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NEUROCHIRURGIE
INTRODUCTION
Une intervention crânienne ne constitue pas une menace mais un espoir c-à-d un
malade peut en guérir ou être renvoyer sans que l’intervention n’ait été pratiqué pour
des raisons techniques ou le patient peut revenir pour un récidive à plus ou moins bref
délais. Les risques et les chances relatives offertes au malade savent être bien
expliqués et appréciés.
Parmi les facteurs qui ont formé le développement de cette chirurgie, on trouve
essentiellement la croyance selon laquelle tout ce qui touche à la tête affecte la raison
et le taux de mentalité qui lui est propre de fait de la proximité de certains centres
vitaux.
1. Les tumeurs
2. La traumatologie
3. les affections infectieuses et parasitaires
4. Les malformations vasculaires
5. les malformations congénitales.
6. etc.…
2
Neurinomes.
Méningiomes
épandymones
hémangiololaptomes.
etc.
Angiome médullaire
Nous avons :
Les affections traumatologiques
Les affections néoplasiques.
Les Schwanomes
La chirurgie neuro-endocrinienne de l’hypophyse et du surrénale ainsi que celle
du sympathique.
4° La Neurochirurgie Fonctionnelle
Cette chirurgie consiste à des inter ventons stéréotaxiques à ciel ouvert, des
implantations s’électrodes stimulantes ou des implantations des pompes à drogue.
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CHAPITRE I
SYNDROME D’HYPERTENTION
INTRACRANIENNE
I. Importance du sujet
Il réside dans le fait que le syndrome de l’H.T.I.C est au centre, au cœur d’un
grand nombre d’affections neurologiques évolutive et surtout parce qu’il constitue un
risque considérable tout visuel et vital.
Risque tellement vital que certains auteurs ont affirmé que l’H.T.I.C de presque toutes
les morts neurologiques.
1. la boîte crânienne
2. L’Encéphale
4. Le système ventriculaire
5. la tente du cervelet
Elle divise la boite crânienne en 2 étages et aménage en avant un orifice (=la fente
de BICHAT ou le foramen ovale de PACCIONI). Autour de la fente de BICHAT
parcourt le Nerf III (N. oculomoteur commun) et l’artère cérébrale l’étage sus- ou
supratentaruel est appelé la loge cérébrale.
6. la pression intracrânienne
Ainsi, l’augmentation volumétrique d’un des secteurs doit se faire dépend des
autres.
Le parenchyme cérébral étant un matériel visco-élastique déformable mais
incompressible ces ont les secteurs LCR qui Vont pouvoir prêter de l’espace pour
garder la P.C.I (le LCR sera chassé vers le compartiment rachidien et il y aura un
collapsus du secteur veineux).
INFO :
3. physiopathologie
1. la genèse de l’H.T.I.C
En réalité, il est rare que ce soit un secteur qui, augmente le plus suivant et très
vite, plusieurs secteurs se surajoutent et aboutissent à la création d’un cercle vicieux.
b) la circulation de retour
Schémas n°1
8
Les résidus libérés possèdent eux aussi des propriétés oxydants et va se produire une
véritable réaction en chaîne aboutissant à la destruction de la membrane
2) l’attaque des membranes par les phospholipases se fait par les modifications des
potentiels transmembranaires engendraient par l’ischémie par la libération de l’ion
k+ permettant l’entrée massive de Ca dans les cellules.
Schémas 2
5. accumulation du L.C.R
L’accumulation du L.C.R sous tension dans les voies de circulation donne lieu à une
hydrocéphalie.
Dans la majorité des cas celle–ci s’observe au cas de blocages siégeant sur les voies
d’écoulement du LRC (soit au niveau système ventriculaire) donnant lieu à une
hydrocéphalie interne, obstructive, non communicante. Par ex : au niveau du tronc de
MONROE.
→ Hydrocéphalie uni ventriculaire. Par ex : Au niveau du 3ème ventricule.
→ Hydrocéphalie bi ventriculaire. Par ex : Au niveau de l’aqueduc de Sylvius du
quatrième ventricule.
→ Hydrocéphalie tri ventriculaire au niveau de trou Magendi et de Luschka.
→ Hydrocéphalie quadri ventriculaire.
6. Le parenchyme
4. pathogénie
Les situations (1) et (2) vont écraser les voies d’écoulement liquidien avec
comme conséquence la diminution de leur capacité de drainage d’où aggravation de
l’œdème et hydrocéphalie en amont et expulsion des fluides (LCR et sang veineux)
hors du crâne vers la région rachidiennes.
5. Complication
Les éléments nerveux sont alors chassés vers les orifices de la base du crâne
produisant ainsi des engagements ou hernies cérébrales.
1. Hernie cingulaire
2. Hernie temporale
Ici ce sont les amygdales cérébelleuses qui s’engagent dans le tronc occipital
provoquant ainsi un blocage de sortie du L.C.R situé sur le toit du 4ème ventricule et
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qui est responsable de l’hydrocéphalie bloquée. Ceci survient lors des lésions
expansives infra- ou sous tensorielles.
4. La hernie centrale
C) Complications occulo-visuelles
1) La diplopie
Due à la compression du nerf oculomoteur externe (N .VI) contre l’arrête > du rocher :
ce nerf est sensible au moindre influence
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2) la mydriase areflectique
3) l’œdème papillaire
L’évolution vers la cécité par atrophie par exemple précédée par des phases
d’amorce transitoire ou d’éclipse visuelle.
6. Sémiologie
La sémiologie de l’H.T.C.I peut être variable avec les causes et il est souvent
compliquer par l’intrication de syndrome avec l’affection causale.
Plus la vitesse d’installation est grande, plus riche et intense sera le syndrome
chimique.
1° L a céphalée
Elle est précoce souvent de fin de nuit, au réveil ou le matin avant le petit
déjeuner.
Sa localisation par exemple fronto-orbitaire, fronto-nuquale, occipito-cervicale ou
latéralisée par le siège de la lésion.
Elle augmente à l’effort de toux, d’éternuement et de défécation au changement de
mouvements e la tête. Elle se caractérise par un début anodin.
Elle est paroxystique ou intermittente mais tenace. Elle est rare atroce au début.
Souvent pulsatile, rebelle aux antalgique usuels, permanente ou continue au stade
terminal.
