusqu’à 40ans.
Ce dernier comporte deux exceptions :
• Lorsque le salaire du client supérieur ou égal à six fois le SNMG le taux d’intérêt
basculera à 3%.
• Lorsque le salaire du client supérieur ou égal à douze fois le SNMG le taux d’intérêt
basculera à 6.25%.
29|P a g e
2.2.2.2. Autres crédits
a) Construction d’un logement : qui peut s’étaler sur une durée de 40 ans, à taux
d’intérêt de 6.25%.
b) Vente d’un particulier à un particulier : c’est un crédit sur 40 ans, à taux d’intérêt de
6.25%.
c) Aménagement : durée maximale 30 ans avec un taux d’intérêt 6.25% à condition que
les travaux soient inférieurs à 50% du prix du logement.
d) Extension : durée maximale 30 ans avec un taux d’intérêt 6.25%.
Le crédit immobilier aux particuliers est destiné à financer l’achat d’un logement auprès
d’un promoteur (logements achevés ou logements selon la formule vente sur plan), ainsi
que la réalisation d’une habitation individuelle.
Pour prétendre à ce dernier, le demandeur doit remettre tous les documents communs et
1
spécifiques justifiant, des conditions ci-dessus, de la réalisation de l’opération immobilière
et assurant la réalisation future de l’hypothèque.
c) Taux D’intérêt
1 Documents communs et spécifiques : il s’agit, respectivement, des documents, que doit recueillir le
banquier, communs à tous les demandeurs et typiques à chaque catégorie (salariés, non-salariés, retraités)
30|P a g e
Catégorie : Taux d’intérêt :
Epargnant 5.75%
Non épargnant 6.25%
Taux préférentiel 4.45%
Dans le cadre du crédit immobilier aux particuliers, la B.N.A fait appel au besoin de
2
garantie à la Société de Garantie des Crédits Immobiliers (la S.G.C.I ) et au refinancement
3
auprès de la Société de Refinancement Hypothécaire (la S.R.H ).
Apres consultation à la CREM, la banque fait appel à la société de garantie des crédits
immobiliers pour prendre en charge l’assurance du crédit selon une ration calculée comme
suit :
Montant du crédit / valeur du bien *100 doit être inférieur ou égal à 80%
d) Modalités de financement
Celles-ci différent selon le montant et la destination du crédit :
Selon le montant du crédit :
NB : dans des cas particuliers et si le chargé d’études constate une nécessité, elle se peut
que ces conditions de financement ne serons pas suivies
2La société de Garantie du Crédit Immobilier a été créée en octobre 1997 et a commencé ses activités en 1998. Son
capital est composé de participations de banques et de compagnie d’assurances publiques. Elle a pour finalité
d’assurer les crédits immobiliers octroyés par les banques aux particuliers en couvrant l’insolvabilité temporaire ou
définitive des emprunteurs.
3La Société de Refinancement Hypothécaire est un établissement financier agréé par la Banque d'Algérie dont la
création remonte au 19 novembre 1997. Elle a pour mission première le refinancement des prêts à l’habitat
consentis aux particuliers pour assurer aux banques un approvisionnement de fonds à long terme.
31|P a g e
Selon la destination du crédit :
→ Cas d’achat d’un logement neuf achevé :
Le déblocage des fonds se fait en deux tranches après une visite sur site de la manière
suivante :
- Une première tranche : représentant 50% du crédit est versée après constations des
apports.
- Une seconde tranche équivalente sera débloquée après constatation de l’état
d’avancement des travaux par un expert agréé par la banque aux frais de
l’emprunteur.
Contrairement aux crédits par caisse dont le risque de non remboursement est
maîtrisable, car il s’effectuera par le biais de l’encaissement des créances ou par les ventes
dans un délai court. Les crédits d’investissement représentent un risque de non
remboursement plus important, vu l’éloignement des délais.
Ils sont destinés à financer les équipements de production et les installations légères tels
que : les véhicules et autres équipements dont la durée d’amortissement ne dépasse pas les
dix années.
32|P a g e
Conformément, à la loi 03-11 du 26 Août 2003relative à la monnaie et au crédit, les CMT
sont réescomptables auprès de la Banque d’Algérie à condition qu’ils soient accordés pour
une durée supérieure à une année.
