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Les conditions bancaires

2
Date d’opération:

Pour les banques, c’est la date de


comptabilisation d’un mouvement par leurs
services d’exploitation, appelés services de
production;
C’est à partir de cette date que les banques
calculent la date de valeur.

3
Date de valeur:

C’est la date à partir de laquelle une


opération enregistrée dans un compte est
prise en considération pour le calcul des
intérêts éventuels.
C’est donc la date qui sert de référence pour
la prise en compte des mouvements débités
et crédités sur les comptes bancaires

4
Heure de caisse:

C’est l’heure limite de comptabilisation par


les banques des opérations sur les comptes
bancaires de leurs clients.
Après cette heure, toute opération est
reportée à la date d’opération du lendemain.

A noter que l’amélioration des systèmes


d’information bancaires permet de retarder
cette heure de caisse.

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Jours de valeur :

Concrètement, les jours de valeur sont les


jours durant lesquels la banque garde les
fonds de ses clients sans les remettre à leur
disposition.

Float :

La pratique des jours de valeur permet aux


banques de disposer de fonds
supplémentaires de liquidité durant
l’absence de mise à disposition de fonds à
leurs clients. 6
Les différents types de jours de
valeur:

Jours ouvrés:
5 jours par semaine.
Une condition exprimée en jour ouvrés tient des jours
de fermeture de la banque.

Jours ouvrables:
6 Jours par semaine.
Tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés.

Jours calendaires:
7 jours par semaine.
jours fériés compris et ne tiennent pas compte des
jours de fermeture de la banque

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Principe de nombre:

La notion de nombre est la notion d’encours


exprimé en montant, multiplié par une
durée.
Les nombres débiteurs et créditeurs
apparaissent sur les échelles d’intérét
mensuels ou trimestriels, base de la
facturation des banques à leurs clients.

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EXEMPLE DE DATES DE
VALEUR

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TRESORERIE EN DATE D’OPERATION

Samedi Dimanche Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche


Vendredi
03/10 04/10 05/10 06/10 07/10 08/10 09/10 10/10 11/10
02/10

Solde Initial -51 800 -51 800 0 -32 800 -48 100 -37 122 -15 516 26 845 26 845
0
Encaissement Chèque           41 500 22 000 19 561   

Encaissement Effet           30 136 9 606 20 000   

Versement en espèces           342   300   

Virement reçu               2 500   

Total Encaissement 0 0 0 0 71 978 31 606 42 361 0 0


0
Règlement Chèque     20 000 15 300 15 000 10 000      
25 000
Règlement Effet     12 800   45 000        
26 800
Retrait en espèces         1 000        
 
virement émis                  
 

Total Décaissement 0 0 32 800 15 300 61 000 10 000 0 0 0


51 800
Solde Final -51 800 -51 800 -32 800 -48 100 -37 122 -15 516 26 845 26 845 26 845
-51 800
DATES DE VALEUR
Encaissement (jour ouvrable)
Encaissement Chèque J+2
Encaissement Effet J+2 O
Versement en espèces J+1 O
Virement reçu J+1 O

Décaissement ( jour ouvrable)


Règlement Chèque J-1 O
Règlement Effet J-1 O
Retrait en espèces J-1 O
TRESORERIE EN DATE DE VALEUR
Vendredi Samedi Dimanche Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Lundi 12/10 Mardi 13/10
02/10 03/10 04/10 05/10 06/10 07/10 08/10 09/10 10/10 11/10

Solde Initial 0 -51 800 -51 800 0 -32 800 -48 100 -37 122 -15 516 26 845 26 845 26 845 73 014

Encaissement Chèque          41 500 22 000 19 561    18 779 21 317

Encaissement Effet           30 136 9 606 20 000    26 790 3 343


Versement en
          342  300    600 
espèces
Virement reçu               2 500      3 800

Total Encaissement 0 0 0 0 0 71 978 31 606 42 361 0 0 46 169 28 460

Règlement Chèque 25 000    20 000 15 300 15 000 10 000         

Règlement Effet 26 800    12 800  45 000           

Retrait en espèces           1 000           

Total Décaissement 51 800 0 0 32 800 15 300 61 000 10 000 0 0 0 0 0

Solde Final -51 800 -51 800 -51 800 -32 800 -48 100 -37 122 -15 516 26 845 26 845 26 845 73 014 101 474

Décision : Placement
      20 178 18 984 46 045 31 214 49 674       
3%

Solde Après décision -51 800 -51 800 -51 800 -52 978 -67 084 -83 167 -46 730 -22 829 26 845 26 845 73 014 101 474

Produit Financiers 0 0 0 2 2 4 3 12 0 0 0 0

Frais financiers 7% -12 -12 -12 -12 -15 -18 -10 -15    73 014 101 474
80 000

60 000

40 000

20 000

0
Vendredi Samedi Dimanche Lundi 05/10 Mardi 06/10 Mercredi Jeudi 08/10 Vendredi Samedi Dimanche
02/10 03/10 04/10 07/10 09/10 10/10 11/10

