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:8 LA POLITIQUE
D’ACTIVTÉS
SOCIALES ET
CULTURELLES
REALISÉ PAR :
BELHAMAMA WALID
ER-REMYTY NOUHAILA
ZAWRAK SOFIA
KHAOULA BOUCHMAR
ENCADRÉ PAR :
IBTIHAL BADDI
IKRAM SETTOUTI MR. MAAMERI ADIL
DEDICASES
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REMERCIEMENT
Tout d’abord nous tenons à remercier ALLAH le tout puissant d’avoir nous
donner la santé, la volanté, le courage et la patience pour pouvoir réaliser ce
travail de recherche.
Nous tenons à exprimer nos reconnaissances envers nos chers parents pour leur
amour et support moral et intellectuel tout au long de nos démarche d’étude.
Nos remerciements s’adressent particulièrement à Mr. MAAMERI ADIL pour
son encadrement de qualité, ses conseils, sa patience et sa gentillesse ainsi pour
le temps consacré à la réalisation de ce travail.
Finalement, Nous présentons nos chaleureux et sincères remerciements à toute
personne qui a contribué à la réussite de ce travail.
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RESUMÉ :
Social and cultural activities are established in the company primarily for the
benefit of employees, their families and trainees.
First of all, the social policy in the company includes salary, professional
training, working conditions, professional equality or even complementary
health and provident insurance.
It will promote a positive perception of the company both for your employees
and by the candidates, during your recruitments. Valued externally, it can even
positively influence the image of the company with your customers.
The social and cultural activity policy is essential for any company in order to
improve the satisfaction of your employees and retain them, respond
appropriately to their health needs, attract candidates, foster a good social
climate within the company.
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LISTE D’ABREVIATION :
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INTRODUCTION
L’entreprise est un lieu de travail, est aussi un lieu de vie et, si « tout travail
mérite salaire », il s’avère que l’entreprise a souvent plus à offrir à ses salariés,
que cela tienne à un objectif de fidélisation de son personnel, de recherche plus
générale de cohésion sociale, de soutien à un personnel fragilisé, etc. Le lien
entre « conditions de travail » et « conditions de vie » est inévitablement très
étroit, et les activités sociales et culturelles proposées par l’entreprise participent
de cette relation.
Un salarié dispose de droits fondamentaux, appliqués dans le cadre de son
activité professionnelle.
A ce titre, il peut bénéficier aussi d’avantages, au titre des activités sociales et
culturelles.
Ces prestations sont destinées à lui apporter une aide financière, et ne sont pas
soumises aux cotisations sociales. Activités sociales et culturelles, de quoi
s’agit-il ? Participation de l’employeur : Quels intérêts ?
Qui sont les bénéficiaires et qu’elles sont les conditions d’accès pour les ASC ?
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SOMMAIRE :
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CHAPITRE 1 : CADRE THÉORIQUE ET
MÉTHODOLOGIQUE DE LA POLITIQUE D’ACTIVITÉ
SOCIALES ET CULTURELLES
Les activités sociales et culturelles, telles que nous les connaissons aujourd’hui
sont le fruit d’un double héritage dont elles portent encore de nombreuses
traces :
Le paternalisme : dans la seconde moitié du 19e siècle, se développent autour
de l’usine de grandes métropoles urbaines ; le patronat crée des structures
caritatives pour sédentariser la main d’œuvre qualifiée, canaliser le
mécontentement des travailleurs et améliorer leurs conditions de vie. Ainsi, et
progressivement, c’est l’ensemble de la vie sociale, éducative, sportive et
culturelle qui passe sous le contrôle patronal : crèches, bibliothèques, écoles,
épiceries, jardins ouvriers, équipes sportives... sont dirigés et subventionnés par
le patron. Ce réseau de « bonnes œuvres » permettra notamment de
récompenser, hors de l’entreprise, le mérite et l’engagement démontrés dans le
cadre du travail. Il participera également d’un contrôle accru du patronat sur la
sphère privée et d’une certaine domination sur le plan idéologique.
Le syndicalisme : c’est justement contre la « mainmise » du patronat que le
syndicalisme va se développer à la fin du 19e siècle et prendre en compte les
questions sociales et culturelles. Les premiers syndicats de métier vont en effet
revendiquer la gestion des affaires qui les concernent et créer leurs propres
caisses de solidarités, leurs mutuelles, leurs clubs sportifs, leurs réfectoires, leurs
colonies de vacances à destination des enfants des travailleurs, etc. Crises et
guerres seront à surmonter, et c’est par une ordonnance du 22 février 1945 et
une loi du 16 avril 1946 que les Comités d’entreprise (CE) sont créés. Dès lors,
la direction paternaliste des « œuvres sociales » par l’employeur est substituée
une gestion indépendante de ces œuvres par le CE, instance représentative élue
par les travailleurs.
