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RECHERCHE SCIENTIFIQUE
Banque Al Baraka
AGENCE AIN M’ LILA
CODE : 410
Merci également toute l'équipe de l'entreprise car chacund'entre vous a su trouverun peu de
temps pour m'aider dans mes missions.
J’adresse enfintoute matendresse à celles quim’ont donné la vie, quise sont sacrifiés pour
mon bonheur et maréussite,
Merçi à tous ;
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Sommaire :
Remerciment .......................................................................................................................02
Introduction .........................................................................................................................04
Chapitre I : Présentationgénérale de labanque albaraka d’algérie
BBA......................................................................................................................................06
I.1 Historique de l’entreprise ..............................................................................................06
I.2 Description de la BBA....................................................................................................06
III.2.3Salam
III.2.4Istisna’a
III.2.5Moucharaka
III.3Albaraka Net...............................................................................................................24
Conclusion..........................................................................................................................25
Bubloigraphie.....................................................................................................................26
Annexe ..............................................................................................................................27
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Introduction :
Pendant troix années d’études ,deux années préparatoires et un an master tronc commun , nous avons
appris différentes connaissances et informations en Sciences Commerciales et Financières et nous
avons enrichi notre culture dans ce domaine, mais cela était toujours théorique.
Afinde compléter notre savoir théorique, nous allons suivre un stage pratique sur laréalité
d’un organisme d’une entreprise et pour cela, nous avons choisi l’entreprise Banque
alBaraka agence ain mlila 410 comme un lieu de stage .
La banque Al Baraka d’algerie est une banque islamique quia commencé ses activités en
1991 .
Toutes les finances de la banque Al Baraka sont approuvéespar le conseil de la charia de la
banque et sontreprésentéespar desventes sur marge bénéficiaire Ijara en échange d'un loyer
mensuelou d'une participation basée sur le partage des bénéfices et autres, et le travail doit
être conforme aux sources de la financement islamique.
Au cours de ce stage, j’aipu m’intéresser au fonctionnement de cette société, plus largement,
ce stage a été l’opportunité pour moi d’obtenir l’expérience minimum, développer mes
compétences techniques ; au-delà d’enrichir mes connaissances professionnelles, ce m’a
permis de me sensibiliserrapidement au monde de l’entreprise et de me forgerune première
expérience professionnelle trèsbénéfique.
Ce stage m’a permis de precevoir comment labanque albaraka faire la finencement islamique
et les opérations international et plus de ça comment faire destraitement des documment
selon les financement islamique la question que posé : est ce que c’est vrailes financement est
Halal ?
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CHAPITRE I :Présentation général de Banque AlBaraka
D’algerie(BBA)
1) Historique del’ entreprise :
d'Algérie est créée le 20 mai 1991, avec un capital de 500.000.000 DA, elle entame ses
activités bancaires proprement dites durant le mois de septembre 1991.
Régie par les dispositions de la Loin° 03- 11 du 26 Aout 2003 relative à la Monnaie et le
islamique.
Active et proactive, depuis sa création La Banque Al Baraka d'Algérie n’a cessé d’évoluer
et de diversifier ses activités dans l’unique but de satisfaire les besoins directs et latents de
l’ensemble de ses parties prenantes :
2)Description de BBA :
Al-Baraka est unimportant groupe d'investissement international quia été créé dans
l'année1980 à Djeddah - Royaume d'Arabie Saoudite - avec un capital estimé à 200
millions de riyals saoudiens, avec la contribution personnelle de l'homme d'affaires
saoudien "Sheikh
Abdullah Kamel" .
Bretagne, France et Suisse). Quant à la quinzième banque, elle a été établie en Algérie.
l'investissement.
Réaliser tous investissementslégitimes et activités commerciales avec le soutiende
Par conséquent, afin de compléter les mesures prises au niveau des structures
centrales.L'organisation de la succursale doit être centrée surune grande efficacité et prendre
en compte lespréoccupations des clients, afinde fournirun service de qualité, une grande
efficacité, une grande rapidité et rapidité dans les opérations de traitement.
Qualité d'accueil.
Ledegré deréalisation dudésir du client.
Contrôlede processus.
