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= important contentieux
Introduction :
La responsabilité peut de manière général peut se définir comme l’obligation qui incombe à l’auteur
d’un dommage de le réparer. Dans un sens générique lorsque la responsabilité est reconnu c’est
l’obligation de répondre à un dommage qu’on cause a autrui et donc de le réparer en nature ou par
équivalent par le versement d’une indemnité. Dans le droit civil de la responsabilité
extracontractuelle, cette obligation est consacrée par l’art 1240 du CC, ancien art 1382, qui dispose
que « tout fait de l’homme qui cause à autrui un dommage oblige celui par la faute duquel il est
arrivé à le réparer » .
En droit public l’adage selon lequel « le Roi ne peut mal faire », à longtemps survécu à l’ancien
régime, est justifié surtout au 19e S , un principe d’irresponsabilité de l’E. Exception de quelques
matières, déterminé par les textes, par ex les dommages de travaux publiques. Il est pourtant
utopique d’imaginer que des administrations publiques puissent agir quotidiennement sans poser
leur fonctions même un certain nombres de dommages aux administrés. On peut songer aux travaux
publics. On peut penser à un maire qui néglige de réglementer une activité pourtant dangereuse,
constitutif d’une faute, tant matériel que juridique.
Des accidents plus ou moins grave sont causé par l’adm par l’activité humaine, par négligences, par
erreur.
Dans le droit public, 3 réponses ont été adopté à des époques successives.
2) Trouver un « bouc émissaire » qui est le fonctionnaire , qui est à l’origine du dommage et
responsabilité du préjudice causé. Agent public responsabilité. Le prob le dommage est accompli
dans le cadre du service et dans le moyen du service. Très défavorable pour les fonctionnaires mais
aussi pour els victimes, puisque les agents publiques sont pas toujours solvables pour répondre des
dommages causés, surtout si important, plus important = moins réparer. De plus ce système
comporte des limites pour l’administration elle même. En effet, c’est de paralyser l’action
administrative, les agents prenant le moins de risque possible et voulant se couvrir.
3) C’est admettre que les collectivités publiques, soient tenus de réparer les conséquences
dommageables nés d’une mauvaise organisation ou d’un fonctionnement défectueuse de leur
services, un droit à indemnisation au profit des administrés. On peut parler ici de responsabilité
administrative.
Dans cette dernière hypothèse , il existe des aménagements possibles. On peut admettre que la
personne publiques sont tjrs responsabilité , la responsabilité de l’action de ses agents et de ses
services. Secondes possibilité est d’admettre dans les cas que la responsabilité incombe au
fonctionnaires soit à la personne publique.
Tout est une question d’intérêt quel intérêt doit on prendre en compte, celui de la personne
publique, du fonctionnaire et de la victime. L’intérêt du fonctionnaire …
La victime peut être en cause la personne publique qui est solvable contrairement au fonctionnaire,
mais les victimes peuvent aussi vouloir poursuivre le ou les fonctionnaires pour pouvoir établir leur
fautes.
L’intérêt de l’administration , du point de vue des finances publiques que de la pérennité de son
action va dans le sens de la responsabilité personnelle des agents, mais surtout dans le sens de son
irresponsabilité.
L’intérêt G impose une solution nuancé et équilibré. Il n’est pas souhaitable que la responsabilité
personnelle des agents publiques soit tjrs écartés, ou couverte car cette abs de ses sanctionnent
entrainent ainsi des négligences.
Les solutions repose sur des compromis , subtile et délicats , il n’y a pas de solution toute faite. Tout
dépend du dosage opéré.
Les administrés victimes de leur dommage étaient privés de tt droit à réparation. Cette solution ne se
dégageait pas de la pratique juridictionnelle mais elle correspond à un système d’idées..
3 explications :
Mais il y a une période de transition. Il faut d’abord répertorier les diverses causes.
1) Le changement de régime politique avec l’avènement de la troisième R a partir des années 1870.