2° Les mouvements
Moins précoce et rares au début. Sont surtout présent le matin et sans aucun
rapport avec le repas. Elles deviennent faciles, explosives, en jet et en fusée sans
prodrome une nausée surtout quand l’H.T.C.I est conformé et chez le sujet jeune.
Elles sont dues à la compression et au déplacement du centre dans le tronc cérébral.
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D. le hoquet
Il indique l’amorce de l’engagement ou la phase de décompensation.
Il peut ‘agir des cervicalgie avec raideur et torticolis dans les formes mineures.
Dans les formes majeures, c’est l’hypertonie soit cervicale qui donne un corps acquis
on opisthotonos. Cette hypertonie par exemple cervicale, soit axiale, soit membres qui
gardent une attitude d’hyrperextention (rigidité de décérébration).
7° Examens complémentaires
Ce sont des examens formellement contre indiquer chaque fois que l’on
soupçonne une H.T.C.I car il y a risque d’engagement. Mais s’il existe des signes
méningés, il faut pratiquer la ponction lombaire en ayant pris tout les précautions
d’usage.
On peut avoir une disjonction avec distension des sutures (qui pourrait persister
jusqu’à l’âge de 13 ans), 7-8 ans
On peut avoir une augmentation du volume crânien objectivée par les mesures du
périmètre crânien ainsi que l’élargissement des fontanelles.
On peu avoir un amorcement des os de la voûte.
Soit des examens qui peuvent déterminer le coté malade par exemple l’echo est un
exemple rapide d’orientation mais qui est inconstant. Il peut être conclus lorsqu’il est
négatif lorsqu’il ne montre pas de déplacement des structures médianes.
5) ventriculographie
Soit gazeuse (1) soit au produit de contraste (2) elle peut mettre en évidence une
dilatation ventriculaire ou un obstacle sur les voies d’écoulement du L.C.R.
7) Scanner
8) I.R.M
Donne encore des meilleures images que le scanner et peut ainsi mieux affiner
le diagnostic préposé.
Devant tout cas d’H.T.C.I, où on a un bon équipement
1. le scanner cérébral
2. la résonance magnétique nucléaire
3. l’angiographie
4. le fond de l’œil.
5. l’E.E.G.
Les 3 premiers par une approche étiologique sûre tout sur le plan de la
localisation que sur la nature éventuelle.
Les 2 derniers par de l’état visuel t cérébral avant t3 et la surveillance ultérieure.
Certains autres examens peuvent être fait à la demande pour compléter le dossier.
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8. Diagnostic
Pour donner toutes les chances au traitement et pour éviter des graves complications
(engagement et atrophie optique) le diagnostic du syndrome d’H.T.C.I doit être
suspecter dès le premier signe et les éléments qui permettent d’évoquer et de passer le
diagnostic sont essentiellement d’ordre clinique ce sont
les céphalées
les vomissements
l’œdème papillaire au F.O dans le 2/3 des malades.
Il ne faut pas attendre qu’il y aie un œdème papillaire au F.O pour confirmés
premièrement H.T.C.I car on attendra souvent la mort.
NB : les signes négatives n’ont pas beaucoup de valeur en médecine quand le F.O est
Normale cela ne peut pas dire qu’il n’y
9. Pronostic
1. l’altération de la conscience.
2. les signes neuronégatifs (pools, respiration, température)
3. les signes neurologiques (mydriase bilatérale, Baboms kybilateral, troubles
toniques et abolition de reflex cornéens) c’est de leur aggravation dépendra le
pronostic.
10. Traitement
On 3 mécanismes :
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a. la ventilation pulmonaire
Elle est un des meilleurs t3 de l’œdème cérébral elle contrôle « l’air ruay » au
masque par sonde ou au besoin par l’intubation endotrachéale ou par trachéostomie
avec des fréquentes aspirations bucco-pharyngo-trachéo-bronchique.
R/HYDERGINE
- craniectomie
- lobectomie
a. l’osmothérapie
b. les diurétiques
b. l’Hormonothérapie
3° La réduction du L.C.R
Si une intervention est fixée de 8 à 10 jours ou tout simplement une ponction lombaire
répétée (craindre l’infection)
CHAPITRE II
LA NEUROTRAUMATOLOGIE
I. Importance de sujet
3/ La gravité effroyable
Dans notre société l’importance est moindre nous ailleurs plus importante :
II. Physiopathologie
1) Au niveau crânien
Lors d’un arrêt brutal d’un véhicule roulant 50km/heure il y a mise en jeu es forces
considérables qui s’exercent au niveau du crâne pour un individus de 70 kg, on estime
ses forces à 11 200 kg alors que 800kg suffisent pour produire la déformation de la
courbure de la voûte de 1 cm.
2. Au niveau encéphalique
Ceci s’explique expérimentalement car on estime que lors d’un arrêt brusque
d’un véhicule roulant à 100km/h ceci est comparable à une chute libre de 39,5mètres.
Dans ce cas 2 expériences, un cerveau de 15000 grammes pèsera 42 kg et le rein de
300grammes pèsera 8,4kg et une rate de 150 gramme pèsera 4,2kg.
Schémas
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C’est une description qui se fera plan par plan partant de l’extérieur vers l’intérieur.
la 1er lésion est cutanée : ces lésions cutanées sont graves surtout chez l’enfant à
cause de la richesse vasculaire du cuir chevelure. Elles peuvent entraîner une
hémorragie importante avec retentissement hémodynamique.
On peut avoir :
1) Une plaie ponctiforme : malgré son aspect rassurant peut s’associer à des
lésions profondes.
2) Une plaie franche : Elle est très hémorragiques.
3) Une plaie contuse : Elle est moins hémorragique ; mais elle donne des
épanchement sanguin (hématome ou bosse cutanée)
4) Un sclap : est une plaie étendue avec décollement des téguments.
Attitudes thérapeutiques
Pour le 1.
Exploration sous jacente pour exclure la fracture de la voûte dans quel cas, il
faut orienter le malade en hospitalisation pour observation (minimum 72 heures)
Pour le 2.
Pour le 3.
Parage chirurgical
Les lésions cutanées peuvent poser des problèmes en cas de perte de substances
importantes ou des scalps étendus (recours à la chirurgie plastique et à des greffes
cutanées)
Chez l’enfant de moins de 1 ans, on note des fractures dites évolutives. Cette
éventualité impose une surveillance clinique et radiologique à distance devant les
fractures linéaire large à cet âge.