-20 000

-40 000

-60 000
FICHE EN VALEUR

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La fiche en valeur ( ou damier) :
C’est le document de travail quotidien du trésorier

La fiche de suivi en date de valeur est de nature extra


comptable

Elle permet de positionner en date de valeur et non plus en


date d’opération, les opérations de recettes et de dépenses de
l’entreprise

Elle reprend les flux d’encaissements et de décaissements par


nature d’opérations : réception ou émission de chèques,
virements, avis de prélèvement, encaissement ou escompte
effets…, et les place en fonction des dates de valeurs
appliquées

1 5
Les dates de valeurs servent de base au calcul des agios à
travers l’échelle d’intérêts

Elle permet de déterminer un solde « jour », base de la décision


du trésorier ( décision de financement ou de placement ou de
décalage…)

Elle est établie de manière glissante (horizon glissant à 30


jours)

Elle nécessite un système d’information fiable sur les


mouvements monétaires possibles et sur leurs dates probables
de survenance.

1 6
Les informations peuvent provenir :

des différentes fonctions de l’entreprise ( Direction Générale,


Commerciale, Financière, Technique, Ressources Humaines,
Achats…)
de l’extérieur ( banques, clients, fournisseurs…)

Suivant l’origine de l’information, faire la distinction entre le :

- prévisionnel
- et le réalisé
Nécessité de faire en permanence le rapprochement entre le
prévu et le
réalisé pour éliminer du prévisible, ce qui est effectivement
réalisé

1 7
LOGIQUE DE LA GESTION DE
TRESORERIE

1 8
1/ concept de trésorerie optimum : la trésorerie «zéro»

L’objectif de la gestion en date de valeur est d’atteindre une


trésorerie «zéro»
Cet objectif reste théorique.

Pourquoi rechercher la trésorerie «zéro» ?


Maximisation du résultat financier de l’entreprise et
amélioration de sa rentabilité finale

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2/ Trois erreurs à éviter en gestion de trésorerie:

Erreur d’équilibrage ou de contre-phase:


Elle consiste en même temps et au même moment, un solde
débiteur
et un autre créditeur chez deux banques différentes. Elle revient
à
payer des agios alors qu’on dispose d’une trésorerie positive
chez une
autre banque.

Erreur de sur mobilisation :


Elle consiste à laisser subsister un solde créditeur important , ce
qui
traduit soit un recours excessif à l’escompte, soit un défaut de
Placement.
Elle revient à supporter des charges financières superflues ou à
se 2 0
priver des produits financiers
Erreur de sous mobilisation :

Elle consiste à avoir des disponibilités inférieures au besoin


financement. C’est l’erreur la moins onéreuses pour l’entreprise
Cette erreurs est la moins couteuse. On peut l’éviter par un
recours
supplémentaire à l’escompte ou
un autre crédit ou le report d’un décaissement.

Ces trois erreurs, dans la mesure ou elle sont quantifiables


permettent
de porter un jugement objectif sur le travail du trésorier de
l’entreprise. Elles sont à la base du diagnostic de la gestion de la
trésorerie de l’entreprise et à le point de départ d’une possible
automatisation de la fonction.
2 1
Lois d’encaissement et de
décaissement

2 2
Positionnement des chèques émis :

Du fait que :
La comptabilisation des débits chèques se fait par la banque
à
partir de la date de présentation auprès de la banque (J) et
non de
la date d’émission par l’émetteur

Il devient impossible de positionner les débits de chèques


sur
simple référence aux conditions bancaires .

2 3
A priori la date de présentation (J) du chèque par
le bénéficiaire demeure inconnue

Mais on peut chercher une solution à travers le


recours à l’observation du comportement passé
en matière de présentation des chèques

d’où
l’élaboration de lois statistiques de raisonnement
.

2 4
La majorité sont de petits chèques, et la
minorité est constituée de gros chèques
(administration, gros fournisseurs…)
Il s’avère difficile de mener l’observation sur une
population hétérogène .