Le vocable change dans les années 60, et on ne parlera plus des « œuvres
sociales et culturelles » mais des « activités sociales et culturelles » développées
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par les CE eux-mêmes, de façon autonome et singulière, dans une logique plus
proche de la médiation culturelle, et avec de nouvelles aspirations.
Aujourd’hui, Il parait utile de revenir sur différentes notions qui ne doivent pas
être confondues car leur objet et leur traitement sont bien différenciés comme (la
rémunération, les avantages en nature, les frais professionnels, les
œuvres/activités sociales et culturelles)
La rémunération : est la contrepartie du travail fourni. Il s'agit donc d'un élément
essentiel du contrat de travail. La notion de rémunération est définie de façon
distincte en droit de la sécurité sociale et en droit du travail.
Les avantages en nature : les avantages en nature peuvent être définis comme les
avantages (biens ou services) fournis par l’employeur à ses salariés sans
contrepartie ou moyennant une participation du salarié inférieure à leur valeur
réelle de la prestation et pour une utilisation privée par exemple : logement,
véhicule, repas, téléphone et ordinateur.
Les frais professionnels : Les frais professionnels correspondent à des dépenses
engagées par le salarié pour les besoins de son activité professionnelle. Ces frais
sont ensuite remboursés par l’employeur.
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2- Les activités sociales et culturelles tendant à l'amélioration des conditions
de bien-être, telles que les cantines, les coopératives de consommation, les
logements, les jardins familiaux, les crèches, les colonies de vacances.
3- Les activités sociales et culturelles ayant pour objet l'utilisation des loisirs
et l'organisation sportive.
4- Les institutions d'ordre professionnel ou éducatif attachées à l'entreprise
ou dépendant d'elle, telles que les centres d'apprentissage et de formation
professionnelle, les bibliothèques, les cercles d'études, les cours de culture
générale.
5- Les services sociaux chargés :
a) De veiller au bien-être du salarié dans l'entreprise, de faciliter son
adaptation à son travail et de collaborer avec le service de santé au travail
de l'entreprise.
b) De coordonner et de promouvoir les réalisations sociales décidées par
le comité d'entreprise et par l'employeur.
6- Le service de santé au travail institué dans l'entreprise ».
Comme indiqué, le Code du travail ne donne pas de définition précise des ASC,
elles doivent simplement avoir pour objet d’améliorer les conditions d’emploi et
de vie dans l’entreprise.
Voici un Tableau récapitulatif des activités sociales et culturelles les plus
couramment proposées par les CE ou les CSE :
Activités relatives aux conditions de travail
Prise en charge des frais de Le comité peut participer aux frais de repas du salarié dans un restaurant
repas d'entreprise.
Distribution de boissons et Le comité peut acheter ou louer des distributeurs de boissons ou d'autres
de denrées alimentaires denrées alimentaires.
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Activités relatives aux conditions de vie de famille
Attribution par le comité aux salariés de bons d'achat (ou chèques-cadeaux) leur
Bons d'achat permettant de bénéficier de réductions dans des grands magasins ou des sociétés de vente par
correspondance.
Chèque lire. – Le chèque lire s'échange en librairie ainsi que dans les lieux de culture
animés par des professionnels du livre.
Chèque disque. – Le chèque disque s'échange contre tous les supports du son et de
l'image (CD, DVD, etc.) chez un disquaire du réseau national.
Chèques- Les chèques-vacances sont des titres nominatifs permettant le paiement des
vacances prestations de services liées aux vacances (frais de transport, locations, loisirs).
Centre de
loisirs et de Gestion et animation de centres de loisirs et de vacances.
vacances
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Activités physiques et sportives
- le comité peut créer une association sportive subventionnée et contrôlée par lui : dans ce
cas, la moitié des membres du conseil d'administration de l'association est désignée par le
comité ;
- il peut négocier des tarifs préférentiels auprès d'un club extérieur auquel adhèrent
individuellement les salariés ;
Les ASC doivent être prioritairement établies au bénéfices (Art L 23238-83 CT,
Art R 2323-20CT)
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l’entreprise d’origine, des frais supplémentaires générés pour le comité
d’entreprise de l’entreprise d’accueil. C’est pour cette même raison que le CE de
l’entreprise d’accueil ne peut pas demander à l’employeur d’intégrer la
rémunération des intérimaires dans le calcul de la contribution patronale au
budget du CE en vue d’augmenter le montant de cette contribution.
En revanche, les personnes qui travaillent dans l’entreprise sans en être salariés
ou assimilés (salariés sous-traitants, prestataires de service, salariés mis à
disposition par d’autres structure que des groupements) n’en bénéficient pas en
principe, mais le bénéfice des ASC peut leur être ouvert, à condition de ne pas
priver les salariés de l’entreprise et leur famille.
3) Les stagiaires :
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bénéficiaires prioritaires et le comité peut réserver les ASC aux salariés qui sont
encore dans l’entreprise, notamment en cas de budget limité.