(Evolutive : au lieu de consolider, elle s’élargie a cause de la croissance du cerveau a
des battement)
On distingue classiquement :
1° A l’étage antérieur
Ces lésions peuvent se manifestés par une rhinorragies et rhinorrées par fistule
ostéo-dumerrienne.
On peut avoir :
On peut avoir :
Dans la réalité des choses, toutes ces complications directement lies u fractures
sont rares comparés à la grande fréquence des lésions crâniennes post-traumatiques.
Toutes fois, certaines d’entre elles sont redoutables et de ce fait découverte d’une
lésion crânienne sur ces RX standard du crâne va conduire :
a. La commotion cérébrale.
b. La contusion cérébrale
exemple aussi multiple atteignant particulièrement les zones du cerveau les plus
exposées à se léser sur les artères osseuses ou duremerienne (face interne du lobe
frontal, …. Du lobe temporal et la face interne des hémisphères).
Il s’agit des lésions fréquentes et graves. Ce sont généralement des pétéchies ou des
micro hématomes disséminés dans le tronc cérébral parfois invisible au scanner.
Leur tableau clinique est d’emblé grave sous forme de coma profond, trouble
neurovégétatif intense, signe de décérébration et tableau oculomoteur. Le pronostic est
très réservé.
d. L’hématome extra-dural
C’est l’épanchement sanguin entre l’os et la dure-mère, le plus souvent, il s’agit d’un
hématome extradurale aigue. Ce qui représente les extrêmes urgences
neurochirurgicales. Il complique les fractures susceptibles de déchirer un vaisseau
méningé et surtout l’artère méningée moyenne. D’autres cas, il s’agit d’une déchirure
veineuse surtout d’une sinus et ainsi d’un saignement veineux par la fracture elle-
même ou de la disjonction traumatique d’une suture.
Le tableau clonique est le plus souvent caractéristique avec un intervalle libre court et
net et des signes de localisation s’aggravant rapidement.
Il s’agit d’une collection sanguine qui siège entre la dure-mère et l’arachnoïde dans
l’espace sous dural. Il par exemple précoce, aigu ou semi précoce dans les heures ou
jours suivent le traumatisme qui suivent le traumatisme.
Il est rarement isolé comme l’H.E.D. le plus souvent, il accompagne une contusion
hémorragique dont le saigné se collecte dans l’espace sous dural.
Le tableau clinique est varié mais c’est toujours ou presque l’aggravation secondaire
de l’état de conscience et l’apparition ou l’accentuation des signes de localisations
déficitaire qui le fait suspecter et rechercher. Mais, il existe assez fréquemment en
particulier chez le sujet âgé, la possibilité d’une H.S.D. tardif dit « chronique »
survenant des semaines ou des mois suivant une chute ou choc crânien quelquefois
minime et peut avoir été oublier. Cet H.S.D chronique est généralement la
conséquence de la rupture des veines cortico-méningées (veines d’amarrage où veine
pont).
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Les veines cortico-méningées qui saignent dans l’espace sous durale. L’hématome
s’organise, il s’agit du sang lysé mélangé à du L.C.R. il se forme un néo membrane qui
recouvre le cerveau et double la dure-mère.
La symptomatologie chronique est bâtarde. Tout ces tableaux neurologiques atypiques
d’aggravation progressive peuvent correspondre à 1 H.S.D.
Il existe en général des céphalées puis progressivement des signes de localisation
(hémiparésies). On pourrait penser à une tumeur cérébrale s’il n’y avait pas
d’antécédent traumatique.
f. L’hématome intracérébral
C’est une collection sanguine circonscrite intracérébrale, elle est rare en traumatologie
sans lésions associée.
Plus souvent, il s’agit d’hémorragie mêlée d’œdème au sein d’un foyer de contusion
cérébrale. Ici aussi la lésion se traduit par une aggravation secondaire (coma et des
signes de focalisation). Le scanner montre admirablement bien les hématomes.
g. L’œdème cérébral
Il est constant et rapidement constitué dans les traumatismes crâniens graves à des
degrés divers. Il peut par son intensité être dangereux du fait de l’H.T.I.C et du risque
d’engagement cérébral. Il s’agit surtout de l’engagement temporal. En plus de la
mydriase homolatérale et de l’hémiplégie controlatérale la situation du blessé
s’aggrave rapidement et la souffrance pédonculaire amène des troubles neurovégétatifs
et des signes de décérébrations. A l’examen le tronc cérébral (Hémorragique
d’engagement)
L’engagement cérébelleux se traduit par un nystagmus, un torticolis, des crises
toniques, des troubles respiratoires et du pools.
Attitude thérapeutique.
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C’est la présence d’air dans le cerveau visible à la radiographie simple. C’est tout
comme une fracture ouverte car cela suppose un contact entre le cerveau et un sinus
aérique. Parfois il par exemple important nécessitant une intervention chirurgicale
(pneumatocèle à clapet)
1. Epilepsie post-traumatique
Elle survient dans 5 % des lésions fermées et dans 25 % des cas d’hématome et
d’embarrure.
On parle d’épilepsie post-traumatique si les causes persistent au-delà de 2 ans. Cela
survient surtout chez des patients qui ont présenté précocement des convulsions ou des
l’accident.
il est partiel ou complet, s’observe chez 30-40 % des traumatisés crâniens. Pas
forcement après accident grave. Parfois lorsqu’il y a perte de connaissance seulement.
Il est constitué par des céphalées parfois pulsatiles ou à type d’hémicrânie. On peut
avoir des vertiges ou simples sensations vertigineuses avec malaise, tendance
lipothymique, labilité neurovégétative, hypersudation.
On peut avoir des modifications caractérielles avec nervosité et émotivité associée.
Des syndromes anxieux ou dépressifs peuvent se rencontrer. Des troubles intellectuels
fait de diminution de la mémoire, de l’ensemble et de l’assimilation, les insomnies
sont assez fréquentes.
L’évolution de ce syndrome qui est souvent partiellement bref variable et sera d’autant
plus traînante que la personnalité du sujet étant déjà névrotique auparavant. La
recherche d’un taux d’invalidité peut jouer consciemment ou non un rôle important.
C’est une détérioration intellectuelle plus grande qui domine. Il est objectivé par
l’atrophie cérébrale ou par l’hydrocéphalie communicante. Le scanner donne le
diagnostic.