Le libéralisme politique qui imprègne les élites dirigeantes et le développement de la démocratie
avec l’avènement du suffrage uni transforme lentement mais surement la nature des rapports
établies entre l’administration et les administrés. Ces derniers deviennent des citoyens, ils
supportent plus difficilement la relation d’inégalité qui les subordonne depuis Napoléon à la
puissance publique. De plus, grâce aux intervention de leur député, les citoyens peuvent faire
remonter des réclamations auprès des ministère (bureaux parisiens), et mieux contrôler l’action des
ministres. En outre, entre la responsabilité qui est à la base du régime parlementaire et la
responsabilité adm , il y a des analogies. Les mm individus supportent mal d’être d’un coté des
citoyens actifs dans l’ordre politique et de rester des sujets passifs objet de la puissance publiques
dans l’ordre adm.
2)Par ailleurs, autre explication le développement de l’industrie et des transports, des moyens de
com, du machinisme, de nouvelles sources d’énergies, conduisent à l’extension des interventions de
l’E. Le nombre d’accident augmente d’autant. La longue réparation des dommages et mal ressenti
par l’opinion publique, d’une part les accidents et les catastrophes , qui sont plus importantes, et
d’autres part, elles sont connus par le grand publiques grâce au développement de la presse.
3) La notion de la grande loi Républicaine du 24 mai 1872 qui réorganise le Conseil d’Etat et le
tribunal des Conflits. La juridiction adm devient à cette date indépendant du pv exécutif.
Or ces évolutions facilite , encourage l’élaboration d’un véritable droit adm , d’une jp plus livre et
plus audacieuse à l’égard de la puissance publique et en matière de responsabilité. Cette évolution
est Cette évolution du principe de responsabilité est allée de pair avec le dvpt du principe de l’égalité
(soumission de l’adm au droit). une irrégularité juridique appelle une sanction, et s’il y a dommage,
une réparation du préjudice.
Quand au manifestation de cette évolution, il serait trompeur de les réduire à un arrêt de principe
qui les résumerait toutes. En droit adm , le très célèbre arrêt blanco, est ici absolument
incontournable. Rendu par le tribunal des conflits en 1873.
3 règles d’importance qui ont constitué une rupture dans le droit de la responsabilité
administrative : « Considérant que la responsabilité, qui peut incomber à l'Etat, pour les
dommages causés aux particuliers par le fait des personnes qu'il emploie dans le service
public, ne peut être régie par les principes qui sont établis dans le Code civil, pour les
rapports de particulier à particulier ; Que cette responsabilité n'est ni générale, ni
absolue ; qu'elle a ses règles spéciales qui varient suivant les besoins du service et la
nécessité de concilier les droits de l'Etat avec les droits privés ; dès lors l’autorité
administrative est compétente» . par cet arrêt blanco, le tribunal des conflits, consacrait :
la responsabilité de l’Etat a raison des dommages causés par des SP
la compétence de la juridiction adm pour statuer sur les recours de l’irr contre l’E sur la
base d’un mauvais fondement.
le caractère spécial des règles de cette responsabilité. Création d’un corps de principe
autonome , distinct du droit privé et applicable au juridiction des admin aux
administrés. Il s’agit d’une règle de fond.
Dans les années 1900, l’arrêt Blanco…. Tessier et … fut repris par l’école du SP, càd par
Léon Duguit, Gaston Jèze et Roger Bonard et Rolland. Pour ces derniers, l’arrêt Blanco
fait figure d’arrêt fondateur du DA moderne. L’arrêt Blanco défini à la fois la
compétence et son contenu. L’arrêt reconnaitrait le SP comme le seul critère de
compétence du JUGE ADMINISTRATIF et la spécificité des règles applicables au SP,
établissant un lien entre le fond du droit applicable et la compétence du JUGE
ADMINISTRATIF. C’est le principe de liaison de la compétence et du fond. C’est la
reconstruction à postériori , du droit adm dans les années 1900.
L’arrêt blanco fut critiqué par juristes comme René Chapus ou Charles Eisenmann.