2.3.3. Le crédit-bail
Le crédit-bail ou leasing (appellation anglo-saxonne), est un contrat par lequel une
personne appelée « bailleur » qui est peut-être une banque ou une société de leasing, met à
la disposition d’un utilisateur appelé « locataire ou preneur » un bien mobilier ou immobilier
contre le paiement d’un loyer pour une durée déterminée. Cette dernière est déterminée
sur la base de la durée économique du bien (de l’équipement) afin de se prémunir du risque
d’obsolescence.
4
Banques et Bources, 3ème édition, LUCIEN M. MARTIN, Edition MONTCHRESTIEN, page 368, Paris 1991.
33|P a g e
2.3.4.2. Documents comptables et fiscaux
Trois derniers bilans définitifs et TCR des exercices clos, y compris leurs annexes
réglementaires, signée par une personne habilitée pour les entreprises en activités ;
Bilan et TCR prévisionnelles signées étalés sur une durée de cinq (05) années ;
Pièces fiscales et parafiscales récentes (moins de trois mois) ; apurées pour les
entreprises en activités et la déclaration d’existence pour les personnes n’ayant pas encore
exercées.
Facture pro forma et/ou contrats commerciaux récents pour les équipements à
acquérir ;
Etat descriptif et estimatif des travaux de génie civil réalisé et restant à réaliser, établi
par un bureau d’architecture agréé ;
Toute justification des dépenses déjà réalisé dans le cadre du projet.
Le crédit d’investissement est un crédit qui s’étale entre un (1) et sept (7) ans. Avec une (1)
année de différé à la demande du client.
34|P a g e
2.3.6. Traitement d’un dossier de demande d’un crédit
d’investissement
Tous crédit sollicite par les entreprises est concrétisé par le dépôt d’un dossier complet
exigé par la banque, ce dernier est déposer au niveau du chargé de clientèles, pour une
vérification du dossier, ce dernier est transmet au directeur de l’agence, pour un premier
avis qui seras formuler oralement, dans le cas où ce dernier est favorable au financement du
projet, un récépissé de dépôt seras remet par le chargé de clientèles à l’entreprise et il seras
inscrit dans un registre ouvert à cette effet en lui attribuant un numéro.
Dans le cas où le montant du crédit sollicité par le client est inférieur à 10 million de
dinars, l’étude et la décision finale seront effectué en sain de l’agence et une copie de
dossier pour une deuxième vérification, seras transmet à DRE.
Dans le cas où le montant est supérieure à 10 million de dinars le dossier seras transmet a
la direction habilité pour traitement et la prise de décision.
Une fois que la décision est favorable une notification sera remet à l’entreprise et le
chargé d’études procède à l’établissent d’un conte-rendu ST 219, des tickets d’autorisation
(ST 124), et invité le client pour la signature d’une convention du crédit en cinq exemplaires,
qui serons enregistré au pré des services d’enregistrement en niveau des contributions,
après le routeur de la convention enregistré une copie sera remise au client
35|P a g e
2.3.7.2. Après la remise des chèques finals
1. Le gage de matériels roulant financé, les copies des polices d’assurances et une
subrogation en premier rand au profit de la banque des polices d’assurance
2. Le nantissement de matériels financé, une copie de la police d’assurance en
multirisque et une subrogation de la polices d’assurance en premier rond au profit de
la banque
Ce sont les crédits d’investissement que la B.N.A a mis en place et qui rentrent dans sa
politique de croissance et de concurrence. En y trouve :
Les crédits de financement de l’emploi de jeunes, soutenus par les Agences
5
Nationales de Soutien à l’Emploi de Jeunes (A.N.S.E.J) ;
Les micro-crédits appuyés par l’Agence Nationale de Gestion de Micro-crédits
6
(A.N.G.E.M) ;
Le crédit de soutien à la création d’emplois par les chômeurs promoteurs âgés de
trente (30) à cinquante (50) ans ;
Les crédits de financement de l’immobilier des particuliers.
5
A.N.S.E.J. Agence Nationale de Soutien de l’Emploi de Jeunes.
6
A.N.G.E.M ; Agence Nationale de Gestion de MicroCrédit.
36|P a g e
2.3.8.2. Conditions d’éligibilité des jeunes promoteurs « ANGEM »
o Etre âgé entre dix-huit (18) ans et soixante-dix (70) ans.
o Etre sans revenu ou disposer de petits revenus instables et
irréguliers. o Avoir une résidence fixe.
o Posséder un savoir-faire en relation avec l’activité projetée.