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Elle doit se faire aussi fréquemment que possible toutes les 30 min au début et par un
personnel entraîné.
a/ lésion cervicale
b/ lésion thoracique
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4) la surveillance biologique
a) on peut, avoir un sujet conscient après l’accident, ce sujet peut évoluer sans
complication comme il peut évoluer vers des complications (=l’aggravation)
s’il y a dans la suite des troubles de conscience avec les signes focaux, il
faut penser à une hématome extradural ou à l’attrition cérébrale
hémorragique.
S’il y a troubles de la conscience, sans signes focaux on pourra penser à
un hématome loin des aires motrices ou à un œdème cérébral diffus.
S’il y a des signes focaux sans troubles de la conscience. C’est
l’éventualité d’un AVC qui devrait venir à l’esprit.
Définition :
3) la réponse motrice
1. la Fonction
a) le but :-assurer la liberté des foies aériennes car l’obstruction de ces voies est
fréquente par la chute de la langue où un traumatisme facial associé ou par
régurgitation
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2. la fonction circulatoire
3. Fonction d’épuration
Mise en place d’une sonde vésicale à 3 voies ça fait favoriser l’élimination rénale.
4. la fonction digestive
Une sonde nasogastrique d’aspiration d’abord, de lavage et de garage si le
péristaltisme est présent.
5. Appareil locomoteur
Immobilisation provisoire correcte de fracture désinfection, hémostase et pansements
des plaies.
6. Nursing et kinésithérapie
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Ils savent occuper une place de choix dans les soins corporels pour prévenir les
escarres et les ankyloses en position vicieuse.
Les 5 premières attitudes doivent être tenus sur le lieu même de l’accident et
prioritairement les 2 premières car la première préoccupation sur le lieu de l’accident
avant même d’apprécier l’état neurologique du blessé, sera d’éviter ou de limiter la
souffrance cérébrale secondaire en apportant au cerveau une oxygénation et une
perfusion correcte.
D’où, l’importance d’un service de ramassage et de transport médicalisé
a. indication Obligatoires :
1. d’extrême urgence
-hématome extradural=d’autant plus que l’intervalle aura été plus court ou bref.
-H.S.D aigue=qui simule l’hématome extradural.
Il se présente sous l’aspect d’une aggravation secondaire rapide.
Le pronostic dépend de l’importance de la contusion cérébrale presque toujours
associée.
2. d’urgence
les plaies du cuir chevelu qui s’accompagnent d’un trait de fractures, d’une
embarrure ou d’une plaie cérébrale doivent être parées, explanées, et suturées
avec asepsie parfaite.
L’hématome sous durale chronique dès qu’il est diagnostiqué doit être évacué
chirurgicalement car il peut s’aggraver brusquement alors qu’il doit guérir le
plus souvent sans séquelle.
3. En urgence différée
Les embarrures, elles doivent être levées systématiquement mais ce geste
pourra être retardé au 8e -10e jours.
Les fistules de L.C.R, la date de l’intervention est au mieux au 10 e jours
à cette date le phénomène œdémateux ont le plus souvent disparus.
L’antibiothérapie préventive est indispensable.
Certaines contusions : la plus part des contusions cérébrales sont traitées
médicalement mais quelque gestes chirurgicaux sont parfois réalisés pour
faire l’ablation d’une zone d’atrition hémorragique en région
fonctionnellement muette : région frontale ou temporale
Ces gestes sont réalisés lorsqu’il entraîne une hyperpression risquant
d’entraîner un H.T.C.I (engagement temporale)
b. les cas où il faut s’abstenir :
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I INTRODUCTION
Ce Titre ressort :
A) les gliomes
a) le glioblastome
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C’est une tumeur maligne évoluant rapidement anatomiquement, c’est une lésion
infiltrante, mal limitée qui peut passer d’un hémisphère à l’autre par le corps calleux
(gliomes en ailes de papillon)
L’œdème peritumoral est toujours présent. Son pronostic est toujours très grave ; la
survie dépasse rarement un an.
Cette tumeur maligne infiltrante est toujours chirurgicale lorsqu’elle se situe dans une
zone peu fonctionnelle du cerveau
Dans tous les autres cas, on décidera de ne pas opérer si les examens ont apporté la
certitude du diagnostic.
La tumeur est assez souvent radiosensible mais malgré la radiothérapie, elle récidive
inévitablement ; la chimiothérapie est peu efficace.
b) Astrocytome.
c) Oligodendrogliomes
C’est une variété rare de tumeur d’évolution très lente. Des calcifications intra
tumorales sont assez souvent visibles sur les radiographies du crânes.
Les résultats de l’exérèse chirurgicale peuvent être bon mais la récidive tardive à
transformation maligne est possible.
4. Les Médulloblastomes.
Tumeurs hautement malignes observées chez les sujets jeunes et dans l’enfance. La
localisation habituelle est cérébelleuse (4ème ventricule). La tumeur peut essemer par
voie liquidienne à possibilité de greffe métastatique dans les espaces sous
arachnoïdiens péridullaires ou péricérebraux.
Ces tumeurs sont radiosensibles et le pronostic habituellement très grave n’est pas
toujours désespérer.
5. Ependymome
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Ces sont des tumeurs rares qui se développent à partir des cellules dans la glande
pinéale.
Il faut les distinguer des germinomes et des tératomes qui constituent la plus grande
partie des tumeurs de la région pinéale.
La symptomatologie est oculomotrices (paralysie de la verticalité) mais rapidement
l’H.T.I.C apparaît. Le potentiel évolutif est très variable certaines tumeurs de la région
pinéale sont très radiosensible et de bon pronostic (germinomes). D’autres sont radio
résistants et assez souvent bénignes (tératomes). Leur ablation chirurgicale est parfois
délicate.
La biopsie stéréotaxique permet d’obtenir à crâne fermé le diagnostic histologique qui
guide la thérapeutique. C’est la chirurgie pour les T.B et la radiothérapie pour les
tumeurs radiosensibles.
Ils sont rattachés aux tumeurs cérébrales. Leurs développements vers le 3ème ventricule
sont parfois considérables. Il s’agit des lésions de l’enfant et ce n’est souvent qu’au
stade d’H.T.I.C qu’elles sont reconnues.
Ces gliomes sont parfois très radiosensibles. Le pronostic est souvent très réservés.
Ce sont des tumeurs des ventricules latéraux chez l’enfant ou du 4ème ventricule chez
l’adulte. C’est l’hydrocéphalie qui les révèle.
Lorsque l’exérèse est totale, le pronostic est très bon.