Arrêt Rothschild, 1855 avait adopté une formulation très similaire a celle de l’arrêt Blanco, mais
l’arrêt Blanco a constitué l’abandon le plus solennel de l’irresponsabilité de l’Etat. Il fut rendu par une
juridiction indépendante, sous la IIIème Rép, ce que n’était pas le CE en 1855 avec Rot, sous le 2 nd
Empire. Il a traduit le nouvel état du droit. Dans ce prolongement, 2 autres changements décisifs. :
- le contentieux des dommages causés par les services locaux (communes et départements)
qui relevaient jusqu’alors des tribunaux judiciaires, fut désormais jugé par les juridictions
administratives en vertu de l’arrêt du TConflits de 1908 « Feutry » : qui a affirmé la
compétence du JUGE ADMINISTRATIF pour connaitre de la responsabilité des services locaux.
- Certains services régaliens, notamment la police, qui a la fin du 19 ème siècle, même après
l’arrêt Blanco, échappait encore a toute responsabilité (arrêt CE,1899, Lépreux, qui affirmait
que « la responsabilité de l’Etat est dotant plus restreinte que la fonction est élevée »,) vont
progressivement être soumis par la JUGE ADMINISTRATIF a la règle commune, comme
l’affirme le CE en 1905 dans son arrêt TOMASO GRECCO.
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Si l’arrêt Blanco a été conféré par certains comme fondateur, l’évolution de la Jp, a
conduit à nuancé la solution technique à dégager en matière de compétence. Le SP
n’est plus depuis longtemps, un critère absolue du JUGE ADMINISTRATIF.
SPIC :
On peut définir la responsabilité admi organiquement comme celle de l’administration publique cad
la responsabilité des services dépendant de m’eatt, des collectivités territ et des établissements
publique rattaché. On voit des difficultés situé sur des cas limites. Au sein de l’état : 3 pv : l’adm
publique ne semble dépendre que du pv exécutif en vertu de l’art 20 ali 2 de la C° . Il en résulte que
les dommages que peuvent causé le Parlement et l’autorité judiciaires, ces dommages doivent en
principe être exclus de la responsabilité admi.
Il fait distinguer deux hypothèses. Tt d’abord, une responsabilité peut être encouru par l’état
législateur du seul ,fait que le parlement à voté une loi dont l’application engendre des dommages.
De mm , il existe une responsabilité, de l’État du fait des conventions internationales. Il s’agit de
responsabilité* publique , de l’état. En second lieu, le fonctionnement de l’assemblée repose sur
l’existence de moyen matériel et humain càd de service admi qui comme d’autre peuvent causé des
dommages à l’occasion de leur fonctionnement. La réparation de ces dommages diffère du régime
de responsabilité de l’état. Pendant longtemps , le E s’est déclaré incompétent pour connaitre le
recours qui met en cause le mauvais fonctionnement des services parlementaires. Depuis l’art 8 de
l’ordonnance organique du 17 Novembre .. fin régime impunité de deux manières d’une part il
prévoit la responsabilité de l’état pour tt dommage de tt nature, que l’activité des services
parlementaire. D’autre part, il a attribué la compétence pour connaitre les litiges individuelles
comme la réparation des préjudices pro. Le juge adm est devenu comptent pour se prononcer sur
l’activité administrative du Parlement.
Les accidents causés par le fonctionnement de la justice judiciaire, est tenu comme étranger de la
responsabilité admi. En outre ,il existe pas de pv judiciaire, mais l’interprétation donné au principe de
séparation des autorité judiciaire reste contant…
L’art 626-1 du CPP. Article 149 du CP et suivant qui prévoit la réparation.
On peut citer L-141-1 du Code de l’organisation judiciaire qui résulte de la loi du 5 juillet 1972 qui
subordonne la responsabilité de l’état pour le fonctionnement défectueux du service judiciaire à la
preuve dune faute lourde ou d’un déni de justice.
3 remarques :
1) la compétence exclusive des tribunaux judiciaire ne doit protéger que l’acte juridictionnelle lui
même.