D’ou la nécessité d’établir deux lois statistiques :


• Loi pour le positionnement des petits chèques
émis
• Loi pour le positionnement des gros chèques
émis

2 5
CONSTRUCTION DE LA LOI DE POSITIONNEMENT
DES PETITS CHEQUES EMIS

Du fait que l’envoi des petits chèques se fait


généralement
en masse,
il est possible de construire une loi statistique “ Petit
Chèques Emis ”

Procédure :
Pour chaque émission il faut noter :
• Le montant total de l’émission
• La date d’émission
• Le détail des chèques ( numéros et montants)
• La date de débit en valeur de valeur

2 6
EXEMPLE DE DONNEE UTILE A L'ETABLISSEMENT D'UNE LOI STATISTIQUE

Ecart entre date d'envoi -1 1 2 3 4 5 6 7 8 9


et date de debit            
           
Montant En KDH                    

250 12 110 30 20 15 12 34 15 1 1
320 4 151 31 19 15 42 42 14 0 2
165 8 90 17 3 6 8 22 10 0 1
54 0 46 0 0 0 0 8 0 0 0
180 22 40 20 26 34 3 9 25 1 0

Total 46 437 98 68 70 65 115 64 2 4

Pourcentage 5 45 10 7 7 7 12 7 0 0

2 7
EXEMPLE DE LOI DE DISTRIBUTION DE « PETITS » CHEQUES

JOUR DE DEBIT EN D.V %

Veille de l’envoi ( j - 1 ) 5%

Lendemain ( j + 1 ) 45 %

Surlendemain ( j + 2 ) 10 %

Jour d’envoi + 3 ou ( j + 3 ) 7%

Jour d’envoi + 4 ( j + 4 ) 7%

Jour d’envoi + 5 ( j + 5 ) 7%

Jour d’envoi + 6 ( j + 6 ) 12 %

Jour d’envoi + 7 ( j + 7 ) 7%

2 8
INTERET DE LA LOI

Utilisation lors de prochaines émissions de petits


chèques, pour le positionnement des débits s’y
rapportant sur la fiche de suivi

Nécessite d’actualiser la loi statistique régulièrement

2 9
CONSTRUCTION D’UNE LOI STATISTIQUE
DE GROS CHEQUES EMIS

Du fait de leur importance, il est utile de les traiter par


Bénéficiaire

Le principe est le suivant:

• Étude de l’historique du comportement de chacun des


partenaires

• Mesure des décalages entre date d’émission et date de débit


en jours ouvrables

• Élaboration, l’état de suivi des chèques par destinataire

3 0
EXEMPLE : MODELE D'UN ETAT DE SUIVI DES GROS CHEQUES

DESTINATAIRE : Fournisseur ONE

BANQUE REF CHEQUE MONTANT DATE DATE DECALA


    EN DH ENV DEBIT GE EN J.O

BANQUE 1 359800 1.500.000 20/3 28/3 +6

BANQUE 2 081500 3.200.000 20/5 27/5 +5

BANQUE 2 081580 1.093.000 21/6 30/6 +7

BANQUE 2 081640 1.800.000 20/7 2/8 +8

BANQUE 2 081700 2.600.000 20/8 2/9 +5

BANQUE 3 320405 980.000 20/9 3/10 +9

BANQUE 3 320412 1.200.000 18/10 27/10 +6

3 1
PROBLEME :
Quel jour prévoir couvrir le chèque sachant que le
débit intervient entre le 5ème et le 9ème jour
ouvrable après l’émission .

APPROCHE PROPOSEE :
• Construction d’une matrice de décision
• Calcul des pénalités liées à chaque pari
• Choix du pari dont la somme des pénalités est la
plus faible .

3 2
EXEMPLE :

Montant : 1.000.000 DH émis en faveur ONE


Coût du crédit 10%

MATRICE DES PARIS DU TRESORIER

JOUR DE DEBIT DU CHEQUE Pénalités


PARI 5 6 7 8 9
5 0 277 555 833 1111 2776
6 305 0 277 555 833 1970
7 611 305 0 277 555 1748
8 916 611 305 0 277 2109
9 1222 916 611 305 0 3054

3 3
TABLE DE DECISION DU TRESORERIER

( SUR LA BASE DE LA MATRICE DES PARIS


PARI DATE ECART PENALITE    
OU REALISATION    
TRESORERIER DEBIT    
           
5 éme jour 5 éme jour 0 0    
5 éme    

Le montant de
1.000.000 aurait
5 éme jour 7 éme jour Couverture pu couvrir un    
5 éme Inutile débit de même montant auprès d'une autre

pendant banque cout de l'opération  


2 jours 1.000.000 *0,1*2 jours = 555 Dh
    360 jours  

compte courant
pénalisé suite à
l'application d'un
7 éme jour 5 éme jour Compte taux    
7 éme courant débiteur de  
en   11% 

dépassement   ( 10%+ 1%)


pendant 1.000.000*0,11*2 jours = 611 Dh
2 jours   360 jours  

3 4
Partant de cette matrice, le trésorier choisira le pari
qui
permettra de minimiser au maximum les pénalités
financières et ce pour le positionnement de gros
chèques par bénéficiaire .