Réduire le temps de traitement du processuset deprise dedécision.
Al Baraka Bank a été structurée comme suit :
1. Conseil d'administration.
2. la direction générale.
3. La direction du contrôle est divisée en trois sous-directions du directeur général.
4. Une direction générale adjointe en charge des finances et des affaires internationales
divisée en deux directions centrales, l'unepour les finances et l'autre pour les
affaires internationales.
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CHAPITRE II :La présentation de L’agence de Ain M’lila
Code : 410
1) Situation géographique :
albouaghi .
Son siège social est situé dans le Commune d'Ain Mellila, au centre-ville, juste en face
de rond point MAKKAN, Zone urbaine de ain mlila à proximité de la cité des 750
logements
L’agence 401 est une agence depuispluisieur agences de groupe albaraka d’algérie
(BBA) de benaknon d’alger et la seule de wilya d’oumalbouaghi ﺓPour celaj'ai pris
lenombre une
cohérences .
d é tecter les besoinset les attentes dela clientè leet procé der aleur
satisfaction.
êtreencontact direct avec la clientèle, représenter labanque au niveau local et
hiérarchisé en 05 services :
• La direction
• Service Caisse
• Service Commex
• Service Engagement
• Service Clientel
le directeur d’agence est un manager puisque c’est à la foisun financier une animation
d’équipe et ungestionnaire.
Ilest à latêted’une petite équipe avec le quelle il développe l’activité de l’agence dans son
secteur géographique.
Le directeur prend part à la définitiondes objectifs de la banque pour le quelle il travaille sous
opérations ordonnancéespar sa propre clientèle ainsi que celle quileurs sont demandé par
d’autre siège de labanque .Ces opérations sont réparties entre les différentes sections de
service (guichet et manipulation, recette, position, accréditif, opération et travaux divers) .En
fonction de leur nature et du nombre d’opération traitées.le Service de la caisse a pour rôle :
-l’exécutiondes opérations setraduisant parun mouvement d’espèce
(paiement, versement, ainsi que les opérations de transfert de fonds,
de
L’organisation de service caisse est fondée sur les quarts principes directeurs suivants :
avec exactitude.
*La notion de trésorerie : Les fonds détones par la service caisse ne doive pas rester
immobilisées aussi la conservation d’une encaisse suffisante est exiger pour pouvoir assurer
*La notion de sécurité : Consiste à exercice des contrôles fréquents et à prendre des
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4-3)Service Cliental : Sont en contact direct et permanent avec les clients, ils sont chargés
de :
Principales Conditions :
2)Financement immobilier(logement) :
-Différé de de 3 mois.
MORABAHA.
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-Quotité finançable jusqu’à 80% duprixd’acquisition.
-Délaide remboursement adapté à votrecas.
*Achat /vente de devises par le débit du compte et par crédit du compte du client
*traitement des remises documentaires imp/exp*opération sur les comptes devises banque et
clientales.
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CHAPITRE III : Les apport de stage
Rémunirable :
-livret d’épargne
-carte CIB( voir annex «3 »)
-E-banking
-mobile banking
-carte affaire distiné aul’entreprise et professionalls
1. Idjarou Leasing :
DÉFINITION :
Le leasing est un contrat de location de biens assortid’une promesse devente au profit
du locataire.
Il s’agit d’une technique de financement relativement récente qui fait intervenir trois
acteurs principaux :
*Le fournisseur (fabricant ou vendeur ) du bien.
*Lebailleur ( en l’occurrence labanque qui achète le bien pour le louer à son client).
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*Le locataire qui loue le bien en seréservant l’option de l’acquérir définitivement au terme
du contrat de location De la définition précédente, il découle que le droit de propriété du bien
revient à la Banque durant toute lapériode du contrat, tandis que le droit de
jouissancerevient au locataire .
Au terme du contrat, trois cas de figure peuvent seprésenter :
*Le client estobligé d’acquérir le bien (contrat de location – vente).
*Le client a le choixd’acquérir ou de restituer le bien ( contrat decrédit-bail).