2) le tribunal des Conflits dans la décision du 27 novembre 1952 « préfet de la Guyane » à posé un
critère de délimitations du champ des compétences du JA en la matière. Ce critère repose entre
l’organisation et le fonctionnement du service de la justice judiciaire. Seul les dommages se
rapportant au fonctionnement relève de la compétence judiciaire. A l’inverse, la mauvaise
organisation peut être apprécier par la juridiction administrative. Les actes relatifs à l’exercice mm de
la fonction juridictionnelle ou au fonctionnement mm du service publique de la justice relève de la
fonction judiciaire…
Elle n’est pas la seul responsabilité du pv exécutif. Ensuite elle ne couvre pas complétement l’activité
du pv exécutif. Elle n’est pas générale. Les actes de gouvernement, il s’agit des mesures prises par les
plus hautes autorité de l’état, soit dans le cadre du fonctionnel et du pv publique, soit dans les
rapports de la France avec les pays étrangers. Par exemple la décision du président de soumettre un
projet de loi au référendum. On peut parler de la négociation, de l’élaboration ainsi que la signature
de traités internationaux. Tout ces actes à raison de leur origine , échappe au contrôle de l égalité du
JA et il ne sont pas susceptible d’engendrer une responsabilité de l’état. La liste des actes du
gouvernement n’a cesser de rétrécir.
Il y a 3 limites : d’abord l’immunité ne fait pas échec à la vérification ainsi qu’ son opposabilité de
l’acte. Ensuite cette immunité cesse à l’égard des actes détachables notamment des relations
diplomatiques ou convention international , le juge peut le connaitre. De mm est détachable des
rapports entre le pv exécutif et législatif. Dernière limite, le CE a admit assez récemment dans un
arrêt du 27 juin 2016 BERNABE, possibilité d’une responsabilité sans faute de l’Etat sur le fondement
d’égalité devant les charges publiques. Les règles applicables à l’indemnisation. Les juridictions
administratives sont compétentes. La responsabilité administrative ne peut se définir de façon
rigoureuse par son seul champ. … Il s’agit plus d’une notion fonctionnelle que organique. C’est un
régime de responsabilité spécifique applicable à un certain nombre d’activités.
Elle n’échappe pas au phénomène normatif qui touche tout publique. Ce droit à intégré les normes
constitutionnelles et internationales. De même , le législateur est intervenu à de nombreuses reprise
pour créer des mécanisme de responsabilité spécifique. Il est en effet compétent sur le fondement
de l’art 34 de la C° qui évoque le régime des obligations civiles. En recouvrant à la technique dite du
bloc de compétence, le législateur peut confier tout un contentieux au juge judicaire, ce dernier
étant compotent pour les dommages causé par les véhicules admi ou dans le cadre de
l’enseignement.
Ce faisant les sources de la responsabilité admi sont désormais de plus en plus écrite, et de plus en
plus diversifié puisqu’elle peuvent être constitutionnelle, internationales, législatives. Le caractère
jurisprudence ainsi que le pv du juge s’en trouve réduit, le JA fac à des sources écrites continu de
définir les conditions d’application des règles écrites et peut user de son pv d’interprétation et ne
peut créer une règle nouvelle.
Il s’agit de l’un des débat les plus anciennes du droit admi. De nombreux juristes ont fortement
nuancé le caractère autonome ou spécial dérogatoire au droit commun de la responsabilité admi.
Parmi ces juristes, il y a Charles Eisenmann, René Chapus ou le prof Gérard Cornn. Par l’étude
comparé des deux régimes et de leur évolution, ils ont démontré que non seulement le droit privée
de la responsabilité s’appliquaient aux activités admi dans une proportion importante, mais ils ont
aussi révélé l’unité de la nature juridique et du fondement des deus responsabilité.
En cas de dommages, l’admi ne doit pas que appliquer le droit admi. Le juge judiciaire intervient
depuis longtemps, ce qui pose des prob de répartition de compétence entre les juridictions. La
gestion du domaine privée du domaine privée relève de la compétence judiciaire. Le juge judiciaire
est compétente en matière d’atteinte à la liberté individuelle, ou de doit de fait. C’est devant lui, que
la responsabilité personnelle des agents publics peuvent être engagés, pour leur faute propre, leur
faute détachable de leur fonction publique. Il résulte de lois, de textes, qui sont adoptées par
dérogation au principe gouvernant la responsabilité des personnes publiques.