A la lumière de la matrice des paris, il serait opportun


de
positionner les chèques “ gros chèques ” en faveur
ONE à
J + 7 J.O

Pari permettant de minimiser mes pénalités 1748 DH 3. 5


Trésorerie et gestion des
opérations bancaires

3 6
Les frais bancaires sont de deux types :

• les frais liés à la position du compte


• les frais liés aux opérations

1. Les frais liés à la position du compte (agios) :

Sont liés à la position du compte de l’entreprise en banque et à


l’application de la notion de date de valeur

Date de valeur = «date à partir de laquelle les sommes résultant des


opérations passées en compte commencent ou cessent de porter
intérêt»

Les dates de valeur sont appliquées en fonction d’un barème et de la


nature de l’opération

3 7
Exemples :

- versement espèces : J+1


- retrait espèces : J–1
- remise de chèques : J+2
- virement : J
- escompte effet : J+1
- encaissement effet : J+5
-…

Les mouvement comptabilisés en dates de valeur sont repris sur un


document appelé « échelle d’intérêts », arrêté trimestriellement
appliquées en fonction d’un barème et de la nature de l’opération

3 8
L’échelle d’intérêts reprend par date d’opération et date de valeur :

• Les mouvements DB et CR
• Les soldes en valeur DB et CR
• Le nombre de jours séparant un solde et le solde précédent
• Les « Nombre » DB et CR (Nombre = solde x nbre de jours)
• Ces nombres sont totalisés «sans compensation » à la fin de
chaque période (trimestre)
• Les agios sont calculés ainsi:

Nombres DB x taux
• Agios = -------------------------
360 x 100

A ces agios s’ajouteront certaines commissions et une TVA sur


opérations financières de 10 %.

3 9
2. Les frais liés aux opérations :

Ce sont généralement des frais d’un montant fixe qui sont appliqués
à certaines opérations et destinés à couvrir les charges de la banque

Principaux types de commissions :

√ commissions liées aux opérations de guichet :


commissions sur versement, remise chèque, chèque de
banque, virement, mise à disposition…

√ commissions liées au fonctionnement du compte :


impayé sur remise chèque, incident de paiement…

√ commissions liées aux opérations avec l’étranger :


ouverture d’accréditif, domiciliation d’engagement
d’importation, transfert ou paiement de fournisseurs étrangers…

4 0
3. Contrôle des frais bancaires :

Il s’agit essentiellement de contrôler systématiquement, les échelles


d’intérêt et les commissions.

Préalablement il faudrait prendre la précaution de demander à la


banque de préciser par écrit les conditions qu’elle applique à
l’entreprise en terme de :

- taux d’intérêt
- dates de valeurs
- barème de commissions

Ces conditions sont plus ou moins négociables en fonction du type


de relation que l’entreprise entretient avec la banque, de son poids
et de l’intérêt commercial qu’elle représente pour le banquier

4 1
Equilibrage de la trésorerie

4 2
Coût réel d’un financement

4 3
1. Définition du taux effectif global (TEG) :

Entre le taux annoncé par la banque et le coût réel des crédits


qu’elle accorde à l’entreprise, il y a une différence parfois
importante qui provient de différents éléments qui peuvent affecter
le coût des crédits, dont :

• La pratique des « jours de banque »


• Le mode de calcul des intérêts (post-comptés ou
précomptés)
• Les 360 jours bancaires

Pour avoir une idée précise du coût des crédit, il faut intégrer tous
ces éléments en calculant le TEG

4 4
2. Modalités de calcul du TEG :
Exemple :

Le 14 mars, le trésorier de la Sté HIZA renouvelle un crédit de


trésorerie de 5 millions de Dhs à échéance du 14 avril à 6% (Taux
nominale). Le crédit est à intérêts précomptés avec 2 jours de banque.

Le montant des intérêts est calculé sur la durée réelle du crédit à


laquelle s’ajoute les jours de banque.

(31+2)
5 000 000X ----------- X 6% = 27 500
360

4 5
2.1. Jours de banque :

Ils augmentent le coût réel du crédit dans la mesure où l’entreprise paie


des intérêts sur un nombre de jours supérieur à la durée réelle.

33
6%X --------= 6,3871%
31

4 6
2.2. Précompte des intérêts :
Les intérêts sont habituellement payables en fin de période(post-
compté). Les intérêts précomptés sont à l’inverse prélevés lors de la
mise en place du crédit.
Pour obtenir un capital « C » le trésorier doit emprunter ce capital plus
les intérêts « C+1 ».
Le précompte conduit en fait à payer des intérêts sur les intérêts :

33
27 500X ----X 6% = 151
360

(27 500+151)
6,3871% X ------------ = 6,4221%
27 500
4 7
2.3. 360 jours bancaires :

L’entreprise se finance sur la durée d’une année civile.


Toutefois, pour calculer les frais financiers, la banque utilise comme
dénominateur 360j au lieu du nombre réel de jours dans l’année :

365
6,4221% X -------= 6,5113%
360

4 8

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