*Le client opte pour une seconde location du bien ( renouvellement du contrat de
crédit- bail)
Pour les opérateurs économiques, les avantages du leasing sont multiples. D’une part,
illeur permet derénover leurs équipements désuets ou obsolètes et bénéficier ainsides
derniers
développements technologiques. D’autre part, il offre l’avantage de leur éviterune
immobilisation à long ou moyen terme d’unepartie de leurs ressources dans le cas
d’une acquisition autofinancée oumême financéeparun crédit d’investissement.
Eneffet, les charges annuelles, dans le cadre d’un financement se limitent aux seuls
loyers dûs sur lapériode, ce qui est très apprécié par les entreprises qui ont des difficultés à
équilibrer leur situation financière.
Les entreprises qui optent pour ce mode de financement peuvent tirer profit, xsur le plan
fiscal de la différence positive entre le montant des loyers annuels et celui des
amortissements qu’elles auraient dû comptabiliser sur leurs propres fonds sile bien avait fait
l’objet d’une
acquisition.
Enfin, la marge de manoeuvre laissée à l’utilisation quant à l’option finale (achat-
restitution-relocation), lui permet de décider au moment opportundu choix le plus indiqué
en fonction de la situation et des besoins de son entreprise.
CONDITIONS DE CONFORMITÉ A LA CHARI’A ( Idjar ) :
L’objet dela location (l’utilisation du bien loué) doit être connue et acceptéepar
les deux parties.
La location doit porter sur des biens durables, c’est à dire non destructibles du fait
de la jouissance ou del’utilisation.
Le bien loué demême que les accessoires nécessaires à son usage, doivent être remis
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à l’utilisateur en état de servir à l’utilisation à laquelle ledit bien est destiné.
La durée de location, le délaidepaiement, lemontant du loyer et lapériodicité
doivent êtredéterminés et connus à la conclusion du contrat de leasing.
Le loyer peut êtrepayé d’avance, à terme ou partranches selon la convention
des parties.
Les deux parties peuvent convenir d’un commun accord d’unerévision du loyer, de
la durée de location et detoutes autres clauses du contrat.
La destruction ou la dégradation du bien loué d’un fait indépendant dela volonté de
l’utilisateurn’engage laresponsabilité de ce dernier que s’ilest établi et qu’iln’a pas
pris les mesures nécessaires pour la conservation du bien avec le soin d’un bon père
de famille.
Sauf convention contraire, il incombe à la Banque d’effectuer toustravaux
d’entretien et deréparation nécessaires au maintien du bien loué dansun état de servir
à l’usage
auquelilest destiné. De même, elle supportetoutes les charges locatives antérieures
au contrat de location. L’utilisateur assure quant à lui l’entretiend’usage du bien
loué, de même que l’ensemble des charges locativesnées à compter de la date de
location.
Le bien loué peut faire l’objet d’une sous-location, sauf convention contraire. De
même, la Banque peut louerun bien acquis à son proprevendeur, à condition que
la vente soit réelle et non fictive(Lease back).
2 .MOURABAHA :
DÉFINITION :
La Mourabaha est un contrat devente au prix derevient majoré d’une marge bénéficiaire
connue et convenue entre l’acheteur et le vendeur (AL Bay’ou biribhin ma’loum). La
Mourabahapeut revêtir deux aspects :
En cas de retard dans le paiement des échéances, la Banque peut appliquer au client
défaillant despénalités de retard quiseront logées dansun compte spécial « Produits à
Liquider ». Mais à aucun moment elle nepeut réviser en hausse sa marge bénéficiaire en
contrepartie du dépassement de délai. En outre, en cas de mauvaise foi du client, la Banque
est endroit deréclamer, en sus despénalités, undédommagement des échéances non
honorées. Auquelcas, il conviendrait d’évaluer lepréjudice par rapport à des critères objectifs
propres à la Banque et évitertouteréférence aux tauxd’intérêts.
3. SALAM :
DÉFINITION :
Le Salampeut être définicomme un contrat devente avec livraison différée de la
marchandise. Ainsi, contrairement à la Mourabaha, la Banque n’intervient pas comme
vendeur à crédit de la marchandise acquise sur commande de sa relation, mais comme
acquéreur, avec paiement comptant d’une marchandise qui lui sera livrée à terme par
son partenaire.