3) Revenus du salarié :
Le CE ne peut pas par principe exclure de l’accès aux ASC les salariés des
catégories professionnelles les plus élevées ou ceux ayant les salaires les plus
élevés puisque celles-ci doivent bénéficier à l’ensemble du personnel, sans
discrimination.
En revanche, il peut décider de moins financer les ASC des salariés ayant des
salaires plus élevés sans faire référence à la catégorie professionnelle mais plutôt
à son niveau de revenu et à condition de n’exclure personne.
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4) Critères professionnels :
Le gestionnaire des ASC peut en revanche moduler le niveau des prestations en
fonction de la catégorie professionnelle des salariés (non cadres, agents de
maitrise, cadre ou toute autre catégorie propre à l’entreprise).
Le comité peut également combiner entre eux les critères d’accès et créer des
plafonnements :
‐ nombre maximum de tickets cinéma alloués par an à chaque salarié par
exemple,
‐ montant maximum et par famille des subventions attribuées pour rembourser
l’adhésion à des clubs sportifs, etc.
Enfin, les critères d’attribution peuvent varier d’une activité sociale à une autre
et le comité peut les adapter, les modifier, comme il le souhaite dans le temps
dans le cadre de réunions consacrées.
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CHAPITRE 2 : MÉTHODOLOGIE D’INTÉGRATION DES
POLITIQUES D’ACTIVITÉ SOCIALE ET CULTURELLE
Ynna holding est un groupe familial marocain fondé en 1948 par Miloud
Chaâbi, il propose des produits, des technologies et des services qui répondent
aux besoins de ses clients au Maroc et dans le monde. Animé depuis son origine
par des valeurs profondes, le Groupe a su rester fidèle à ses principes : volonté
d’entreprendre, équité, esprit d’équipe, professionnalisme et innovation Ynna
holding est groupe marocain qui opère depuis plus de 70 ans dans des métiers
historiques créateurs de valeur ajoutée pour le pays. Est une référence dans ses
métiers historiques que sont l’immobilier, l’industrie, le BTP, l’hôtellerie, la
grande distribution et l’agroalimentaire Le Groupe emploie à ce jour plus de
20 000 collaborateurs et opère via des filiales qui disposent de parts de marchés
confortables dans la majorité des secteurs où elles opèrent comme : Aïn
soltane ,aswak assalam , SNEP, Gpc ,ryad mogador , chaabi lil iskan Et Afrique
câble ELECTRA qui sera le sujet u l’exemple de notre sujet. Cette réussite,
qu’ils le sont poussent chaque jour à contribuer davantage à l’amélioration de la
vie de chacun, se double d’une vision globale qui ne se limite pas à des
performances économiques. En effet ils sont engagés dans une performance
environnementale, sociale et sociétale de chacune de leurs activités
Ils considèrent l’écoute et le dialogue avec l’ensemble des parties prenantes de
leurs projets comme une condition nécessaire à l’exercice de ses métiers. Et,
parce qu’ils sont un acteur de grande envergure, ils apportent un soin particulier
au soutien des territoires où ils sont présents. L’ambition de ynna holding est
ainsi de créer de la valeur à long terme pour leurs clients, collaborateurs, et
partenaires et la société en général. Solidaire et responsable, le Groupe met à
profit son expertise unique, ses ressources humaines qualifiées et sa
gouvernance performante pour renforcer son leadership et poursuivre sa
croissance au bénéfice de ses clients.
Cependant Afrique câble Electra c’est le leader en production de batteries au
Maroc, son secteurs et domaine d’activité c’est la
Fabrication des batteries de démarrage il appuie son développement sur une
relation privilégiée avec l’ensemble de ses partenaires, notamment les
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constructeurs automobiles. Entreprise jeune et dynamique, Electra fait de la
qualité, de l’innovation et de la satisfaction du client les points essentiels de son
développement Les batteries Electra sont conçues et commercialisées par la
société Afrique Câbles, elle-même filiale de la holding Ynna (groupe Chaabi).
Afrique Câbles a été fondée en 1992 et son siège social se situe à Casablanca, au
Maroc. Afrique Câbles a atteint quelque 160 millions de DH de chiffre
d’affaires et plus de 250 collaborateurs œuvrent chaque jour pour que les
batteries soient les plus fiables, les plus performantes, les plus respectueuses de
l’environnement et les plus avancées technologiquement.
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CONCLUSION GENRALE :
Chaque produit, chaque projet, chaque solution nait des institutions et du savoir-
faire des femmes et des hommes qui avec engagement, responsabilité et
enthousiasme, contribuent au développement d’une idée d’innovation qui part de
l’homme pour arriver à l’homme. Ces politiques d’activités sociales et
culturelles ont pour but d’améliorer les conditions de vie, de travail et de
l’emploi des salariés visant à améliorer leur bien-être, à augmenter leur pouvoir
d’achat et à favoriser l’accès à la culture.
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LA BIBLIOGRAPHIE :
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