9. Craniopharyngiome.
Les symptômes peuvent n’apparaître qu’à l’âge adulte (30a ns). Leur développement
kystique permet à la tumeur d’acquérir un volume important.
Des calcifications intra tumorales dans la région sellaire Sont fréquentes.
10. Hémangioblastome
Fait partie des tumeurs de la fosse postérieure. C’est une tumeur vasculaire bénigne,
souvent kystique et multiple dont l’exérèse chirurgicale peut donner de très bons
résultats.
L’hypophyse est logée dans la selle turcique. Pendant longtemps les adénomes
hypophysaires ne se traduisent que par des risques endocriniens. Ce n’est que
tardivement que par l’adénome déborde en haut de la selle qu’apparaîtront les signes
visuels de troubles puis l’HTIC quant la masse comprime le 3ème ventricule
(hydrocéphalie).
On distingue :
c) Adénome basophile
Indications thérapeutiques
Elle par exemple choisie s’il ne contient de collet du niveau du diamètre cellaire. Elle
consiste à aborder l’hypophyse par les soins sphénoïdaux sans passer par voie
intracrânienne.
Elle est la seule possible lorsqu’il existe un collet important au niveau cellulaire.
Lorsque l’expansion supracellaire se fait latéralement et lorsqu’on hésite entre
adénome hypophysaire et craniopharyngiome.
Devant se tumeur intra cellulaire, la chronique par voie basse est en général
préférable.
Elles sont très fréquentes souvent ce sont des métastases des cancers des
poumons, seins, reins, et intestins. elles peuvent se localiser dans les hémisphères .
C’est le cas le plus fréquent. Mais aussi dans le cervelet et le T.C. Elles sont souvent
multiples.
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Une métastase unique peut faire l’objet d’un exérèse chirurgicale susceptible
d’adopter un mode ou un bénéfice non négligeable.
c) ABCES CEREBRAUX.
Sont des lésions relativement fréquentes qui relèvent de 3 étiologies principales
suivants :
Il faut rappeler aussi le risque d’abcès secondaires aux fistués de L.C.R Post
Trauma. Lors des fractures de l’étage antérieure ou moyen de la base du crâne. Les
abcès hémisphériques sont les plus fréquents mais ceux du cervelet ne sont pas
exceptionnels et en particulier lors d’une suppuration chronique de l’oreille
(cholesastome infecté).
CLINIQUE
Elle est bien souvent celle d’une tumeur qui évoluerait rapidement et de crise
parfois intermittente des céphalées paroxystiques. Des signes de localisation qui
accompagnent l’H.T.I.C soit fonction du lien du dvpt de l’abcès (hémiplégie, aphasie,
hémianopsie ou crises convulaires).
DIAGNOSTIC
TRAITEMENT
Le traitement de l’abcès du cerveau doit être déterminé par une surveillance très
attentive du mode dans un service de neurochirurgie. L’exérèse chirurgicale de l’abcès
sous couvert des antibiotiques et du traitement anti œdémateux était de règle.
Un traitement antiépileptique est nécessaire pendant tous les ois car les cicatrices
d’abcès sont volontiers épileptogènes.
D. EMPYEMES SOUS-CONDRAUX
Il s’agit des collections purulentes sous durales très souvent secondaires à l’infection
ORL chronique (sinusite, mastoïdites) où a un traumatisme crânien ou à une infection
post-opératoire. Le Chronique se traduit par des crises convulsives et plus souvent
localisées. Il existe aussi des douleurs à la pression de la région temporale et une
possibilité d’hémiplégie. Les empyèmes doivent être évacués chirurgicalement. Le
traitement par antibiothérapie est importante et prolongé est toujours indispensable. Le
pronostic est réservé.
E. TUBERCULOMES
Les tuberculomes sus-tentoriels sont devenus exceptionnels depuis la vaccination au
BCG. Dans la fosse-post et surtout dans le traitement. Ils peuvent être confondu à un
tumeur. Le traitement chirurgical et le tuberculostatiques permettent de très bons
résultats.
1) Les méningiomes.
Sont des tumeurs qui se développent à partir des méninges et s’enchâssent dans le
cerveau sans l’envahir.
Ce sont des tumeurs fréquentes d’évolution très lente. Elles se manifestent assez
souvent en premier lieu par une symptomatologie épileptique.
A cause de leur lenteur évolutive, elles peuvent atteindre de très gros volumes avant de
se manifester par une HTIC ou des signes déficitaires.
Ce sont des tumeurs très vascularisées.
Les RX du crâne peuvent montrer une hyperostose justatumorales ou des sillons
vasculaires très marqués parfois des calcifications, de la tumeur elle-même.
45
2° les neurinomes
Ils naissent de la gaine de Schwann des nerfs crâniens la variété la plus fréquente est
le neurinome de l’acoustique ou neurinome du nerf auditif.
Il se développe au début dans le C.A.I puis dans l’angle pontocérébelleux. La
symptomatologie initiale est faite de surdité, de perceptions progressives
accompagnées des vertiges légers et d’une courte durée.
Plus tard, c’est le tableau d’une tumeur de l’angle ponto-cérébelleux supérieure à 2 cm
à une surdité de perception unilatérale, des vertiges, d’une hypoesthèse de l’hémiface,
un syndrome homolatéral, souvent des signes pyrimidaux des 4 membres.
L’atteinte des nerfs mixtes (IX-X-XI) avec des troubles de déglutition tariose.
L’H.T.C.I traduit le blocage du 4e ventricule A ce stade, le pronostic vital est très
compromis.
3°Autres tumeurs
On distingue :
-tumeurs d’origines osseuses (ostéomes- myélomes- sarcomes ou métastases osseuses)
- les reliquats embryonnaires (kystes épidermoïde ou dermoïde, tiratome, lipomes)
- les symptômes primitifs.
4. troubles visuels
5. troubles cochléovestibulaires
6. troubles olfactifs : un méningiome de la fosse ant. Peut se manifester
par l’anopsie.
7. Atteinte du nerf crânien ou plusieurs nerfs crâniens
8. Troubles mentaux
1. FOND D’ŒIL
2. RADIO DU CRANE
3. E.E.G
Est très Utiles lorsqu’il relève un foyer focalisé de souffrance cérébrale (onde lente) ou
des signes épileptiques localisés.
4. SCINTIGRAPHIE CEREBRALE
47
Montrera la fixation anormale d’isotopes car une scintigraphie normale ne permet pas
d’être certain de l’absence de la tumeur.