FONDEMENT :
Les règles de la Chari’a interdisent en principe toute transaction commerciale dont l’objet
est inexistant au moment de sa conclusion (bi’a alma’adoum). Cependant, certainespratiques
commerciales, bien que nerépondant pas à cette condition, sont tolérées compte tenu de
leur nécessité dans la vie des gens. C’est le cas de lavente Salam qui a été autorisée par le
Prophète dans le Hadith « celui qui fait le salam, qu’il le fasse pour un volume connu, pour
un poids connu et pour undélaiconnu (man aslafa falyousliffi kaylma’aloum, oua waznin
ma’loumila adjalin ma’aloum).
MODALITÉS PRATIQUES DE LA TRANSACTION :
La Banque (acheteur) passe une commande à son client pour une quantité donnée
de marchandises, d’une valeur correspondant à18son besoinde financement.
A l’échéance, au cas où la Banque aurait choisi de mandater le vendeur pour écouler les
marchandises pour son compte, ce dernier les facturera pour le compte de la Banque et
livrera les quantitésvendues en prenant soin,sila banque le jugenécéssaire, d’exiger des
acheteurs
de faire viser les bons d’enlèvement aux guichets de cette dernière (mesure destinée
à permettre le suivi et le contrôle de l’opération).
Larémunération du mandat du vendeur peut être consentie sous forme d’une commission,
d’uneristourne oud’une participation à la marge dégagée par la vente des marchandises. Elle
peut aussi êtredécomptée au début dela transaction et intégrée aumontant de l’avance
(financement Salam). Entout état de cause, son montant doit être calculé parréférence
aux taux de marge pratiqués sur le marché pour des opérations similaires.
Ilen est ainsi à titre d’exemple des besoins de19financement du fond de roulement,de
certaines charges d’exploitation telle que les salaires, les impôts et taxes, les droits
de douanes...etc.
Ces besoins nécessitant souvent un apport monétaire direct, exigent par conséquent un
mode de financement plus approprié que la Mourabaha, celui-cidevant setraduire
obligatoirement
pour des raisons de conformité aux principes de la Chari’a, par l’achat de stocks et
leur reventepar la Banque elle-même.
Par rapport à la Moucharaka, quis’adapte plus au cycle long, le Salam se distingue par
son moindre risque dans la mesure où la créance de la Banque (ou sa contre valeur)
constitue,
comme dans la Mourabaha une dette commerciale constante sur le client (levendeur).
Ilapparaît donc que ce type de financement offre de plus grandes opportunités et une
plus grande souplesse à l’intervention de la Banque, tout en s’inscrivant dans le cadre des
principes de la Chari’a Islamique.
A ce titre, le Salam seprésente comme un moyen idéal de financement de certains types
d’activités économiques telle que l’Agriculture, l’Artisanat, l’Import-Export, les
coopératives de jeunes, la P.M.I. - P.M.E. en plus du secteur de distribution.
La marchandise objet du contrat doit être connue (en nature et qualité), quantités
(en nombre, en volume, ou en poids) et valorisée (en monnaie ou en autre
contrepartie en cas detroc).
Le délaide livraison de la marchandisepar levendeur doit être fixé dans le contrat
et connu des deux parties.
Le prix (ou la contrepartie) dela marchandise doit être fixé dans le contrat, connu
des deux parties et payé par l’acheteur (la Banque) comptant.
Le lieu de livraison doit êtredéterminé et connu des deux parties.
L’acheteur peut exiger du vendeurune caution pour garantir la livraison de
la marchandise à l’échéance outout autre garantieréelle ou personnelle.
L’acheteur peut mandater levendeur 20
pour vendre et/ou livrer la marchandise, à
l’échéance, à une tierce personne moyennant une commission ou sans
commission. Levendeur est alors personnellement redevable vis à vis de
l’acheteur du
recouvrement duprixde vente.
L’acheteurnepeut vendre la marchandise avant sa livraison par
levendeur. Toutefois, il est autorisé à le faire par le biais d’un contrat Salam
parallèle.