Il y a des difficultés, la crise n’a pas épargné la resp. En matière de resp, des questions complexes se
sont toujours posées. Que veut dire être responsable ? Comment le devient-on ? Les limites ?
Affirmer que l’ »état est resp c’est une portée politique. Si la resp n’a cesser de s’étendre, elle na tjrs
discuté, elle est victime de son succès. Il connait aussi des limites avec le régime des resp sans faute.
La resp sans faute constitue une rupture entre deux notions étroitement lié entre resp et faute. La
resp sans faute repose sur l’idée d’anormalité de dommage et qui exige dune réparation fondée sur
le principe d’égalité devant les charges publique et aussi sur l’exigence de solidarité. Cependant, un
dommage doit-il tjrs être réparé ? Peu importe la victime ou le coauteur ? La collectivité doit-elle
avoir la charge d’indemniser tt les préjudices excellent par leur gravité ce que l’individu doit
supporter dans l’intérêt G. Les risques engendrent la vie sociale et se traduit en matière de reps
Admi. Le législateur a malgré tt de tenté de répondre au demande sociales, notamment avec les
fonds sans qu’aucune resp soit déterminé ou mise en cause à priori. La mise en cause est réalisé a
raison d’un dommage identifié et non en raison de la resp d’une personne. Avec ce mécanisme, il y a
une déconnection entre l’auteur du dommage et le débiteur de l’indemnisation. Une fois
l’indemnisation réalisée le fond d’indemnisation peut être subroger à la victime et disposer d’une
action récursoire à l’encontre des responsables éventuels. L’objectif des es fons est d’accorder une
indemnisation prioritaire aux victimes d’un dommage particulier. La loi du 3janvier 1977 qui garantit
l’indemnisation dans les conditions déterminé par le CE, concernant d’un dommage corporelle
résultant d’une infraction.
Cette indemnité est attribué auprès des commissions et financer par des prélèvement sur des
contrats d’assurance et subroger dans les droits de la victimes contre les auteurs du des dommages.
La loi du 31 décembre 1991 organisé un régime d’organisation des victimes contaminées en raison
de produits sanguins défectueux par le virus du SIDA. Il y avait un fond d’indemnisation. En 2004, ce
fond a été supprimé et la charge de l’indemnisation à été transférer à l’office nationale
d’indemnisation des accidents médiaux. L’ONIAM où la compétences est étendue. La loi du 17
décembre 2008 concernant le virus de l’hépatite C . Le 29 juillet 2011, indemnisation des victimes du
Bentfluorex médoc.
Les professionnels de santé ne peuvent avoir leur resp recherché sauf faute caractérisée.
Pour caractériser une faute, le juge saisit doit tenir compte de l’urgence qui préside ici à la campagne
de vaccination et aux circonstances de chaque espèce. On constate une tendance générale à la
couverture des risque et au recours à des mécanismes hybrides qui combine resp , solidarité et
assurance. Il y a un célèbre rapport publique de 2005 , on parle ici de la socialisation du risque. Il y a
des limites , qui est tt d’abord financière, le coût n’est pas illimité. Jusqu’où s’étend la solidarité ? A
quelle point la collectivité est redevables envers ses membres ? quelles coût doit rester à la charge
des individus ?
Il y a une récente évolution qui illustre le renforcement d droit constant en matière de resp admi.
Au 19e sicle avec l’irresponsabilité de l’admi il y a aussi ceux des fonctionnaires, l’art 75 de la C° de
l’an 8 exigé une autorisation du conseil d’Etat pour attaquer en justice les fonctionnaires, auteur d’un
dommages et cette autorisation était rarement accordé. Cette règle était d’ailleurs pas nouvelle et
avait ().
Il a subsisté a titre de loi ordinaires sous tout les régime politique jusqu’à son abrogation du
Affaire pelletier
Arrêt lomonier et
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