5. SCANNER
6. ARTEROGRAPHIE
Elle est encore souvent utile avant la décision opératoire pour montrer la
vascularisation de tumeurs et ses rapports à les vx du cerveau. Dans les méningiomes,
l’acteriographie de la carotide extérieure montre un néovx caractéristique.
7. LA RMN
Elle améliore le du scanner car elle permet la visualisation des tumeurs de moins d’un
centimètre et surtout des lésions médianes et de la fosse postérieure.
I. DEFINITION ET GENERALITE
48
IILOCALISATION
Par la suite, le sang présent dans la citerne arachnoïdienne au contact des voies
intracrâniens joue un rôle déterminent dans la survenues d’une complication
neurologique précoce, comme une hydrocéphalie aiguë ou une complication
neurologique retardée telle que l’ischémie cérébrale ; cette ischémie a des
conséquences redoutables et est associée à un vasospasme artériel focal ou diffus.
49
1. signes cliniques
a/Mode de début
La rupture d’un anévrisme intracranien et traduit toujours par un tableau brutal une
perte de conscience initiale associée à la rupture dans 44%de cas.
A la situation de stress que provoque les hémorragies méningées, fit suite à une
élévation transitoire du catécholamine expliquant l’élévation transitoire de la P.A
systémique une modification du rythme cardiaque, du tracée électrocardiographie, la
survenue des vomissements ou des nausées survenant quelques minutes après le début.
d) Examen clinique
Recherche :
1° …Les conséquences neurologiques immédiates de la rupture d’anévrisme se
traduisant par des troubles de la conscience, un déficit neurologique moteur ou oculo-
moteur.
2°…Un syndrome méningé clinique confirmé par la présence d’une raideur de la
nuque.
3°…Des variations cardio-circulatoires et respiratoires associées.
En l’absence des troubles de la conscience, il est recommandé d’utiliser l’échelle de
GLASSGOW : céphalées intenses persistantes ou sévères faisant suite aux céphalées
inaugurales.
Au terme de cet examen clinique initial, un grade de sévérité clinique par exemple
calculé en utilisant l’échelle de GLASSGOW et la présence ou non d’un déficit moteur
.
2) Confirmation de la rupture
a)Par le scanner
50
Sans risque d’erreur, il détecte facilement la présence du sang dans les citernes de la
base ou dans le parenchyme cérébral. Cet examen doit être fait devant tout syndrome
clinique évoquant une hémorragie méningée, il sera effectué le plus tôt possible.
Son pouvoir de détection du sang s’atténue à le temps et n’est plus que de 75% au 3e
jour après l’hémorragie.
Le scanner fait le jour de l’hémorragie peut mettre en évidence la présence du sang
intracrânien dans 95% des cas.
.il peut localiser la rupture de l’anévrisme par la présence d’un hématome intracérébral
associé à l’hémorragie sous arachnoïdienne dans 45 >des cas.
Le scanner peut relever une complication précoce de l’hémorragie méningée.
3. confirmation d’anévrisme
Les anomalies vont être masquées sur les ex. biologique par l’augmentation de la
glycine, des G.B et des T.G.
E.C.G : on aura un sous décalage du segment S-T,
Une inversion de l’onde T
Un allongement de l’onde Q-T
Un trouble du rythme cardiaque (fribrilation)
Flutter, tachycardie ventriculaire)
c) Le dïppler transcranien
Un doppler normal montre que la vitesse circulatoire moyenne dans l’artère cérébrale
moyenne est de 60-65cm/sec
La vitesse systolique max. ne dépasse pas 120cm/sec.
51
a)l’hydrocéphalie aiguë
Elle est en relation avec la présence massive de sang dans les citernes de la base t dans
les espaces sous arachnoïdien de la convexité empêchant (aussi la circulation et la
résorption du L.C.R.
Elle survient en générale dans 3-6 heures après l’hémorragie le trouble clinique est
celui d’une aggravation 2eme relativement précoce et progressive faite d’obnubilation
ou d’une aggravation du trouble de la conscience pré - existant.
Cette aggravation 2 eme justifie un nouveau scanner qui confirmera l’absence d’un
renseignement.
Le t3de l’hydrocéphalie aigue de l’hémorragie est une urgence neurochirurgicale.
Une dérivation venticuloexterne sera posée.
b)l’ischémie cérébrale retardée
elle concerne principalement le cortex cérébral, les territoires des artères cérébrales
antérieure et moyennes.
Elle apparaît (e) le 5e-12e jour après l’hémorragie méningée initiale. Elles se
manifestent par un déficit neurologique focalisé :
-Déficit moteur brachio-faciale, une aphasie, au état confusionnel, une agitation, et des
troubles de la conscience.
Un scanner permetton d’écarter un resaignement ou une hydrocéphalie aigue. Il sera
répété pour confirmer la ^présence d’un infarctus cérébral.
c) Vasospasme artériel
Se définit comme la réduction visible à l’angiographie du calibre des artères
intracraniennes. C’est le fait responsable du plus grand nombre d’échec. Il peut
survenir même avant l’intervention mais il survient surtout après l’intervention.
7. Traitement chirurgicale
L’indication opératoire dépend de l’état du malade, de son âge, car au dessus de60 ans
le risque de séquelle et de décès est plus grand.
L’indication dépend aussi du siège de la malformation.
Les difficultés opératoires sont plus grandes dans les anévrismes de la communicante
antérieurs et anévrisme vertébraux basilaire.
La date de l’intervention est encore discutée.
On tend de plus n plus à l’intervenir tôt si l’état clinique le permet généralement vers
le 4e jour)
II La clinique
Ces malformations se manifestent par :
une hémorragie souvent intracérébrale
un accident ischinique cérébral dû à un hémo -détournement
une crise épileptique
Les hémorragies sont révélatrices de près de la moitié des angiomes
Cérébraux. Elles surviennent souvent avant 30 ans. L’hémorragie est méningée ou
cérébrale.
Le syndrome méningé est inconstant.
Il existe des signes neurologiques focalisées : hémiplégie aphasie, hémianopsie latéro.
Homonyme.
Les manifestations ashéniques peuvent se traduire par une hémiplégie progressive par
es troubles psychiques, confusionnels ou par une détérioration intellectuelle qui va de
pair avec une atrophie cérébrale.
Les crises d’épilepsie sont observées dans près de la moitié des cas ce sont des crises
localisées ou généralisées.