4. ISTISNA’A :
DÉFINITION :
L’ISTISNA’A est un contrat d’entreprise envertu duquelune partie (MOUSTASNI’I)
demande à une autre (SANI’I) de lui fabriquer ou construireunouvrage moyennant une
rémunération payable d’avance, de manière fractionnée ou à terme. Il s’agit d’une variante
qui s’apparente au contrat SALAM à la différence que l’objet de la transaction porte surla
livraison, non pas de marchandises achetées en l’état, mais de produits finis ayant
subiun processus de transformation.
Comparé aux pratiques commerciales de notre temps, l’ISTISNA’A s’identifie au contrat
d’entreprise définipar l’article 549 du Code Civil Algérien comme suit : « Le contrat
d’entreprise est le contrat par lequell’une des parties s’oblige à exécuter un ouvrage
ou à accomplirun travail moyennant une rémunération que l’autre partie s’engage à
lui
payer ».
La formule de l’ISTISNA’A, mise en pratique par une Banque Islamique peut revêtir
l’aspect d’une opération triangulaire faisant intervenir auxcôtés de la Banque, le Maître
de l’ouvrage et l’Entrepreneur dans le cadre d’un double ISTISNA’A.
DÉFINITION
La Moucharaka est une association entre deux parties (ou plus) dans le capital d’une
entreprise, projet ou opération moyennant unerépartition desrésultats (pertes ou profits) dans
des proportions convenues. Elle est basée sur la moralité du client, la relation de confiance et
larentabilité du projet ou de l’opération.
La Moucharaka, telle que pratiquéepar les Banques Islamiques nouvelles telle que lanôtre,
seprésente le plus souvent sous forme d’une contribution au financement de projets ou
d’opérations ponctuelles proposéspar la clientèle. Comme dans la Mourabaha, ce
financement peut se faire avec ou sans décaissement.Mais ellepeut aussi revêtir des
formes plus élaborées.
Entout état de cause, cette contribution seréalise suivant l’une des deux formules ci-après :
3)Albaraka Net : alBaraka Net vous offre lapossibilité d’accéder à vos comptes à
distance (via ordinateur), et met à votre disposition unepanoplie de services bancaires afin
de : -Consultezrapidement vos comptes.
Avantages de la solution :
-Accès aux comptes instantané et permanant 24
Ilm’a permis notamment de se faireune idéeprécise des métiers des banques et les systèeme
bancaire de l’agence, de côtoyer le milieu du travail et connaître ce qu’ilnécessite comme
aptitude personnelle et connaissances technique.
Le bilande ce stage apparaît très satisfaisant puisque aujourd’hui, j’ai acquis de nouvelles
compétences dans des activités passionnantes que sont le capital investissement et les fusions
acquisitions. Ainsi, je souhaitetôt outard pouvoir exercerune activité professionnelle en
relation avec l’un ou l’autre de ces domaines.
En outre, ce stage m’a permis derenforcer mon sens relationnel, mon esprit d’analyse et de
synthèse, mes méthodes de travail ainsi que mes capacités d’organisation. Mes qualités
d’écoute et mon sens de l’objectivité se sont également consolidés.
De ce fait, la pratique du stage est une nécessité etune affirmation certaine de laréussite dans
le domaine professionnel, elle permet de mesurer l'écart existant Entre l'étude théorique
acquise à l'EHEC et l'étude pratique acquise dans l’agence.
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La Bibliographie :
. https://www.albaraka-bank.com/?lang=fr
. https://www.albarakabank.com.tn/fr/management
. https://www.scribbr.fr/rapport-de-stage/remerciements/
. https://www.albaraka-bank.com/marche-particulier/financements-de-
vehicules/?lang=fr
. https://www.albaraka-bank.com/marche-professionnel/financement-de-vehicules-
2/?lang=fr
. https://dz.kompass.com/c/al-baraka-d-algerie-spa/dz266522/
. https://www.albaraka-bank.com/finance-islamique/?lang=fr#comite
. https://fr.slideshare.net/AymaneElKafi/rapport-de-stage-bmci-sal-hay-salam-
79082907
. https://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Al_Baraka_Bank_in_Algeria.jpg
. https://www.commentcamarche.net/faq/16226-comment-faire-un-rapport-de-stage
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Annexes
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