37|P a g e
o Copie du plan d’affaires, accompagnée des factures pros forma et /ou devis
estimatifs des travaux d’aménagement ou d'agencements à réaliser éventuellement.
A la présentation du client, l’agence sollicite ce dernier a lui fournir le dossier suivant pour
introduire une demande l’autorisation de consulter la Centrale des risques :
- Une copie de registre de commerce ou carte artisan
- Une copie de la carte fiscale NIF
- Une copie de l’attestation de numéro d’identification statistique NIS
- Résidence
- Cachet
Apport Crédit
Coût du projet personnel PNR Bancaire
La durée du crédit bancaire est de huit (08) années, dont trois (03) années de différé de
remboursement du principal.
38|P a g e
➢ Avantages du dispositif CNAC :
- Les crédits accordés dans le cadre du dispositif CNAC sont bonifiés à 100%, à parti du
07/07/2013.
Apport
Champ d’application PNR Crédit Bancaire
personnel
39|P a g e
2.3.8.8. Structure de financement « ANSEJ »
Apport Crédit
Coût du projet personnel PNR Bancaire
40|P a g e
Conclusion
Ce stage a été une occasion pour moi de découvrir la vie quotidienne de l’agence 485
azzaba son organisation, ses différentes structures, ainsi que les relations qui existent entre
les différents services, nous avons passé en revue les taches et les prérogatives de chaque
bureau, ainsi que les procédures de travail nécessaires à l’accomplissement de ses taches.
En outre, ce stage m’a permis de renforcer mon sens relationnel, mon esprit d’analyse
et de synthèse, mes méthodes de travail ainsi que mes capacités d’organisation. Mes
qualités d’écoute et mon sens de l’objectivité se sont également consolidés.
Même si le stage n'est pas en rapport direct avec la formation acquise, je pense qu’il
adonc été pour moi une expérience formidable et enrichissante de par le fait de ce que j’ai
appris et accompli dans cette banque mais aussi du fait qu’il m’a permis de rencontrer
d’autres personnes, en dehors du monde étudiant, mais qui m’ont parfaitement intégré
Parmi eux et m’ont montré la solidarité d’équipe qui règne dans une organisation.
Ce stage pratique a été bénéfique à plus d’un titre : Il m’a permis de faire mes
premiers pas dans la vie professionnelle.
Quoique sa période fût courte, ce stage m’a fait découvrir les différentes opérations
bancaires dans les différents services de la BNA azzaba 485. Par ailleurs, j’ai pu apprécier, à
travers le contact avec le personnel, le sens du professionnalisme de ce dernier et la prise en
charge des doléances des clients.
41|P a g e
Annexes
42|P a g e
ANNEXE N° 01
Je soussigné :
M./Mme/Mlle…………………….……………………………………………………………………....
N° de l’acte de naissance……………………………………………………………………………...
Adresse personnelle……………………………………………………………………………………
Activité professionnelle…………………………………………………………………………………
Adresse professionnelle………………………………………………………………………………..
N° Tél…………………………..N° Mobile…………………….E-mail……………………………….
N° de l’acte de naissance……………………………………………………………………………...
Adresse personnelle……………………………………………………………………………………
Siège social……………………………………………………………………………………………...
N° Tél…………………………..N° Fax…………………….E-mail…………………………………..
43|P a g e
ANNEXE N° 02
Je soussigné :
M. /Mme /Mlle…………………………………………………………………………………………...
N° de l’acte de naissance……
Profession……………………………………………………………………………………………….
Adresse ………………………………………………………………………………………………….
N° Tél…………………………..Mobile…………………….E-mail…………………………………...
N° de l’acte de naissance……………………………………………………………………………...
Par………………………………………………………………………………………………………..
Adresse personnelle……………………………………………………………………………………
Siège social……………………………………………………………………………………………...
N.I.S. N°………………………………………………………………………………………………….
N° Tél…………………………..N° Fax…………………….E-mail…………………………………..
44|P a g e
ANNEXE N° 3
N° ___________________/
44
Monsieur le Directeur,
(en lettre)………………………………………………………………………………………..
…………………………………………………………………………………………………..
A l’ordre de :……………………………………………………………………………………
Il est bien entendu que je décharge d’ores et déjà des conséquences qui pourraient résulter
de cette opération.
(1) au porteur : CIN ou PC N°…………….. Délivré Le