La malformation vasculaire peut se traduire seulement par des hémicrânies toujours
localisées du même cotées.
Un souffle systolique par exemple perron à l’ausailtation du crâne dans 10-15 % des
cas.
-L’E.E.G peut montrer des signes focaux. De souffrance cérébrale ou des signes
épileptique.
-La réaction du crâne : dan certains cas elle montre des calcifications caractéristique.
53
IV Le traitement
* Ils servent chez des personnes hypertendues. Le début est brutal par un syndr.
Vertigineux avec des céphalées post.
CHAP V : HYDROCEPHALIE
1. Définition
Désigne la présence d’un excès d’eau (L.C.K) contenu dans le S.N.C à l’intérieur et
autre du cerveau et de la moelle épinière.
3. rappel anatome-physologique
Le L.C.R est essentiellement formé par le plexus choroïdes particulièrement ceux
vents. Latéraux qui sont très volumineux, la production journalière +- 50 C.C le volume
total +- 150 CC.
55
La ciculation
L’absorption du L.C.R se fait au niveau des granulations de Paccioni qui sont des
structures dinerticulaires permettent son passage dans le sang du sans longitudinal>.,
une petite quantité est absorbée au niveau de l’eptoméninge,du cerveau et de la
cervelle.
8. ETIOLOGIES
Chaque fois qu’il y a hyperproduction, gène dans la circulation ou déficit d’absorption
du L.C.R ; il y aura hydrocéphale.
Chez le NN
-étiologie congénitale ou malformative
Agénésie d’un trou de Monro
Malformation D’ARNOLD CHIARI associée au spina bifoda
Sténose de l’Aqueduc de Sylvius
Malformation de DANDY WALKER (absence totale du trou de
Magendi et Lushka)
- Etiologie traumatisme obsétricale
*Hémorragie sous arachnoïdienne qui peut provoquer
1. hydrocéphale transitoire ou évolutive.
-étiologie Infectieuse
*le méninges qui conduisent à un arachnoïde→ défaut de circulation de L.C.R .
Implique une hydrocéphalie communicante ou externe.
-étiologie tumorale
*tumeur du plexus choroïde NN et enfant.
Chez l’adulte
→la tumeur cérébrale ou la fosse postérieure
Ex : tumeur de l’angle postérieure cérébelleux
Tumeur vernienne.
Tumeur hémisphérique cérébelleuse entraîne un gène de circonstance/écoulement
→le traumatisme crânien
→les infections T.B.C méningite
→hémorragie s/arachn. Ou A.V.C hémorragiques.
Chez le vieillard
*chez le NN
-peut présenter une diminution rapide du p.c (37.5-38cm (masculin))
35.1-37.9 féminin)
-A 6 mois : 42.2-45.1 (masculin) 41.1-43.9 (féminin)
56
Lorsque les fontanelles sont déjà fermées, l y aura apparition des phénomènes
d’H.T.C.I.
L’évolution peut se faire vers une petite hydrocéphalie après trauma obstétrical, qui
peut regresser.le plus souvent, l’évolution est inéxaurable se faisant vers
l’augmentation du P.C devenant monstrueux.
Si on intervient pas, l’effet devient léthargique troubles neurovégétatifs, troubles
psychomoteur présentera des complications infectieuses qui vont l’emporter.
→chez l’Adulte :
le diagnostic est lié à l’H.T.I. C
-l’E.E.G : souffrance cérébrale plus ou moins orientation étiologique
-la Rx simple crâne : empreintes digitiformes, décalcification du dos de
la selle turcique et de l’hypophyses styloïde ou une disjonction des sutures.
- l’angrographie carotidienne intérieure plus scanner cérébral
∆∆ - Tumeur cérébrale obstruant partiellement l’écoulement du LCR est ne
produisant pas une HTIC permanente.
→ Chez le vieillard :
- Scanner cérébral et le test de soustraction de LCR par PL.
∆∆ : atrophie cérébrale avec démence.
Comme dans la mue d’Alzheimer
6. Traitement
Chez le NN et l’enfant :
La PL : lors d’une poussée d’hydrocéphalie
néonatale due à un traumatisme obstétrical ou une
hémorragie sous arachnoïdienne. Cette poussée
peut s’arrêter à la suite de quelque PL. On peut
affirmer l’inactivité d’hydrocéphalie que si le PL
reste stable pendant quelques jours ou plusieurs
semaines.
Le scanner doit confirmer l’arrêt évolutif par les
examens répétés.
58
L’augmentation du PC de 36 cm ou plus en un
mois est une indication opératoire.
La chirurgie : T3 étiologique en cas d’obstruction
cérébrale. En cas de masse tumorale expansive, une
déviation ventriculaire est conseillée.
Dérivation ventriculo-atriale : Fait traîner le LCR de ventricule aux oreillettes
droits par le veine jugulaire atriale.
Conséquence : thrombose – septicémie – nécessitée d’une surveillance
méticuleuse pour l’allongement du cathéter atrial.
Dérivation ventriculo-péritonéale : elle est préférée comme procédé de première
intention.
Inconvénient : le bout péritonéal peut se couder à une hernie.
Chez l’adulte
T3 médical par les diurétiques ou les IMAO
Ce sont des patients qui subissent un t3 palietifs.
T 3 chirurgical. Drainage ventriculo – ext dans le cas ou une chirurgie étiologique est
prévue dans le 8-10jours.
En cas d’hémorragie, inondation ventriculaire par le sang, dérivation ventriculo-
atriale ou ventriculo-péritonéale.
7. Evolution et pronostic
1. Introduction
Les 7 avenues → paraplegie.
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Rappels physiologiques
Le rachis lombaire contribue aux mouvements de flexion et d’extension dont
l’amplitude est de 40° sur les deux sens.
Ces mouvements s’effectuent essentiellement dans les 2 derniers disques llompbaires
constituant la charnière lombo sacrée.
C’est en ce point que le rachis lombaire est le plus sollicité.
Cela explique la plus grande fréquence ce des lésions disco ligamentaires à ces étages.
La rotation lombaire est constituée à 10° et l’inclinaison lat. à 20°.
3. Etiologie
Elle est fréquente chez l’home dans 60% des cas, chez l’homme âgé
de 60-70 ans. Rare chez le jeune de 20 ans.
Une malformation transitionnelle lombo sacrée (sacralisation de la L5 ou
lombalisation de S1) ou un encastrement très prononcé de L5 (2) les ailes iliaques
60
favoris la formation d’un hernie discale en f(x) de la dysarnonie en f(x) lle causée. La
spondylolystésis favorise la discopathie.
L’olésité imposée de façon persistante à la charnière lombo sacrée.
L’étroitesse du canal lombaire congénital ou acquis joue un rôle également.
La scoliose, l’hyper- lordose lombaire, un sacrum horizontal favorisent l’arthrose et
l’hernie discale.
Le rôle du spina bifida oculta est discuté.
Mais le plus souvent, l’hernie discale se produit à l’occasion d’un trauma ou d’un
brisque prise en charge (surtout l’effort de soulèvement à redressement du tronc).
L’nucleus pulposus fait d’autant plus facilement hernie que l’anneau fibreux est déjà
lésé par les microtraumatismes à la vie courante, d’accident de travail ou de sport (ski,
parachutage, chute à moto).
4. pathogénie
Sous l’effort des microtraumatismes et l’atteinte de l’anneau fibreux attribuable à la
sénescence des tissus (hyalinisation de l’anneau) des fissures se produisent dans
l’anneau fibreux, ces fissures atteignent le noyau lui-même altéré par le vieillissement
(déshydratation).
Ce dernier (le noyau)) subit alors une migration amyloïde et arrive au contact de la
périphérie de l’anneau qui est innervé par le nerf semi-vertébral d’où la lombalgie ou
lumbago.
A ce stade plus avancé, l’hernie fait saillir sous le ligament vertébral commun post. et
la ……….. discale comprend le plus souvent une racine d’où la lombosciatique.
Nous pouvons avoir la migration de la hernie s/ le li………
Elle peut être éjectée dans le canal au dessus ou en dessous de l’interligne discale.
La hernie peut se retrouver sous le ligament jeune vers le trou de conjugaison.
Une hernie médiane ou paramédiane volumineuse peut donner un syndrome de la
queue de cheval.
En résumé : la lombalgie est l’effet de la souffrance disco ligamentaire tandis que la
sciatique résulte de la compression radiculaire par l’hernie discale.
Il s’y ajoute toujours un facteur inflammatoire et congestif localisé.
5. CLINIQUE
a) Interrogation
Entre les crises, on trouve un fond douloureux lombaire puis à la suite d’un
effort ou d’un trauma parfois bénin voir sans cause apparente, la sevatique apparaît.
L’unilatéralité et la topographie mono radiculaire de la douleur habituelle sont
essentielles.
b) Examen clinique
- syndrome vertébral
le patient doit être examiné nu et debout : pour noter une attitude antalgique qui peut
être soit un tronc incliné en avant hanche et genou fléchis de sorte que les orteils seuls
touchent le sol .
on peut noter une scoliose antalgique et un dos bloqué,examen de la distance doit sol
+genoux non fléchis, on recherche aussi le signe de la sonnette présent dans 50% des
cas.
Signe de SPURLING (percussion dans les espaces latéro-épineuses) reveille une
douleur.
- syndrome radiculaire
Signe de laségue est particulièrement constant. On peut avoirs un laségue +
controlatérale. Cela peut signer une hernie discale médiane ou paramédiane.
Dans la sciatique L5 :
Douleurs extérieure au mollet, un défaut sensitif inconstant de la face extérieure de la
jambe, et sur le dos du pied jusqu’aux 4émes orteils. Un défaut moteur s’il appartient,
intéresse l’extenseur commun des orteils et les pesoniers latéraux.
Le rotulien p.è faible de 10 à 15 % de cas, patient incapable de marcher sur le talon.
Dans la sciatique S1 :
La douleur et postérieure les trajet sensitifs intéressent la face post. Du mollet jusqu’à
la plante du pied. On a un abaissement du pli fessier, une hypotonie fessière,une
atrophie du mollet impossibilité de marcher sur la pointe du pied le réflexe achilléen
est diminué on aboli. Il est rare que tous les signes soient complets
62
c) formes cliniques
Nous pouvons avoir une sciatique abaseule cela en cas d’hernie discale médiane ou
extériorisée. Hernie discale à 2 niveaux.
Sciatique bilatérale : asymétrie de symptômes.
L’atteinte de la loge postérieure est plus rare mais le monde traîne la jambe, le pied
repose à plat et le réflexe adiliéen est obole.
6. Diagnostic.
Il est posé par la clinique et/ou confirmé par les explorations paracliniques, parmi ces
explorations paracliniques :
3) RX contrasté.
Sacroradiogrphie :
Elle montera la déviation et le refoulement du cul de sac et d’une racine, une image de
blocage indiquant une heure de gros volume.
Phlébographie :
Discographie : Inconvénient : d+, supérieure a 40 ans fissure de disque, risque
d’une inflammation du disque.
Scanner : Avantage non douloureux, répétitif, fiable en cas d’hernie discale
latérale ; par exemple couplé à la sacrociaradiographie ou injection en cas de
produit de contraste..
L’IRM n’est pas un examen de routine
EMG est un exemple utile au diagnostic de compression radiculaire et pour le
diagnostic de topographie.
Elle souligne le degré d’atteinte de motoneurone périphérique et en cas d’hernie
discale paralysante et établir le pronostic. Elle est insuffisante pour confirmer une
compression discale ou tumorale.
7. Diagnostic différentiel.
Causes intrarachidiennes :
- Neurinomes qui se manifeste surtout chez les sujets jeunes et par des douleurs
intenses et en position caouchée.
Ependymome du filum terminal ou épendymome réalisant une tumeur géante de la
queu de cheval se manifestant par de manifestation plur…….de cône médullaire.
- Méningiome-arachnoïdite ou épidurite
- Médulloblastome
- Angiome médullaire qui se manifeste par une hémorragie rachidienne.
- Lombosciatique historique ou épidurite
8. TRAITEMENT
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a) Médical
1. Les antalgiques :
Indispensables, très variées
b) Traitement chirurgical.
1. inclus…..
9. Complication
10. Resultats :
Sont très bon dans plus de 80 % de cas après une indication opératoire rigoureuse.
Les bons résultats s’observent chez les patients dont la sciatique est au 1er plan tandis
que la lombalgie est discrète.
Les résultats à distance dépendent du terrain
La structure psychique du patient peu faciliter la persistance des manifestations
douloureuse et fonctionnelles inconscientes.
Les récidives vraies existent (peuvent exister) ou développer une hernie à un autre
niveau.
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